Because one time ago for each of us when it is necessary to wash our socks. [PV]

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A

mely venait de rentrer dans sa chambre épuisée et fut surprise par le monticule de linge à laver lorsqu'elle ouvrit le placard pour en sortir une serviette. En effet, tout son linge sâle, fuyant le panier à linge comme la peste, déboula sur ses chaussures. Amely décida donc de faire la nécessaire pour remedier à cette situation. Ce n'était pas encore le moment pour elle de s'accorder queqlues minutes de détente. Elle mit donc toutes ses affaires à plat dans son panier de couleur rose (Autant dire que son panier avait tout de celui de la vieille ménagère qui vit seule avec ses dix chats), attrappa son sac à main et déboula les escaliers quatre à quatre. Elle bouscula sans vraiment y prêter gard un jeune couple et continua sa progression dans le hall pour enfin arriver à la laverie. Il y avait quelques étudiants assient dans les fauteuils en train de feuilleter des magazines.

A

mely posa donc sa banette sur une des machines libres, et se réattacha les cheveux à l'aide d'une pince, ce qui fesait un trés joli panaché légèrement décoiffé. Elle tria brièvement ses vêtements. Comment pouvait on salir autant de linge à la fois ou non, plutôt comment pouvait-on ne ps faire de lessive durant trois semaines et avoir encore quelque chose de propr à se mettre sur le dos? C'est dans ces cas là qu'Amely voyait qu'elle avait la fièvre acheteuse et ne savait se metriser à la vue du dernier petit top à la mode ou jean xD.. Décidément, on ne savait vraiment pas où cataloguer Amely, une vraie midinette mais en même temps feignante come un homme (enfin juste pour ce qui est de la lessive on est d'accord ^^). Elle s'empressa de les mettres couleur avec couleur et degrès avec degrès ; il y en avait là pour au moins deux voir trois battées :

A

lors qu'elle s'amusait à éplucher du regard les étiquettes de ses vêtements, elle sentie un présence dans son dos.. Elle se retourna donc, mais il n'y avait plus personne dans la laverie. Cela devait être le groupe d'étudiant qui avait pris congé. Elle continua donc son trie et occupa deux machine à elle toute seule. Elle inséra sa monnaie, la lesive, l'assouplissant et tourna le bouton sur "speed". Elle attrappa son magnifique panier à linge et le mit sur le côté avant de se laisser tomber dans l'un des nombreux fauteuils. Elle scrutait le plafond légèrement décrépie de la laverie, puis souffla doucement. Elle n'avait pris aucun passe temps, même pas ses cours ; que le temps allait lui sembler long.

C'est alors qu'elle corrigea les faux plits de sa robe en un geste de main vif avant de remarquer qu'elle l'avait sûrement accroché quelque part car il y avait un accroc.

P

uis soudain la porte battante de la laverie claqua et Amely cru apercevoir quelqu'un entrer, mais cette personne avait déjà disparu derrière les machines. Elle n'osa donc pas se lever, au cas où cette personne lui était inconnue ; et s'enfonça un peu plus dans son fauteuil. Puis tout à coup plus rien, le noir. Amely venait en effet de s'endormir, extenuer par sa journée et son week end éprouvant. Pendant ce temps les gens allait et venait dans la laverie. Ce n'est que bien plus tard qu'elle se réveilla.

S

on rêve fut des plus étranges, tout se passait à Berkeley mais différement ; en effet, notre nouvelle Sigma était encore chez les Bétas et avait gentillement été invité à une fête par les deltas. Elle était radieuse, tout de blanc vétue. Ses cheveux tombait sur ses épaules en de belles anglaises arrondies à souhait et alors qu'elle s'apprétait à franchir la porte de cette soirée accompagné d'une personne inconnue, elle trébucha et tombâ à cause d'un jeune homme qui lui barrait le passage. Cet importin lui tendie la main pour l'aider à se relever et elle reconnue Carter ; à partir de cet instant son rêve bascula en cauchemard .. Elle se retrouvait d'un coup habillé en souillon, au milieux de cette fête où raillerie et quolibet allait bon train sur son sujet. Ses oreilles se mirent à sifflées à cause des mesquineries qu'elle entendait de tout côtés, puis tout à coup le tout flemba et elle se reveilla, sortant de ce cauchemard. Le souffle haletant elle prie la décision de ne plus jamais regarder de film d'horreur et notemment Carry xD. Puis elle sortie un peu de cet état de choc et remarqua la présence de [...] à côté d'elle.

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[Premier Post]

Thème

La nuit de Sacha avait été....tout a fait normale, pour un être humain adulte en bonne santé, a plus de huit heures de sommeil, s'il ne s'était pas couché a... plus de huit heure du matin !

Un jenesaisquoi l'avait cloué sur l'oreiller pour une très, mais très grasse matinée.... Un coup de barre après la baltringue de cette nuit agitée ? Presque bavant sur le polochon, il tenta de soulever ses paupières... sans grand résultat. Après de nombreuses tentatives, qu'indiquait finalement son réveil?19h01....19h01...19h02 ???!!! Panique a bord! Cette nouvelle l'avait électrocuté dans ses draps, et il sauta du lit avec célérité.

Sacha s'était réveillé légèrement mal-fichu. Sa tête laissait a désirer, c'était le cas de le dire, et il échappa a son miroir très rapidement devant la face qu'il lui refletait. A peine sorti du lit, qu'il avait échappé comme une geole remplie de scorpions, il chercha du regard de quoi se couvrir. Les mains sur les hanches nues, son visage se décomposa en une grimace mi-amusée, mi-désespérée. Quelle triste mine s'ajoutait déja aux empreintes du sommeil devant le carnage vestimentaire qui s'affichait devant lui. Plus rien a se mettre. Quelqu'un le connaissant n'aurait jamais put lui attribuer cette chambre dans l'état présent des choses. Le sol était invisible sous les affaires dernièrement débalées, et nombres de boxers, T-shirts ou vestes rampaient sur le sol a la recherche d'un logis plus recommandable que la moquette claire de la piole.

Quelle solution a ce chaos ? Une visite presto a la laverie bien sur. Quelle occupation plaisante que trainer sur des fauteuils miteux en ayant pour seule distraction le spectacle des tambours en mouvement... Sacha y réfléchit, leva les yeux au ciel en soupirant, avant de retomber sur la guerre des tissus qui s'épanouissait sous ses yeux... Il se passa une main dans sa jungle capillaire, avant d'enfiler le premier jeans qu'il croisa de la main, un polo et des converses trainantes.

Ne pas se poser de question. Tout ce qui trainait finit dans un panier de paille claire dont Sacha ne se souvint même plus la provenance. Tant pis, ça sert, c'est le principal. En quelques minutes, tout fut balancé, écrasé, empilé, et hop, direction la laverie.

Après quelques pérégrinations dans les tunnels de sa nouvelle école, le jeune Sacha parvint quand même au temple des slips blancs métamorphosés en string roses, et de l'adoucissant bon-marché.

Il claqua la porte avec force, avant de s'écraser devant la première machine a laver muette. Que faire ? Aller, ça ne devait pas être bien compliqué...

Seul... Il se retourna d'un coup, d'un air désespéré, sa moue désabusée collée sur le visage. Puis il revint sur son panier toujours aussi débordant, et le tambour de la machine toujours aussi béant.

Il se prit a disposer tous ces vètements sur le sol, prenant la largeur de l'allée - génant au passage surement bon nombre d'enquiquinés du lave-linge -, regroupant petit a petit, chaussettes - dont il en manquait pour plusieurs paires -, couleurs, types de tissu... Après un moment, il obtint un tableau très original dans sa composition, mais peu concret dans l'art

du nettoyage. Il n'avait même pas remarqué que dans son dos, gisait sur un fauteuil une élève qui attendait aussi la fin de sa machine, mais dont le mutisme l'avait otée des sens du jeune homme, toujours perdu dans son tri sélectif. Il continuait a assembler comme des découpages d'enfant ses vètements qui montraient triste mine, a trembler sur le sol.

soupira-t-il tristement.

Il releva la tête face a cet interlocuteur qui devait se révéler féroce, fit jouer sa machoire vers la gauche, et, d'un regard qui se voulait accusateur, le pointa du doigt comme lorsque l'on veut se montrer stoic face a un enfant.

Il s'était pris a parler tout seul, malgré peut-être un public - lui accessoirement doué d'ouie - alentour, face a ce lave-linge qui n'avait rien demandé, et qui devait a présent, sûrement trembler des tuyaux a en faire craquer tout son calcaire.

Invité

Alors qu'elle s'éveillait peu à peu sortant de cet état de léthargie dans lequel elle s'était plongée quelques minutes plus tôt ; des bribes de mots arrivèrent jusqu'à ses oreilles "qu'est ce que t'as ?", "vomiras", "il le faut".. C'est ainsi qu'elle se leva d'une traite catastrophée face à cet individu inconnu, les yeux encore mis clos et dit d'une voix apeurée et quasi inaudible comme encore endormie :

"Comment le savez-vous ? Non, il ne le faut pas.. C'est mauvais."

Puis tout à coup elle ouvrit ses yeux en grand se rendant compte que son cauchemar était bel et bien terminé. Elle se tenait donc face au dos d'un jeune homme à la crinière couleur blé qui semblait préoccuper par son linge ou plutôt par le tambour de la machine à laver. Elle se sentait idiote et tenta de remettre quelques mèches de cheveux en place tout en se frottant les yeux.. Tout à coup, le jeune homme fit volte face et la rapidité de son mouvement déstabilisa notre petite sigma qui vraisemblablement se réveillait d'un long et tumultueux sommeil. Elle resta inerte un moment avant d'ouvrir la bouche pour lancer un vague "Salut !". Puis elle balaya du regard le profil du jeune homme qui lui rappelait vaguement quelqu'un.. Oui, non pas qu'il avait une tête à s'appeler Monsieur tout le monde ! Bien au contraire. Elle prenait soin d'observer chaque courbes de son visage et petits détail qui l'aurait mis sur une piste.. Plongée dans de vieux souvenirs, Amely se concentrait et semblait totalement ignorer ce que le jeune homme lui disait, comme si elle était à présent ailleurs, dans ses songes : là où les minutes et secondes se valent, où les jours et mois se font la course. C'est alors qu'avec un sourire digne d'une pub pour dentifrice elle lança on ne peut plus enjouée, mais toujours sur le ton de l'interrogation :

"Sacha ?"

A ce moment précis on se serait cru à un vieux reality show où les protagonistes annonce un changement de look, sexe, ou encore retrouve d'anciens amis.. Amely regardait le jeune homme à présent avec conviction, quasi persuadée qu'il s'agissait de son ami d'enfance Alex, qu'elle avait rencontré en France grâce à son père. En effet, le grand-père du jeune homme et photographe Serge Hambourg était un grand ami du père d'Amely. Il avait d'ailleurs de nombreuses fois photographié la jeunette ; bref.. Celle-ci sur les bons conseils de cet homme s'inscrivit dans un club hippique normand, beaucoup moins "usine" que ceux de la banlieue parisienne et rencontra ce garçon qui n'était autre que le fils des gérants du club et petit fils de Monsieur Hambourg.

Invité

Sacha s'apprétait a vociférer on ne sait quels propos a sa machine a laver, alors qu'il venait de se cogner le doigt a la porte, lorsqu'une voix se fit entendre dans son dos. Tremblant d'un coup de tout son corps, comme se persuadant de n'avoir rien entendu, ce murmure vaseux au dialecte imcompréhensible glaça Sacha de tout son long. Il ne bougea pas, comme lorsqu'on se thétanise bètement comme dans son lit alors qu'on croit avoir entendu quelque chose. L'appel de son nom lui fit emettre un petit cri intérieur. En frissonant, il se retourna pour se retrouver face a une jeune fille, affalée sur un fauteuil, les yeux mi-clos et le teint blafard, qui bavant sur l'accoudoir - non, ça c'est se qu'Alex se racontait après - le fixait d'un regard interrogateur et interessé.

Ce n'était peut-etre pas - assurément - la meilleur manière de s'introduire face a une inconnue. Mais a ce niveau la, Alex ne se retint pas. Après un instant, il expira un bon coup, et reprenant :

il se retourna vers sa conception vestimentaire et la machine qui devait profiter de son répit

finit-il avec une moue

se demanda-t-il en définitive.

Invité

Le jeune homme n'avait pas l'air de la connaître ou reconnaître, donc Stevens en conclue que cel ne pouvait définitivement pas être Sacha ou Alex comme les français aimaient l'appeler. En effet, ce jeune home finalement était peut être plus froid et distant que son "Alex". Quoi que la première phrase était bien dans le genre de son ami d'enfance. Oui, il déclinait le cynisme à tout les temps pour le bonheur de son entourage, enfin bonheur.. Vous savez c'est subjectif la doxa commune, elle varie selon les gens et leur milieux. Bref, quoi qu'il en soit ; ce jeune homme sema le trouble dans la tête de notre russe qui n'avit pas besoins de ça en ce moment. Oui, elle avait déjà bien assez de soucis avec Jason ou encore Carter qui l'a hantait chaque nuit, son retour dans le coeur de la jeune blonde : un doux rêve enfouit qu'elle caressait secrètement. C'est ainsi qu'elle parut désarmé face à ce fringant jeune homme qui parlait à l'oreilles des machines !? Etrange était certinement le qualificatif l plus aproprié à cette rencontre ; c'est ainsi qu'Amely mi déçue mi fatiguée lui dit :

" Non, rien. Je vous ai confondu avec un autre étudiant ; excusez moi."

Elle allait se retirer, allant vers sa machine à laver à l'opposé du jeune homme mais ajouta tout en se tournant délicatement, amusée.

"Ca vous arrive souvent de parler aux machines à laver en français ?"

Jugeant trop bête de rester sur cette impresion decevante, elle se dit qu'une nouvelle rencontre ne lui ferait pas de mal. Surtout que ce jeune homme avait une ora positive qui la calmait quelque peu, comme son meilleur ami, ce cher Sacha. Et oui.. Elle mit donc son ego queqe peu meurtri par cette erreur de côté et entama la conversation avec une ouverture certe, peu orthodoxe je vous l'accorde. De toute façon, soit on appréciait Amely au premier abord, soit on la détestait ; à cause de sa curiosité maladive, sa malice et ses expressions et manières. Elleavait donc tenter le tout pour le tout avec cette mise en bouche. Elle était consciente que cela aurait pu être pris au premier dergès, telle une attaque pesonnelle cependant son visage rayonnant murmurait le contraire.

Invité

Sacha aurait du reconnaitre cette jeune personne ? Voir en elle une connaissance enfouie au fond de sa mémoire....? Elle était mignogne, même dans sa position, mais Sacha ne remettait son visage sur aucune de ses connaissances. Mais elle avait prononcé son nom.... En même temps elle l'avait prononcé a l'anglaise, comme la plupart des gens ici... Aurait-elle pu vraiment le prendre pour quelqu'un d'autre ? Etrange coincidence. Elle s'excusa, revenant sur sa déclaration directe, comme si elle s'était trop avancée.

finit-il.

Elle se leva d'un bond, ert Sacha crut qu'elle se retirait, mais finalement elle se pencha sur une machine a laver, se retrouvant face a lui, qui était toujours au-dessus de sa création fringante. Il allait se remettre a "trier" quand cette jeune inconnue l'apostropha a nouveau. Sacha releva la tête d'un coup :

assura-t-il d'une voix ironique. Il ne percuta pas tout de suite qu'elle avait souligné la nature de son language.

Il se sentit porté par un certain élan, de peut être pouvoir parler un peu sa langue maternelle avec quelqu'un, qu'elle le prenne pour un fou ou non. La langue vernaculaire était plaisante a parler il trouvait, mais après un moment ici, il restait heureux de pouvoir parler français, surtout avec un étranger, appréciant ce genre d'échange. Bien que si ça se trouve, elle ne connassait que "oui", "bonjouuuur" et "Voulez-vous couchez avec moi, ce soir ?" ** comme avançaient beaucoup d'étrangers. Il laissa tomber ses chaussettes a terre, se levant pour lui faire face.

[** Petit clin d'oeil ! ^^]

Invité

Ce jeune homme avait un sens de l'humour à toute épreuve et semblait étonné qu'Amely tilte qu'il leur parlait dans la langue de Molière. Il faut dire que les machines à laver sont des êtres capricieus alors il faut leur déservir de la prose avec verve & passion.. Houlà, Amely ressassait un peu trop ses souvenirs frenchy, sur les bancs de l'école. Vous me direz ce n'est pas rien ; Amely était tout de même dans l'un des meilleurs collèges français : Henri IV. Pour une soit disant américaine sans cervelle x3.. Oui, bizzarement les téléfilms américains véhiculent une drôle d'image de cet Etat et stigmatise l'image bof de la reine "liberté". Passons, Stevens était loin d'être chauvine, au contraire elle louait et ventait à tout va les beautées de la France ; cependant, elle avait souffert de l'image qu'on avait d'elle à cause de ces conneries de fast food & Cie.. Pourtant anorexique elle avait eu le roit au doux surnom de Mademoiselle Big Mac dans un de ses cours de danse, soit disant parce que sa rondade était tout sauf "ronde". Bref, je divague. Revenons à nos moutons, Amely était donc accouder à la machine en face de cet inconnu et ria sous ses propos cohérent mais dénué de transitions.. C'est alors qu'elle dit en français :

" Oui, j'ai eut le plaisir de vivre la plupart de mon enfance en France, dans cette majestueuse citée parisienne. Tout d'abord à la Bastille pui vers saint Louis."

Alors qu'Amely s'employait avec ardeur et joie à ressasser de vieux souvenirs parisien, chers à son coeur elle remarqua qu'elle vait une fois de plus manquée de tacte, politesse, courtoisie, bref tout ce que vous voulez car elle ne s'était pas introduite.

"Pardon, avec tout ça je ne me suis pas présentée et je ne connais toujours pas votre identitée, si ce n'est qque vous vous appelez Alex."

Dit elle tout n mimant un large sourire.

" Je m'appelle Amely. Ou Mely, Amy ou Aly comme aime me surnommer les intimes.. Amely Stevens !"

Ajouta-t-elle d'un ton las. Oui son nom de famille était lourd à porter à cause de la valeur sentimental.. Porter le nom de son père la répugnait presque autant que d'avoir vu Loana et J. Edouard dans une piscine en 2000 x3.

Invité

[Mely, édites, appelles moi plutot Sacha quand tu te reveilles. C'est plus logique si tu sais bien parler français. Merci.]

Sacha restait stupéfait. Peut-être une française ? Alors son accent se révélait admirable... Elle resta un instant en silence avant de reprendre d'un ton clair et net qu'elle avait vécu a Paris dans son enfance ! Et elle ne devait pas mentir en affirmant avoir vécut a Bastille puis a Saint Louis !

Mais le plus surprenant pour le jeune homme fut qu'elle répondit dans son propre dialecte. Sans prendre l'expression béhat d'un mauvais cartoon, il affichait une surprise sans égale. Alors elle reprit, manquant a ses devoirs.

Elle s'appellait Amely donc. Amely Stevens. Sacha aquiesça alors qu'elle rappelait son nom. Elle connaissait son nom ou bien, l'étrange coincidence avait fait qu'elle le prenne pour un autre Sacha ? Mais les Sacha ne devaient pas courir les rues a San Fransisco ! Comment pouvait-elle savoir ? Se reprenant, le jeune homme répondit :

Il s'emmelait finalement lui-même les pinceaux, devant cette surprise. Son visage ne lui disait rien. Ce sourire naturel ert fin, ses petits yeux pétillants boudés par le sommeil, ce nez coquin, ces cheveux - légèrement déplorable pour une fille normalement constituée - en bataille séduisante.

Il se passa une main dans les cheveux - eux aussi en pleine lutte - reprenant sa moue enfantine, s'amusant presque de la situation.

Invité

Amely tiqua en entendant le nom du jeune homme, ce blondinet était bien son "Sacha". Comment avait-il pu ne pas la reconnaître, ou même oublier son nom.. Stevens, ce n'est pourtant pas très courrant en France. Amely afficha une moue légèrement déçue, jamais elle n'aurait pu oublier le nom de son meilleur ami d'enfance. Bon je vous l'accorde, il avait environ 13 ans quand Amely a regagné sa mère patrie il y a de cela cinq/six ans ; mais tout de même. Une onde d'incompréhension planait à présent au dessus de l'américaine qui le coeur en larme se refusait à répondre au jeune français. Cependant très vite cette moue boudeuse fit place à un sourire ému. Elle ne pouvait en effet, pas lui en vouloir ; de plus elle savait qu'il était quelque peu tête en l'air. Quoi que le jeune homme qui se tenait à présent devant elle semblait être à l'opposé du Sacha qu'elle connaissait autrefois, tout autant rieur mais plus timoré. Mais ces traits de visages, eux, le trahissait. C'était le portrait de sa mère à quelque exception près.. Ah & Marie ; que devenait-elle ? Elle devait sans doute toujours donner des cours d'équitation et gérer le centre équestre. Et ce cher Serge ou surnommé "papy ray ban" par eux à cause d'une photo à une de ses expositions.. Une avalanche de souvenirs envahie la jeune blonde qui versa quelques larmes sous le coup de l'émotion. Elle restait là, face à ce jeune homme, cet ami sans dire un mot ; le laissant dans le désarroie le plus total.

Tout à coup, sans vraiment comprendre pourquoi, après l'avoir fixer pendant deux à trois bonnes minutes Amely lui sauta presque au coup en l'étreignant doucement. C'est alors qu'elle lui murmura à l'oreille, d'une voix quasi inaudible tellement l'émotion était forte :

"Tu m'as manqué ma Blonde .."

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Because one time ago for each of us when it is necessary to wash our socks. [PV]

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