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Sue a beggar, and catch a louse ❥ GAULTHIER&ANDREA

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MessageSujet: Sue a beggar, and catch a louse ❥ GAULTHIER&ANDREA Sue a beggar, and catch a louse ❥ GAULTHIER&ANDREA EmptyLun 9 Avr - 19:56

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•• Revenge is a dish best savoured cold.
Once bitten, twice shy...

Centre Tanner, 22h30.
On pourrait s’attendre à ce qu’il n’y ait pas âme qui vive dans les environs, surtout à une heure pareille, tout en sachant que ce complexe fait tout de même partie de Berkeley. Mais c’est précisément ici que Juno avait décidé d’établir une sorte de « quartier général » en vue de la petite affaire dont le premier round aurait lieu ce soir. Tout le monde le sait, la rancune n’a jamais été le fort de la brunette. Elle était plutôt du genre à passer outre la connerie des gens en partant du principe que l’être humain est faible, incapable de la moindre intelligence qui égale celle dont elle était justement dotée…Mais là, c’était différent. Quatre ans. Quatre ans qu’elle mûrissait une vengeance devenue aussi glaciale qu’un après-midi près d’un des deux pôles. Et, tout à fait accessoirement, deux heures qu’elle piratait joyeusement les téléphones cellulaires de ses deux victimes : Gaulthier et Andrea. Ces deux là allaient bientôt regretter d’être nés, ou à tout le moins, de l’avoir traitée comme un vulgaire objet que l’on utilise selon son bon vouloir pour mieux le jeter par la suite sans aucune vergogne. La première partie de son plan les concernaient évidemment tous les deux. Elle avait attendu d’être certaine de gâcher leurs plans de soirée respectifs avant d’envoyer un texto tout à fait alarmant sur les deux appareils. Il fallait qu’ils se pointent de toute urgence au centre Tanner, sans perdre de temps. Et pour que cela n’en paraisse que plus crédible, elle avait masqué son numéro et fait en sorte que celui d’un professeur de Berkeley s’affiche au final. Juste au cas où il leur prendrait l’envie de vérifier, bien qu’elle en doute fortement…Il ne fallait pas lui en vouloir, Juno gardait des séquelles monumentales de l’affaire qui les occupaient, tout comme de ses petites activités de hackage. Il faut dire qu’elle était définitivement passée maîtresse dans l’art tout à fait délicat de manipuler autrui…Par le biais de la nouvelle technologie. Elle n’eut donc pas à attendre cent ans avant que ces deux acolytes, cousins de surcroît, ne se pointent effectivement en pleine bibliothèque du centre culturel, où Juno était assise nonchalamment sur un sofa particulièrement confortable. Malgré leur entrée, elle ne leur avait pas adressé un regard, et conservait toute son attention vers son PDA, mini ordinateur qu’elle trimballait partout et lui avait servi pour pirater leurs deux téléphones. Vous l’aurez deviné, cette première étape n’était qu’un tout petit avant goût de ce qu’elle leur préparait.

« Vingt minutes…Un record ! Tout à fait en adéquation avec mes prévisions, d’ailleurs. Je vous tire mon chapeau. » Une jambe sur l’autre, vêtue d’une robe particulièrement moulante et suffisamment provocatrice pour que la boucle soit bouclée, l’ardente brunette affichait un sourire narquois et parfaitement assuré. Rien n’aurait pu la faire flancher ce soir. Quand bien même auraient-ils eu envie de lui faire ravaler cette marque de supériorité, ils allaient rapidement comprendre leur douleur. « Vous avez sûrement deviné…J’ai agis de main de maître pour vous gâcher votre chââârmante soirée auprès de ces…Blondinettes ? Oui je crois qu’elles étaient blondes d’après la caméra du club où vous étiez. En tout cas, ç’a marché : Vous êtes là et elles ont sûrement trouvé…Bien meilleure compagnie que vous ! » Juno avait finalement levé les yeux vers les deux jeunes hommes, tandis que son sourire s’agrandissait de seconde en seconde. Ce n’est finalement qu’au bout de trois minutes d’une œillade tout à fait provocante qu’elle finit par se lever, rangeant soigneusement son ordinateur portable sans son sac en bandoulière, non sans garder son PDA précieusement à la main. Elle s’approcha ensuite de ses deux victimes, toujours aussi sexys malgré quatre ans de silence. « Voilà le topo : Vous êtes persuadés que tout Berkeley vous mange dans la main, que vous êtes l’élite de l’élite et que personne n’oserait vous porter tort…C’est là que j’entre en scène : Je vais justement vous prouvez que je peux entièrement vous ruiner. Votre réputation, votre précieux compte en banque si bien garni…D’ailleurs Gaulthier, quelle réserve, ton premier compte rémunéré est tout à fait impressionnant ! Vous m’avez traitée comme une moins que rien et je n’arrive décidément pas à digérer le bidule. Seulement voilà…Techniquement parlant, d’apparence, je ne peux pas grand-chose contre vous. A ceci près que si j’ai pu pirater vos téléphones et gâcher votre soirée… » Juno s’était exprès avancée jusqu’à eux, pour n’être plus qu’à quelques millimètres et adopter son habituel œil de biche, comme si le but final étaient de les avoir dans sa poche. Plutôt crever ! Elle avait déjà donné ! Elle reprit donc, d’une voix féline mais non moins dangereuse : « Je vous laisse imaginer ce que je peux faire avec un pc et rien que vos comptes en banque… » Sans parler du reste. Juno s’attaquerait à tout ce qui les caractérisait, surtout si elle découvrait qu’ils étaient en couple. Elle se ferait une joie de les détruire sournoisement juste pour le plaisir. Quatre ans qu’elle tâchait d’oublier et que leurs conneries restaient en travers de sa gorge ! « Bonne soirée les gars ! » En théorie, impossible de détester Juno, sa bonne humeur, son enthousiasme et sa folie tout à fait charmante. Mais en l’occurrence, ils n’allaient pas nécessairement aimer le tout, bien qu’elle soit encore plus sexy que quatre ans plus tôt. Fière de sa petite entrée en matière, la brunette les contourna, tout en se dirigeant dangereusement vers la porte, partant du principe que désormais, elle allait passer une nuit de sommeil…Paradisiaque.


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MessageSujet: Re: Sue a beggar, and catch a louse ❥ GAULTHIER&ANDREA Sue a beggar, and catch a louse ❥ GAULTHIER&ANDREA EmptyMar 10 Avr - 15:57





Début de soirée très tranquille pour les deux cousins Européen, une visite surprise de la part de Gauthier dans l’appartement de San Francisco du jeune Italien, une visite de courtoisie histoire de se raconter les derniers ragots. Dans la vie d’Andrea tout va bien enfin presque bien, un mariage non voulut, une femme mise enceinte lors d’une soirée arrosé, la ferme envie de garder le gamin et surtout le plus important dans tout ça … Un couple formé avec Aislynn, autant dire beaucoup de nouveauté pour le jeune adulte de 20 ans. Beaucoup de responsabilités qu’il ne va très certainement pas réussir à concilier. Comment expliquer à Aislynn qu’il a mit enceinte une fille qu’il n’aime pas mais qu’il ne veut pas, ou plutôt qu’il ne peut pas lui demander d’avorter à cause de sa religion. En gros Andrea avait tout pour être heureux mais dans le bon ordre et surtout pas avec la même personne. Un homme devient comblé quand il se marie et qu’il a un enfant, si en plus de ça il est amoureux der la mère c’est le mieux non ? Donc Andrea devait être heureux non ? Et bien il l’été mais avait peur de perdre celle pour qui son cœur commençait à battre, cette blonde qui avait déjà accepté le fait qu’il soit marié. Mais le fait qu’il soit bientôt papa qu’en penserait-elle ?
Pendant une heure il se confia à son cousin, qui pour une fois ne fut qu’une oreille et non une bouche histoire de chambrer, il le remerciait de l’avoir écouté et bien sur n’attendait pas de conseil mais plutôt un avis. Maintenant tout été fait, bien sur le mariage allait bientôt se finir par un divorce mais l’enfant il le garderait à vie, pas la peine d’en discuter c’été comme ça.

21 heures 30

Alors qu’il ne voulait pas sortir voilà le jeune Andrea dans un bar branché de la ville, bien sur hors de question de boire un coup sans qu’il y ait quelqu’un de fiable pour le surveiller. Son cousin français étant plutôt quelqu’un qui l’aiderait à faire des conneries plutôt que quelqu’un qui l’empêcherait d’en faire. Une soirée cool, une blonde au bras de son cousin et une blonde essayant en vain de draguer Andrea le cœur pris. Un mec bien quand on oublie ce qu’il fait sous alcool, un mec fidèle qui respecte les femmes. Un mec comme beaucoup aimerait avoir dans le lit, dans la vie. Aucunes ombres au tableau, Andrea en chouette type n’a que très peu d’ennemis, comment lui en vouloir lui qui est si conciliant. Si respectueux, si propre sur lui-même sans pour autant avoir quelque chose à se reprocher.
La sonnerie à sa montre annonce qu’il est 22 heures, l’heure ou les deux portables des jeunes gens se mettent à sonner. Un numéro caché, comment on fait pour envoyé un message sans que son numéro s’affiche ? Franchement rien que ça étonne les deux jeunes gens mais qu’importe le message en lui-même l’est encore plus. Un message venant d’un professeur, à cette heure-ci. Un message leur demandant de venir immédiatement dans le centre culturel de l’université pour régler un problème d’importance vital. Autant dire que pour le moment ni Gauthier ni Andrea ne croient à cette explication mais la curiosité et surtout l’envie de voir qui essayait de les avoir.

23h00

Les deux voitures de luxes des jeunes riches arrivent à une vitesse presque indécente dans l’enceinte de Berkeley, une petite course durant tous les trajets et pas un seul policier sur la route dieu que Drea aime se pays si libre et tranquille.
Direction a pas tranquille vers le Tanner Center, centre ou Andrea se limite en temps tellement il y passerait des heures si il n’avait pas de vie. Qui pouvait bien vouloir leur présence ici ? Ils n’étaient pas tellement rassurés avouons le, mais Andrea avait envie d’en découdre, lui aimait se battre et si un mec voulait se venger il serait très content de lui en coller une. Quelques cicatrices sur le visage laissaient même des souvenirs de sa dernière bagarre, une bagarre avec Dominic. L’histoire ? Je suis sur que vous voulez la connaitre même si Watch Out l’a déjà reprise dans ses colonnes. En gros pour faire court, une simple baston pour des filles, bagarre qui c’est terminé à l’hôpital et ce pour deux jours…
Voilà donc nos deux jeunes dans l’enceinte du centre culture, attiré par la lumière ils se dirigèrent vers la bibliothèque tombant nez à nez avec une jeune femme très bien habillé. Il cru la reconnaitre mais c’est seulement au moment ou elle prit la parole qu’il en fut sur. Ils avaient en face d’eux Juno, la jeune femme avec qui ils avaient joué quand ils étaient plus jeunes. Il avait couché avec elle alors qu’il avait 16 ans et qu’elle en avait 19. Son cousin avait fait la même chose. Un beau jour alors qu’ils étaient réunit tous les deux elle arriva annonçant qu’elle était enceinte d’un des deux et qu’il fallait assumer, bien sur ils prirent la fuite lui faisant les pires crasses pour qu’elle les laisse tranquille.
    Qu’es tu veux Juno ? Une pension pour pouvoir te payer des fringues ?

Andrea légèrement agressif ? Bien sur qu’il l’était la jeune femme avait l’intention de les faire chanter, la jeune femme les avaient fait venir ici rien que pour les faire chier et à entendre la phrase suivante elle ne venait que de commencer. Un frisson ? Non pour le moment Andrea ne la prenait nullement au sérieux.

    Pirater nos portables, te donne pas plus d’importance que tu n’en as. T’as réussit à envoyé deux messages masqués et notre curiosité à fait le reste. Sa s’arrête là, pour les blondes t’avais une chance sur trois, blonde brune ou rousse. Ouah tu m’étonnes, bien plus efficace au lit que dans la vie.

Puis elle s’approcha d’eux, bon ok elle était toujours aussi charmante, toujours aussi bien faite et si Andrea avait été libre et elle consentante il y aurait eut beaucoup de chance qu’ils remettent le couvert. Mais là non elle avait l’intention de se venger, c’été une connerie qu’il ne se souvenait pas tellement. Lui qui disait à qui veut bien l’entendre que les seules conneries qu’il avait faite étaient sous l’emprise de l’alcool. Elle était là pour lui rafraichir la mémoire…
Avait-il des doutes sur ce qu’elle pouvait faire ? Pour le moment aucuns, ses comptes étaient bien solides, il avait une bonne assurance si un jour il y avait un problème il ne serait jamais sur la paille. Ce qui l’inquiétait un peu plus c’est le fait qu’elle puisse leur gâcher la vie, ça il était certains qu’elle en était capable.

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MessageSujet: Re: Sue a beggar, and catch a louse ❥ GAULTHIER&ANDREA Sue a beggar, and catch a louse ❥ GAULTHIER&ANDREA EmptyDim 15 Avr - 4:19

En un instant je me retrouvais face à Andréa, mon cousin qui avait apparemment des tas de choses à me raconter sur sa vie récente. Personnellement en dehors du fait que j'avais retrouvé la seule fille que j'avais probablement aimé dans ma vie, sans jamais me l'avouer, j'étais plutôt linéaire dans ma vie. Same old Gaulthier, toujours prêt à faire chier quiconque croisait mon chemin et surtout armé d'une hypocrisie à toute épreuve, je ne mettait en général pas beaucoup de temps à trouver un divertissement qui me tiendrait en haleine au moins le temps d'une soirée. Oui autumn hantait mes pensées et donc le seul remède que j'avais trouvé à cette petite voix dans ma tête qui me disait de lui déclarer mon amour, était de coucher avec des filles toutes plus différentes les unes que les autres. Parfois je me retrouvais dans le lit d'une strip teaseuse de luxe rencontrée dans un bar des beaux quartiers, et certaines fois, j'arborais un déguisement de voyou histoire d'aller me balader dans les bars sordides de la ville et de me trouver une fille un peu garçon manquée, barmaid et au caractère bien trempé, qui me ferait sans doute voyager au paradis avec une langue experte à force de discutailler à droite et à gauche sur les mystères de la vie avec des clients trop bourrés pour s’apercevoir qu'elle ne voulait que les inciter à boire et non les prendre sur le bar.
J'étais exaspéré par ces visages que je voyais rire aux éclats pour des bêtises dans l'espoir de finir la soirée autrement que tout seul, oui parfois il fallait avoir un peu de dignité dans la vie bon sang et ne pas agir comme des bêtes de foire assoiffée de sexe. D'ailleurs le sexe était pour moi un moyen d'obtenir ce que je voulais et non de me faire plaisir parce que le plaisir incite à l'amour et l'amour incite au drame, à la déception et aux pleurs, toutes ces choses que je répugnais et que j'espérais simplement ne jamais vivre. J'avais fait part malgré tout à Andréa de mon trouble, oui j'avais couché avec la iota mais maintenant je ne savais plus quoi penser, j'avais été un parfait salaud avec elle à l'époque où nous vivions en France et désormais elle venait chambouler ma vie d'une manière telle que je pouvais à peine prononcer son prénom dans ma tête sans défaillir.

Une simple sonnerie de mon téléphone vint me sortir de mes tribulations tandis que Andréa abandonnait l'idée de se faire des jumelles ce soir, nous avions reçu le même texto au même moment... bizarre cette histoire, comme si un professeur avait de l'intérêt pour ses élèves au point de les faire venir à pas d'heure pour les informer de quelque chose. Malgré tout, notre curiosité nous poussa à aller voir ce qui se passait, oui il fallait que nous remercions l'auteur de cette stupide blague comme il se doit, après tout je n'étais pas prêt de m'amuser ce soir avec qui que ce soit, autant que je pourrisse la vie d'une pauvre personne sans défense. Si ça avait été n'importe quel autre jour, j'aurais certainement trouvé une fille pour assouvir mes envies et avec Andréa nous aurions pu ensuite nous retrouver le lendemain pour en discuter pendant des heures devant un bon film ou la chaîne de sport, mais bon... tout cela me paraissait si insipide à côté d'une belle humiliation publique, c'est pourquoi sans attendre et d'un signe de tête commun, les deux Epsilons que nous étions avions pris le volant de nos voitures de luxe pour nous retrouver pile à l'endroit convenu en quelques minutes. Nous avions agrémenté cette petite promenade de santé d'une course que bien entendu aucun d'entre nous ne voulait admettre avoir perdu, ah la fierté masculine avait bel et bien frappé encore une fois, qu'on l'appréciait ou non d'ailleurs. Evidemment, quelle ne fut pas ma surprise à notre entrée lorsque je reconnu Juno, cette fille qui avait été pendant un bout de temps celle qui m'avait donné des sueurs froides avec son histoire de bébé, même si au final nous ne saurions probablement jamais lequel de nous deux avait engendré ce gosse. Andréa et moi avions eu la bonne idée de coucher avec elle à la même soirée et voila où nous en étions arrivé, à se demander si la capote n'avait pas craqué et si nous n'étions pas responsable d'un pauvre gosse donc la mère ne savait même pas se gérer elle-même. Quelle genre de vie aurait-il pu avoir ? De toute façon nous n'avions pas laissé ça se produire et en un instant les choses avaient été étouffées, bien que ce ne fut pas fait de la manière la plus décente qui soit.

Je pensais que notre message avait été clair à l'époque, tu sais de quoi nous sommes capables nous aussi, si il te prend l'envie d'avoir un petit rendez vous musclé avec un des mec qui nous a débarrassé de ton machin dans le ventre, il te suffisait de le dire directement, inutile d'avoir recours à ce style de subterfuge ridicule.

Je la regardais d'un air dédaigneux avant de jeter un oeil à Andréa, il était tout comme moi conscient qu'elle pouvait ruiner notre vie en un claquement de doigt mais fort heureusement, sans preuve de notre paternité et sans bébé viable, elle ne pouvait tout simplement rien prouver, ce qui était d'ailleurs une chance pour nous qui pouvions la traiter comme nous le voulions sans craindre les moindres représailles. Malgré tout elle semblait s'entêter à vouloir se venger, était-elle sérieuse ? J'espérais que non car si elle se piquait le doigt à la pointe de notre méchanceté, elle ne s'en réveillerait certainement pas, même après le baiser d'un quelconque prince charmant, non nous n'étions pas dans une fiction ici, c'était la vraie vie et elle devait s'en rendre compte au plus vite avant de commettre l'irréparable. Tu sais quoi ? Je te conseille d'utiliser tes jouets pour aller hacker le compte facebook de tes potes ou bien pour cacher une de tes sex tape mais ne joue pas trop avec nous, tu n'a aucune idée de ce à quoi tu te frotte, d'ailleurs déja à l'époque où nous nous sommes connus tu ne savais clairement pas satisfaire un homme, essaie au moins de rattraper le coup maintenant pour ne pas avoir l'air pathétique, en nous laissant tranquille comme on te le demande si gentiment ! Je lui fis un sourire carnassier, laissant une rangée de dents blanches et parfaitement alignées, appuyer mes arguments comme impératifs et sans appels, elle devait nous lâcher les baskets.

Les mains dans les poches j'observais la jeune femme se déhancher et se diriger vers la porte déja nous menaçant de s'en prendre à notre grande fortune, elle pouvait très bien me vider mes compte si ça lui chantait, j'en avais absolument rien à faire car en un instant mon argent serait revenu, oui il n y avait aucun moyen pour que cette petite geek fasse disparaître la moindre trace d'une transaction aussi importante que celle-ci, et de toute façon je n'avais aucune raison d'avoir peur de quoi que ce soit car en général les filles qui marchaient au chantage avaient plus de gueule que de couilles si je puis m'exprimer ainsi. Très malin, bravo tu sais désormais que j'ai assez d'argent pour faire disparaître ton corps, ton identité et même ta famille de la surface de la terre... sans même qu'une seule personne ne se soucie de savoir ce qui t'es arrivé ! tu en penses quoi Dréa ? On ne devrait pas démontrer encore à la demoiselle de quel bois on se chauffe dans la famille ? Je l'interrogeais du regard avec un léger sourire sur les lèvres, game was on.
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MessageSujet: Re: Sue a beggar, and catch a louse ❥ GAULTHIER&ANDREA Sue a beggar, and catch a louse ❥ GAULTHIER&ANDREA EmptyDim 15 Avr - 12:25

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•• Revenge is a dish best savoured cold.
Once bitten, twice shy...

« C’est une blague ? » Juno aurait pu avoir peur, voir ses membres trembloter et être soudainement possédée par l’irrépressible envie de prendre ses jambes à son cou. Mais n’oubliez jamais que la charmante brunette faisant actuellement face à ses deux bourreaux n’avait strictement rien à perdre. Elle n’avait pas seulement une araignée au plafond, elle était profondément fêlée du casque et n’avait cure de ce que pouvaient bien penser ces deux affreux. Bien au contraire. Elle souhaitait plus que tout que la situation ne se retourne et que la peur s’insuffle dans leurs deux petites âmes insensibles. C’était bien cela, rendre la monnaie de la pièce. Il ne fallait pas inverser les rôles : La victime, c’était elle jusqu’à preuve du contraire. Bientôt…La donne ne serait plus aussi évidente. « Vous pensez vraiment m’impressionner et me faire peur avec vos airs de gros bras des bacs à sable ?! Va falloir que vous augmentiez d’un cran, vous ne faites même pas peur à une mouche là ! Pathétique… » Et dire que Juno s’était promis de ne jamais être cruelle ou d’utiliser son talent de hacker pour se venger de la manière la plus éhontée qui soit…La encore, la donne avait changé. Durant quatre ans, la brunette avait pour ainsi dire fomenté un plan parfait, réglé dans ses moindres détails tout en lui laissant une certaine marge de manœuvre en prenant en compte les ‘réalités du terrain’. Il n’était pas question que ces deux Epsilon ne s’en sortent aussi facilement, avec ce maudit sourire aux lèvres qu’elle leur aurait volontiers ôté en taillant largement dans le vif. Mais au lieu d’être craintive, sur la défensive et de sortir immédiatement ses cartes pour prouver que son plan était particulièrement bien ficelé, Juno faisait durer le plaisir, sournoisement. Elle manquait de pratique contrairement à sa sœur adoptive, certes, mais elle avait été à bonne école. Ainsi, la brunette ne lâchait pas ses deux cibles du regard, le soutenant avec ardeur et amusement, comme si rien de tout ceci ne l’atteignait. Pourtant, elle se souvenait de l’épreuve que cet avortement avait été. Elle n’avait rien oublié, et la rancœur qu’elle en tirait n’était guère belle à observer. La preuve, pour que la pétillante Juno Valentyne-Hale ne vienne à se venger de manière aussi poussée, il fallait qu’elle ait des preuves à l’appui. Un tas. « Pour info Andrea, j’en ai rien à cirer de votre fric. Tu pourrais essayer de t’étrangler avec pour voir, je suis sûre que ça ferait un show d’enfer ! La preuve que tu ne me connais pas du tout et que tu ne sais pas de quoi je suis capable, sinon tu ne sortirais pas une pauvre attaque aussi facile. Là, franchement, c’est toi que tu ridiculises. » Juno n’avait pas encore commenté les dires de Gaulthier, mais cela viendrait. Pour le deuxième cousin, la brunette avait également besoin d’une petite démonstration pratique de ses talents ; et n’allez pas croire qu’elle ait la moindre attirance physique pour ces deux beaux enfoirés…Plutôt se percer les yeux avec un cure-dent.

Puisque c’était si gentiment demandé, Juno esquissa quelques pas en arrière afin de se rendre au premier ordinateur de cette salle, qui n’était qu’à quelques centimètres de ses doigts d’experte. Un jeu d’enfant pour le hacker le plus recherché au monde…Mais ça, ils n’étaient évidemment pas censés le savoir. Dans le cas contraire, Juno aurait déjà vu perlé de larges gouttes de sueur sur leurs fronts respectifs. La frayeur naîtrait bientôt dans leurs yeux, elle n’était pas du tout inquiète là-dessus. La preuve, à peine eut-elle tapoté le clavier durant quelques secondes que déjà, on pouvait voir apparaître sur l’écran la scène qui venait juste d’avoir lieu, avec le son et une image d’une très haute qualité. Juno n’avait pas eu besoin de placer micros et caméras, puisque pour son plus grand plaisir, ils étaient déjà en place. Mais c’était la première démonstration évidente de son talent : Aucun autre élève de Berkeley n’aurait pu pénétrer dans la base de données de l’université pour dénicher ces informations. Personne…Hormis Juno évidemment. « Je ne pirate pas les comptes Facebook, c’est trop facile et ça ne rend pas du tout service à mes talents. Tu vois Gaulthier, ton problème, c’est que tu parles avant de savoir. Pour parler, tu es très doué…Pour le reste, tu es minable, comme ton abruti de cousin d’ailleurs. Vous pensez sincèrement que j’aurais mis quatre ans avant de vous manipuler jusqu’ici si je n’avais pas de solides arguments et autres preuves ? Vous insultez mon intelligence ! Si je l’avais voulu, vous seriez déjà en plein procès. Mais cela n’aurait pas été drôle…Pour info Andrea, je ne veux pas de votre fric. Je veux juste vous voir payer autrement. » Haussement d’épaules suivi d’une large ébauche de sourire proprement narquois. Juno n’avait pas énoncé quelles preuves elle avait sous le coude exactement, mais ce n’était qu’une question de temps. Après tout, s’ils étaient persuadés qu’elle ne pouvait pas les inculper car elle n’avait pas l’ADN du vrai père de l’enfant, ils se mettaient le doigt dans l’œil jusqu’aux deux orteils. Juno avait pour ainsi dire tout prévu, bien que ce soit malheureux à énoncer. Et leur grand bal ne faisait que commencer.

« Vous pouvez me menacer, me réduire en charpie, vouloir ma mort, vous savez quoi ? J’en ai rien à secouer. Vous devriez le savoir, que rien ne m’atteins. Je ne suis pas à votre point d’insensibilité, et je ne serais jamais comme vous heureusement, mais par contre, vous allez en chier, vous ne savez pas à quel point vous allez en chier ! » Et cette fois, elle éclata de rire avant de se rapprocher, sans peur dans son regard. Effectivement, ils pouvaient toujours essayer de la réduire en bouillie…Comme si elle n’avait pas prévu le coup ni donné lesdites preuves à quelqu’un de confiance ! « Gaulthier, j’adore ta naïveté, franchement, ce serait presque charmant si ce n’était pas insupportable. Clairement, tu as assez d’argent pour enterrer mon corps et faire en sorte que j’ai disparu par accident, c’est vrai. Mais je peux m’arranger pour faire disparaître ton précieux pécule sans aucune trace avant même que tu n’aies eu le temps de lever le petit doigt. Tu pensais vraiment que j’allais me pointer comme une fleur ici sans garanties ? Mon pauvre…A l’heure qu’il est, tu es déjà ruiné. J’ai juste prélevé la somme exacte qui correspond à l’avortement, parce qu’il ne faut pas déconner, mais j’ai fais en sorte que vous soyez…Sans rien. Je peux inverser mon processus, évidemment. Mais pour ça, encore faudrait-il que je sois encore en vie demain et décidée à le faire. » Juno avait évidemment désactivé temporairement les micros de la salle afin d’éviter d’être inculpée pour hackage. Elle n’était pas idiote à ce point…Mais il ne lui faudrait pas grand-chose pour les réactiver, cela va de soi. « Une dernière chose : Personnellement, je n’ai rien à perdre. Mais vous…Je ne suis pas sûre que vos précieuses Iota seraient encore intéressées par vous si je rendais publique cette petite affaire. Et oui…Quand on joue, il faut toujours s’attendre à perdre. Alors, où est votre précieux argent tellement pratique pour vous faire sentir comme les maîtres du monde ? » Juno s’était renseignée, profondément, afin de ne laisser aucun détail au hasard. Bien que cela lui écorche la bouche d’avouer ladite affaire à Berkeley dans son intégralité, c’était un prix qu’elle était prête à payer pour avoir le sentiment d’avoir rétablit l’ordre des choses. Ils ne pouvaient pas s’en sortir aussi facilement, et s’ils avaient la naïveté de croire qu’elle n’était qu’un tout petit hacker sans talent…Là encore, ils se mettaient le doigt dans l’œil jusqu’aux pieds. Il ne faut jamais mettre en rogne quelqu’un capable de ruiner ou même d’effacer votre vie à l’aide d’un seul clic. Voilà pourquoi son sourire n’avait jamais disparut de ses lèvres. « Vous pouvez camper sur votre position et votre connerie ou essayez de marchander. Et inutile de mettre en avant votre fric, je n’en n’ai rien à foutre et je pourrais vous le prendre d’un simple claquement de doigt. A vous de voir si vous voulez risquer de tout perdre…Ou faire preuve du petit peu d’intelligence qu’il vous reste dans vos malheureux cerveaux noyés par la connerie ! » Juno était cruelle, manipulatrice, sans pitié. Mais elle le faisait avec classe, et personne n’aurait pu dire qu’elle n’était pas follement attirante en cet instant…A part peut-être les deux affreux en face d’elle.
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MessageSujet: Re: Sue a beggar, and catch a louse ❥ GAULTHIER&ANDREA Sue a beggar, and catch a louse ❥ GAULTHIER&ANDREA EmptyLun 16 Avr - 14:51





La peur n’était pas franchement un mot qu’Andrea avait l’habitude de dire ou même de ressentir, non loin de moi l’idée de dire qu’il était un surhomme ou un homme beaucoup trop sur de lui. Mais là il n’arrivait pas a comprendre ni même a mettre des mots et des arguments sur ce qu’elle avançait. Bien sur elle était tombée enceinte, d’un des deux garçons. Dans l’histoire l’un ou l’autre pouvait s’en sortir les pates propres, tout arrêter et dire « le père c’est lui, ce n’est pas moi donc je me casse ». C’était pas du tout ce qui se passerait, les deux cousins avaient été élevé ensemble, avaient vécu la plupart de leur vie ensemble, ce n’était pas pour tout casser aujourd’hui. Donc voilà elle était seule avec autant de pouvoir qu’elle voulait, mais seule face à deux mecs qui n’avaient jamais rien eut a perdre de leur vie. Ensuite le bébé n’existait plus et était un lointain souvenir, alors venir les faire chier avec ça n’était surement pas la meilleure des choses. Elle n’avait qu’une chose en main, c’était pouvoir se venger, vider leurs comptes, hacker leur téléphone, leur msn, leur facebook, les jeux pour enfant quoi.
Leur faire de l’ombre, salir leur image ? Elle allait droit dans le fossé, en s’attaquant frontalement à eux, elle pouvait manipuler autant de fois qu’elle le voulait les caméras, leur faire dire ce qu’elle veut, mais a tout moment ils pourraient jouer les victimes. Elle leur vide leurs comptes qui se rempliront automatiquement soit par l’assurance de la banque soit par le compte de papa et maman. Donc le surdoué ne voyait vraiment pas ou elle voulait en venir, la seule chose qu’il comprenait c’est qu’elle voulait les affronter. Il n’en fallait pas franchement plus pour qu’une nouvelle fois le cerveau du surdoué se mette sur off et que ses nerfs prennent le dessus. D’habitude si sympathique, d’habitude si poli que se soit avec les demoiselles ou avec les messieurs, elle allait tomber sur quelqu’un de plutôt ironique, froid et agressif…

    Qui veut impressionner qui là ? Je pense qu’on ne vit pas dans le même monde nous et toi. Tu fais mumuse avec ton ordinateur pendant que d’autres ont une vie, c’est peut être ça qui te dérange ? Si c’est ça chérie vient avec nous on va te montrer comment on s’amuse, sa avait pas du tout l’air de te déplaire il y a 4 ans.

Son talent de hackeur, il avait vraiment envie de rire en l’entendant parler. Il se pensait intouchable, que voulait elle faire. Lui voler son argent, quoi qu’elle en dise, même si elle ne laisse pas de trace, le système informatique de sa banque trouvera une anomalie. Il ira se plaindre et hop l’argent réapparaitra comme par magie, peut être pas le sien mais qu’importe l’argent n’a ni patron, ni odeur. Après lui pourrir sa vie, lui faire une mauvaise réputation à Berkeley il s’en moquait pas mal. Qu’avait il a perdre ici ? Son cousin ? Surement pas puisqu’il était dans la même galère que lui, sa sœur ? Aucun risque il pouvait avoir fait les plus grosses conneries du monde elle ne pourrait pas lui en vouloir plus de cinq minutes. Pour ce qui est des amis, des connaissances et des potentiels filles qu’il peut mettre dans son lit, cela fait neuf mois qu’il est ici, donc rien a perdre.

    Si sa t’excite de dire que je me ridiculise pourquoi pas mais pour le moment on assiste au show Juno. Garde tes vêtement on connait déjà le reste. Tu sais quoi ? A cette heure ci normalement on est en bonne compagnie alors pourquoi pas parlé simple, avec des mots que tout le monde comprend. Si tu ne veux pas de fric tu veux quoi ? Me dit pas que tu veux de l’estime ou quelque chose comme ça…

Peu de patience, voilà ce qui caractérisait Andrea. Il avait vraiment l’impression de perdre du temps, et que ceux qui disent être en charmante compagnie n’est pas une perte de temps qu’il le remplace. Juno il avait déjà donné, il n’aimait pas s’amuser deux fois avec le même jouet. Il avait couillé à l’époque c’est vrai et si elle était venu le voir d’une manière plus correcte il lui aurait avoué. Contrairement à Gauthier il était bien moins odieux, bien moins vicieux, mais il ne fallait pas non plus jouer avec ses couilles (pardonnez l’expression). Elle voulait jouer il devenait aussi odieux que son cousin si ce n’est plus, les chiens ne font pas des chats, en temps que cousin ils avaient sensiblement le même caractère.
Puis Juno se mit sur un ordinateur, c’été bien la chose qu’Andrea maitrisé le moins, c’été bien ses engins. Il pouvait faire des calculs de fous de tête, pouvait retenir des choses que tout le monde oublie, mais quand il s’agissait de portable, de calculette ou même d’ordinateur c’été une galère monstre. Quand Juno leur montra la vidéo de ce qui venait de se passer, il ne comprit pas du tout quel été l’exploit ? Pour lui les caméras étaient dans la bibliothèque et il suffisait d’avoir un mot de passe administrateur pour y accéder. S’approchant de son cousin il commença à applaudir.

    Aller Gauthier applaudit avec moi, elle nous montre ce qu’elle sait faire. Vraiment impressionnant Juno, ta mère est moi sommes si fière d’avoir une fille qui a réussit sa vie. Avortement tout juste majeur et maintenant elle arrive à ouvrir un film sur un ordinateur. La prochaine fois tu nous montres quoi ? Que tu as appris a lassé des chaussures, on serait tellement fier de toi !

Bien sur qu’il n’avait nullement conscience des talent de la demoiselle qu’il avait en face de lui, bien sur qu’il ne savait pas ce qu’elle avait pour venir les faire chanter. Andrea n’était pas dans le même délire que son cousin, la faire disparaitre ? Ce n’était pas forcement quelque chose qui était rentré dans ses mœurs, tout comme les gros bras qu’ils avaient balancé l’autre coup. Mais Andrea commençait à s’endurcir, il devenait petit a petit quelqu’un de totalement insensible, le genre de mec qui était prêt à tout pour protéger ses fesses. Voilà donc de quoi lui parlaient les amis de son père a propos de l’argent. Quand on est riche les gens veulent toujours les faire chanter, il n’y a pas cru et aujourd’hui il est fasse au fait accomplit. On lui avait dit quand les gens te font chanté n’est aucune pitié, encore une fois il n’y croyait pas mais commencé petit à petit à ouvrir les yeux.
Ce qui le surpris un peu plus c’est quand elle commença a parlé de leur Iota, une première fois il ne fit pas tilt mais en y réfléchissant il comprit rapidement, Autumn et Aislynn étaient des Iota mais que voulait elle ? Ne comptait elle tout de même pas les menacer elle ? Se serait totalement stupide.

    Je commence a croire que tu ne joues vraiment pas dans la même cours que nous. Pour quelqu’un qui n’en a rien à faire de l’argent je trouve que tu en parles un peu beaucoup. Je comprends que tu puisses être jalouse, on est pleins aux as, on t’a fait croire à l’amour et surtout au notre mais voilà c’été avant on a bien rigolé maintenant on joue plus. Pour ce qui est de négocier, négocier quoi ? Il y a rien a négocié, soit tu fermes bien ta grande bouche soit on s’occupera de la faire fermer d’une manière bien plus efficace que la première fois…

Voilà les paroles étaient lancées, a voix haute Andrea s’en moquait pas mal qu’il y ait des caméras, qu’il y ait des micros elle cherchait quoi ? Surement ça, voilà ce qu’elle cherchait. Elle n’avait rien contre eux, mais ce qu’ils étaient entrain de dire servirait bien. Entre Gauthier qui parlait de ce qu’ils avaient fait il y a quatre ans et lui qui lui promettait de s’occuper d’elle comme il se doit ils avaient gagné. Bien sur dans cette vidéo elle avouerait avoir hacké le compte de Gauthier mais ce n’était rien par rapport à eux. Seul échappatoire ? Découvrir qui elle était, si un jour l’un de mettait le doigt sur son secret et sur le fait qu’elle est l’une des hackeuses les plus recherchés du pays ils auraient surement tout gagné. En attendant ils sont encore forcé d’écouter les conneries qu’elle débite à la seconde.

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MessageSujet: Re: Sue a beggar, and catch a louse ❥ GAULTHIER&ANDREA Sue a beggar, and catch a louse ❥ GAULTHIER&ANDREA EmptyDim 29 Avr - 3:14

Qu'elle ait vidé mon compte en banque je m'en fichais éperdument, il fallait être assez simple d'esprit pour croire que la banque ne trouverait pas ça bizarre que la fortune d'un des fils d'une des famille les plus riches de France ait disparu du jour au lendemain ! Ce serait sans aucun doute les premier qui seraient blâmés et j'aurais même droit à récupérer mes millions avec quelques intérêts une fois un procès bien épicé ouvert contre cette banque minable qui n'était même pas capable de préserver mon compte d'une pauvre hackeuse dans le genre de Juno. C'est vrai cette fille était quoi ? Une simplette que j'avais eu la connerie de baiser un jour et qui maintenant voulait faire la belle en pensant surement m'impressionner de ses talents de geek notoire. Non mais où est ce qu'elle se croyait, on était plus à la maternelle, elle aurait du passer au dessus de toute cette histoire de bébé depuis bien longtemps et même si Andréa et moi n'avions aucune idée de qui était le père, nous étions tout de même solidaires dans cette histoire, aussi soudés que possibles pour ne pas changer. Mon cousin était sans doute la personne en qui j'avais le plus confiance, un membre de ma famille qui était sans faille et qui ne m'avais jamais déçu jusqu’à maintenant, au contraire il avait toujours épaulé mes décisions face à celles de mon père qui étaient parfois bien contradictoires avec les miennes. Je le trouvais tout de même bien souvent un peu trop insouciant, il n'avait plus la notion de ce qu'il pouvait dire ou non et ça lui apportait la plupart du temps que des ennuis. Andréa était le genre de mec qui pouvait avoir tous les problèmes du monde de par sa personnalité aussi atypique, sans parler de son hyperactivité qui le rendait juste ingérable, lorsque j'étais avec lui j'avais même parfois peur qu'il n'aille trop loin et qu'il nous entraîne dans je ne sais quelle embrouille. Aujourd'hui, nous étions pourtant face à une de nos conneries communes et d'ailleurs si je me souviens bien de cette fameuse soirée, la jeune fille avait été celle qui jouait les allumeuses, un instant entre mes bras à danser en collé serré et la minute suivante déja en train de jouer au docteur avec mon cousin... bref inutile de vous faire un dessin chacun sait comment on appelle ce genre de fille : une trainée. Et maintenant elle voulait nous faire payer le fait qu'elle était bête à pleurer et en plus de ça un très mauvais coup ? Non mais on aura tout vu décidément, on dirait que certaines personnes n'avaient que ça à faire que d'emmerder les notables de ce monde dans le but de se faire un peu d'argent sur leur dos tout en se distrayant soi disant de leur détresse.

Ma pauvre Juno j'ai honte pour toi, si tu arrêtais un peu ce petit jeu et que tu nous rendais notre argent sur le champs ? Tu sais qu'il ne nous faudra à nous aussi pas plus qu'un claquement de doigt pour trouver 5 témoins qui diront que nous étions avec eux à telle heure et tel moment de la soirée, et que ton petit enregistrement passera évidemment pour un pâle montage ? Et tu as beau avoir les heures enregistrées dessus, je penses que chacun connaît ta grande réputation de hackeuse alors qui croira que tu n'étais pas capable de la trafiquer ? Tu penses avoir tout calculé mais tu te fourvoie ma chère, je te suggère de remettre mon argent là où tu l'as trouvé et ensuite nous pourront essayer de trouver le moyen de te pardonner Andréa et moi pour ton attitude plus que stupide...

Je soupirais presque devant une telle bêtise, non mais où est ce qu'elle pensait pouvoir en venir avec ses manigances idiotes et son sourire machiavélique qui n'avait d'égal que le mien ? Je trépignais d'impatience, je ne voulais plus supporter ses petits yeux de fouine et tout ce dont j'avais envie c'était de retourner dans ce bar et de retrouver notre paire de jumelles que nous avions malheureusement laissé pour cette greluche qui pensait être plus forte que tout le monde. Je tempêtais intérieurement car je n'étais pas le genre de mec à montrer ses émotions, mais, si elle m'y forçait elle verrait bien assez tôt que je ne suis pas le genre de gars avec qui on peut jouer aussi aisément ! J'avouais malgré tout qu'elle nous avait pas mal déstabilisé surtout lorsqu'elle avait abordé le sujet de "nos iotas" je savais que Andréa était très proche d'Aislynn et moi étant également très proche d'Autumn je nous voyait mal expliquer cette situation aux deux filles qui faisaient chavirer notre coeur présentement. Malgré tout je savais que ma blonde serait sans doute compréhensive, elle n'ignorait rien de mon passé et elle devait se douter qu'après notre mésaventure où elle m'avait dit je t'aime et que je n'avais pas répondu, j'avais été un parfait salaud avec la moindre fille qui avait croisé mon chemin ! Elle était d'ailleurs du même acabit que moi, nous avions été forgés dans le même moule et elle ne se formaliserait surement pas des paroles d'une arriviste comme Juno.

Ma iota ? Nos Iotas ? Non mais tu as cru que nous prenions toutes les filles pour des objets ? Figure toi que ce n'était que toi, désolé de te faire redescendre de ton piédestal ma pauvre, nous avons trouvé des filles qui en valaient la peine et je ne pense pas que si tu vas essayer de nous calomnier ça aura un quelconque impact sur elles... tu vois elle sont intelligentes et n'ont pas besoin de toi pour savoir à qui elles ont affaire. De toute façon Andréa et moi sommes des salauds uniquement avec les filles inutiles n'est ce pas ? je lui lançais un regard complice avant de reprendre. De plus si j'étais toi je regarderais mes arrières... tu n'es pas la seule à avoir fait quelques recherches !

Je la regardais avec un petit sourire en coin, et presque en me moquant d'elle, j'avançais doucement dans la pièce pour venir à sa rencontre, elle qui avait voulu faire la maligne ne savait sans doute pas que moi aussi j'avais pensé à elle ces dernières années et que je sentais qu'un coup dans le genre aurait pu se profiler à l'horizon. C'est pourquoi j'avais engagé un détective privé afin de faire quelques recherches à son propos et ce que j'avais trouvé était tout de même très intéressant, d'ailleurs je comptais ne pas m'en servir tant j'avais été presque touché de cette histoire niaise, mais puisqu'elle m'y forçait si gentiment je n'allais pas rechigner à la tâche.

Tu sais j'ai été fasciné de voir que tu essayais à tout prix d'aider ton frère depuis un bout de temps, ce serait tellement dommage que d'un coup on ne puisse plus rien faire pour lui... tu sais une infirmière qui fait une erreur lors d'un de ses voyages à l'hôpital ça arrive, ce serait tout de même bête aussi que les gens apprennent que depuis tout ce temps leur argent passe dans les soins médicaux d'un morveux qui ne mérite même pas de les avoir tu ne crois pas ? je la défiais du regard, je sentais qu'elle allait craquer et d'ailleurs il ne manquait plus qu'elle me décoche une gifle pour que je sache que je venais de la toucher au plus profond, c'était un peu l'histoire de ma vie, faire chier les autres en déterrant leurs secrets les plus hideux. Maintenant elle allait devoir changer de discours immédiatement si elle voulait sortir indemne de cette pièce car un coup de fil et sa vie pourrait être fichue à jamais. La magie des Levy-Carcenac !
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MessageSujet: Re: Sue a beggar, and catch a louse ❥ GAULTHIER&ANDREA Sue a beggar, and catch a louse ❥ GAULTHIER&ANDREA EmptyDim 29 Avr - 17:37

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•• Revenge is a dish best savoured cold.
Once bitten, twice shy...

Ne jamais défier Juno lorsque l’on n’a pas les reins solides. Il faut courber l’échine, voire même l’âme, essayer de passer inaperçu et prier sa mère qu’elle n’ait rien vu. Au départ, elle n’était rien d’autre qu’une demoiselle douce, d’une gentillesse à faire pleurer d’émotion l’être le plus vil et le plus insensible, à qui il était arrivé une montagne de choses injustes. Justement, ce bon vieux Gaulthier venait de toucher le point le plus capital dans le cœur de Juno…Sa famille. Son petit frère pour être exact, Jaimie. Celui-ci était tout juste âgé de quinze ans et depuis sa naissance souffrait d’une grave insuffisance de système immunitaire. Il passait le plus clair de son temps entre ses études et l’hôpital, où il ne comptait plus ses voyages aux soins intensifs. Juno avait sacrifié bon nombre de choses pour s’assurer qu’il vive. Il était son petit frère, cet être sans défense qu’elle protégeait corps et bien depuis que leur mère les avait lâchement abandonnés. A aucun moment elle n’avait flanché, et ce n’était pas aujourd’hui face à ce français de mes deux qu’elle allait commencer. La preuve, un sourire narquois et vil étira bientôt les lèvres de l’ardente brunette. Il venait de prononcer ses dernières paroles. Contrairement à ce qu’il pouvait penser, elle n’était pas uniquement forte grâce à son génie de l’informatique. Elle l’était parce qu’elle n’avait plus rien à perdre, et rien à foutre d’être mise en taule. Elle rétablissait simplement la justice, et Jaimie n’avait aucunement à être mêlé à cette affaire. C’était bas. Bas et stupide de la part de cet abruti, bien que la brunette n’en n’attende pas moins de sa part. Mais soit, puisqu’il voulait la jouer de manière douloureuse et brutale, l’étudiante au QI impressionnant allait la jouer de manière douloureuse et brutale. « Waaah, qu’est-ce que j’ai peur. Pauvre naze, tu penses franchement que j’en ai quelque chose à foutre de tes menaces de richard à trois francs cinquante ? » A ceci près que Gaulthier pouvait s’estimer petit vainqueur, mais alors vraiment petit : Il avait fait enrager Juno, dont le calme était pourtant de notoriété publique. Voilà pourquoi la demoiselle n’hésita pas à choper le dictionnaire de Grec, dont la taille et le poids étaient impressionnants pour mieux frapper au visage cet importun de toutes ses forces. Papa Valentyne voulaient surtout des garçons pour qu’ils puissent se défendre…Alors en matière de self défense, la brunette, bien que chétive et à l’allure fragile, n’était pas en reste. A en voir l’aspect hautement ensanglanté du nez du premier epsilon qu’elle venait de frapper de toutes ses forces, il était probablement cassé. Parfait, cela lui apprendrait. Mais Juno ne se contenta pas de ce qu’elle considérait comme une minable petite pichenette…Elle se rua littéralement contre Gaulthier, comme une furie, profitant de sa potentielle désorientation pour lui aplatir la tête contre le bureau voisin à son petit corps qui n’avait plus rien d’attrayant à ses yeux. La rage faisait briller son regard et ses membres étaient tremblants de colère, mais pas moins efficace. Elle fit en sorte qu’il ne puisse pas se dégager avant qu’elle ait terminé son petit discours et à partir de là, on se serait presque cru en plein match de Free Fight…Tous les coups sont permis. Non, elle n’allait pas abimer davantage cette jolie petite gueule. Elle allait simplement faire passer un message en s’assurant que celui-ci soit aussi percutant qu’imprimé dans ses neurones. « Écoute-moi bien espèce d’abruti de richard de mes deux…Tu approches Jaimie, tu fais même mine de lui chercher des poux et je te réduis en bouillie, capice ? Il n’y aura pas d’aube pour toi si jamais tu t’avises de le menacer encore. Tu as peut-être une grande gueule mais je dois dire que je suis déçue, parce que tu n’as pas de couilles, Garcenac ! Tu menaces plus petit que toi, un innocent gamin qui en plus est malade. Mais ça ne m’étonne pas, quand la connerie est tombée du ciel, impossible que tu aies eu un PUTAIN DE PARAPLUIE !! » Juno ne le lâchait pas, le laissait à peine respirer et faire en sorte de lancer un regard tellement haineux qu’il valait mieux qu’Andrea ne bouge pas le petit doigt. Cette fois-ci, ce round était pour elle. Ah il ne l’avait pas prise au sérieux…Dommage. Elle aurait peut-être été plus indulgente s’ils n’avaient pas été aussi crétins qu’ils en avaient l’air. Mais là, elle n’avait plus aucune excuse à leur trouver, aucune raison pour les épargner. Elle n’aurait de répit qu’une fois qu’ils se trouveraient KO à ses pieds.

« Vous ne me prenez pas au sérieux et toi tu veux jouer avec le feu ? Très bien petit, tu vas te brûler. Je n’ai plus aucune raison de vous épargner puisque tu as menacé mon frère. N’aie crainte, il n’y a pas qu’à votre compte en banque que je peux m’en prendre. Et tu sais pourquoi je n’en ai rien à carrer de tes menaces ? Parce que je n’ai rien à perdre. Tout ce que tu pourras dire ou faire avec tes petits bras…Ca ne prendra pas. Tu penses vraiment qu’un hacker comme moi peut te craindre ? J’ai déjà ruiné un pays, espèce de pauvre MERDE ! » Et ce fut à ce moment précis qu’elle le lâcha. Sa respiration était légèrement accélérée certes, mais le sourire présent contre ses lèvres prouvait qu’elle avait particulièrement apprécié le fait de boucler le clapet de cet importun. Quant à Andrea, elle s’avança avec l’air menaçant, le dico toujours à la main, pas impressionnée pour trois sous par sa carrure nettement supérieure. « Dégage de mon chemin si tu veux pas goûter le Grec dans le texte toi ! » Juno avait récupéré sa sacoche et, avant de quitter la pièce, avait murmuré dans un rire presque sadique : « Deuxième round mes agneaux, deuxième round…Accrochez-vous bien à vos calebars ! » Et elle avait quitté la pièce, sans aucune parole supplémentaire. A ceci près qu’elle s’était aussitôt saisie de son PDA, meilleur ami du moment, pour effacer sa présence sur la caméra précédemment montrée à ses deux ennemis, en image par image, avec une dextérité presque inhumaine. Elle avait effacé la fin, afin qu’il ne reste aucune preuve de son petit accès de colère, et finalement opté pour trafiquer le système anti-incendie en vue d’inonder la bibliothèque en entier. Pour finir, elle saisit un talkiewalkie chipé dans le bureau des gardiens de nuit avant cette petite altercation pour mieux signifier que deux élèves Epsilon vandalisaient la bibliothèque et qu’il y avait besoin de renfort. Les deux élèves étaient donc bons pour un petit aller chez la directrice de Berkeley, et une réputation disons…Croquignolette. Sans parler de l’amende et de la potentielle poursuite que cela pouvait engendrer si jamais la directrice O’Berkeley décidait de porter plainte ! Aucune trace de Juno dans toute cette histoire. Comme toujours, elle venait de gommer ses traces à la perfection…Quant à l’aveu de son passé de hacker, ils n’avaient aucune preuve. Cela faisait belle lurette que le FBI cherchait à mettre la main sur elle sans jamais y parvenir. Que pouvaient deux pauvres cloches malgré leurs précieux comptes en banque ?

« Elie ? Jaimie est avec toi ? Parfait ! Emmène-le illico presto chez Papa, sans prendre le chemin des écoliers. Je t’expliquerais, je me mets en route. On va se remettre de cette soirée pourrie devant un bon film avec la terreur et du pop-corn ! J'ai un potin de taille, tu verras, tu vas le déguster ! » Juno n’était pas complètement folle. Elle allait suivre l’affaire de près, sait-on jamais. Il faut dire qu’elle aimait tout diriger dans sa vie, et ce depuis qu’elle était haute comme trois pommes. A ceci près qu’elle rejoignait juste sa moto pour l’instant, garée juste devant l’université. Et elle ne pu que jubiler quelques secondes en voyant deux gardiens s’occuper du « cas » des deux autres abrutis à travers la fenêtre inondée de la bibliothèque. Ne jamais sous-estimer le hacker le plus recherché au monde. Jamais.

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MessageSujet: Re: Sue a beggar, and catch a louse ❥ GAULTHIER&ANDREA Sue a beggar, and catch a louse ❥ GAULTHIER&ANDREA EmptyDim 13 Mai - 13:30





Dans quel merdiez c’étaient ils foutus il y a de ça quelques années ? Ils avaient mal réagit et le savaient tous les deux mais quand on fait partit de leur famille l’on n’a pas le droit, l’on ne peut pas avouer ses erreurs. Demander pardon, dire « Je m’excuse », c’était comme leur arraché le cœur donc vous pouvez toujours vous asseoir la dessus. Mais que cherchait-elle vraiment ? Pas intéressé par l’argent (même si le jeune Italien en doutait totalement), elle voulait certainement se venger mais que pouvait-elle faire. Que des choses minimes, prouvé qu’ils avaient fait des conneries auparavant, mais ni elle, ni eux n’avaient intérêt de révéler le passé. Il fallait donc qu’elle créait des nouvelles choses. L’argent ? Mais franchement elle pouvait bien vider leur compte, les banques avaient des assurances, les banques avaient eux aussi des hackers de leurs cotés, ils retrouveraient l’argent un jour ou l’autre. Les assurances elles viendraient rembourser le tout, avec un bon mot d’excuse on ne peut pas se permettre de perdre des clients richissimes comme eux.
Alors oui la question qu’il aurait fallut poser c’était bien que veux tu ? Bien sur par principe tout ce qu’elle pourrait demander elle ne l’aurait pas, céder c’est le meilleur moyen de poser un genou à terre, voilà ce que disait le père d’Andrea. Une puissance ne baisse jamais la tête, ne met jamais un genou à terre, vous faites une connerie ? Assumez là, les gens vous en voudront quelques temps puis ils oublieront, l’être humain est ainsi. Si vous ne vous attaquez pas à lui il ne vous en voudra pas longtemps, donc bon savoir qu’ils avaient engagés des gens pour qu’elle avorte ou plutôt pour la tabasser était quelque chose de bien subjectif. De nos jours tout le monde sait qu’on peut tout falsifier pas besoin de sortir se Saint Cyr, alors bon rien ne les relier aux problèmes.

Andrea n’était donc pas tellement intéressée par ce qu’il se passait. Son cousin était quelqu’un de bien plus sanguin que lui, bien plus vicieux. Il n’avait pas toujours le physique pour faire le poids, c’était donc Andrea qui faisait les bras pendant que Gauthier faisait la tête. Et quand le jeune Français faisait la tête Andrea déconnecté tout simplement son cerveau. Faisant tout ce que lui disait son cousin, puis après c’été l’inverse, ni dominant, ni dominé c’était comme un couple qu’ils se comportaient. Se rendant des services, s’épaulant et surtout étant toujours dans toutes les conneries possibles et inimaginables. Rarement Andrea trouvait que son cousin allait trop loin. Donc quand il commença à parlé du petit frère de la belle il ne fut pas choquer. Elle voulait quoi ? Les faire chanter ? Quand on veut faire chanter quelqu’un on ne doit avoir aucun point faible, personne que l’on veut protéger, personne que l’on veut cacher. Comment Gauthier savait tout ça sur elle ? Pour Andrea la belle brune avait totalement disparue de la circulation, elle n’existait plus dans sa tête, n’existait plus dans sa vie et si un jour il devait la croiser il n’aurait même pas fait attention à elle.
Tranquillement entrain de pianoter sur son portable il était un peu ailleurs ne voyant pas ce qui était entrain de se passer. Une scène plus qu’improbable ou la jeune femme était entrain de frapper son cousin avec un dictionnaire. Il était totalement ailleurs le jeune blond, dommage puisqu’il aurait surement pu rapidement calmer la jeune femme. Lui ne croit pas tellement au vieil adage qui dit on ne frappe pas une femme même avec une fleur, il s’en contre fou totalement. Si une femme vous chercher elle vous trouve, si une femme vous frappe, elle se sent votre égal donc frapper là. Elle avait du prendre son cousin par surprise, trop souvent sur de lui il ne se méfier jamais des gens. Andrea quant à lui avait trop fait confiance, trop fait d’excès de confiance, il se méfier donc de tout le monde ne sous estimant jamais un adversaire. Chose qu’il avait fait avec Dominic et qui lui avait valut un détour par l’hôpital, mais ce soir mine de rien il se sentait totalement serein, totalement à l’aise. Une femme ne pouvait pas lui faire grand-chose surtout qu’elle était hacker et non tueuse ou autre chose.

Puis il leva la tête au moment ou la jeune femme commença à se la jouer, criant haut et fort qu’elle n’avait pas peur d’eux, qu’elle avait ruiné un pays qu’elle allait les ruiner eux. Il ne pu s’empêcher d’éclater de rire avant de totalement fermé son visage, il n’avait plus du tout envie de rire, il ne s’amusait plus avec la jeune femme, mais pour le moment il ne pouvait rien faire. Une femme qui frappe un homme sur une vidéo sa passe, un homme qui sèche totalement une femme sur une vidéo c’est autre chose. Surtout qu’il faut garder dans un coin de sa tête qu’elle peut totalement agir sur les caméras. De rage et surtout haineux de rien pouvoir faire il frappa avec une force de sourd dans une bibliothèque, autant vous dire qu’elle ne broncha pas et que se fut sa peau qui éclata sous la puissance de la frappe. Mais qu’importe il venait de rentrer dans une colère noir comme il avait déjà pu avoir.

    Non mais arrête toi, c’est une caméra caché ou quoi. T’es totalement pitoyable, je prends jamais les gens en pitié mais toi j’ai envie de te faire un don. Tu veux quoi des tickets restaurant pour pouvoir nourrir ton frère et toi. Que veux-tu faire contre nous ? Franchement tu va nous enlever de l’argent qui reviendra le lendemain. Tu vas nous faire une réputation mauvaise, ouah je vais pas en dormir de la nuit. Tes paroles contre les nôtres, tout ce que tu pourras inventer en papier ne suffira pas. Change de disque ou change de ville, je n’ai pas l’impression que Berkeley soit assez vaste pour pouvoir accueillir ton égo surdimensionné.

Il enchaina imitant la voix de Juno et ses gestes.

    J’ai ruiné un pays espèce de pauvre merde !

Reprenant sa voix normale.

    Tu faisais bien moins la maline quand tu étais à quatre pates dans nos pieux !

Elle lui sortit une pauvre insulte avant de sortir de la bibliothèque, la retrouver ne serait pas du tout un problème pour le jeune homme. Pour le moment la seule chose qui l’intéressait c’été d’aller voir son de lui venir en aide et de sortir de cette bibliothèque qui allait devenir une vraie piscine.

    Gauthier ça va ? Désolé d’avoir laissé faire ça mais t’inquiètes pas je pense que ça va être à nous de jouer.

Puis deux ombres s’approchèrent de la bibliothèque, prenant par le bras son cousin il s’enfuit vers la sortie de secoure, pas la peine que l’on voit leur tête, la jeune femme avait certainement effacé toute trace de son passage à elle, donc de leur passage à eux. Mettant sa veste sur sa tête et proposant à son cousin de faire la même, il leur fallait sortir et le tour serait joué. La lumière s’éteignit d’un coup, l’eau, l’électricité et les quelques dégâts qui avaient été fait venaient de mettre hors de marche la lumière et par la même occasion les caméra, le petit point rouge qui voulait dire « Souriez vous êtes filmé » venait de disparaitre !

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MessageSujet: Re: Sue a beggar, and catch a louse ❥ GAULTHIER&ANDREA Sue a beggar, and catch a louse ❥ GAULTHIER&ANDREA EmptyDim 20 Mai - 1:00

J'étais complètement désarçonné, comme un jockey tombé de son cheval je ne comprenais pas ce qui m'étais arrivé, elle venait de s'acharner sur moi avec une telle force que le sang qui coulait de mon nez et de mon arcade me firent presque regretter de ne pas lui avoir réglé son compte une bonne fois pour toute auparavant à cette petite idiote. Elle me le paierait ça c'était certains, je ne laisserai jamais un truc pareil arriver sans conséquences, elle voulait jouer à la plus maline eeh bien tant mieux, j'avais moi aussi plus d'un tour dans mon sac. Elle avait été si calme et si hautaine avec nous en nous faisant ses petits tours de passe passe qu'elle n'avait pas compris que j'avais déja discrètement textoté un de mes très chers amis pour qu'il aille s'occuper de sa famille, ça ne serait sans doute plus très long maintenant avant qu'on ne la voit revenir en larme en nous suppliant de les laisser partir... ahah non mais pour qui est ce qu'elle se prenait sérieusement ? On attaque pas la famille Levy-Carcenac sans en subir les conséquences tout de suite après, d'ailleurs je me demandais maintenant ce qui avait bien pu me passer par la tête cette nuit là pour finir par coucher avec elle, comme quoi Andréa et moi avions l'habitude de tout partager, même les filles d'ailleurs et pas toujours celles du meilleur goût mais qu'importe. Je pris mon courage à deux mains pour me relever, presque impossible de tenir en équilibre sur mes deux jambes avec cette cinglée qui avait mis toute sa hargne dans ses coups, même Dréa qui avait assisté à toute la scène était resté impuissant face à elle, il ne s'attendait pas à cela sans doute, et moi non plus pour être franc, je ne pensais pas qu'elle avait ça en elle, il allait falloir la calmer au plus vite. J'acceptais sans hésiter l'aide de mon cousin qui m'aida à tenir debout le temps que j'attrape mon téléphone, je ne pouvais pas rester comme ça, j'avais besoin d'aller à l'hôpital probablement mais ma rage était telle, que je devais d'abord régler mes comptes avec elle pour être sur de bien dormir ce soir.

Merci mec, t'inquiète pas elle m'est tombée dessus d'un seul coup tu ne pouvais rien faire, par contre maintenant si elle croit d'échapper à notre colère elle se trompe lourdement, elle n'est rien ici, je crois qu'il est temps de le lui rappeler. dis-je en portant mon iPhone à mon oreille.

Un moment plus tard je raccrochais, oui j'avais pris la peine de garder sa famille toujours sous bonne surveillance pourquoi cela ? Parce que je ne voulais pas que cette histoire de bébé s'ébruite après tout, j'étais promis à un bel avenir et il ne faudrait pas qu'un jour elle veuille se retourner contre nous et nous extorquer encore un peu plus d'argent cette mocheté. Nous commençâmes donc à marcher, sortant du bâtiment et regardant tout autour de nous pour retrouver sa trace, c'était assez facile étant donné qu'elle laissait encore quelques traces de mon sang sur le sol que l'on repérait presque facilement grâce à la lueur des lampadaires qui venaient contraster avec le noir de la nuit. Nous la suivions à la trace comme le chasseur traque son gibier, enfin je la vis au loin se dépêcher de marcher encore et toujours prête certainement à aller rejoindre son mioche de frère et sa famille, non mais si elle pensait s'en tirer aussi facilement elle se mettait le doigt dans l'oeil. JUNOOOOO ! criais-je au travers du vide, elle s'arrêta enfin et se retourna s'aperçevant de notre présence et étant sans doute surprise de voir que nous n'en avions pas fini avec elle, je souriais, un sourire carnassier venait éclairer mon visage qui se trouvait encore en sang malgré mes multiples tentatives pour atténuer l'écoulement avec ma manche. On t'a jamais appris à dire au revoir dans ton pays ? Parce que tu devrais vite t'y mettre vu que j'ai déjà envoyé quelqu'un pour s'occuper de ta famille, j'espère que la solitude ne va pas trop te peser, de toute façon tu dois avoir l'habitude qui pourrait aimer une fille comme toi, fond abject et apparence à peine passable... ouai notre nuit n'était pas si mal cela dit tu pourrais te recycler dans le porno amateur il paraît que ça rapporte les petits cageots de nos jours, les gens sont si tarés... je continuais mon monologue en faisant attention à ne pas encore une fois subir un assaut de la jeune fille inopinément, même si je savais que cette fois, j'étais préparé et Andréa aussi d'ailleurs, il n'hésiterait pas à la mettre au sol un instant.

Je la sentis bouillonner de loin et je le comprenais, il n y avait rien de pire que de se faire contrôler par quelqu'un d'autre et ça elle le savait avec toutes les ficelles qu'elle avait tiré depuis qu'elle s'était découvert ce penchant pour l'informatique. Malheureusement pour elle, elle avait misé sur le mauvais cheval car je n'étais pas de ceux qui allaient se taire en silence une fois que madame avait donné ses conditions, non au contraire, action réaction comme on dit, et on est jamais trop prudent lorsqu'on a en face de soi une garce de la pire espèce. Au fait tu sais ce qui peut encore les sauver ? Ce serait que tu viennes ici et que tu t'excuses, à genou d'ailleurs... ça ne devrait pas te déranger il me semble que tu adores cette position n'est ce pas ? je riais légèrement tout en triomphant du regard, j'étais prêt à tout pour me venger, elle n'aurais jamais du faire ce qu'elle à fait, et maintenant la rabaisser au maximum tout ça pour sauver la peau de sa pauvre petite famille, était presque jouissif. Je n'en voulait pas du tout à ce garçon ni même à sa soeur ou qui que ce soit d'autre, mais parfois certaines choses devaient être faite au nom de la justice. Elle m'avait pris quelque chose ce soir, mon argent, ma fierté d'homme, elle allait devoir en payer les pots cassé et si maintenant elle tentait encore de se débattre ou de fuir, ou même d'être blessante envers nous, il me suffisait d'appuyer sur "envoyer" pour sceller le destin de quelques personnes ce soir. TIC TOC, tu sais ils sont déja en ligne de mire, si j'étais toi je me dépêcherais... tu peux me menacer de ce que tu veux, de ruiner ma vie ou de me faire disparaître même de la surface de la terre grâce à tes pouvoirs magique de geek, mais là pour une fois il n y a rien que tu puisses faire d'autre pour m'empêcher d'appuyer que de venir t’aplatir, alors soit bonne perdante ! Je lui fis un clin d'oeil qu'elle n'avait certainement pas pu percevoir, j'étais tout de même bien amoché, la bitch, j'espérais que mon visage ne serait pas trop abîmé, au moins mon nez n'était pas cassé, quelques points de suture et ça ira... mon dieu j'avais vraiment le chic pour les choisir ces tarées, je me promis solennellement ce soir là de ne plus jamais coucher avec moins d'un 8, ça ne rapportait que des ennuis.
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