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Invité Invité
 |  Sujet: Nothing to remember Sam 21 Avr - 21:05 | |
|  Cinq. C’était le nombre de mois que j’étais arrivée en Amérique. Pourtant, j’Avais l’impression d’y être depuis une décennie. Il c’était passer tant d’histoire, de drame, de cris, de larmes, de rire, d’amour, de peur. Bon sang. J’avais l’impression de vivre dans une série télé où les scénaristes décident de mettre le paquet pour s’assurer un max d’audience sans se soucier qu’il est humainement possible qu’une seule personne puisse géré tout cela. Et pourtant ça m’arrivait; j’avais coucher avec un professeur dont j’étais follement tombée amoureuse ce qui avait résulté à son renvois et la rupture de notre couple, j’avais été assallit lors d’une fusillade et j’étais maintenant plâtrée de la main et au pied, je venais de décrocher mon premier rôle dans un Broadway fait par la ville et je vivais la relation la plus malsaine qui soit avec mon ex que j’aimais toujours mais qui s’obstinait à croire que je ne l’aimais pas assez car je refusais de l’épouser. Bref, normal quoi. Blague a part, j’étais incapable de dire tout cela à mes parents. Ils savaient que j’avais eu une flamme ici et que ça n’avait pas duré point barre. Bien sur, ils avaient appris la fusillade. Mais rien de plus. Je ne parlais pas de comment je me sentais. Car je ne voulais pas les inquiété. Et sincèrement, je n’avais pas envie d’en parler. Je payais un psychologue bien assez cher pour cela. Ce dernier m’aidait à redevenir aussi forte qu’avant, mais surtout, il m’aidait à supporter le départ d’Eirik dans ma vie. Autre chose que je cachais à mes parents; j’avais blessé mon jumeau au point qu’il refusait de me parler et ça me tuait à petit feu. Mais je n’abandonnais pas. Des sms par-ci par là pour lui dire qu’il me manquait, un email pour lui raconter ma semaine, c’était tout ce que je pouvais faire. Bien que de son côté il demeurait muet. La journée où j’avais appris que j’avais le premier rôle dans le Broadway, rêve de ma vie, je m’étais battue contre mer et monde pour ne pas l’appeler et lui dire la nouvelle. Je commençais à croire que je ne le reverrai jamais, et me frapper a un mur de silence alors que je lui annoncerait cela me blesserait trop. Pour me protégé un minimum, j’avais préféré garder le silence sur ce sujet, m’imaginant sa réaction si il aurait été a mes cotés. C’était mieux ainsi. Enfin, dans mon monde de déni, ce l’était mieux. J’étais justement en conversation Skype avec ma mère. Lui montrant l’énorme cahier de chanson que j’avais à apprendre et lui parlant des répétitions qui avaient commencé depuis quelques jours. Pacey était justement avec le metteur en scène en ce moment, étant son assistant il l’aidait dans l’élaboration de la pièce. Ce qui m’allait largement. De un, le froid qui s’était créé entre nous depuis que j’avais pour la seconde fois refusé sa main me rendait très mal à l’aise en sa présence. De deux, je pouvais répéter seule. Je détestais apprendre un texte quand il y avait du bruit autours de moi. Profitant du moment de solitude que j’avais, je m’étais mise à apprendre la pièce. J’expliquai à ma mère l’horaire de mes journées chargée lorsqu’on frappa à la porte. Je me levai, après m’être excusé, et marchai du mieux que mon plâtre me le permettait pour aller répondre à la porte. C’était Swenn, son cousin. «Ah oh! Salut. Hum, Pacey n’est pas la il bosse. » Je lui fis un grand sourire illuminé. |
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| | Sujet: Re: Nothing to remember Dim 22 Avr - 16:40 | |
| Les jours passaient et se ressemblaient toujours plus ou moins depuis la naissance des jumeaux en août ou plutôt depuis la mort d'Holly en octobre. C'était toujours boulot - dodo et surtout s'occuper de ses enfants qu'il chérissait plus que tout. Les petits allaient bientôt avoir neuf mois et ils avaient bien poussé mais c'était loin d'être facile tous les jours, heureusement que Jasmine -sa meilleure amie- était là pour l'épauler sinon il aurait péter un câble depuis bien longtemps, ou aurait fait une grosse dépression... Déjà, qu'il n'avait jamais le moral très, très haut il en faudrait peu pour qu'il replonge, c'est là que la famille et les amis étaient très importants ! Et Dieu soit loué, il avait toujours été quelqu'un de bien entouré, de très sociable, et généralement les gens l'aimaient beaucoup, même s'il est vrai que son côté un peu trop pipelette boulet extraverti pouvait en exaspéré plus d'un ! Peut-être que le jour où il trouverait enfin quelqu'un avec qui se mettre en couple tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes, mais sa situation avec Callum n'avançait guère, et qui voudrait bien faire sa vie avec un père célibataire ayant a bientôt 23 ans déjà des jumeaux de un an et un caractère qu'il fallait arriver à se farcir ?! Pas grand monde... David ou Chris auraient pu, mais le premier était mort, et le deuxième avait magiquement disparu de la circulation, et puis de toute manière ses relations avec Flint avaient toujours été assez houleuses... La preuve en ait qu'ils avaient sûrement fait plus de séparation qu'autre chose, et c'était sans compter la tonne de larmes versées des deux côtés -ah c'est hommes sensibles-.
Le jeune homme ne travaillait que dans la matinée aujourd'hui, il avait laissé les jumeaux à Nolan, un de ses pères adoptifs qui était pour l'instant en congé. Une fois qu'il eut débauché, il passa à son appartement prendre une douche, se changer de vêtement et alla chercher ses enfants pour aller leur faire faire un tour dans le parc. Sur le chemin du retour, il eut une idée qu'il pensait brillante: faire une surprise à Pacey en allant lui faire un petit coucou rapide. Aussi tôt dit, aussi tôt fait ! Une bonne grosse quinzaine de minutes plus tard, le jeune homme était devant la porte et frappa doucement... Si ça se trouve son cher et tendre cousin ne serait même pas là, mais tant pis il aurait au moins essayé. A sa grande surprise, ce fut Viktoria qui vint lui ouvrir. Lui faisant un petit sourire il ne tarda pas à reprendre Tu sais à quel heure il rentre ?! De toute manière c'est pas bien grave, mais je voulais juste profiter d'avoir du temps du libre pour une fois pour passer un peu de temps avec lui, et qu'il voit un peu les jumeaux... dit-il en désignant les deux bambins de la tête qui gazouillaient tranquillement dans leur poussette. Enfin bon, Pacey et les gamins c'était quand même un mélange assez étrange, le plus âgé avait tellement peur de leur faire mal que son attitude était assez marrante à voir !! Comme Viktoria ne l'avait pas invité à rentrer, il attendit gentiment soit qu'elle lui dise d'attendre à l'intérieur, soit qu'elle le congédie. Dans les tous les cas, elle pouvait être certaine qu'il ne le prendrait pas mal, enfin du moins en théorie !!
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| | Sujet: Re: Nothing to remember Lun 23 Avr - 5:08 | |
| J’affichai un sourire doux et sincère lorsque je vis Swen. Car bien que je ne le connaisse que de vue, je savais que Pacey l’adorait. Il me parlait souvent de son cousin et de pouvoir enfin avoir un contact avec lui était quelque chose de plaisant. Or, chose que j’ignorais, il était papa. Je le découvris assez rapidement puisqu’il avait avec lui une poucettes dans lequel deux bambins gazouillaient gaiement. Ils avaient les yeux grands et curieux. Le visage innocent. L’un avait même de la difficulté à garder les yeux ouvert et qui frottait ses yeux avec ses petites menottes. J’avais envie de le manger. « Oh mon dieu qu’ils sont adorables. Awww» J’adorais les enfants. L’âme maternelle, je l’avais énormément, je l’avais toujours su. Mais dans mon entourage il n’y avait que des cousins plus vieux ou des oncles et tantes sans enfants. Je n’avais dorloté des bambins que rarement, mais leur vues m’émerveillaient. «Aww tu as vu ces pieds c’est trop mignon! Awwwwww» J’ignorais pourquoi, mais je fondais tout simplement à leur vues. Mon côté féminin sans doute. Mais comment ne pas craquer devant ses deux bouilles toutes joyeuses. Mon regard se releva vers Swen ave douceur. «Tu veux venir prendre un café? Je vais lui envoyer un texto il sera content que tu sois là. Il fait du temps supplémentaire alors il va se dépêcher à venir! » Je souris et m’écartai doucement pour le laisser entrer avec ses enfants. Alors qu’il retirait son manteau, je me rappelai que ma mère m’attendait –avec son impatience légendaire- sur skype. «Laisse-moi une minutes. » Je marchai le plus rapidement que mon plâtre me le permettait pour aller devant l’ordinateur. «Jeg må forlate deg mamma. Det var en venns hus. Jeg ringer deg i morgen.» Ma mère me récita son horraire complet de la journée pour finalement me dire que j’allais pouvoir l’appeler une fois de plus en après midi, histoire de lui parler avant qu’elle elle ne dorme. Je lui envoyai un bisou et fermai mon portable avant de me relever du divan. «Bon voilà. Oui désoler…euh… café c’est ça.» Je souris et me dirigeai vers la cuisine pour partir la cafetière, invitant le cousin de Pacey a s’asseoir. J’attrapai mon cellulaire pour envoyer un texto à mon colocataire, histoire de lui annoncer la visite surprise qu’il avait en ce moment. «Ils s’appellent comment? J’ai déjà oublié. Enfin bref comment tu vas? Tu veux a manger? J’ai fais des cupcake ce matin. Tu prends ton café comment?» Je n’avais pas laissé Swen répondre. Je voulais être une bonne hôte pour cette personne que je ne connaissais pas. Et si Pacey l’aimait je devais faire bonne impression. Même si ce n’était que le temps d’un café.
*Je dois te laisser maman. Il y a un ami a la maison. Je t'appelle demain. - Spoiler:
C'est de la meeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeerde :( desoler
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| | Sujet: Re: Nothing to remember Mar 24 Avr - 14:46 | |
| Bon déjà une chose était certain Viktoria aimait les enfants vu la réaction qu'elle venait d'avoir. Le jeune homme eut un petit sourire et répondit doucement même si ça ne lui était pas réellement adressé Merci.. Bah oui quoi, il faut bien qu'ils tiennent de quelqu'un ces gamins ! Et puis les bambins ne pouvant toujours pas répondre quelqu'un devait bien le faire à leur place ! Au moins, si Pacey était pas très dégourdi avec les enfants rien qu'à voir la tête de la sampi, il savait qu'avec elle il en serait totalement autrement ! Il eut un petit rire lorsqu'elle commença à s'extasier sur leurs pieds. Tu sais, c'est moi qui les élève, donc oui, j'ai bien vu leur petit pieds qui d'ailleurs ont bien grandi depuis qu'ils sont nés ! Il se tut quelques secondes avant d'acquiescer à la demande de Viktoria et lui fit un petit sourire sincère Oui, avec plaisir, c'est gentil ! Mais ce n'est pas la peine qu'il se dépêche s'il est occupé, j'ai tout mon après-midi et ma soirée... Il se tut avant de faire une petite grimace. Merde. Il venait de s'inviter plus ou moins à rester longtemps ici, ça ne se faisait pas ça Turner, mais pas du tout. Il se racla la gorge puis essaya de se reprendre Enfin, à moins que vous ayez quelque chose de prévu, je ne voudrais surtout pas déranger... C'est surtout que normalement, j'suis assez busy, mais là non. Bref. Rattrapage nul. Tant pis, elle apprendrait vite qu'il avait l'habitude de parler avant de penser... et qu'il faisait généralement gaffe sur gaffe... mais qu'au final c'était quelqu'un d'adorable. Il entra donc dans l'appartement, retira son manteau et pendant que la jeune femme s'absenta il commença à retirer également ceux des jumeaux afin qu'ils n'aient pas trop chaud... ou trop froid en sortant... Lorsqu'elle se remit à parler il tourna la tête et acquiesça de nouveau bien gentiment Sinon ne t'embête pas, je ne t'en voudrais pas si je n'ai pas de café ... Le jeune homme alla s'asseoir et prit les jumeaux dans les bras une fois installé. Ses petits anges mais qui à deux et à gigoter commençaient sérieusement à être assez dur à bien maintenir ! La petite fille c'est Aylis, et le garçon Lewis... Il se tut quelques secondes avant de reprendre Oh ouais, j'veux bien manger des cupcakes, et le café, fait le comme tu veux, je suis pas trop difficile, enfin je crois. Il haussa les épaules et lui sourit. Aylis avait finit par s'endormir mais Lewis continuait de gigoter dans ses bras. Humm.. Quand tu reviendras tu voudras prendre Lewis dix secondes, le temps que je mette la petite dans la poussette avant qu'elle ne ne réveille ?! Oui, parce qu'il était maladroit et vu qu'il y avait une paire de mains supplémentaire pour l'aider, autant en profiter non. Alors, Viktoria, tu fais quoi dans la vie ?! Et tu as quel âge ?! Pour la confrérie, il savait qu'elle était Sampi, comme son frère. Peut-être qu'il l'avait entendu de la bouche de Pacey, ou alors de celle de Callum. Oui, sûrement celle de Gardner quand il avait parlé de ces colocataires... enfin à l'époque où ils vivaient encore tous ensemble. Il ne connaissait que vaguement Eirik, étant donné que la mère des enfants -paix à son âme- était une de ses amis...
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| | Sujet: Re: Nothing to remember Mar 24 Avr - 20:02 | |
|  J’avais laisser rapidement Swen seul a se dévêtir alors que j’étais aller dire au revoir à ma mère que j’avais totalement laisser en plan sur skype. Vu l’heure, elle devait vouloir aller se coucher de toute façon. Et puis on en était venu à parler d’Eirik. Éviter le sujet me permettait donc de lui cacher encore un peu plus longtemps le fait que j’avais totalement détruite la relation avec l’être le plus important dans ma vie. Je ne voulais pas me justifier à ma mère. Car disons le, la situation me dépassait largement et j’étais incapable d’expliquer ce qui s’était passé pour que l’on en arrive là. Je n’avais pas envie d’en parler. Je n’avais pas envie d’y penser. Ce pourquoi partir de cette conversation m’allait très bien. Me concentrant alors sur mon invité, je lui fis un sourire doux et gentil. Pacey serait content d’apprendre qu’il pourrait passer quelques heures avec son cousin. Il m’en avait parlé récemment d’ailleurs qu’il avait envie de le voir et de voir les jumeaux. C’était comme si Swen avait lu dans les pensées de mon colocataires. «Ohh tu es le bienvenue pour souper. Je voulais faire gouter a Pacey un repas typiquement Norvégien. S’il y en a pour deux, il y en a pour trois. » J’adorais faire à manger. Du moins, depuis que j’étais emménagée ici, j’y avais repris goût. Les cupcake de couleur qui trônait au centre de la table n’en étaient qu’un bref exemple. Si je ne faisais pas des pâtisseries, je me lançais dans des soupers gastronomiques ou la confection de pot de sauce à spaghetti. C’était la semaine passée, alors que je commençais a avoir un de mes épisodique moment de nostalgie de mon pays natale que je constatai que je n’avais jamais fais gouter à Pacey mes repas préféré. Il ne fallu pas longtemps avant de décider de faire un souper typiquement Norvégien au courant de la semaine. Ayant une journée de congé aujourd’hui, j’en avait profité pour passer à la poissonnerie et à l’épicerie histoire de chercher tout ce dont j’avais besoin. J’espérais retrouver le gout de mon pays, bien que j’en doute. Ici, tout était plus gras. Sans doute l’huile qui était différente. «Par contre pour les jumeaux je n’ai pas de purée ni de truc du genre. » Je mettais du café dans la cafetière, me demandant si les enfants étaient assez vieux pour manger autre chose que du lait. De la purée, ca se confectionnait. Ce n’était pas là le problème. Il faudrait simplement que le père devant moi m’explique ce que ses jumeaux pouvaient manger et on saurait se débrouiller. Sans quoi, l’épicerie n’était pas si loin. Je me retournai vers mon invité alors que le café commençait tranquillement à infusé . «Oh on ne me le redemandera pas mille fois. » Heureuse, j’allai prendre le bambin des bras de Swen pour l’aider à aller coucher sa fille. D’un geste maternel, je serrai Lewis contre moi et lui tendis mon index que ses petits doigts attrapèrent par curiosité. Je fondais, le cœur gros et remplis d’amour. C’était officiel, plus tard je voulais des enfants. En avoir un dans les bras me le confirmait plus que jamais. «Ils sont vraiment adorable tu sais. Il te ressemble beaucoup. Enfin les yeux surtout. Et le sourire. Vous avez le même sourire. » Lewis agrippa une mèche de mes cheveux alors que je regardai son père en rigolant. « Je me suis fais un ami.» Instinctivement, je me mis à le bercé lorsque je m’assis à la table. Puis répondant à la question, je regardai Swen qui revenait vers la table après avoir bordée sa fille. «J’ai vingt ans. J’étudie en théâtre a Berkeley, et je travail aussi sur un rôle pour un Broadway qui va jouer dans le temps des fêtes. C’est super. C’est Pacey d’ailleurs qui m’a aidé à décrocher ce rôle.» Le rêve de ma vie oui. Mais ça, il n’avait pas à le savoir. J’essayais d’être humble, mais je continuais à ne pas croire que j’avais décroché se premier rôle. «Et toi? » |
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| | Sujet: Re: Nothing to remember Ven 27 Avr - 12:47 | |
| Oh, c'était vraiment gentil de la part de la jeune femme de lui proposer de rester dîner. Le garçon acquiesça doucement et lui sourit avant de répondre C'est gentil, je veux bien, mais je le répète je ne veux surtout pas m'imposer si vous aviez prévus de faire quelque chose d'autres... Il se tut quelques secondes avant de reprendre Enfin, ça sera avec plaisir... et qu'est-ce que tu appelles un repas typiquement norvégien ?! C'est composé de quoi exactement ?! Il était juste curieux de savoir ce que la jeune femme entendait par plat norvégien car il en avait aucune idée... enfin mis à part le saumon, il ne s'y connaissait pas du tout ! T'inquiètes pas pour les jumeaux, j'ai toujours ce qu'il faut dans mon sac, en cas qu'ils aient faims, ou justement qu'il y ait un contre-temps. Les pauvres, je vais pas les laisser mourir de faim ! Et puis pour ses oreilles aussi, il valait mieux que les jumeaux ne se mettent mettent pas à pleurer, mais ça c'était une réflexion qu'il préférait ne pas dire tout haut. Viktoria pourrait mal l'interpréter et il ne voulait pas qu'elle croit qu'il était un mauvais père.
La norvégienne ne tarda pas ensuite à aider le jeune homme avec un des bébés, pendant qu'il reposait l'autre endormi dans la poussette. Il était prêt à reprendre Lewis, mais vu qu'elle se débrouillait plutôt bien et que cela avait l'air de lui faire plaisir, il la laissa garder son fils dans les bras. Elle avait l'instinct maternel ça c'est certain, maintenant il n'y avait plus qu'à espérer que cela ne créait pas de problèmes avec Pacey Merci... Oui, tout le monde dit que Lewis me ressemble beaucoup, et Aylis, un peu plus à sa mère Au moins, il était sûr et certain que c'était bien ses gosses, vu comme ils avaient été conçus à la base, il aurait pu avoir un doute, même s'il avait toujours cru à ce que lui avait dit Holly. Se passant une main dans les cheveux il ajouta Et il a les mimiques de sa mère et d'une certaine façon, la manière dont il nous regarde. il lui fit un petit sourire, mais un peu plus triste cette fois-ci. Holly lui manquait énormément, même si ça aurait fait maintenant plus d'un an qu'ils n'étaient plus ensemble si elle n'était pas morte... C'est un grand dragueur, fais attention à ne pas tomber dans son piège, il ensorcèle à peu près toutes les filles qui l'approchent... dit-il en plaisantant. Puis, ils en virent à parler des études. Théâtre, de mémoire c'était comme son frère, mais il n'osait pas trop poser la question. Whoaw c'est cool pour toi, Pacey gère vraiment ! Et j'en déduis que si as eu un rôle t'es bonne aussi !! Et bien, j'ai vingt-deux ans, et j'ai arrêté mes études pour... bosser et pouvoir nourrir ces deux petits, mais sinon j'étudiais les arts du films, avec tout ce qui est scénario, production et compagnie... Mais bon, pour l'instant avec les jumeaux c'est un peu dur de tout combiner, donc là je bosse comme barman en attendant de pouvoir mieux m'organiser pour quelque chose que j'aime vraiment de ma vie. Enfin voilà, rien de bien passionnant en somme ! il avait failli dire qu'en plus de cela, il était "seul" pour élever les jumeaux enfin sans la mère, mais ce n'était pas vrai vu que Jasmine l'aidait énormément et qu'elle était un peu comme une seconde mère pour les jumeaux. Et j'étais dans la confrérie des thêtas... mais elle n'existe plus maintenant. prenant un air innocent, il continua Sampi, c'est bien la confrérie de Callum ?! oh putain, mais ta gueule Turner, ce n'était pas possible d'enchainer sur ce sujet-là dés à présent. Comme ça, si elle ne savait pas qu'elle aimait bien le beau brun, elle devait se douter de quelque chose maintenant. Génial !
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| | Sujet: Re: Nothing to remember Dim 6 Mai - 5:36 | |
| «Tu ne t’impose pas Swen, je suis certaine. Si c’était le cas, je te l’aurais fait savoir ne t’en fais pas» Dis-je en rigolant, lui faisant un clin d’œil. Cet espèce de besoin de ne pas déranger la vie des autres, je voyais bien le trait commun que Pacey et son cousin avait en commun. Ça me faisait rire. Et disons-le, ça me charmait. L’odeur du café planait dans l’appartement et m’apaisa légèrement. Souriant, je sortis un cahier dans lequel j’avais écrit de mes plus belles écritures les recettes préféré que ma mère –ou plus souvent ma gouvernante- me cuisinait. Tous les repas qui me rappelaient mon enfance et mon bout de pays, j’avais demandé à ma mère comment les faires. Ainsi, lorsque le blues du pays me prenait au cœur, je me faisais un repas du coin de chez moi. Chaque fois, ça m’avait remonté le moral. Chaque fois, j’avais réussi à aller mieux. Ou du moins, le cœur serrait un peu moins. Et en ce moment, avec l’absence d’Eirik, j’avais besoin de m’accrocher à tout ce qui était norvégien en moi pour essayer de faire taire ce vide que je ressentais depuis que ma moitié était partie. Si je jumelais à cela pouvoir m’occuper l’esprit en cuisinant, je n’y voyais que du positif. J’avais mis des marques page sur ce que j’allais faire pour souper. Heureusement que j’avais prévu en faire plus que prévu pour des restes, ainsi notre invité surprise pourrait se joindre avec nous. Et faire découvrir un peu de ma culture locale aux américains me plaisait sincèrement. Ceux qui disaient que les américains étaient fermés d’esprit n’avaient pas rencontré les gens de mon entourage, ça c’était certain. «Euh pour l’entré il y a une soupe au pois qui mijote» dis-je en me rappelant que je devais justement baisser le feu, ce que je fis immédiatement. «Et j’ai fait aussi des roulé au bacon. C’est du pain de mie fourrée au fromage de chèvre entouré de bacon c’est super bon tu verras!» Tout en parlant, je sortais les tasses, le lait et le sucre. J’avais remarqué que les américains adoraient leur café avec une demie tonne de sucre. Je ne comprenais pas pourquoi. L’amer du café, c’est ce qui le rendait si bon. Comme quoi, les goûts étaient aussi culturels. «Et au début j’avais eu l’idée de faire du poisson car bon c’est hyper typique en Norvège quoi…. Mais bon, le truc c’est que le poisson ici, je le trouve moins bon. Alors ça le ferais pas.» J’essayais de poliment dire que je ne trouvais pas le poisson frais ici. C’était méchant et gratuit. Mais lorsqu’on vivait près de la mer, on avait le palais plus fin à ce niveau, j’avais eu une longue discussion avec Eirik sur ce sujet d’ailleurs . «Alors je vous ai fait des moules à la bière avec du riz à l’orange. » J’aurais vraiment voulu faire le fameux pavé de saumon aux épinards, mais je savais franchement que ça n’aurait pas gouté comme chez moi. Et quand on clamait faire un repas de son coin de pays, on s’arrangeait pour que le gout y soit ressemblant. Alors je m’étais tourné vers une recette plus simple mais si bonne. J’aimais tellement les moules. «Et le dessert je dis pas, c’est une surprise.» Il fallait pimenter la soirée un peu. J’avais maintenant le gamin dans les bras, jouant avec ces minuscules doigts qui me faisaient totalement craquer. Je repensais à ma discussion avec Pacey sur les enfants. Il était clair qu’en voyant ces deux amours, il allait surement de nouveau penser au fait que je ne voulais pas fonder une famille avant la fin de mes études. Bien que ce n’était que deux ans, lui il voyait cela comme une éternité. Mais je ne pouvais pas mettre mon rêve de côté une fois de plus, surtout pas sur quelque chose de si majeur que ça. «Oui fait attention à lui, plus tard il sera le tombeur de ses dames. Déjà il en a mis une dans sa poche» dis-je en lui lançant un clin d’œil. «Qui est la mère au fait? » je ne connaissais aucunement la vie sentimentale du cousin de Pacey, sinon qu’il était père. Un baume vint se poser sur mon cœur à entendre les félicitations de Swen. Peu de gens savaient cette nouvelle encore, et e me surprenais encore à être étonnée de me faire dire que j’étais bonne actrice. Bien que le metteur en scène m’affirmait m’avoir pris pour mon talent, j’avais encore l’impression que si j’avais ce rôle c’était majoritairement grâce à mon colocataire. Je ne fis que souffler un «merci» callant le bambin dans mon bras, histoire d’être plus confortable. J’essayais d’être humble et sage, mais en réalité je jubilais comme jamais. «Au contraire, je trouve ça intéressant moi. C’est courageux d’avoir mis ça de côté pour les jumeaux. » Comme j’aurais voulu avoir des parents avec cette philosophie au lieu que d’avoir vécu avec deux êtres workolique que je ne voyais que trop rarement. «Vas-tu reprendre tout ça ou tu mets ça de côté le temps qu’ils grandissent? » J’espérais me faire un nom avant de partir une famille, mais une fois enceinte, ferais-je le même sacrifice que Swen et tout mettre de côté pour ma famille. Je mentirai si je disais que je serais capable. Ce pourquoi je voulais faire un maximum de trucs et avoir au moins un nom dans le métier avant de commencer à songer à tout cela. Mais Pacey et sa pression me remettaient en continuelle question. Ce pourquoi encore je doutais de notre avenir; nous n’étions pas au même point dans notre vie et nos neufs ans d’âge étaient le pourquoi. Mais ce bout de vie dans mes mains faisait battre un cœur que la raison avait beaucoup de difficulté à contenir . «Ouais Callum et moi on est ami. En fait c’était mon coloc’ durant six mois environs. Je vivais avec lui et mon frère, c’était le pied. » Des dizaines de souvenirs de notre colocations vinrent me frapper au cerveau alors que je parlais. Bon sang, il me manquait. «As-tu de ses nouvelles? Depuis que j’ai déménagée je n’ai pas eu de nouvelles. Je lui ai envoyé un texto mais pas de réponse. » Je ne pouvais lui en vouloir, il devait avoir pris du côté de mon jumeau, c’était son ami plus que le mien après tout. |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Nothing to remember Dim 6 Mai - 12:52 | |
| Hum. Puisqu'elle lui assurait qu'il ne dérangeait pas sinon qu'elle lui aurait clairement dit, le jeune décida d'arrêter de l'importuner avec cela et glissa alors simplement un merci. Il ne connaissait pas la jeune femme, mais elle avait l'air assez cool, enfin à première fois. En tout cas, ce qui était certain c'est qu'elle était bien accueillante, et c''était déjà un bon point surtout qu'il était un inconnu pour elle. La jeune femme l'invita donc à diner et lui dit que ça serait des spécialités norvégiennes... autrement dit cela n'éclairait pas du tout l'ex Thêta. Il écouta donc attentivement ce que lui disait l'étudiante avec un petit sourire Je n'ai aucune de ce c''est, mais ça a l'air très bon. en même temps Turner était plutôt du genre à être un ventre sur pattes donc c'était une réponse franchement nullement étonnante pour ceux qui le connaissait. Merci, pour l'café! rajouta t-il avant d'y mettre un sucre. Avant la naissance des jumeaux il détestait ça, et actuellement il n'en était toujours pas fan, mais cela l'aidait à tenir les journées parfois très longues, alors bon, au fil du temps il avait fini par s'habituer au goût. Viktoria ne tarda pas ensuite à reprendre la parole en disant carrément que le poisson était dégueulasse, bon c'est vrai qu'elle l'avait dit d'une manière beaucoup plus diplomatique, mais c'était une remarque qui eut le don d'amuser le jeune père. Il secoua doucement la tête avant de lui répondre En même temps le temps de le transporter, c'est normal qu'il soit moins bon, même avec tout ce qui est procédé de congélation que l'on a maintenant et qui préserve le goût... Mais bon, du poisson même un peu moins bon, il faut quand même en manger, je sais ça ?! Elle avait de la chance qu'il ne prenne pas ce genre de remarque mal, mais il avait quand même tenté de lui montrer son point de vue légèrement différent de celui de la belle brune. Pacey va supporter tout cet alcool ?! il ne se rappelait plus trop si son cousin buvait ou pas, ce n'était pas de la mauvaise foie mais il avait réellement un trop de mémoire... ce qui était assez gênant. Allez, c'est la fatigue dira t-on! C'est cool, les surprises! il avait failli rajouter "surtout quand on sait ce que c'est", mais si on connait ce qu'il y a dans une surprise, le principe même de la surprise est gâchée, donc il préféra s'abstenir de tout autre commentaire.
Puis la jeune ne tarda pas à se retrouver avec Lewis dans les bras, et Swen lui expliqua que son grand jeu c'était de charmer les personnes qui le portaient... ce qui généralement n'était pas trop dur. Les filles en général craquaient toujours sur les bébés. T'inquiètes pas... Je le surveillerais bien, mais je suis sûr qu'il fera un malheur. Si c'était comme son père, il n'y aurait aucun soucis. Vu le nombre de gammas qui étaient passés dans son lit pour une nuit, ou en tant que petits amis, plus tous les autres, sur ce côté-là Swen n'avait pas à se plaindre... enfin mis à part a peut-être que maintenant c'était vide, plus que vide ses relations amoureuses, et que le pire dans tout cela c'est qu'il avait une envie folle de s'accrocher à Callum. A la question suivante le garçon grimaça. Touché-coulé. Holly Spencer, elle était dans ma confrérie, avant d'aller chez les sampis en septembre dernier vu que les thêtas ont été fermé. Vu le regard que la jeune femme lui lançait, il voyait qu'elle n'avait pas l'air au courant. Génial, si même le nom ne lui disait rien, il allait devoir rentrer dans les détails, bref, tout ce qu'il détestait. Soupirant, il rajouta doucement: Elle est morte, il y a quelques mois... Mouais, c'était suffisant, il n'avait pas vraiment envie d'entrer dans les détails comme quoi elle l'avait trompé pendant sa grossesse, qu'ils s'étaient quittés blablabla. Pas pour l'instant.
Finalement ils changèrent rapidement de sujet, le Workers la félicita pour le rôle qu'elle avait obtenu pour Broadway. Ce n'est pas si courageux que ça, c'est surtout que je n'ai pas vraiment eu le choix. Ses pères adoptifs n'auraient jamais pu tout payer: berkeley + tout le nécessaire pour les jumeaux et compagnie, alors le "choix" avait été vite fait. Adieu les études... bonjour le monde du travail. Heureusement il avait été très bon pendant ces quelques années et n'aurait pas trop de mal à trouver un petit boulot quand serait venu le temps ! Enfin du moins il l'espérait... Je ne sais pas trop, je ne pense pas pouvoir les reprendre, de toute façon, il faudra toujours que je travaille un minimum à côté donc bon... autant ne pas les reprendre, même si ça ne me plait guère. Et finalement les jeunes gens continuèrent en causant de Callum. Le beau et magnifique et adorable Callum. Aux dernières nouvelles, je crois qu'il va plutôt bien, mais bon, je ne vais pas non plus le harceler de textos... Il ne voulait surtout pas que le sampi se sente... oppressé par ses sms et compagnie et préférait donc s'abstenir autant que possible d'en envoyer.
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| | Sujet: Re: Nothing to remember Mar 8 Mai - 2:42 | |
| J’étais contente de voir que le souper semblait plaire à l’esprit de mon invité. J’aurais eu l’air bête s’il m’avait dit être allergique au poisson ou au fruit de mer. Je ne relevai pas son commentaire sur le transport de ces aliments à New York. Ce n’était pas le temps de commencer un débat sur le sujet. De un, ce n’était pas le sujet le plus important de la vie et de deux je savais que je ne gagnerais pas car je finirais par me lasser et laisser tomber la chose. Quoi qu’on dise, le poisson était meilleur en Norvège. Lorsque je parlais de moule à la bière, la question que Swen posa me fit éclater de rire. Décidément, je n’étais pas la seule à savoir que mon colocataire n’était pas capable de prendre deux verres sans être bourré. «Oh mais il n’y a pas tant d’alcool que ça» Rigolais-je . «Pace’ ne tolère pas l’alcool, alors j’ai tout fait pour éviter qu’il ne soit pas capable de manger mon dessert. » Bon sang, les souvenirs que j’avais de Pacey bourrés étaient tellement distinct et intenses que le rouge me monta légèrement aux joues. Les souvenirs charnels de ces soirées-là furent mémorables. Si Pacey et moi vivions le début d’un retour en relation, c’était bien du a quelques bouteilles de vin qui réussissaient à faire délier nos langues trop sage et qui nous emmenaient dans les bras l’un de l’autre. Mais contrairement a avant, je ne fuyais plus les discussions qui venaient après. Bien que difficiles, elles avaient été nécessaires pour que l’on sache sur quel pied dansé ensemble. Et si maintenant il savait que mon cœur était sien, je devais toujours faire attention; il voulait toujours se marier, chose que je refusais encore pour l’instant. Et ce, peut importe le nombre de verre que j’avais dans le nez. «Contente alors que tu aimes les surprises, car mes lèvres sont sellées. » Je fis un mime de fermer une fermeture éclaire sur mes lèvres et de jeter la clé. Bien que si il ouvrait le frigo, i verrait bien ce qui attendait patiemment sa sortie pour être dévorer. Puis, le bébé bien calé dans les bras, je fis la gaffe de demander qui avait bien pu être la moitié de Swen. Si je n’avais pas captée l’éclair de tristesse qui s’imprégna dans ses yeux, ses mots me frappèrent avec la force d’un coup de poing dans le ventre . «Oh…» Putain, j’étais vraiment stupide. Je me sentais horrible d’avoir abordé un sujet sans savoir ce détail si important. « OH…»Et avoir son air, il ne semblait vraiment pas vouloir en parler. Je déposai ma tasse de café, véritablement mal à l’aise. Je voulais fondre dans le plancher pour que cette stupide question ne soit jamais sortie de mes lèvres. « Oh je m’excuse je suis tellement désolée. OH…» La première chose que je pu faire, fut de changer de sujet. C’était mieux pour lui et surtout mieux pour moi. Valait mieux retourner au sujet des enfants, et pas de la mère. Pas de malaise de la sorte, bien que le mal soit déjà fait. «Dans a vie, on a toujours le choix selon moi. Tu aurais pu continuer tu sais. C’est simplement que, pour toi ce n’était pas une option envisageable. Mais elle était là. Alors pour moi, oui, c’est du courage. » Je ne savais pas si j’étais capable de bien exprimée ma pensée, mais selon moi, ce qui pour lui n’était pas un choix aurait été tout autre d’une personne purement égoïste. « Le don de soi, ça dit beaucoup sur qui tu es.» Une personne au grand cœur. Et ce n’était qu’un euphémisme. Enfin, c’est ainsi que je le voyais. Mon coté romantique qui parlait sans doute, mais c’était réellement ainsi que je le sentais. « Tu pourras toujours refaire des classes quand ils seront plus vieux. Il y a toujours un tas d’adulte qui le font. » J’essayais de positiver, histoire de lui donner espoir. J’étais de celle pour qui les rêves de vie et les buts étaient très important. Et que peut importe le moyen et le temps, on pouvait toujours les atteindre. Si pour lui il fallait mettre le tout de côté quelques années, ce n’était pas une raison pour l’abandonner à jamais. Si je tombais enceinte demain, je n’abandonnerais jamais totalement et à jamais le théâtre. J’en mourrai. Mon sourire se fit un peu plus grand lorsque j’eu des nouvel de mon ancien colocataire. Il me manquait horriblement maintenant que j’y pensais. «Han, c’est super à savoir. Si tu le vois, tu lui diras salut de ma part et que je m’ennuie beaucoup!» Je me retenais de dire de l’embrasser, ça venant d’un garçon ca pouvait paraitre étrange. Et puis je savais que Callum avait des vu sur un garçon en particulier, il m’en avait parlé à Noël, quoi que le nom m’échappe totalement. Je terminais mon café lorsque Lewis se mis à se tortiller dans mes bras et tendis ses petites mains vers l’homme devant moi. Attendris je lançai «Ah, je crois qu’il te demande!» Tendant le gamin au père, je souris amoureusement. Ce petit m’avait totalement charmé. - Spoiler:
Je sais cest de la grosse merde, je suis désoler. Jarrive pas a rien pondre de potable depuis 2 semaine désoler :(
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