Un mois que j’avais remis les pieds à Berkeley et j’avais juste l’impression de n’être jamais partit, excepté quelques nouvelles tête par ci par là, des anciennes têtes que je ne voyais pas tout était comme avant ma pseudo cure. J’avais aussi retrouvé des têtes que je ne souhaitais plus voir notamment cet imbécile de Castello, je me serais très bien passé de lui. J’avais réussis à rattraper mon niveau en cours, même si je commençais déjà à en manquer deux ou trois, que voulez-vous on n’oublie pas aussi facilement les mauvaises habitudes ! J’avais rattrapé tous les examens de début d’année, je les avais même réussis haut la main et je me demandais toujours comment j’avais pu faire.

J’avais passé ma matinée à dormir et le reste de ma journée à éviter mon meilleure ami ou ma demi-sœur, ce qui avait plutôt été difficile, j’étais surveillé pire que la reine d’Angleterre ou le président je ne pouvais pas faire un pas en soirée sans qu’on rapporte le moindre de mes faits et gestes ! L’avantage c’est que j’étais habitué à dissimuler des choses donc je pouvais continuer ma petite vie tranquille, l’inconvénient ? Passez sa vie cacher ça va bien cinq minute. J’étais quelques peu en retard sur certains devoirs, motivée j’avais passé ma soirée à me mettre à jours pour pouvoir passer un week-end de débauche comme à mon habitude. Vers vingt et une heures, alors que je m’apprêtais à avoir terminé, il me manquait un document pour pouvoir bouclé tout ça, je regardais ma montre, je n’avais pas longtemps avant que la bibliothèque ferme, je poussais un soupir, prenait mon sac et filais à toutes vitesse. Heureusement pour moi, à cet heure-là c’était vide, ou presque. Une autre nocturnes comme moi était installé à une table, je ne la voyais que de dos, je n’y faisais pas attention, j’allais chercher mon document, faire une photocopie et repartir, c’était le plan. Pendant que la machines faisais son travail, je m’intéressais un peu plus à la demoiselle, un sourire se dessina sur mon visage j’aurais reconnus cette silhouette entre milles ! Je mis ma photocopie dans mon sac, sans vraiment en prendre soin et allais remettre le livre à sa place. Je m’approchais doucement de la demoiselle et me penchais derrières elle à son oreille pour lui chuchoter


« Tu sais que c’est dangereux de sortir seule le soir ? On ne sait jamais sur quel malade on peut tomber … »

« Un serial-killer ouai peut être, ou une demoiselle qui voudrait abuser de ton corps … ce serait bien dommage de tomber sur cette dernière ! Lui dis-je avec un clin d’œil »

Je souris à sa réaction, je l’imitais en déposant un rapide bisou sur sa joue, je la contournais pour ensuite m’asseoir sur la table, le temps qu’elle range ses affaires. Je fis un air faussement vexé face à sa dernière remarque et comme si j’étais retombé en enfance je lui tirais la langue. Maëlle connaissait parfaitement ma façon de travailler, vu qu’il y a quelques temps nous avions eu la joie de pouvoir bosser sur un projet commun, c’est grâce à ça qu’on s’est connus d’ailleurs, elle savait parfaitement comment je travaillais et que j’avais la concentration d’un poisson rouges et que j’étais plus efficaces en soirée que pour me concentrer sur mes cours.

« Serais tu en train d’insinuer que je ne suis pas sérieuse ? Tu me vexe miss Silverwood ! Quelques devoirs à rattraper, j’ai pris mon courage à deux mains et je me suis lancé dans ma tonne de boulot. Et toi toujours pas décidée à lâcher tes bouquins pour t’amuser un peu ? »

Lui demandais en m’emparant d’un de ces livres qui restait sur la table, je descendais de la table et m’éloignais un peu d’elle en agitant son bouquin. J’étais d’humeur enfantine ce soir, travaillé toute une soirée ne me réussissais pas trop ! Après avoir gardé en ma possession son lire pendant quelques minutes, je lui rendis avec un sourire.

« Je ne voudrais pas prendre ta seule source d’amusement, je m’en voudrais trop »

Lui dis-je avec un clin d’œil, je pris mon téléphone pour checker mes messages. Je reportais ensuite mon attention sur la jolie brune. Je la regardais de haut en bas, sans vraiment m’en rendre compte, je me forçais à me tirer de mes rêverie et pris de nouveau la parole.

« Ça te dit d’aller boire un verre ? »

Lui proposais-je alors qu’on se dirigeait vers la sortit. Néanmoins, le destin en décida autrement, c’est en voulant ouvrir la porte que je me rendit compte que cet dernière étais fermer à clé, je me retournais tout sourire vers la sampi, un peu gêné.

« euh … tu veux rire ? On est enfermé … »

hj; désolé pour le temps de réponse & la longueur, quelque petit soucis & mon inspiration de joue des tours ..