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when the attraction play with me - jodie

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MessageSujet: when the attraction play with me - jodie when the attraction play with me - jodie EmptyMer 30 Nov - 18:56

    JODIE & ACHILLE

    "Je déteste le roquefort, avant toi j’avais jamais vu Dirty dancing, je suis convaincu que Georges Michael est un chanteur de merde, ma cuisse fonctionne parfaitement alors je sais pas si je suis assez bien pour toi, j’ai pas de jet, j’ai pas d’appart, je dors dans un bureau... mais je sais pas comment je vais faire si je ne peux pas te voir chaque jour... "


    L'après-midi semblait longue, voilà plusieurs heures où je me trouvais dans une blouse blanche autrefois immaculée, mais maintenant, elle ne ressemblait à rien. Je n'en pouvais plus, disséquer un coeur de porc pour voir l'action du sang dans le corps humain ou la petite et grande circulation. A contrario des autres garçons de mon âge, je détestais disséquer, je pensais aux nombres de porcs qu'on avait du tuer pour ce cours. Bien sûr cela pouvait être des restes des abattoirs, mais j'avais encore du mal à me dire que j'allais devoir pendant cinq ans encore disséquer des êtres vivants ou des êtres humains morts. Personnellement, je voyais l'action de la médecine sur des êtres vivants qui respiraient encore et non pas sur des être morts, on ne pouvait pas voir notre acte et notre fierté de l'avoir secouru. C'était bien tout le contraire, on pouvait même se tromper, ce n'était pas grave, il ne pouvait plus rien ressentir ou apprécier, il était mort. La sonnerie retentit vers les trois heures de l'après-midi, j'étais en médecine avancée pour les quatrièmes années, c'était une option que j'avais prise pour suivre des cours intensifs de médecine et bientôt ce sera la spécialisation qui m'attendra. J'ôtai ma blouse afin de la suspendre avec les autres, me lavant les mains, j'entendis les dernières rumeurs ou les derniers ragots de Berkeley, des banalités qui m'intéressaient peu. J'étais au dessus de tout cela. Et je n'avais pas vraiment de temps à perdre, j'avais un rendez-vous, non un rendez-vous galant, mais un rendez-vous de travail. Oui c'est assez surprenant de ma part quand on sait que je déteste suivre des cours ou participer à toute œuvre permettant de s'en sortir. J'étais bien au dessus de cela encore une fois. Ce qui changeait le tout c'est que j'avais rendez-vous avec Jodie, une élève de première année en médecine, je lui donnais des cours pour lui expliquer des choses qu'elle n'aurait pas comprises durant ses cours, ou si elle avait du mal à avancer. Jodie était le genre de fille que je ne pouvais pas supporter. Elle représentait tout ce que je détestais, l'éternelle blonde qui fait baver tous les mecs de Berkeley. Qui n'a pas rêvé de mettre Buckley dans son lit ? Si elle ne faisait pas la une des potins des mecs, c'est qu'il fallait être à côté de ses pompes. Quand je l'ai rencontrée en septembre dernier, il s'est révélé que j'ai découvert une jeune femme blonde, et surtout très riche, le genre de personnes avec qui je ne peux pas rester plus de cinq minutes. Je suis peut-être jaloux des riches ? Certainement pas ! Je ne supportais pas leur attitude, le fait d'être riche ne faisait pas d'eux des personnes hors du commun, bien au contraire, ils ne se préoccupaient que de choses banales, comme quelle robe mettre une Prada ou une Chloé ? Quel alcool boire, du Martini ou du Gin ? Des foutaises ! Ils ne se souciaient que de ça ! Alors que nous, ou plutôt la minorité de pauvres à Berkeley ayant une bourse, nous étions sans cesse en train de nous poser la question si nous avions assez pour survivre assez jusqu'à la fin du mois, ou comment régler des sommes astronomiques en faisant les pires boulots sur terre. Mais depuis quelque temps, elle m'impressionnait, je ne la ressentais pas comme étant le genre de fille riche à tout faire pour devenir miss populaire ou la reine du bal. Elle semblait différente, si différente que je reconnaissais être attiré par cette fille. Je ressentais une attirance que je n'étais pas capable d'avouer à l'oral. C'était stupide et malsain de se prétendre "attiré" par une fille comme cela. Nous n'étions pas du même monde et elle semblait être inaccessible pour moi. Je n'arrivais pas à l'atteindre, je ne savais pas pourquoi, alors je me refusais de ressentir n'importe quelle attirance vis-à-vis d'elle. C'était surprenant de ma part, mais c'était réaliste. Je ne devais pas m'approcher d'elle.
    La bibliothèque n'était pas remplie, ce n'était pas la nouvelle collection Prada qui venait de sortir. Bien au contraire, on trouvait dans l'enceinte de ce bâtiment des filles qui ne savaient pas accorder leur vêtement ou leur maquillage. Les garçons étaient vêtus de vêtements achetés par maman pour ressembler à papa, chemise blanche et polo noir par dessus. Il n'est pas sans dire que les jeunes de l'enceinte faisaient tous un concours de repoussante. Entre les lunettes, l'acné n'étant toujours pas partie, ou les coupes de cheveux mal faites. Il fallait reconnaître que voir un garçon avec la stature d'un pompier avec un livre de médecine dans les bras n'était pas très courant dans ce genre d'enceinte. C'est pour cela que je pus attirer les regards des jeunes filles encore pures et le regard malveillant des autres garçons. J'étais connu à Berkeley pour m'envoyer autant de filles que je changeais de chemise, de faire du sport avec les athlètes et surtout que j'étais un type que nous qualifierons de voyou, vendre de la drogue dans Berkeley était une très mauvaise image pour les autres qui préféraient acheter leur ressource dans les rues étranges de la ville, mais pour les plus pressés, ils s'adressaient directement à moi, j'étais un gain de temps. Assis sur une chaise, je tâtais la feuille blanche devant moi avec un crayon à papier jaune, ouais ceux qu'on voit dans les séries américaines, le livre de médecine ouvert devant moi, je relisais le chapitre pour lequel Jodie avait du mal. Je n'étais pas vraiment attentif, mais plutôt impatient de la retrouver. Cruelle intention, j'étais fait pour me damner à baver sur elle dans son dos ? Je n'étais même pas capable de faire preuve de sérieux rien que pour une fois dans ma vie. C'était pathétique, non ? Loin devant moi, je vis une jeune femme blonde, les cheveux longs en bataille, et le regard neutre maquillé d'une teinte légère et chaude. Me levant pour me démarquer des autres, j'attirai son attention afin qu'elle puisse me remarquer et se mettre à mes côtés. « Buckley ! Si j'avais cru que venir dans la bibliothèque était l'un de tes passe-temps favoris je n'y aurais songé. Quand tu vois les autres et qu'on voit ton attitude, til y a bien une différence. »
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MessageSujet: Re: when the attraction play with me - jodie when the attraction play with me - jodie EmptyVen 9 Déc - 22:51

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On dit que rien n’arrive par accident, on se prend parfois la réalité en pleine figure, et parfois, elle s’impose lentement à nous, malgré tous nos efforts pour l’ignorer… Aujourd’hui, j’avais eu la chance de ne pas avoir cours, fait exceptionnel quand on étudiait médecine. J’avais donc décidé de mettre ce peu de temps à la disposition de mes cours à recopier et à ceux que je ne comprenais pas, mais aussi à dormir un peu, j’en avais besoin. C’est donc pourquoi ma matinée s’était réduite à trois minuscules heures, 11h00-14h00, durant lesquelles je n’avais lu que des bouquins et écrit des phrases qui n’avait aucun sens si ce n’est qu’elle parlait du cerveau et du système nerveux, de sa complexité et des signes d’une maladie neuronale. Un truc aussi barbant qu’incompréhensible surtout expliqué dans le livre de médecine. Cependant, je fis quand même l’effort d’essayer de m’y intéresser, il fallait vraiment que j’assimile cette matière. Soudain, je me souvins que j’avais mon prof particulier, Achille Finnigan, pas la meilleure fréquention de tout Berkeley, mais un des meilleurs élèves de médecine. J’attrapai mon portable envoyai un sms demandant au jeune homme de me retrouver en fin d’après-midi à la bibliothèque de l’université parce que j’avais besoin de ses services. Une fois le sms envoyé, je fermai mes cours. Il fallait que je mange et puis, maman m’avait demandé de passer à la maison, elle avait quelques choses à me montrer. Je m’habillai d’un jean, d’un chemisier rayé bleu et d’une petite veste cintrée noire. A ça, j’ajoutai un maquillage discret tout en teinte chaude et une paire de ballerines noires. J’attrapai mon sac et sortis de la chambre en fermant la porte. Un voyage en voiture plus tard, j’arrivai à la maison de mon enfance. Je garai la voiture dans la grande allée, près de celle de ma mère. Je frappai une fois à la porte et entrai. « Maman, c’est moi. » La maison paraissait vide et j’allais partir quand Mrs Buckley débarqua avec son long tablier maculé de tâches de nourriture. Apparemment, elle était en pleins cours avec Julio, notre cuisinier espagnol. « Henrietta, ma chérie ! Tu es bien tôt. Je ne t’avais pas dit 15h00 ? » J’allai embrasser maman. « Tu ne m’avais pas donné d’heure donc je suis venu quand j’ai su. Tu fais à manger ? Je peux prendre un bout ? » « Oui, j’étais en train d’apprendre à faire cuire du poisson « en papillote ». » Son accent français était à couper au couteau et je ne compris un traitre mot de ce qu’elle voulait me dire, mais tempi. « Et, oui, tu peux manger. J’avais fait des pâtes à la carbonara pour le diner. Il y en a dans le frigo. Quand tu auras fini, je pourrai te montrer ma peinture que je compte prendre pour le salon. » J’acquiesçai et suivis ma mère dans la cuisine. Je restai là une bonne heure et demie. Finalement, en sortant de chez elle, je me rendis compte que je n’aurais pas le temps d’aller faire un peu de shopping. Ce n’est rien. Une prochaine fois peut-être. Je repris ma fiat 500 décapotable et retournai à l’université. Achille allait bientôt avoir fini les cours et je ne devais pas être en retard à une séance de remise à niveau que je lui avais imposé à la dernière minute. En un petit quart d’heure, je fus à l’université malgré la circulation monstre qu’il y avait à cette heure-ci. Je me garai près de la maison de confrérie et remontai à ma chambre pour aller chercher mes affaires. J’attrapai ma farde, relus en vitesse mon cours pour au moins l’avoir un petit peu en tête, histoire d’au moins savoir de quoi j’allais entendre parler durant bon moment. Une fois tout ça fini, je pus partir tranquille vers la bibliothèque de l’université. A mon entrée dans le bâtiment, la moitié des élèves présents me regardèrent. Les filles me lancèrent des regards emplis de mépris pour ma beauté et de jalousie parce qu’elles rêvaient secrètement d’être comme moi, la plus belles filles de l’université, celle dont tous les mecs parlaient en se demandant quand l’un ou l’autre arriverait à mettre la célèbre Jodie-Elisabeth Buckley, la fille du sénateur, dans son lit. En parlant de garçons, leurs hormones se mirent en ébullition à mon passage devant eux. Sur le visage de certains d’entre eux, on pouvait apercevoir un filet de bave. Dégoutant ! Je n’aimais pas être le sujet d’une telle attention. Je préférais rester anonyme, mais avec le corps que j’avais – et que je n’avais pas demandé, mais qui m’avait bien servi dans certaines circonstances – et la renommée de mon nom de famille, j’avais du mal à passer inaperçue. Soudain, au fond de la salle, qui se leva pour me faire signe, j’aperçu Achille. Je souris. Lui non plus n’avait pas le style des habitués de la bibliothèque. Je m’approchai. Il me lança alors qu’il était étonné de me voir ici et que si on le lui avait dit, il ne l’aurait pas cru. Le beau sampi ajouta aussi qu’il y avait une grande différence entre toutes les filles ici présente et moi. Sur ce point, j’étais d’accord avec lui, il n’y avait pas photo que ces filles n’étaient pas des gravures de mode et ne le seront sans doute jamais. Je souris et m’assis près de lui. « Achille, c’est très gentil à toi d’être venu. Il faut dire que toi non plus, je ne t’aurais pas cru être un rat de bibliothèque. Comme quoi, on en apprend tous les jours n’est-ce pas ? »


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MessageSujet: Re: when the attraction play with me - jodie when the attraction play with me - jodie EmptyMer 4 Jan - 0:55

    JODIE & ACHILLE

    "Je déteste le roquefort, avant toi j’avais jamais vu Dirty dancing, je suis convaincu que Georges Michael est un chanteur de merde, ma cuisse fonctionne parfaitement alors je sais pas si je suis assez bien pour toi, j’ai pas de jet, j’ai pas d’appart, je dors dans un bureau... mais je sais pas comment je vais faire si je ne peux pas te voir chaque jour... "


    Envisager de sortir de cette bibliothèque ne m'avait pas vraiment effleuré l'esprit, j'étais absorbé par le fait de retrouver Jodie. Elle aspirait sur moi cette attraction qu'il m'était difficile de contrôler. Je n'avais pas vraiment idée de la façon dont je devais m'y prendre pour cesser toute pensée envers elle. J'étais comme attiré irrémédiablement par elle. Elle avait été la sirène qui avait chanté pour attirer mon regard et je tombais dans le panneau. Seule fois où j'avais voulu baisser ma garde. Je ne craignais rien avec elle, je n'avais pas peur de me laisser aller. Elle dégageait de sa personnalité, de sa présence un soleil. Mes yeux ne purent se détacher de son entrée pour le moins triomphale. Elle restait la seule et l'unique personne que je pouvais apprécier dans cette université. Elle avait tout le profil que je pouvais détester, elle était riche, très riche, bien plus d'argent que je ne pouvais me faire dans une vie, mais elle restait tout de même unique, comme si on avait décidé d'envoyer sur terre une magnifique jeune femme capable de montrer aux autres garces la beauté d'être soi-même. Ici, les gens n'étaient pas tous différents de la vie réelle. Ils étaient tous identiques. Il y avait les bons : ceux qui étaient là pour établir un ordre bon et soigné - fallait courir pour se rendre compte qu'ils sont complétement inutiles - ; il y a les idiots ! Et dire qu'il y en a ici, femme comme homme. Tous ne s'entendent que pour une chose l'argent, l'alcool et de quoi se défoncer. J'étais dégoûté de suivre des cours dans cette université, mais pas pour le moins heureux du monde. Je n'étais pas à plaindre, j'avais tout ce qu'il me suffisait, de l'argent, de l'air pour respirer et surtout une envie de me démarquer des autres. Je n'avais jamais été l'ange sur qui on peut se reposer ou compter, j'étais tout le contraire. Je n'avais jamais eu envie qu'on puisse m'aider. Mais pourtant, cette fille, elle avait quelque chose, elle était tout ce que le monde pouvait aimer. Elle était prodigieuse, belle et avait un bel avenir en main. Tout pouvait lui réussir. Le moindre hic c'était qu'un bâtard était complètement attiré par elle. Et je ne ferai pas de dessin sur qui est cet individu, il s'agit de moi. Je n'ai pas vraiment le profil pour être à la hauteur de ses autres prétendants. Même en tant que simple tuteur j'avais des privilèges, jamais de la vie elle n'aurait pu demander à un homme de ma condition de l'aider, je n'étais pas le seul brillant en médecine dans cette université, je n'étais pas le seul à comprendre facilement les cours, et pourtant, j'avais ce petit quelque chose qui faisait qu'elle m'avait accepté comme tuteur. « On découvre de nouvelles passions tous les jours ! Ce n'est pas surprenant de me trouver ici, sinon qui serait capable de t'expliquer de A à Z les choses que tu n'as pas comprises ? Et surtout que c'est toi qui m'a demandé de venir ici. »

    L'arrogance était mon deuxième prénom. Ce mot là je le connaissais par coeur. Disons que j'avais réussi à me l'attribuer. Quand on s'élève tout seul, on ne peut pas faire forcément les bons choix, généralement on fait les mauvais. J'étais tombé dans le lot, je n'étais pas bon niveau scolaire, je n'aurais pas été accepté dans les meilleures universités du monde non par mon niveau, mais par mon attitude qui semblait déplacée dans des milieux aisés. Je gênais, mais qui n'aimait pas voir un jeune se rebeller histoire de mettre un peu d'ambiance pour ne pas se retrouver dans une routine quotidienne ? Je n'avais pas décidé de grandir, juste de vivre au jour le jour. J'aimais cette partie de la vie, on pouvait tout faire dans un temps limité, je pouvais être le plus connard dans une minute et ensuite être l'homme le plus incroyable du monde. On avait la chance de vivre une vie qui tenait à un fil. On pouvait mourir en une seule minute et pourtant tout semblait plus beau d'être condamné. Nous prenons des risques sans avoir de rien. je n'avais pas peur de me jeter à l'eau, ni même de me dépasser. J'envisageais de prendre la vie comme elle venait, assis ici dans cette bibliothèque ou dehors à mes activités quotidiennes. J'étais révolté et je désirai vivre une vie unique dont personne n'avait le secret, je voulais être le premier et le dernier : Achille Amadeus Finnegan. M'asseyant sur la chaise en bois massif, je feuilletai les pages du bouquin qui se trouvait devant moi, décortiquant tous les mots étranges et grecs qui se trouvaient devant moi. Une feuille sur le côté, je gribouillai des croquis par l'ennui qui passait comme le vent, en courant d'air, il ne me fallut pas longtemps pour ouvrir à nouveau les yeux. La découvrir, elle, assise sur son bouquin, penchée à ma hauteur pour sans doute me montrer ce qu'elle n'avait pas compris. Je pris une longue respiration avant de pousser par la même occasion un soupir. Je ne comprenais pas comment on pouvait rester dans un endroit clos pour essayer de travailler, cela me paraissait impensable et surtout idiot. Comment on pouvait cela excitant de vivre enfermé à étudier des bouquins ? C'était un supplice, je la regardai presque émerveillé de voir qu'il n'avait que moi qui prenait du mal à rester assis ici, sans la moindre action sauf du silence encore et à nouveau. « Je ne supporte pas les ambiances de bibliothèque, j'ai l'impression d'étouffer par toi ? Comment ils font pour rester ici sans broncher toute une journée ? Ils ont pas une vie ou quoi ? J'ai l'impression qu'ici c'est leur première et unique maison. De véritables idiots ! ». Je désignai du coin de l'oeil, les élèves attentifs à leur occupation, sages derrière leur bouquin. Etudiant en prenant même du plaisir, cela arrivait à me dégoûter, ils n'avaient donc rien de mieux à faire une heure seulement de leur vie ? Ils étaient toujours coincés ici, comme si le sort de la vie était scellé sur eux. « Bien allons-y pourquoi puis-je t'aider aujourd'hui ? »
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