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MessageSujet: direction le fameux septième ciel. close direction le fameux septième ciel. close EmptyMer 19 Oct - 22:11

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    ELENA & ACHILLE
    "Je te veux rien que pour moi juste le temps d'une nuit. Tes cheveux entre mes doigts te promettent aucun ennui. j'f'rais d'mon mieux pour que tu sois la fille la plus épanouie. j'suis envieux car de toi, je me languis."


    L'être humain est animé par ses désirs, c'est ce qui lui permet de rester en vie. Il ne faut pas laisser sa raison dominer le tout. Ce serait cruel et contre nature d'y résister. Comme dit le célèbre diction « Résister à la tentation, c'est s'y soumettre ». Il n'y a aucun autre moyen de résister à la tentation. Il suffit de se plier aux règles du jeu et de ne pas résister. Après tout qu'est-ce que la tentation ? Une flamme qui anime l'être par lui-même, qui m'anime. Elle me permet de rester en vie. L'interdit est une chose qui me plait, me fascine, je ne vis que pour me brûler les ailes. Ma vie semble plus courte et surtout plus profitable. Je ne renie pas les personnes qui refusent de se soumettre à mon jeu. Mais le plus souvent, elles finissent par être des victimes de mes actions, et non des acteurs. La population de San Francisco est peuplée de ces gamins riches, sans valeur, qui ne respectent rien excepté leur propre nombril. Est-ce donc ce fardeau que je dois porter sur mes épaules ? Me faire torturer par des classes plus riches que moi ? Il en est hors de questions ! Je n'obéis à personne. Il n'est pas écrit dans la bible que je dois me soumettre aux ordres des autres. Non je me dirige vers le pêcher mortel, les sept pêchés capitaux, la luxure, l'envie, la gourmandise, l'orgueil... Tous, je les ai tous fait et ils demeurent en moi, comme si j'étais possédé par eux. Il n'est pas nécessaire que je raconte que je ne suis pas le genre idéal. Je suis loin de paraître comme lui. Je suis plus têtu que j'en ai l'air. Et jamais au grand jamais je n'arriverai à me faire dominer. Mon objectif n'est pas de finir suspendu aux plis des jupes d'une femme, il est de révolutionner, le monde, de briser le fardeau sur nos épaules, lourd qu'est celui de la vie. Notre vie ne tient que par un fil. Un simple fil qui peut se briser à tout moment.
    Il ne suffit pas de tout un blabla pour que j'explique mon mode de vie. Aujourd'hui, le pêché que je vais abordé est celui de la luxure et l'envie -si j'y arrive-. Mon objectif est de la faire craquer. Elle qui s'est soumise à un vœux de jeune mariée. Ce mariage qui a fait grand bruit dans les couloirs de Berkeley, qui ne connait pas l'histoire d'Elena à Las Vegas? Moi-même cette rumeur m'a interpellée, quel idiot voudrait se marier à l'aurore de sa vie ? Il est encore trop tôt pour qu'elle se fasse enchaîner à un homme et à un train-train quotidien. Elle doit déployer ses ailes. Et c'est là que j'interviens. Oui messieurs, vous voulez protéger vos copines, je ne suis pas l'individu qu'il faut leur présenter. Elena allait faire les frais de son interdit. Posté devant sa chambre de confrérie, j'avais passé toute la matinée à réfléchir sur son cas. Je n'allais pas la laisser me passer entre les deux. Souvent, elle me repoussait, mais elle savait résister mais peu de temps, elle était imprégnée en moi-même. Elle n'allait pas rester longtemps à ne pas avoir goûté à mes lèvres. Je me rappelais plus vraiment de notre première rencontre, mais son regard m'avait marqué, il était illuminé, radieux. Elle était heureuse de me rencontrer. Sa longue chevelure flottait dans son dos d'un air radieux, effleurant ses épaules, dessinant les courbes de son dos. Elle était magnifique, d'une beauté simple et naturelle. Elle n'était pas le genre de femmes à abuser de crayons noirs ou de maquillages douteux. Tout ce que je pouvais détester, ces femmes là n'étaient faites que pour rester sur le trottoir, c'était mon principal avis. J'avais la nausée, le coeur battant comme un adolescent amoureux qui allait voir sa copine en secret, loin de ses parents. Je ne suis amoureux, je suis même loin de l'être, mais je suis attirée par elle, par sa présence, son être. Elle me donne du fil à retordre, ne se laisse pas faire, bien au contraire, elle est l'une des premières à m'envoyer valser, ce que j'adore. Frappant à sa porte, je regardais une dernière fois mon portable, il était bien tôt dans l'après-midi, aux alentours de deux heures. Je n'avais pas perdu de temps, j'étais directement parti de chez moi après avoir élaboré un plan. Elle ouvrit la porte, un grand sourire aux lèvres. Je ne pus la laisser placer une virgule, il avait fallu que j'intervienne, c'était normal à près tout je venais à l'improviste sans l'avoir prévenue. Mais le fait de le lui dire aurait tout gâché. « Bonjour à vous miss Elena. Comment allez-vous en cette délicieuse après-midi qui ne fait que commencer ? ». M'appuyant contre l'encadrement de sa porte, je jouais les charmeurs jusqu'au bout. Il est vrai que je prenais les femmes comme des jouets je les enchainais, mais aucunes ne se plaisaient de ma personnalité. Elles savaient que je n'étais pas un tendre et je n'avais pas le visage d'un homme soumis. Bien au contraire, j'étais le feu, et elles étaient des jeunes femmes en fleur que je prenais un plaisir de brûler. J'avais souvent entendu des « connard » ; « salop » mais cela me laissait indifférent, je ne faisais de cadeaux à personnes, alors surtout pas à mes victimes, Elena était différente, elle valait le coup de se battre, même si c'était pour finir une nuit dans ses draps. Je voulais qu'elle soit mienne une nuit, elle me rendait fou. Je me donnais à elle, j'étais l'aimant qui se raccrochait à elle, je la cherchais, la voyer évoluer. Je ne loupais rien de cette jeune femme en fleur qui faisait tout pour que je l'envie. En effet, je me languissais d'elle.
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MessageSujet: Re: direction le fameux septième ciel. close direction le fameux septième ciel. close EmptyJeu 20 Oct - 18:55

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Achille & Elena ♥

    Les choses n’étaient pas toujours ce qu’elle semblait être. Tout comme les personnes. En bonne présidente des Sampi, j’avais une tendance peace and love, car même si je l’avais perdu, les vacances d’été m’avaient aidé à retrouver ce sourire qui m’avait quitté pendant tant de jours. J’étais également le genre de fille sage, à toujours réfléchir avant d’agir, à tourner la langue sept fois dans ma bouche quand j’y pensais. Et ça faisait presque une semaine que j’étais mariée sur un coup de tête, ou plutôt sur un coup de bouteille. Je ne comprenais pas ce que je venais de faire, moi me marier ? Le mariage avait tellement une grande valeur dans ma famille que j’avais vraiment honte de ce que j’avais fait. Et puis en plus avec un homme que je ne connaissais même pas, Leandro Da Pitruzzela. Je n’avais mis personne au courant de mon côté, et pourtant, j’avais l’impression qu’en passant dans le couloir, des regards interrogateurs se posaient sur moi, ou qui voulait dire « Mais elle est complètement folle celle là ». Et c’était surement ça, je devais devenir folle pour faire un truc pareil. Je n’avais pas encore Leandro pour parler d’une possible annulation ou je ne savais trop quoi. Il fallait encore que je réalisais ce qui venait de se passer. Le pire dans cette histoire était si Flavia venait à le savoir, je croyais être bonne pour une leçon de morale qui n’en finirait surement pas. Ce que je lui reprochais le plus au monde, j’étais en train de le faire : j’avais commencé par sortir de plus en plus, à jouer avec l’alcool de plus en plus, et les conséquences je les avais eus. Je priais le ciel pour qu’elle n’en sache rien.
    Dans les couloirs de l’université, les regards devenaient de plus en plus déplaisant, jusqu’au moment où quelqu’un était venu me parler de mon mariage à Las Vegas. Comment était-elle au courant ? Très bonne question, et je ne voulais pas de réponse. Dans la salle de classe d’économie impossible pour moi de me concentrer, je n’avais que les paroles de cette nana en tête sur le pourquoi d’un mariage aussi rapide, et si je m’étais mariée parce que j’étais enceinte. Il ne manquait plus que ce type de rumeur et j’étais finie au près de ma chère et tendre sœur. C’était aussi la raison qui me décidait à m’enfermer chez moi toute l’après midi, je ne me sentais pas le cœur d’affronter tout ça encore le temps de la journée. La fuite n’était pas la meilleure des solutions, mais elle me permettait un peu de repos sur le regard des autres à mon sujet. Je n’étais pas spécialement narcissique, ou égocentrique, mais cette sensation était réellement pesante. L’appartement que j’avais avec Flavia était un peu plus loin que l’université, et je rentrais donc dans la chambre à la confrérie que je partageais avec Eirik et Acideen. Ces deux là étaient en cours, je n’avais pas vraiment de justificatif à donner sur le fait que je mangeais ici, et que je passais l’après midi là en même temps. J’avais pris un sandwich sur la route, histoire de n’avoir aucune bouffe à me faire, et me changer les idées devant un bon film devant mon ordinateur. Le programme me semblait être de rêve.
    J’étais allongée sur mon lit, je m’étais changée en m’habillant d’un long tee shirt avec un short qu’on voyait à peine. Comment avoir la classe en étant habillée d’un rien ? En voici un exemple. L’ordinateur était ouvert, et le dernier film de la saga de Saw était en route depuis à peine quelques minutes que l’on frappait à ma porte. Bizarrement l’idée d’une visite me faisait sourire, et j’allais donc ouvrir en conséquence. Mes cheveux devaient être dans n’importe quel sens mais qu’importe. Achille. Quelle agréable surprise, ou du moins une charmante surprise, car oui, Achille était le genre d’homme très charmant. Posé dans l’encadrement de la porte, il prenait pas mal d’assurance dans cette position, et en tant normal ça ne m’aurait pas déçu, bien au contraire, mais maintenant qu’il y avait un contrat au dessus de ma tête qui normalement m’interdisait de séduire qui que ce soit, c’était une autre histoire. Ces mots eurent le don de me sourire, comme les fois où l’on avait pu se voir en même temps. « Bonjour à toi. Bien mieux depuis que j’ai eu la visite d’un bel homme à ma porte. ». On pouvait dire que l’homme était faible, mais on pouvait croire que je l’étais aussi. Mais il ne fallait pas trop s’y m’éprendre, j’aimais également jouer. « Que fais-tu donc devant chez moi ? Tu t’es perdu ? » avas-je dis en rigolant, et en rentrant dans ma chambre laissant la porte grande ouverte qui voulait dire : vas-y rentre. Je me dirigeais vers ma table de chevet où était posé mon ordinateur portable que je refermais, et en glissant discrètement ce qui faisait office de bague de mariage dans le tiroir que le meuble contenait. Car oui, vu la honte que j’avais de ce mariage, je ne m’amusais pas à sortir avec une bague à mon annuaire comme-ci tout était normal. « Tu veux boire quelques choses peut être ? » Je pensais qu’on ne pouvait plus manquer l’invitation à rester pour le coup. La Elena souriante, joueuse et séductrice venait de reprendre du service, bien que je tenais au valeur du mariage aussi faux soit-il. Je ne savais pas ce que Leandro faisait de son côté, mais je tenais quand même à rester un minimum fidèle, d’autant plus que j’étais comme ça dans ma nature. Je laissais Ach’ prendre ses marques dans le petit appartement, le laisser se mettre à l’aise, pendant que je me dirigeais vers le frigidaire qu’on avait. Félicitation Elena, tu viens d’inviter quelqu’un à boire de l’eau, de l’eau ou du jus d’orange. Très original, enfin vu ce que l’alcool avait provoqué comme ravage ses derniers temps, c’était peut être mieux comme ça. Quoi que en cherchant bien, je pouvais être quasi sur de trouver une bouteille dans l’armoire d’Acideen. « Alors dis-moi tout, que faisais-tu pour venir t’arrêter chez moi en ce début d’après midi ? Non loin que ça me dérange bien sûr … » Evidemment que ça ne me dérangeait pas, au contraire, j’étais assez surprise de voir qu’il avait pensé à venir ici, qu’il avait tout simplement pensé à me voir m’étonner. En attendant qu’il me réponde, je m’appuyais contre le rebord de l’évier, le dos cambrait appuyée sur le bord en inox, les jambes croisées, les mains non loin de mes hanches. Je savais que je jouais un jeu dangereux en ce moment précis. Espérons juste qu’en jouant avec le feu, je ne me brûlerais pas.
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MessageSujet: Re: direction le fameux septième ciel. close direction le fameux septième ciel. close EmptyMer 9 Nov - 17:35

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    KYARAH & ACHILLE
    "Je te veux rien que pour moi juste le temps d'une nuit. Tes cheveux entre mes doigts te promettent aucun ennui. j'f'rais d'mon mieux pour que tu sois la fille la plus épanouie. j'suis envieux car de toi, je me languis."


    Quelle style de vie pensez-vous vraiment vivre ? Dans mon cas, c'est une vie de débauche, jamais de ma vie, je n'avais eu un semblable de belle vie. Mes parents n'était plus présents ils étaient morts, il parait, en tout cas ils s'étaient débarassés de moi. Je n'étais qu'une simple merde pour eux. Fucking people ! Mes parents adoptifs n'étaient pas mieux, Mon père était un maçon, il gagnait de quoi vivre, rien de plus et ce peu d'argent était consommé par ma tarée de mère. Elle ne cessait pas de boire, une véritable alcoolique. J'étais dépendant de moi-même. Je ne pouvais rien faire, j'étais un pauvre idiot qui avait grandi tout seul, selon ma propre destinée. J'étais loin de collectionner les dollar sur mon compte en banque j'avais à peine de quoi vivre. J'étais dealer et je gagnais très bien ma vie. J'avais une bourse dans l'une des universités les plus convointées du monde. Je pouvais boire, fumer, et faire tout ce que je pouvais. Je dépendais de ma liberté, j'étais prisonnier de cette dernière. J'étais un esclave, je n'étais plus libre, mais reconnaître au monde entier que j'étais enfermé dans ce contexte c'était la pire chose possible. Je ne pouvais pas me résoudre à être aussi enfermé. La liberté était dictée par mon coeur, mais je ne captais aucune pulsation. J'étais l'homme le plus maudit sur terre, je portais un fardeau digne des histoires les plus dramatiques. Mais ma vie était telle qu'elle était, je ne voulais en aucun cas la changer. J'étais destiné à vivre comme un déserteur. Les personnes tout autour de moi étaient riches et n'avaient pas à se soucier de leur fin de mois. Je leur laissais leur vie de petits bourges. Ils n'avaient rien à faire dans cette vie, ils faisaient qu'exister. Dans le système, ils ne servaient à rien, ils dictaient leurs lois et punissaient ceux qui n'avaient rien, mais personne n'osait s'attaquer à moi. J'aimais l'idée d'être un pauvre dans cette école. Je n'avais rien à perdre mais tout à gagner, ils étaient à ma merci. Ils étaient tous là pour me voir, j'étais au milieu des attentions. Les machos de l'école avaient envie de m'éclater la figure et les blondes décolorées avaient envie de me voir dans leur lit. Mais je disais stop à toutes ces menaces. Il était temps que les gens sachent qui est véritablement Achille Amadeus Finnegan. Ce n'est pas n'importe qui. Je suis celui qui un jour réussira plus que les autres. Pourtant, comme un gosse j'ai toujours rêvé de devenir riche, de ne rien faire, de ne pas voir chaque mois passer difficilement. Et pourtant, il n'y avait rien de pire que de se sentir opresser dans leur condition de vie. Je ne donnais ma vie à personne, mais je ne prennais pas la leur.
    Kyarah, ô Kyarah, n'y a-t-il pas de déesse aussi belle que cette dernière ? Blonde, les cheveux descendant au creux de sa cambrure. Je ne pouvais pas relever mes yeux de ce dessin si familier. Mon regard était habitué à ressentir cette profonde envie de vouloir y poser mes mains. Elles me picotaient, elles étaient embrasées. Mon envie m'acclamait, me demandait de cesser à cette délicieuse tentation. Goûter au fruit de ses lèvres, m'endormir une nuit auprès de son corps dans ses draps. J'avais du mal à me contrôler. Il fallait que je reprenne le dessus de mes instincts. Sourire aux lèvres, j'étais un type arrogant et trop sûr de lui en apparence, je semblais bien plus dur qu'il ne semblait. Mais en réalité j'étais du caramel mou. J'étais mou. Trop mou peut-être. J'étais le style d'hommes à ressentir les choses mais à ne rien déclarer, le genre d'homme à tout garder pour soi, sauf quand il s'agit de sexe, mes yeux, flot de mon âme pouvait faire chavirer n'importe quel coeur et à ce jeu là j'étais le meilleur. Les courtiser, les séduire et les avoir dans mon lit. J'étais désigné par dieu pour invoquer le fils de Satan. Et Satan était en moi. Elle pouvait me dévorer de ses yeux de biche. Je pouvais sentir le souffle de sa respiration, c'était trop tôt pour se lancer dans l'eau bouillante. « Bonjour à toi. Bien mieux depuis que j’ai eu la visite d’un bel homme à ma porte. ». Un nouveau sourire. « Que fais-tu donc devant chez moi ? Tu t’es perdu ? » . Elle rigola à mon nez. Elle pensait pouvoir me faire réagir comme cela ? Elle réalisait la conséquence de ses gestes ? Elle risquait de perdre profil. Je n'étais pas celui qu'elle pensait, j'étais bien plus fort, mais j'étais facilement mielleux pour obtenir ce que je voulais et aujourd'hui elle était ma proie, ma biche, attends toi à vivre une dernière fois en liberté. « J'ai encore le sens de l'orientation, il me semble. Je ne suis pas aussi attardé qu'on peut le penser. Tu sais que les hommes ont toujours eu un meilleur sens de l'orientation que les femmes ? » Je fermai la porte derrière moi, observant tout le ménage qu'elle faisait discrètement, elle semblait ranger quelque chose dans son tirroir de table de nuit, curieux comme une fouine, il fallait absolument que je sache ce que c'était, ayant entendu la rumeur sur son mariage, une rumeur cette fois-ci réaliste, je scrutai son annuaire à la recherche d'une bague, ou d'un gros diamant, chez ces gosses de riche ! Je m'attendais à tout. Ils pouvaient payer des sommes astronomiques pour une bague avec le plus gros diamant qui pouvait exister sur terre, et ils se fichaient du prix, pour acquérir une bague d'une de ces valeurs il me faudrait certainement le restant de mes jours pour estimer en toucher un et encore. Dur vie. « Tu veux boire quelques choses peut être ? ». Je déambullai tout autour de moi, marchant dans le petit appartement qu'elle possédait, puis elle se rapprocha du frigo d'un air amical pour me servir un verre, rien de plus normal, mais avec curiosité, j'avançai pour voir ce qu'elle cachait à l'intérieur de son frigo, du jus d'orange, de l'eau ou du soda... Light en plus... Il y avait de quoi devenir fou. Où sont les alcools fraichement dosés ? Et même si il n'y en a pas, où sont les bières c'est le strict minimum. Je faisais la moue devant la visibilité de ce frigo vide, je cherchai presque à m'enfuit d'ici, il n'y avait rien à boire. Si j'avais eu envie de partir chez ma grand-mère, j'y serai allé bien avant, ah mais merde, j'ai pas de grand-mère. C'est un grand mot pour moi. Tout sourire, je la regardai dans le blanc des yeux, marquant une déception immense de ne point voir une bière dans ce frigo. « J'ai l'impression d'être chez ma grand-mère ou à un goûter de petits enfants. Tu veux me donner de la grenadine aussi ? Je ne disais pas que tu aurais de la vodka ou même de l'absynthe, mais une bière c'est trop demandé ? On croirait qu'on ait dans un supermarché de super-nains de jardin. J'ai passé l'âge de jus d'orange et le soda light très peu pour moi. Je ne prendrai rien à boire, merci tout de même babe. » Malgré tout, je ne voulais pas lui faire de peine. J'esquissai le plus beau de mes sourires avant de cligner d'un oeil. J'étais un peu.. Comment dire, le diable en personne ? Je n'étais pas digne de rentrer chez quelqu'un, j'étais exigent et j'obtenais toujours ce que je voulais et la chose que je voulais plus que tout en ce moment était elle. « Alors dis-moi tout, que faisais-tu pour venir t’arrêter chez moi en ce début d’après midi ? Non loin que ça me dérange bien sûr … ». Comment ma présence pouvait déranger quelqu'un ? J'étais le secret de l'amusement. On ne pouvait pas s'ennuyer avec moi. J'étais surtout trop prétencieux. Je n'avais peur de rien. Pas même d'une femme. J'étais irrespectueux et capricieux. L'homme parfait en somme. Ou pas. Je la regardai faire son petit cirque devant mes yeux. Elle arborait ses formes à mes yeux pour qu'ils puissent en profiter et se régaler. Seulement, il m'en fallait plus et il ne fallait pas me lancer dans le jeu, je pouvais être sadique. Je m'approchai d'elle, me laissant tomber sur elle, mais je me rattrapai aussitôt en m'accrochant à son évier avec légéreté. J'étais maintenant face à elle, les yeux dans les yeux, lèvres à quelque centimètre. Je m'approchai de son oreille pour lui susurrer : « Félicitations pour ton mariage à Cendrillon. Vegas la grande classe. Comment était-ce ? J'espère que tu as consommé ta nuit de noce ? ». Je la regardai fixement dans les yeux attendant une moindre réponse de ses lèvres.
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