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Hey Charlie Brown je squatte ta douche, merci [ Charlie ]

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MessageSujet: Hey Charlie Brown je squatte ta douche, merci [ Charlie ] Hey Charlie Brown je squatte ta douche, merci [ Charlie ] EmptyLun 8 Aoû - 5:05

Hey Charlie Brown je squatte ta douche, merci [ Charlie ] CharlieBrownLinusPicture

Déjà la première journée de cours, il me semble qu’encore hier je me trouvais assis dans mon lit à me demander ce que j’allais foutre de mon été. J’étais heureux que les cours reprennent, pas que j’avais passé un séjour de merde à Cancun loin de là, c’est juste que j’avais hâte de retrouver mes bouquins, ma vie étudiante, mais j’avais surtout hâte de retrouver mon meilleur ami. Charlie et moi étions inséparables et le fait d’être séparé de lui pendant plusieurs semaines, n’avait fait qu’accroître mon désir de revenir à San Francisco. Enfin bref, mon retour en classe ce fit relativement bien et Alcide ne c’était pas gêner pour me donner du boulot en prévision du prochain séminaire qui allait avoir lieu dans quelques semaines. Voilà les avantages auxquels on avait le droit en tant qu’assistant du professeur. Mes bouquins en main, et mon sac sur l’épaule, je m’étais diriger lentement vers ma chambre, afin d’y commencer mes travaux. Le silence qui régnait dans cette pièce me troublait. Je ne voulais pas rester seul. Ma colocataire étant absente, je me devais de trouver une solution pour venir à bout de cet inconfort et fort heureusement pour moi, au bout de quelques minutes seulement, la sonnerie de mon portable retenti. Curieux de savoir qui tentait de me rejoindre, je m’empressai de trouver mon cellulaire pour m’apercevoir que c’était Charley! Un sourire ce dessina rapidement sur mon visage à la vue de son message, qui me lançait une invitation à venir le rejoindre pour réviser. Décidément, il tombait à pic celui-là.

Sans perdre une seconde, je ramassai mes affaires et parti en direction de chez mon ami. C’est fou ce que j’avais hâte de le revoir, si bien que j’avais presque l’impression de courir. Une fois devant chez eux, je frappai et attendis qu’il vienne m’ouvrir. Lorsque je le vis venir vers moi avec son gamin dans les bras, je ne pus m’empêcher de sourire. « Hey Charlie ça va ? » Lui dis-je en entrant. « Ça fait un bail !! Qu’est-ce que tu as foutu de bon pendant tes vacances ? » J’allais poursuivre mon monologue, mais il m’en empêcha en me tendant Sidney pour que je le prenne le temps qu’il aille lui préparer son lait. Quitte à rester planter devant la porte avec le petit, je me dirigeai vers le salon ou je pris place. « Tu as bien grandit toi !! Tu sais que tu ressembles à ton père? » J’avais toujours l’air con lorsque je parlais aux gamins, mais rien de comparable à ce que j’avais d’lair en ce moment, alors que Charlie venait de me renverser le lait du petit sur la tête. « Bravo l’grand, ça va être le fun de travailler avec une odeur de lait caillé comme parfum d’ambiance ! » Je ne pus m’empêcher de rire. Je n’étais quand même pas pour lui en vouloir pour si peu. « Mais bon, j’aimerais quand même pouvoir emprunter ta douche … et quelques-uns de tes vêtements, si t’y voit pas d’inconvénient.» Qu’il accepte ou non, j’irais la prendre cette douche … il était hors de question que je bosse avec cette odeur de merde ! Je remis donc Sid à son père et parti en direction de la salle de bain. Ce n’était pas la première fois que je venais ici et je savais ou se trouvait les trucs. Une fois à la salle d’eau, je refermai la porte derrière moi sans la verrouillée et parti l’eau le temps que je retire mes vêtements. Chose faite, j’entrai dans la douche et profitai de l’eau chaude quelques instants, avant de me mettre à chanter. Je ne chantais jamais devant les gens, mais sous la douche, ça se faisait automatiquement. J’étais loin d’être un professionnel et c’est sans doute pour cette raison que ça me dérangeais que les gens m’entendent, mais bon… Charlie avait sans doute autre chose à faire que ce poster devant la porte de la salle de bain pour écouter et c’est pour cette raison que je m’étais laissé aller à le faire.

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MessageSujet: Re: Hey Charlie Brown je squatte ta douche, merci [ Charlie ] Hey Charlie Brown je squatte ta douche, merci [ Charlie ] EmptyVen 30 Sep - 2:58

Hey Charlie Brown je squatte ta douche, merci [ Charlie ] Tumblr_lpn35nDgLK1qf1gz5o1_500_large

Je vivais dans la plus parfaite des routines. Je me levais le matin, je sentais les brins de tapis sous mes orteils, je m'étirais, me levais... Je faisais tout machinalement, pile poil comme un robot. Tout était calculé, même mes relations. Bela et moi nous retrouvions le jeudi, la plus part du temps, comme nous avions tout les deux une longue pause au même moment. Nous avions perdu toute notre spontanéité. C'était assez triste, oui, mais... je m'en fichais. C'était comme si ça avait toujours été; comme si j'avais vu son corps trop souvent, et que je m'en étais lassé. Il n'y avait plus de surprise, et un plaisir de beaucoup diminué. Ça pouvait paraitre idiot, mais ça m'obsédais. Dès que j'ouvrais les yeux, ça me venait en tête, surtout parce que dans ce lit, il y avait elle, et que nos corps ne se touchaient même plus, quand avant, on dormait emboîté l'un dans l'autre, comme des pièces de puzzle. Après, on ne se croisait pas de la journée ou presque, je m'occupais de Sid, et elle, faisais... je n'en avais aucune idée, elle passait trop peu de temps à la maison, qui était pourtant la sienne aussi. Ça faisait quelques semaines que sa durait; que je ne savais pas trop faire de nous, et ça me déconcentrait, en classes. Tout ce que j'écrivais avais rapport à cela, alors, j'étais sorti plus tôt, j'avais été chercher Sid, espérant qu'une après midi père fils me changerait les idées. Malheureusement, à 7 mois, les capacités de mon microbe étaient limités, on ne pouvait pas aller marcher, ni même aller s'amuser au parc; nous devions rester à la maison, a attendre qu'il grandisse. Mes idées faisaient donc du sur place, tel un hamster dans sa roue. Mon dernier espoir reposait sur McKee, celui, qui entant que meilleur ami, était supposé me comprendre mieux que quiconque. Je l'invitai donc a réviser. Une stratégie. Je n'avais rien a étudier, moi, comme la musique n'était pas vraiment le domaine le plus demandant. Lui, par contre, en bon étudiant en psychologie qu'il était, pourrait essayer de m'analyser.

Il mit un temps fou a débarquer. Tellement, que l'heure du boire de ce petit bébé qui me servait de fils était arrivée, quand je l'entendis sonner. Je me précipitai vers la porte, pour ouvrir au sauveur qui se tenait de l'autre coté, Sidney dans les bras. « Hey Maxence. Ça va, d'un point de vu physique, oui. » il verrait bien assez tôt que le du point de vu psychologique, par contre, c'était différent. Il entra, comme il le faisait toujours, sans attendre d'invitation, me demandant comment avait été mon été. Je haussai les épaules, n'ayant pas trop envie de m'étendre sur le fait que j'étais maintenant orphelin de père; je devais apprendre a faire avec, de toute façon. Sachant qu'il allait probablement poser d'autres questions et que mon microbe allait probablement commencer à hurler de faim, je le tendis a Maxence, avant de disparaître dans la cuisine, pour préparer le lait de cette petite chose. Au loin, j'entendais les deux jacasser, ce qui fit que le temps passa assez vite, et que, sans que je m'en rende compte, le lait était déjà à la bonne température. En marchant pour aller rejoindre les autres aux salon, je remarquai que le biberon était mal fermé; je l'ouvris donc, dans le but de le refermer... ce que je n'eus pas le temps de faire. Je glissai sur un objet, et le lait quitta le biberon, pour se retrouver pile sur la tête de maxence. Sid souriait, trouvant probablement la situation très marrante, tout comme Maxence, qui me félicitait déjà. « je m'excuse, je suis une personne horrible. Tu sais où es la douche. Les vêtements, bah, je sais pas si j'ai un truc qui va te faire; peut-être des joggings et quelques tee-shirt; on fera du lavage, dans le pire des cas. » Il me remit Sidney et se dirigea vers la salle de bain. Je refis un biberon rapidement; et couchait le petit dans son lit; il avait déjà apprit a tenir son biberon, comme un grand, après quoi, je fis un tour dans ma chambre, pour prendre des vêtements propre a mon meilleur ami. Chose faite, je me dirigeais tranquillement vers la salle de bain.

J'étais là, devant la porte, bloqué. J'entendais l'eau couler de l'autre côté; j'avais tellement envie de la sentir couler sur ma peau, d'un coup. J'entendais sa voix, aussi. Il ne m'avait jamais dit qu'il chantait, et qu'il avait du talent, en plus. Je mis la main sur la poignée; je voulais en entendre d'avantage, en mélomane que j'étais. Je tournai, lentement, et poussai sur la porte. J'entrai, refermant la porte derrière moi. Je mis les vêtements propres sur le comptoir, et vis les siens étendus sur le sol. J'élevai les yeux vers le fond de la pièce, là où il y avait la douche. Je voyais sa silhouette a travers le tissu du rideau, accompagnant sa voix. J'étais aux premières loges d'un spectacle, à regarder, médusé. Ça, ça ne faisait pas partie de ma routine, loin de là. C'était beau et imprévu. Je voulu m'approcher encore un peu, mais j'hésitais au dernier moment; j'allais passer pour un voyeur ou je ne sais quoi; mais le mal était fait : j'avais déplacé quelque chose, ce qui fit un petit « pouf » a peine audible, mais qui fit quand même arrêter le spectacle qui prenait place dans ma douche. J'étais figé, que faire? Je pouvais toujours ressortir, faire comme si je venais tout simplement porter des vêtements... mais je n'en avais pas trop envie. Le rideau s'ouvrit un peu, le visage de maxence en ressortant, affichant une mine surprise – et compréhensible. Boum. Je n'avais plus du tout envie de sortir de cette salle d'eau. Fini. L'eau qui faisait son chemin sur son visage m'avait tué et enterré. Je fonçai, tel un taureau voyant rouge, vers lui. Je n'étais pas quelqu'un de très direct, habituellement, j'étais plutôt du genre à prendre 1000 détours, en attendant d'avoir l'approbation de l'autre... mais c'était différent, pour une raison que j'ignorais. Une jambe, puis une autre, et j'étais là, dans la douche, avec lui. Je sentais l'eau me couler sur le dos, mouillant mes vêtements. J'aurais pu regarder la marchandise avant d'acheter; mais pendant ma contemplation, elle pouvait s'en aller, et notre amitié serait pourrie pour la vie, alors, je signai l'achat, attrapant son visage, et l'embrassant, comme ça, sous le coup de l'impulsion, croisant les doigts pour qu'il ne me casse pas la gueule par la suite.
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MessageSujet: Re: Hey Charlie Brown je squatte ta douche, merci [ Charlie ] Hey Charlie Brown je squatte ta douche, merci [ Charlie ] EmptyJeu 20 Oct - 4:50

Hey Charlie Brown je squatte ta douche, merci [ Charlie ] CharlieBrownLinusPicture

La douche était bonne, je profitais pleinement de l’eau chaude qui tombait lentement sur l’intégralité de mon corps dénudé, pour chanter comme un con, oubliant le fait que j’étais chez Charlie et qu’il pouvait m’entendre. J’étais comme ça ! Partout où j’allais, je m’appropriais les lieux. Les autres n’avaient plus qu’à s’acclimater à ma personne et à mes habitudes. Oui j’avais un égo démesurer, mais c’est ce que les gens appréciaient le plus chez moi. Après tout, c’est ce qui faisait de moi cette personne unique et tant désiré ! Maxence le tout puissant ! Enfin bref, après ces quelques minutes de laisser aller, j’empoignai le gel douche et entrepris de me laver les cheveux. Je dois avouer que j’étais loin de me douter de ce qui allait suivre. Pour moi, Charlie avait toujours été ce mec un peu trop sage, le petit père de famille beaucoup trop sérieux. Ce mec avait une vie calculer et planifier jusqu’à l’âge de ses soixante-dix ans et je dois avouer que ce genre de chose me faisait marrer. Moi et lui étions tellement différents, mais j’imagine que c’est ce qui faisait qu’on s’entendait aussi bien.

Alors que j’étais sur le point d’en avoir terminé avec l’eau, j’entendis un bruit sourd émaner de l’autre côté du rideau. Intrigué, je tirai sur le bout de tissus pour constater qu’en réalité il ne s’agissait que de Charlie qui m’apportait des fringues. La tête que j’avais du tiré …. Putain ! Mais qu’est-ce qu’il foutait la celui-là ? Ok il m’apportait des vêtements, mais il ne pouvait pas attendre que je sorte de la douche avant d’entrer ? Moi qui détestais qu’on fasse ce genre de chose sans mon consentement … Alors là. Je le regardais, sans rien dire, est-ce qu’il allait se décider à sortir ou est-ce qu’il attendait que je lui botte le cul ? De toute évidence, il avait opté pour une chose complètement différente de ce que j’avais pu m’imaginer. Charlie était venu me rejoindre sous la douche… J’étais bouche bée. Pour la première fois depuis que je le connaissais, Silver avait réussi à me clouer le bec et encore, je n’avais rien vu ! Le mec timide que j’avais toujours connu, s’empara de mon visage et vint prendre mes lèvres entre les siennes. Est-ce que j’avais loupé un épisode ? Est-ce que j’étais en train de rêver ? Charlie, m’embrassait moi ? Il n’aimait pas une femme celui la ? Je n’avais rien contre le fait de me faire embrasser par un mec, mais la … mon meilleur ami. C’était trop étrange !

Après ces quelques secondes de questionnement intense, je fini par le repousser, l’empoignant par le collet, histoire qu’il ne s’enfuie pas trop loin. Mon regard se posa dans le siens, j’essayais tant bien que mal de comprendre ce qui venait de se passer. Mais qu’est-ce qu’il lui avait pris de faire ça ? J’avais envie de lui foutre mon poing sur la gueule, mais en même temps, je n’avais pas le droit de faire ça. Du moins pas avant de connaître les vraies raisons. Il m’avait troublé l’enculer, j’étais complètement perdu, si bien que je ne pus m’empêcher de venir l’embrasser à mon tour, profitant du moment pour venir le plaquer contre le mur derrière lui.

« Pourquoi t’as fait ça Charlie ? » Dis-je avant de reprendre ses lèvres sauvagement. « Tu sais que t’aurais pu te prendre mon poing sur la gueule !! » Au diable les questions, je n’avais qu’une chose en tête, passé à l’acte avec lui, la maintenant! Chose que je n’aurais jamais cru possible entre nous un jour. J’étais comme une bête sauvage désireuse de dévorer sa proie et en peu de temps qu’il ne faut pour dire banane, je lui avais retiré son t-shirt.

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MessageSujet: Re: Hey Charlie Brown je squatte ta douche, merci [ Charlie ] Hey Charlie Brown je squatte ta douche, merci [ Charlie ] EmptyMer 2 Nov - 21:23

Il aurait pu me frapper. Je m'en fichais comme de l'an 40 à ce moment là. J'avais mieux a faire que de me préoccuper d'un œil au beurre noir ou d'un bleu. Lui, son corps, et cette douche. C'était tout ce qui me préoccupait. J'étais attiré vers lui d'une façon que je ne pouvais même pas expliquer. C'était comme si on avait craqué une allumette dans une pile de journaux. Je brûlais, et le seul moyen pour calmer ce feu, du moins, selon mes connaissances et mes capacités, c'était d'être avec lui. là.

J'envoyais ma vie a la poubelle. Si on pouvait appeler cela une vie. Si on pouvait me l'associer.

Plus jeune, je ne m'étais jamais imaginé avoir une famille a 22 ans, être marié, stable. J'avais toujours voulu vivre quelque chose de fantastique, voyager jusqu'au bout du monde, vivre un moment dans la jungle, puis, revenir, pour m'établir et pouvoir raconter ma vie à mes enfants, avant qu'ils aillent au lit. J'aurais pu crever, me disant que ma vie aurait été complète. Mais a la place, j'avais agit trop vite. Tombé amoureux, et fait n'importe quoi. Certes, j'y avais gagné mon petit Sid, le truc le plus important dans ma vie, mais je m'étais aussi engagé a rester là, a m'occuper de lui... et de sa mère. Sa mère, dont je ne voulais même plus penser. Je préférais, et de loin, le beau brun qui était devant moi, qui me demandais pourquoi d'une façon si... lui.

J'aurais bien voulut lui répondre quelque chose de tout fait, avoir une raison précise, mais... c'était une envie, voilà, un appel, quelque chose que j'allais comprendre après des jours, des semaines, des années, mais qui pour le moment restait confus. Je savais seulement que je n'avais plus trop envie d'être son meilleur ami, que j'avais besoin de plus, de sentir sa peau sur la mienne, et des goutes d'eau me tomber dans le visage.

Il m'embrassa avant même que je puisse répondre, comme s'il comprenait parfaitement qu'il n'aurait pas de réponse satisfaisante à sa question. Je lui répondis, sentant mon dos collé au mur, la chaleur qui montait, l'eau qui se faisant maintenant plus rafraichissante que d'autre choses, avant de mettre fin au baiser, juste le temps de lui avouer que « J'en sais rien. » et de retourner a ses lèvres. Je laissai mes mains explorer son torse, monter vers ses épaules, redescendre plus bas, essayant de tout garder en mémoire, au cas où je n'ai plus l'occasion de le refaire.

Maxence était un Dieu. Rien de moins. Et je n'avais aucune idée de la raison qui m'avait poussé à ignorer ce fait précédemment. Il avait toujours été là, pourtant, mais je n'avais jamais remarqué a quel point il était... lui. Il avait tout au bon endroit, comme je l'aurais souhaité dans mes rêves les plus fous. Il avait une odeur particulière, que je ne pouvais pas identifier, même si techniquement, il avait prit mon savon. C'était juste ce qu'il me fallait, au moment où j'en avais besoin. Je le lâchai, me collant plus au mur, pour défaire la fermeture de mon pantalon ; il allait être horriblement chiant a enlever, autant commencer tout de suite, et marquer, une fois de plus, mes intentions. C'était plus difficile que je l'aurais imaginé. J'abandonnai assez vite pour retourner à lui, lui couvrir le cou de baiser. Je le voulais. Maintenant. Je n'avais plus envie d'attendre – même si bon, je n'avais techniquement, que très peu attendu, le temps d'entrer dans la douche et voilà. Le truc bien dans cette histoire? Eh bien pour une fois, il semblait que j'allais avoir ce que je désirais.
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