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We can do whatever we want ~ pv. militine.

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MessageSujet: We can do whatever we want ~ pv. militine. We can do whatever we want ~ pv. militine. EmptyLun 17 Jan - 22:37

We can do whatever we want ~ pv. militine. XtJNhRlZqO
Love is an exploding cigar we willingly smoke., Love is a trap. When it appears, we see only its light, not its shadows., I want to give you some love, I want to give you some good good lovin', We can only learn to love by loving., When you have seen as much of life as I have, you will not underestimate the power of obsessive love. MILITINE&AYMERIC

Maybe the beggining of my change. C'était peut-être le début du changement pour Aymeric. Un changement qui lui permettrait de pouvoir reprendre sa vie en main, comme il aurait du le faire depuis longtemps. Premièrement, il avait essayé de renouer un contact qu'il avait fait impossible avec sa correspondante, Catahleen. Mais le changement le plus important n'était pas celui là. Ce changement, il commenca il y a quelques semaines de cela. La scène se passe en cours de relations internationales. Aymeric obtient la note excellente de 90/100. Evidemment, la meilleure note de la classe. Mais cela n'est pas du gout de tout le monde. A la fin du cours, il entendit une vois féminine, plus ou moins crier son nom. En se retournant, il vit la plus que délicieuse Militine Léa Penrose, face à lui, et passablement énervé. La ravissante jeune femme ne supportait pas d'avoir eu la deuxième meilleure note de la classe. Alors qu'elle était en train de l'engueuler, le jeune de Lavigneres se mit à sourire. La jeune femme savait comme lui qu'elle n'avait pas de raison pour râler. C'est juste aprés ce sourire que la demoiselle surprit Aymeric. Elle poussa en arrière, pour éviter d'être sous le regard de tout le monde et embrassa Aymeric. Aprés cela, elle emmena le francais jusqu'aux toilettes pour qu'ils puissent ainsi faire leur affaire. C'est aprés cela que les deux jeunes gens se mirent, plus ou moins, d'accord sur le fait que ca se reproduirait. Que ce n'était pas juste comme ça. Ca se reproduirait et c'est celui qui aurait la meilleure note lors des différents examens qui décidera. Où. Quand. Comment. Aymeric se demandait comment il n'avait jamais remarqué plus que cela, la délicieuse Militine. Elle était le sosie de son ex petite amie, Constance, elle était dans le même cours que lui depuis des lustres. Il avait du la croiser des centaines et des centaines de fois. Et ce n'était qu'aujourd'hui que le jeune homme avait vraiment découvert Militine. Peut-être qu'avoir réellement découvert la jeune femme n'est qu'une des nombreuses choses que le jeune francais avait vu un nombre de fois incalculable mais auxquels il n'avait jamais prêté attention.

Le cours de droit international était ainsi devenu le théatre de la petite guéguerre qui finissait toujours par la même issue. Le sexe. Dans les toilettes de l'université ? Fait. Dans la confrèrie alpha ? Fait. La liste des différents lieux ayant accueilli les ébats sexuels des deux jeunes adultes étant trop longue pour être cité et les détails n'étant pas trés importants, il n'y a que peu d'intérêt à s'étendre sur le tapis des précisions. Le cours de relations internationales n'était plus qu'un prétexte. Un prétexte pour vivre une relation entre eux deux. Mais, les intentions des deux jeunes gens étaient loins d'être claires. Car il ne faut pas oublier que la jeune femme est en couple avec Woody Rutkowsi. Donc assez difficile de pouvoir penser à ce que les deux jeunes gens aillent plus loin que le sexe. Mais est ce qu'Aymeric est lui aussi vraiment dans l'état d'esprit de ne vouloir que du sexe ? Rien n'est moins sur... Car, pour le de Lavigneres, cette histoire, pour l'instant réduite au sexe, est pleine de promesses. Il n'est pas encore amoureux, enfin il ne le pense pas comme cela. Mais, contrairement à la plupart du nombre incalculable de conquêtes qu'a pu enchaîner Aymeric depuis l'accident et le décés de Johanna, il y a ce truc avec Militine. Ce truc qu'il recherchait depuis longtemps. Ce truc qui fait qu'on a l'impression de sentir son coeur sortir de sa poitrine. Ce truc que l'on a...lorsque l'on est amoureux...

C'était un mardi. Evidemment, dans l'amphithéatre, prévu pour le cours de relations internationales. Aymeric était à son habituel place, assez bien placé pour bien entednre et comprendre ce que disait le professeur; assez bien placé pour avoir en ligne de mire Militine mais tout de même assez bien placé pour passer plus ou moins inapercu. Le professeur rendait aujourd'hui un examen fait il y a déja quelques jours. Un examen qui n'avait pas été trés réussi par Aymeric, d'aprés lui. Le professeur rendit une, deux copies. Puis, la sienne. Il avait raison d'avoir eu l'impression de ne pas réussir son examen, mais avait tout de même une note correcte. 75/100. Son premier réflexe fut de prendre son téléphone portable et d'envoyer un message à Militine, évidemment.



MILITINE LÉA PENROSE
415-242-9616

We can do whatever we want ~ pv. militine. 0006ph5f-1dd2958
TO AYMERIC FROM MILITINE
Hi. 75/100. Who's the winner ?.

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MessageSujet: Re: We can do whatever we want ~ pv. militine. We can do whatever we want ~ pv. militine. EmptyMar 18 Jan - 5:58

AYMERIC & MILITINE
We can do whatever we want ~ pv. militine. Tumblr_la9xo1M6e21qdz3mzo1_500
« For one human being to love another; that is perhaps the most difficult of all our tasks, the ultimate, the last test and proof, the work for which all other work is but preparation. »

J'étais loin d'être la petite amie parfaite, au contraire je ne pouvais m'empêcher de tromper Woody à tout bout de champs. Ce n’était pas parce que je ne l'aimais pas, malgré tout ce que les gens disaient à propos de nous, cet homme je l'aimais et je savais qu'il m'aimait également. On n'avait simplement pas de respect l'un pour l'autre. Je sais qu'une relation stable et durable doit être construite sur des bases solides, il doit y avoir de la confiance et bien sur du respect. Mais ce nom respect mutuelle nous convenait à nous. Nous avions rien d'un couple banal, mais peut importe il était toujours là pour moi au fond de ce long tunnel noir. Il m'avait emporté dans cette voie de folie, je ne pouvais plus en sortir, je ne voulais pas en sortir. Je me sentais bien dans cet univers à bien moi. Là ou personne ne pouvait m'atteindre, ou personne n'arrivait à me juger. Je me sentais comme si j'étais le nombril du monde, tout tournait au tour de moi. Ce que les autres disaient à mon sujet, la façon dont ils avaient de me regarder, ne me touchait plus. Je me souviens encore vaguement l'époque ou je fessais tout pour plaire, le plus important c'était ce que les autres pensaient de moi. Mais aujourd'hui j'ai changée, la drogue ma changée. Je ne suis plus jamais moi même, toujours sur mon high. Dès que je sens un manque c'est la crise, je me sens malade. Ce matin j'avais cour de relations internationales, je n'avais pas dormis de la nuit. Au beau milieu du cour je commença à sentir les manque dans mon corps. J'avais froid et je commençais à trembler. C'est discrètement que je mis ma main au fond de mon sac pour en sortir une pilule blanche que j’avalai sans gorgée d'eau. Au nombre de pilules que je pouvais prendre en une seule journée je ne les sentais même plus passé dans ma gorge. Ce cour était sans doute le cour que j'appréciais le plus, en fait c'était le seul que j'aimais bien. Mais pas pour le contenu de ce que pouvait raconter le professeur, je n’en avais rien à foutre de ça. J'aimais ce cour parce que j'avais la chance de voir Aymeric, le beau Aymeric. Je me demande encore pourquoi j'ai refusé de lui adresser la parole aussi longtemps, son accent est très charmant finalement. Il lui avait fallu la meilleure note de la classe lors d'un examen pour qu'enfin je me décide de lui parler. Si on peut appeler ça parler, en fait j'étais en colère d'être arrivé belle deuxième, la première perdante quoi. C'est en lui criant après que je l'avais pourchassé dans le couloir de l'université à la sortie du cour. Rapidement la situation c'était en quelque sorte retourner contre moi. Ce regard, ces yeux si profonds et ce sourire à faire fondre un glacier. Je ne pouvais pas détourner le regard et je ne pu m'empêcher de l'emmener aux toilettes avec moi. Et sans vraiment se connaitre nous avions couché ensemble et j’avais aimé ça. Je pensais que ce n'était qu'une histoire d'une fois, mais rapidement nous en avions développé un jeu. Celui qui avait la meilleure note décidait ou, quand et comment nous allions nous revoir. Aujourd'hui c'était la remise d'un examen, j’espérais avoir bien réussit, mais dans l'état dans le quel j'étais depuis quelques moi m'empêchais de bien performé dans mes cours. Je n'avais pas encore reçu ma copie que je reçu un message texte de la part de Aymeric. Il avait soixante et quinze pourcent je fus étonné de voir qu'il n'avait pas eu une note plus élever, qui sait j'avais peut-être une chance de le battre. Le professeur déposa enfin ma copie devant moi, soixante dix neuf pourcent. De peu je l’admets, mais je l'avais battu. Je lui envoya alors à mon tour un message texte « 79% j'ai les clefs de l’amphithéâtre, tu m'y rejoint après le cour? » La semaine précédente j’avais pris les clefs de monsieur le professeur alors qu’il ne regardait pas et comme il m’adorait je savais que jamais il allait penser que c’était moi qui lui avait volé ses clefs. Je me tournai pour voir sa réaction et essayer de plonger mon regard dans le sien. Lorsque nous nous regardions profondément c'était comme si la terre arrêtait de tournée. J’étais déjà impatiente de le retrouver dans cette même salle, mais sans tout ces gens qui nous entouraient. J’avais envie d’être seule avec lui et de sentir son corps chaud contre le mien.
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MessageSujet: Re: We can do whatever we want ~ pv. militine. We can do whatever we want ~ pv. militine. EmptyMar 18 Jan - 14:07

We can do whatever we want ~ pv. militine. Tumblr_lcioloNKki1qablhto1_r1_500
Love is blind. And it's because love is blind that i don't see you only with my eyes but with all my body, with my skin. With my heart. And you're always beautiful. MILITINE&AYMERIC

Militine et Aymeric. Aymeric & Militine. Elle et lui. Lui et elle. Ils semblaient être si différents mais tellement proches. Lui le jeune francais, qui a perdu sa petite amie dans un accident de voiture et elle, la fille américaine de bonne famille, ancienne anorexique et accro à la drogue. A priori, rien ne les rapprochait. En cherchant un peu, on peut peut être leur trouver des vagues amitiés en commun donc quasiment rien. Rien, mis à part ce cours de relations internationales...

Soixante quinze pour cent. Une note assez faible surtout par rapport à sa moyenne de l'an dernier qui était de quatre vingt neuf pour cent, soit une moyenne digne d'un vrai alpha upsilon xi. Mais, les sorties répétés avec drew, même si ces derniers temps celles ci se faisaient rares, et toutes les autres sorties ou encore les fêtes de fin d'année avaient mis le jeune francais complétement en dehors de ses études et c'est ce qui expliquaient qu'il avait une note en somme assez décevante. La seule bonne nouvelle qui découlait de cette note. Il allait perdre. Militine allait avoir une meilleure note, il en était sur. Il lui avait, dés qu'il eut recu sa note, envoyé celle-ci par message et attendait impatiemment la réponse de la gamma. C'est à ce moment là que je sentis mon téléphone vibrer. Je l'ouvrais. 1 new message ~ Militine Léa Penrose. « 79% j'ai les clefs de l’amphithéâtre, tu m'y rejoint après le cour? » Et, mon intuition première avait été la bonne. Militine avait la meilleure note de nous deux, et c'était elle qui donnait les instructions. Elle avait les cartes en main. Une paire d'as quand je n'avais qu'une paire de deux. J'étais à sa merci. Mais c'est ce que j'éspérais le plus au moment de recevoir ma note. Militine était, en plus d'être d'une beauté sans pareil *mis à part Constance qui lui ressemble comme deux gouttes d'eau*, une fille trés ingénieuse. Il est impossible, pour Aymeric comme pour quiconque à priori, de prévoir à l'avance ce que va penser ou ce que va faire Militine. Depuis son arrivée à Berkeley, il n'avait pas manqué de "sollicitations" venant de demoiselles, attirés par le charme et le mystère,alimentés par le fait qu'il était toujours froid et distant, mais Aymeric n'en avait que faire. Aucune ne trouvait grace aux yeux de l'alpha. Ca ne l'empêcha pas de multiplier les relations d'un soir, avec l'aide de son cousin Drew, mais aucune ne lui envoya une fléche dans le coeur, rien qu'en le regardant. Aucune jusqu'à Militine. Aprés avoir lu le message de l'américaine, Aymeric se tourna vers elle. Elle tentait de plonger son regard dans le sien et lui en fit de même. Aymeric eut l'impression que toute la terre s'arrêtait. C'était le cas. Plus rien autour d'eux n'avait d'importance. Les notes des autres élèves, ce que pouvait dire le professeur. Rien n'avait une quelconque importance pour Aymeric. C'était seulement elle et lui, dans l'amphithéatre, qui se préparait à être l'hote de leurs ébats amoureux. Aymeric aurait aimé que ce moment dura tout le temps, pour l'éternité. Il n'y avait plus de Johanna, de Constance ou d'Imogen. C'était juste eux, seul dans l'univers. Mais, évidemment, cela ne pouvait pas durer éternellement et la sonnerie annoncant la fin du cours remit les deux jeunes gens les pieds sur terre. Aprés cette sonnerie si monotone, qui avait arrêté un moment aussi magique, Aymeric était un peu décu. Mais il savait que ce n'était que partie remise. Il quittait donc une salle qu'il allait retrouver dans quelques minutes, cette fois, quasiment vide. Aprés être passé en vitesse à la confrèrie pour changer de t-shirt, il retourna à l'amphithéatre. Il attenda une trentaines de secondes devant la porte. Il n'hésitait pas, il n'hésitait jamais. Il imaginait juste ce qui allait se passer. Il se décida enfin à pousser sur la poignée quand une idée lui passa par la tête. Et si le professeur était encore là, que lui dirait il. Un élève qui rentre dans une salle de classe vide, ca faisait assez mauvais genre pour un De Lavignères. Mais, il devait prendre le risque. Le jeu en valait la chandelle. Il poussa donc la poignée, et par la même occasion, la porte. Il ferma les yeux un instant et releva la tête. Et elle était là. Militine Léa Penrose était là, assise sur une table, attendant son prince charmant, en l'occurence Aymeric. Il s'approcha d'elle, tout en ne la quittant à aucun moment des yeux. Elle exercait sur lui une force d'attraction qui était si forte qu'elle était inévitable. Il étais désormais juste à quelques mètres d'elle. Alors comme ça on se la joue en mode voleuse ? dit-il en souriant. Il était maintenant juste devant elle. Il caressa la joue de la demoiselle tout en plongeant son reard dans le sien. Il pensait qu'en regardant quelques uns dans les yeux, on pouvait lire en cette personne. Mais, il n'y arrivait pas avec Militine. Il avait enviede lui crier son amour, malgré qu'il n'était pas complétement sur de cet amour, il avait envie de le crier dans toute l'université. Mais elle aimait Woody, lui n'était qu'un passe-temps. Mais mieux valait être un passe-temps que rien du tout. Puis, on ne se connaissait que trés peu, notre relation, même réduite qu'au sexe, était pour lui pleine de promesses même si il lui rêvait d'être un peu rêveur. Alors, c'est quoi ton plan aujourd'hui ? Il ne put s'empêcher d'arborer un large sourire, tout en continuant à caresser la joue de Militine, alors qu'il attendait la réponse de Militine.
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MessageSujet: Re: We can do whatever we want ~ pv. militine. We can do whatever we want ~ pv. militine. EmptyMar 18 Jan - 23:51

AYMERIC & MILITINE
We can do whatever we want ~ pv. militine. Tumblr_la9xo1M6e21qdz3mzo1_500
« Someone asked me the other day if my glass was half empty or half full. I was going to say it's empty, but that's not completely true. My life isn't void and I have my happy moments; but they usually just seem to disappear, or get worse. So, my glass is cracked. Yes, cracked. It gets filled up with happiness and hope, but it always ends up escaping my grasp. It always ends up empting out. It will never be full because it's always leaking. And one day, it will get thrown away, because no one wants a broken glass. »

Je savais que les gestes que je posais étaient mal. Aymeric représentait pour moi un pêché, ma logique me disait de ne pas m'en approcher, mais mon corps et mon cœur me disait tout le contraire. Tant pis pour Woody, après tout c'était lui le maître de l'œuvre que j'étais devenue. Je passai le reste du cour à regarder ce français, à imaginer tout ce que je pouvais faire avec lui. C'était l'histoire de ma vie, je cherchais à bien me conduire, mais je n'y parvenais pas, jamais. La douleur m'accompagnait peut importe ou j'allais parce que apparemment le mal aimait ma compagnie. Il est bien plus qu'un homme à mes yeux et c'était bien plus que de l'amour, c'est la raison pour la quel le ciel est bleu. Mais les nuages commençaient à envahir le ciel parce que je sortais encore une fois sans lui. Je n’arrivais pas à être honnête envers lui. Nous savions tous les deux que j'étais infidèle. Je sais que ça lui fait mal de savoir que je suis heureuse avec un autre que lui. Ça le rend complètement fou. Les soirs lorsque je n'arrivais pas à dormir et que je me mettais à pensé à tout et à rien, il m'arrivait de croire qu'il serait bien pour moi de laisser Woody. Je m'imaginais alors dans les bras d'Aymeric au chaud devant tous. Mais je savais que je ne fessais que fabuler dans mon monde. Jamais Woody ne me laisserais partir de sa vie aussi facilement, juste à voir la réaction qu'il a eu au départ de Bela. J'étais consciente du tempérament violent du gamma que je fréquentais et malgré que je lui tienne régulièrement tête, j'en avais parfois peur. Le cour venait de tiré à sa fin, mon français partit de son coté alors que je partie du mien. J'avais pris le temps d'aller me changer à l'appartement de Woody. Depuis que Bela avait emménagé avec Charlie et moi je passais la majorité de mon temps chez lui, tous mes vêtements y étaient. Il était là étendu sur le divan, il avait clairement prit trop drogue au cour de la journée. J'essayai de ne pas faire trop bruit, je ne voulais pas devoir lui mentir encore sur l'endroit ou j'allais. Mais manque de bol, le plancher craqua sous mes pieds et c'est un Woody agressif qui se réveilla. C'est en vitesse que je me changeai, il m'embrassa sur la joue avant de me tirer par les cheveux tout en m'interrogeant sur mes intentions. Je lui répondis que je n'allais pas être partie bien longtemps et que j'allais passé le reste de la journée en compagnie d'une amie. Un mensonge que je n'avais pas besoin de dire, car nous savions tous les deux ou j'allais, du moins ce que j'allais faire. Notre amour, notre souffrance, je pouvais aussi bien prendre une arme et le lui la mettre sur la temple et sa ferrait pareil. J'allais sans doute causer la fin de ses jours. J'avais finalement réussit à quitter cette appartement sombre suite aux menaces de se drogué. De retour à l'université je m'empressai de retourner à l’amphithéâtre ou j'étais il y a moins d'une heure. J'ouvris la porte, la salle était complètement vide. C'est sur un bureau que je m’installai en attendant ce charmant français. J'étais là depuis à peine cinq minutes lorsque j'entendis la porte s'ouvrir. Je mis alors à penser que ce n'était peut-être pas Aymeric, mais le professeur qui avait oublié quelque chose, de quoi j'aurais l'air assise là sans raison valable. Je m'étais créer cette peur pour absolument rien, c'était bel et bien Aymeric qui entra dans l'amphithéâtre complètement vide. Il s'approcha de moi, j'avais l'impression qu'il marchait au ralentit comme dans les films. J'avais qu'une seule envie et c'était de lui arracher tous les vêtements qu'il portait. « Alors comme ça on se la joue en mode voleuse ? » J'étais une gamma après tout le vole était ma nature à ce qu'il parait. « C'est plus fort que moi, quand je vois quelque chose que je veux, je le prend. » Je lui souris légèrement, il était rare que je souriais, mais en la présence d'un aussi beau jeune homme comment pouvais-je faire autrement. Le beau brun caressa ma joue, j'en eu des frissons dans tout le corps. De nouveaux nous plongions notre regard l'un dans l'autre, ce que je me perdais dans ces beaux yeux ténébreux. J'avais beau en savoir très peu sur lui, son regard me réconfortait. « Alors, c'est quoi ton plan aujourd'hui ? » Mon plan il était simple, j'avais l'intention de me retrouver sans vêtement le plus rapidement possible. Je m'approchai de lui jusqu'à se que ma tête soit près de la sienne et je lui chuchota à l'oreille; « Mon plan, il est simple et il ne contient pas de vêtements. » Il sentait bon, tellement bon. Cela fessait différent de l'odeur d'alcoolique drogué que Woody avait. Je passai ma main sous son t-shirt afin de sentir sa peau. Je le voulais et il avait envie de moi c'était évident. Plus il me désirait et plus j'avais envie de le faire languir. J'étais cruelle, mais j'aimais ça.

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MessageSujet: Re: We can do whatever we want ~ pv. militine. We can do whatever we want ~ pv. militine. EmptyMer 19 Jan - 11:19

We can do whatever we want ~ pv. militine. XtJNhRlZqO
my life was a lot of deceptions et misfortunes. I was in a hole. And when i was at my lowest, i've met you. you've changed my life. you had give me a reason to live. MILITINE&AYMERIC


Il savait que la chose qui l'attendait était la souffrance comme toujours la souffrance. Lui aimait Militine mais elle aimait Woody. Elle ne le quitterait pas pour lui. Et il lui faudrait des années, comme avec Johanna, pour s'en remettre. Il savait qu'il ne devait pas tomber amoureux, que l'amour n'était qu'une chimère ou tout du moins un sentiment qui ne dure qu'un temps, jusqu'à ce que l'un, fatigué de la situation, choisisse de partir, laissant l'autre seul, le coeur brisé. I savait qu'il n'aurait pas du venir, pas du commencer une relation qui ne ferait que déchirer son coeur déja meurtri. Mais, il ne pouvait pas s'en empêchr. A croire qu'il voulait souffrir, qu'il se disait qu'au moins, avec la souffrance, on ne peut pas tomber plus bas. Alors qu'avec l'amour, on se sent comme un funambule. Sur un fil, le moindre faux pas vous faisant redescendre au plus bas, face contre terre, le coeur brisé impossible à réparer. Il avait mis tant de temps à se remettre de la perte d'un être cher et il allait repartir sur la même voie, toujours la même voie. La voix qui briserais son coeur, en mille morceaux et personne pour l'aider. Malgré ces pensées obscures, Aymeric ne pouvait s'empêcher de s'imaginer avec elle. Devant tous, pouvant crier son amour à sa classe, à toute l'université, à tous les Etats-Unis, à tout le monde. *je t'aime, Je t'aime, JE T'AIME !* Aux yeux de tous, ils pourraient être heureux. Mais, elle ne pouvait pas l'aimer comme il l'aimait. Il était dans son monde, se faisait des films et s'inventait une vie. Il savait que la réalité était tout autre. Militine était avec Woody et elle l'aimait. Point barre. Mais pour le moment, dans l'amphithéatre, il n'était plus dans son monde. Il était dans leur monde. Un monde rien qu'à eux, où personne ne peut les déranger. Un monde où le temps passe au ralenti comme dans les films. Un monde où l'on ne reste pas longtemps habillé. Ne pouvant m'empêcher de toujours être un poil sarcastique, il entama donc avec Militine. « Alors comme ça on se la joue en mode voleuse ? » « C'est plus fort que moi, quand je vois quelque chose que je veux, je le prend. » Peut-être que c'est ce qu'elle se disait pour lui. Peut-être qu'elle l'avait voulu sur le moment, malgré qu'elle était en couple avec Woody, et qu'ensuite, elle le laisserait. Comme elle laissera les clés quand elle n'en aura plus besoin. Mais, malgré qu'il se faisait des films, soit en rêvant d'elle et lui se baladant dans Berkeley, l'un contre l'autre. Soit en la voyant repartir, sans même un au revoir, vers Woody, il ne pouvai s'empêcher de rentrer dans le jeu de Militine. Alors, c'est quoi ton plan aujourd'hui ? » « Mon plan, il est simple et il ne contient pas de vêtements. » Evidemment. Leur relation était exclusivement sexuelle. Au départ, ca lui allait trés bien, il n'avait aucune intention de se caser avec elle, ni même de tomber amoureux. Mais, voila le destin en a décidé autrement. Il aurait pu rencontré n'importe quel autre fille de Berkeley, il aurait couché avec elle, peut-être ds centaines de fois mais ne serait jamais tombé amoureux. Mais, c'est comme ça. Militine était peut être son "ame soeur", même si il ne croyait pas à ces choses là. Il voyait cela comme une chimère inventé par l'homme pour faire penser à tous les célibataires que quelqu'un les attend quelque part, dans le monde. Il n'y croyait pas, et pourtant, il y pensait sérieusement lorsqu'il était en compagnie de Militine. Mais il y avait forcément un problème. C'était Aymeric et Militine ou Woody et Militine, en aucun cas ca ne pouvait être les deux. Il ne voulait par s'immsicer dans leur couple, il n'en avait pas le droit. Et pourtant, il ne pouvait pas faire autrement. L'attirance était trop forte. Son cerveau lui disait de ne plus penser à elle mais son coeur lui disait totalement l'inverse. Mais, on en oublie l'essentiel. La pièce vide, juste agrémentée de deux jeunes gens. La demoiselle avait tout de suite dit ce qu'elle voulait. Se retrouver sans vêtements, rapidement. Aymeric était à quelques centimètres d'elle. Il se baissa un petit peu pour pouvoir embrasser l'épaule, le cou, les joues puis enfin la bouche de Militine. Alors qu'il l'embrassait, il se retira et recula. Elle le regarda assez bizarrement, visiblement énervé d'avoir stoppé ce baiser. « Militine, je crois que je ... enfin il faut que je te dise que je...non, laisse tomber... ce n'est pas important » *Qu'est ce que je suis con, j'ai failli lui dire ... lui dire que je l'aimais.* Il ne pouvais'empêcher d'être comme ça. Il ne pouvait pas faire les choses à moitié. Lorsqu'il avait rencontré sa correspondante, il l'avait repoussé et avait été impoli voire même méchant. La c'était la même chose, même si c'était dans l'autre sens. Il ne pouvait pas garder son amour pour elle, enfoui au plus profond de son corps. Au plus profond de son âme. Au plus profond de son coeur. Conscient d'avoir un peu plombé l'ambiance sexuelle qui régnait dans la salle, il se rapprocha pour continuer à embrasser la demoiselle avant de reprendre les choses sérieuses. Il embrassai la belle jeune femme quand elle...
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MessageSujet: Re: We can do whatever we want ~ pv. militine. We can do whatever we want ~ pv. militine. EmptyVen 21 Jan - 7:59

AYMERIC & MILITINE
We can do whatever we want ~ pv. militine. Tumblr_letofzshb0...q0o1_500-24b77a5
« But I could not recall a more perfect fall, cause when I looked up into your eyes it didn't hurt at all. This could be a brand new start, with you. And it will be clear if I wake up and you're still here with me in the morning. »

La vie ne vous mène pas toujours là où vous aurez aimé être. Depuis les derniers mois j'avais complètement changé, enfin j'étais redevenu celle que j'étais à l'âge de quinze ans, une personne horrible sans réelle but. Je me retrouvais à un endroit où je ne savais comment en sortir et où personne ne pensait m'y voir un jour. J'avais pourtant tout pour moi, j'avais reçu une bonne éducation, je venais d'une famille qui possédait une grosse fortune et mes parents m'avaient toujours aimé. Personnes n'arrivait à comprendre pourquoi je n'étais pas normale, pourquoi je devais à tous prix me détruire de la sorte. Je n'arrivais plus à penser, mon corps fonctionnait par lui même. C'était sans doute toutes les drogues que je prenais qui me mettaient dans cette état lamentable, mais j'en avais rien faire. Depuis que j'avais commencé à fréquenter Woody je ne voyais pratiquement plus mes amis, je passais la majeure partie de mon temps en sa compagnie à faire Dieu seul sait quoi. Tous croyait que notre relation n'allait pas durer plus de deux jours, mais nous sommes ensemble depuis plusieurs mois maintenant, je me sens enfin moi même quand je suis avec lui, il est le seul à ne pas me juger et à me laisser prendre toute la drogue que je veux. Si je meurs d'une overdose il en sera sans doute responsable. Je sais qu'il n'est pas bien pour moi, mais je ne vois pas pourquoi je mériterais mieux que lui après tout je les méritais tous ces coups. Je ne voyais surtout pas pourquoi quelqu'un comme Aymeric voudrait bien de moi dans sa vie. Après tout nous étions très différent, lui était un alpha qui prenait ses études au sérieux comme tous les autres alphas du campus tant qu'à moi je fréquentais les gammas, une confrérie tout à fait à l'opposé que celle à la quel le jeune français avait adhéré. Au fil du temps je m'étais persuadé que tout ce qu'il attendait de moi c'était que je me déshabille. Il avait sans doute cru que j'étais une fille facile, qui couche avec pratiquement tout se qui bouge. Et il n'avait pas tord du tout de croire une tel chose. Une chose est sur, on ne pouvait pas me surnommé marie. J'aimais être désiré de tous. Cela prouvait que tous les efforts que je mets afin d'être la plus jolie portaient fruit. Mais peut importe la raison pour la quel il avait voulu de moi ou pourquoi il continuait de me désirer, j'aimais sa compagnie. Malgré tous les problèmes que ma vie contenait en ce moment, quand j'étais en sa présence j'oubliais tout. Tout ou presque, lorsque je ressentais un manque terrible de drogue, je ne pouvais m'empêcher d'y pensé. Ce n'était plus ma tête qui contrôlait cette partie de ma vie, mais mon corps, il m'en demandait toujours plus. Mon amant s'approcha de plus en plus de moi, puis il se mit à embrasser l'épaule, le cou avant de m'embrasser sur la bouche, je fermai les yeux pour profiter au maximum de ce baiser. Jamais Woody ne m'avait embrassé de la sorte, avec amour. Pourtant bien qu'il n'y avait pas de réel amour entre Aymeric et moi, j'avais l'impression que ses baiser était emplit d'amour profond pour moi. Soudainement, l'alpha arrêter ce baiser et fit un pas vers l'arrière. J'étais furieuse, j'avais remporté notre petit jeu, c'était moi qui devais dicter les règles, mais pourtant il avait tout de même stoppé ce baiser bien qu'il connaissait les règles. « Militine, je crois que je ... enfin il faut que je te dise que je...non, laisse tomber... ce n'est pas important. » Il avait donc arrêté ce merveilleux moment pour absolument rien, comment avait-il osé faire ça? S'il avait prit cette décision il devait aller jusqu'au bout. Il ne pouvait pas s'éloigner de moi pour rien, il devait me cacher quelque chose. Sans doute qu'il voulait me dire qu'il ne voulait plus qu'on se voit. Quelqu'un lui avait sans doute parlé du comportement de Woody, je lui avais dit que j'avais un petit ami, mais jamais je ne lui avait parlé de la relation que j'avais avec lui. Il devait avoir peur et préférait ne plus avoir affaire à moi question de se sentir plus en sécurité. Mais je devais savoir ce qu'il allait dire, je ne supportais pas de rester dans l'ignorance. Avant même que j'ai le temps de dire quelque chose, le beau français s'approcha de nouveau de moi et m'embrassa une seconde fois. Mais j'étais trop curieuse, je devais connaitre ses pensés. Je le regarda d'un regard suspicieux avant d'ouvrir la bouche.« Qu'allais-tu dire? Tu ne pas arrêter de m'embrasser et finalement ne rien dire du tout. » Je m'éloigna un peu de lui en attendant une réponse de sa part. Je pris mon sac, l'ouvris et en sorti une petite boite métallique qui contenait plusieurs pilules de toutes sortes. Si Aymeric ne voulait plus de moi j'allais remédier aux problèmes. Un peu d'extasie ne lui ferrait sans doute pas de mal. Il en avait sans doute jamais prit, mais il y a une première à tout. Je pris une des pilules dans entre mes doigts et la tendis vers Aymeric. « T'as envie de faire de l'extasie? »
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MessageSujet: Re: We can do whatever we want ~ pv. militine. We can do whatever we want ~ pv. militine. EmptyVen 21 Jan - 19:27

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« when i'm sad, i'm thinking on you and i stop being sad, after i refind a awesome instead. we could take a new start, you and me. forget the past and build the future. » MILITINE&AYMERIC

Lorsque l'on pense que la vie est contre vous, qu'elle vous met à l'épreuve pendant trés longtemps, qu'elle ronge votre âme ainsi que votre coeur, qu'elle vous fait si mal que vous voudriez mourir, qu'elle atteint votre cerveau sans vous rendre fou mais en faisant qu'il est impossible d'oublier. Même au bord du suicide, elle vous remet dans le droit chmin, histoire que vous ne puissiez échapperau destin qui vous est promis. Et alors que l'on pense que tout est foutu, c'est là qu'arrive le rayon du soleil, aprés la traversée du désert arctique. Et en grand sadique qu'est le destin, il se trouve que ce rayon de soleil est la petite amie d'un toxicomane qui pourrait vous tordre le cou pour avoir sa dose. Mais comment aprés des années de galère, le jeune De Lavigneres pourrait ignorer ce signe du destin qui a voulu qu'Aymeric rencontre Militine. Ou quand deux opposés s'attirent. L'alpha et la gamma. Tout ce qu'elle attendait d'Aymeric, c'était du sexe. Qu'il se déshabille, qu'ils fassent l'amour et qu'ils repartent comme il était venu. Aymeric en était persuadé. Militine était en couple avec Woody, elle l'aimait et Aymeric n'était qu'un passe temps. Comme quand on t'offre un nouveau jouet, tu joues avec et quand il te lasse, tu le laisse dans un coffre à jouet, l'oubliant complétement, de son odeur corporel à son visage, oubliant même le nom de ce jouet. Aymeric éspérait tellement être plus que ça mais il lui arrivait tellement souvent de se faire des films et à s'imaginer des choses. Il était impossible de prévoir les réactions de la jeune femme. Alors qu'Aymeric avait commencé à embrasser le corps de Militine, ses lèvres purent enfin toucher celle de la belle. Ce baiser était indescriptible, empli d'amour, si profond. Mais était-ce juste mon amour ou alors Militine avait aussi de vrais sentiments amoureux pour le bel alpha. Elle dictait les régles. Elle était la maîtresse du jeu, au moins pour aujourd'hui. Malgré qu'il connaissait cela, son cerveau l'obliga à stopper le baiser le plus passioné de sa vie et à reculer. Militine paraissait furieuse que j'eus osé outrepassé les régles de notre jeu. « Militine, je crois que je ... enfin il faut que je te dise que je...non, laisse tomber... ce n'est pas important. » Il ne savais pas ce qui l'avait pris. Il avait failli avouer à une fille en couple et amoureuse, qu'il était amoureux d'elle, alors qu'il n'avait quasiment fait que coucher avec elle depuis qu'il s'était rencontrés, et qu'il savait cet amour impossible. « Qu'allais-tu dire? Tu ne pas arrêter de m'embrasser et finalement ne rien dire du tout. » Il ne pouvait pas lui dire cela. Lui dire ça lui paraissait comme de mettre fin à cette relation purement sexuel mais qui pouvait devenir bien plus que ça. Alors qu'elle attendait une réponse de sa part, elle se tourna et alla chercher quelque chose dans son sac. Elle en sortit une petite boîte métallique. Et de cette petite boîte métallique, Militine sortit une petite pilule. « T'as envie de faire de l'extasie? » La proposition de Militine surprit Aymeric. Il n'avais fait usage de drogue. Mais, c'était Militine qui lui proposait. Peut-être se disait-elle que sous extasie, il lui avouerait ce qu'il allait dire. « Militine, ma belle Militine. Ce que je voulais te dire, ce n'est pas n'importe quoi. Mais, je n'ai pas envie de te le dire. Car si je te le dis, notre relation ne pourra plus être la même. Cette simplicité et le fait que tout ce qu'il y a autour de nous n'a aucune importance lorsque nous sommes ensemble, tout ça ne pourra plus exister si je te le dis. Ce n'est pas ce que je veux. Mais si ce que tu veux, c'est savoir le fond de ma pensée, ce que je voulais te dire, je te le dirais.» Mais, il restait encore une chose à éluder entre eux. Cette histoire de drogue. Pouvait-il réellement refuser quelque chose à Militine ? Si son cerveau lui disait de refuser, le reste de son corps lui disait d'accepter. « C'est ce que tu utilise, lorsque tu veux oublier. Tout oublier pendant un laps de temps. Oublier et enfin ne plus penser à tous tes problèmes, tous tes soucis, tous tes tracas ? Il re regarda la main que lui tendait Militine, où se trouvait la pilule. Puis, il regarda le visage de Militine. Et alors qu'il se disait que ce n'était pas une bonne idée, Aymeric prit la pilule et l'avala, sans même un gorgée d'eau. Peut-être qu'il dira des choses qu'il avait décidé de ne pas dire. Peut-être que la drogue le ferait partir en vrille. Mais au moins, il pourrait comprendre celle qu'il pense aimer, comprendre pourquoi est ce qu'elle se baladait toujours avec cette boîte métallique. « The game will be start. We're only two actors. It's you and me. Just you and me. » Il dit cela tout en se rapprochant à nouveau de Militine...
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MessageSujet: Re: We can do whatever we want ~ pv. militine. We can do whatever we want ~ pv. militine. EmptyVen 21 Jan - 21:26

AYMERIC & MILITINE
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« You don't need to know any of this. But the things I don't reveal are the things I hold closest and fear losing the most. I work overtime keeping them veiled and camouflaged. You don't need to know that I walk around all day fearing the things that make me happy, and that I have been doing that for my entire life. »

Il m'arrivait de me demander pourquoi j'étais devenue cette personne. Je ne me rappel plus la dernière fois où j'ai vu mes propres yeux ou la couleur de ma peau. Personne ne comprend ce que c'est de se sentir laide à tous les jours, personne à l’exception de Woody. J'avais l'impression qu'il me comprenait, il était le seul à se sentir de la même façon que moi. Mes amis, ma famille on beau le blâmer pour tout le mal qu’il me fait, mais la dure réalité est qu’il y a qu’une seule personne à blâmer pour tout ce mal et c’est moi-même. J’aimais ne pas être seule dans cette merde. Je pouvais enfin être moi-même devant lui, je n’avais pas besoin de mettre ce masque que je devais porter tous les jours. Ce masque qui donnait l’impression à tous que j’étais heureuse, que je n’avais aucun problème, que j’allais bien. Combien les gens peuvent être naïf parfois il suffit de leur dire ‘’oui je vais bien’’ et ils ne posent pas plus de questions, après tout je n’aurai sans doute pas envie de leur raconter ma vie et mes souffrances. Je n'arrivais même plus à me regarder dans le miroir, pas seulement parce que je me trouvais laide, mais parce que je me détestais plus que tout. Je n'aime pas du tout la personne que j'étais devenu, cette fichu maladie m'avais complètement changé, je ne me reconnaissais plus. Ce n'était pas mon reflet que je voyais dans le miroir, ce n'étais qu'une illusion de moi même. Depuis que j'avais quinze ans je traînais avec moi le fardeau d'être anorexique, je n'avais pas choisit d'être comme ça. C'était comme si c'était la seule solution à mes problèmes. Quand je contrôlais ce que je mangeais j'avais toujours eu l'impression de contrôler ma vie entière. Je n'ai qu'une vie, je ne suis qu'un animal sale et désespéré. Je me prosterne devant mon faible cerveau aux tendances primitives. Les gens me regardent mourir de faim, sans dire un mot pour la plus part. J'ai simplement envie de m'évader, de quitter ce monde dégoûtant. Mais je suis prise dans cette boucle infini d’autodestruction, souffrante à cause de mes vices égoïstes, je suis prise dans cette boucle infini d’autodestruction, souffrante parce que je n'ai plus confiance en moi même ni en personne d'autre d'ailleurs. Cette anorexie qui m'a gâché la vie, celle à cause de qui je ne peux sortit de chez moi sans être maquiller, celle à cause de qui je me cache les yeux derrière mes cheveux. Je ne veux pas voir le monde, je me refuse de voir des gens heureux. Je ne supporte pas les gens qui sourissent, je serai prête toute pour les rendre aussi malheureux que moi, si seulement j'en avais la force. Je me sens faible, j'ai l'impression que je me tue à petit feu. Bientôt je serai qu'un petit ta de poussière qu'on s'empressera de mettre à poubelle. J'avais l'impression que je ne méritais pas toute l’attention qu'Aymeric me portait, pourquoi il était toujours aussi gentil avec moi. J'avais parfois l'impression qu'il n'arrivait pas à me comprendre et que c'était pour cette raison qu'il traînait avec moi. Mais si j'arrivais à le faire entrer dans mon monde, dans ma souffrance alors peut-être que je le mériterais. J’avais envie d’être avec lui, mais ma tête me disait sans cesse que c’était impossible. Trop de choses nous séparaient l’un de l’autre. La seule chose qui nous unissait c’était le sexe et le désire que nous éprouvions l’un envers l’autre. J’avais rarement trouvé un homme aussi beau que lui, aussi intriguant que lui. C’était sans doute pourquoi je ne pouvais m’empêcher de toujours avoir envie de le revoir, je voulais être apte à le comprendre, à tout savoir sur lui, même si nous parlions que très rarement de nous. Ce que je savais à son sujet je l’avais appris des gens qui parlaient dans les couloirs de l’université. J’avais entendu dire qu’il avait perdu sa petite amie, elle était morte, mais je ne savais pas de quel façon elle était décédé et depuis quand. Il ne devait pas être prêt à s’engager dans une autre relation s’il venait de perdre sa petite amie. « Militine, ma belle Militine. Ce que je voulais te dire, ce n'est pas n'importe quoi. Mais, je n'ai pas envie de te le dire. Car si je te le dis, notre relation ne pourra plus être la même. Cette simplicité et le fait que tout ce qu'il y a autour de nous n'a aucune importance lorsque nous sommes ensemble, tout ça ne pourra plus exister si je te le dis. Ce n'est pas ce que je veux. Mais si ce que tu veux, c'est savoir le fond de ma pensée, ce que je voulais te dire, je te le dirais. » Je ne comprenais pas ce qu’il voulait dire. Pourquoi était-il si vague? S’il ne voulait pas que notre relation s’arrête, que voulait-il me dire alors? J’avais envie de savoir, mais j’avais peur des mots qui allaient sortir de sa bouche. J’avais peur du changement, je ne voulais pas que rien ne change et ce dans tous les aspects de ma vie. Je me devais d’être en contrôle et en ce moment je ne métrisais absolument rien. J’avais vraiment besoin de m’évader, je ne voulais plus sentir cette réalité lourde sur mes épaules. « Pourquoi tu me fais ça? J’ai envie de savoir, mais tu me fais peur. Pourquoi notre relation aurait à changer? C’est nous qui décide et si on veut que tout reste comme ça alors tout restera comme en ce moment, c’est aussi simple que ça, non? » Je mis le plus d’efforts possible pour ne pas m’énervé. Aymeric était beaucoup trop sympathique pour que qui qu’on que ose lui crier après. Je pris une grande respiration pour me clamer un peu, mais je savais que la seule chose qui pouvait réellement me clamer c’était ma drogue, cette fichu drogue qui fessait de moi ce qu’elle voulait. Comment était-il possible d’être contrôler par quelque chose d’inanimé? Je n’en avais aucune idée, mais je laissais tout de même cette chose gérer ma vie. « C'est ce que tu utilise, lorsque tu veux oublier. Tout oublier pendant un laps de temps. Oublier et enfin ne plus penser à tous tes problèmes, tous tes soucis, tous tes tracas ? » Le beau français avait réussit à lire en moi, ce n’était pas compliquer à comprendre. Mais j’imagine qu’avec le décès de sa petite amie qu’il a lui aussi envie d’oublier certaines choses, de ne plus pensé à rien, d’être dans un autre monde. Il n’était peut-être pas si parfait que ça après tout. « Hum … j’imagine que oui, je ne sais plus, la drogue me contrôle … » Je n’avais jamais avouer à quel qu’un que j’étais accro, quoi que c’était facilement visible aux yeux de tous. Mais aujourd’hui je me sentais en confiance avec Aymeric, je ne sais pas pourquoi, mais j’avais l’impression que je pouvais me confier à lui sans avoir peur qu’il répète ce que je lui disais. Il regarda ma main pendant un instant avant de se décider et d’avaler la pilule d’un coup, je fis de même. Il ne restait plus qu’à attendre quelques minutes que cette drogue fasse effet sur nos corps. « The game will start. We're only two actors. It's you and me. Just you and me. » « The game as started a long time ago. » L’alpha se rapprocha de moi de nouveau, je ne pu m’empêcher de l’embrasser. Je glissai ma main sur son cou et m’arrêta soudainement. « Dans le fond il n’y a rien qui presse. Vaut mieux attendre que l’extasie fasse effet, tu verras tu ne regretteras pas l’attente. »
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MessageSujet: Re: We can do whatever we want ~ pv. militine. We can do whatever we want ~ pv. militine. EmptyVen 21 Jan - 23:14

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« three words. three words can change a life. or two life. i can say this three words. just for you. because you're only in my heart. i love you. »MILITINE&AYMERIC

Aymeric se posait sans cesse la même question. Pourquoi avait il décidé de devenir ce qu'il est devenu ? Un jeune homme qui malgré un charme qui ne laisse de marbre que peu de jeunes américaines s'interdit de vivre heureux, s'interdit le bonheur. Il se demandait pourquoi il était un anorexique du bonheur. C'était réellement une maladie qu'avait le jeune homme. Il avait de son plein gré déécidé à la suite de la perte de l'être qui comptait le plus dans sa vie de s'infliger une auto sanction morale. Il était lui même rentré dans les engrenages d'un cercle vicieux, visant à mettre au plus bas son propre moral. Il ne savait pas dans quel but il faisait ça, mais il le faisait. Ca l'avait obligé à rejeter la plupart des gens qui voulaient se rapprocher de lui, devenir son ami. Il était devenu un animal, réellement. Il surveillait, tel un paranoïaque, autour de lui, rejetant n'importe quelle personne s'approchant trop prés de lui. Il n'avait plus confiance en personne. Ni même à son meilleur ami, ni même en son ex petite amie. Il pensait que personne ne devait vouloir son bonheur, car il ne méritait pas ce bonheur. Johanna le méritait. Pas lui. Mais il était comme devenu un autre homme au contact de Militine. Un homme meilleur. C'en était fini de l'épave, le jeune homme qui se levait le matin sans but, qui errait sur les chemins de la vie en resassant sans cesse les tragédies qui ont pu se mettre sur sa route, la route de sa vie. Il était devenu plus souriant. Moins cynique. Moins froid. Il avait trouvé un but dans la vie. Elle. Elle, c'était Militine Léa Penrose. Dés leur première vraie rencontre, ils se sont plus, physiquement. Ils se sont compris lorsqu'ils décidérent de se revoir. Encore et encore. Désormais, Aymeric portait toute son attention sur elle. Plus aucune fille ne trouvait grace à yeux du alpha, mis à part elle. Malgré qu'elle était d'apparence si fragile, Aymeric ne pouvait pas la voir autrement que ce que la vision que lui offrait son coeur et ne se préoccupait pas de cela, ni même de ce que les gens pouvaient penser d'elle. Plus le temps passait, plus leurs moments privilégiés se rapprochaient. Et plus le temps passait, plus les sentiments d'Aymeric à l'égard de la gamma grandissaient. Jusqu'au moment où Aymeric crut comprendre. Il en était quasiment certain. Malgré avoir essayé de ne pas trop s'attacher à elle, elle qui paraissait tellement inacessible, Aymeric était presque sur d'être tombé amoureux d'elle. Et c'est lors d'un énième rendez vous entre eux qui avait, ce jour là, lieu dans l'amphithéatre qui n'était jusque là que le théatre de leur compétition, qu'Aymeric faillit avouer ses sentiments à Militine, au risque de voir basculer le destin de la relation mais surtout des deux jeunes gens. Et alors qu'il essaye de se rattraper en disant que cela n'était pas important, la demoiselle fut suspicieuse et cela fit qu'Aymeric lui proposa presque de tout lui dire. « Pourquoi tu me fais ça? J’ai envie de savoir, mais tu me fais peur. Pourquoi notre relation aurait à changer? C’est nous qui décide et si on veut que tout reste comme ça alors tout restera comme en ce moment, c’est aussi simple que ça, non? » Elle avait raison. Totalement raison. Notre relation était si magique que je ne pouvais pas tout gacher. Mais, je lui devait la vérité. « Militine. J'ai l'impression que mes sentiments envers toi sont plus forts que je ne l'imaginais. Je suis tombé amoureux une fois et la perte de cet amour, je ne m'en suis jamais remis. Je ne veux pas revivre une nouvelle fois la même chose. Je ne veux pas que notre relation change. Cette relation me fait croire, si ce n'est pas le cas, que je peux presque être heureux. Tu es la bouffée d'oxygène que j'attends depuis longtemps. Avant, je me noyais. Ta rencontre a été comme une boué de sauvetage pour moi. » Il avait besoin d'elle. Il avais besoin de cette relation qui les unissait désormais. C'est aprés cela qu'il prit l'extasie qu'elle lui avait proposé. Elle avait dit que la drogue la contrôlait, la calmait lorsqu'elle ressentait des doutes. Lorsqu'elle pensait à tout ses problèmes. La drogue l'aidait à s'échapper de ce monde cruel qui était le nôtre. Aymeric se disait qu'en prenant cette pilule, il pourrait comprendre la jeune femme, entrer dans son monde. « The game will start. We're only two actors. It's you and me. Just you and me. » « The game as started a long time ago. » Il se rapprocha d'elle. Si prés que la demoiselle ne put s'empêcher de l'embrasser. Ce n'était pas le baiser qui avait eu lieu quelques instants auparavant, mais Aymeric sentait toutes les émotions qui traversaient Militine. « Dans le fond il n’y a rien qui presse. Vaut mieux attendre que l’extasie fasse effet, tu verras tu ne regretteras pas l’attente. » Aymeric comprit que la jeune femme voulait la même chose que lui. Elle voulait qu'il rentre dans son monde parallèle. Elle voulait elle aussi plus que du sexe. Il en était certain, il ne pouvait pas en être autrement. Et lorsqu'ils se retrouveront seuls, dans le même monde, peut-être compriront ils la souffrance de l'autre. Peut-être que dans ce monde, il ne ferait plus qu'un. Rien ne pourrait plus empêcher Aymeric d'aimer Militine. Tout simplement. Mais pas seulement s'aimer dans un lit, ou pendant qu'ils font l'amour, non aimer était pour eux bien plus que cela. Cela dépassait le simple sexe. Même si ils en décidaient autrement, leur relation avait irrémédiablement changé. Cela ne serait plus jamais juste une banale histoire de sexe. C'était bien plus. Alors qu'Aymeric ne pouvait s'empêcher d'embrasser la jeune femme en attendant de sentir l'effet de l'extasie, il trouvait tout de même le temps long. Ainsi, en attendant de sentir enfin les effets de la drogue se faire ressentir en lui, Aymeric se dit qu'il pouvait bien commencer tout de même ce qui était prévu au départ entre les deux étudiants en droit. Et alors qu'il allait se décider à passer aux choses sérieuses, il sentit comme un intense bonheur monter en lui. Plus encore que celui que lui procurait la compagnie de Militine. Aprés avoir regardé toute la salle en tournant la tête comme quelqu'un qui voit quelque chose d'extraordinaire pour la première fois, son regard s'arrêta sur Militine. Aymeric sentait comme une énergie tourbillonait en lui, et voulait partager cette énergie avec Militine. C'est alors qu'il se précipita vers elle. Il n'était pas habitué à cette situation, celle qui fait que les effets incoonnus jusque là de la drogue monte en soi, d'un coup, tel un jeyser et ne comprenait pas complétement ce qui lui arrivait. Tout ce qui passa par sa tete à ce moment là se résumait à une seule chose. Militine. Il était juste à quelques centimètres d'elle. Il commenca à embrasser la gamma. Le baiser qu'ils échangaient était complétement différents de celui qu'ils avaient eu précédemment. Celui ci était beaucoup plus ... violent. Mais une violence passionée entre les deux amants. Alors qu'il s'embrassait, Aymeric décida de réellement passer aux choses sérieuses et retira à Militine le haut qu'elle portait. Aymeric sentait les effets de l'extasie se décupler, à chaque seconde qui passait, en lui. Le pouvoir de désinhibition que l'on prête à la MDMA était on ne peut plus vrai. Alors qu'il s'embrassait encore, Aymeric recula vers le bureau du professeur. Il fit tomber tout ce qui s'y trouvait, pour que le bureau soit complétement plat. Il put ainsi continuer ce qu'il avait commencé avec Militine. Aymeric avait clairement décidé de passer à la vitesse supérieure avec elle, sous l'impulsion de la drogue...
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