| | | Qui ne tente rien n’a rien |  |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
 | | Sujet: Qui ne tente rien n’a rien Mer 16 Mar - 23:59 | |
|   Deux jours. Ca faisait deux jours que Samuel était rentré de France. Il avait eu besoin de recul et retrouver sa famille et ses sources lui avait fait le plus grand bien. Il savait eu besoin de ça pour se détacher de ses problèmes. Même si en revenant il avait revu son petit frère Logan qu’il n’avait pas vu depuis 12 ans et que le lendemain, il avait croisé Caroll avec qui les choses avaient été étranges, il avait décidé de changer. Il s’était donné une ligne directrice et il comptait bien la garder. En effet, il avait parlé avec sa mère qui lui avait conseillé de faire comme toujours. De suivre son instinct et son cœur. Samuel avait donc été la veille au soir, voir Addison. Cette dernière avait aussi des problèmes, surtout à cause de son ex mari qui avait fait son retour dans sa vie. Rien de bien joyeux en soit. Aujourd’hui Samuel s’était réveillé assez pensif. Il ne savait pas encore très bien comment il allait gérer cette nouvelle journée. Avec les deux rencontres faites en deux jours, il se disait qu’il allait encore tomber sur un problème. Une fois sa douche prise, il alla s’habiller. Chemise bleue claire et jean mit, il all apprendre son petit déjeuner. Après cela, il alla mettre ses Converses bordeaux, puis sa veste de costume et il alla jusqu’à sa moto, pour se rendre à l’université. Une fois là-bas, il se mit à sourire en voyant les élèves le regarder. C’est vrai que jusque là il n’avait pas prit sa moto. Retirant son casque, il garda son sourire et mit ses lunettes de soleil. Cliché ? Sans aucun doute. Samuel n’était plus là pour être gentil et agréable. Désormais, il vivait sa vie comme il l’entendait, sans se soucier du regard des autres. Gardant son sourire, il marcha jusqu’à l’entrée de l’université, regardant quelques élèves au passage. Ah oui, ça aussi c’était devenu quelque chose d’important. Il avait décidé que désormais si une femme lui plaisait, il allait vers elle. Si une femme venait vers lui et qu’il appréciait son physique, il en profiterait pour approfondir les choses. Dévergondé ? C’était devenu un nouveau mot de son vocabulaire. Allant à son premier cours, il enseigna la philosophie de 8h à 14h, avec la pause de midi bien évidemment. De 15h à 16h, il eu un cours de médecine. Il n’était pas encore callé sur le sujet, mais à la rentrée prochaine, il aurait tout ce qu’il fallait.
A 16h, il alla faire un tour en salle des professeurs. Il n’y avait personne. Ca lui permit donc, de pouvoir corriger quelques copies avant de se rendre compte qu’il n’avait pas encore été voir les Sampi. Il avait dit à Noah que dès qu’il pourrait il viendrait le voir. C’est vrai qu’après son renvoi, il avait eu pas mal de choses à faire, donc il n’avait pas eu le temps de passer. Ramassant ses affaires, il prit son sac sur son épaule et il marcha pour se rendre à la maison de confrérie des Sampi. Croisant des élèves, il les salua, puis il vit des jeunes femmes qui lui souriaient. En faisant autant, il remit ses lunettes de soleil et reprit sa marche. Le cliché dans toute sa splendeur. Mais il aimait ça. Après tout, malgré ses 51 ans, il comptait bien encore plaire et si des élèves étaient intéressés, autant en profiter. Arrivant à la maison de confrérie, dont il était le Doyen, il frappa à la porte et vit un élève lui ouvrit. Le saluant, il parla un peu avec lui et lui demanda si Noah était là. Apparemment pas, ce qui fit faire une grimace à l’enseignant, mais ce dernier entendit une voix qui lui était familière. Souriant, il remercia l’élève avec qui il avait parlé et il avança vers cette voix.
Salut Genesis.
Elle était avec quelques autres filles. Souriant à ces jeunes femmes, il les vit les laisser et il fut assez surprit. Apparemment elles pensaient qu’il voulait parler avec la jeune femme. Retirant ses lunettes de soleil, il retira son sac de son épaule et alla s’asseoir dans un des canapés.
Comment vas-tu depuis la dernière fois qu’on s’est vus ?
En effet, tout comme Noah, la jeune femme et Sam ne s’était pas vu depuis le renvoi de ce dernier. Aujourd’hui Samuel revenait et il espérait que sa relation avec la jeune femme n’en avait pas prit un coup. |
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| | Sujet: Re: Qui ne tente rien n’a rien Ven 18 Mar - 20:44 | |
| J'avais évidemment entendu parler de toutes les péripéties actuelles de la vie de Samuel. Déjà, une université, ça parle. Métaphoriquement bien sûr. Mais en plus, quand c'est de notre propre doyen dont il était question, et bien ça parlait encore plus au sein de la maison de confrérie. Plusieurs versions existaient, mais une chose était certaine : notre cher doyen s'était fait renvoyé à cause d'une histoire louche. Moi, ça m'amusait. Enfin, tous les ragots m'amusaient, pas vraiment le fait que Samuel ait été viré. Mais certaines rumeurs disaient que le directeur avait finalement accepté de le réintégrer ; personnellement, je ne le croirais qu'en le voyant. Pour le moment, toujours aucun signe de vie de la part de Samuel. Ce dernier était un peu comme mon guide, mon mentor, dans cette jungle animale. À mon arrivée à Berkeley, après un an de vie dans des communautés du monde très différentes les unes des autres, j'étais déboussolée et je ne savais plus comment être "in", comment agir "à l'américaine". Il m'avait tout de suite repêché, moi petit poisson pas très à l'aise dans son eau, et il m'avait conduit là où je devais aller : les Sampi. En effet, il avait tout de suite vu en moi qui j'étais réellement. Il avait lu en moi comme dans un livre ouvert, et encore aujourd'hui il avait ce don sur moi. Regardez où cet homme m'avait mené : j'étais en ce moment-même assisse sur un de nos fauteuils dans le petit salon, en train de manger une salade de légumineuses et de boire une tasse de thé vert – ouais, je sais, le mélange peut vous sembler dégoûtant – en compagnie de mes confrères et de mes consœurs. Et on riait, on faisait des allusions perverses, on déconnait bref. Nous étions une grande famille. J'avais mes jambes allongées sur les cuisses de Benjamin, il y avait Elena en face qui était en petite boule sur le divan, et moi-même qui disait pleins de conneries. Puis on cogna à la porte alors que j'étais en train de raconter une super blague sur les Omega. Je fus donc obligée de m'arrêter dans mon élan d'humour, tournant la tête pour voir de qui il s'agissait. Malheureusement, je ne voyais personne. J'entendis juste une voix familière demander la présence de Noah, qui était d'ailleurs absent depuis la matinée. Je me redressai sur le canapé. « SAM ? » En entendant ma voix stridente, Benjamin et Elena allèrent se cacher, sachant qu'une crise d'hystérie approchait à grands pas. Effectivement, quand Samuel entra dans le salon pour venir à ma rencontre, je tapai dans mes mains. « T'ES LÀ ! T'es de retour, c'est bien vrai ! » J'avais un grand sourire scotché au visage. Il me salua, m'appelant Genesis ; il était le seul à utiliser mon premier prénom. Samuel ne vint pas s'asseoir à côté de moi, mais plutôt en face, ce qui était tout à fait normal. Vu son statut, et le mien, et les récents événements, il devait garder une certaine distance. Du moins, c'est ce que je croyais qu'il avait tiré comme leçon de cet incident. Apparemment, j'avais tout faux. « Je vais bien, je vais bien écoute y'a pas grand chose qui s'est passé de mon côté ! Ah si tu sais pas quoi au zoo, y'a une nouvelle maman chimpanzé, et je l'ai aidé à accoucher de ses petits ! C'était tellement génial comme moment ! » Je souris, puis je secouai la tête comme pour me ramener à la réalité. « Mais toi alors ! T'es parti comme un voleur ! Qu'est-ce qui s'est passé ? Tu sais ça parle beaucoup sur le campus ... » |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Qui ne tente rien n’a rien Ven 18 Mar - 21:42 | |
| Revoir des personnes qui nous tiennent à cœur, ça fait toujours beaucoup de bien. Samuel lui s’était rendu compte qu’il avait mit trop de personnes entre parenthèses. Il aurait dû plus profiter de certains étudiants qui acceptaient de devenir des amis. C’est pour ça qu’il était aujourd’hui en train de marcher pour aller voir Noah. Ne sachant pas si le jeune homme serait là, il tenta sa chance, mais il perdit la partie. Dommage pour lui. Jusqu’au moment où il entendit une voix qu’il connaissait. S’approchant, il se mit à sourire en voyant une étudiante qu’il connaissait bien. Il l’appréciait beaucoup d’ailleurs et il devait avouer qu’elle faisait partie des personnes qu’il n’avait pas revu depuis longtemps. Allant la voir, il la salua. Il devait avouer qu’il avait prit l’habitude de l’appeler par son premier prénom. Au début il l’avait vu un peu réticente, mais finalement ils s’étaient entendus là-dessus. En même temps Samuel avait eu les listes d’étudiants, il avait donc vu les prénoms de la jeune femme et il avait toujours décidé de l’appeler par son premier prénom. Souriant à ses propos, il hocha la tête positivement. Oui, il était de retour et il comptait bien être là au meilleur de sa forme. Allant s’asseoir en face de la jeune femme, il lui demanda comment elle allait. Il avait déposé son sac au pied du fauteuil et il l’écouta lui répondre.
Il faudra que je vois la prochaine fois.
Samuel avait vécu entouré d’animaux. Evidemment ça n’était pas les animaux que l’on trouvait dans un zoo. Lui avait vécu dans une ferme, avec des vaches, des cochons, des chevaux, des poules, des lapins et bien d’autres animaux. Mais il aimait les animaux. Il avait d’ailleurs un chien, Hector, un Bouvier Bernois. Quand il était petit, il avait eu plusieurs chiens aussi et des chats. Il se souviendrait toujours de sa sœur, la plus âgée des trois qui avaient décidés qu’elle prendrait avec elle tous les chats abandonnés, tous les chats qui auraient besoin d’un foyer. Ca faisait beaucoup de chat et leur mère avait dû l’empêcher de trop en prendre. Lui, c’était avec les chiens qu’il s’entendait le mieux. Il y avait eu beaucoup de chiens qui n’étaient pas de race. Mais il en avait eu de races et surtout un Colley, appelé Havane. C’était un voisin plutôt âgé qui avait une femelle qui avait eu des petits et il en avait proposé un. Comme ce voisin fumait beaucoup de cigarettes, Sam avait pensé appeler le chien Havane. Enfin bref, lui aussi avait eu des animaux et voir une femelle chimpanzé mettre bas ça pouvait être intéressant, encore plus si Genesis était à côté. Ca devait être à la fois drôle et émouvant à voir. Ecoutant par la suite la jeune femme reprendre la parole, Sam garda son sourire.
Justement je me demandais quelles étaient les rumeurs qui avaient été dites, mais personne ne m’a jamais dit la vérité à ce sujet.
C’est vrai qu’il avait demandé, mais personne n’avait osé le lui dire en face. Ca l’amuserait de pouvoir avoir certaines rumeurs à écouter.
J’ai eu des problèmes que j’ai acceptés. J’étais fautif et je suis partit. Je suis resté en ville pendant un temps, avant d’avoir encore plus de problème. J’ai donc ensuite décidé de m’éloigner et je suis retourné en France pendant deux semaines. Mais maintenant je suis de retour et je compte bien profiter pleinement de ma vie, des mes amis, des Sampi et des femmes.
Souriant de plus belle, Sam était franc. Evidemment il ne donnait pas les véritables raisons de son renvoi. Il savait que si la jeune femme le lui demandait, il le lui dirait. Il n’avait pas de secrets, ou très peu pour les Sampi. Mais pour le reste de ses propos, il était tout à fait sérieux. Il acceptait de profiter pleinement de la vie qu’il avait devant lui. Il comptait même retrouver ses années de fac. Sans l’alcool, à cause de ses problèmes passés. Mais fumer, faire des soirées, coucher avec des femmes et profiter simplement de tout ce qui pourrait lui arriver. |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Qui ne tente rien n’a rien Ven 1 Avr - 14:51 | |
| Samuel nous avait peut-être mis en parenthèses, mais il ne s'imaginait même pas combien de gens j'avais pu laisser derrière moi au cours de ma pourtant si courte vie. Tant de personnes qui avaient marqué mon existence, qui l'avaient changée même. Des personnes qui un jour avaient été tout à mes yeux. Maintenant, elles n'étaient plus que des souvenirs bien enfouis dans ma mémoire. C'est dans ces moments-là qu'on se rend compte que la vie passe comme une étoile filante. Je ne reverrais probablement jamais ces peuples de l'Amazonie, ni ces universitaires chinois chez qui j'avais logé, ni ma famille adoptive du Burkina Faso, ni ce vieux vétérinaire veuf et solitaire de l'Australie. Pourtant, il s'agit bien de ceux qui ont su me rendre comme je suis aujourd'hui. Ce n'était pas grave. Je passais à autre chose. Le trajet d'un homme est en constante évolution. J'avançais. Aujourd'hui, je me concentrais sur mon présent, parce que dans quelques années, il serait le passé que je regretterais. Samuel, les Sampi, mes éphémères amours.
C'est pourquoi je profitais de chaque personne au maximum que je le pouvais. Alors en voyant Samuel arriver, je manquai de crier de joie à tel point que tout le campus aurait été au courant de ces retrouvailles. Je l'enlaça en manquant probablement de l'étouffer tellement mes bras le serrèrent. J'aurai aimé qu'il vienne s'asseoir à côté de moi, qu'on puisse être plus près afin de compenser pour ces semaines où il avait été si loin, mais en bon doyen qu'il était il alla s'asseoir sur le fauteuil d'avance, conservant une distance raisonnable. « Oui, il faudra définitivement que je t'appelle si ça se reproduit. Malheureusement en deux ans de service c'est la première fois que j'y assiste alors j'imagine que ce sera pas pour bientôt ! » Je fis une légère moue déçue. Des moments pareils, ça n'arrivait pas tous les jours, et c'était bien malheureux car c'était sensationnel.
Samuel ne m'avait jamais dit qu'il avait un jour habité dans une ferme, durant son enfance quoi. J'aurais adoré l'entendre parler de comment ça se passait, là-bas. Après tout, ce n'était si commun de rencontrer d'anciens fermiers en Californie. J'aurais adoré être fermière. Posséder ma petite terre, mes animaux, vivre de mon jardin. Éloignée du capitalisme, retirée de la société consommatrice. Peut-être le ferais-je un jour, mais je voulais trouver quelqu'un qui voudrait bien le faire avec moi. Mourir de solitude n'était pas dans mes plans.
Et là, nous abordâmes le sujet des rumeurs. Aïe aïe aïe. Dans quoi m'étais-je embarquée ? J'eus un petit rire gêné. « ... Beaucoup disent que t'as été viré pour avoir couché avec le tiers des filles de tes cours. » J'imaginais bien que la rumeur était exagérée. Et j'imaginais bien aussi que ces filles-là, si elles existaient vraiment, étaient consentantes. Je n'osais même pas m'imaginer que Samuel aurait pu les violer. Il n'était pas capable d'horreur du genre. Le doyen renchérit en disant qu'il avait eu des problèmes qu'il avait acceptés, et qu'il s'était éloigné pour cela. Mon sourire s'agrandit lorsqu'il était de retour, et je rigolai tout simplement lorsqu'il m'avoua vouloir profiter pleinement des femmes. Je ne pouvais le lui reprocher ; je faisais la même chose avec les hommes.
Enfin ... avec les femmes aussi.
« Des Sampi et des femmes ? Ou alors des Sampi et de ses femmes ? » Dis-je en arquant un seul de mes sourires, mince sourire coquin aux lèvres. Je le narguais, évidemment. Ce n'était qu'une blague moqueuse.
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| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Qui ne tente rien n’a rien Dim 3 Avr - 19:24 | |
| Retrouver des personnes auxquelles ont tient, c’est toujours bon. Evidemment, parfois c’est trop tard, on a laissé trop de temps se passer, mais parfois on a une seconde chance. C’était ce que Sam était venu chercher en voulant voir Noah. Mais ce dernier n’était pas là apparemment, mais une autre personne oui. Sam n’avait pas vu la jeune femme depuis très longtemps et il devait avouer que dès qu’il avait entendu sa voix, il n’avait pû s’empêcher de sourire. Avançant donc vers la jeune femme, il prit place en face d’elle, avant de prendre de ses nouvelles et de l’écouter répondre. Apparemment elle avait fait plein de choses et surtout au zoo. Samuel devait avouer qu’il aimerait bien voir ce qu’elle voyait. Après tout, pourquoi pas voir dans les jours ou semaines à venir. Il aurait du temps devant lui, maintenant qu’il était définitivement de retour.
Ah oui en effet.
Apparemment ce genre d’évènements étaient rare et Sam pouvait le comprendre. Pensant à ses années de jeunesse dans la ferme de ses grands-parents ça avait toujours été de bons souvenirs. Mais Sam finit par écouter Genesis lui dire qu’il y avait eu des rumeurs à son propos. Il devait bien avouer qu’il était intéressé de savoir ce qui avait été dit, mais personne n’osait lui dire la vérité. Il vit alors qu’elle était gênée et il se mit à sourire. Les rumeurs étaient si moches que ça ? Entendant donc ce que les gens disaient, il ne pû s’empêcher de sourire. Levant un seul doigt, il fixa la jeune femme.
Une élève, une seule, mais ça n’était pas juste une histoire de sexe.
Non ça n’avait pas été que ça et ça ne serait jamais que ça. Il avait aimé Carol, mais il savait aussi qu’il l’aimait encore. C’était le genre de sentiments qui ne partent pas facilement. Il ne pouvait aller contre ce qu’il ressentait et il avait encore envie d’être aux côtés de la jeune femme, mais il ne le pouvait pas. Il ne voulait plus souffrir et il préférait qu’elle lui en veuille à vie, plutôt qu’elle ne s’attache à lui, parce qu’il avait une peur bleue de souffrir à nouveau. Puis, l’homme parla du fait qu’il était bien de retour et qu’il comptait profiter de tout, y comprit des Sampi, dont il était le Doyen et des femmes avec qui il comptait bien coucher. Entendant alors la question de la jeune femme, Sam ne pû s’empêcher de sourire et de hausser un sourcil.
Pourquoi pas les deux ?
Gardant son sourire, il se leva de son fauteuil, avant de rejoindre la jeune femme et de la regarder.
Tu fais partit des Sampi et tu es une femme, alors pourquoi pas coucher ensemble ?
Il disait cela pour rire, mais quelque part ça ne lui déplairait pas. Après tout, il restait un homme et il avait décidé de coucher à tout va. Mais il ne forcerait jamais personne à faire quoi que ce soit contre sa volonté. Si elle lui disait qu’il avait perdu la tête, alors il la laisserait tranquille sur ce sujet. |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Qui ne tente rien n’a rien Dim 3 Juil - 15:44 | |
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| | Sujet: Re: Qui ne tente rien n’a rien | |
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