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If my body was on fire, you’d watch me burn down in flames. | PV ROSALIE |

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MessageSujet: If my body was on fire, you’d watch me burn down in flames. | PV ROSALIE | If my body was on fire, you’d watch me burn down in flames. | PV ROSALIE | EmptyDim 5 Juin - 16:40

If my body was on fire, you’d watch me burn down in flames. | PV ROSALIE | Tumblr_llrqqiodiZ1qjhl7yo1_r1_500
GRENADE • If my body was on fire, you’d watch me burn down in flames. You said you loved me you're a liar 'cause you never, ever, ever did baby...But darling I’ll still catch a grenade for ya, throw my hand on a blade for ya, I’d jump in front of a train for ya. You know I'd do anything for ya.

« Bon je sors, inutile de m’attendre. » avais lâché dans un dernier souffle avant de quitter l’enceinte de la villa. J’avais espérer que personne n’avait entendu et me faufilais à l’extérieur quand d’un seul coup j’entendais quelqu’un prononcer mon prénom dans un dernier cri de désespoir, me retournant c’était Drew qui se trouvait au balcon en me lançant mes clés en ma direction. Me maudissant j’attrapais les clés tout en lui faisant forcé tandis que mon interlocuteur me lançait un grand sourire satisfait, pour ce qui était de l’effet NINJA partir sans faire de bruit ni se faire repérer c’était quelque peu loupé, en même temps quelle idée de partir sans ses clés de voiture, je n’allais pas aller bien loin sans mon véhicule. Entrant mon véhicule je débarrais en trombe sortant à toute vitesse de la cour, plus je m’éloignais de la villa mieux c’était. N’étant pas au mieux de ma force en ce moment je pensais que m’éloigner de la maison était ce qu’il y avait de mieux à faire pour tout le monde, j’avais besoin d’espace, de découvrir de nouvelles personnes, tester de nouvelles expériences, donner un peu de piquant dans ma vie pour briser le plus vite possible cette routine qui c’était à mon grand désarroi installé. Je n’avais que peu de solution, en vérité ce soir la il n’y en avait qu’une seule qui était envisageable et c’était également la première qui me venait en tête, ROSALIE ASHBURY - WHITEFIELD. Nouvelle Iota et ancienne de Stanford la jeune femme avait depuis peu rejoins la confrérie des sportifs et prolongeait donc son séjour à Berkeley, une fille que j’appréciais, enfin que je voyais car les sentiments étaient loin d’être présent. Depuis un certains évènement je fuyais comme la peste toute relation impliquant un quelconque sentiment, les sentiments n’étaient la que pour faire souffrir les gens et ça ne se terminait jamais bien, c’est pourquoi parler de sentiment était plus qu’exagéré.
La tête dans les nuages et l’air songeur je traversais les rues de San Francisco à bord de mon bolide, sans réellement faire attention à ce qui se passait tout autour de moi je songeais à la soirée qui se profilait, une soirée en compagnie de la belle Iota, une soirée qui malgré tout devait rester dans le plus grand des secrets. La jeune femme était une ancienne de Stanford et autant dire que je n’avais aucune confiance en ces gens la, et qui plus est je n’arrivais pas à me faire à leur présence, les considérants plus comme une menace qu’autre chose je devais être une des rares personnes qui avaient du mal à les accueillir par nous. Enfin c’était la raison pour laquelle je voulais que ma relation avec Rosalie reste secrète, je n’avais aucune envie que l’on me voit avec une ancienne de Stanford et surtout il y avait toujours Plum qui était présente dans mon esprit, je ne m’étais pas remis de cette rupture et pour moi la jeune Iota n’était qu’une fille parmi tant d’autre, me servant à passer le temps il n’y avait rien de mon côté si ce n’est de l’amusement, après tout toutes les relations devraient être basé sur l’amusement, comme ça aucun quiproquo entre les deux personnes, et à présent dans ma tête c’était comme ça que je voyais les choses. Après une bonne dizaine de minutes j’arrivais devant la maison de la confrérie de Iota, mon ancien lieu d’habitation avant que moi-même je ne prenne le large pour m’installer dans une villa beaucoup plus luxueuse en compagnie de mon ami Drew. A la vue de ce bâtiment de nombreux souvenirs du passé venaient m’assaillir, nostalgie quand tu nous tiens, je m’arrêtais donc devant me contentant simplement de fixer cette grande maison blanche tout en me remémorant mon arrivée chez les Iota, le fameux bizutage, mes nombreuses victoires avec l’équipe de foot, tant de souvenirs qui à présent appartenaient au passé et qu’il était inutile de se remémorer, et pourtant bien que je savais cela inutile je le faisais quand même, comme pour me rassurer et me dire que malgré tout en ces heures sombres de ma vie j’avais tout de même passé de bon moment dans cette maison et à présent me revoilà…Sortant de ma voiture que j’avais laissé un peu plus loin j’entrais dans la maison sans même prendre la peine de frapper à la porte, après tout c’était également ma maison et bien que je n’y habitais plus j’étais toujours chez moi. C’est pourquoi lorsque je croisais quelques membres de la confrérie je me contentais de les saluer tandis que eux ne me faisaient aucune remarque sur mon entrée discrète, après tout je ne voulais pas me faire repérer, pas pour rien que l’on appelait ça un rendez vous secret. Montant les marches une fille m’interpellait dans les marches en me demandant la raison de ma venue, d’un sourire angélique je lui répondais « J’ai oublié quelque chose dans l’une des chambres, je viens juste la récupérer. » N’attendant même pas la réponse de mon interlocutrice je me sauvais tel un voleur, sentant que j’allais très vite me faire repérer je préférais éviter la confrontation et montais les marches à toutes vitesse pour entrer dans la chambre de la jeune femme sans même prendre la peine de toquer. Refermant la porte derrière moi je me retournais pour voir une femme que je ne connaissais ni d’adam ni d’ève en petite tenue, décidément entrer dans les chambres sans frapper était vraiment une très bonne astuce, mais dans le cas présent parfaitement inutile. Pas gêné le moins du monde je rétorquais « Mauvaise chambre » suite à cela je m’esquivais de nouveaux pour cette fois ci réitérer l’action rentrer sans frapper dans la chambre. celle-ci semblait vide, il n’y avait personne et pourtant je reconnaissais bien la décoration, pas de doute j’étais au bon endroit, il manquait juste la bonne personne.
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MessageSujet: Re: If my body was on fire, you’d watch me burn down in flames. | PV ROSALIE | If my body was on fire, you’d watch me burn down in flames. | PV ROSALIE | EmptyDim 5 Juin - 19:33


→ DAMIAN & ROSALIE

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Ces derniers jours avaient été mouvementés, entre mon transfert à Berkeley dans la si belle confrérie qu'est les iotas, mon emménagement dans une chambre, ma journée shopping avec Fanny et mes entraînements de Cheerleaders, je ne savais plus où donner de la tête. D'ailleurs, en parlant de cheerleading, j'en revenais à l'instant, j'étais partie très tôt ce matin pour m'échauffer convenablement, je ne voulais pas me blesser comme l'avait été Victoria. Après un entraînement assez corsé de deux heures, j'étais tout sauf propre, surement l'une des raisons pour laquelle je n'avais pas attendu de remonter dans ma chambre pour me doucher, non, j'avais préféré me laver en bas. Une décision que je n'allais pas regretter. J'avais donc pris mon temps, une bonne douche bien chaude, quoi de mieux ? Après tout, je n'avais pas vraiment eu l'occasion de me relaxer ces derniers jours. Heureusement que j'avais toujours dans mon sac un gel douche ainsi que mon shampooing et tous mes produits pour les cheveux parce que, oui, j'en ai un tas, j'adore cela, acheter des produits pour mes cheveux. J'étais donc remontée dans ma chambre, les cheveux mouillés, en petit tenue de cheerleader et en ouvrant ma porte, j'aperçus la présence de quelqu'un. Qui avait bien pu oser entrer dans ma chambre ? J'étais alors en train de sécher mes cheveux à l'aide d'un essui lorsque que je vis Damian. Un sportif de ma confrérie, plutôt beau garçon, je l'avoue. Cela faisait un certain temps que l'on ne s'était plus vu, je souris à la vue du iota dans ma chambre. On entretenait une relation purement sexuelle et cela nous convenait à tous les deux, aucun sentiments, aucunes peines de coeurs, à ce niveau, j'avais été servie. Oui, c'était un bon compromis. De plus notre relation devait restée secrète, c'était cela qui était excitant, une relation cachée. Apparemment, cela ne faisait pas si longtemps que Damian était là et j'espérais bien qu'il resterait assez longtemps, j'en étais presque sûre à vrai dire. Je lui souris tout en lâchant doucement et en retirant l'essui de mes cheveux.« Hey ! Ca fait longtemps que tu es là ? » Tout en lui parlant, je fermai la porte et retirai mon sac d'entraînement de mon épaule. Et je me dirigeai vers la fenêtre que je fermai, il ne faisait pas très chaud de ma chambre. Ensuite, je m'approchai de Damian pour m'installer près de lui. « Ca va ?»




putain, comment il est merdique ce rp ._. sérieusement, je me rattraperai mais là, j'avais pas trop d'inspiration :$ J'ai honte de te faire un si petit rp..
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MessageSujet: Re: If my body was on fire, you’d watch me burn down in flames. | PV ROSALIE | If my body was on fire, you’d watch me burn down in flames. | PV ROSALIE | EmptyJeu 9 Juin - 5:34

If my body was on fire, you’d watch me burn down in flames. | PV ROSALIE | Tumblr_ldpnp1nFnO1qe4xjxo1_500
YOU'LL BE IN MY HEART • Don't listen to them, 'cause what do they know. We need each other, to have, to hold, they'll see in time. I know. When destiny calls you, you must be strong. I may not be with you, but you've got to hold on. They'll see in time, I know, we'll show them together.

Depuis Plum il y avait en moi quelque chose qui me bloquait, durant la rupture il y avait eu comme un déclic qui avait fait qu’à présent je ne pouvais plus réellement m’attacher à quelqu’un, je ne le voulais plus, tout du moins en amour car on me l’avait prouvé, l’amour entrainait toujours des peines de cœur, une me suffisait et je ne souhaitais pas en revivre une autre. Avoir ce sentiment que sans une personne plus rien ne va, que le monde que vous connaissiez avait cessé d’exister pour laisser place au chaos dans votre vie, un sentiment qui me poussait à m’auto-détruire, cette sensation qui faisait qu’à mes yeux plus rien n’avait d’importance, tout me semblait dérisoire, sans intérêt, j’avais tout simplement perdu goût à la vie, chose qu’il se pourrait que je ne retrouve jamais. Aussi loin que je me souvienne j’avais toujours fait parti de ceux qui se moquaient des garçons qui après une rupture assimilait ça à la fin du monde, comme si après une fille plus rien ne comptait, à présent je me retrouvais de l’autre côté, du côté le plus dur et au final à la fin d’une relation c’est bien la fin de quelque chose, non pas du monde d’une période de votre vie qui au final aura vraiment eut une grande importance, le moyen pour s’en remettre ? J’aurais aimé le connaître et pourtant en cet instant je ne m’étais jamais senti aussi seul, j’avais beau passer mes soirées en compagnie d’autres rien n’y faisait, j’avais perdu quelque chose en moi qui m’était nécessaire pour pouvoir profiter de nouveau de la vie, je devais retrouver cette chose pour pouvoir passer à autre chose, tourner la page…Et cette chose n’était autre que ma fierté. Cette dernière était parti avec Plum lorsqu’elle avait décidé de me laisser pour aller avec cet autre homme, mon coéquipier, mon partenaire qui à la première occasion n’avait pas hésité à me poignarder pronfondément dans le dos, je n’avais d’autres solutions que de me vanger, je ne voyais aucun autre moyen pour récupérer cette fierté que j’avais perdu et que je m’efforcais de retrouver, efforts qui à chacune de mes tentatives se finissaient par un échec cuisant. Cependant je ne devais pas précipiter les choses, ayant le devoir de me concentrer sur l’instant présent pour l’espace de quelques secondes oublier mes soucis, je devais faire une chose à la fois et à cet instant je me retrouvais dans la chambre de la belle Iota qui apparement était absente, il n’y avait d’ailleurs aucun signe de vie. Rosalie était absente et de toute évidence sa colocataire aussi, sans aucune gêne je prenais place sur le lit de la brunette, le regard vide en direction du plafond je repensais à ce qui me liait à cette fille. Au final cette relation que j’entretenais secrètement représentait à la fois tout et rien, cette fille était la représentation parfaite de mon quotidien, le genre de fille que je cotoyais sans vraiment le vouloir, qui n’était la que pour passer le temps, alléger ma peine l’espace d’une soirée et me faire croire qu’en prenant du bon temps avec elle j’allais pouvoir oublier la raison de mon chagrin. Elle n’était rien et pourtant ce soir j’avais décidé de la voir elle plutôt qu’une autre, je voulais m’éloigner de tout ça, de mon quotidien et pourtant j’étais là, dans une maison de confrérie qui se trouvait en plein sur le campus, l’ironie de la situation voulait que je me sente le plus loin de mes soucis en me retrouvant en plein cœur du terrain ou tout c’était passé. Peut être était ce le fait que notre relation devait rester dans le plus grand secret qui faisait que mon excitation était telle que je ne pouvais m’empêcher de vouloir passer ma nuit avec elle, vivre en devant constamment regarder derrière soit, avoir cette pointe d’adrénaline en moi me faisait me sentir plus vivant, mais au final le but rester toujours le même, ressentir quelque chose, n’importe quoi du moment que ce n’était pas de la peine…Et pourquoi le fait que cette relation devait rester secrète était si important à mes yeux ? Car devoir m’afficher avec elle signifiait beaucoup de chose pour le reste du monde, cela me rendrait d’autant plus pathétique, le gars qui s’affiche chaque jour de la semaine avec une fille différente pour faire croire qu’il avait bel et bien tourner la page alors que pas du tout, tellement pitoyable, je refusais d’être ce gars et préfèrais encore broyer du noir en noyant mon chagrin dans l’alcool et la luxure, un moyen qui au final se révèlait tout aussi inefficace que la solution précédente. Qui plus est Rosalie était une membre de ma confrérie, et une nouvelle fraichement débarquer de Stanford, ce changement devait la rendre quelque peu désorienter, et je l’avais remarqué, j’avais profiter de sa faiblesse pour m’imiscer dans sa vie et obtenir ce que je voulais, ce n’était pas digne de moi et pourtant voila ce que l’amour avait fait de moi, un homme que je refusais d’être pour le reste de ma vie.
Installé sur le lit de la jeune femme j’avais eu le temps de songer à moi, à elle et à ma situation actuelle et pourtant la belle brune n’avait toujours pas daigné se montrer. Commençant à m’impatienter je me levais, me mettant à toucher un peu à tout j’essayais de tuer l’ennui comme je pouvais dans cette petite pièce absente de tout divertissement quand enfin la poignée se tourna. A la vue de cet évènement je sautais sur le lit ou j’étais précédemment installé, me remettant dans ma position initial je fixais du regard l’entrée de la chambre un petit sourire aguicheur aux lèvres pour enfin voir apparaître dans sa petite tenue de cheerleader Rosalie. Cela faisait un certain moment qu’elle et moi nous ne nous étions pas rencontrés et la revoir faisait naître en moi cette flamme qui ressemblait très nettement à une montée d’adrénaline, en sa compagnie je ne voulais que m’amuser, m’échapper du monde extérieur et j’avais pour espoir que c’était ce qu’elle désirait également, sans contrainte il ne s’agissait que de s’amuser. A l’entente de la question de la jeune femme je répondais d’un simple hochement de tête penchant vers le négatif, en effet cela devait faire un bon quart d’heure que j’étais présent dans la pièce mais le fait d’avoir autant pensé m’avait en quelque sorte fait perdre toute notion du temps. La laissant se mettre à l’aise elle s’installais ensuite à mes cotés, ne bronchant pas d’un poil je me contentais simplement de me mettre un peu plus à l’aise que je ne l’étais déjà, je m’installais en tailleur sur le lit, croisant les jambes je répondais d’un air enjoué « Ca va plutôt bien et toi ?. J’espérais tromper la jeune femme par cette fausse bonne humeur, après tout c’était ce que je faisais tout le temps avec tout le monde, comme les autres elle n’y verrait que du feu, je n’étais pas ici pour parler de mes états d’âme mais bel et bien pour me changer les idées. Continuant donc dans mon mensonge je reprenais la parole « A ce que je vois tu me sembles revenir d’un entraînement plutôt intense. »
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MessageSujet: Re: If my body was on fire, you’d watch me burn down in flames. | PV ROSALIE | If my body was on fire, you’d watch me burn down in flames. | PV ROSALIE | EmptyJeu 9 Juin - 16:54


→ DAMIAN & ROSALIE

If my body was on fire, you’d watch me burn down in flames. | PV ROSALIE | Tumblr_lm0utx0YYM1qkc5t3o1_500
D'aussi loin que remonte mes souvenirs, je m'étais jurée de ne plus jamais tombée amoureuse d'un garçon, les sentiments étaient trop durs à assumer pour moi, je suppose. J'avais perdu toute confiance en la gente masculine dès l'âge de 16 ans, c'est triste de se sentir aussi seule et perdue à cet âge mais j'y ai survécu, très bien même. Sans cela, je n'aurais peut être pas été comme celle que je suis aujourd'hui, peut être que je ne serais pas à Berkeley et peut être que je ne passerais pas des soirées comme celle qui se profilait. J'avais toujours rêvé de vivre comme mes parents, heureuse, amoureuse mais depuis six années maintenant, je m'étais complètement fermée, mon coeur était scellé, je ne laisserais plus jamais personne y entrer. Cela servirait à quoi ? Me détruire. Le jour où j'avais perdu mon copain, j'avais également perdue une amie, une amie qui m'était chère mais à présent, la seule chose que je désirais était de ne plus la revoir mais je savais que le moment allait arriver et tôt ou tard, je devrais me confronter à Esteiyna. Tout cela pour dire que malgré tout cela, un garçon m'attendait dans ma chambre, Damian. Lorsque j'avais ouvert la porte, j'avais entendu une présence car mon lit avait couiné et effectivement, il était à son aise dans mon lit, fixant la porte d'entrée, un sourire aguicheur que j'adorais chez lui. Heureusement que Braxys était partie en voyage je ne sais où, nous avions la chambre pour un certain temps. Je souris au secouement de tête négatif de Damian, il venait donc d'arriver et alors que je m'asseyais sur mon lit, il se mit en tailleur sur celui si tout en me répondant. « Ca va plutôt bien et toi ?» Je souriais à l'entente de sa réponse tout en dégageant la mèche de cheveux qui me gênait. « Super super, je suis contente de te revoir, ca faisait longtemps non ? » Mes cheveux étaient vraiment indomptables aujourd'hui, si bien que je décidais de les attacher en une sorte de chignon au style décoiffé tout en écoutant la phrase de Damian. « A ce que je vois tu me sembles revenir d’un entraînement plutôt intense. » Je relevais la tête, que j'avais abaissée pour faire mon chignon, un sourire ornant mon visage. « Stupide cheveux.. Sinon oui assez mais si j'ai les cheveux mouillés, c'est parce que je viens de me lever mais j'ai toujours énormément d'énergie à dépenser.. » Dis-je avec un sourire aguicheur, cette phrase était pleine de sous-entendus de toute façon, nous savions tout deux pourquoi il était là. J'avais appris il n'y a pas si longtemps que Damian était l'ex copain de Plum, qui l'avait plaqué pour un autre, j'étais donc sûre et certaine qu'il n'y avait aucun sentiment derrière notre relation, ce qui était beaucoup mieux, aucunes attaches, plus de liberté, que demander de plus ? Me levant du lit et me dirigeant vers le petit frigo dont j'avais eu la superbe idée d'installer dans la chambre. « Je te sers quelque chose à boire ? » Pour ma part, c'était jus d'orange, j'aime beaucoup en prendre après le cheerleading, il ne faut pas me demander pourquoi. Je lançais la boisson de son choix au jeune iota ensuite, je m'abaissai et retirai ma genouillère, sous le regard étonné de Damian.« Je retire juste ma genouillère, don't worry ! » Fis-je en rigolant. Ensuite, je vins me rassoir près de lui, j'étais beaucoup plus à l'aise sans ma genouillère, je devais en porter car j'avais eu un petit problème au genou il n'y avait pas si longtemps que cela alors, je préférais prévenir que guérir. Je me tournai et regardai Damian, c'était un beau garçon, aux cheveux bruns, j'adorai ses cheveux, je les trouvai magnifique. Il est vrai que Damian avait un physique plus qu'avantageux, étant en plus capitaine de l'équipe de foot. Mais à vrai dire, je m'en foutais un peu, ce n'était qu'un détail parmi tant d'autres. Cela peut paraître cliché, une cheerleader entretenant une relation secrète et basé sur le sexe avec un joueur de foot mais en vérité, on s'était rencontré avant que je prenne la décision de rester à Berkeley, donc, bien avant mon transfert chez les iotas, bien évidemment, notre relation n'avait commencé que lorsque je fus transférée. Quelque part, c'était excitant une relation cachée, l'adrénalite montait à chaque fois que je le voyais dans ma chambre, que je le voyais derrière ma porte, me dépêchant de le faire entrer tout en espérant que personne n'avait pu le voir entrer..



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MessageSujet: Re: If my body was on fire, you’d watch me burn down in flames. | PV ROSALIE | If my body was on fire, you’d watch me burn down in flames. | PV ROSALIE | EmptyDim 12 Juin - 5:46

If my body was on fire, you’d watch me burn down in flames. | PV ROSALIE | Tumblr_lmj783Q11t1qd8v2go1_500
JUST A DREAM • I was thinkin about her, thinkin' about me, thinkin' about us. Where we gunna be, open my eyes, and it was only just a dream. So I travel back down that road, wish you come back. No one knows, and I realize, it was only just a dream. I was at the top and I was like, I’m at the basement, number 1 spot. Now she found a replacement, I swear now I can’t take it

L'amour était quelque chose qui faisait mal et c'est pourquoi je l'évitais comme la peste, bien que mon histoire avec Plum s'était plutôt mal terminée nous avions tout de même eu une conversation et les mots qu'elle avait prononcée resteraient à jamais gravés dans ma mémoire et une phrase en particulier « L'amour ça te tombe dessus, tu ne décides pas. ». Sur ce point elle avait raison, nous n'avions aucun contrôle sur nos sentiments, ça venait et repartait que ça nous plaise ou non, tout ce que nous pouvions faire c'était subir et ces derniers temps j'étais une proie plutôt facile, voir même trop. Submergé par toutes sortes d'émotions, je me laissais aller selon mes envies, ne contrôlant plus rien j'allais là ou le vent m'emportait, n'étant plus qu'une enveloppe charnelle avec rien à l'intérieur, c'était l'effet que me faisait cette rupture, ce que je ressentais au quotidien. Plus rien n'avait vraiment d'importance, je ne me souciais plus de rien et tout le monde voyaient bien qu'adopter une telle attitude ne faisait que m'attirer encore plus profondément dans l'embarras, tout le monde mis à par moi. Malgré tout j'avais décidé que cette soirée allait être mienne, je serais celui déciderait de ce qui me convenait ou non, Rosalie n'avait certainement aucune idée de ce à quoi elle était en proie de devenir, ma nouvelle distraction. J'espérais qu'entre elle et moi tout était clair, aucun sentiment, rien mis à par de l'attirance physique ne nous unissait, pour moi il n'y avait rien à attendre de ce genre de relation et pourtant à présent elles composaient mon quotidien.
D'une nature pas très entreprenante j'avais toujours laissé mon charme naturel agir, mon sourire d'ange suffisait habituellement à mettre une fille dans mon lit, le tout englobé de belles paroles et le tour était joué, c'est pourquoi alors que je me trouvais dans la chambre de la jeune Iota je ne tentais rien, aucune approche. A vrai dire à cet instant j'étais bien trop penseur pour tenter quoique ce soit, penser dans ce genre de soirée n'était vraiment pas une bonne idée, après tout nous n'étions pas là pour parler de nos états d'âmes, je ne souhaitais pas le faire. Pourtant, j'avais beau me dire que je ne voulais pas m'en parler et l'idée de soulager ma conscience était toujours présente, la seule chose qui m'empêchait de complètement m'ouvrir, mis à part mon égo, était la personne. En effet, je ne voyais pas en Rosalie une confidente, loin de là, une distraction et j'étais sûr que de son côté elle me voyait ainsi, c'est pourquoi il n'y avait aucun malaise entre nous, d'ailleurs c'était ce genre de relation qu'il manquait le plus aux gens, du sexe sans contrainte mise à part celle que notre corps nous imposait. Assis en tailleur sur le lit de la jeune femme je répondais positivement à sa question à l’aide d’un nouveau hochement de tête, à croire qu’à l’instant même où elle était entrée dans la pièce j’avais perdu ma langue. Il était vrai qu’elle et moi nous ne nous étions pas revu depuis un certain moment, mais à vrai dire dans ma descente en enfer j’avais totalement perdu la notion du temps, vivant plus la nuit que le jour, ratant de nombreux cours je me laissais tout simplement vivre sans penser une seule seconde aux répercutions que pourraient bien avoir mes actions.
A l'entente de la remarque de la jeune femme un petit sourire venait illuminer mon visage, un sourire qui mélangeait satisfaction, excitation et impatiente. En effet, une phrase qui était comme elle le souhaitait pleine de sous-entendu et j'étais réceptif à ses avances, après tout nous savions tous les deux pourquoi nous étions ici, comme dit précédemment il n'y avait aucun malaise ce qui nous permettait de parler ouvertement, sans aucun tabou. « As-tu une idée de comment dépenser ce surplus d'énergie ? », le tout était dit avec un léger sourire provocateur, comme pour la mettre au défi je rentrais dans son jeu sans vraiment y aller tête baissée je restais tout de même sur mes gardes. Suivant du regard la jeune femme qui quittait l'espace de quelques instants la surface du lit pour se diriger vers le fond de la pièce je réfléchissais à comment cette soirée allait bien pouvoir terminer, dans mon esprit il n'y avait pas 36 000 scénarios possible et pourtant j'envisageais toutes les possibilités. Lorsque la jeune femme se proposa de me servir à boire la première boisson qui me venait en tête était de la vodka, mais très certainement qu'elle n'avait pas ce genre de remontant dans son mini-frigo, c'est pourquoi je me rabattais sur du Ice Tea. Attrapant avec vivacité et fougue la boisson que j'avais précédemment demandé je regardais d'un air intrigué la jeune femme qui mit très vite fin à mes doutes, mais aussi aux multiples idées plus folles les unes que les autres qui venaient m'assaillir. Sa genouillère, quelle déception. Prenant un peu plus encore mes marques dans cette chambre que j'avais déjà visité à plusieurs reprises je prenais mes aises en m'affalent un peu plus encore sur le lit pour enfin prendre la parole « Sinon que veux tu faire ce soir ? Je te laisse le choix. », quel gentleman je faisais.
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MessageSujet: Re: If my body was on fire, you’d watch me burn down in flames. | PV ROSALIE | If my body was on fire, you’d watch me burn down in flames. | PV ROSALIE | EmptyMer 15 Juin - 17:56


→ DAMIAN & ROSALIE

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Lorsque j'avais sorti ma phrase, pleine de sous-entendu, le visage de Damian s'illumina et cela me fit sourire, et enfin, il se mit à parler, j'avais cru un instant qu'il l'avait perdue. « As-tu une idée de comment dépenser ce surplus d'énergie ? » Quelle question ! Bien évidemment que je le savais et lui aussi d'ailleurs, voilà pourquoi il l'avait dit avec un léger sourire, très charmeur en passant. Damian me semblait très penseur aujourd'hui mais je préférais le laisser tranquille, après tout, il n'était pas ici pour parler, du moins pour se confier, il attrapa avec facilité l'Ice Tea qu'il m'avait demandé, il n'était pas un sportif pour rien, il savait rattraper ce qu'il voulait. Je me rendis compte que je n'avais pas encore répondu à sa question, en vérité, je réfléchissais à la formulation de ma phrase. Lorsque je retirai ma genouillère, je vis sur son visage un regard déçu, ce qui me fit sourire, grandement. Je m'approchai du lit et me mis près de lui, nous étions vraiment très proche l'un de l'autre et pourtant, je n'allais certainement pas l'embrasser, j'allais juste, le tenter. Alors que ma bouche était à quelque centimètres de son visage, je soufflai « J'ai une très bonne idée même, en plus, cela nous fera faire de l'exercice. » Je fis passer ma main sur son t-shirt tout en m'écartant du beau Iota. Oh ! Je ne voulais pas me jeter comme cela, non, je préférais jouer. Alors que je m'écartai, Damian se mit à l'aise sur mon lit, ce qui ne me déplut pas du tout. « Sinon que veux tu faire ce soir ? Je te laisse le choix » Quel gentleman il faisait, j'en étais flattée, je me levai et me dirigeai vers la porte d'entrée, sous le regard intrigué du iota, je m'approchai de la clinche, toujours en le regardant et je tournai le verrou. Un sourire charmeur sur mon visage, je lançai doucement. « Tu es tellement gentil, je ne sais pas, tu voudrais faire quelque chose de particulier ? » Oui, je me contredisais, j'en avais conscience mais à vrai dire, les phrases n'étaient là que pour faire genre, si je puis dire. Ensuite, je me dirigeai vers la fenêtre et je fermai le store, il faisait jour à vrai dire mais tout ce qui se passait ou risquait de se passer dans cette chambre devait rester totalement secret. C'était un peu le mot d'ordre de notre relation, secrète, j'aimais cela, c'était excitant et puis, la montée d'adrénaline que je ressentais à chaque fois que je voyais le iota dans ma chambre, c'était tout simplement excellent. Oui, il venait toujours dans ma chambre car c'était beaucoup plus facile, lui vivait dans une maison en colocation, les risques que l'on m'y voit étaient beaucoup plus grands que dans l'autre sens, d'autant plus que j'avais établi avec Braxys, ma colocataire, un code très spécial. Disons que lorsqu'elle rentrait, elle devait regarder à travers le verrou et si elle ne voyait pas l'intérieur de la pièce, c'était occupé, et je devais faire le même. Bon certes, c'est un peu bizarre comme indice mais au moins, c'est efficace. Je connais Braxys depuis mon arrivée à Berkeley en tant que Stanfordiennes, au début, étant en compétition, on s'est tout de suite détestées mais après, lorsque nous nous sommes retrouvées colocataires, notre relation s'est améliorée. Bon d'accord, au début, c'était un peu chaud comme on dit, ca pétait souvent même, très souvent.. Puis un soir, alors qu'on était chacune devant la télé, on a parlé.. Et petit à petit, de jours en jours, ou plutôt de nuit en nuit car c'était surtout en soirées que l'on se parlait le plus, on s'est lié d'amitié et je dois dire que je ne pourrais rêver meilleure colocataire, Braxys est juste géniale. On se tape pas mal de gros délires, en faisant les folles très souvent mais c'est vraiment sympa d'avoir ce genre d'amitié de coloc'. Pour en revenir à Damian, le bel iota qui était dans ma chambre depuis un certain temps maintenant, j'étais revenue près de lui, je m'étais installée en tailleur sur mon lit, à présent face à Damian. Un sourire sur le bout des lèvres, je me penchai, étant à présent juste au dessus de lui, j'approchai ma tête de la sienne et lui murmura. « Et si on faisait un strip poker mais, sans jouer au poker ? » Oui, autant lui dire, et si on se déshabillait ? Mais franchement, ma phrase était tip-top, beaucoup plus classe que " on se déshabille ? " en plus, cette phrase, " on se déshabille ? ", ca fait animal.




désolée du retard :$
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Adriel Eynsford-Baxter
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Adriel Eynsford-Baxter
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MessageSujet: Re: If my body was on fire, you’d watch me burn down in flames. | PV ROSALIE | If my body was on fire, you’d watch me burn down in flames. | PV ROSALIE | EmptySam 30 Juil - 15:47

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MessageSujet: Re: If my body was on fire, you’d watch me burn down in flames. | PV ROSALIE | If my body was on fire, you’d watch me burn down in flames. | PV ROSALIE | Empty

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