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admit it, it's not a simple litte melody • ANTON&CALLEN

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MessageSujet: admit it, it's not a simple litte melody • ANTON&CALLEN admit it, it's not a simple litte melody • ANTON&CALLEN EmptyDim 29 Mai - 23:39

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Il revenait enfin dans la bibliothèque de l’université, il y remettait pieds. Il n’y était plus entré depuis au moins cinq bons mois. Depuis tout ce temps, il n’avait que fréquenté la bibliothèque de la ville. Alors pourquoi y revenir que maintenant ? En fin d’année qui plus est ! Un peu stupide tout cela. Non, pas du tout. Il souhaitait s’informer sur un sujet en particulier, et avait bien trop la flemme d’aller à l’autre bout de la ville. Puis, il n’avait pas beaucoup de temps, son prochain cours était dans deux heures. Pour avoir le plus de temps possible, il n’avait eu qu’un seul choix, venir ici. Puis, il pouvait en profiter pour réviser un peu les langues dans lesquelles il a le plus de mal, il pourra ainsi, peut-être trouver des livres sur le chinois ou encore le japonais. Quelle idée a-t-il pu avoir à vouloir étudier ces deux langues ? Une question à se poser, ou pas. Il adore cela, alors en fait, cette question n’est pas d’actualité. Mais s’il doit se planter dans quelques matières, ce sera bien dans ces deux là. C’est pourquoi il se focalise particulièrement sur ça, et non autre chose. Le reste il l’aura haut la main. Lorsqu’il pénétra le lieu, comme toutes les fois où il entre dans une bibliothèque, il y sent un sentiment de règne du silence. Ca lui ferait presque penser à la mort, m’enfin. Il s’installa tout d’abord à une table pour feuillet les cours qu’il avait pu prendre lors de ses présences en cours, pour le reste il fera sans, ou alors il demandera l’aide d’un camarade bien qu’il ne traine pas énormément avec ses camarades de classe, ce qui sera donc difficile pour leur demander des cours. Avant que son portable ne se mette à sonner, il le mit en mode vibreur, tout en l’enfilant dans une de ses poches de son jean. Quelques minutes défilèrent, ce silence impérial le stressait toujours, bien que c’était pratique pour réviser, il ne pouvait jamais y rester bien longtemps. Il péterait un câble sinon. Il se leva et alla se balader parmi les rayons, à la recherche de ce qu’il cherchait et du pourquoi il était revenu ici. Dans ce genre de cas là, n’étant pas du tout patient, au bout de même pas trois minutes, il sentit un désespoir l’envahir, il ne trouvera jamais rien ici. Mais étant tout autant têtu, il continua à chercher, allant même à fouiller dans les rayons pas du tout approprier à ce qu’il cherchait, sait-on jamais. En même temps il faisait de nombreuses trouvailles, ce n’était pas mal du tout. Il se mit à marcher à l’envers, sans regarder derrière lui, c’est alors qu’il bouscula quelqu’un, ou alors c’était la personne qui l’avait bousculé n’ayant pas regardé où elle mettait pieds. Bon, ils étaient fautifs tous les deux, voilà ce que se dit Callen, avant de voir de qui il s’agissait. Lorsqu’il vit le visage d’Anton, son visage à lui se décomposa et s’emplit de rage. Il voulut lui crier dessus, mais il se rappelait qu’ils étaient dans une bibliothèque et il ne souhaitait pas se faire virer. Il dit alors calmement « Tiens Anton, tu as enfin décidé de te cultiver un peu ? C’est bien ! » Ces deux hommes auraient pu très bien s’entendre, mais la vie en a décidé tout autrement. Alors qu’ils étaient à une fête, et que les verres avaient pas mal défilés pour les deux, ils s’étaient mit à parler d’un sujet dont ils ne savent même plus duquel il s’agissait, n’étant pas du tout d’accord sur un point, ç’avait finit aux mains. Surement qu’il s’agit de Callen qui a tapé le premier, Anton n’a fait que répliquer, mais tout de même. Depuis, aucun des deux ne peut voir l’autre en peinture, et ça peut se comprendre. En gros, si on résume, ils se détestent parce qu’ils se sont tapés dessus, pour on ne sait même plus pourquoi. La vie est vraiment grotesque des fois. Note Delta étant d’un caractère plutôt violent, dès qu’il le voyait, il avait envie de lui refaire sa petite gueule d’ange, et il n’aurait pas hésité là, bon sang pourquoi fallait-il qu’ils se rencontrent ici ? Ils allaient devoir se comporter normalement, comme des personnes civilisées, ou au moins faire semblant. Mais peut-être qu’aussi ça les aidera à se parler vraiment calmement et à reprendre tout depuis le début, faire un trait sur cette soirée. En tout les cas ça n’allait pas être Callen qui ferait le premier pas. Il le détestait. Il aurait très bien pu s’en aller et le laisser seul, comme s’il ne l’avait pas vu, mais il voulait le chercher. Disons que le jeune homme est ainsi. Il aime la bagarre et la provoque très fréquemment. Ce n’est pas dans son genre de laisser les choses s’apaiser, non. Lui, c’est plutôt celui qui fout la merde, et qui provoque vraiment. En le bousculant il lui avait fait tomber ses affaires par terre et lorsque Anton s’abaissa pour les rabaisser, Callen ne l’aida point, et en rajouta même une couche « C’est là qu’on boit qui est supérieur à l’autre, moi, tu ne me verras jamais m’abaisser devant toi ! Tu es aussi soumis avec les meufs ou juste avec les mecs ? » Cette histoire risquait encore une fois de mal se finir, Callen ne faisait vraiment rien pour stopper ce phénomène de haine, il en rajoutait des couches. Comme s’il cherchait cette goutte qui fait déborder le vase. Mais après tout, et si cela ne cachait pas autre chose de la haine ? Si ça ne cachait pas plutôt de la jalousie ? Derrière son comportement de bad boy, Callen peut aussi ressentir des sentiments que toutes personnes peuvent ressentir, entre autre de la jalousie. Anton est beau, sportif, il fait partit de l’équipe sportif de l’université, à une copine, quoiqu’il dise, Anton est aussi très intelligent. Callen est très bien dans sa peau, il n’irait pas jusqu’à dire qu’il veut ressembler à Anton, mais oui, surement qu’au fond il le jalouse de quelque chose en particulier, mais cela il ne l’admettra jamais !
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MessageSujet: Re: admit it, it's not a simple litte melody • ANTON&CALLEN admit it, it's not a simple litte melody • ANTON&CALLEN EmptyLun 30 Mai - 1:08

admit it, it's not a simple litte melody • ANTON&CALLEN Zacefr14



    Je n’avais plus d’appétit ces jours ci, beaucoup trop de choses auxquelles je devais penser, dont je devais m’occuper. Beaucoup trop de problèmes dans ma vie. Je ne savais plus exactement où j’en étais par rapport à ma relation avec Ambrae. Bien entendu je l’aimais, mais tous nos problèmes du moment avaient modifié notre relation, en bien, en mal ? La question sans réponse. Chaque soir en m’endormant je pensais à elle, résultat, impossible de trouver le sommeil. Ca faisait bien trois jours et trois nuits que je vivais sans manger ni dormir, mon ventre ne contenait désormais plus que de l’angoisse. Vous savez cette sensation de l’estomac qui se sert, de mauvais pressentiment.

    Je n’avais plus d’appétit ces jours ci. Mais ce midi, j’avais décidé de me forcer à avaler quelque chose. N’importe quoi, mais quelque chose. Je me niquais la santé en enchainant mes cigarettes et mes verres de jack daniel’s. Je me dirigeais donc vers la cafétéria du campus. Arrivé devant, j’avais un large choix : pâtisseries, sandwichs, pâtes à faire réchauffer au micro-onde, frites, produits laitiers… Ce large choix m’avait découragé, je regardais une dernière fois l’étalage et d’une voix de désespoir j’annonce à la serveuse bien grasse de me donner une bouteille d’eau et un beignet nature. La vieille grosse dame eut un regard étonné, c’était surement parce que ça se faisait rare de nos jours les gens qui boivent encore de l’eau. Elle attrapa mon beignet avec ses grosses mains bien grasses et le mit dans un petit sac en papier avec ma bouteille d’eau. De sa voix rauque et grave elle me balance un « Tiens, gamin. » accompagné d’un regard teigneux. Habitué à la mauvaise humeur de cette dame je ne fis guère attention à cet épisode et je traçai ma route vers une table.

    J’étais assis seul à ma table avec pour seul compagnon mon ipod qui jouait un grand classique de Neil Young. Je regardai au loin ces étudiants qui avaient le sourire. Il y a encore quelques mois j’étais comme eux, avec mes amis en train de rire assis dans l’herbe. Maintenant j’en étais à me forcer à avaler un donuts sur une table en bois en écoutant du folk. Je n’arrivai plus à penser, la musique m’entrainait ailleurs. C’est alors que j’eu la bonne idée d’aller me plonger dans un classique de la littérature française à la bibliothèque de l’université. Je me levai de mon banc en bois après avoir mangé mon beignet que j’avais peur de revomir dans 5 minutes puis me dirigeai vers la bibliothèque. Je connaissais le chemin par cœur, tout droit puis une fois dans l’aile gauche, tourner à droite, monter les escaliers B et une fois au premier étage traverser le couloir et troisième porte à gauche. J’aurai pu le faire les yeux fermés. Je buvais une gorgée d’eau et 3 minutes plus tard j’étais arrivé. Je me posais sur une chaise avec un livre que j’avais déjà lu plusieurs fois mais qui me procurait la même sensation à chaque fois. C’était Une Vie de Maupassant. Un livre plutôt basique qu’on donne aux lycéens mais l’histoire de Jeanne m’inspirait énormément. Puis l’histoire de la femme dont le mari la trompe avec sa servante me faisait légèrement penser à ma situation. Moi dans le rôle de la femme, Ambrae dans le rôle du mari et Joe dans le rôle de la servante. Amusant non ? Bref, en 30 minutes j’étais arrivé à la moitié du roman qui était assez court. C’est alors que j’entendis une voix niaise mais familière s’adresser à moi.

    CALLENcalmement, Tiens Anton, tu as enfin décidé de te cultiver un peu ? C’est bien !

    Oh oui, cette voix était familière, c’était la voix de Callen, un vieux mec. Je vous passerai les détails quant à notre relation plutôt mauvaise mais pour faire court : on se déteste. Nos fiertés respectives nous empêchent de nous entendre, c’est logique. Je poussai un soupir. N’étant pas dans un bon jour aujourd’hui (comme tous les autres jours de cette semaine d’ailleurs), je décidai de ne pas faire attention à l’attaque du petit frimeur. Je me levai de ma chaise et me dirigeait vers la sortie. Mais la bêtise de Callen était bien plus forte que mon ignorance envers lui. Bien entendu, l’imbécile avait décidé de me faire chier. Il me bouscula, pas violemment mais assez fort pour faire tomber mon sac qui était ouvert laissant s’échapper toutes les feuilles de mon dossier de littérature. La tension montait dans mon système nerveux et je sentais qu’un de mes nerfs allait lâcher et que le jeune garçon allait en faire les frais. Je tentais tout de même de garder mon calme et je ramassai mes affaires.

    CALLENC’est là qu’on boit qui est supérieur à l’autre, moi, tu ne me verras jamais m’abaisser devant toi ! Tu es aussi soumis avec les meufs ou juste avec les mecs ?

    C’en était plus que ce que je ne pouvais supporter. Je me relevai, enfilai mon sac sur une épaule et d’un geste de main, poussa le gringalet qui était face à moi. Ce n’était pas un geste violent mais provocateur et humiliant.

    ANTONPutain, Mechiovski, tu cherches quoi merde.

    Dis-je d’un ton plutôt soulé et énervé. Lui et moi nous étions déjà battus auparavant, mais j’étais trop bourré pour me souvenir de l’issue de la bagarre. Mais vu le gabarit du mec qui était en face de moi, je devinais bien qu’il m’allait être simple de lui faire comprendre qu’il ne fallait pas me chercher en ce moment.
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MessageSujet: Re: admit it, it's not a simple litte melody • ANTON&CALLEN admit it, it's not a simple litte melody • ANTON&CALLEN EmptyDim 5 Juin - 13:41

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Généralement lorsqu’on vient dans ce lieu-ci, c’est plutôt pour trouver du calme, être tranquille, trouver du silence. Callen avait souhaité trouver ça, c’est vrai. Mais lorsqu’il avait aperçut Anton, il n’en avait pas su s’en empêcher. C’est un provocateur, et il n’y peut rien. Dans ce genre de situation, il ne peut pas tellement se contrôler, et une soudaine envie de chercher les gens lui arrive en lui, et il ne peut que l’assouvir. Il commença donc à provoquer ce jeune Iota. Pourquoi ? Il n’y avait pas besoin de raisons particulières, il en avait envie et ça suffisait pour lui. Et si ça finissait par les mains, ils sortiraient pour ça, Callen respectait tout de même le silence qui s’imposait ici, mais trop de silence tue le silence et maintenant il avait envie d’un peu plus. Il cherchait la bagarre. La violence est resté en lui, c’est grâce à elle qu’il a pu survivre durant quelques années, il ne peut que l’en remercier mais ce n’est pas pour autant qu’il en oublie les règles du jeu. La violence fait partie de sa vie, sans, il ne serait surement plus ici. Mais pourquoi s’en prendre à Anton ? Comme ça. Même s’il n’avait pas une bonne mine, le Delta s’en fichait, et ça ne pouvait que l’aider dans son but, le jeune sportif allait ainsi pouvoir s’énerver plus facilement. Ca ne pouvait qu’aller en faveur du jeune Russe. Ce Russe vivait dans un monde où la violence n’était autre que seul pouvoir pour survivre, seul vrai plaisir, seul vrai puissance pour se sentir bien. Il vivait comme dans ce monde décrit dans le livre qu’il pouvait lire en ce moment. De jeunes confrontés à un monde où ils doivent se servir de la violence pour pouvoir être sur de survivre. Il avait vécu cela, mais en prison. Anton ne lui faisait pas peur, il s’était confronté à de plus costauds, des plus violents, à de vrais meurtriers sans cœur, et il était toujours dans ce monde. Le jeune homme pensait-il vraiment qu’il ferait taire Callen en le poussant comme il venait de le faire ? Ne pas se fier à son gabarit, on peut penser en faire une seule bouchée, seulement on se trompe. Il est bien plus fort que ce que l’on peut penser. D’ailleurs, on ne saura jamais qui aurait gagné la dernière fois, lors de cette soirée. On les avait séparé avant que ça aille trop loin, et Callen était partie, non pas pour fuir, tout simplement parce qu’on venait de lui gâcher la soirée. Il avait aussi eu besoin de se calmer, de prendre du recul pour ne pas s’en prendre à quelqu’un d’autre. Anton était bien vite entré dans ses ennemies. Pour un tout. Il ne pouvait pas voir son visage, pourtant avec Joe ce n’est pas ainsi. Il ne supporte rien chez Anton, sa façon de parler, sa façon de bouger, sa façon de penser, rien, vraiment rien. Il ne put que sourire lorsque celui-ci ouvrit enfin la bouche, pour répliquer. « Putain, Mechiovski, tu cherches quoi merde. » Il le comprit très bien, c’était un mauvais jour pour Anton, mais ça ne fit qu’amplifier son envie de le provoquer. Il se posta face à lui, et avec un sourire amusé il lui répondit tout de suite, comme s’il n’avait eu aucun besoin de réfléchir pour savoir quoi répondre, comme s’il avait répété la scène depuis des semaines. Anton l’inspirait tout simplement. « Je te croyais plus fort que ça. Soit c’est l’alcool qui m’a rendu con durant cette soirée, ou alors c’est l’alcool qui te rend plus fort, dans ce cas je comprendrais pourquoi tu ne te bats que lorsque tu es bourré. Tu as trop peur de te prendre une raclé et d’abimer ce beau visage angélique. Ca se défend. » Un petit sourire pour lui montrer quelque chose ; qu’il était fière de lui ? Il n’y avait pas de quoi être fier, mais Callen l’était tout de même. Il ne disait pas non pour lui refaire son visage à celui là. Ils se mirent à marcher, comme s’ils étaient des amis qui allaient sortir de la bibliothèque, tranquillement, on pourrait penser qu’ils parlent normalement. Pas du tout. La provocation était dans l’air et ça ne provenait que de Mechiovski, quant à Anton il essayait tant bien que mal de garder son calme, ce que sentit Callen, mais il faisait vraiment tout pour le chercher et le pousser à bon. Il en rajouta encore une couche. « Dis-moi tu es de si mauvaise humeur à cause de cette fille qui te sert de copine ? Pourquoi tu t’accroches à elle, alors qu’elle t’a trompé avec ton jumeau, avec ton jumeau quoi. T’es con ou tu le fais exprès ? » Cette fois, il s’agissait de provocation mais en même temps il essayait de comprendre. Ayant eu un jumeau il savait ce que ça pouvait faire : apprendre que notre copine nous a trompé avec cette autre nous. Il ne comprenait pas la réaction d’Anton, d’accord l’amour, mais il y a une limite à ne pas franchir, et cette limite est la tromperie avec le jumeau. Du moins pour Callen. Il n’a pas ce soucis à se faire, mais tout de même. Comment aurait-il pu réagir s’il apprenait que son jumeau s’était fait sa copine ? La question ne se posait pas, sa copine s’était tapé son père et c’était surement encore pire. Et bien qu’il aimait cette fille, il avait tout de suite mit fin à leur relation, à quoi bon rester avec une pute dans son genre. Il ne put que rajouter « Sérieusement mec, tu attends quoi ? Qu’elle se fasse votre père ? » Anton ne pouvait pas savoir qu’il parlait par expérience, et puis pourquoi lui dirait-il cela pour être sympathique avec lui ? Peut-être parce qu’aucun mec, même un salaud de premier, ne mérite de se faire tromper par son jumeau. Bien qu’il sache qu’elles sont les relations entre ces deux Miller, ils ne doivent pas se faire cela. Puis là, d’un coup, il se mit à penser à son frère à lui, comment auraient été leurs relations maintenant ? Il regarda Anton, avec une mine triste, cela lui faisait toujours cet effet lorsqu’il repensait à son frère. « Dis-moi Anton, est ce que vous étiez jeunes, Joe et toi, vous vous entendiez comment ? Bien ou toujours mal comme maintenant ? » A l’époque il s’entendait hyper bien avec son frère, aurait-il pu être possible qu’ils ne s’entendent plus du tout maintenant ? Il avait besoin de parler, seulement, Anton ne devait pas être la personne la mieux approprié pour.
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