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Une famille ce sont aussi des personnes qui n'ont pas le même sang

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MessageSujet: Une famille ce sont aussi des personnes qui n'ont pas le même sang Une famille ce sont aussi des personnes qui n'ont pas le même sang EmptyDim 26 Déc - 16:12

    Une famille ce sont aussi des personnes qui n'ont pas le même sang Evan-Rachel-Wood-evan-rachel-wood-232393_100_100Une famille ce sont aussi des personnes qui n'ont pas le même sang 00051pp8Une famille ce sont aussi des personnes qui n'ont pas le même sang Chuck-Bass-3-chuck-bass-12664922-100-100

    Noël, une période de fête. Tout le monde reçoit des cadeaux et certain font plus ou moins plaisir. On a les cadeaux que l’on avait demandés, donc on est sûr de ne pas être déçu. Puis, il y a les cadeaux improvisés qui là sont du quitte ou double. Soit on a quelque chose qui nous plaît, soit on a quelque chose qui nous semble bon à offrir à quelqu'un d’autre, ou à revendre. Cette année, Samuel avait quelques cadeaux de plus à acheter. Evidemment, il en avait achetés pour sa fille, son fils, ses deux frères, ses trois sœurs, ses parents, pour Ambre Harrison. Pour elle, il y avait un cadeau d’anniversaire et un cadeau de Noël, vu que la demoiselle était née le 25 décembre. Mais cette année, il avait en plus un autre cadeau pour deux personnes. Non pas qu’il était radin et qu’il voulait offrir la même chose à deux personnes, mais il ne pouvait pas faire autrement. Abby et Charles-Edouard, deux jeunes qu’il connaît bien aujourd’hui. Charles-Edouard est un jeune étudiant français que Samuel connaît depuis plusieurs années. Abby est une jeune étudiante américaine qu’il connaît depuis l’change entre Berkeley et La Sorbonne. Ce qui relie ces deux jeunes à Samuel ? Le fait qu’ils se considèrent comme père et enfants. Samuel a eu la chance de pouvoir entendre Charles l’appeler papa et Abby a fait son échographie avec lui et lui a même demandé d’être là le jour de son mariage pour être l’homme qui l’amènera jusqu’à l’autel. Samuel a été ému par ces deux jeunes et il a décidé de leur offrir le même cadeau. Pour cela, il avait été voir son avocat et il avait dû faire quelque démarches administratives.

    Passant d’un avocat à un magistrat, Samuel était parvenu à avoir des papiers d’adoption au nom des deux jeunes gens. Il avait en plus apprit que les deux jeunes étaient cousin et cousines. En tout cas, il espérait que ça leur ferait plaisir. Samuel avait voulu signer les papiers avant de le leur envoyer, mais son avocat avait dit d’attendre. Il avait vu que Samuel était tendu et il lui avait dit d’envoyer les papiers aux deux jeunes et ensuite de les voir pour en parler. C’est vrai que sur le coup Samuel n’avait pas pensé au fait que ça pourrait surprendre les deux étudiants et qu’ils ne voudraient peut-être pas de ce cadeau. Alors, il avait envoyé à chacun l’exemplaire qui les concernait en précisant aussi qu’il y avait l’autre. Abby était donc au courant que Charles serait aussi adopté s’il acceptait et inversement. Sam avait fait en sorte qu’ils reçoivent leur courrier le 25. Aujourd’hui, en ce 26 décembre, il savait qu’il devrait les voir. En effet, sur une autre feuille, il avait proposé de les voir tout les deux pour discuter de tout cela. Evidemment Samuel en avait parlé avec ses enfants Antoine et Lucie. Ces derniers avaient été plus que surprit. Mais ils avaient acceptés la décision de Samuel. Alors aujourd’hui, ils avaient décidés de laisser la maison libre et de ne venir que si Sam les appelait. Se retrouvant donc seul chez lui, Sam était plus que tendu. Abby et Charles devaient venir et il ne savait pas s’il allait avoir le droit à des accolades ou alors à des cris.

    Marchant dans son salon, il était vraiment tendu et quand il entendit qu’on sonnait à la porte, il se figea. Allant ouvrir la porte, il vit les deux jeunes présents. Les laissant entrer, il ferma la porte derrière lui. Les faisant s’installer dans le canapé, il s’assit dans un fauteuil en face. Le silence s’installa alors, ce qui rendit Samuel encore plus nerveux. Il fallait qu’il parle ou fasse quelque chose. Demandant si l’un ou l’autre avait soif, ou avait envie de manger quelque chose, Samuel écouta et fait ce que les deux jeunes voulaient. Il n’était pas du tout à l’aise et il ne savait pas comment se comporter face à eux. Seulement, il savait aussi qu’ils devraient en parler. Une fois à nouveau face à face, assit dans son fauteuil, il se décida à se jeter à l’eau.

    Je sais que vous n’aviez pas dû vous y attendre, mais on est là pour en parler, alors si vous voulez me traiter d’imbécile ou de tout autre chose, lâchez-vous.

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MessageSujet: Re: Une famille ce sont aussi des personnes qui n'ont pas le même sang Une famille ce sont aussi des personnes qui n'ont pas le même sang EmptyJeu 30 Déc - 11:32

Samuel & Charles-Édouard & Abbygail

Une famille ce sont aussi des personnes qui n'ont pas le même sang Ico5 Une famille ce sont aussi des personnes qui n'ont pas le même sang Iconabby Une famille ce sont aussi des personnes qui n'ont pas le même sang Ed-Westwick-ed-westwick-16243456-100-100
Faîtes un vœu et placez-le dans votre cœur. Tout ce dont vous avez envie, tout ce que vous voulez. C’est bon ? Bien. Maintenant croyez que ça peut se réaliser. On ne sait jamais quand un miracle peut arriver, un sourire ou un souhait se réaliser. Mais si vous croyez que ça peut arriver au détour d’une rue et que vous ouvrez votre cœur et votre esprit à cette possibilité, à cette certitude, il se pourrait que vos souhaits se réalisent. Le monde est plein de magie. Il suffit d’y croire.


ABBY – « Charles c’est toi ? Je reconnaîtrais cet affreux parfum pimenté entre mille ! »

Bien qu’elle n’ait pas vu son cousin Charles-Édouard depuis un lustre maintenant, Abbygail était encore capable de sentir le parfum si spécial de celui-ci. Il en mettait trois différents, si sa mémoire était bonne. Un plus épicé lorsqu’il souhaitait passer la soirée en galante compagnie ; un fruité lorsqu’il se rendait en cours et, pour les évènements solennels, il portait cette fragrance que la jolie blonde trouvait presque pimentée. Hélas, toute armée de sa canne d’aveugle qu’elle était, elle n’aurait pu trouver meilleur moyen de le reconnaître dans l’obscurité qui était la sienne. Fort heureusement, jusqu’à preuve du contraire, Charles était bien voyant. Bien qu’il n’ait pas pu l’éviter, en face de la demeure de Samuel où ils étaient attendus l’un comme l’autre, alors qu’elle lui rentrait dedans, il avait sans doute pu constater que le parfum de sa cousine était nettement plus discret. Abby avait joué la carte de la discrétion, si l’on pouvait voir les choses ainsi…Elle avait revêtit une chemise plutôt souple qui galbait parfaitement ses rondeurs de grossesse nettement apparentes, ainsi qu’un jean taille baille. Rien de bien extraordinaire, mais Abby savait que l’heure n’était pas nécessairement à l’habillage particulier. Ce qui comptait, c’était sa présence…Elle avait eu du mal à venir, pourtant. Non pas que son désir ne soit pas de faire ce qui était en son pouvoir pour se présenter au rendez-vous fixé en ce vingt six décembre, mais à l’heure actuelle, elle se trouvait en plein déménagement, au cœur de démêlées plutôt homériques avec sa jumelle sans compter l’absence totale d’Adrian, aux abonnés absents. Ce qui lui avait posé le plus de problèmes, c’était la lecture du document envoyé. Pendant presque vingt quatre heures, elle avait sonné à un nombre incalculables de portes dans son immeuble avant de trouver une âme charitable pour lui en lire les points importants. C’était sa voisine de gauche qui s’était dévouée…Cette dame âgée avait eu un mal fou à mettre ses petites lunettes sur son nez afin d’être en mesure d’aider Abby, mais elle lui avait finalement appris qu’en guise de cadeau de Noël, un certain Samuel Salaun souhaitait l’adopter. Sa surprise fut totale, d’autant plus qu’elle n’avait jamais eu vent d’une telle décision. Ainsi, il voulait faire d’elle sa fille, et adopter en même temps son cousin unique et préféré, Charles-Édouard…Difficile de résister à l’envie de sautiller partout dans l’appartement de la vieille dame. Celle-ci avait d’ailleurs écarquillé grand ses yeux, comme si Abby était soudainement prise de folie et qu’elle devait être internée sur le champ dans un hôpital. Mais en vérité, il y avait là le plus beau cadeau de Noël que l’on ait pu lui faire dans sa misérable existence…C’était mieux que le jour de ses quinze ans où Papa Vodianov s’était fendu d’un gros chèque lui ayant permis de s’acheter un piano à queue. C’était mieux qu’à son arrivée à San Francisco, et aussi extraordinaire que sa victoire à Blackpool en compagnie d’Adrian. En fait, il n’y avait rien qui puisse lui faire davantage plaisir. « Vous êtes sûre que tout va bien jeune fille ? » s’était exclamée sa voisine en la voyant se mettre à danser comme s’il y avait un remake de mauvais film à faire sur le champ. Mais Abby n’était pas folle…Elle était juste bien. « Oui » avait-elle finalement rétorqué.

ABBY – « En plus d’être mon cousin préféré, il faudra que je te surveille en tant de frangin adoptif, maintenant. Tu imagines l’investigation que tu vas me faire faire ? Bah, en même temps on s’en fout, c’est juste du délire total. »


Avec sa grossièreté modérée et un sourire immense, la jeune femme avait pénétré à l’intérieur du hall d’entrée de Samuel, suivi de près par Charles-Édouard semble-t-il. Ce fut pourtant dans un silence tout aussi immense qu’ils s’installèrent tous trois dans le salon, les deux jeunes sur le canapé, le futur patriarche assit dans un fauteuil. A vrai dire, ce qui la surprit, ce fut que Samuel puisse penser qu’ils allaient l’insulter en le traitant d’imbécile. Si Abby ne connaissait pas encore le ressenti de son cousin sur la question, elle était bien incapable de faire le rabat-joie. Elle ne manqua donc nullement de passer nerveusement une main dans ses cheveux, finissant par se masser la nuque, cherchant une bonne façon d’entamer la conversation avant que ce silence pesant ne la rende tout bonnement grossière. Ils avaient quelque chose à célébrer, n’est-ce pas ? Il n’y avait donc aucune raison de faire des têtes d’enterrement de trois pieds de long !

ABBY – « S’il y a quelque chose dont il faut te traiter, c’est de Papa non ? Si tant est que ce soit une vraie insulte, je sais pas, je me pose la question d’un coup. »


Détendre l’atmosphère, c’était la clef. La jolie blonde préférait mille fois qu’ils se donnent une bonne accolade une fois pour toute, avant de festoyer gaiment et de rattraper ce soir de Noël qu’ils n’avaient pas passé ensemble…Du reste, Abby aurait préféré le passer en présence d’une véritable famille, même si celle-ci était dans le cœur plutôt que dans le sang. A la place, elle avait dû endurer les remontrances de sa jumelle Tasha, à la limite de la crise de nerfs. « Pourquoi ce silence de mort, j’ai dis une connerie ? » s’exclama-t-elle quelques secondes plus tard. Abby avait contrôlé son vocabulaire en présence de Samuel à Paris…Mais elle n’avait aucune raison de faire preuve de retenue ici ; pas alors qu’elle comptait bien signer les papiers de l’adoption si tel était le véritable désir du professeur.

ABBY – « Je dois dire que j’ai eu un mal à me faire faire lire la paperasse. Quand ce sera en braille, bon dieu ce sera plus pratique. Néanmoins…En ce qui me concerne, bien que je sois surprise du côté soudain, je peux dire sans honte que c’est le plus beau cadeau de Noël qu’on m’ait jamais fait. »


Haussant les épaules pour masquer la gêne qui était brusquement devenue la sienne, il ne fallait pas s’attendre à ce qu’elle ne renchérisse pas aussitôt : « Après tout, comparé au Noël-engueulade que j’ai eu hier avec Tasha, je dois dire que c’est presque une bénédiction. Juste, je voudrais être sûre de ne pas être en plein rêve bisounours. Quelqu’un peut-il me pincer ? »


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MessageSujet: Re: Une famille ce sont aussi des personnes qui n'ont pas le même sang Une famille ce sont aussi des personnes qui n'ont pas le même sang EmptyDim 23 Jan - 20:53

      Une famille ce sont aussi des personnes qui n'ont pas le même sang 14o0x9y Une famille ce sont aussi des personnes qui n'ont pas le même sang EdWestwick15Une famille ce sont aussi des personnes qui n'ont pas le même sang Evanrachelwood7
      « Il y a toujours une cuillère malpropre dans chaque famille. »


Les choses qu’offrent la vie, les sentiments, l’amour, l’amitié. Et encore de tas de choses. Je ne veux plus me prendre la tête avec ce genre de choses, et pourtant je ne peux que faire ça, me prendre la tête. Je n’ai plus le cœur à rien, l’appétit n’est plus là, la vie n’a plus de sens. Aislynn va repartir avec Joshua, j’en suis plus que certain. La vie est belle, autant s’en satisfaire et ne plus se prendre la tête, mais c’est tout bonnement impossible. On cherche à ne plus penser, à ne plus réfléchir, c’est ce qui m’arrive. C’était en rentrant chez moi après le réveillon de noël raté que j’ai eu que j’ai vu le dossier qui m’attendait. Un cadeau de noël des plus original, je ne m’y attendais pas et l’effet escompté eut lieu ; je ne pensais plus à ce que j’avais sur le visage, aux pensées qui me donnait le tournis et faisait voler mon cœur se briser contre les parois de mon abdomen, brisé de l’intérieur. Fucking Life. Je suis déprimé, mais je ne le montre pas. Pour l’instant tout va bien, je vais avoir une nouvelle famille, une vraie. Une famille reconstituée, une famille unie ? Je ne sais pas réellement ce qui va se passer mais je prends des somnifères, un verre d’eau et m’allonge en les prenant. Je m’endors directement, je ne veux plus penser à rien, et mon vœu s’exauce, une nuit sans rêves. Le réveil est brutal, j’ai chaud, et très soif. Je vais dans la salle de bain et boit l’eau qui coule du tuyau, je claque des mains pour activer la douche et l’eau. J’y passe en dessous et retient entre mes lèvres un cri de surprise et d’effarement, l’eau est gelé. Je la règle pour qu’elle soit plus chaude, à présent je suis réveillé et me laisse aller sous l’eau chaude qui coule sur mon corps aux proportions tout bonnement parfaite, chaque muscle, chaque partie de mon anatomie est tout bonnement parfaite. Merde alors, je n’en peux plus que tout sois si facile avec moi, que ma vie ne devienne pas plus fade, plus punch. Je sais qu’elle va le devenir et que cela je dois le faire dans la plus grande discrétion, je n’ai pas le choix si je veux éviter le plus de problèmes possible. Je sors de la salle de bain, et remarque que j’avais gardé mes habits. Ils sont trempés et je les enlève, je retourne alors une nouvelle fois dans la douche pour me réveiller une bonne fois pour toute et me laver aussi. Je reste par la suite une vingtaine de minute devant le miroir de cette même salle de bain ou la buée n’a pas réussi à laisser sa trace. Je me regarde et me prépare à me raser. Je n’aime pas avoir cette jolie barbe d’un jour qui apparaît lorsqu’on n’a dormi que très peu. Le rasage se fait rapide et je me sèche le visage avec une serviette. Je finis par retourner dans ma chambre et me poster devant l’armoire, la regarder puis l’ouvrir. Je prenais mon temps pour choisir des fringues et inconsciemment je pris une chemise blanche avec un jean noir et des chaussures aussi noirs. Je laissais deux boutons du haut ouvert et je pris une ceinture pour placer le tout. Alors que je descendais au rez-de-chaussée, me servant un verre de jus d’orange et regardant mon reflet dans le verre une fois vide. J’étais parfait, tellement parfait. Merde alors. Il est 14h00 et je me suis réveillé bien tard. Il faudrait peut-être que j’y aille. Voiture ? Moto ? Taxi ? Pourquoi pas, je n’avais rien envie de faire. Je pris le dossier d’adoption avec moi, je n’avais rien mangé d’autre, un verre de jus d’orange suffirait. Ou peut-être pas. Je ne sais pas réellement ce que je veux, mais je sais où je vais, pour l’instant. La vie me paraît fade, mais je dois sourire, ou encore paraître faux pour qu’on me laisse tranquille. Je ne sais pas et je ne veux pas prendre de décisions, je ne veux plus me prendre la tête et je vais profiter de la fucking life que j’ai. Merci Papa. Je change de père, celui-là est bien mieux. Mais je n’étais pas seul. Alors que je grimpais dans un taxi que j’avais sifflé. Je ne voulais rien penser, et le trajet se fit rapide, j’avais demandé au chauffeur d’accélérer pour une paye plus gracieuse. Il avait exécuté mes ordres. Ce que le monde est corruptible pour des billets verts. Le pouvoir, ce que c’est bon. Mais je ne m’emballe pas, ce n’est qu’une course. Mais avec bien plus, on pouvait tellement avoir plus. Ce fut sur ses pensées que j’arrivais devant la maison de Samuel. Abbygail, ma cousine, ma vraie cousine y était et attendait elle aussi, nous étions arrivés en même temps sans que l’on se soit croisé, mignon. Les choses qu’elle me dit me réveilla et me rendit quelque peu le sourire. Je ne répondis rien sur le coup, nous rentrâmes bien vite. C’est vrai au fond que notre lien familial à elle & moi allait se voir renforcer, mais avec Tasha, ça serait comme si elle était plus ou moins isoler, du moins je voyais cela comme ça, mais je n’avais pas à m’en faire, du moins, pour l’instant. On nous invitait à rentrer et je pouvais voir dans le regard de mon père, que il stressé légèrement, ça me fit rire dès le début mais je fis rapidement taire ce rire. Par la suite Abby voulut détendre l’atmosphère qui semblait tendu pour rien, pour moi c’était okay, et pour Abby aussi apparemment, nous étions tous les deux content et on le montrait. Je devais dire quelque chose et je ne me gênais plus ; il fallait que je m’exprime et pas que je m’enferme dans ma bulle « Sam’, tu sais très bien que je te considère comme mon père, officialiser les choses comme ça et le plus beau cadeau que la vie puisse m’offrir, et je te remercie de m’offrir cela, Papa.. » Je lui souriais avant de regarder ma cousine sœur-adoptive, ça allait être fun (a) ! Je ne disais rien d’autre à part poser les papiers sur la table basse en face de moi, il fallait que je dise quelque chose, mais je suis trop déprimé pour ça, j’étais cependant avec ma famille et je me refusais d’être si bas avec eux, j’espérais qu’ils ne le voient pas, je refusais que ce moment soit gâché par une émotion aussi merdique que l’amour « La vie est belle, non ? Notre famille sera spéciale et je suis sûr que tu as du demander à tes propres enfants leur avis, merci de nous offrir ça Samu.. enfin Papa. Il n’y a pas de problème, comme tu le vois, Aby & moi sommes tout deux d’accord pour être tes enfants. Puis Abby, être le père de deux gens aussi parfait que nous ça doit pas être bien difficile ? Enfin avec toi ça va l’être, le boucan que tu es, ça va être moi qui va devoir te surveille (a) ! » dis-je avec un rire que je ne pouvais retenir, anticipant l’éventuel attaque de ma sœur-cousine que je connaissais par cœur, et la chatouillant donc avant qu’elle ne tente de me frapper (a) !
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MessageSujet: Re: Une famille ce sont aussi des personnes qui n'ont pas le même sang Une famille ce sont aussi des personnes qui n'ont pas le même sang EmptyMar 25 Jan - 19:55

    Une famille ce sont aussi des personnes qui n'ont pas le même sang Evan-Rachel-Wood-evan-rachel-wood-232393_100_100Une famille ce sont aussi des personnes qui n'ont pas le même sang 00051pp8Une famille ce sont aussi des personnes qui n'ont pas le même sang Chuck-Bass-3-chuck-bass-12664922-100-100

    D’accord faire une demande d’adoption alors qu’on n’ait pas sûr de soit est quelque chose de stupide. Enfin Sam était sûr de ce qu’il voulait, seulement il n’était pas sûr des réponses qu’il allait recevoir. Est-ce qu’Abby et Charles-Edouard allaient accepter cette demande d’adoption ? Il ne le savait pas vraiment et c’est ça qui l’effrayait un peu. Tournant un peu en rond chez lui, il finit par entendre sonner et il alla ouvrir la porte. Laissant les deux jeunes entrer, ils purent aller au salon. Sam leur expliqua alors qu’il pouvait s’attendre à toutes sortes de réponses, donc il était prêt. Même s’il n’en était pas certain, il disait en tout cas être prêt à tout entendre. Appréhendant un peu, il regarda les deux jeunes, ne sachant pas lequel allait parler en premier. Ce fut donc la jeune femme qui prit la parole. La regardant, Sam fronça les sourcils s’attendant à recevoir des « non mais on se connaît à peine » ou tout autres choses. Haussant alors les sourcils à ses propos, il resta surprit. Elle acceptait cette demande d’adoption ? Apparemment oui, c’était bien le cas. Esquissant un sourire, il reprit son sérieux en regardant le jeune homme qui allait à son tour parler. Touché par le fait que lui aussi accepte cela, Sam se mit à sourire plus franchement. Les deux semblaient apprécier sa démarche et il était heureux que ça soit le cas. Les écoutant ensuite parler entre eux, Samuel était content de sa démarche. Finalement ça n’était pas catastrophique et il aimait le fait qu’il soit encore en vie également. Souriant donc, il les regarda s’amuser tout les deux. Antoine, Lucie, Nelligan, Abby et Charles-Edouard, que d’enfants pour Samuel tout d’un coup. Trois enfants biologiques et deux enfants adoptés. Il n’aurait jamais imaginé que ça lui arriverait un jour. Il venait de découvrir que Nelligan était son fils et qu’ils avaient perdus vingt quatre ans, en ne sachant pas la vérité sur l’un et l’autre, mais aujourd’hui, ils comptaient bien rattraper ce retard. Adopter deux jeunes était également quelque chose d’étrange. Abby était une jeune femme très agréable, avec qui Samuel avait toujours de longs échanges passionnés sur tout. Elle prenait souvent sa défense et elle semblait vraiment apprécier tout ce qui se passait. Tout comme Charles-Edouard, ce jeune homme si renfermé parfois, mais qui peut également devenir un homme aimant s’il se laisse approcher. Samuel savait qu’Abby et Charles-Edouard avaient des soucis dans leurs vies privées respectives. Abby avec Adrian et les jumeaux, Charles-Edouard avec la mafia. Il ne savait pas vraiment où tout cela en était, mais il savait qu’il serait là quand ils auraient besoin de lui. Il n’avait pas fait des papiers à la légère et il s’engageait vraiment à tenir un rôle de père auprès d’eux. Reposant alors son attention sur eux, il rit un crayon et signa les feuilles. Il ne l’avait pas fait avant, vu qu’il avait eu peur d’avoir le droit à leurs refus. Puis, il posa le stylo et les regarda.

    Ca sera officiel quand j’aurais ramené les papiers.

    A vrai dire, il ne parlait que des papiers, mais il ne savait pas trop comment réagir. Il était vraiment ému et il ne se sentait pas particulièrement à l’aise, mais il savait aussi que son sourire devait traduire ses pensées. En tout cas le jeune homme pouvait le voir, mais Abby non. Il se devait donc de prouver qu’il était lui, également très heureux de tout cela.

    Un verre pour fêter ça ?
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Jake Fitzgerald
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