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« A sweet talking sugar coated candyman »

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Constance La Tour Dubois
there's no place like berkeley
Constance La Tour Dubois
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MessageSujet: « A sweet talking sugar coated candyman » «  A sweet talking sugar coated candyman » EmptyDim 23 Mai - 19:29

    «  A sweet talking sugar coated candyman » 100515110947177503 «  A sweet talking sugar coated candyman » 100517084324101759
    ♪ SHOT FOR THE SKY
    Not ready to let go 'Cause then I'd never know what I could be missing but I’m missing way too much, so when do I give up what I’ve been wishing for. jason walker.


Met that frenchi last night, sooo beautiful. His name was Aymeric. Assise sur sa chaise depuis maintenant quarante-cinq minutes, Constance lorsqu'elle entendit le prénom d' Aymeric ne put s'empêcher de focaliser sur la conversation que menait deux américaines dans son cours de littérature, assises non loin d'elle. Elle fit semblant sur l'instant de ne rien n'entendre et de se concentrer sur le chef d'oeuvre de Victor Hugo, Les Misérables qu'elle tenait dans ses mains dans une version anglaise bien étudié, cependant qu'elle fut déjà agacée qu'on puisse parler d'Aymeric et qu'en plus elle le trouvait « beautiful » . Elle poussa un petit soupire, ce que c'était agaçant... les commérages s'entend.Aymeric ? The ômicron ? Sans déconner, des Aymeric aux Etats-Unis ça ne cours pas les rues, encore moi a Berkeley. Elle leva les yeux au ciel. Yes, this one. He looked so sad. How I wish I could comfort him... if you see what i mean Damn Slut. Constance se retins sur le moment de se retourner et de lui adresser un regard noir, faisant preuve de retenu. Il lui fallait garder sa classe innée en toute circonstance et puis elle si fichait de ce que ces pintades de concierges pouvaient penser de lui. Seulement la dernière phrase lui revenait en esprit à chaque fois qu'elle se disait qu'elle s'en foutait.
La sonnerie raisonna dans le bâtiment, provoquant un tintamarre sonore dans la salle pouvant masquer ainsi toutes les conversations. Elle ne pouvait pas rester de marbre face a telle parole, c'était plus fort qu'elle. Elle sortie de sa trousse une cartouche d'encore bleu foncé qu'elle utilisait pour son stylo plume, rangea tout de même le reste de ses affaires pour ne garder en main que la cartouche destinée à son dessein diabolique et son téléphone portable et attendit patiemment que la commère en question arrive à son niveau. Chose faite, elle se leva et la bouscula, assez fort pour qu'elle ait à se rattraper sur la table de derrière, pas assez cependant pour la projeter au sol, retenu on a dit. Elle laissa échapper la cartouche d'encore de sa main qui vint s'écraser sur le tee shirt de la visée, s'empressa d'appuyer dessus pour que tout le liquide bleuté à l'intérieur se libère sur le pauvre tee shirt, mimant une Constance faussement catastrophé sur le moment. Oh, I'm Sorry ! dit-elle, son air de comédienne plaqué son ses traits, un sourire amusé et satisfait se dessinant à l'orée de ses lèvres fines. La fille poussa un petit cris de stupeur, regardant la tâche sur son tee shirt devenir plus épaisse au fur et à mesure que Constance la lui étalait, histoire d'enfoncer encore le clou un peu. Finalement elle cessa, elle en avait plein le main et elle s'était bien vengé. No, you're not. lui répliqua cette pimbêche. Constance lui piqua un gros rire au nez, satisfaite. No. Not even a little. entonna-t-elle avec un accent anglais quasi parfait, sourire bitchy au point. Elle prit le large sans même laisser un temps de réponse à sa camarade de classe tachée.

Cela l'aurait tué de laisser cette pauvre fille parler d'Aymeric comme ça, même si en y réfléchissant elle n'avait rien dit de mal, mise à part qu'elle l'aurait bien consolé ... if you see what i mean, la laisser sans qu'elle ne puisse rien lui dire rien lui faire. Une tâche sur un tee shirt encore restait pacifiste, du moins pour les habitudes vengeresses de Constance qui avait pour coutume d'être beaucoup plus crus et méchante si elle était amenée à se venger. De fait elle passa sont après-midi à penser à Aymeric, luttant contre son envie incommensurable d'aller lui parler. Cela faisait une trotte qu'elle n'avait pas eu de conversations avec lui, aussi gênante soit-elles. Mais enfin elle avait toujours ce petit côté qui se demandait ce qu'il pouvait bien faire de ses journées, surtout ici. Espérait qu'il ne soit pas seul, mais en même temps qu'il ne soit pas trop accompagné. Pf. Enfin pas autant qu'elle s'entend.

20h30. Elle avait fini les cours depuis belle lurette, Alban était de sorti ce soir et en plus elle n'avait pas envie de rester seule, comme d'habitude diras-t-on. Assise dans son canapé, lorsqu'on vint frapper à la porte elle se précipita pour aller ouvrir, heureuse de savoir que quelqu'un venait lui rendre visite. Elle ouvrit la porte, dévoilant ainsi le joli minois de la belle Aude Saint-Rémy, lui adressant un sourire. Coucou Bella ! Mon frère est là ?! Arrr elle venait pour Alban, décidément ce n'était pas sa soirée. Elle poussa un soupir déçus. Il est sorti avec Maxime et Aurlanne je pense. Tu l'as loupé de peu. Elle fit une mine déçue, qu'est ce qu'elle allait se faire chier ce soir en y pensant, si seulement elle s'entendait bien avec Aurlanne, elle se serait incruster au groupe. Crap. Elle leva les yeux au ciel et s'apprêta a refermer la porte lorsqu' Aude apposa sa main sur l'encadrement. Tu sais, j'ai entendu Aymeric dire qu'il irait faire un tour sur le toit après manger. Mais je n'ai rien dit.lui dit-elle avec un air angélique. Constance se mordit les lèvres. Et je n'ai rien entendu. Elle referma la porte, laissa échapper un petit « héhéhé » satisfait. Aymeric, Aymeric, Aymeric. Elle ferait semblant d'être sur le toit par hasard, il n'y verrait que du feu et au moins cela occuperait sa soirée. D'ailleurs elle ne tarda pas à monter sur le toit, malheureusement pour elle il n'y était pas encore. Elle se contenta d'avancer sur le toit, laissant la porte menant à l'intérieur du bâtiment ouvert, aussi immense soit-il et alla s'asseoir sur le rebord. Elle pouvait voir ainsi en contrebat tout ce qu'il se passait dans les jardins de Berkeley à la nuit tombante...

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MessageSujet: Re: « A sweet talking sugar coated candyman » «  A sweet talking sugar coated candyman » EmptyLun 24 Mai - 21:35

    «.i.m.here.for.you.to.stay.
    «  A sweet talking sugar coated candyman » 25qw0fs
    uc


    « I don’t understand selfish bastard. Better, i don’t want. They don’t care of other people … even if world need asshole, i can’t bear them. »

    Comme émergeant d’une sieste légère, Aymeric jeta un vague regard à la blondinette qui était assise à côté de Camille et discourait sur les cons de ce monde, sous-entendu : Aymeric De Lavignères. Dans un monde parfait, le Français aurait été chanceux de voir que la correspondante de son plus proche ami était en quelque sorte la meilleure amie de sa correspondante. Ils auraient aisément pu former un quatuor et passer un agréable échange. Mais un monde parfait n’existait pas – pas même dans les contes de fée – et Aymeric ne pouvait pas encadrer sa correspondante. Il savait pertinemment qu’il avait fait preuve d’un comportement bien grossier envers la Hammersmith, mais il n’avait pas su que faire autrement. Il ne voulait plus la voir. Inutile de lui jeter à la figure le double parfait de Johanna respirant et gambadant joyeusement dans Berkeley. C’était insoutenable. Mais personne n’était au courant de cette raison, pas même Manon ou Camille. De ce fait, il était véritablement vu comme un connard, mais ses proches semblaient ne pas y faire attention. Ce qui n’était pas le cas d’Evan Callaway, la grande amie d’Hammersmith et manque de bol, elle s’entendait assez bien avec Camille pour traîner avec et étant loin d’être faible, Aymeric ne voyait aucune raison à les laisser seuls si elle avait rejoint le duo, comme c’était le cas aujourd’hui. Les trois étaient assis dehors et pendant qu’Aymeric mémorisait un livre de Droit, Camille écoutait patiemment Evan discourir sur les cons. De temps à autres, Aymeric levait un œil et croisait parfois le regard de l’américaine qui lui criait un beau « i’m speaking about you », mais il se contentait d’adopter le rôle de celui qui ne se sentait pas concerné. En d’autres circonstances, probablement qu’ils se seraient bien entendus car au fond, Evan semblait marrante. Mais voilà. Ils ne pouvaient pas s’entendre et des insultes avaient déjà retenti entre la Sigma et l’Omicron. Pauvre Camille. Au moins, il était rarement mis entre les deux. Finalement, une sonnerie se fit entendre, mettant un terme au dernier thème d’Evan qui était le pourquoi les cons devaient être rééduqués.

    « I’ve to go. Goodbye !
    « Dieu merci ! laissa échapper Aymeric en se souvenant qu’Evan était loin d’être une quiche en cours et devait parfaitement comprendre ces mots en français, chose qu’elle signifia par un regard avant de partir. »

    Camille de son côté, n’émit aucun commentaire. Il semblait bien apprécier Evan, mais appréciait aussi Aymeric. Malheureusement, les deux personnes qu’il appréciait ne semblaient pas l’apprécier assez pour lui épargner les joutes. Au moins, il se perfectionnait en anglais à force de les écouter. Ayant encore une heure de libre et cette fois-ci sans une américaine, Aymeric se prépara à retourner à son Droit quand Camille rengagea la conversation. Allons bon, c’était l’heure de demander à Aymeric de faire un effort. Chose que l’omicron n’écoutait jamais réellement. Il n’avait aucune envie de faire des efforts et encore moins à Berkeley. Il avait déjà assez à faire pour se lever chaque matin avec la boule au ventre de croiser sa correspondante. Si ça ne tenait qu’à lui, il resterait sous sa couette ou serait déjà de retour en France. Alors, il ne fallait pas trop lui en demander. Tentant de mémoriser un amendement, Aymeric fut tiré de sa concentration par une phrase hésitante de Camille : « Franchement … tu crois pas que tu devrais voir quelqu’un ?». Fermant son livre, Aymeric adressa son regard le plus noir à son ami qui leva les mains en signe de défaite. Non, il ne voulait voir personne. Psychologue ou fille, il se complétait parfaitement dans sa situation du moment. Ce que Camille ne comprenait pas puisqu’il lui dit de sortir au moins. Mais Aymeric avait déjà donné pour la semaine. Il s’était rendu à une soirée hier soir et merci bien, mais cela n’avait rien changé. A part que c’était agaçant d’être dans un endroit rempli d’américaines qui voulaient toutes tenter l’amour à la française et qui voyaient en Aymeric une cible potentielle. Et visiblement, se montrer froid et cynique leur plaisait. Aymeric était entrain d’envisager sérieusement de se rapprocher du gay de la confrérie pour lancer une rumeur et qu’on le laisse tranquille. Mais évidement, avec son naturel social et sympathique, ce n’était pas demain la veille. Néanmoins, il déclina le fait de sortir, ne se donnant même pas la peine de dire qu’il devait travailler. Cela mit fin à ce thème car tous les deux savaient que les mots « fête » et « psychologue » étaient synonymes de disputes pour eux.

    « Aymeric, sortir, ça te changerait les idées. »

    Nouvelle tentative dupenhière quelques heures après la sienne. Ils venaient de quitter la bibliothèque universitaire où ils avaient travaillé leurs cours en vue des examens et visiblement, espérait-il que son ami De Lavignères s’était suffisamment assommé la tête pour accepter de sortir encore une fois. Faux.

    « Tu as raison. Je vais aller sur le toit, tiens. »

    Fin de la discussion. Camille leva les yeux au ciel en signe d’acceptation et se contenta d’un geste sans salutation orale pour dire au revoir à Aymeric qui ouvrit la porte de l’appartement qu’il partageait avec Orianne et Aude. Cette dernière était d’ailleurs là. Après des salutations plutôt polies, elle s’éclipsa et Aymeric se laissa tomber sur son lit en soupirant. Il partageait sa chambre avec deux joies de vivre. Il faisait tâche dans le trio, mais ça lui passait par-dessus la tête et il était plus habitué à squatter la bibliothèque qu’à être dans sa chambre de toute manière. Il hésita un instant à monter directement sur le toit, mais décida de répondre au mail de son père. Il ne pouvait pas le faire attendre éternellement, surtout que père De Lavignères était une vraie mère poule. Se relevant en soupirant, il alluma son ordinateur et patienta en tapotant ses doigts dessus. Une fois le mail affiché, il écrivit rapidement une réponse banale en cachant l’épisode « catahleen ». Son père n’aurait probablement pas supporté d’avoir réussi le coup de maître en envoyant son fils en Amérique, pile dans l’université où il y avait le double de sa petite amie décédée. Après quelques « cours intéressants », de l’humour américain et quelques mots pour le rassurer sur son état d’esprit, Aymeric envoya le mail et ferma son ordinateur avant de le mettre sous un coussin. Prenant son paquet de cigarettes, il attrapa sa veste et se mit en route pour le toit. Montant les marches, il arriva vite devant une porte ouverte et un manque d’enthousiasme le prit. S’il y avait quelqu’un … lui qui voulait être tranquille, ce serait loupé. Néanmoins, il sortit sans réfléchir plus et avança sur le toit à l’air libre jusqu’à voir une silhouette sur la silhouette qu’il identifia rapidement.

    « Constance ? lâcha-t-il, une cigarette dans la bouche en se doutant que cela ne signifiait qu’une chose : elle avait rendez-vous galant sur le toit, sinon qu’est-ce qu’elle viendrait y faire toute seule ? Ca faisait longtemps dis donc, tu fais des rendez-vous sur le toit maintenant ? »

    Comme chaque omicron, il connaissait la réputation de Constance. Il était même un des mieux placés pour connaître la grande séductrice puisque c’était le motif de leur rupture à l’époque : elle n’aimait pas la vie en couple. Mais Aymeric n’avait jamais entendu que le toit était devenu le dernier territoire de Constance pour ses aventures d’un soir. Il espérait tout de même que non, car sinon son projet d’être peinard sur le toit se terminerait plus tôt que prévu. Néanmoins, il alluma sa cigarette et s’assit à côté de Constance. Si son hypothèse s’avérait vrai, il trouverait bien le moyen d’envoyer Constance et son rendez-vous voir ailleurs.
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Constance La Tour Dubois
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MessageSujet: Re: « A sweet talking sugar coated candyman » «  A sweet talking sugar coated candyman » EmptyMer 26 Mai - 15:09

Ce qu'elle pouvait être mauvaise quand elle le voulait. Et même lorsqu'elle ne cherchait pas spécialement à agir comme une garce psychotique, elle agissait comme si rien d'autre n'avait d'importance que sa satisfaction personnelle. Jamais elle n'aurait pu rester stoïque face a quelqu'un qui parle d'un garçon qu'elle « apprécie » que ce soit en bien ou en mal, comme une proie. Aymeric était spécial à ses yeux, elle en était consciente pourtant se refusait a tout commentaire lorsqu'il s'agissait de le dire a voix haute, par exemple lorsque Maxwell cherchait à lui faire cracher un morceau qui était déjà bien trop gros à avaler pour elle. De fait son caractère assez pimbêche puérile ressortait fortement lorsque d'aventure on parlait d'Aymeric, apparenté à une sorte de proie, devant elle. Pas question que l'ont ne s'attaque à lui, même si elle savait bien elle-même qu'Aymeric était très fort pour se défendre seul. Et encore aujourd'hui, elle restait dans le classique et a peu prêt sympa, du moins à ses yeux, cette fille s'en sortirait avec seulement un égo amoindris et une tâche bleuté sur un tee shirt foutu, tant pis pour elle, on ne parle pas de Lavignères sans un jour en prendre une petite couche de méchanceté par derrière. Elle avait une réputation à faire tenir tout de même, contrairement à la grandeur, « l'awesomeness » n'est pas une question de devenir, mais de naissance. Bam.

Dieu merci la journée était finie et s'était déroulée, mise à part ce petit incident de parcours, dans les normes. Rien de bien grandiose, une journée accentuée par le train train quotidien à savoir, cours - manger - cours - apéro très important et vivifiant pour la santé - appartement. Tout ceci étant fait, cela lui laissait plein pouvoir pour trouver son occupation nocturne habituel. Cependant, tous étaient de sorti, jusqu'à ce bon vieux Alban qui habituellement passait ses soirées devant la télévision, une nouvelle habitude prise depuis qu'il était officiellement en couple avec quelqu'un, préféra passer sa soirée en compagnie de son meilleur pote Maxime, l'as laissant totalement livré à elle-même. Jamais cela ne lui était arrivé, mais elle comptait bien sortir tout de même, forcerais Maxwell à la faire sortir en balade s'il le fallait. C'est à ça que ça sert un correspondant, faire découvrir les joies de l'Amérique, même si honnêtement les joies de l'Amérique n'avait plus grand secret pour elle depuis un petit moment maintenant, dans tous les sens du termes s'entend. Elle détestait ce genre de situation, se dire qu'elle devrait jouer la sage étudiante complètement appliqué à ses études et devrait se mettre a moult révision à la place de sortir faire la bringue.

Heureusement pour elle, Aude était passé pour égayer sa soirée. Et comment ! Mieux que n'importe quel homme, elle lui offrait une soirée avec Aymeric sur un plateau d'argent. Enfin une soirée plutôt apparenté à une discussion rapide et morne sur « comment se passe ton séjour a Berkeley ? » et « Ça va tu t'es fait des potes ? ». C'était souvent la même rengaine entre eux, elle ne savait pas quoi dire de peur de balancer une parole malencontreuse à son égard, un rapprochement avec sa défunte petite amie pouvait être rapidement fait surtout que Constance et Johanna n'était pas totalement étrangère. Aymeric et la même école en commun, forcément Constance avait été amené à la rencontrer plusieurs fois, sans pour autant lui accorder une importance quelconque. Enfin c'était toujours pareil, étant son ex' et surtout étant assez libertine, elle pouvait s'emporter sur des sujets malencontreux a tout instant et attiser la colère d' Aymeric en quelques secondes. Mais les conversations avec lui, lui faisait toujours plaisir, va savoir pourquoi. Aude lui avait tendu la perche, qu'elle lui rendrais en temps voulu rien que pour le geste, et parce qu'en réalité Constance aimait bien la soeur de son colocataire. Et la blonde lui offrait encore une fois une raison de l'apprécier encore plus qu'elle ne l'aimait déjà. Faire un tour sur le toit n'était pas dans ses habitudes, d'ailleurs elle n'avait pas souvenir d'y avoir mis un pied un jour. Ne savait même pas à quoi ressemblait les hauteurs de Berkeley et de quoi le campus avait l'air lorsqu'ils se retrouvaient en hauteur. Au moins ce soir elle serait fixée, même si elle n'était pas sûre d'accorder grande importance au décor.

Il devrait penser qu'elle était là pour un rencard, c'était tout à fait son style après tout, elle ne nierait jamais ses activités « extra-scolaire », sauf devant lui *tututu *. Enfin elle pris place sur l'un des rebords du toit, donnant pleine vue sur les jardins de Berkeley. Étonné de voir que beaucoup choisissais de s'exhiber plutôt que de se prendre une chambre dans l'une des multiples résidences qu'offrait l'université, mieux encore préférais le confort rudimentaire de banc en marbre à la place d'un lit confortable couvert de coussin de plume, elle ne comprendrait jamais, pourtant aimais l'insolite, mais pas au point de se péter la colonne vertébrale en voulant jouer l'exhibition.

Constance ? D'instinct elle releva le regard, jusqu'alors plongé à regarder ses photos sur son cellulaire dans le but de faire passer le temps de l'attente. Ainsi elle put apercevoir a contrejour la silhouette d' Aymeric marchant doucement en sa direction en s'allumant une cigarette. Encore un fumeur, peut être que le toit était un rendez-vous de fumeur, heureusement pour elle qu'elle supportait bien l'odeur de la nicotine, entre Alban qui fume tout ce qu'il trouve et Maxime qui trafic, elle était garnie. Mais au moins Aymeric fumait de simples cigarettes, comme elle-même si ça lui arrivait rarement en vérité. Sa silhouette s'avançait vers elle a contrejour dans le soleil couchant, ainsi elle ne pouvait que très difficilement apercevoir ses traits, cependant qu'elle pouvait admirer sa carrure venir prendre place à ses côtés. Ça faisait longtemps dis donc, tu fais des rendez-vous sur le toit maintenant ? C'était le moment où elle devait réfléchir pour se trouver une excuse. Elle préféra masquer sa réflexion en lui adressant un joli sourire, histoire de faire mine d'être heureuse de le voir, ce qu'elle était, mais sont sourire cachait plus sa réflexion que son bonheur passager. Ah. Disons que j'avais besoin d'être au calme pour ce soir. Lie ! Encore quelque chose qui n'était pas habituelle chez elle, être au calme n'était pas dans ses activités favorites surtout en début de soirées, il devait le savoir cependant qu'elle était sûre qu'il ne chercherais pas à comprendre plus loin. Et non je ne fais pas mes rendez-vous sur le toit. Je ne vois pas de quels rendez-vous tu veux parler d'ailleurs, dit-elle avec un sourire amusé, malicieux sur les bords dont elle n'arrivait pas à ses dépêtrer. Enfin bref. Comment se passe ton séjour à Berkeley, comme tu dis ça fait longtemps. Je suis sûr que tu as beaucoup de choses à me raconter ... ça elle en était sûre, qu'il veuille ne parler, elle en était moins sûre.

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MessageSujet: Re: « A sweet talking sugar coated candyman » «  A sweet talking sugar coated candyman » EmptySam 19 Juin - 21:31

Les filles. Parfois, Aymeric se demandait pourquoi il s’accrochait et quelle malédiction lui avait été jetée. Il l’avait l’apparence d’un digne fils d’Appolon d’après les commentaires de la gente féminine et pourtant, il semblait destiner à faire capoter toute relation avec ces dernières – même celles d’une nuit étant donné qu’il avait tendance à retomber sur elles. Mais il s’en fichait de ces dernières, complètement. Il eut un temps où cela l’aurait gêné, qu’il aurait tenté de se faire pardonner et aurait demandé à Dieu pourquoi lui. Aujourd’hui, il les envoyait se faire voir si elles venaient des histoires. Enfin, aux rares. Aymeric était loin du Barney Stinson de How i met your mother et ne collectionnait pas les aventures. Ces dernières se passaient uniquement s’il s’était dérogé à sa punition, celle de l’interdiction de s’amuser, de ne pas boire. Il n’avait pas été assez fort pour se refuser à la cigarette par contre, petit moyen pour s’alléger un peu. Oui, c’était « trop d’la balle » de traîner avec Aymeric, ironiquement parlant. Il boudait quand on le forçait à aller à une fête, se changeait en roi des glaces sur place, dégainait remarques acerbes à la moindre femme venant lui parler – excepté ses rares amies filles – et refusait de boire en principe. Mais une fois qu’il avait cédé à l’alcool, il était parti pour finir complètement fait. Il fallait se demander pourquoi Camille mettait tant d’efforts à le faire sortir sachant qu’Aymeric était un boulet dans ce domaine, mais visiblement les filles le voyaient comme cet arrogant grossier, misogyne et c’était un charme sans nom pour elle. Elles étaient un peu étranges parfois, mais c’était peu étonnant dans une génération qui fantasmait sur Chuck Bass. Seule différence avec Aymeric, c’est que ce dernier était un défi en plus. Pour aller dans son lit, il fallait trouver le moyen qui était loin d’être aisé à trouver. Non, la gente féminine ne passionnait plus De Lavignères et il s’aimait encore moins quand il en trouvait une attirante. De toute manière, cela se finirait forcément mal. Côté fille, il devait avoir en amante cachée, très possessive et affreusement jalouse, la malchance. Elle ne le lâchait plus et s’était toujours manifesté dans ses histoires de cœur. La malédiction lui était tombée avec sa mère, celle qui aurait dû être une des femmes de sa vie. Elle refusa qu’Aymeric la voie ainsi, devenant plutôt une invitée permanente devant laquelle il fallait bien se tenir jusqu’au jour où elle claqua la porte pour l’Argentine, abandonnant Aymeric et accessoirement son père. Premier échec féminin. Puis il eut Johanna. Belle à en couper le souffle, mais préférant vous le couper avec son humour. Aymeric en était éperdument amoureux et il l’avait perdue. Si tôt qu’il avait obtenu son permis de conduire, si tôt qu’il avait un accident par manque d’attention, si tôt qu’elle n’était plus. Deuxième échec. Le plus crevant et lourd pour lui. Il ne s’était jamais senti coupable du départ de sa mère. Elle ne l’avait jamais aimé ou ne s’était jamais sentie maman. Johanna, c’était sa faute. Il faisait alors attention à en payer le prix chaque jour. Néanmoins, bien que c’était deux beaux échecs et pour certains les plus marquants, il y en avait un troisième, un plus méconnu par les gens peut-être par son ancienneté ou parce qu’il était survenu rapidement. Constance La Tour Dubois. La belle de la nuit, analogue féminin du Barney Stinson, sauf qu’elle, elle n’avait pas besoin de stratégies pour avoir qui elle souhaitait. Seule sa personnalité combinée à sa beauté suffisait à lui donner ce qu’elle voulait. Elle était l’ex d’Aymeric. Il se demandait comment c’était possible de temps à autre, émettant l’idée qu’ils étaient jeunes et que Constance n’avait peut-être pas conscience de son effet sur la gente féminine. Ou qu’elle n’avait simplement aucune idée de ce que ça impliquait d’être en couple et c’était peut-être la raison du pourquoi elle avait accepté de sortir avec Aymeric. Elle avait été sa première petite-amie. Certaines personnes ne la considèrent pas telle qu’elle, décrétant que vue le temps qu’a duré leur histoire, on ne pouvait pas appeler ça une « petite-amie », surtout pas à côté de Johanna. Comparaison qui attirait irrémédiablement la foudre d’Aymeric. Vu son nouveau caractère, il se contentait d’un « pour moi, oui », sous-entendant un « va te faire foutre maintenant ». Il ne s’attardait pas plus car il eut un temps où cela avait été difficile à digérer la rupture. Constance s’était voulue libertine et aujourd’hui, elle avait affirmé ce statut. Voilà pourquoi elle avait laissé tomber Aymeric. Au moins, elle avait été franche. Et la voilà face à elle, sur le toit. Chose étrange puisqu’elle était présente à chaque soirée sur le campus américain étendant dans l’internationale ses histoires maintenant. Et cela marchait d’après les ragots. Ce n’était pas parce qu’il abordait un air glacial qu’Aymeric n’écoutait pas ce qui se passait. Par ailleurs, traînant toujours avec Camille, il se retrouvait à écouter des discussions de son acolyte avec d’autres personnes. Camille était social. Mais même sans ces ragots, Aymeric savait que Constance savait plaire à tout le monde ou presque. Et cela ne le gênait pas dans la mesure où elle ne s’exhibait pas devant lui. Ils s’entendaient même bien, ce qui n’empêcha pas Aymeric d’être surpris de la voir ou de s’en réjouir, s’attendant à ce qu’elle ait rencard. Mais bon, ce n’était pas logique. Constance attendant quelqu’un, un garçon surtout ? Elle était plutôt de celle qui savait se faire attendre. Cela ne l’empêcha pas de poser la question. Depuis le temps, Aymeric ne prenait plus vraiment de gants. « Ah. Disons que j’avais besoin d’être au calme ce soir. Et non je ne fais pas mes rendez-vous sur le toit. Je ne vois pas de quels rendez-vous tu veux parler d’ailleurs. Enfin bref. Comment se passe ton séjour à Berkeley, comme tu dis ça fait longtemps. Je suis sûre que tu as beaucoup de choses à me raconter… » En une tirade, Constance avait stimulé toute une palette d’émotions chez Aymeric. D’abord, la surprise, le soupçon, le sourire et enfin, la rancœur. Ou la colère, peut-être même la peur ; le Français ne savait pas ce que Catahleen lui inspirait réellement pour le moment. Peut-être même un souffle de bonheur et soulagement de temps à autres, la première fois qu’il la voyait avant de comprendre la vérité. « Ce serait plutôt à toi de me raconter ton histoire car pour que tu aies besoin de calme … ou je devrais arrêter d’écouter les ragots, sourit-il en essayant de se détendre, Tu dois savoir que je ne suis pas quelqu’un à qui il arrive quoique ce soit ou de marrant quoique dans ce cas, dit-il en finissant presque dans un murmure plongé dans ses pensées, Non, rien de bien beau. Alors, Berkeley t’a fait oublier la France ? » Tentative de déviation de conversation. Il n’avait jamais été porté sur les confidences, même si Constance avait été là pour lui. Mais il ne savait toujours pas comme appréhender le « Catahleen’s thing » et personne n’avait remarqué. Berkeley était trop grand pour que ceux qui connaissaient Johanna rencontrent Catahleen et croient au retour de Johanna avant de dégringoler. Aymeric n’avait vraiment pas de chance. Sur toutes les filles inscrites au programme de correspondance, il était tombé sur l’unique sosie de celle qui habitait toujours son cœur et son esprit.
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Constance La Tour Dubois
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MessageSujet: Re: « A sweet talking sugar coated candyman » «  A sweet talking sugar coated candyman » EmptyMer 30 Juin - 20:19

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YOU AND I WE HAVE SOMETHING

En y réfléchissant, elle n'était pas bien sûre de ce qu'elle voulait retirer de cette futur soirée. Lorsque Aude lui avait parlé d'Aymeric et de la possibilité de le croiser sur le toit ce soir, elle avait sauté sur l'occasion et avait grimpé sur le toit sans réellement réfléchir à ce qu'elle voulait soutirer d'une pareille rencontre, même si maintenant elle savait qu'elle avait envie d'une conversation posée avec quelqu'un qu'elle appréciait vraiment pour ce qu'il était et pas forcément parce qu'il était plutôt plaisant à regarder. Même si la chance voulait qu' elle apprécie Aymeric pour sa personnalité, mais aussi pour son physique, même si niveau personnalité elle avait connu beaucoup mieux venant de lui. Elle comprenait tout cela, arrivait à comprendre l'état d'âme dans lequel il se trouvait même si elle n'avait jamais vraiment vécu l'amour à proprement parler et de fait concevait que son comportement avait pu prendre un revirement glacial lorsque Johanna était parti. Épisode tragique, même si elle ne connaissait pas Johanna autant que les autres, elle la saluait de temps à autres au détour d'un couloir, lui adressait un sourire lorsque leurs regards se croisaient, qu'il soit un sourire à moitié faux ou seulement poli n'avait aucune important, de même pour la relation quelle entretenait avec elle. Tout résidait désormais dans l'entente entre Aymeric et Elle, qui avait été si proche fut une époque. D'ailleurs il était rare pour elle de rester en d'aussi bon terme avec l'un de ses petits amis, même si elle était du genre bon jeu bonne guerre avec les autres, avec lui elle n'avait pas joué la garce bien longtemps, peut être du fait que leurs séparations avaient été d'un commun accord et qu'ils étaient en quelques sortes devenus des amis depuis, après une période de froid gênant. Elle le connaissait comme étant quelqu'un de très gentil, très drôle aussi et pourtant la plupart des personnes de leurs entourages commun s'accordaient à dire qu'il n'était qu'un cynique, froid et distant personnage, ce qu'elle refusait de croire. Il n'avait pas toujours été comme ça et elle aimait croire, peut être naïvement, qu' Aymeric ne resterait pas bloquer dans cette colère et cette frustration provoquée par le décès de sa petite amie.

Elle n'avait pas beaucoup, voir pas du tout trainée avec lui depuis le débarquement des français sur le continent nord-américain. Après tout ils étaient tous deux très bien occupés par les américains, Constance ne savait plus où donner de la tête tellement ce nouveau terrain de jeu était attrayant pour elle, même si l'on devait avouer qu'elle savait très bien concilier son temps de loisir avec les études. Par ailleurs, elle était au courant qu'Aymeric, au contraire d'elle-même, rencontrait quelques problèmes avec sa correspondante Américaine, de quoi ne pas faciliter la tâche au jeune homme pour vivre un tant sois peu normalement à Berkeley. Elle avait envie de lui offrir une échappatoire ce soir, une occasion pour lui de ne pas penser à Johanna, à sa correspondante et tout ce qui pouvait le contrarier en ce bas monde, en espérant ne pas faire partie des objets contrariant tout de même. Consciente que sa présence sur le toit pouvait être interprété de manière différente en fonction des personnes, elle décida de ne pas se prendre la tête, il penserait ce qu'il voulait, la faute à sa réputation après tout, de plus belle elle savait qu'Aymeric n'était pas du genre à juger et qu'il ne chercherait auprès d'elle aucune justification quant à sa présence sur le toit de Berkeley, justification sérieuse et argumentée s'entend.

Ce serait plutôt à toi de me raconter ton histoire car pour que tu aies besoin de calme ... ou je devrais arrêter d'écouter les ragots. Décidément il touchait toujours le bon point, elle eut un petit sourire amusé par ses remarques, à croire que même s'il restait à l'écart, il aimait se tenir au courant. Il avait pourtant raison, elle avait une vie on ne peut plus remplie et occupé ces derniers temps, cependant très compliqué. Elle se perdait pas mal dans ses relations et était sollicité de part et d'autre pour faire des choix dont elle n'avait plus réellement la maitrise. Comme si son entourage et les principaux intéressés choisissait pour elle car elle restait la volage et ne prenais jamais de décision sérieuse. Ce que la vie pouvait être compliqué lorsqu'on est aussi géniale qu'elle tout de même [ héhé ]. Elle posa un regard interrogateur, toujours emprunt d'un petit sourire histoire de cacher un minimum qu'elle toisait ces traits de visages variant au film des mots qui s'échappaient de sa bouche.Oh je n'ai rien d'intéressant à te raconter, la routine, affirma-t-elle. Elle n'allait tout de même pas lui raconter ses déboires les plus festifs, ses dernières aventures et sa capacité à se mettre dans des situations inexorables et impossible. Surtout pas à lui. Je vois que tu te tiens au courant, moi qui pensais que tu n'étais pas du genre gossip, je vois que j'avais tort, lâcha-t-elle dans un petit rire étouffé. C'est vrai que Aymeric en monde gossip, c'était totalement décalé avec le personnage qu'il incarnait. Tu dois savoir que je ne suis pas quelqu'un à qui il arrive quoique ce soit ou de marrant quoique dans ce cas. Ce qu'il pouvait être mauvais menteur. Elle leva les yeux au ciel, pour finalement le regarder penser. Dans quelle monde serait-t-il possible qu'une personne de ta classe n'ait encore rien vécut de fantastique ici. Come on ! Le rêve américain n'attend que toi mon cher. Elle faisait toujours preuve de zèle et surtout essayait de relativiser un maximum. Elle lui adressa un sourire amusé et balança de son côté pour lui donner un coup d'épaule enjoué.Non, rien de bien beau. Alors, Berkeley t'a fait oublier la France ? Changement de sujet subtile, elle poussa un petit soupire, restant toujours souriante. Oh oui ! Je m'amuse comme une petite folle ici ! Il y a tellement de choses à faire que je suis toujours très occupé et j'adore ça ! Tellement que je ne pense pas participer à l'échange Berkeley - Sorbonne à la rentrée... Et je suppose que Maxwell seras d'accord pour rester ici, histoire réglée, j'investis Berkeley ! Ce qu'elle pouvait parler, une vraie pipelette. Mais au moins c'était animé avec elle et Aymeric n'aurait pas le temps de souffler ou de trop réfléchir qu'elle serait déjà repartei dans une conversation passionnante, du moins pour elle. Elle ne voulait pas lui laisser le temps de se replonger dans ses songes seulement destiné à Johanna et/ou Cathaleen. Ce qui était bien avec lui, c'est qu'il réveillait la part d'humanité qui habitait Constance.Peu de personnes la connaissait comme il pouvait la connaître, car elle se gardait toujours ce regard hautain et dénué de pitié, traitais en général les gens comme des moins que rien et très peu de personnes pouvaient dire qu'ils étaient sûr qu'elles les aimaient vraiment. Aimer d'amitié et d'un lien fraternel bien sûr, aimer d'amour n'étant réservé qu'à une minorité de personne exceptionnel, qui se comptait sur un seul doigt d'une main à ce jour. Elle poussa un petit soupire, il déteignait sur elle, elle réfléchissait trop. D'ailleurs ne put que s' hasarder à tirer les vers du nez du jeune homme, à essayer tout du moins.En parlant de Maxwell... Son correspondant s'entend. J'ai entendu dire que ça n'allait pas fort avec la tienne... Elle sentait le retour de flamme arriver, mais bon elle aussi avait du caractère dont s'il souhaitais grogner, à sa guise. Beaucoup de personnes se demandait pourquoi il jouait les dur avec Cathaleen, car il semblait se plaire à faire durer le mystère autour de cette attitude revêche, du moins plus revêche que d'habitude. Elle avait entendu cela d'une conversation qu'elle partageait avec Evan et Manon, Evan étant proche de Cathaleen, forcément elle avait défendu son amie tandis que Constance, toujours sur la défensive sur le topic Aymeric c'était contenté de dire « fouter lui la paix ». Elle se pencha vers lui, assez proche pour capter son regard, mais pas assez pour qu'on puisse prendre quelconque confusion sur ses intentions. Qu'est ce qui ne va pas avec elle Aymeric... dit-elle doucement, se voulant réconfortante. Elle se pensait digne de confiance, depuis le temps qu'ils se connaissaient. Si tu n'as pas envie d'en parler, change de sujet.s'empressa-t-elle de rajouter. Elle ne le forçait en rien, ne se le permettrais jamais.

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MessageSujet: Re: « A sweet talking sugar coated candyman » «  A sweet talking sugar coated candyman » EmptyJeu 16 Déc - 11:15

Sujet classé - Corbeille
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