| | | On finit toujours par se revoir. {Aby} |  |
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Invité Invité
 | | Sujet: On finit toujours par se revoir. {Aby} Mer 30 Juin - 2:25 | |
| J’dois rêver. Faire de la fièvre sûrement. Non, je suis bien. Assise dans un siège en cuir, je porte mes verres fumés sur mon nez, cachant mes yeux fatigués. En 1 mois, j’avais vécue, à nouveau, un enfer sur terre. Bien que je soi une femme forte sur certain plan, celui-ci était mon point faible. L’amour. C’était mon point faible. Je N’avais jamais réellement été chanceuse en amour. Je dois dire que je me mettais souvent les pieds dans les plats, ce qui m’occasionnait de sérieux problèmes. Stabilisée depuis quelques temps, en couple, fiancée, je filais le parfait bonheur, jusqu’au jour où mon tendre m’annonça qu’il préférait qu’on ne se marie pas, parce qu’il ne se voyait pas en homme marié. Déçue, blessée, je pris cette nouvelle comme un nouveau jeu de sa part. Son plaisir si froid et simple à me faire mal. Je lui rendis sa bague en silence avant de partir et de fuir une bonne fois pour toute San Francisco. Ce ne fut pas long que je disparue une fois de plus de la circulation. Ne répondant plus à mes mails, ni aux appels, ni aux sms. Je ne voulais plus rien savoir de cette ville qui m’avait apporté tant de désespoir. Pourtant, j’étais al cause principale de mon malheur, mais je refusais de le voir en pleine face.
Une fois rentrée au pays, j’avais automatiquement pris la direction de la maison d’été des Windsor. Il était hors de question que je me pointe dans la grande demeure, sans fiancé et complètement abattue. Je me surpris à pleurer plusieurs heures et à reprendre certaine habitude qui me nuisait grandement. J’avais utilisé de la drogue, une nouvelle fois dans ma vie pour m’aider à oublier tout, complètement tout. Cette année scolaire qui tirait à sa fin venait d’être la plus difficile à traverser. Cependant, je ne la referais pas. Ce qui est fait est fait et on ne peut pas l’effacer. Bref, durant mon séjour dans la maison d’été, j’avais pris du recule et avait prit une décision assez frappante. Je ne me laisserais plus faire. Je serais chef de moi-même sans que personne ne dise quoi que se soit, ni critique quoi que se soit. J’allais devenir une designer réputée et rien ne m’en empêcherais… Rien, sauf mon nom. Reconnue pour être une fêtarde et une adoratrice des minis-jupes, j’avais entaché le nom chéri de ma famille. Celle de la famille royale en faite. Dois-je rappeler que tout mes problèmes proviennent d’une seule source? Cet homme, le même que d’habitude, m’avait complètement anéanti. J’avais été stupide et idiote d’avoir cru en lui et d’avoir accepter son amour… Pourtant… Rien N’était plus blessant que de ce faire mettre de côté par celui que l’on aime… Peut-être que je me suis fourvoyer et que dans le fond, il n’est juste pas prêt à passer le pas… M’enfin, qui sait…
L’avion vient d’atterrir sur le sol, enfin. J’ai la nausée, je me sens faible et j’ai l’impression que plus rien n’est pareil… Je prends mon sac à main, sort de l’avion, escortée d’un employé de mon père. En faite, cet employé me suivait maintenant partout, pour s’assurer que ma santé mentale tenait le coup. Vêtue d’un simple jeans, sans marque, d’un chandail blanc et d’une bonne paire de converse, je n’avais aucunement l’apparence d’une duchesse. Je ressemblais plutôt à toutes les personnes normales de San Francisco. Une voiture m’attendait. C’était la mienne, celle que je n’aimais plus. J’avais besoin d’un endroit calme et serein. Je pris donc place et me dirigea vers Stonestown, seule et avec le seul et unique désir de m’évader. Ce fut seulement une fois rendue devant la grosse bâtisse imposante que je me rendis compte de l’endroit où j’étais. Je me gara, en double, ce qui me vaudrait assurément une contravention et un remorquage, mais je m’en foutait. Je pris mon sac à main et entra dans l’église presque en courant. Je remonta l’allée rapidement en retirant mes verres fumées. L’odeur qui flottait me répugnait un peu, je n’avais jamais aimer l’odeur de l’encens… Ni l’église en tant que tel. Dieu n’avait sûrement jamais été là pour moi et je lui en voulais, mais en ce moment, J’étais en détresse. Je m’arreta brusquement en voyant une personne, dos à moi, qui était là. Mon cœur s’arrêta brusquement, mais ma tête me força à rester à cet endroit. Je sortie mon portable et composa le numéro de la personne. Un téléphone sonna, le sien? L’homme mit la main dans la poche de son pantalon et sortit le portable.
KIRSTEN : « Tu devrais avoir du culot de laisser ton portable allumé dans un église. »
Je raccrocha et rangea mon portable avant de m’asseoir sur un banc, découragée. Je ne savais plus quoi faire… Il était là, devant moi… Comment réagir? Eum… Attendons…
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| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: On finit toujours par se revoir. {Aby} Mer 30 Juin - 4:03 | |
| HAPPY ENDING Encore maintenant je n’arrive pas à croire que j’ai fait ça. Je sais que je l’aime, je sais que je suis un crétin & que je vais sûrement le regretter pendant un très très long moment. Il n’y aura pas de seconde Kirsten Surfay Windsor, pas deux fois cette chance & moi bien sûr je la bousille. Bien évidemment, ma fierté à refuser de lui dire que je l’aimais tout de même de tout mon cœur, que je ne pouvais juste pas aller contre ma nature. Tout cela, je ne l’ai pas dit. Je ne lui ai pas dit que le parfum qu’elle porte mélanger à sa propre odeur me rend fou, que son petit rire me rend vraiment heureux & niais & que ses yeux me transforment en gélatine aussi appelée guimauve ! En quelques mots, je pourrais dire que j’ai cette fille dans la peau, qu’il est difficile de l’ignorer puisque tout mon être réclame de la prendre dans ses bras. Je pourrais même en parler à la 3eme personne tellement j’ai l’impression que tout cela est absolument en dehors de ma propre volonté. Je ne contrôle plus rien, je ne sais plus ou je vais ni comment j’y vais. Je sais juste que j’ai foncé tête baisser. Mais à mon avis, mon attitude de bélier à dût me faire heurter des murs de béton pour m’avoir rendu si crétin ! Comment j’ai put dire à Kirsten que je ne voulais pas me marier avec elle ? Mais suis-je donc bête à ce point là ? Mon dieu j’espère que non, dites moi que c’est un mauvais rêve ! Oui voila en fait je vais me réveiller d’ici peu & tout sera finis. Non mon portable qui sonne me prouve que je suis bien réveiller, en décrochant c’est un de mes hommes a qui j’avais ordonner de suivre Kirsten qui me parlât. Il me dit qu’elle avait pris l’avion en direction du domicile d’Eté des Windsor. Sachant qu’elle é »tait en Angleterre & que mon pauvre petit gars était un américain pure qui n’avait jamais quitter son San Francisco chéri, je lui permis de rentrer & je partit pour le domicile d’Eté des Windsor. Je me heurtais assez rapidement à un nouveau mur, que je sentis bien passer celui la par contre. Elle est où cette maison ?
Après avoir jouer de es relations pour obtenir l’adresse exact, je réussit à me perdre une multitude de fois dans les rues, les débouché & les machins. Je n’en pouvais plus de tout ce bordel. C’est d’ailleurs à ce moment là que j’ai put remarquer qu’en voiture, lorsqu’on cherche une rue, on baisse l’autoradio & on se met à insulter toutes les rues qui ne correspondent pas. Moi, manque de bol, aucunes des rues ne semblaient porter le bon nom. Après avoir insulter plusieurs noms de présidents & de grands libérateurs du monde, je finis par me retrouver sur l’une des places publique de Stonestown. J’avais beau demandé, personne ne savait. Même les marchand, c’était aberrant. Une maison de duchesse dans le coin & personne ne sait ou elle est ? Alors qu’à Paris si un présentateur achète un appart, toute l’Île-de-France est au courant dans l’heure qui suit. L’un des vendeurs fût par contre beaucoup plus intéressant que les autres, il me conseillât de me rendre à l’église car les prêtres y étaient depuis tellement longtemps qu’ils connaissaient la ville absolument par cœur. Ainsi je reprenais ma moto, armé des indications du vendeur pour rejoindre l’église & du nom de la rue de l’édifice que je recherchais. Je crois que je n’ai jamais autant regretté de ne pas avoir investie dans un GPS ! Plusieurs virages à gauche & quelques autres à droite plus tard, je finis par débarquer devant la grande église. Par respect, j’allais donc me garer sur le côté, prenant soin de retirer le manteau en cuir insupportablement chaud, remettant une veste de smoking pour aller avec le pantalon & les chaussures noirs & ma cravate de la même couleur uni. Ma chemise blanche elle ne semblait pas avoir souffert du voyage ou de la chaleur. L’avantage de transpirer seulement très peu.
  (c) useless panda
J’ouvris la double porte d’un air spectaculaire. Non que ça ai eut la moindre utilité, mais j’avais toujours rêvé d’entrer dans une église de cette manière. Je savourais donc mon petit plaisir avant de revenir à la réalité. La demeure Windsor, je devais la trouver. Je crois que si le prêtre me disait qu’elle était à côté de la place publique de tout à l’heure, je deviendrais probablement fou. D’ailleurs ne parlant de prêtre… Où ils se cachent ? Je regardais un peu partout autour de moi, passant ma main dans le bassin pour faire le signe de croix. Oui mon père était un crétin inutile certes, mais un crétin inutile qui au moins croyais en quelque chose. Pas vraiment une valeur, mais quelque chose qui lui permettais de ne pas se laisser écraser sous son propre poids. Ce qui devait d’ailleurs faire très lourd. Enfin bref je finis par me poster devant l’autel, décidant que si il y’avait un prêtre, je finirais bien par le voir passer devant l’autel. J’entendis la porte derrière moi s’ouvrir, mais j’étais absorber dans une peinture accrocher sur le côté de l’église. Elle était vraiment magnifique & mettait en scène des… brrr brrr… brrr brrr… Je sors mon portable de ma poche & voit un nom dessus. J’écarquille els yeux & me dépêche de décrocher. J’entends le petit signal du l’appel manquer… déçu j’entends alors une voix s’élever de derrière moi.
__KIRSTEN « Tu devrais avoir du culot de laisser ton portable allumé dans un église. »
J’eut le souffle couper, le sang qui s’arrêtât de tourner, mon estomac se mis à sautiller de manière assez violente pour me coller des frissons, à moins que la sueur froide à elle seule eut suffit à me donner si froid d’un seul coup. Ma gorge se dessécha plus vite qu’un poisson rouge sur le sable du désert du Sahara pendant que le soleil est au zénith. Je me tournais en rangeant mon portable & surtout en l’éteignant. En me tournant, toute impression de surprise avait déserté mon visage. Il ne restait plus que le mien, serein avec un petit sourire en coin.
__ABY « Je me disais aussi que la belle & douce duchesse Kirsten surfay Windsor se devait d’avoir été élevé assez religieusement pour qu’elle vienne ici pour changer de vie. »
Ce n’était pas un mensonge à proprement parler, simplement je rendais la réalité un peu plus jolie. Vous croyez vraiment que j’vais la regarder en lui demandant gentiment ou se trouve la maison d’Eté des Windsor pour que je puisse venir la harceler jusqu’à ce qu’elle m’écoute ? Moi je pense que si je lui demandais comme ça, elle me rirait au nez. |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: On finit toujours par se revoir. {Aby} Ven 2 Juil - 20:42 | |
| YES, I DO. FINALY... NOT... Assise sur mon banc, j’avais sortit de ma poche un petit chapelet en argent que ma mère m’avait donné lorsque j’avais 15 ans. Mon regard continua de balayer la salle, nous étions seule, il était où ce putain de curé? Je N’avais plus vraiment de patience et je N’avais plus trop la foi… J’avais peur de tout, peur de l’engagement et j’avais peur de Lui, le grand seigneur. Mes cheveux noirs, attachés serrés, me tombaient sur les nerfs, le tira donc sur l’élastique et les laissa tombés en cascades sur mon dos. Mon regard ce posa à nouveau sur mon ex-fiancé, qui était aussi mon ex-copain. Je ne voulais plus le connaitre, ni de près, ni de loin. Tout d’un coup, je le trouvais fade et pathétique, sans intérêt, je me maudissais d’avoir pu aimer un homme tel que lui. Je baissa la tête puis m’agenouilla sur l’appuie genou et croisa mes mains avec mon chapelet. Je n’avais pas envie de répondre, ni de lui parler, mais il piqua ma sensibilité et mon côté duchesse manquée. Je fermi les yeux en soupirant, mais je fus incapable de me retenir
KIRSTEN : « Si j’étais si douce à tes yeux et si belle, comme tu le dis, je ne serais pas ici, à attendre que le bon Dieu m’envoie un homme convenable, qui m’aime pour ce que je suis et non pas pour mon corps. De plus, je ne suis pas venue ici pour me refaire une vie, mais bien pour retirer toute pensée qui te relit de ma mémoire. »
Je lui offris un faible sourire puis je recommença à faire mon chapelet. Ça fait drôle à dire, moi, Mlle Windsor, dans une église qui fait un chapelet, vaut mieux en rire qu’en pleurer. Je n’avais jamais été une fervente admiratrice de Jésus, mais quand j’avais besoin de paix, j’aime bien me retrouver là. Plus je pensais, plus je me rappelais des souvenirs, doux, amers, je me souvenais du fait que je l’aurais épousé s’il n’était pas aussi stupide… Comment avait-il pu me faire ça? À moi, celle qu’il a vue grandir, celle à qui il a prit la virginité… Non… Il avait voulu jouer, avoir quelques choses de précieux, un souvenir, un bien qui lui appartiendrait, mais il n’a pas été capable de le garder. Je faisais maintenant partie de ses milles et une conquête. Une de plus dans son livre des records. J’avais mal rien qu’à y penser. J’avais l’impression qu’il ce foutait de moi. Suite à ma rupture avec David, j’avais compris que je ne pourrais jamais avoir une vie normale, tant qu’Aby serait dans les parages. J’étais heureuse lorsqu’il n’était pas là, mais pourtant… J’étais aux anges à ses côtés, dans le lit ou ailleurs, mais il m’avait toujours rendue heureuse. Je l’avais aimé Aby. Ça pour l’aimer, je l’avais aimé, mais j’étais loin de me douter que l’amour que je lui avais porté m’aurait autant blessé. L’amour, encore l’amour… Oui, je suis une fille, J’ai des sentiments, mais lui… Il N’en avait pas. J’aurais aimé qu’il me dise que j’étais la seule et unique, que jamais il n’y aurait d’autre femme comme moi… Je dois m’être trompé sur la personne... C’était douloureux. Mes genoux commençaient à me faire souffrir, je me redressa donc, debout, pis je me glissa dans l’allée, face à lui.
KIRSTEN : « Qu’est que tu fais dans une église? Tu ne devrais pas être en enfer plutôt? Ah, J’avais oublié, les personnes comme toi, trouvent rarement une place. Ah si… Un asile, eum… Hôpital je crois… Paris, c’est bien ça Aby? Ton cher papa ne t’y a pas retourné? C’est malheureux, moi qui croyait que tu finirais par devenir un homme bien, je m’étais tromper faut croire… D’ailleurs, toi aussi tu te trompes. Si tu penses que je vais changer de vie pour toi… Tu te trompes. »
J’aimais bien avoir l’air forte face à lui, même si dans le fond, J’étais une faible, une maladroite. Je souris, amusée puis je me dirigea vers les petits confessionnals, je me glissa dans un, en soupirant et referma la petite porte. LA PAIX! Je voulais la paix.
{C'est court, Soorrryy} |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: On finit toujours par se revoir. {Aby} Jeu 8 Juil - 22:35 | |
| HAPPY ENDING ELa dernière fois que je suis allé dans une église remonte à peu près 18 ans. C’était pour mon propre baptême mais personne n’avait eut l’idée brillante de me dire qu’un mec en robe allait me plonger dans l’eau glacer. Bien entendu je ne m’en souviens pas, mais on m’a tellement raconter que j’avais pleure dès que le prêtre s’était pointer qu’au final ça a finis par crée une sorte de souvenir dans mon cerveau. Une sorte de petite empreinte entièrement crée par les propos des autres sur la conduite que j’avais eut alors. Comme quoi le cerveau humain est tout de même extrêmement influençable. En plus je me suis totalement trompé, mon dernier passage dans une église était bien plus récent. Il y a de cela 5 ou 6 ans pour ma 1ere communion. C’était un deal entre mon père & moi, il arrêtait de jeter ma coke dans les toilettes & j’allais porter une robe blanche entre les murs d’une cathédrale immense qui lui coûterais aussi cher que de m’acheter une voiture de luxe. Enfin de toute manière, je n’ai même pas eut à finir cette « fête » si loin de mes propres pensées puisqu’une sorte de commando terroriste contre la guerre sont venus pour nous tirer dessus. Voila enfin des hommes qui ont compris les autres hommes. Il n’y a que la violence pure & dure pour vaincre la violence. Comment voulez-vous qu’une guerre existe si il n’y a personne pour vous vendre les armes nécessaires ? Bon l’Homme est sûrement capable de se mettre sur la tronche à coups de bout de bois & de gros cailloux, mais il y aura irrémédiablement moins de mort qu’en cas de bombardement nucléaire & autres sulfateuses. Je me souviens que le pauvre prêtre avait succombé d’une balle dans la tête. Etrange puisque l’heure de sa mort correspond à quelques minutes après le départ des terroristes. Si je vous disais que mon premier meurtre date de cette époque, seriez-vous étonner si je vous disais qui j’ai tué ?
BREF ! Tout cela est passé & terminer, à l’instant, maintenant, je suis face à une magnifique Kirsten dont je suis toujours follement amoureux. Je suis probablement le plu crétin des hommes sur Terre mais je ne peux pas rester avec elle. Mon amour est dangereux pour sa santé, autant mentale que physique. Mon incapacité à être fidèle & a me passer de certains produits psycho actifs n’est plus à débattre, & donc son mental lui infligera des blessures irrémédiable tel que le manque de confiance en elle, le rabaissement & peut-être finalement le suicide. Mais mon métier pourrait aussi amener des gens qui l’aiderait à se suicider avec une joie considérable, ce qui m’inquiète bien plus que toutes dépressions que je pourrais lui infliger par ma façon d’être. Ah une fois dans ma tête on se rends compte du borde de la vie d’Aby Elliot Lovett hein ? Qui a parler de sans cœur bande de crétin ? Je passe mon temps à penser aux autres, à comment leurs éviter une mort affreusement douloureuse ou des plus ridicules. Je ne pense pas qu’il existe un humain sur cette Terre qui rêve de mourir noyer la tête ans les toilettes pendant que sa petite amie se fait violemment prendre par un inconnu qui n’a même pas eut la décence de lui demander son avis. Ah bah oui, les trafiquants d’armes & les pacifistes ne sont pas des enfants de chœurs, ce ‘est certainement pas avec eux que je jouait à la marelle étant petit. Au mieux j’aurais put jouer à la guerre avec eux, mais je ne pense que pas que ça aurait été très agréable pour l’un de nous. En fait je pense que c’est surtout moi qui aurait eut mal. Eut en général savent se battre sans armes, moi sans armes je sais survivre, pas me battre. Voila d’ailleurs la raison pour laquelle j’allais avoir besoin de collègues pour mes voyages d’affaires.
Et encore une fois je divague –vague- plus loin que mon propre regard ne le permet. Je regarde autour de nous, il n’y a pas un chat. Je suppose que le prêtre est en train de cuver derrière l’Autel ou dans le dispensaire. Je vois que Kirsten s’est avancé vers le confessionnal & je la suis. Mon dieu je connais le nom de chaque pièce de l’église comme si j’étais un évêque… Quelle horreur ! Arriver près de Kirsten. Je la tourne & la plaque contre le confessionnal avant de l’embrasser passionnément.
Je t’aime mais nous ne pouvons pas rester ensemble. Je suis un crétin qui ne feras que tu faire du mal & t finiras par te suicider auprès de moi… JE ne veux pas de ça pour toi. » Je recommençais à l’embrasser en passant ma main dans ses cheveux. J’adorais son odeur, j’adorais la texture de sa peau, j’adorais ses yeux, j’adorais le goût de ses lèvres, l’épaisseur de sa langue, la manière de bouger de sa mâchoire, la façon dont ses sourcils se détendent quand je l’embrasse. |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: On finit toujours par se revoir. {Aby} Lun 6 Sep - 22:16 | |
| YES, I DO. FINALY... NOT... Le fait que l’on soit dans le même église et que C’était seulement pour s’engueuler, ne dégoutait… J’avais envie de vomir, de crier, de le battre et de lui faire mal, pour qu’il voit ce que ça faisait de ce faire blesser aussi profondément! Ce que Monsieur Eliott ne savait pas, c’était que j’avais tranquillement commencer à tourner la page de notre histoire et que je m’embarquais dans une nouvelle histoire qui risquait d’être tout aussi rocambolesque. J’allais bientôt commencer à vivre avec Charles-Edouard et je savais que si Aby le savait, il ne serait sûrement pas d’accord, mais en ce moment, je n’en avais rien à cirer. Il était partit alors qu’il assume ses faits et gestes… Bien entendu, j’avais rejeter la faute sur lui, mais c’était aussi la mienne… J’étais trop voyante et jamais je ne pourrais passer inaperçue… J’étais donc une cible facile et d’une certaine façon… Il avait raison. Fragile d’esprit, je pourrais très bien mettre fin à mes jours si je finissais par devenir dépressive… À ce moment-là, je commencerais a avoir peur de tout ce qui m’entoure. J’étais folle, mais pas complètement j’étais juste perdue dans mes pensées et dans mes rêves de petites filles que je me faisais. Le silence de l’église pesait lourd et je voulais qu’il reste aussi lourd qu’il était. Plus les paroles étaient prononcées, plus je me sentais enfoncée et dégradée, je percevais chaque syllabes prononcées comme des couteaux fins qui me transperçaient le corps. J’avais beau avoir l’air forte devant lui, mais j’étais inférieure.
Les jours avancent, mais ils n’effacent rien. Ils continuent de nous détruire et c’était ce que je vivais. Lorsque la Reine avait apprit que nos fiançailles étaient rompues, elle avait immédiatement rejeté la faute sur moi. Je dois avouer que je n’ai pas mâché mes mots à son égard suite à ses paroles blessantes qu’elle avait oser prononcée. Selon elle, je n’étais qu’une petite bourgeoise qui voulait révolutionner la monarchie anglaise avec mes jupes coutes et talons hauts… J’avais donc changé pour elle… Pantalon, haut non décolleté, souliers plats… Tout pour lui plaire à nouveau et redevenir sa favorite, même si je ne me mariais plus. J’avais même abandonné mes études pour pouvoir me consacrer à la nouvelle moi… Je pensais même à quitter définitivement San Francisco pour retourner à Londres. Les gens qui me connaisaient réellement trouvaient que mon comportement était étrange et complètement absurde et que je me détruisais plus qu’autre chose, mais cette fois, je gagnerais la bataille et Aby allait la perdre.
Je marchais donc vers le confessionnal d’un pas décidé. J’allais enfin me libérer de tout mes démons et de tout ce qui me rendait nerveuse, désagréable et catin. Je savais qu’il me regardait et qu’il se posait des questions, je savais que ma vie sans lui n’était nul autre que vide et amer… Avais-je réellement besoin de me le faire rappeler encore et encore? Mon pas était pressé et irrégulier, on aurait dit que je venais de boire énormément. Ce n’était pas le cas, mais mon cœur battait la chamade, mes doigts tremblaient et j’avais peur… Peur qu’il ne vienne à nouveau dans mon esprit. Ce qui ne devait pas arriver, arriva, il m’attrapa, me plaqua contre le mur du confessionnal et m’embrassa… Mes sourcils lâchèrent toute pression, mes doigts aussi et je me sentis ramolire… J’étais amoureuse, éperdument amoureuse du diable en personne! Putain, j’avais envie de chialer à ce moment! Je poussa tranquillement la porte pendant qu’il parlait et l’entraina avec moi dans le cubicule. Ce ne fut pas long que je commençais déjà à défaire sa chemise, il était irrésistible et ça me tuait…
« Je t’en supplie Aby… Ne me laisse pas comme ça… Tue-moi si il le faut… Mais ne me laisse pas sans m’avoir donner un dernier souvenir… »
Je suis folle et complètement stupide… |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: On finit toujours par se revoir. {Aby} Sam 11 Sep - 3:24 | |
| YES, I DO. FINALY... NOT... Mesdames & messieurs sous vos yeux ébahis voilà Kirsten qui me supplie. Elle est à genoux face à moi & ce n’est certainement pas que pour prier. Bien au contraire dirais-je. L’avantage c’est que à peine le péché effectuer, on peut aller se confesser quasiment illico. Bon d’accord ce n’est pas bien de se moquer du croyant moyen, mais pas ma faute si on appelle ça un « croyant ». C’est le cas de dire. Je passais ma main dans mes cheveux, épongeant ainsi discrètement la sueur qui commençait à perler sur le haut de mon front. Je me mordais la lèvre entre chaque baiser & je frissonnais au contact de sa peau. Elle m’avais déjà retirer mon haut avant même que j’ai put dire « 6 fûts 6 caisses, la main entre les caisses le doigt dans le trou du fut. » - Mais vous pouvez essayer de le dire très vite chez vous pour essayer, c’est très divertissant.-. Mon père me faisait souvent faire des exercices de diction pour lorsque je devais faire des discours à l’école, au collège & tout le tralalala. Ce n’était pas du tout amusant, sauf cette phrase que j’ai retenue immédiatement. J’avais envie de bailler un peu, mais pas de fatigue. Plutôt bailler de bonheur. Si c’est possible. C’est lorsque l’ont est si bien quelque part, si bien installé dans un fauteuil ou sous une demoiselle fort entreprenante, avoir presque envie de s’endormir tellement l’impression de paix est parfaite. Enfin après il y en a qui pensent que la perfection est d’un ennui mortel…
…& je suis de cet avis d’ailleurs ! Imaginons deux secondes qu’un bad boys vous demande à vous une fille votre numéro, vous rougissez puis lui donnez, alors qu’un mec qui manifestement est … moche…. Et oui, c’est une forme de discrimination. Mais une discrimination normal & biologique. Puisque inconsciemment les femmes cherchent un mâle capable de les faire se reproduire, se protéger & protéger la famille… Ce n’est pas vraiment évident de trouver tout cela, surtout si en plus le mâle est là pour montrer sa domination sur la femme –ou l’inverse-. Dans ces cas là c’est une course éperdue de la puissance & on n’en finit plus. J’avais eut l’intelligence de ne pas me faire prendre aux risques des gourmands pour périr dans une querelle amoureuse qui aurait mal tourné. Après ce n’est que mon humble avis & je ne douterais pas de devoir éviter ce genre de sujet afin de ne fâcher personne. Voyez comme c’est dur d’être neutre ? Les hommes comme les femmes vous en veulent c’est fou non ? Oui je sais c’est absolument hors contexte. Mais la culture général c’est vachement bien & super pratique.
Devant moi Kirsten s’était presque entièrement déshabillée. Elle m’avait demandé de lui dire au revoir, elle m’avait suppliée de lui dire au revoir. De lui laisser un souvenir, général trace, une marque de moi, quelque part sur son corps. Je savais encore quoi mettre, je me doutais encore très bien de comment réagir. Mais pour le moment je savais surtout que j’allais coucher avec elle. Tout son être exultait le désir & l’appétit féroce de mon pauvre corps abandonné à ce jeune fauve des plus délicieux. Sa peau si pâle ressortait comme un phare en pleine nuit à cause de la couleur si sombre du bois & du noir de ses sous-vêtements. Je l’écartais de moi en lui demandant de ne pas bouger puis mes mains s’attardèrent sur son corps à demi nu, en presque totalité offert à ma pauvre petite personne. A chaque fois que cela se produit j’en suis tout ému. Je l’attirais contre moi, contre mon torse aussi nu que son dos, contre ma peau tellement plus brûlante que la sienne, contre toutes les zones de mon corps qui pourront hurler à mon cerveau qu’elle est bien là contre moi. Si j’avais put je pense que je lui aurais demander de se tatouer « propriété d’Aby » histoire qu’elle arrête de me dire « Y a pas marquer ton nom dans mon dos ! ». Finalement heureusement que j’ai éviter. J’ouvris mon jean & le retirais tout en m’assurant que la porte du confessionnal était belle & bien fermé. Ma main qui s’attardait sur ses hanches glissa lentement vers son entre jambes, jouant avec l’élastique qu’un non connaisseur de lingerie fine comme moi appellerais une culotte.
Je glissais mes doigts entre ses jambes, je m’enfonçais en elle. Je sentais l’humidité courir le long de ma paume, la chaleur envahir ma main, puis mon bras puis tout mon corps. J’avais de plus en plus envie. Je regardais al jeune femme retenir ses gémissements, retenir le moindre de ses cris. Ce qui ne me calmais absolument pas. Je me mordit la lèvre & lui glissais quelques compliments à l’oreille du genre « tu es magnifique ». Compliment que je pensais absolument, je tiens à le préciser.
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