the great escape
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J'ai voulus que ma vie soit un conte de fée, je crois que j'ai raté le coche.

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MessageSujet: J'ai voulus que ma vie soit un conte de fée, je crois que j'ai raté le coche. J'ai voulus que ma vie soit un conte de fée, je crois que j'ai raté le coche. EmptyMer 7 Avr - 16:09


    Mercredi, dix-neuf heures trente-six.

    J'étais encore et toujours dans un sale état, j'avais passé mon après midi dans un bar avec des gens que je ne connaissais ni d'eve ni d'adam enfin bon quoi qu'il en soit je savais que je ne les reverrais jamais et surtout qu'ils n'allaient pas se rappeler de moi et moi d’eux tant mieux ! Au retour, sur le chemins des Grecs j'avais croisé Louis-Marie Gaulthier, un frenchi que j'avais rencontré la semaine dernière, plutôt sympa d'ailleurs, on avait passé une soirée ensemble en tout bien tout honneur, bref. Je l'ai donc croisée tout à l'heure et pour ne pas encore me répéter j'étais vraiment dans un sale état ! Le mélange alcool et dépressions ça ne va vraiment pas ensemble, j’étais littéralement en pleure l'Omicron s'est approché de moi quand il a vu que même s'il insistait je ne dirais rien, il m'a donc proposé « un truc qui pourrait m'aider » curieuse je lui ai demandé ce que c'était il a donc sortit un petit sachet remplis de poudre magique sans réfléchir j'ai immédiatement acceptée ! Franchement proposer de la cocaïne à une ancienne droguée instable c'est comme proposer à manger à un crève la faim ou de la vodka à un alcoolique il se doit d'accepter ! Je l'ai donc pris, sans hésiter, sans réfléchir à ce qui allait se passer une fois que je serais seule, j'ai bafouiller un merci à peine audible et je suis partis en quatrième vitesse. J'ai l'air bien fine maintenant, assise sur le sofa de ma chambre, mon sac à main poser sur la table, je n'avais pas encore sortis la petite poudre magique je me contentais de fixer se stupide sac depuis une dizaine de minutes comme si j'attendais que quelque chose se passe, comme si le sac allait subitement se mettre à parler et me mettre en garde « Attention Coleen tu ne dois pas toucher a ça, tu ne peux pas toucher à ça ». Je secouais la tête histoire de me remettre les idées en place et je tentais de me persuader que j'étais bien plus forte que toutes cette poussières inutile. Je me levais du canapé et me débarrassais de mes chaussure et de tous les vêtements que je portais et je partis sous la douche, cela allait m'occuper pendant au moins une bonne vingtaine de minutes ! J'ouvrais le robinet d'eau chaudes a fond j'essayais de doser avec l'eau froide histoire que je ne me brûle pas. Je me laissais aller assise dans la douche, je me vidais l'esprit je ne contrôlais plus rien, mes larmes ne cessaient de couler. Je crois que je n'avais jamais autant pleuré de toutes ma vie depuis que je suis à Berkeley, il ne se passait pas une semaine sans que le désespoir me submerge. Pourtant ici, j’avais tous ce qu’il me fallais pour être un minimum heureuse, pour recommencer ma vie de zéro mais non à croire que sa me plaisait que ma vie soit en bordel.

    Vingt heures dix sept.

    J’étais enfin sortit de la douche, enroulé dans une simple serviette, j’étais revenus à ma place initiale face à se stupide sac. Sur un élan de colère je l’ai saisi et j’ai vidé son contenu sur la table basse, et voilà que entre mon téléphone portable, mon portefeuille, mon maquillage, mes cigarettes et autre papier se trouvais le sachet après tout rien qu’un peu ça ne pouvais pas me faire de mal si ? C’est pas comme si tout allait recommencer… Je fermais les yeux, les souvenir de mon ancienne vie me revenais en tête, inconsciemment c’est mon bien être de ces moment précis qui me revenais en tête, ni le mal que cela me procurais par la suite, ni l’état lamentable dans lequel je me trouvais mais le bien être que cette simple petite poudre pouvais me procurer, le soulagement que je ressentait quand j’en consommais. Je soupirais et me mis à sourire, je saisis mon portefeuille en sortit ma carte bancaire, je pris ensuite la poudre et fis un peu de place sur la table basse en poussant ce qui avais dessus. J’ouvris le sachet et y versa un peu de son contenus sur la table, je fis un…deux…trois rail de coke automatiquement, comme si je n’avais jamais arrêter. Je secouais la tête, je pouvais pas faire ça, a quoi sa me servirais en fin de compte ? Je me saisis de mon téléphone, je m’en sortirais pas seule sur ce coup là et le seul et l’unique personne qui pouvais me stopper c’étais la seul personne que je voulais a tout pris éviter.

    Citation :
    Résidence bêta, 1er étages, chambre 6 j’ai vraiment besoin de ton aide…

    Je transmettais le message à Vladimir et espérais que ce qui c’étais passer à la soirée mousse n’allais pas le stopper pour venir. Je pris une cigarette et l’alluma tout en fixant les trois rail de bonheur qui se trouvait en face de moi.
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MessageSujet: Re: J'ai voulus que ma vie soit un conte de fée, je crois que j'ai raté le coche. J'ai voulus que ma vie soit un conte de fée, je crois que j'ai raté le coche. EmptyVen 9 Avr - 0:02



LES PRINCESSES OUBLIENT
PARFOIS LEUR PRINCE.

J'ai voulus que ma vie soit un conte de fée, je crois que j'ai raté le coche. 28sx53b
I pack my case. I check my face.
I look a little bit older.
I look a little bit colder.
With one deep breath, and one big step, I move a little bit closer.
I move a little bit closer.
For reasons unknown.
©PAROLES KILLERS (image ffffound)


    L'hopital me tuait, parce qu'il me laissait le temps de penser à mes actes de la semaine qui s'était écoulée. Je touchais compulsivement mon visage, m'observait dans le miroir, en essayant d'affronter la cicatrice, cette trace de ce qui s'était passé ce matin là, dans une ruelle sombre. J'avais des heures pour penser à mon passé de dragueur, imaginer des plans ou je me ferais refaire le visage, et fatalement, imaginer la réaction de Coleen. Elle me hantait, pire que le plus effroyable de fantôme. J'avais encore le gout de son baiser, la marque de sa gifle en moi. Ma mémoire ne me faisait pas défaut. Un infirmier passait de temps en temps, prendre de mes nouvelles. Je donnais de la pitié aux filles, du plaisir aux machos. Mes rêves devenaient sombre. J'enterrais une partie de mon passé heureux, tentait de me préparer à une vie normale. Puis je retenais des flots de larmes. Un quotidien de blessé, en somme. Je devais sortir hier, mais les médecins me trouvent mal en point. Il est vrai que je ne suis pas très en forme ces jours-ci, je déprime beaucoup trop.
    Mercredi, dix-neuf heures deux. Le repas du soir se compose de salade et de petits poids. On m'a retiré la viande, en pretextant que je mangeais déjà trop. Quelle mauvaise excuse! Je retourne les petits poids dans tout les sens, pour finalement dessiné un sourire verdatre, des yeux écrasés et une chevelure de roquette. Je n'ai pas faim. Je n'ai jamais faim quand je suis triste. Soudain, une demoiselle, en tenue élegante, entre dans ma chambre. Elle m'observe en souriant, et dépose quelque chose sur ma table de chevet. Une fois qu'elle est loin, j'éclate de rire. Mon portable, ce gadget débile. Pas un sms, pas un appel manqué. J'aurais pu disparaitre que personne ne se serait inquieté. Je tripote l'objet, puis le repose. J'ai encore l'assiette de mon diner sur les genous et je me sens seul. L'hopital me tue, mais la solitude est la pour m'achever.
    Une demie-heure plus tard, je me reveillais, après une sieste. Un sentiment de honte me tord. On se promet toujours de ne pas faire ces trucs de vieux avant de l'être, vieux, et ça vous tombe dessus par surprise. A côté de moi, le portable vibra. Je le fis d'abord tomber, puis le ramassais, renversant les petits pois du même coup.
    Résidence bêta, 1er étages, chambre 6 j’ai vraiment besoin de ton aide…
    Mon coeur ne fit qu'un tour. Sans réflechir, je débranchais les fils accrochés à ma peau, me levais, trainant ma jambe invalide comme un poid mort. J'allais au-dela de la douleur, pour traverser le couloir, jusqu'a voir la laverie de l'hopital. Le premier jean, la première chemise, boutonnée en vitesse, une sortie de secours et j'étais dehors. L'université était loin. Je reperais une moto abandonnée. C'était une folie, pourtant je me retrouvais dessus, à fond, direction Berkeley. Ma raison ne répondait plus, je frolais l'accident. Je laissais la moto eraflé au parking, me remettant à courir. Résidence Bêta, premier étage, chambre six, cela sonnait comme un rendez-vous manqué. La dame de l'acceuil me harangua, effrayée. Ma cicatrice était exposée au grand jour et j'étais un monstre, me ruant dans la résidence Bêta. L'escalier était la dernière épreuve. Je ralentissais, dans cette dernière épreuve, l'effort était trop grand. Dans le couloir, je reperais la chambre six, et poussais la porte, à moitié mort. Que disais les médecins? Ah oui. Mal en point. Voila l'état de la chemise que j'avais empruntée, du jean déchiré, de mon visage, de tout.
    Coleen était dans sa chambre, calme, presque paisible. Je remarquais la carte bancaire, les trois traits blancs. Ainsi j'avais fait tout ça pour ça. J'attrapais la carte, ouvrait une petite fenêtre, ignorant son cri. Elle avait vu ce qui étais arrivé. Je soufflais sur la poudre blanche, qui s'envola. Je me retournais vers la femme de ma vie, une expression grave collée au visage, las, la trace de ma plaie dans une lumière crue.
    « Tu avais vraiment besoin de moi? Je peux le faire avec le reste du sac, et repartir à l'hopital. A moins que tu n'ai encore besoin d'aide. » dis-je, amer. « Tu as aussi le droit de me mettre à la porte. Et m'oublier. »
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MessageSujet: Re: J'ai voulus que ma vie soit un conte de fée, je crois que j'ai raté le coche. J'ai voulus que ma vie soit un conte de fée, je crois que j'ai raté le coche. EmptyVen 9 Avr - 15:02


    Le portable à la main j’étais sur le point d’envoyer un second message lui disant de laisser tomber, je n’eu pas eu le temps de réfléchir a la tournure du sms que j’aurais pu lui envoyer que la porte s’envola et fit un grand boom sur le mur, je sursautais et poussa un cris quand je vis apparaître l’objet de tout mes désirs dans un sale état, en deux temps trois mouvement la carte bancaire voltigea par la fenêtre et la poudre s’envola dans toutes la chambre, ah bah bien c’est lui qui fais le ménage peut être ! Je n’eu pas le temps de pousser un seul cris de protestation que monsieur commençais à s’énerver : « Tu as aussi le droit de me mettre à la porte. Et m'oublier. », mon cœur s'excitas dans ma poitrine, les larmes au yeux et la voix chevrotante je tentais de placer quelques mots :

    « Je … je … Vlad …je »

    Je respirais un grand coup, et le détailla de haut en bas, Vladimir portait un chemise et un jean débraillé, une jambe dans le plâtre et un énorme cicatrices qui traversais tout son visages, mais qu’est qu’il avait encore foutus ? Il avais traverser la ville dans cette état ? Il était sortit de l’hôpital alors qu’il pouvait a peine tenir debout ? Mais il se foutait de moi ou quoi ! Je me levais du canapé et fit face à lui :

    « Attend attend que je comprenne bien, t’étais à l’hôpital, t’a une jambe dans le plâtre une plaie a peine fermer ta traverser toutes la ville dans cette accoutrement a cause d’un seul message de ma part ? »

    D’abord attendris par tant d’attention je fit une esquisse de sourire, je baissais la tête et repris vite mes esprits, il était hors de question qu’il s’en sorte de cette façons ! Je pris une longue respiration, relevais la tête le regarda droit dans les yeux :

    « MAIS T’ES UN GRAND MALADE MA PAROLE ! Peu importe dans la situation ou je me trouve, t’avais pas le droit de quitter l’hôpital pour moi ça n’avais aucune importance j’aurais pu être en train de crever que sa reviendrais au même ! Mais regarde dans quel état t’es ! Et d’ailleurs pourquoi t’es dans cette état tu peux me le dire ? Tu t’es battu ?! »

    Je reprenais mes esprit peu à peu, je le fis s’asseoir sur le sofa de force car monsieur refusais de bouger. Je me rendis compte que j’étais encore enrouler dans une mini serviette, je me dirigea vers mon armoire l’ouvris, enfila un sous vêtement ainsi qu’une grand t-shirt devant les yeux de Vladimir, peu m’importe il m’avais vu dans un pire état, j’étais tellement en colère que je ne faisais même pas attention, je jetais la serviette sur mon lit, le vêtement n’était pas plus long que la serviette mais c’étais disons plus décent ! Je rejeta mes cheveux encore humide en arrière et reporta mon attention sur Vladimir mais qu’Est-ce que j’avais fait !

    « Tu…tu peux m’expliquer pourquoi t’a foncer pour venir jusqu’ici ? Après la dernière fois, ça aurait été normal que tu ne vienne pas ! Pis tu n’aurais pas dû venir putain Vlad regarde moi ça tes point de suture on lâcher ! »

    J’étais vraiment en colère contre lui, alors que j’aurais carrément dû lui sauter au coup pour le remercier et m’excuser. Je filais dans la salle de bain et en revint avec des morceau coton, je me mis a genoux sur le canapés a coter de Vladimir et tentais délicatement d’enlever le sang qui coulait a peine mais assez pour m'inquiéter. Je tapotais légèrement et je voyait bien qu’il faisait tout pour cacher que cela lui faisait mal. Je ne pensais même plus à ma carte bancaire que j'allais surement ne plus voir, à la poudre de bonheur éparpilles dans toutes la chambre, la seule et unique chose qui m'importait c'étais Vladimir.

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MessageSujet: Re: J'ai voulus que ma vie soit un conte de fée, je crois que j'ai raté le coche. J'ai voulus que ma vie soit un conte de fée, je crois que j'ai raté le coche. EmptyVen 9 Avr - 16:56

    Je restais accoudé au rebord de la fenêtre, un peu essouflé, mais aussi rasseneré. Rien de tragique ne se produirait ce soir pour Coleen, pas de rechute ou de choses de genre. L'étudiante paraissait bouleversée, pas dans le bon sens du terme. Je n'osais pas remettre en place ma chemise, de peur d'aggravé une apparence déjà négligée. A la place, je lui rendis son sourire, en plus narquois. L'hopital avait probablement remarqué ma disparition, mon portable, le sms, et ce n'était qu'une question de temps avant qu'on vienne me chercher. Peut-être que les médecins, considerant cet acte autodestructeur, m'emmeneraient voir un psychologue. Je n'étais pas normal, à agir insconsciemment en permanence. J'étais un danger pour moi-même, et les paroles de Coleen soulignaient ce fait. Vlad, le grand malade. Je lisais dans les yeux de Cole l'incomprehension. Ma bouche s'ouvrit, les mots ne sortaient pas. Je la laissais me placer sur le sofa, s'habiller, avant de répondre, dans un long monologue, d'une voix calme et posée.
    « Oui. Je suis venu, désolé, mais depuis le temps tu devrais savoir que j'ai pas l'habitude de reflechir avant d'agir. Et puis, "vraiment besoin de ton aide" avoue qu'on s'affolerait pour moins. » Mes yeux brillaient d'un éclat de malice. J'étais le malade et elle l'hypocondriaque. « Enfin, pour information, je me suis fait agressé il y a quelque temps ... je me suis effectivement défendu. » Je touchais la cicatrice du bout des doigts. « Ma jambe, c'est antérieur, un problème avec un bureau en bois. Rien de grave. Rien de ... » ma voix était soudain moins assurée. J'étais sur les nerfs, fatigué, et l'inquiètude n'était pas réellement retombée. « Oh Coleen comprend moi. Je sais plus ce que je fais. L'amour me rend con, du moins plus que d'habitude. »
    Le sang coulait, chaud. J'avais mal, aussi tentai-je de le cacher en pensant à l'hopital, immaculé, je redevenais l'homme tranquille que Coleen avait pu connaitre, alors qu'au fond j'étais changé. J'avais vieilli pour devenir immature. Doucement, mes paupières tombaient, l'épuisement se faisait sentir. « Ils vont surement venir me rechercher d'une minute à l'autre... c'est un coup à être accusée de folie. » mais bon, c'est pas grave, ajoutai-je intérieurement, je suis avec toi.
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MessageSujet: Re: J'ai voulus que ma vie soit un conte de fée, je crois que j'ai raté le coche. J'ai voulus que ma vie soit un conte de fée, je crois que j'ai raté le coche. EmptyMar 13 Avr - 15:24


    Au moment ou les paroles « Et puis, "vraiment besoin de ton aide" avoue qu'on s'affolerait pour moins. » , sortit de la bouche de Vladimir, j’appuyais involontairement plus fort sur sa cicatrice. J’écoutais son monologue mais même son « L amour me rend con » ne parvint pas à me calmer, j’aurais pu m’estimer heureuse tant de déclaration en si peu de jours, alors qu’auparavant il n’avais jamais prononcer les mot aimer ou amour en ma présence, mais ces mots me restèrent en travers de la gorge. Je n’eu même pas un peu de compassion sur le fait qu’il se soit fait agresser je m’en foutait royalement, non mais il croyait quoi ? Il pensait peut être que pendant un an je me suis tourner les pouces au centre ? Que ça avais disparu en un claquement doigt ? Pendant que lui étais je ne sais ou à faire je ne sais quoi, moi je m’était retrouver dans un sale état par sa faute. J’avais juste envie de lui dire de partir, mais j’avais encore un minimum de cœur pour le laisser rester ici. J’essayait tant bien que mal de garder ma colère pour moi, mais je n’étais pas douée dans le fait de garder bien au fond de moi ma colère, je n’en pouvais plus ! Je me levais précipitamment du canapé, je m’étais lever si vite que j’eu un léger vertige qui me fit vaciller, ça aussi je m’en foutait. Je regardais Vladimir avec toutes la haines que j’avais éprouver pour lui qui revenait peu à peu, cette haine qui avais disparu quand je l’avais revus à la rentrer, je m’éloignais du sofa titubant légèrement les vapeur d’alcool de cette après midi faisait peu à peu d’effet, au passage je pris une cigarette que j’allumais, j’étais tellement en colère que ma main tremblait, je tirais une latte et lâcha enfin :

    « Pauvre con, mais tu crois que j’ai fais quoi pendant un an ? »

    Je regardais du coin de l’œil le petit sachet de bonheur qui se trouvait sur la table basse, j’hésitait franchement a le saisir et à consommer tous le contenu sur le champ, juste histoire qu’il se remémore toutes les années précédentes. Je me pencha, et saisis la poudre.

    « Tu peux quand même m’avouer que toutes ces années qu’on à passé, ou tu me voyais défoncer tous les jours toutes les heures pratiquement. Tu peux quand même avouer que c’étais pas mal ! Je me tut un moment. Moi ça me manque, et si toi tu le désire on peut recommencer à zéro enfin je veux dire comme avant. Ca me manque tellement »

    Je fis passer un double message dans mes paroles, je voulais qu’il s’en mord les doigt de tous ça qu’il soit prêt a tout pour se faire pardonne mais en même temps je lui faisais clairement comprendre qu’il me manquait, qu’il suffirait de très peu de choses pour que je soit de nouveau à lui. Je triturais le sachet entre mes doigt, j’en mourrais d’envies d’en prendre un peu, rien qu’un peu, ça se voyait sur mon visage, sur mon corps entier, j’en tremblais de désire. Je pris une latte de ma cigarette, qui c’étais finalement consommer toute seule, et je la jetais par la fenêtre. Je reportais de nouveau mon regard sur Vlad, et je me perdis pendant quelque instant dans ses yeux. Je détournais précipitamment le regard, débarrassait la petite table en poussant ce qu’il y’avais dessus, et vidait un peu du sachet en lançant un regard de défis à Vlad..

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MessageSujet: Re: J'ai voulus que ma vie soit un conte de fée, je crois que j'ai raté le coche. J'ai voulus que ma vie soit un conte de fée, je crois que j'ai raté le coche. EmptyMar 13 Avr - 19:50


    Elle se rendait compte que j'avais mal ou pas? Je la regardais s'agiter, s'énerver, me haïr à nouveau. Quelque chose me disait qu'elle avait bu cet après-midi. Je la subissais, sentant bien que je n'étais plus le bienvenu. Je m'en foutais, si Coleen croyait que j'avais fait le déplacement de l'hopital jusqu'à cette maison de confrérie peuplée de filles plus superficielles les unes que les autres pour l'entendre me deverser son ressentiment sans réagir, elle se trompait. Je regardais la poudre dans sa main, démangée par l'envie de la gifler, de lui crier que moi vivant il était hors de question qu'elle en prenne à nouveau. Difficilement, je me décollais du sofa. Elle jouait sur mes pires faiblesses, cigarettes et drogues. Deux choses qui avaient décimé ma famille. Deux choses mortelles.
    Je me placais devant celle qui comptait le plus pour moi, le coeur battant la chamade, l'observait et me dirigeait dans sa penderie. J'en ressortais rapidement, une paire de chaussures luxueuses dans les mains, un sourire carnassiers aux lèvres. Je retournais l'objet.
    « Je sais ce que tu as fais. Tu as finis ta cure, repris tes études, tu es restée clean, tu as probablement couché, et tu t'es acheté des chaussures. En bref, tu as eu un comportement pas très raisonnable et prévisible. Je me trompe? » je posais cette question en l'air, tellement sur de ne pas avoir tort. J'avais la voix rauque d'un homme épuisé. « Et moi? Moi je ne suis pas allé en cure et j'ai quand même arreté. Admirable. Je suis retourné chez moi. » je marquais une pause. « J'oubliais. Tu ne sais même pas ou j'habite. » Elle savait juste mon nom, mon premier prenom, que j'étais anglais et ... rien. Je passais ma tête par la fenêtre, hésitant à balancer les si belles chaussures de Coleen. « Donc on va reprendre au début. Je m'appelle Vladimir Kelton Richardson, je suis née en Angleterre. Ma mère est morte lors de mes quinze ans à cause d'une consommation effrenée de cigarettes. Après ça, j'ai vecu dans une caravane avec un père invivable. Et mon père est mort d'une overdose. » j'ajoutais en ricanant. « Alors tu comprendras que je n'ai pas envie de finir comme mes parents. » J'envoyais les chaussures dans le mur, et me preparais à repartir à l'hopital, en la laissant avec son sac de poudre blanche.

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MessageSujet: Re: J'ai voulus que ma vie soit un conte de fée, je crois que j'ai raté le coche. J'ai voulus que ma vie soit un conte de fée, je crois que j'ai raté le coche. EmptySam 17 Avr - 17:16

    Vingt et une heure zéro deux.

    J’étalais la poudre que j’avais verser sur la table avec mon index et je jouais avec. Mais qu’Est-ce que j’étais en train de faire ? Qu’Est-ce que je voulais prouver ? Vladimir me détruisais un peu plus avec ces mots, il me faisais voir la réalité en face, j’avais idéalisé ce mec dans le passée, à l’époque il étais tout pour moi c’étais le seul repère plus ou moins stable qui me restait. Je repensais à l’accident, a ma descente aux enfer, à ma rencontre avec lui, surtout à notre rencontre, je me mis a sourire à cette pensée mais ce sourire ne tarda pas ç s’effacer très vite. Je ne connaissais rien de son passer, c’est un fait mais en dehors de son passer je connais tous de lui, ça façons qu’il à de me regarder quand moi je ne le vois pas, je connais ça façon de réagir face à diverse situation, je me souviens encore de sa façon de me parler comme si j’étais une enfant quand je ne tenais plus debout à l’époque, je sais aussi qu’il s’en veut pour m’avoir abandonner au pire moment même si il ne l’avoues qu’a moitié dans ses phrases très rechercher, je sais aussi reconnaître son faux sourire quand il se veut rassurant ou montrer qu’il est fort dans toutes les situations. Je connais aussi sa façons d’embrasser, de toucher, d‘aimer…Je pourrais en faire un livre d’une centaines de pages sur sa façons d’être, et encore se serais trop peu. Je ne pris même pas la peine de le regarder, j’entendis mes chaussure claquer violemment contre le mur, il avait raisons c’étains indéniable il connaissais mon passée par cœur et alors étais ce la peine de s’en vanter ? Il lisais en moi comme dans un livre ouvert, et je m’en foutais royalement. J’étalais soigneusement la poudre sur la table basse, j’écrivais le mot « HATE » en majuscule. Je me relevais, sa tournais un peu mais peu importe, un peu de poudre étais encore sur mon doigt je le léchais et appréciait la saveur du peu de poudre qu’y si trouvait, j’avais oublier a quel point j’adorais ça. Je me ressaisit, lança un regard de mépris a ma moitié, oui parce qu’en dehors du fait qu’on étais plus ensemble Vladimir restera indéniablement ma moitié quoiqu’il advienne.

    « Va te faire foutre Richardson »

    J’avais prononcer cette phrase tellement de fois dans le passée, qu’il savait très bien ce que sa signifiait. Il savait que je n’allais pas avouer qu’il à raison et il savait aussi que sa voulait dire qu’il m’avais blesser. Il prenait le chemin de la porte, j’eu le temps de me rendre jusqu’à celle-ci pour la bloquer, et je le fixai défiante

    « Je peux savoir ou tu va ? Tu crois franchement que je vais te laisser retourner à l’hôpital dans cette état ? »

    Mon désir était encore partagés, je voulais qu’il parte car je savais pertinemment que si on continuait la conversation sur la même voix, je savais que sa allait mal finir, mais je voulais aussi qu’il reste surtout car sa me faisait toujours mal de le voir partir mais dans cette états encore plus, mais aussi parce que j’avais besoin de sa présence. Je ne savais pas comment notre relation allait se terminer, si on allait retrouver un jour notre complicité d’avant, si on allait recommencer à zéro ou si on allait carrément s’éviter a tout jamais, même si au fond de moi je ne voulais pas avoir recours à la dernière solution. Avec un grand sourire je repris la paroles :

    « Si tu veux partir, va falloir que tu me passe sur le corps Richardson. »

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MessageSujet: Re: J'ai voulus que ma vie soit un conte de fée, je crois que j'ai raté le coche. J'ai voulus que ma vie soit un conte de fée, je crois que j'ai raté le coche. EmptyDim 18 Avr - 17:56


    Elle jouait avec mes nerfs, comme toujours. Je n'étais pas indestructible, Coleen savait que je m'en voulais et m'en voulais plus encore. Elle n'accordait pas son pardon facilement, pire, elle me monayait. Je fixais les quatres lettres blanches, excédé. Ca ne m'attirait pas plus que ça, une rechute. Ma vie était trop précieuse pour la gâcher une nouvelle fois, dans le fond j'étais sur d'avoir de grandes choses à faire, des causes à défendre. J'étais utile actuellement, malgré mes défauts. Car il fallait le reconnaitre, je ne rimais pas avec idéal. Violent, j'étais pire que violent puisque je frappais sous l'effet de l'impulsivité. J'aurais pu frapper Coleen sous l'effet des substances présentes dans la pièce et c'était la dernière chose à faire. Je ne la blesserai pas volontairement. Je la connaissais... désinvolte en apparence et fragile dans le fond. Sensible. Ainsi qu'amoureuse déçue de l'amour. Aurait-elle dépéri si je n'étais pas revenu? J'aimais penser que oui, que je lui étais essentiel pour survivre. Même si elle n'oserait plus tenter une vraie histoire d'amour avec moi je n'avais pas le droit d'abandonner. Elle me disait d'aller me faire foutre et je savais que c'était pour que je reste. Nous étions paradoxaux dans nos comportements quotidien. Deux junkies cachés derrière un masque de personnes cleans. Des menteurs.
    « Mais j'y compte bien! » dis-je, calmement mais en haussant le ton, si bien que les personnes au-dessus de nous durent aussi l'entendre. J'en avais assez, qu'elle change d'avis. « Tu n'es plus mon problème à partir de cet instant. » Voila. « Pardonne moi ou ne me pardonne pas, ça ne compte plus à mes yeux. »
    Ces mots s'apparentaient à une rupture. Coleen avait des parents, de l'argent, je n'avais pas à m'inquieter pour elle en permanence, j'avais assez de soucis. Elle apprendrait à vivre sans moi comme j'avais appris à vivre sans elle. Cole feignait de s'inquièter pour moi, de me défier. Sans un mot, je l'écartais la porte, ouvrait, souriant une dernière fois.
    « Je me débrouillerais sans ton aide. » concluai-je. Je dévalais l'escalier, le coeur serré, ça me faisait mal ce platre. La plaie saignait... il faudrait que j'appelle une ambulance, pour me ramener.
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MessageSujet: Re: J'ai voulus que ma vie soit un conte de fée, je crois que j'ai raté le coche. J'ai voulus que ma vie soit un conte de fée, je crois que j'ai raté le coche. EmptySam 24 Avr - 0:03


    Évidemment, ma jubilation étais bien trop grande. Je devrais être habitué depuis le temps, face à Vladimir je n’aurais jamais le dernier mots, c’était plus un jeu que de la méchanceté on savait très bien que l’autre avait raisons on n’aimais juste pas l’avoué. Mais chacun des mots qu’on prononçait nous faisait horriblement mal que se soit à l’un ou à l’autre, mais se l’admettre étais deux fois pires. Je restais face à lui, j’encaissais ses paroles qui me blessait plus qu’elle ne me faisait fuir, même si je devais lui en vouloir au points de ne même pu lui adresser un seul mot, un seul regard, plus il me repoussait plus je voulais de lui. En réalité ma seule et unique drogue n’étais autres que Vladimir Kelton Richardson, c’étais mon addictions. Avec toutes sa délicatesse, le surveillant me poussas de la porte pour s’en aller, je restait planter la pendant une bonne dizaine de minutes le regards dans le vide, si je ne réagissait pas cette fois ci j’allais vraiment le perdre et même si il m’avais fait beaucoup de mal, je n’étais pas prête à le laisser sortir de ma vie, pas encore, pas maintenant. Je ne prie même pas la peine de m’habiller un peu plus, ou même de mettre des chaussures, je dévalais les escalier en vitesse sortit en trombe de la résidence. Je faillis retourner dans ma chambre, au fond en valait t’il vraiment la peine ? Il m’avais bien dit qu’il s’en foutait… j’était complètement accrocs à lui, je ne pouvais le laisser partir ! Je m’approchais un peu plus de lui, quand j’étais a une distance suffisante je finis par lui demander :

    « Je veux juste savoir un truc, je veux que tu me réponde franchement Vlad. Est-ce que j’ai déjà réellement compter pour toi ? Est-ce que je compte encore vraiment pour toi ? »

    J’avais besoin de savoir, bien sure je tenais plus à entendre une réponse à une autres. Je n’avais jamais douter de Vladimir, de ce que je représentait vraiment pour lui, je n’y avais même jamais réellement penser, nos sentiments on les vivais au jours le jours ce fiant seulement a nos gestes jamais à nos paroles. Aujourd’hui j’avais besoin de comprendre besoin de savoir si cela valait vraiment la peine de continuer à m’attacher, d’essayer de lui pardonner.. Je repris ma respiration avant de vraiment lui dire ce que j’avais sur le cœur.

    « Je…écoute Vladimir, je tiens vraiment à toi, je..je sais que sa ne se voit pas, que je le montre pas, que mes réactions sont plus ou moins contradictoire…mais crois moi j’ai vraiment besoin de toi dans tous les sens du termes, pas seulement pour ce soir, j’ai besoin de toi dans ma vie j’ai besoin de toi Vlad, et plus que tu ne le croit. J’ai juste besoin de temps, pour oublier, je comprendrais que tu veuille pas m’attendre pour ça…je…MAIS TU SAIGNES ! »

    Je m’approchais de lui, l’état dans lequel il étais c’était entièrement ma faute, je m’en voulais entièrement mais quelle idiote pourquoi j’ai envoyer se stupide message !

    « Je suis désolé c’est ma faute j’aurais jamais du t’envoyer se message à la con…si j’aurais su ! Je suis vraiment désoler ! Tu tu veux que je t’emmène à l’hôpital ? »

    Mais pourquoi je posais la question ? Je devais juste le pousser dans la voiture et l’emmener sans même lui demander son avis ! Je m’affolais, apparemment plus que lui, moi j’avais les larmes aux yeux alors que c’est lui qui devais souffrir, il étais d’apparence très calme alors que je ne tenais pas en place.
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MessageSujet: Re: J'ai voulus que ma vie soit un conte de fée, je crois que j'ai raté le coche. J'ai voulus que ma vie soit un conte de fée, je crois que j'ai raté le coche. Empty

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