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On ne naît pas wonderwoman on le devient ! Believe Caroll !

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MessageSujet: On ne naît pas wonderwoman on le devient ! Believe Caroll ! On ne naît pas wonderwoman on le devient ! Believe Caroll  ! EmptyMer 6 Oct - 19:14

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    Non mais oh tu m’as bien vu ? Tu crois franchement que je vais aller laver mon linge dans une vulgaire laverie ? En plus, je suis sûre qu’il y a pleins de rats ! Berk !!!

    Comme d’habitude, la jolie Caroll aurait mieux fait de tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler car le soir même elle prenait la direction de la laverie ! Foutue machine qui était tombée en panne et qui obligeait notre étudiante en quatrième année, à se promener sur le chemin des grecs avec un panier à linge sous le bras ! Bien sûr, elle était jolie comme un cœur, et était habillée comme si elle allait faire la fête toute la nuit ! Bah ouais, elle n’allait quand même pas aller faire sa lessive vêtue comme un sac à patate ! C’était déjà trop la honte si quelqu’un la surprenait, d’ailleurs il devait être aux alentours de vingt trois heures, elle ne voulait que personne ne la voit ! La rue s’éteignit d’un coup, une coupure de courant qui plongea toute l’allée dans le noir ! Bien qu’elle flippait légèrement, Caroll accéléra le pas et arriva à la laverie pile au moment ou le quartier retrouva de la lumière !

    Non mais sérieux c’est quoi de cette université ? Entre les clenches des portes qui sont cassées et les coupures de courant, on va où ??? Merde ! Aïe ! Bordel !!!

    La porte d’entrée de la laverie s’était refermée trop vite entraînant la jeune fille avec elle, et son panier à linge tomba sur son pied ! Et sachant qu’elle avait plus d’une lessive de retard il pesait cent tonnes ! Ouais enfin quelques kilos, assez pour que la demoiselle sente que son pied lui fasse mal ! N’empêche quelle idée à la con que de coller un digicode sur la porte ! Fallait s’appeler wonderwoman pour tenir son panier dans une main et taper le code avec l’autre ! Bon elle avait passée la porte principale non sans mal, mais le plus dur restait à faire lancer une machine ! Elle était vierge de machine à laver, sèche linge, repassage, et tout le tralala. Depuis toujours elle avait eu quelqu’un pour s’occuper de tout ça ! Sa bonne, sa nounou, ses parents, sa femme de ménage, et jusqu’à récemment sa petite sœur ! Jamais oh grand jamais elle n’avait mis les pieds dans une buanderie !

    Oh my god !

    Anyway, elle posa tout son barda sur une des machines à laver, et ouvrit des grands yeux cherchant un indice qui saurait l’orienter, ou même lui montrer comment faire. Mais bien sûr les miracles n’existaient pas ! Ne sachant absolument pas comment s’y prendre, elle opta pour tout mettre dans la même machine après tout qu’est ce qui pouvait se passer si ce n’est que son linge serait propre ? Mais au moment où elle plongea la main dans son linge sale, pour la seconde fois de la soirée, il y eut une coupure de courant ! Et elle avait beau avoir un sacré caractère, malheureusement pour elle, elle était une sacrée trouillarde, et quand elle entendit du bruit, des pas pour être plus précis, elle crut s’évanouir ! Sérieux, qu’est ce qu’elle foutait dans cette maudite laverie, et dans moins de deux secondes, elle allait même certainement se faire trucider entre deux essorages par un sérial killer ! Néanmoins, elle restait Caroll Léa Venn, donc elle se devait de faire face, et dans un élan de courage cria :

    Je vous préviens je suis armée, et je suis ceinture noire de karaté !


    Ok elle tenait un string dans sa main pas franchement l’arme idéale, et n’avait aucune notion de karaté, mais elle avait sa grande gueule, et croyez le, ça c’était une arme fatale !

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MessageSujet: Re: On ne naît pas wonderwoman on le devient ! Believe Caroll ! On ne naît pas wonderwoman on le devient ! Believe Caroll  ! EmptyVen 8 Oct - 18:09


    On ne naît pas wonderwoman on le devient ! Believe Caroll  ! Tumblr_l9gdszCLzl1qazygv On ne naît pas wonderwoman on le devient ! Believe Caroll  ! Tvddelena002-1
    « Caroll Lea Venn & Martin de Thomas»
    I see you the first time, i was sure you would like me. But can you resist to me ? Enjoy the silence !


    Ouvrant un œil, Martin regarda tout autour de lui. Il faisait nuit noire, tournant sa tête vers un réveil qui indiquait l’heure avec une lumière agressive rouge, il frotta ses yeux. Tâtonnant d’une main sur le côté il trouva une silhouette féminine. Elle se mit à bouger, s’accrochant à Martin, il soupira et se poussa un peu pour la repousser. La jeune femme encore endormie, ne comprit pas qu’il venait de se lever. Cherchant dans le noir son boxer, il se prit un meuble dans le genoux. Un bruit sortit du fond de sa gorge. La jeune femme sursauta de peur et alluma la lumière. Trouvant son boxer sur le sol, il l’enfila d’une traite. Elle le regarda étrangement et se mit à rire. « Tu es stupide, tu ne vas pas partir en pleine nuit tout de même. » Marquant une pause, il se mit à la regarder avec un regard angélique. Son sourire était incroyablement doux et exquis. On pouvait difficilement lui résister. Mais pourtant d’une voie puissante et grave il annonça tout haut sans la moindre rancœur « Ecoute, je ne suis plus un larbin d’une seule soirée, on a couché ensemble, c’était bien mais c’est fini ! Tu croyais pas sincèrement que j’allais rester avec toi ?! Faudrait être pitoyable pour désirer être avec une fille comme toi » Sourire méchant et ironique. Martin de Thomas était le diable en personne. Ramassant ses affaires, il enfila son jean noir et sortit de la chambre, laissant la jeune femme hébétée et sûrement folle de rage. Ce qu’il pouvait être intelligent. La faire rager était une chose exquise encore meilleure que la chantilly et la cerise sur un délicieux gâteau à la crème. Passant son bras dans une des manches de sa chemise, il se tourna et tomba sur un groupe de premières années. Des nouvelles c’était fort intéressant. Toutes se tournèrent vers lui et pouffèrent de rire. De vraies filles, passant leur main sur leur bouche, elles se disaient toutes des secrets. Plus nunuche, tu meurs. Boutonnant sa chemise en descendant l’escalier des Bêta, il se rendit vers le hall d’entrée et ouvrit la porte en bois immaculée. Découvrant une nuit noire et froide. Les journées se raccourcissaient et devenaient de plus en plus fraiches. Il regrettait de ne pas avoir sorti son cuir noir de son coupé sport. Vous me direz pourquoi tout se tape à l’œil ? Encore ce n’était rien, Martin était du genre assez discret en matière de voitures et de bling bling attitude. Il ne sortait jamais avec sa Rolex au bras, elle n’était pas couverte de diamants et dorée, elle était du genre discrète. Camouflé de noir de la tête jusqu’aux pieds, il passait facilement inaperçu quand on l’observait de dos, et pourtant dès qu’on croisait son regard c’était une autre histoire. Un visage démoniaque sous des traits ironiques et pourtant si charmants. Sa beauté était hors du commun. Ses yeux azurs aiguayés son visage et le rendaient plus angélique. Marchant nonchalamment dans le petit chemin regroupant toutes les confréries, il put voir le spectacle présent dans chacune d’elles. Toutes éclairées de multiples lumières. Certains travaillaient d’arrache pied, d’autres draguaient dans une piscine ou même à l’extérieur dans une petite terrasse. Et d’autres encore se roulaient des joints derrière l’une des villas et faisaient comme si de rien était car bien entendu c’était formellement interdit mais rien de mieux que de braver le danger à Berkeley pour se faire connaitre. Même si de Thomas trouvait ça fort pitoyable. Comme si on avait besoin de tout ça pour se rendre populaire. Bien entendu tout le monde n’avait pas les moyens de Martin, tout le monde n’avait pas sa beauté mystérieuse, personne n’était comme lui ! Chacun essayait de laisser sa part dans Berkeley à sa façon. Il ne fallait pas en vouloir aux autres pour leurs maladresses. Se rapprochant de la laverie, le jeune homme avait bien envie d’être au calme ce soir. Etre passé dans le lit d’une fille ce soir l’avait refroidi, pourtant il était toujours d’attaque. Mais cette fois-ci c’était comme si l’envie l’avait quittée pour une raison particulière… Regardant les étoiles, il réfléchit à cette hypothèse. Constance… Il est vrai qu’elle lui manquait. Il n’avait jamais ressenti ça pour une fille. Est-ce qu’on appelle ça un sentiment ? Non ! Non ! Et non ! Il serra les poings et les dents, ce qu’il pouvait être stupide ce lui-là quand il s’y mettait, il se demandait bien ce qu’il faisait à Berkeley si ce n’était pas pour dire que des idioties et agir comme un idiot, marchant la tête haute droit devant lui, il franchit la porte de la laverie. A son soulagement personne n’était là. Mais il n’avait pas vraiment accédé aux machines. Il descendit les escaliers, tâtonnant sur le mur à la recherche d’un interrupteur quelconque pour allumer l’immense pièce qui se trouvait au sous-sol. Mais en appuyant dessus, rien ne se produisit. C’était étrange ! Cette école s’enfonçait de plus en plus. Descendant et heurtant quelque chose il fit du bruit, réveillant la curiosité et la peur d’une jeune personne. Une voix veloutée et douce, c’était une femme. « Je vous préviens je suis armée, et je suis ceinture noire de karaté ! ». Il pouffa de rire et chercha dans la poche arrière de son jean, son portable azerty qu’il alluma faisant ressortir une couleur blanche qui illumina toute la salle. A sa vue, il reconnut Caroll Lea Venn. Il avait souvent entendu parler d’elle et l’avait déjà rencontrée en allant voir sa meilleure amie Ailsynn chez les Iota. Il rapprocha son portable de son visage et d’une voix roque et sensuelle prononça ses mots remplis d’ironie. « File-moi ton argent et plus vite que ça ! » Riant à s’étouffer, il détailla un bout de tissus dans la main de Caroll et il reconnut un string en dentelles, assez sexy, il fallait le reconnaitre. Petit sourire en coin. « Tu comptais faire quoi avec ça ? M’attaquer ? Me frapper peut -être ou te livrer à moi ? » Toujours avec beaucoup de fierté, il montrait sa véritable personnalité à tout le monde. Il était salaud et aimait le montrer aux autres, c’Est-ce qui faisait le charme du beau Martin de Thomas




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MessageSujet: Re: On ne naît pas wonderwoman on le devient ! Believe Caroll ! On ne naît pas wonderwoman on le devient ! Believe Caroll  ! EmptyLun 11 Oct - 20:26

    A peine avait-il prononcé un mot, que Caroll reconnu le son de la voix, de celui qu’elle surnommait sa proie, elle était le chasseur, et elle n’avait qu’une envie le dévorer tout cru. Elle y était presque arrivée, lors d’une soirée, mais il avait fallu qu’elle se fasse doubler, par cette bitch de Nina Baker. Bien sûr elle ne l’avait toujours digéré, car rien ni personne n’avait le droit de devancer l’étudiante en quatrième année. Bordel ce qu’elle pouvait maudire cette Nina, lors de cette fameuse soirée la miss Venn avait du finir sa nuit toute seule au fond de son lit tellement elle était dégoûtée de ne pas avoir réussi à mettre le grappin sur le joli Martin, d’ailleurs pourquoi avait-il préféré Nina à Caroll, elle n’allait pas se gêner pour lui poser la question, plus tard, car là, il voulait la voler, il allait en avoir pour son argent …

    Hum… Avec plaisir, mon porte feuille se trouve dans la poche arrière droite de mon jean … J’adorerais que tu viennes le chercher !


    Elle éclata de rire, le ton était donné, et ça lui plaisait assez. L’heure de la revanche avait enfin sonné, et il est clair que la belle Venn allait s’amuser. Mais allait-elle en profiter ? That is the question ? Hé oui, Caroll avait sa fierté et Dieu sait que plus fière que la demoiselle, ça n’existait pas. Néanmoins quelque chose d’étrange l’attirait en Martin. Quoi ? Certainement, que, pour elle, il était comme un fantasme, et c’était bien connu les fantasmes étaient fait pour être assouvis. Non ? Ah la la, elle se rappela tout à coup la première fois qu’elle avait couché avec un garçon. Elle avait seize ans, et à l’époque les filles de sa classe le faisait toutes avec leurs petits copains, leur amoureux de toujours. Pathétique ! La belle Venn qui n’était pas du tout du genre à faire comme les autres, avait jeté son dévolu, sur un de ses professeurs. Elle était donc lycéenne, et même si elle détestait ça, avait choisi l’option théâtre, histoire d’avoir beaucoup d’activité, pour son dossier universitaire. Il s’appelait Patrick, il lui avait fait du rende dedans, et un soir, elle était restée après les répétitions, et ce qui devait arriver arriva. Elle en gardait un souvenir mémorable, et ne l’avait jamais dit à personne, ni même à sa sœur ni à sa meilleure amie. Comme quoi, Caroll savait de temps en temps garder sa langue dans sa poche.

    Je n’aurais pas utilisé cet ordre, je me serais déjà livrée à toi, ensuite la folie aurait envahi mon corps entier, et enfin je t’aurais attaqué sauvagement.


    Elle se marra. Merde pourquoi n’arrivait-elle pas à garder son sérieux ? Enfin bref, là ça soulait, l’électricité n’étaient toujours pas revenue, et Caroll se voyait bien s’envoyer en l’air avec Martin sur une machine à laver en mode essorage, mouais enfin non pas tant que ça en fait, ça faisait trop cliché, et elle l’avait déjà fait et franchement elle ne voyait pas en quoi c’était un fantasme de millions de gens ; elle avait chopé des bleus aux fesses, et le mec était de loin le pire coup qu’elle avait vu, comme quoi quand c’était merdique, tout s’enchaînait.

    Franchement à quoi ça sert de payer une … C’est à ce moment précis que la lumière décida de faire de nouveau son apparition, un sourire s’afficha sur le visage de la jeune fille. Merde t’es encore plus envoûtant que dans mes souvenirs. Pour le coup, elle ne regretta pas de s’être habillée comme si elle allait en soirée, car ça l’aurait vraiment foutu mal de se retrouver en uggs, et en jogging devant Martin. Elle le détailla de haut en bas. Powaa, c’était quasi perdu d’avance, elle allait obligatoirement craquer, mais bon pas de tout de suite, pas maintenant. Il fallait qu’elle pense à autre chose sinon elle allait le violer sur place. LESSIVE ! cria t-elle ! Après tout elle était venue pour laver ses fringues, et il fallait absolument qu’elle se change les idées. Regardant à nouveau son panier, elle se demanda comment elle allait s’y prendre, elle était quasi sûre qu’il ne fallait pas tout mélanger. Sérieux, ils étaient où les manuels d’explication, comment pouvait-on être une des meilleures élèves de sa classe et ne pas savoir qu’il ne fallait pas mélanger le blanc et la couleur ? Ah ce qu’elle pouvait être drôle quand elle le voulait Caroll. Bon tant pis elle passerait pour une débile, mais elle ne voulait pas ruiner ses fringues, d’autant plus que dans le panier, il y en avait pour plusieurs centaines de dollar.

    Dis-moi Martin à tout hasard, tu serais comment on fait une lessive ?
    Elle afficha un air de petite fille sage, qu’elle n’était pas bien sûr, et ajouta malicieusement, si tu m’aides, il se pourrait que je sois très gentille avec toi …
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MessageSujet: Re: On ne naît pas wonderwoman on le devient ! Believe Caroll ! On ne naît pas wonderwoman on le devient ! Believe Caroll  ! EmptyDim 17 Oct - 12:12


    On ne naît pas wonderwoman on le devient ! Believe Caroll  ! Tumblr_l9gdszCLzl1qazygv On ne naît pas wonderwoman on le devient ! Believe Caroll  ! Tvddelena002-1
    « Caroll Lea Venn & Martin de Thomas»
    You're so hot ! Yes I know ! I must to say I'm perfect, i think it's the truth.


    Il fallait être fou ou inconscient pour se frotter à Martin de Thomas. Ce n’était pas le genre d’homme auquel on pouvait faire confiance. On lui avait souvent dit que Caroll le voulait dans son lit. Il n’avait pas vraiment prêté attention. Du moins extérieurement. Il paraissait indifférent. Il chassait les femmes, des filles le chassaient. Le schémas était rapide. C’était un échange de flux de plaisir entre deux personnes. Chasse-moi ! Tu seras ma proie ! Je ne serai point la tienne. Provocateur jusqu’au bout, il se mettait tout seul dans un rôle qui symbolisait l’homme chasseur, il n’avait pas froid aux yeux. Durant cette fameuse soirée, de Thomas avait été charmé par Venn, mais il n’avait pas été dans son lit. Il avait dans celui d’une autre. Celui d’une Beta pour être plus précis. Il en avait l’habitude. Il n’y avait qu’elles qui étaient prêtes à accueillir un homme comme ça, en ouvrant leurs bras et leur destiné. Bien qu’elles ne faisaient pas que ouvrir les bras… C’est une version un peu perverse, mais il faut dire ce qui est, une Beta reste une salope. Elles ne se respectent pas. Elles font tout pour être détestées. Elles ne se rendent pas vraiment comptes de leurs réputations. Elle va bien cinq minute, mais je ne pense pas que quelqu’un aimerait réellement être avec ce genre de filles. Elles ne sont pas méchantes en somme, quand elles n’essayent pas de se prendre pour les reines du monde en vous mettant dans leurs lits, ce sont plutôt des jeunes filles malheureuses qui cherchent leurs bonheurs dans le corps d’un mâle.   « Hum… Avec plaisir, mon porte feuille se trouve dans la poche arrière droite de mon jean … J’adorerais que tu viennes le chercher ! »
    Sourire armé. Charme déployé. Il était décidement l’homme des rêves parfaits, du moins physiquement. Rapprochant ses lèvres de son oreille, se mettant derrière son corps il lui susurra  « Puis-je vraiment mettre ma main ? Ou n’est-ce qu’une technique féminine pour faire craquer leur proie ? »

    On lui avait souvent dit « Martin tu joues avec le feu, tu finiras par te brûler les ailes ». Il répondait par un petit sourire malsain et ironique dont lui seul avait le secret. Sa personnalité, il se l’était lui-même faite. Elle n’était pas parfaite, loin de là, mais elle lui permettait de le protéger de n’importe quoi. Il n’avait pas peur de se faire attaquer, il avait de multiples armes dans sa manche. De l’argent, un charme troublant, une ruse identique à celle de Ulysse, un côté manipulateur et rusé qui pouvait troubler n’importe quel joueur. Il n’avait peur de rien. Rien ne pouvait le rattraper. Il ne montrait pas ses faiblesses. C’est pour ça qu’il ne parlait jamais de lui. Il était bien mystérieux. Ca lui apportait un petit plus qui séduisait facilement les femmes. Regardant Caroll dans les yeux, il fit un mince sourire. Jouer la provocation, Acte un, scène première.  « Je n’aurais pas utilisé cet ordre, je me serais déjà livrée à toi, ensuite la folie aurait envahi mon corps entier, et enfin je t’aurais attaqué sauvagement. » Elle ne se rendait pas compte dans quel piège, elle venait de se fourrer. Mmh à mûre réflexion, Martin n’était pas un garçon aussi facile que ça. Il couchait facilement avec des femmes, mais elles remplissaient des critères. Il aurait pu coucher avec Caroll, elle était magnifique, et avait de belles formes et un visage harmonieux. Mais il y avait un hic. Elle avait jeté son dévolu sur lui, mais chez Martin c’est Suis-moi, je te fuis. Pour l’embêter, il résisterait à ses avances jusqu’à un moment. « Tu m’aurais attaquée ? Mais je ne t’aurais certainement pas accepté sur mon corps. Après tout, je suis bien plus doux qu’on ne le pense, je déteste la manière sauvage, on se croirait comme deux personnes en manques de sexe. Et je ne suis loin de l’être. »

    Bon il serait fou de ne pas penser coucher avec elle… Bien qu’elle lui fasse la cour chose des plus agréables, il n’était pas forcément habitué à ce qu’on jette son dévolu sur lui. Il mettait plutôt le grapin sur les filles et couchait avec elles dans la soirée avant de les laisser à la manière de Casanova. Il se fichait du nombre de conquêtes qui passaient dans son lit, il n’avait jamais fait de concurrences, mais on l’y avait forcé petit à petit. Et c’était devenu un réel jeu pour lui, il s’amusait avec ces jeunes femmes dans son lit. Il aimait épouser leurs corps avec le sien, les serrer contre lui. Tous ces moments là étaient parfaits mais c’était un comportement puéril et gamin. Il ne grandissait pas. Le compliment qu’elle émit lui fit tourner la tête vers elle. Lui plus envoûtant ? Une personne normale dirait « Oh mais non, c’est faux ! » ; Un profiteur dirait « Tu veux voir de plus près ? » et enfin les vantards diraient « Oui je sais, je sais. » Martin ne répondait pas de cette manière. Sourire orné, ouvert jusqu’à ses oreilles, d’une voix de ténor il lui répondit :   « Tu en doutais presque ? » Il fallait reconnaitre que c’était assez vantard.

    Sous l’excitation de la jeune femme pour faire sa lessive, il se tourna et marcha dans la petite cave qui servait de laverie. Il n’y avait jamais vraiment été. Il fallait dire que le jeune homme n’avait pas de logements sur le campus. Il vivait en ville et avait une chambre ici, mais il était souvent absent, c’était plus une chambre pour se faire quelque fois du plaisir en galante compagnie. Mais il rentrait chez lui, chez le logement que lui avait payé ses parents, oubliez les parents qui attendent sagement leurs parents, toujours absents, ils ne comptaient plus vraiment dans la vie de Martin. Visage ternis par un petit coup de blues, dos à Caroll, il toucha du bout des doigts le mur glacé. « Dis-moi Martin à tout hasard, tu serais comment on fait une lessive ? » Se tournant, sourire pervers et provocateur sur les lèvres, il fixa Caroll.   «  si tu m’aides, il se pourrait que je sois très gentille avec toi … » Phrase qu’il ne fallait absolument pas dire. Oui Caroll. Tu fais un pacte avec le diable. Il se rapprocha d’elle, mettant ses mains sur sa taille. Percutant les lois de l’attraction, il se pencha une nouvelle fois vers elle. Ses lèvres contre son oreille.   « Gentille avec moi ? Mmh c’est une proposition des plus alléchante Mademoiselle Venn. Aussi bien demandé, je ne peux refuser une telle chose. » Se pencha vers la lessive, il la réglé, c’était pas si difficile. Du moins, ça n’en avait pas l’air. Il la programma sur cycle long privilégiant les couleurs.


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MessageSujet: Re: On ne naît pas wonderwoman on le devient ! Believe Caroll ! On ne naît pas wonderwoman on le devient ! Believe Caroll  ! EmptyVen 22 Oct - 18:53

    Ah la la, si on avait dit à la splendide étudiante en quatrième année, qu’aller faire sa lessive impliquait de croiser un des plus beaux spécimens masculins de l’université, elle y serait allée en courant (en admettant que courir sur dix centimètres de talon sois possible) ; et ça depuis bien longtemps. Car comme tout le monde le savait, Caroll Léa Venn adorait la présence de la gente masculine. A leurs contacts, elle ne pouvait s’empêcher de les titiller, les provoquer. La belle n’avait pas toujours été comme cela, il fut un temps où être fidèle à un homme était primordial pour elle. Mais la mort de ses parents, avait tout chamboulé, elle n’était plus la petite fille sage qu’elle était avant, fini les rêves de princesse, fini les histoires qui commençaient par ‘il était une fois’.

    Martin de Thomas demande la permission ? Intéressant. Elle se retourna et se trouva nez à nez avec lui, elle se mordit la lèvre et ne le quittant pas des yeux ajouta les techniques c’est pour les autres nanas, moi j’agis au feeling, je vis l’instant présent.

    L’accident avait fait réaliser à la brune que la vie ne tenait qu’à un fil et qu’il fallait la vivre à trois cent pourcent. Depuis le drame, son comportement avait changé du tout au tout. De la petite fille sage comme une image, elle était passée à la nana qui faisait ce qu’elle voulait quand elle voulait, de fleur bleue, elle était devenue, une fille sans sentiments, une garce sans cœur qui enchaînait les conquêtes sans lendemain et se fichait royalement de ce que pouvait ressentir les hommes. Seuls sa générosité et son côté studieuse étaient restés intacts. Parce que c’est clair, Caroll adorait faire plaisir à ses amies, et qu’elle n’hésitait pas à dépenser des sommes incroyable dans les boutiques de luxe.

    C’est vrai tu ne m’aurais pas accepté ?
    Elle fit une petite moue, mais ne fut pas pour autant vexée. Ce qu’il dit ensuite la fit gentiment sourire. Toi doux ? Elle le fixa. Je n’y crois pas une seconde. Tu as le regard le plus diabolique que je connaisse. Et je dois dire que ça me plait énormément. La suite qu’il énonça la fit rire. Hé moi non plus je ne suis pas en manque de sexe, mais franchement Martin, on serait tous les deux hypocrites, si à cet instant précis on ne pensait pas au sexe !

    Après tout y penser ne voulait pas dire le faire. Enfin ça c’était valable quand on s’appelait Joe Jonas, mais pas quand on s’appelait Caroll Venn ou Martin de Thomas. Tout Berkeley savait que Caroll n’était pas une petite fille sage, et elle ne le reniait pas au contraire, elle en jouait. Elle avait une sacrée liste qui était affichée à son tableau de chasse, mais les mots ‘salope’ ou ‘trainée’ ne lui correspondaient pas tellement, elle faisait juste ce qu’elle voulait quand elle le voulait. Bon ok, souvent ça impliquait l’acte sexuel, mais merde quoi, un mec qui se tape nana sur nana est un héros, alors qu’une fille qui fait ce qu’elle veut de son corps, passe pour une pute ! Ah l’inégalité entre l’homme et la femme !!!

    Dis-moi, ça m’étonne que ta vantardise, et ton air supérieur t’attirent autant de conquêtes !
    Elle marqua une petite pause et ajouta ironiquement bien sûr, je croyais que les nanas préféraient les mecs gentils ?

    Parce que c’est clair, que même sans connaître Martin, on voyait direct qu’il ne faisait pas parti de la classe ‘gendre idéal’. Cette fameuse catégorie, ou le mec était parfait, qu’il était poli, qu’il faisait le ménage, qu’il ne disait jamais un mot de travers, et qui avait le physique d’un Brad Pitt ou d’un George Clooney (ou autres spécimen tout droit sortie d’Hollywood). Le problème avec Caroll, c’est que ce genre de mecs l’ennuyait, voir ne l’intéressait pas du tout. Le fils à papa qui réussissait tout ce qu’il entreprenait très peu pour elle. L’étudiante en journalisme avait besoin d’un mec qui excusez le terme avait des ‘couilles’, et qui n’hésitait pas à prendre les choses en main ! Le genre de gars qui vous brise le cœur en moins de deux secondes mais qui malheureusement (ou heureusement faut voir ) vous attirait indéniablement.

    Et forcément quand vous aimez les bad boys et que Martin de Thomas, met ses mains sur vos hanches, vous sentez tout votre corps frissonner de désir. Oh gosh, ça allait être difficile de lui résister ! Elle le regarda mettre en route la machine à laver. Mais voyons Martin, tu sais très bien que je suis la gentillesse incarnée dit elle sachant très bien qu’il n’y croirait pas une seconde. Elle savait que si elle le voulait, il fallait qu’elle la joue plus fine que les autres nanas. Lui sauter dessus là maintenant tout de suite, était risqué, car elle n’était pas sûre qu’il répondrait à son avance. Autant avec un autre mec, elle n’aurait pas hésité une seconde mais avec lui, non. Tant que je t’ai sous la main continua t-elle amusée, y a une question qui me trotte dans la tête depuis un certain temps déjà. Pourquoi as-tu préféré Nina à moi ? C’était légitime qu’elle fasse cette demande ! Cette fameuse soirée restait toujours en travers de la gorge de Caroll, et cette fois ci, elle ne se laisserait pas avoir deux fois, elle voulait être sûre d’arriver à ses fins, et donc demander où elle s’était plantée la dernière fois était logique. Les mains de Martin toujours posées sur ses hanches, elle passa ses bras autour du cou du beau M. et le fixa. Au fait, merci pour le linge grâce à toi, je ne saurais pas obligée de me trimballer toute nue sur le campus …

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MessageSujet: Re: On ne naît pas wonderwoman on le devient ! Believe Caroll ! On ne naît pas wonderwoman on le devient ! Believe Caroll  ! EmptySam 20 Nov - 23:14


    On ne naît pas wonderwoman on le devient ! Believe Caroll  ! Tumblr_l9gdszCLzl1qazygv On ne naît pas wonderwoman on le devient ! Believe Caroll  ! Tvddelena002-1
    « Caroll Lea Venn & Martin de Thomas»
    You're so hot ! Yes I know ! I must to say I'm perfect, i think it's the truth.


    Le démon en Martin ne s’ attaquait pas à n’importe quelle femme, elles étaient triées selon plusieurs critères. Toutes les femmes ne sont pas à la hauteur pour notre Dom Juan. Il est vrai qu’il se montrait difficile sur certains points, mais sur d’autres il laissait couler. Comment une fille aussi séduisante que Venn ne pouvait pas vous exciter. Il fallait être fou pour ne pas craquer devant ses yeux en amandes, ou devant la beauté de ses courbes qui caressait doucement le corps de De Thomas. Caressant sensuellement contre son corps. Il arqua un sourcil, provocatrice et manipulatrice dirons nous. Mmh elle pourrait pas être aussi savante que Martin à ce jeu là. Caressant la courbe de son corps avec sa main, il laissa ses lèvres dévalaient le cou de la jeune proie. « Martin de Thomas demande la permission ? Intéressant. ». Quelque fois, il fallait savoir être un parfait gentleman digne des plus grands romans. On ne pouvait pas se rabaisser à être un rat d’égout, qui confond une sortie dans un restaurant chic et un dîner dans un fast food gras et sale. C’est ce qui faisait la différence entre un homme quelconque et Martin de Thomas. Cet homme était à lui seul un phénomène. Il vivait dans son monde, selon ses propres règles et personnes ne pouvait lui dire quoi faire. « Quelque fois Mademoiselle Venn, il faut savoir se ranger du côté de la jeune femme pour pouvoir combler ses désirs, dans une relation même sexuelle, nous sommes deux spécimens, deux individus, il faut savoir combler les désirs de l’autre avant de combler les siens. » Tout faisait parti de l’éducation qu’on reçoit dès notre jeune âge. Martin avait appris à partager avec les autres. Oh non il ne partageait pas des morceaux de chocolat ou du pain comme on peut faire à table, mais le jeune homme était généreux dans ces faits et gestes. A chaque fois qu’il avait un rapport avec une jeune femme, il faisait tout pour la faire vibrer. C’était assez valorisant de se dire « Je la fais vibrer ». Rien de mieux non ? Oh moins on est sûr que cette jeune femme peut revenir à tout moment. « les techniques c’est pour les autres nanas, moi j’agis au feeling, je vis l’instant présent. » Le feeling, quel curieux mot. Il fallait vivre au jour le jour sans se soucier des conséquences, après tout on a qu’une seule vie. Il faut en profiter un maximum. Simple sourire sur les lèvres, il la regarda caressant sa joue de ses fins doigts de pianiste. « Intéressant, tu vis au jour le jour. Oh moins tu ne te prends pas la tête, c’est quelque chose de bien. »

    Cette vie, Martin l’avait choisie. Il ne voulait pas être comme les autres. Il voulait une vie unique. Mais elle reflétait bien son mauvais caractère. Il n’était pas un homme idéal ou même parfait. L’absence de ses parents n’avaient pas vraiment aidé. Ces derniers étaient sans cesse absents et ne s’occupaient guère de leur fils unique. Une chose qui a profondément blessé le jeune garçon. Tout petit il ne comprenait pas pourquoi les enfants étaient avec leurs parents alors que lui avait une nourrice agréée. Pourquoi même les enfants avec des moyens inférieurs aux siens étaient tout le temps accompagnés de leurs parents, ils marchaient souvent sur les bords des quais ou dans les grands jardins. Alors que ses parents n’étaient jamais présents, ils remplaçaient leurs présences par une somme astronomique d’argent qui aurait fait baver plus d’un enfant. Mais contrairement aux autres, Martin s’en fichait totalement, ce n’était qu’une chose matérielle. Serait-il sentimental ? « Je ne suis point doux ? C’est un compliment que tu me fais là. Tu as tout à fait bien cerné le personnage. Alors comme ça, je fais diabolique ? C’est pour être plus diabolique que je ne le suis. Après tout n’est-ce pas excitant de faire régner le mal ? Tu comprends ce que je veux dire, non ? » Quel homme en compagnie de jolies jeunes femmes ne pas penser au sexe. C’était naturel, l’attirance de deux corps est tout à fait normal pour les jeunes gens de son âge. ? « Il faudrait que je sois fou ou complément aveugle pour ne pas penser à une telle chose surtout dans un tel endroit.» Quelle personne n’était pas passé au dessus du corps de notre albâtre Italien ? Heu en y réfléchissant bien des filles ne passaient pas comme ça sur son corps, il fallait que les jeunes femmes soient belles et bien faites. Si elles remplissaient ces deux sujets, elles étaient passées sur le corps du jeune homme. Mais il laissait certaines femmes le désirer, après tout qui n’aime pas se faire chasser par le sexe opposé ? On aime tous avoir une personne qui s’intéresse à nous.

    « Dis-moi, ça m’étonne que ta vantardise, et ton air supérieur t’attirent autant de conquêtes ! » Elle marquait un point et pourtant on comportement n’effrayait pas les jeunes filles au contraire, elles aimaient bien ce petit côté mauvais garçon sur lui. Elles aimaient le voir méchant et horrible avec elles, bien qu’à la fine, elles avaient le moral au plus bas, il haussa simplement les épaules, il s’en fichait complètement de la façon dont elles le voyaient l’important était qu’elles tombent dans son piège. «Et bien pourtant, les jeunes filles aiment les vilains garçons …» Que pouvaient-ils faire ? Il était obligé de les faire craquer après tout il n’allait pas passer à côté d’une magnifique créature. Ca aurait été totalement idiot. Mais Martin le vivait très bien. Il était un homme des plus magnétiques et des plus démoniaques. Visuellement, il était le méchant de l’affaire, il ne voulait pas être le bon samaritain, tout cela ne lui servait à rien. Il n’était pas un saint-bernard barbant auquel on donnait des os à ronger. Non c’était le diable en personne ! Il voulait faire souffrir les autres pour qu’ils souffrent autant qu’il avait pu souffrir durant son enfance et son adolescence.

    Cette question le fit rire, il se retira et fit mine de réfléchir. Pourquoi il ne l’avait pas choisie à elle ? La vérité était que Nina était un beau coup, il avait eu des échos de la part des jeunes Deltas. Il avait voulu tester à son tour. Et sans la valoriser, il avait passé une des meilleures nuits de sa vie avec elle, elle avait une façon de prendre l’homme des plus satisfaisantes. Serait-ce pervers ? Oui assez. « Et bien pourquoi t’intéresses-tu à moi ?» Comme à son habitude, il répondait par une question. Il fuyait la question, il ne répondait jamais aux questions qui ne l’intéressent pas. Il fit un sourire charmeur à la jeune femme, approchant ses lèvres de son oreille, il lui murmura : « C’est un plaisir pour moi ma belle ! »


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