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chambre numéro treize — louis-marie et ebraene

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MessageSujet: chambre numéro treize — louis-marie et ebraene chambre numéro treize — louis-marie et ebraene EmptyDim 16 Mai - 18:03

chambre numéro treize — louis-marie et ebraene 2lxdrid

J’étais vide. Totalement vide de l’intérieur. Mon corps était à la recherche de quelque chose. Mais je ne savais dire quoi. J’avais ce besoin irréfutable enfui tout au fond de moi. J’avais envie de combler ce manque qui m’envahissait encore un peu plus aujourd’hui. Sans vraiment savoir où j’allais, j’arpentais les rues funestes et sombres de San Francisco. Au fur et à mesure que j’avançais dans l’obscurité, je perdais la notion du temps. C’était assez surprenant voir même déroutant d’apercevoir à quelle point une ville pouvait changer en à peine quelques heures. Les quelques millions de touristes, appareils chargés à la main avaient disparu en un clin d’œil. Ainsi tout aussi rapidement, les réverbères s’allumèrent et l’envers du décor apparu. Plus si génial comme ville, si vous voulez mon avis. Mes yeux se déposèrent sur un homme allongé à même le sol. Il puait l’alcool à plein nez, je pariais que je l’aurai senti si j’étais sur le trottoir d’en face. Pourtant même si cela me dégoutait plus qu’autre chose, au fond, je le comprenais. L’alcool était semble-t-il le seul moyen pour lui de s’évader et de se réchauffer. En m’abaissant, je lui déposais un billet de 20 dollars au creux de son oreiller. Cette espèce de cadeau n’aurait pas été de refus s’il aurait été réveillé. Même si à nos yeux, ce n’était qu’un « billet de 20 dollars », pour lui il était plus que conséquent. Ayant un temps infini devant moi, je m’arrêtai quelques minutes pour l’observer. Emmitouflé dans ses couvertures trouées et puantes tout autant que lui, il était dans les bras de Morphée. Il avait l’air si heureux dans son rêve que je ne pris pas la peine de le réveiller. Il avait l’air si heureux dans cet autre monde que j’espérais qu’il y reste. Je trouvais ça tellement apaisant de regarder quelqu’un dormir. J’aurais pu y passer des heures mais si je poursuivais, on m’aurait prise pour une psychopathe préparant un mauvais coup. Heureusement, une goutte frôla mon visage et me fit sortir de mes pensées. D’un pas plus rapide cette fois, je réattaqua ma petite ballade nocturne. Tout autour de moi, je vis défilé toute sorte de plan mais un en particulier attira mon attention. Mon allure ralentissait. La pancarte de la résidence affichait : The Victor Hugo's Residence. Je connaissais cette résidence bien entendu. D’ailleurs, tout le monde connaissait la résidence puisque c’était celle où dormaient nos précieux français. Moi, je n'en avais pas, donc cela m'importait peu. Non moi, ici c'était tout autre chose. C’était l’endroit où reposait mon dealer. Qui ne l’était plus vraiment puisqu’il ne voulait plus vraiment me réapprovisionner. Mais, me connaissant je n’allais pas m’arrêter là si facilement. C’était dans ces réactions-là que je me rendais compte de l’emprise qu’avait cette chose sur ma personne. Elle m’avait piégé sans vraiment m’en rendre compte. J’étais encore inconsciente de l’ampleur que pourrait prendre cette chose dans ma vie. J’en étais devenu son objet. En deux ou trois mouvements, je traversai l'allée de la résidence. J’étais là sous cette pluie battante à attendre devant cette porte. J’étais trempé de la tête aux pieds. Mes chaussures étaient imbibées d’eau et mes cheveux trempés dégoulinaient sur mes joues. Mes yeux noisette se déposèrent sur les sonnettes. Il y en avait un paquet mais une seule m’intéressait réellement. Mes petits doigts, tremblant de froid, virevoltèrent un peu partout pour enfin se déposer sur la chambre 13, celle de Louis-Marie et d'une autre fille. J’appuyai et attendis. Quelques minutes se passèrent, aucune réponse. J’appuyai une seconde fois. Aucun signe de vie. Coup d’œil vers sa fenêtre, il y avait de la lumière. Savait-il que c’était moi ou bien n'avait-il pas entendu ? J'eu une petite idée. Je cherchai un caillou par terre, une fois trouvé je le lança à sa fenêtre. Raté. Je recommençais avec un autre et cette fois-ci, ce fut dans le mille. Malheureusement, un peu trop puisque un éclat de verre venait de se faire entendre; sa fenêtre éclata. « M*rde ! » Surprise, ma main couvera ma bouche qui était dors et déjà grande ouverte. Je savais pertinemment que je venais encore de faire une gaffe.
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MessageSujet: Re: chambre numéro treize — louis-marie et ebraene chambre numéro treize — louis-marie et ebraene EmptyDim 23 Mai - 20:54

chambre numéro treize — louis-marie et ebraene Lou-bra-1c775dc
LOVE LIKE A SUNSET

J'étais dans ma chambre , cette résidence Victor Hugo regroupait tous les étudiants venus par le programme d'études à Berkeley . j'étais content de m'y trouver mais ça manquait terriblement de mouvements . je partageais ma chambre avec Clelia, la jolie brune avec qui j'avais sut m'ouvrir comme les personnes normale le font , enfin j'avais volontairement oublié de lui faire part de certains évènements appartenant à mon passé . Je tenais a garder certains passages de ma vie dans l'obscurité car je ne voulais pas tout gâcher avec Clélia , j'avais enfin réussit à trouver une personne sur qui je pouvais compter et en qui je pouvais avoir confiance , alors je ne voulais pas tout gâcher en quelques paroles . le risque de la faire fuir ne me plaisait pas du tout . Et puis c'était une chose géniale que de partager sa chambre avec une fille sans qu'il n'y ait aucune ambiguïté. Puis elle me laissait faire ce que je voulais . La journée elle était pas souvent là , plutôt dehors , elle avait plein d'amis . Moi ce jour là je suis resté à la résidence . Levé à 10 heures du matin , la journée se présentait comme calme et inutile . on était vendredi, il pleuvait et faisait froid , j'étais seul . En me levant je put apercevoir Clélia . Elle me sourit mais moi j'étais trop anéanti pour lui renvoyer son sourire . Elle ne le prit pas mal car elle commençait à me connaitre . J'eus le temps de filer sous la douche , de trainer sous la douche et d'utiliser presque toute l'eau chaude pour finir par me faire engueuler par une blondasse qui a dut se contenter d'une sale douche froide . Elle a commencé à me crier dessus en anglais , mais elle beuguait toute seule , et son vocabulaire était très restreint . Je crois qu'elle a comprit que j'étais français et que je moquais d'elle car au bout d'un moment elle s'est mise à parler français . ça donnait ; "you are very stupid , my shower is cold and ... putain mais ta mère t'as pas appris a laisser l'eau chaude pour les autres ?" . j'ai haussé les épaules , puis j'ai continué mon chemin , serviette au tour de la taille , en lui tonnant une petite tape qui comportait un semblant d'amitié sur l'épaule . J'avais l'habitude de me sortir de ce genre d'histoires sans trop de difficultés , elles m'adoraient toutes , alors même si je me comportait en crétin fini elles succombaient quand même . Je sentais son regard dans mon dos , elle devait être surprise . moi j'avais toujours ma serviette au tour de ma taille et me dirigeais vers ma chambre pour enfiler un truc . Jean de marque , chemise de bucheron de marque sur t-shirt de marque , chaussures de marques ... merci la mafia de papa , grace à toi je peux porter que des fringues de marques . ça me rendait pas franchement fière que de porter des vêtements sublimes à cause , ou grace , aux pratiques plus que douteuses de mon père , mais je le vivais pas trop mal , l'argent pouvait combler beaucoup de vides , c'est juste qu'après tu te sens seul au monde assis sur un monticule de billets vert , t'en as tellement que tu sais plus quoi en faire , mais ça me va , oui ça me va . C'est à dix heures trente trois que j'ai allumé ma première cigarette de la journée . J'avais l'habitude de fumer dans notre chambre . je crois que c'est interdit mais je m'en fous des règles , tout le monde s'en fiche . Cette clope j'ai put la savourer en décidant qu'elles seraient également la dernière de ma journée . je pensais à ce que je pouvais faire de ma journée , faire de ma vie . Je pensais à angie , aux gens de Berkeley et à mes parents , je pensais trop aussi . Cette après midi là j'ai fais une partie de baby-foot avec un étudiant français que j'avais encore jamais vu , j'ai appris qu'il dormait à l'étage en dessous de ma chambre . j'ai gagné notre partie . Après j'ai joué au billard avec une jolie brunette des Epilson . Elle sentait la luxure à des kilomètres à la ronde et je trouvais ça pitoyable, mais en fait elle n'était qu'une pâle copie de ma personne , en plus garce , les cheveux plus longs et une paire de seins refaits comme décoration. Là encore j'ai gagné . Ses faux sein ne m'ont pas déconcentré , en fait j'ai réussit à rester insensible a ses artifices . je m'en félicite . Mais j'en ais vite eut marre des Français . j'avais envie de me reposer . je suis remonté dans ma chambre , affalé sur mon lit et mit en marche ma playlist . ça passait le dernier album de muse , the fray et un peut de sexy sushi . j'avais fait une compilation de plusieurs musiques que j'adorais pour les faire découvrir à Clélia , elle avait adoré . La musique à un certain volume , je rêvais ,les yeux a demi-fermés , et je n'entendais rien , pas même cette pierre qui vint se poser sur ma fenêtre . La douce Ebraene Van Kreuk venait de briser ma fenêtre , et je mit un certain temps avant de réagir . « C'est quoi ce bordel ?» J'ouvrit la fenêtre et vit Ebraene juste en dessous . Elle était jolie, même toute trempée . ça me fit rire de la voir aussi gênée, mais j'espérais qu'elle ne venait pas pour de la drogue car je n'irais pas lui en fournir . je lui fis signe de monter , elle connaissait le chemin désormais , elle n'avait même plus a frapper pour entrer . ma porte lui était grande ouverte .
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MessageSujet: Re: chambre numéro treize — louis-marie et ebraene chambre numéro treize — louis-marie et ebraene EmptyDim 18 Juil - 11:38


Une force de Titan. Voilà de quoi j’avais fait preuve à l’instant même. Etait-ce si difficile à croire ou encore à concéder pour les gens de ce monde ? Mon apparence me faisait défaut. Je n’y pouvais rien. Ainsi, j’apparaissais aux yeux des autres comme l’une de ces femmes périssable, faible ou encore instable. Il m’était impossible de dissimuler cette apparence à moins d’avoir la baguette magique d’Harry Potter à la main mais malencontreusement, je ne l’avais point. Tout aurait été trop facile sinon. Des bras frêles, une frimousse d’adolescente tourmentée, un regard innocent. Ce besoin irréfutable qu’avait les gens, sans me connaitre, à vouloir me protéger jusqu’à la fin des temps ou plutôt jusqu’à la fin de mes jours. Tout portait à croire que j’étais une fille fragile. Malgré moi, au plus profond de mon âme, c’était une évidence, je l’étais. J’avoue, je n’aurais pas aimé l’être. Depuis toute petite, j’ai toujours rêvé d’être invincible. Alors, j’ai fait tout ce qui était en mon pouvoir pour qu’on ne s’aperçoive pas de ma fragilité si tôt. Je me suis forger un sacré caractère. Mon tempérament de feu. Franche, impulsive, lunatique, et avec rien que ça, je me défendais. Je préférais ainsi me protéger seul. En solitaire, si vous préférez. J’étais pour le moins difficile à cerner. La seule chose qui était encore certaine aujourd’hui à mon propos, c’est que j’étais compliqué, trop compliqué peut-être ? De toute manière, rien n’y changerait. C’était bien connu, on ne jugeait que par les apparences. Etonnée et à la fois consternée par l’ampleur qu’avais pris mon simple lancée, je restais planter là sous cette pluie battante espérant le moindre signe ou geste de sa part. Le seul coté positif que je voyais dans mon action, c’est que grâce à ce vacarme, je supposais qu'il ne tarderait pas à faire son apparition. Ainsi, comme je l’avais si bien prévu, il ne lui fallu pas plus de 2 secondes, pour apparaitre devant sa fenêtre. « C’est quoi ce bordel ? » Là, il était fâché. Je ne l’avais encore jamais vu dans un pareil état. Mon regard se dirigea vers le sol. C’était tellement bizarre. Ma réaction m'étonnait moi-même. D’ordinaire, j’étais bien la dernière personne à être gênée pour quoi que se soit mais avec lui étrangement je l’étais. Va savoir pourquoi. Dieu seul le savait au fond. C’est alors que son regard croisa le mien. La fautive était sous ses yeux. Et devinez comment il a réagi ? Il m’a souri. Drôle de façon pour arborer son mécontentement, vous ne trouvez pas ? Je lui rendis un sourire assez gênée et il me fit par la suite un signe de tête. Il ne fallu pas de mot pour comprendre ce signe de tête. Il me donnait sa permission pour monter là-haut. Sans un mot, je me dirigeai vers la porte d’entrée. D’un pas assez rapide, je gravis les escaliers menant au pallier numéro 13, à son pallier. Une fois sur le paillasson, je remarquais une ouverture. La porte était entrouverte. Avant de faire mon apparition, je pris soin d'enlevé mes chaussures et mes chaussettes qui étaient toutes trempées. Mes pieds étaient rosé à cause de la pluie. Je passais ma tête dans l’entre bayement de la porte « Je peux ? » Je n’attendis pas vraiment de réponse pour entrer. Comme si ça allait m’arrêter. A pied nu, j’entrais dans la pièce. Il était de dos et il était en train de ramasser les quelques éclats de verres par terre. Je me mis à l’aider. « Non de.. ! » Mon visage se crispa. A l’instant même, un morceau de verre venait de rentrer dans mon pied droit. Que j’étais stupide ! Pourquoi avais-je enlevé mes chaussures dans un espace où je savais pertinemment qu’il y aurait des éclats de verres parsemé un peu partout. Je commençai à sauter sur un pied et afin de ne pas perdre l'équilibre je me dirigeais vers son lit.
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MessageSujet: Re: chambre numéro treize — louis-marie et ebraene chambre numéro treize — louis-marie et ebraene EmptyVen 13 Aoû - 13:54

chambre numéro treize — louis-marie et ebraene Lou-bra-1c775dc
LOVE LIKE A SUNSET

Ebraene était choue . Elle me faisait souvent penser à une enfant , un peut perdue et peut spure d'elle par moments . J'aimais bien être avec elle , et ses petites imperfections faisaient que je tenais à elle de plus en plus . Elle n'attendit pas que je l'invite à me rejoindre pour passer le pas de ma porte alors que je ramassais les boutes de verre qui jonchaient le sol carrelé . Au fond ça me faisait rire , elle était si maladroite , mais mon visage ne laissait rien transparaitre , j'avais mon air grave des mauvais jour et ce regard persan que peut de gens aimaient affronter . Elle s'approcha de moi , je la sentis arriver . Elle se baissa et tenta de m'aider . Ce fut peine perdu car elle se coupa rapidement , et enchaina sur un « et merde ...» . J'eus envie de rire mais parvint à me contrôler . Je l'entendit marcher à cloche pied jusqu'à .. Mon lit ! Elle s'assit , son pied dans une main et le regard vague . Je pris une tasse vide et y déposa les éclats de verres avant de la rejoindre .« Alors ça c'est malin ! On t'as pas appris que c'était mauvais de frapper à une fenêtre avec un cailloux ? Ce genre de connerie ça marche que dans les films ! C'est juste .. Physique !» Elle ne semblait pas tout saisir , en même temps ce que je disais la plupart du temps n'était pas très cohérent , et je crois qu'elle s'y était habitué . Je pris place à côté d'elle , examina son pied d'un air perplexe puis sauta du lit ..« Il te faudrait une pince à épiler , tu saurais te l'enlever toute seule ? je parle du bout de verre hein ... Moi ça me dégoute un peut .. Non pas que j'ai peur du sang , entendons nous bien sur ce point ! Mais ... les pieds , c'est bizarre tu trouve pas ? » Il y a des fois , comme ça , ou la meilleure chose à faire dans mon cas c'est de me taire , mais je ne le retenais pas souvent . Je pris une pince à épiler dans la trousse de Clélia ... Si elle le sait elle va me tuer ! Je la tendis à Ebraene qui s'en empara pour ensuite tenter de déloger le bout de verre coincé dans sa plante de pied . Elle y parvint sans trop de difficulté , se leva à cloche pied pour jeter le bout de verre avec les autres , posa la pince et retourna sur mon lit . Moi j'étais debout , je ne servais à rien , je ne savais que faire . Je pris une paire de chaussette , et lui envoya . .« Mets ça ! ça évitera la récidive . » Elle enfila alors mes chaussettes de tennis taille 42 qui lui étaient bien trop grandes . Elle avait un visage particulier , comme on en voit pas souvent , et sa présence me faisait du bien . Je pris place sur un gros fauteuil que Clélia avait insisté pour installer . J'avais jusqu'à lors été totalement contre , mais ce soir là il m'était très utile .
Ebraene et moi nous regardions , détournions le regard puis faisions comme si de rien n'était pendant cinq longues minutes . L'ambiance avait un peut été cassée , et nous ne savions plus où nous mettre . Elle était là depuis dix minutes et déjà nous ne savions plus quoi dire ... Je le sentais mal .« alors ... qu'est-ce qui t'ammène ?»

désolé c'est nul , et très en retard , promis je me rattrape! langue.
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MessageSujet: Re: chambre numéro treize — louis-marie et ebraene chambre numéro treize — louis-marie et ebraene EmptyJeu 4 Nov - 21:18

• • • • CORBEILLE
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