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Il n'est jamais trop tard pour guérir de sa phobie. [PV CEC ]

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MessageSujet: Il n'est jamais trop tard pour guérir de sa phobie. [PV CEC ] Il n'est jamais trop tard pour guérir de sa phobie. [PV CEC ] EmptyDim 4 Juil - 15:44

Une belle journée s’annonçait. Kassandra s’était levée de bonne heure comme jamais elle ne l’avait fais. Il fallait dire que sans ses adorables géniteurs, dont elle se passait très bien de leurs présences, la demoiselle se sentait plus libre. Et bizarrement aujourd’hui, elle sentait que quelque chose d’intéressant allait se produire. C’est donc le sourire aux lèvres que la brunette se dirigea vers sa penderie pour en sortir une belle tunique d’un bleu cyan et un pantacourt blanc. Certes des vêtements basiques mais de marque quand même et c’étaient là, la différence avec le commun des mortels. L’étudiante arrangea sa coiffure avant de sortir de sa chambre, refermant délicatement la porte. Certes la villa n’était qu’à elle mais il y avait quand même quelques personnes travaillant ici et il fallait dont qu’elle respecte ces gens qui lui rendait bien des services.

La belle héritière descendit les marches comme une véritable princesse, ce qu’elle était d’une certaine façon. Elle jeta un œil dans les environs. Personne. Mais le déjeuner était prêt. Français, ce coup ci. La cuisinière s’était dépassée. Kassandra prit le temps de manger en savourant chaque bouchée, se sentant légèrement seule. Mais c’était elle qui avait demandée le plus naturellement au monde d’acheter cette villa se situant dans un cadre idéal en Italie. Pays de ses origines. Elle aimait tellement cet endroit que posséder une maison de vacances ici lui paraissait obligatoire. Dés que son futur gouverneur de père lui avait annoncés ça, la seconde fille des Valdennia avait sauté dans le premier hélico et s’était installée dans la demeure.

C’était ici qu’elle allait passer ses vacances d’été ou du moins une partie et espérait qu’on viendrait lui rendre visite. Elle avait envoyée un tas de messages de son blackberry mentionnant l’adresse de cette merveille à tout son répertoire. Pourtant personne n’avait débarqué en Jet Privé ou même en bateau, rien. Tant pis, elle irait voir du coté des italiens, si ils étaient open. Plus open que son entourage. Ce n’était pas bien dur. Découragée, elle soupira et sortit son téléphone de sa poche, tapant des messages au hasard. Après tout si ils n’étaient pas là, c’était peut-être parce qu’ils préféraient attendre la remise des diplômes non ? Aucune idée. Perdue dans ses pensées, la propriétaire des lieux n’entendit pas tout de suite le bruit lointain d’un avion. Ce n’est que quand elle se tourna vers les grandes baies vitrées qu’elle constata que quelque chose grandissait à vue d’œil. Un jet privé ? Mais qui cela pouvait il bien être ?

D’un coup, elle ouvrit brusquement la porte-fenêtre, réveillant peut-être au passage quelques personnes mais qu’importe. Elle allait peut-être enfin s’amuser et ce n’était pas de simples domestiques, bien contentes d’être payés, qui allaient l’en empêcher. Ses cheveux volèrent au vent pendant que ses yeux suivaient l’engin du regard tandis que ce dernier, ne tarda pas à se poser. De nature curieuse, la belle se précipita vers la piste d’atterrissage et ouvrit de grands yeux quand elle reconnut la personne qui descendait d’une démarche parfaite sur le sol. Charles-Edouard Castello… Un français qu’elle avait rencontrée lors de son séjour à cet institut privé ultra select dont son père lui avait ordonné de poursuivre sa scolarité là bas. Trois ans… empli de rencontres très intéressantes. De plus, son amour pour la France s’était accru et elle dû faire preuve d’un grand sang-froid pour ne pas craquer car, sur le coup, elle n’avait qu’une envie… c’était RESTER !

Bref, ses beaux yeux bleus se posèrent sur le garçon qui venait d’apparaître, son partenaire du jeu « Cap ou pas Cap » et immédiatement, elle se creusa les méninges pour savoir qu’est ce qu’il lui réservait. Elle accrocha un sourire énigmatique sur son visage et s’approcha de son ami qu’elle embrassa sur la joue avant de monter dans le véhicule sous les yeux de ce dernier. Ce ne fut que quand elle fut assise et qu’il la rejoigna qu’elle se permis d’ouvrir la bouche.

« Je ne m’attendais pas à te voir débarquer en jet privé. C’est si plaisant de savoir que tu prennes le temps de te déplacer pour ma petite personne. Visiblement, mon message n’est pas que tombée sur des sourds ou plutôt des aveugles. Mais je ne peux m’empêcher de… me demander qu’est ce que tu prépares ce coup ci ? Quelque chose de sensationnel ? Ignores tu que j’ai peur du vide ? »

Kassandra plongea son regard dans celui de son vis-à-vis, cherchant à déceler on ne sait quoi. C’est toujours pratique d’être perspicace mais rien. Enfin, on verra où ça nous mènera. La chose de sure… c’est que la journée n’allait pas être banale…
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MessageSujet: Re: Il n'est jamais trop tard pour guérir de sa phobie. [PV CEC ] Il n'est jamais trop tard pour guérir de sa phobie. [PV CEC ] EmptyLun 5 Juil - 19:30

    Le bal de Promo' était terminé, les vacances commençait officiellement et l'année prochaine je serais encore à BCU. Les préparatifs pour mes vacances étaient fait, mais il fallait que je m'amuse avant que l'on parte officiellement tous dans mon île. Mais pour l'instant, je devais faire le plein de toute émotions et aussi vider l'adrénaline que je ne pouvais utiliser quand je le voulais, toute cette excitation, toute cette anxiété que j'avais accumulé, a présent, je devais tout vider dans une aventure qu'une seule personne pouvait me proposer et ferait avec moi, j'en étais sûr. Du moins, pour l'instant je ne savais rie, et je n'attendais rien, j'étais dans mon lit chez les Hildebrand, et j'attendais de me réveiller, mais bon, il était 5h du matin et je ne m'étais pas encore levé, du moins, je ne dormais pas beaucoup ces temps-ci, la faute a qui ? A moi, je me surmenais trop et donc je pensais à trop de choses et donc je ne pouvais pas avoir l'esprit tranquille, mais quelques heures de sommeil me suffisait pour me remettre d'aplomb. J'étais un Corse ne l'oubliait pas, et un Corse, ça fait des siestes quand ça en a besoin ! Et si j'en avais besoin, j'en prendrais une, mais pour l'instant je me réveillais au son de mon portable qui vibrait et me faisait savoir que j'avais reçu un message, quel idée de l'avoir mis si près de moi. Je le pris donc, a moitié réveillé et regardait qui m'envoyait un message si tôt. Je souris en voyant le messager de Kassie', me dire qu'elle était en Italie, pays avoisinant la Corse, je souris et me levait directement, je n'y répondais pas. Je savais ou elle habitait, m'ayant déjà fait visiter, maintenant j'appelais mon jet privé et lui dit de chauffer les moteurs et de m'envoyer une voiture qui allait venir me chercher chez les Hildebrand. Je pris rapidement une douche et me mit une chemise sur le dos ainsi qu'un jean qui allait avec, il ne faisait pas chaud ici a 5h du matin. La voiture étant là, je descendis et y monta, attendant qu'elle arrive a l'aéroport ou la je pris mon jet privé et en profitait pour dormir un peu dedans avant d'arriver en Italie, et plus précisément sur la piste d'atterrissage de la demoiselle. J'espérais lui faire une surprise et normalement j'arrivais en début d'après-midi. Réfléchissant en même temps à une chose que je devais lui faire, on joue au jeu de Cap ou pas Cap ou quoi ! Bien sûr, toujours entre nous. J'appelais un deuxième chauffeur mais de Corse cette fois, lui disant d'être chez elle plus en me^me temps que moi.

    Quelques heures plus tard je voyais le sol italien sous moi et surtout, la villa de la demoiselle, gout exquis. J'étais fait pour être un Epsilon et j'espérais l'être a la rentrée prochaine, mais qui sait, j'avais fait part de mes choix à l'administration et seul eux leur permettait de choisir ce qui me conviendrait parfaitement. Pour l'instant je me mis en place, me réveillant doucement et alla me réveiller avec de l'eau sur le visage, regardant si j'étais parfait, déboutonnant deux boutons du haut de ma chemise et je sortis enfin lorsque nous avions atterris. Je souris en la voyant déjà arrivé vers moi et je la pris dans mes bras tout en lui faisant la bise aussi. Par contre elle pensait qu'on allait re-décoller pour un pari, raté. Mauvais avion du moins. Je lui fis signe de descendre et de me rejoindre et je laissais mon jet décollé pour repartir en France et m'y attendre là-bas. Je la regardais dans les yeux et j'étais tiraillé entre l'envie de tout lui sortir maintenant ou pas, oh et puis ça serait une surprise. Je la regardais dans les yeux et lui fit un sourire mystérieux lui laissant un curiosité en tête, j'aimais éveillé la curiosité des gens, que ce soit en bien ou en mal. Un deuxième avion arriva et atterrit sur la même piste d'atterrissage une dizaines de minutes plus tard et je lui souris, ça allait être fun. Une fois cette avion atterrit,j'y montais devant, lui prenant la main et l'entrainant avec moi, lui était plus libre, moins chargé que le jet est fait pour faire des sensations fortes, et je répondais enfin a l'interrogation qu'elle m'avait demandé. Oui, elle allait avoir peur, et elle pouvait compter sur moi, donc elle n'avait plus trop peur, c'était une chose que j'avais toujours eu envie de faire, mais pas seule, voilà l'occasion rêver de sauter en parachute avec moi.

    " Cap ou pas Cap de sauter en parachute avec moi ma jolie ? Ne t'inquiète pas, je serais là ! - Dis-je pour la rassurer - Alors, ça va sinon ? Je suis heureux que tu le sois, tu m'avais manqué on n'a pas eu trop le temps de ce voir ces derniers temps avec le bal et les exams et tout ça quoi .. "

    Une vie d'étudiant tout à fait normal, avec ses jours tranquilles et ses jours sans tranquillité.
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MessageSujet: Re: Il n'est jamais trop tard pour guérir de sa phobie. [PV CEC ] Il n'est jamais trop tard pour guérir de sa phobie. [PV CEC ] EmptyMar 6 Juil - 19:15

La jeune femme se sentit un peu stupide sur le coup quand elle vit le corse lui faire signe de redescendre du jet privé. Voilà où menait la précipitation. Evidemment entre temps, il n’avait toujours pas répondu à sa question et cela dérangeait quelque peu la brunette. Et ses regards mystérieux n’arrangeaient pas son état. Son esprit échafaudait tout un tas d’hypothèse. Des plus probables au plus loufoques. Qu’avait il prévu ? Avec CEC et surtout dans un jeu tel que le « Cap ou pas Cap » il fallait s’attendre à tout. Complètement perdue dans ses divagations et surtout dans son obsession à deviner ce que lui cacher le beau brun, la demoiselle ne vit pas tout de suite que le français l’avais emmené prés d’un autre avion. Ce n’est que quand il prit sa main qu’elle daigna lever la tête pour monter dans l’appareil de malheur. Car oui, même si elle n’avait jamais détesté les avions, bien au contraire. A ce moment précis, elle le considérait de cette manière étant donnée qu’elle était sure que ce véhicule allait la conduire on ne sait ou pour on ne sait quel défi.

Ne voulant rien montrer, Kassandra accrocha un joli sourire à son visage et prit place prés du propriétaire de l’avion. Un peu vide, d’ailleurs… Pourquoi était il si vide ? Soudain, la belle se sentit vraiment très mal. Il était au courant qu’elle avait peur pourtant. Le vide et elle… c’était une véritable phobie. Elle ne supportait pas la hauteur. Depuis toute petite… Peut-être était ce dû à la mort accidentel de son petit frère ? Allez savoir. Toujours est il qu’elle en faisait une maladie. La jeune femme commença à prendre un objet dans les mains afin d’évacuer le stress montant en elle. Soudain, elle bloqua son geste. Croyant avoir mal entendu et tendit l’oreille. Non, non… son ami venait de lui demander si elle était cap de… sauter en parachute ? Mais il était tombé sur la tête. L’Epsilon tourna de grands yeux vers lui. Avant d’essayer de contrôler ces tremblements. C’était une blague… une belle blague. Mais c’était une mise au défi. Il fallait qu’elle accepte…. Autrement… C’était le jeu, non ?

« Pourquoi tu me mets au défi de ça ? Tu sais bien que je suis phobique à un degré très élevé du vide… Pourquoi tu me fais ça ? »

La demoiselle s’éloigna de son ami, préférant s’isoler et se préparer psychologiquement. Bien sur, elle savait qu’il fallait qu’elle combatte cette peur mais delà à faire un saut en parachute, il y avait d’autres moyens plus adéquates, non ? Elle secoua la tête avant de l’enfouir dans ses genoux. Que faire ? Elle se rendit bien vite compte qu’elle avait laissée des réponses en suspend. La brunette se leva et rejoignit de nouveau l’Omicron. Le fixant intensément de ses beaux yeux bleus. Qu’est ce qu’elle aimait ses yeux… si envoûtant, si troublant.

« Désolé pour cette réaction bizarre. C’est juste la surprise mais maintenant ça va mieux. J’ai toujours su qu’un jour il fallait que je guérisse de ma phobie mais c’est tellement lié à mon petit frère que cette proposition a éveillée de difficiles souvenirs. Je sais que tu n’as pas voulu me faire souffrir. C’est juste un défi mais voilà. Ce défi va me demander énormément de choses… de courage, et d’autres trucs. Mais si tu es là… Je te fais confiance. Tu as toute ma confiance et j’espère que je ne vais pas le regretter. »

Jamais elle n’avait parler de son petit frère à quiconque. Enfin pas comme ça. Pas lié à sa phobie. C’était tellement douloureux qu’elle préférait prétendre que c’était du à autre chose. Mais la vérité était tout autre. Bref, la belle se ressaisit. Il fallait qu’elle profite de ce moment car comme il l’avait dis… Kass n’avait pas vraiment eu le loisir de voir le futur Epsilon… ces temps ci. Et qui sait, si cet été, elle aurait l’occasion de le voir. Tous les étudiants avaient un programme vacances bien étudiées donc… Vraiment dommage.

Le silence s’empara de l’avion. Bientôt l’étudiante en politique se senti tout de suite oppressée et n’eut pas d’autre choix que de briser ce silence avant qu’il ne devienne trop pesant. C’était toujours comme ça après une révélation sur un sujet difficile, non ? Elle espérait seulement que CEC ne sois pas trop dérangé par tout ceci. Après tout, en quelque sorte, il était responsable de l’état de la belle Epsilon.

« Sinon, oui ça va. Contente d’avoir enfin fini une autre année à Berkeley, toujours aussi riche en évènements. Sinon, les amours… c’est le fleuve tranquille depuis ma dernière grande histoire. Bon évidemment, y’a eu quelques trucs par ci, par là mais rien de super intéressant, ni digne de paraître dans ma future autobiographie… qu’il faut que je me décidé à écrire. Enfin, ça ne me dérange pas vraiment mais bon… Sinon, dis moi, c’est quoi ta plus grande phobie à toi, si t’en as une ? Après tout, ce serait logique que si moi je combats ma peur… tu le fasses aussi, non ? »

Kassandra regarda le garçon en biais alors qu’un sourire charmeur et énigmatique se dessinait sur son visage. Cap ou pas cap ?

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MessageSujet: Re: Il n'est jamais trop tard pour guérir de sa phobie. [PV CEC ] Il n'est jamais trop tard pour guérir de sa phobie. [PV CEC ] EmptyJeu 8 Juil - 12:35

    Une peur ? Moi peur ? C'était des autres peurs dont j'avais peur, je n'avais pas de phobie a proprement parler, j'avais juste peur de faire confiance aux gens et d'en souffrir. Et surtout, peur d'avoir l'ombre de mon père dans mon dos, je ne voulais pas lui ressembler même si j'y étais plus proche que je ne le pensais après ce que j'avais failli faire a Aurlanne, mais je m'étais rattrapé, mais je ne m'étais toujours pas excusé et j'aurais toujours ces remords. Mais c'était quelque chose que je ne faisais pas souvent, je m'étais excusé auprès d'Heavynne lorsque je m'étais moqué de ses problèmes qui la rongeait encore et toujours aujourd'hui même. Je me devais de changer un moment ou un autre, de m'ouvrir aux autres et de vivre pleinement ma vie, j'avais trop de regrets et trop de remords pour vivre une vie douce et paisible. Mais mon caractère même ne me laissait pas le choix, j'étais ainsi, jamais je n'aurais la tranquillité car jamais je ne la laisserais s'installer entre moi et tout le reste qui me tenait a cœur, comme mes ami(e)s & moi. C'est comme dans une relation amoureuse comme le disent souvent les philosophes, il faut entretenir la passion et ne pas la laisser faner, la vie était tel ainsi, une fleur en infini épanouissement. Moi je me devais de m'ouvrir tout seul avant tout cela, mais ce n'était pas une chose mince à faire, j'étais tout a fait normal avec les gens que je connaissais, mais les gens dont je pensais le caractère ou la personnalité farfelue avait toujours de la méfiance, je me méfiais même de mes ami(e)s alors autant dire que ce n'est pas facile de m'avoir comme ami. Ce que je ne me doutais pas, c'était de mal connaître ma douce amie Kassie', je savais qu'elle avait peur mais je ne savais pas que c'était à ce point et je connaissais pas la tragédie de tout cela qui se cachait derrière cette phobie. Je me devais d'être compréhensif, mais pouvais-je l'être ? Je ne le savais pas et je ferais sans doute un effort, je me devais de faire un effort, pour elle, je n'étais pas si méchant, si ? Oui, je pouvais faire un effort pour elle, j'en avais le cœur pour, je devais m'ouvrir à elle au moins, il fallait que je profite de cet instant, elle avait son cœur totalement ouvert à moi, et de plus elle disait des mots comme ' confiance ' qui me faisait peur, qui n'était pas pour moi, mais je devais de faire de même, elle avait confiance en moi et elle ne devait pas avoir peur, j'étais là. Mais encore fallait-il que je lui prouve, et c'était bien cela qui était un peu plus dur, je n'étais pas doué dans ce domaine, mais je me devais de faire un effort, j'avais vu ces tremblements, et cette phobie était justifié. Doucement je m'approchais d'elle et la pris dans mes bras, posant ma main dans sa nuque, caressant doucement ces cheveux, et murmurant presque à son oreille; je voulais la réconforter et me faire pardonner, j'étais fils unique et je ne pouvais comprendre sa douleur d'avoir perdu un frère, mais je pouvais comprendre la douleur de perdre un être cher. Je me devais de prendre la parole.

    " Je suis désolé. Je ne voulais pas te faire souffrir comme tu l'as dit, et tu n'as même pas eu besoin de moi pour être calmer. Merci de me confier ta confiance, c'est rare que l'on me dise ça, on me prend trop souvent pour un connard, mais je fais avec. Je tâcherais de prendre soin de la confiance que tu m'apportes. Ne t'inquiètes pas .. tout va bien ce passer. Je suis là.. après tout. "

    Finissais-je par dire, toujours humble il fallait être, modeste je l'étais toujours. Je relâchais l'étreinte et je regardais au-dehors rapidement, nous montions encre et encore tandis que je la fis s'asseoir, un saut en parachute, il fallait s'équiper pour. Et j'y allais, elle me regardait tandis que j'enfilais la combinaison, je lui en lançais une, et je souris lorsqu'elle me demandait ma phobie. Je n'en avais pas, je ne répondis cependant pas tout de suite alors que j'avais fini d'enfiler ma combinaison, mis le parachute sur mon dos, bien plus lourd que pour une personne, car cette fois on y allait a deux, et le poids étaient plus important, nous étions d'ailleurs bientôt arrivés, mais cela je ne lui disais pas. Nous étions juste au-dessus de la villa de la jeune femme mais cela aussi elle ne le savait pas, elle ne le saurait qu'a l'arrivé. Je lui fis signe de se coller à moi lorsqu'elle eut enfiler sa propre combinaison et je nous attachais, l'un collés à l'autre, ça promettait tout cela. J'étais dos à elle et je me permis de poser mon cou sur son épaule et ma main sur son ventre. Elle tremblait, elle avait peur. Doucement je lui faisais avancer vers la portière que le co-pilote avait ouvert pour nous. Je lui souriais mais elle ne pouvait pas le voir, je susurrer donc ces mots alors que je la fis tourner de sorte que nous soyons de dos a tomber dans le vide.

    " Ferme les yeux, et respire. Mets ces lunettes sur ton nez, au cas ou des projectiles viendrait. Je sais que ça fait peur et je suis encore désolé, mais ne t'inquiète pas, je suis là. Ma phobie .. ? C'est de ne pas vivre à fond ma vie et avec le moins de regrets possibles. "

    Je lui souris alors que doucement nous sautions. Le vide, j'amorçais un léger mouvement de mon bras droit qui nous mis à l'endroit, et nous pouvions admirer la vie. Mes bras ballant de chaque côté, jambe écartés, nous allions doucement sans pour autant être lent. Le sol était encore bien loin et nous avions le temps de voir les nuages, sentir l'humidité sur nos visages avant que nous passions en-dehors de ceci pour voir en tout petit les villages, ilots, la terre quoi, mais nous en étions encore loin. Je rangeais mon bras droit une fois que j'avais repéré la villa de Kassie, de sorte que nous virions à droite. Je criais, j'adorais cette sensation, sensation forte, l'adrénaline affluait et je lui disais de décompresser à elle aussi. Nous arrivions presque a une hauteur raisonnable alors que j'activais le parachute. D'un coup nous ralentissions grandement, nous étions en suspension dans les airs, nous volions presque, juste retenu par une toile alors que je guider le parachute vers sa maison, qui j'espérais, avait remarquer que nous la survolions.

    " Alors, tu vas bieeeeeeeeen ? "
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MessageSujet: Re: Il n'est jamais trop tard pour guérir de sa phobie. [PV CEC ] Il n'est jamais trop tard pour guérir de sa phobie. [PV CEC ] EmptyLun 12 Juil - 11:04

Spoiler:


Kassandra ne comprit pas tout de suite ce qui se passait. Elle était encore au moment où CEC, au prix d’un effort considérable, faisait ses excuses. Ne pensant pas à mal. Logique, personne ne savait ce qui se cachait derrière cette phobie bénigne si l’on peut dire. Bref, là n’était pas la question. Car en quelques minutes, elle se retrouva en combinaison. Son cerveau se déconnecta de la réalité. Elle allait de voir le faire. Devoir sauter ? Non… Pas possible. Elle se retrouva attacher par un fichu parachute qui allait l’envoyer six pieds sous terre, c’était obligée. D’ailleurs, elle ne put s’empêcher d’ouvrir la bouche.

« Je te préviens, Charles. Si on s’écrase en bas par ta faute, je te hanterais jusqu’à la fin de ta vie si tu y survis ! »

Fermer les yeux ? Comment voulait il qu’elle ferme les yeux alors que dans quelques secondes, elle allait se retrouver dans le vide à faire confiance à une sorte de cerf volant géant ? Il était fou. Timbré. Complètement malade. Il avait perdu la tête. Et maintenant, il lui proposait des lunettes. Parce qu’en plus de la probabilité qu’ils s’écrasent en bas, ils devaient jouer aussi les cibles mouvantes d’objets non identifiés volant ? Mais c’est magnifique. Fabuleux même ! Son baptême de l’air promettait. Enfin, la demoiselle s’accrocha bien. Vérifiant quelques petits détails. Prête psychologique ? Si l’on veut. Maintenant, elle ne pouvait plus reculer. Les tremblements oscillant entre colère et peur s’arrêtèrent. Bientôt, l’Epsilon ne sentit plus rien sous ses pieds. Etait ça qu’on ressentait quand on était libre ?

« Wouah ! C’est trop beau ! Les vues aériennes ! A l’origine, l’Italie est un joli pays mais là… c’est encore plus beau ! J’adore et oui, ça va. Même si j’avoue que j’ai légèrement peur qu’on se retrouve aplati comme des crêpes… Pour l’instant, je profite de la vue ! »

Non ce n’était pas pour faire plaisir au corse qu’elle disait ça. Bizarrement ses appréhensions avaient volés en éclat quand elle se retrouva dans les airs. Bien sur, sa phobie était encore présente même dans un degré moindre. Tant qu’elle ne regardait pas trop en bas, ça allait. Soudain, la belle tourna la tête lentement vers le coté et vit au loin sa superbe maison. Ainsi que des points paraissant bouger. Un sourire naquit sur son visage. A tous les coups, les domestiques devaient être complètement affolés. L’héritière avait disparue. Alors qu’au fait, elle était juste au dessus d’eux. Kassandra ressentit un plaisir sadique à cette hypothèse. Après tout, leurs travails étaient en jeu si la miss disparaissait de la planète. Elle était sur que Victoria et Anton Valdennia ne laisserait pas cette bévue se reproduire et irait jusqu’à licencier ses pauvres gens pour en trouver d’autres, plus compétent.

« On pourrait redescendre ? Je suis entraîne de penser que les domestiques doivent être complètement affolés comme je ne suis pas dans la maison et que j’ai omis de laisser un petit mot. Je les avais complètement oubliée. Pas de ma faute. Mais si je disparais trop longtemps et que mon père vint à le savoir… ils devront trouver un autre travail et ça m’ennuie grandement. En plus, je mettrai mon très cher géniteur dans une position fâcheuse… tu te rends compte ? Il sera obligé d’admettre qu’il s’inquiète pour moi… Horrible. »

Sarcastique ? Non. Juste réaliste. Les relations entre elle et son père avaient toujours été tendues. Sa tendance à la surprotéger l’agaçait grandement et pour se venger, elle n’arrêtait pas de le mettre dans des situations embarrassantes. C’était un fait. Elle aimait être au centre des attentions. Plus l’action était grande, plus elle avait de chance d’être relayait dans tous les journaux. Et ça, c’était le plus important. Elle était prête à tout pour faire payer à ses parents et en particulier son père, ces excès de surveillance. Avec lui, elle ne se sentait pas libre. Prisonnière d’un destin qu’elle ne pouvait choisir mais qu’elle ferait tout pour changer. Personne n’a de limite. Surtout pas l’Epsilon.

L’héritière resserra un peu plus sa prise sur le « conducteur » voyant le sol se rapprochait d’eux et ferma un instant les yeux. Qui sait ? On est jamais loin du crash comme elle l’avait prédis. Et passée de portée disparue à décédée… il y avait plus classe comme fin, non ?
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MessageSujet: Re: Il n'est jamais trop tard pour guérir de sa phobie. [PV CEC ] Il n'est jamais trop tard pour guérir de sa phobie. [PV CEC ] EmptyLun 12 Juil - 19:54

    C'est vrai que je ne m'étais pas attendu a ce qu'elle ai une phobie comme celle-là, j'avais quand même un peu beaucoup exagéré mais pour moi, l'adrénaline ce n'était que dans les sensations fortes et dans une bonne bagarre, alors il fallait tout mettre en place pour. Je ne savais pas trop quoi faire, mais en tout cas la surprise était surement de taille pour elle, nous avions dégringolé a une folle vitesse des pieds que nous avions sauté dans le vide. Maintenant nous survolions le Pays, du moins sa superficie. Nous regardions les villas et les enfants qui couraient, les oiseaux n'étaient pas encore a notre hauteur car nous arrivions à la leur. Nous parlions et je l'écoutais, je savais qu'elle avait peur, je sentais les tremblements de son corps contre le mien, le corps d'une fille comme elle, c'était tentant, mais je n'étais pas dans un attirail de beau gosse, dès que je l'enlèverais tout cela je serais d'attaque si elle l'était toujours, elle. Je ne l'écoutais qu'a moitié, comme elle disait, je profitais de la vue, je fermais les yeux alors que j'étais censé diriger le parachute pour atterrir tranquillement, je me laissais aller, cela rajouterait du défi, et puis pour l'instant nous étions trop haut et rien ne pouvais nous foncer dedans, a part des oiseaux et là ça serait la chute assuré. Je souris lorsque je compris qu'elle voulait redescendre, c'est vrai que nous avions informé personne de notre escapade mais nous allions régler ça rapidement, on allait plus vite en parachute qu'en voiture à sa villa, mais les deux réunis c'était encore mieux, je pouvais vous l'assurer. Je rouvrais les yeux et regarder le paysage avant de tirer sur la lanière de droite pour virer a droite, puis a gauche et de nouveau a droite pour descendre plus vite, j'appuyais sur les deux pour nous faire remonter quelque peu alors que nous commencions a entrer sur la terrasse de la grande villa de la demoiselle. Je ne disais mot, je riais même. J'appuyais dessus alors que nos pieds frôlaient l'herbe avant d'atterrir sur le sol, moi plus grand qu'elle avait atterri en premier et je courais pour pas qu'elle se fasse mal et je supportais son poids léger contre moi avant de me stopper net, laissant le parachute nous couvrir et ces domestiques nous rejoindre. Je souriais et nous défit de ce qui nous attachais tandis que nous restions quand mêmes liais, sous le parachute, j'entendais des pas au dehors, ils allaient surement nous débarrasser du parachute et j'en profitais pour voir la proximité qui nous liait, murmurais-je donc.

    " J'espère que tu ne m'en veux pas trop et je suis content que tu es adoré, tu n'as plus trop peur maintenant j'espère. En tout cas .. - dis-je en risquant un œil sur les ombres qui se rapprochait, rapprochant ma bouche de la sienne - .. j'ai envie de t'embrasser mais .. - Suspens ! - C'est à toi de me lancer un défi .. . "

    Voilà comment mettre quelqu'un mal à l'aise, c'était bon, mais surtout tentant. Le parachute nous fut enlever et je reculais doucement d'elle, lui souriant. J'en profitais pour enlever ma combinaison et attendre qu'elle fasse de même, j'espérais ne pas l'avoir trop secouer avec cette finition qui était digne de moi, quel charmeur j'étais !
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MessageSujet: Re: Il n'est jamais trop tard pour guérir de sa phobie. [PV CEC ] Il n'est jamais trop tard pour guérir de sa phobie. [PV CEC ] EmptyDim 1 Aoû - 17:26

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Il n'est jamais trop tard pour guérir de sa phobie. [PV CEC ]

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