the great escape
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Quand il le faut ; il le faut [..] Kirsten <3

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MessageSujet: Quand il le faut ; il le faut [..] Kirsten <3 Quand il le faut ; il le faut [..] Kirsten <3 EmptyVen 16 Juil - 12:54

    Le départ des vacances se faisaient bientôt, car mes vacances ne débutait pas encore maintenant, elle débutait en Corse, loin de tout ça, mais avant je devais faire autre chose. Oui, j’avais changé de confrérie vu que je devais rester ici pour poursuivre mes études. Maintenant j’étais chez les Gamma et vu que j’avais pris la majeure partie de mes affaires pour aller dans la maison que j’avais achetée je me devais de trouver des colocataires. Et j’avais trouvé une ravissante jeune fille du nom de Kirsten, que je surnommais Kiki et qui était absolument magnifique. Je lui avais donné rendez-vous dans la résidence des Gamma avant de repartir avec ces cartons & les miens a notre futur maison. C’était la première fois que j’allais avoir un réel chez moi, payer par mes propre sous et il m’en restait encore, j’étais riche, mais a priori pas aussi riche que ces Epsilon, mais je m’en fichais, la plupart que je connaissais je les méprisais ou, eux, me méprisait. Je ne semblais pas être satisfaisant pour faire partie des Epsilon aux yeux de l’administration, mais j’avais enfin ma confrérie qui me correspondait enfin. J’étais fiché ici mais au fond je m’en fichais, elle me correspondait et je pourrais connaître de nouvelles personnes ici qui pourrait remplacer celle que j’ai perdue. J’en étais sûr, pour l’instant. J’étais arrivé devant la résidence des Gamma, mes bagages étaient dans la voiture que j’avais louée pour la peine. Je l’avais garé devant la résidence, attendant à présent Kirsten alors que je réfléchissais encore et toujours, les vacances n’étaient pas encore là pour tout le monde, malheureusement. J’entrais donc dans la résidence, je devais attendre Kirsten, nous avions rendez-vous ici, elle et ses cartons, et moi j’avais quelques affaires à prendre. Heureusement que je pouvais compter sur elle, au moins elle ne me laissait pas tomber. Je savais que ça allait être spéciale entre elle & moi quand nous vivrons ensemble, en tant que colocataires, elle était loin de me déplaire, au contraire et c’était justement ça qui pourrait nous rapprocher. J’étais dans la résidence et je l’attendais, je me devais de l’aider avec ces cartons et tout le reste qu’elle avait du amené ici, mais pour l’instant elle était en retard. J’entendis à cet instant des bruits au-dehors, quelqu’un y faisait des choses. Et c’est la que je vis Kirsten arrivait avec ces cartons, et bien sûr accompagné de quelques volontaires aux masculins, je leur jetai un regard noir puis l’aida.

    « Coucou toi – dis-je en lui faisant une bise spéciale au coin des lèvres – Tu aurais du m’appeler je serais venu t’aidé ! Sinon tu as bien dormi ? Tu es prête pour la nouvelle vie qui nous attends.. ? »

    Dit ainsi, on aurait pu croire que l’on était un couple et qu’on allait vivre ensemble, ça aurait pu l’être, mais je n’étais peut-être pas prêt à ça. J’attendais sans doute quelque chose, mais quoi je ne savais pas. Je posais les cartons au fur et à mesure qu’ils arrivaient, je ne savais pas qu’une fille avait autant d’affaires, y avait-il une limite ? Heureusement que j’avais pris un pick-up au cas où il y aurait trop d’affaires. Et bien sûr en bougeant tout ces cartons de différent poids, je me fis mal au dos, mais fier comme je l’étais je ne disais rien, laissant juste mes grimaces de douleur apparaître, par moment.
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MessageSujet: Re: Quand il le faut ; il le faut [..] Kirsten <3 Quand il le faut ; il le faut [..] Kirsten <3 EmptyVen 16 Juil - 17:24

    Le jour J était arrivé bien plus vite que je ne le pensais. Je savais que je partais vivre dans une grande maison avec Charles, mais aussi tôt? Je dois dire que mon appartement commençait à devenir ennuyeux et qu’il ne me servait pas à grand-chose, il était trop petit, commençait à sentir le moisit et le propriétaire était un enfoiré de première qui s’amusait à me faire payer le double du loyer parce que j’avais les poches pleines d’argent. Ce n’est pas ma faute si je suis de la famille royale… M’enfin, je me foutais un peu de lui et l’offre que Charles me faisait me plaisait amplement. Le fait que je ne sois plus dans aucune confrérie universitaire, m’empêchais de vivre sur le campus, avec les gens que j’appréciais… C’était surement ça qui me manquait le plus dans l’université. Les fêtes, les sorties, les beaux garçons… Quoique maintenant, j’allais vivre 24h/24h avec un… J’étais comblée! Je n’avais pas encore vue à quoi ressemblais notre future demeure, loin de là, je n’osais pas imaginée à quoi qu’elle ressemblerait… Bref, j’avais fait comme à mon habitude, pourquoi faire sois même des trucs que d’autres peuvent faire? J’avais donc eu la brillante idée d’appeler des déménageurs professionnels… Je n’avais rien à faire, ils feraient mes cartons et déplaceraient tout, la seule chose que je devais faire, c’était payer la pizza et la bière, ainsi que le service! Évidement, je leur donnerais un bon pourboire, comme à mon habitude. Je les attendais et une fois qu’ils furent arrivé, je leur donnais quelques indications avant de partir chercher de la bière et de revenir rapidement. Contrairement à mon habitude, je ne portais rien de spécial. Un jeans, une camisole et une bonne paire de ballerine, rien de mieux pour un déménagement. L’heure avançait et c’était assez frappant, l’appartement dans lequel j’avais vécue un an était presque vide… Les meubles étaient dans le camion et il restait que quelques cartons. J’eu à ce moment une espèce de sentiment de nostalgie. Je ne pris pas trop de temps à regarder ce tas de poussière… Pour moi, c’était juste un souvenir, point barre… Je sortis de l’appart en laissant la clef sur le comptoir puis je partis vers ma voiture avant de prendre la direction de la maison des GAMMA, où je déchargerais le camion pour tout recharger dans un autre… Mais au nombre de cartons et de meubles que j’ai… Je ne crois pas que ça va tout rentrer dans un seul et unique camion.

    La chaleur était étouffante à l’extérieur, mon jeans me collait contre la peau et j’avais chaud, je pris donc un mini-short dans une valise puis je me changea dans ma voiture avant d’y ouvrir le toit ouvrant. Le camion, ainsi que mes volontaires, allaient me suivre, direction la demeure actuelle de CEC. Ça prit tout au plus, 30 minutes pour me rendre chez lui. Une fois arrivée, je sortis de ma voiture et ce fut avec une immense joie que je serra mon ami dans mes bras.

    « Désolée pour le retard mon ange, j’ai eu… quelques problèmes de gros bras… Sinon, oui, J’ai bien dormit et je suis plus que prête à notre nouvelle vie! »

    J’étais emballée et sa bise sur le coin des lèvres me donna un frisson, léger mais agréable. Charles-Edouard avait toujours eu le don de m’arracher des sensations agréables… Je lui pris la main, donna quelques indications aux déménageurs puis je vis, à contre-cœur, Charles commencer à prendre quelques cartons…

    « Laisse ça chéri, ils sont payés pour le faire, d’ailleurs ils vont prendre tes cartons aussi! »

    De plus, je remarqua bien vite ses petites grimaces de douleur, ce qui me fit légèrement sourire. C’est vrai que je n’avais jamais réellement soulevé un carton, mais bon… Je pris le carton qu’il avait dans les mains, le donna à un déménageur et entraina mon futur colocataire à l’intérieur de la demeure des Gamma et je l’entraina vers sa chambre.

    « Allons nous reposer un peu… Avant de tout défaire les cartons… »

    Je lui souris puis ferma la porte derrière nous.
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MessageSujet: Re: Quand il le faut ; il le faut [..] Kirsten <3 Quand il le faut ; il le faut [..] Kirsten <3 EmptyLun 19 Juil - 2:21

    Moi qui voulais me rendre utilise, c’était raté et ma fierté en prenait un coup, mais peut-être que l’élan de courage que j’avais eu avait été retenu par la demoiselle et elle allait me sauver de cette tâche. Je sentis sa main dans a mienne et je me retournais alors qu’elle me proposait de tout laisser tomber, que les déménageurs, eux, s’en occuperont. Je restais silencieux, j’avais ma fierté et même si j’avais continué mon mouvement, je sentais une brûlure dans le bas du dos qui semblait tirer sur mes muscles, j’avais surement fait un mauvais mouvement, mais maintenant elle était là, et la possessivité que j’avais sur ma nouvelle colocataire promettait aventures folles et chaudes en émotions. Je restais silencieux, attendant qu’elle décide de m’enlever ce que j’avais dans les bras, et elle ne tarda pas a le faire, entreprenant comme elle était, elle me charmait sans le savoir et j’en tombais totalement dessus. Elle me prit mon carton et je ne pouvais rien faire, elle reprit ma main et je fus tirer avec elle tandis que les déménageurs semblaient avoir chaud, et mourir de jalousie, je leur fis un grand sourire alors que nous entrions tout deux dans la résidence des Gamma. Elle était vide, carrément. Tout le monde semblait partis en vacances et personne ne restait dans les résidences, c’était normale. Ma main dans la sienne, nous nous dirigions vers ma chambre, une fois dedans elle me lâcha la main et je regardais ma chambre, elle était propre et vide. Elle servirait a quelqu’un l’année prochaine tandis que moi a présent j’étais en vacances avec ma colocataire avec qui je vivrais nos études. Kirsten me plaisait beaucoup, notre jeu pouvait ne pas l’être et c’était ça qui en faisait la magie, on pouvait paraître comme un couple mais d’un autre nous savions que l’on pouvait l’être, du moins pour moi je pensais qu’il fallait des sentiments pour se mettre en couple, pour elle, je savais que je pourrais en avoir, même que j’en avais déjà, mais qui n’était pas encore évoluer, pas aussi fort pour que je la veuille pour moi tout court. Je ne disais mot, perdu dans mes pensées, puis j’entendis la porte se fermait et je me retournais vers elle, trop vite, grimaçant de nouveau, foutu dos. Je me reculais doucement, me posant sur mon lit, et tendit ma main dans le vide, lui faisant signe de venir vers moi, mon regard ne cachait rien, mais j’étais tactile avec elle, et nous nous cherchions sans vraiment avoir eu l’autre a son maximum.

    « J’ai l’impression que cette chambre ne m’a jamais appartenu.. en même temps j’ai eu ma confrérie il y a peu.. j’aurais aimé lui laissé un souvenir pour le prochain habitant.. . »

    Lorsqu’elle vint prendre ma main, je l’attirais a moi, je la regardais dans les yeux, sérieusement, elle m’attirait et je savais que quand nous vivrions ensemble, ça serait vraiment dur de ne pas céder a cette envie de créer un couple. Pour l’instant nous étions totalement attirés l’un à l’autre, mon regard dans le sien, je m’y plongeais volontiers, sans jamais vouloir m’en retirer.
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MessageSujet: Re: Quand il le faut ; il le faut [..] Kirsten <3 Quand il le faut ; il le faut [..] Kirsten <3 EmptyMer 18 Aoû - 17:38

    Depuis que je l’avais rencontré, je savais que Charles n’était pas comme les autres garçons. Son charme y était pour beaucoup. Son sourire, sa façon de me regarder d’agir… Son air arrogant et blessant qu’il pouvait avoir avec certaine personne. Depuis toute petite, j’avais connue mille et un hommes qui avaient tenté de m’épater et de gagner une place de choix dans mon cœur de duchesse. Oui, je faisais partie de la famille royale, mais j’aurais aimé qu’ils remarquent autre chose que ça… C’est ce que Charles avait fait. Le jour où Charles m’avait demandé d’emménager avec lui, je n’avais pas hésité un instant… J’étais rendu à un moment dans ma vie où il n’y avait pas de point de retour… J’étais rendue au bout du rouleau… Ma mère me l’avait rappelé, je devais respecter ce que mes parents voulaient, je devais réaliser leurs rêves… Bref, le jour du déménagement arrivé, c’est à ce moment que j’avais commencer à douter de mon choix, avais-je vraiment le droit d’aller vivre avec ce garçon alors que je venais tout juste de rompre mes fiançailles…

    Les boites faites, je ne pouvais plus reculée… C’était le moment ou jamais… Cet homme, bien qu’il semble être un aimant à femmes, m’attirait d’une façon étrange et agréable… J’avais toujours une drôle de sensation lorsque son nom était prononcé. J’avais froid, puis chaud, je sentais une multitude de picotement dans les doigts, comme si tout mon corps réagissait à ce mot… Au moment où j’avais vu son visage si parfait ce changer dans un rictus de douleur, J’avais compris que je devais l’empêcher de ce blesser encore plus, alors adieu les boites, bonjour le massage! Mains dans la main, je l’entraina vers sa chambre, qui ma foi, était vraiment vide… Cette chambre était impeccable… Aucun signe de vie, pas de trace de bière lancée au hasard, même l’odeur de la sueur suite à une agréable soirée ne flottait pas dans l’air. J’étais surprise… Lui que je reconnaissais comme un playboy affirmé, me semblait tout à court aussi fade qu’une feuille de papier blanche… Je tournais sur moi-même, regardant la salle, j’avais un peu froid à cause de l’air climatisée, le frisson parcouru mes jambes pour remonter vers ma gorge, une fois face à Charles, je le vis tendre la main vers moi… C’est là que je revis son visage, le visage de mon ex-fiancé. Je déglutis et sourit péniblement avant de venir vers lui, mes mains ce posèrent sur ses joues avant de descendre le long de son cou et sur ses épaules.

    J’étais toute souriante face à cet homme… Je ne savais pas réellement comment agir, ni comment réagir… Je ne savais pas si je l’aimais ou si ce n’était que sexuel avec lui… Mes lèvres vinrent se posées sur le front de mon nouveau colocataire avant de ce poser sur ses joues chaudes. Mes mains remontèrent vers son cou et je lui releva légèrement la tête, pour pouvoir le regarder directement dans les yeux.

    « Tu n’as pas vécu longtemps ici… Tu ne peux pas lui avoir laissé un quelconque souvenir… Il faut le créer ce souvenir mon ange… »

    Mon sourire s’agrandit tranquillement, je pris l’initiative de reculer et d’aller me mettre derrière Charles. Mes jambes prenaient place de chaque coté de son corps. Mes doigts, légèrement froids, parce que oui j’ai toujours les extrémités glacées, vinrent remonter son t-shirt à un point tel que je lui retira avant de venir poser mes lèvres sur son omoplates.

    « J’ai remarqué que tu semblais souffrir… Tu t’es blessé au dos mon ange? »

    Avant même qu’il me réponde, j’avais commencé à le masser avec une tendresse infini… Je voulais qu’il soit bien et heureux et qu’un souvenir soit laissé à cette chambre…

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MessageSujet: Re: Quand il le faut ; il le faut [..] Kirsten <3 Quand il le faut ; il le faut [..] Kirsten <3 EmptySam 21 Aoû - 19:59

    Kirsten était pour moi une fille étrange, elle me plaisait, comme toutes les filles, enfin presque toute. Elle avait un charme que j’adorais particulièrement et nos baisers rares étaient un dons. Je l’appréciais pour cela et peut-être que j’avais envie de passer à l’acte avec elle, je voulais peut-être l’avoir pour moi tout seul, possessif que j’étais, et je le resterais, je ne changerais jamais à ce niveau là. J’avais choisi comme colocataire un peu au hasard, je ne voulais pas quelqu’un de bordélique, et elle semblait stable comme fille et aussi mature, du moins du peu que je connaissais d’elle, à part les caresses et les rares baisers que nous nous étions échangés rien n’avait plus d’importance sans doute et j’aurais peut-être le droit a des surprises ? Sans doute, nous allions apprendre tout deux à vivre à deux, certes nous aurions toujours nos activités uniques qui nous diversifier l’un de l’autre mais nous vivrions ensemble, comme un couple sans l’être et je ne savais pas si je pouvais caractériser cela comme une relation ou pas. Je me connaissais et l’attirance que nous avions l’un envers l’autre ne ferait qu’emplir la maison dans lequel nous habiterions. C’était la plus belle des vérités et j’attendais ce moment avec une impatience contrôlé, mais j’avais de la réticence aussi, j’avais peur de trop m’attacher, car elle me plaisait, le peu de personnalité que j’avais découvert d’elle avait suffit à me donner l’envie de plus avec elle, mais oserais-je ? Je ne pense pas, je n’osais jamais. De toute façon j’allais bientôt partir en Corse juste après tout cela, nous ne vivrons que totalement ensemble quand Septembre, à la rentrée ou nous serions quelque peu redevenu sérieux et ou les journées étaient longues mais animés, ou tout le monde faisait les mêmes choses et que lorsque je rentrerais chez moi nous ferions à manger pour nous deux tout en nous regardant. Je sortais de mes pensées, il ne fallait pas que j’imagine déjà tout ça, je devrais me montrer patient et réfléchi, chose que je ne faisais jamais et que je n’appliquerais sans doute pas. Je sortais de mes pensées, elle semblait m’avoir sauvé de la douleur qui me lancé dans le dos, surement un faux mouvement et un muscle en avait pâtit, mais je verrais plus tard, mais à son goût je ne devais plus rien faire, elle me prit la main et m’amenant dans la chambre qui aurait du m’appartenir, une autre chambre trop propre pour que l’on l’assimile à moi, cela ne me ressemblait pas et heureusement que je n’y avais pas mis les pieds, sinon j’aurais du la rendre propre pour que l’administration l’a donne a une nouvelle personne. Je m’asseyais sur le lit et lui fit signe de venir près de moi, j’avais besoin de câlin, de ces câlins, un besoin irrépressible, que je voulais voir disparaître mais qui étais là. Kirsten me plaisait bien trop. Elle s’approchait et je sentais ces lèvres sur mon front, puis sur mes joues, frôlant mes lèvres sans jamais les toucher, résister à la tentation était un jeu qui valait la chandelle avec elle, mon regard se plantais dans le sien lorsqu’elle releva ma tête, je ne quittais pas son regard d’où je me perdais déjà alors que je me devais de résister. Mon regard s’illuminait du désir pour elle lorsque j’entendis que nous devions créer ce souvenir dans ma chambre, et le surnom par laquelle elle m’appelait rendait les choses encore plus dure, comment lui résistait si elle était si câline avec moi ? C’était ce dont je voulais, de l’attention, et elle l’avait compris sans que je ne fasse quoique ce soit pour, j’avais bien trouvé ma colocataire. Par la suite elle relâcha notre proximité et passa derrière moi, elle l’avait vu, je souris sans qu’elle ne puisse me voir, je l’aimais de plus en plus cette Kirsten, voir des choses que je m’efforçais de cacher par fierté et qu’elle remarquait d’un coup d’œil. Je n’eus pas le temps de répondre qu’elle m’avait enlevé mon haut, j’avais frissonné en sentant ces doigts froids sur ma peau chaude mais je n’avais pas bronché plus que cela. Je la laissais faire, car je le voulais, mes yeux se fermés et sa voix me rendait fou, m’amenant loin d’ici. Elle était assise derrière moi et me massais, de quoi rêver de mieux ? Elle était parfaite, mais je ne la connaissais pas encore, je devais me méfier et ne pas me fier complètement à tout ces charmes. Je sentis ces lèvres sur ma peau et n’en frémis qu’un peu plus. Je devais répondre a ce qu’elle avait dit mais je ne savais plus où j’étais, ce que je devais faire, ces mains sur mon dos me massait bien, parfaitement bien, et je ne faisais qu’être bien à mon tour, elle me rendait déjà fou alors que nous n’étions même pas installés chez nous, tout cela était bien prometteur et j’avais hâte d’y être.

    « Un souvenir.. créons-le alors.. – Je laissais un blanc qui pouvait promettre la suite des choses – Je ne sais pas vraiment, j’ai sans doute du faire un mauvais mouvement qui a du faire quelque chose a un des muscles dorsaux.. mais heureusement que tu es là. Je n’ai plus de mal à me faire.. mais je te serais redevable d’un massage ma douce. »

    Je tournais légèrement le visage, plongeant mon regard dans le sien, un regard emplie de désir, un désir profond en moi qui ne faisait que dormir, mais qui s’éveillait avec une lenteur sans doute calculé par mon subconscient qui voulait me faire patienter, nous faire patienter, pour avoir un bonheur sans pareil par la suite, je ne devais qu’être patient, du moins nous à présent, faudrait que je m’y habitue, c’était ma colocataire, elle allait faire partie de ma vie pour quelques années encore, et pourquoi pas plus ? Stop les rêves, profitez du massage ! Je lâchais quelques soupirs parfois lorsqu’elle appuyait sur un point sensible, et parfois des rires lorsqu’elle appuyait sur un endroit ou j’étais chatouilleux, dur.
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MessageSujet: Re: Quand il le faut ; il le faut [..] Kirsten <3 Quand il le faut ; il le faut [..] Kirsten <3 EmptyMer 25 Aoû - 14:55

    L’attitude que nous avions l‘un envers autre devenait suspecte de jour en jour... Disons que c’était assez évident, même une personne aveugle l’aurait remarquer... Parfois je me disais que le fait qu’Aby ne soit plus dans ma vie m’aidait grandement… Jaloux comme il était, il n’aurait jamais accepter que je sois amie, enfin, colocataire d’un coureur de jupon… Bien que mon ex-fiancé en soit un aussi, je savais qu’il aurait eu l’égo blessé… Le fait aussi que je sois de nouveau libre, me permettait de vivre d’une nouvelle façon, sans vraiment cachée ce que j’étais devenue… Bien que suite à notre rupture, ma vie mentale et physique ce détériorait au fur et à mesure que les minutes s’ajoutaient à mon cadran… J,avais donc décidée de me reprendre en main et de changer ma vie pour le mieux! C’est surement pour cela que j’avais accepter sans hésiter la demande de colocation de Charles… Je savais à quoi m’attendre avec lui et pour moi, il n’était rien d’autre qu’un simple ami… Avec un petit plus… J’avais arrêter d’aller en cours, parce que je N’y voyais plus l’utiliter et aussi parce que l’école me rendait instable émotionellement… Malgré tout, je savais que maintenant, je ne serais plus jamais en sécurité, parce que j’avais gouter à la dépression et aussi à l’envie de la mort… C’était mon secret et seulement David était au courant de mes penchants suicidaires… J’espérais juste que Charles ne remarquerait pas mes quelques cicatrices et qu’il ne me poserait pas de questions… Toujours assise derrièrel ui, mes mains vagabondaient sur ses muscles dorsaux et j’avais bien l’intention de lui dénouer tout les noeuds qu’il avait dans son dos et je voulais le rendre sensible à mes doigts de fées. Mes lèvres se posèrent sur sa nuque et je lui mordilla tranquillement avant de passer mes bras autour de ses épaules, ma joue se posa sur son omoplate puis je ferma les yeux.

    «Tu sais mon ange… Le monde n’est pas facile et on va vivre les pires histoires, comme nous vivrons les meilleures aussi… il faut juste savoir ce que l’on désire réellement et ce que l’on ressent vraiment… C’est à nous de tout décider… »

    Bon, je dois spécifier que oui, il m’arrive d’être un peu romantique et réaliste… Dois-je aussi spécifier que mes paroles dépassaient ma pensée? Je dois avouer que j’avais toujours eu un faible pour lui… Un trop gros faible, dès la première fois que je l’avais vu, j’avais compris que je ne pourrais plus me passer de cet homme… Bien que l’on était quand même assez semblable sur le point mental, je ressentais le besoin de le connaitre encore plus et j’avais, parfois, une irrisitible envie de lui faire l’amour… Ça peut sembler étrange, parce que je viens à peine de rompre mes fiancailles, mais c’est plus fort que moi… Si Aby apprenait ça, il serait rouge de colère… Ou il comprendrait ce que j’ai vécu au cours de la dernière année… Ce qui m’étonnerait énormément, car il est un peu stupide. M’enfin, ma joue appuyée contre son omoplate, mes doigts s’affairaient à jouer tranquillement sur son ventre. Je semblais légèrement perdue dans mes pensées et encore là, je semblais complètement être une autre… Habituellement, je lui aurais déjà sauter dessus, mais on aurait dit qu’il y avait quelque chose qui m’en empêchait… Peut-être était-ce le fait qu’il était mon nouveau colocataire? Cadeau de bienvenu, une bonne baise dans ton ancienne chambre? Un peu démodé comme cadeau… Ou était-ce le fait que j’avais encore le cœur affreusement détruit?

    Je lâcha un long soupire, pour pouvait sembler etre douloureux pour les personnes qui l’auraient entendu. Je ne savais plus trop où j’en étais, alors je décida de me laisser aller… Mes lèvres remontèrent tranquille vers l’épaule puis le cou de mon partenaire de chambre. Je me redressa puis glissa un peu sur le côté avant de reglisser et de me retrouver assise sur ses cuisses. Je passa mes bras autour de son cou avant de venir poser mo nregard dans le sien. J,avais une envie montante et rien pour lem oment pouvait m’en empêcher. Je me mordilla la lèvre tranquillement puis je vins lui voler un baiser, tendre, certes, mais légèrement pimenté. Une fois le baiser rompu, je posa à nouveau mon regard dans le sien avant de retirer mon haut, dévoilant mon soutien-gorge noir en parfaite symbiose avec ma peau pâle. Je n’avais pas besoin de parler… Tout ce ferait naturellement… enfin, je le pense…

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MessageSujet: Re: Quand il le faut ; il le faut [..] Kirsten <3 Quand il le faut ; il le faut [..] Kirsten <3 EmptyJeu 26 Aoû - 4:40

    Le jeu du chat et de la souris n’avait plus lieu d’être lorsque nous nous étions trouvés ; il fallait juste en assumer les conséquences par la suite. J’avouais que je connaissais rien d’elle car je ne m’étais jamais réellement intéressé à elle intérieurement, et il fallait peut-être que je commence ; même si nous avions le temps pour, elle ferait partie de ma vie et le romantisme quelle dégageait dans cette chambre réveillait doucement le mien. C’était contagieux, mais une douce épidémie de sentiments se réveillait en moi, tous plus complexe l’un que l’autre, de quoi perdre la tête. Mon corps ne pouvait rester stoïque face a ces caresses, ces mots doux, son corps contre le mien, je ne pouvais empêcher tout cela, tout était réellement fait pour que nous nous désirions de plus en plus. Les choses qu’elle me dit me forcer à réfléchir, que voulais-je vraiment ? Une séance de baise avec elle par pur amusement ou quelque chose de plus poussé qui impliquait que je baisse ma carapace émotionnelle. Être humain est une chose vraiment compliqué, je n’étais pas très à l’aise avec mes propres sentiments je ne savais pas comment les prendre, comment les interpréter, je devais faire au feeling et selon ma propre envie. Mais j’étais tellement complexe, tout cela à cause de ma famille, enfin plutôt de mon père, foutu mafieux. Tout cela était de sa faute si j’avais perdu ma mère et si j’étais comme ça ; il m’avait donné de la haine, une haine que je devais lâcher sur quelqu’un ; mais je l’avais abandonné cette haine pour changer. Me libérant et faisant ce que je faisais de mieux : draguer et coucher. Aucune attache et de la possessivité de ma part pour toutes les femmes que je croisais et qui passait par mon lit ou moi dans le sien ; j’étais comme ça. J’avais juste abandonné ma haine si on me connaissait bien ; j’étais plus vivant mais toujours pas dans le bon sens de la vie. Je ne savais pas quoi faire pour et je ne ferais sans doute rien ; la maison que je prenais avec Kirsten était peut-être un moyen de me le taper sans doute, j’étais un connard après tout, je ne pouvais changer, tel était ma fatalité. Je me voyais sans doute comme un condamné mais ça serait mentir si je disais que je ne m’en fichais pas et que je n’appréciais pas du tout, j’adorais. Sa joue vint contre la mienne et je pouvais sentir ses mains caressait avec douceur mon ventre, je souriais, fermant les yeux sous cette sensation douce et tendre, ça faisait bien longtemps qu’on ne m’avait pas apporté une si douce attention qui avait le don de me faire fondre ; heureusement qu’elle était dos à moi je n’aurais pas supporté la faiblesse de voir que j’aimais ça. Fierté de merde ; un jour je la dominerais ; mais pour l’instant je ne pouvais pas ; aller deviner comment. Je voulais répondre quelque chose mais je ne trouvais pas, tout était tellement profond et semblait montrer un avenir à deux que nous devrions affronter ensemble ; je me sentais mal : j’avais peur. Je préférais être seul pour ne pas souffrir de faire souffrir l’autre ou encore de souffrir à cause de l’autre, tout était tellement difficile. MERDE ! Je ne comprenais plus rien et le temps que je sorte de mes pensées je compris qu’elle ne me massait plus. Elle avait glissé sur le lit pour être a mes côtés puis devant moi, assise sur mes cuisses. Mon regard dans le sien, je sentais mon cœur accélérait soudainement, j’avais peur, réellement peur de m’attacher à elle, elle me plaisait bien trop et je ne voulais pas. Résister entre l’envie d’être enfin attaché a quelqu’un et l’envie de ne pas l’être était cruel comme dilemme mais je ne semblais pas avoir a le faire. Ces lèvres vinrent trouver les miennes et elle m’embrassa, je répondais alors doucement à son baiser avant d’y rajouté ma passion qui brûlait secrètement pour elle. Elle m’avait entichée de ces mots et de sa façon d’être, j’étais attaché. Attaché à une personne qui se trouvait être sa colocataire pouvait avoir des avantages comme des inconvénients, les inconvénients n’était pas encore visible. Mon regard lorsqu’elle rompit le baiser était encore plus empli de désir et d’envie pour elle ; l’ardeur de mon envie était passionnée et je la désirais plus que tout ; je voulais la faire mienne. Maintenant cette envie me terrorisait autant qu’elle m’enchantait mais je ne ressentais pas les deux émotions en même temps, tout étaient confus dans ma tête. Je ne pouvais y réfléchir tranquillement et encore moins lorsque Kirsten enlevait son haut pour dévoiler une poitrine voluptueuse soutenue par un soutien-gorge de couleur noir qui allait parfaitement avec elle. Mes yeux auraient pu pleurer devant ce spectacle si magnifique et je soupirais, une érection se faisait dans mon pantalon ; mon sexe était réveillé et j’espérais qu’elle ne le sentirait pas. Ma main était sur sa cuisse et l’autre dans son dos, je l’attirais doucement à moi, nous collant alors que j’entamais un nouveau baiser ; l’envie était là, le désir aussi et la passion aussi. Tout était là pour que je craque. Mes mains vinrent trouver les siennes pour entremêlaient nos doigts de nos deux mains, mon regard dans le sien, j’interrompis le baiser doucement. Et la regarda, je frottais mon nez au sien, et lui sourit. Murmurant à ces lèvres.

    « Tu sais que j’en ai envie aussi.. mais je n’y arrives pas c’est comme si c’était pas approprier.. j’ai l’impression de te manquer de respect si j’accepte.. tu m’offres tellement je ne sais pas du tout ce que j’ai et je troue ça vraiment étrange. – Je l’embrasais alors de nouveau durant une bonne minute, déchiré entre deux envies. – Je voudrais le faire avec toi, tu ne peux pas savoir ô combien je le veux .. c’est juste qu’en t’invitant a être ma colocataire, je ne pensais pas trouver une femme qui m’enchanterait en tout point. Je suis .. comblé. »

    Comblé alors que rien n’avais était fait, elle était forte, je lui avais fait un aveu. Ça m’était dur mais je l’avais fait. Mon cœur accélérait, je tremblais légèrement face à cet aveu qui m’avais surpris et je me laissais allongé sur le lien, elle toujours sur moi, ce n’était pas désagréable, nos mains toujours liés, je la regardais, je fis la mimique d’un bisou et lui sourit, j’en voulais un, mais j’espérais qu’elle comprendrait, et qu’elle répondrait a ce que j’avais dis, car la résistance que j’opposais n’était que .. provisoire, je ne pouvais lui résister, je la voulais encore plus après ce que j’avais dis, c’était tellement tentant.
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MessageSujet: Re: Quand il le faut ; il le faut [..] Kirsten <3 Quand il le faut ; il le faut [..] Kirsten <3 EmptyMer 29 Sep - 15:03

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