Il y a de ces jours comme aujourd’hui qui semblent bien partis et qui change radicalement. Journée bien tranquille, comme toujours. Un réveil assez brutal pour un cours de droits internationaux, c’était malheureusement bien normal. Sans oublier l’éternel rituel de la toilette matinale, suivie du petit déjeuner classique, quoique variant quand même de journée en journée. Il fallait bien diversifier les repas, sinon je risquais l’indigestion. Comme toujours, je revêtais des vêtements plutôt chics, auraient trouvé certains, mais réguliers pour les affaires. Car en politique, nous sommes toujours en affaires et il faut toujours bien paraître. Mais comme je n’avais pas le goût d’élaborer trop aujourd’hui et comme ce n’était qu’un cours théorique, j’avais enfilé une chemise blanche, un pantalon beige ainsi que mon veston, beige aussi. Pas de cravate, ça ne valait pas vraiment la peine. Et j’étais en route vers le cours…

Ce que je peux dire, c’est que bien que c’était intéressant d’en apprendre sur les différentes lois dans le monde, le cours était vraiment des plus ennuyants. Le contenu en valait le détour, mais vous l’aurez deviné, c’était le professeur le problème. Vous avez déjà eu de ces professeurs qui narre son cours de la même voix monocorde durant 2, 3 ou même 4 heures de temps ? C’est vraiment le genre de professeur qui donne envie d’abandonner le droit quand on apprend qu’il est modérateur juridique pour la justice internationale de l’ONU… Après, c’était bien normal que personne n’écoute réellement. Seuls quelques uns prenaient vraiment des notes. Je voulais bien faire ma part, mais avec des camarades de classe comme j’avais, c’était plutôt dur. Et comme bien des fois, le sujet du jour était le dernier party de la veille. Il y en avait tellement que ça devenait compliqué de tout se rappeler ce qui avait eu lieu quelques jours auparavant. En plus, il faut aussi ajouter le fait que mes potes sont bien souvent beaucoup trop saouls pour se rappeler quoique ce soit. Heureusement que le monde de la politique était des plus traître, sinon j’aurais bien du remord un jour à leur planter un couteau dans le dos. Au sens figuré, vous aviez compris. C’était bien facile de se montrer intéressé et de jouer la carte du dragueur accompli. Il s’agissait de déformer légèrement la réalité, sans mentir complètement, et le tour était joué. On avait qui on voulait dans sa poche. Bon, en théorie, peut-être, mais en pratique, c’était bien faux. Aussi faux que le fait que, bien qu’en ont dit les gens, j’aie embrassé Kirsten cette fameuse soirée. Certains poussent l’audace encore plus loin à dire qu’ils nous ont vu batifoler ensemble. Les gens inventent bien n’importe quoi pour lancer des rumeurs…

Tout le court tourna autour du party de la veille. Ce n’était pas tellement compliqué de berner le professeur, il était pratiquement aussi sourd qu’il parlait à voix basse. Je n’écoutais pas vraiment mes camarades, essayant de me concentrer sur le cours, pour une fois. À vrai dire, je n’avais pas tellement envie de reparler de la soirée de la veille. Donc je ne faisais qu’écouter. Deux de mes potes racontaient comment ils avaient pris à deux une des filles durant la soirée. C’était faux, je le savais. Ça sonnait faux de toute façon. Et puis la fille en question était une de la classe. Mais même que ça aurait pu paraître crédible, c’était faux tout de même. La demoiselle en question avait passé le plus clair de sa soirée à embrasser quiconque passait à côté d’elle sans même daigner bouger d’un pouce. Je supposais que la fille qu’avait prise mes deux potes devaient être l’une des filles faciles du programme de mode. Rien contre elles, mais plusieurs d’entre elles se donneraient corps entier à n’importe qui juste pour avoir des liens avec quelqu’un d’autre. Si je me creusais la tête, je pouvais même être certain de quelle fille il s’agissait. Mais je les laissais fabuler quand même.

Le cours se termina de façon bien ordinaire, comme à toutes les fois. Je commençais à me dire que cette troisième année, bien qu’elle se déroule du bon pied, était vraiment pour être routinière. Ça donnait hâte d’atteindre le diplôme et d’entrer dans la pratique. Je rangeai mes affaires dans mon sac et me levai pour quitter. Mais à peine levé que je me faisais tirer par le bras. Ça y était, le moment que je redoutais…

-Hey hey, attends Alexander ! On va prendre un café, tous les trois, tu viens ?

Évidemment… Aller prendre un café, ça voulait dire qu’ils allaient poser bien des questions. Exactement comme je redoutais. Tant pis, puisqu’il fallait jouer le jeu…

-Ouais, pourquoi pas… On a le temps, le prochain cours est à 1h.

Réponse évasive, pour le moment… C’est donc ainsi que nous nous sommes retrouvés dans un café. Le Zumi-Coffee, un des cafés étudiants les plus branchés de Berkeley. Au nombre de fois où je m’étais retrouvé là-bas, je pourrais vous citer le menu par cœur. Je me mis en file avec les deux comparses que je surnommais Ding et Dong. Ce n’était pas pour être bien méchant, mais en même temps, ils n’étaient vraiment pas des lumières. Je me demandais sérieusement pourquoi ils étaient inscrits dans ce programme. Ils se feraient démolir à la moindre assemblée… Mais que cela ne tienne, ils étaient tout de même inscrits et avaient des notes respectables. En partie grâce à moi, d’ailleurs. Du moins, je crois bien, au nombre de travaux que j’ai fait avec eux. Je ne les aurais jamais faits pour eux, ça aurait été inutile. Mais bon, un coup de pouce de temps à autres… Devant moi se tenait une jeune demoiselle aux cheveux mi-longs et bouclés. Pour une raison étrange, ça m’était familier, mais je n’arrivais pas trop à savoir pourquoi. Et lorsqu’elle prit sa commande, je pouvais jurer avoir déjà entendue cette voix auparavant. Par contre, comme les deux autres me mitraillaient de paroles incessantes encore sur cette fameuse conquête d’hier qu’ils avaient eue, je n’arrivais pas à me concentrer suffisamment pour savoir où j’avais entendue cette voix. Lorsque vint mon tour de commander, la demoiselle était déjà aller s’assoir et je n’avais pas pu voir son visage. Ironiquement, c’est juste dos à cette même demoiselle que je m’assied à mon tour après avoir commandé, sans même m’en rendre compte. Il faut dire qu’au moment de choisir une table et s’y assoir, Ding et Dong m’avaient demandé LA question que j’aurais préféré éviter.

-Alors, Alexander ? Avec la poulette d’hier ? Tu t’es fais aller.. ?

C’était à prévoir. Je n’allais pas vraiment m’en sortir. J’allais devoir répondre à cette question. Il valait mieux déformer un peu la réalité pour éviter d’avoir l’air plutôt mauvais.

-Vous auriez dû voir ça les gars. Jessica, c’est rien comparé à cette fille.

Jessica est cette fille qui est dans notre cours de droits internationaux. Elle n’étudie pas en Politique, mais plutôt en Droits. C’est une fille vraiment très belle, mais quand elle est saoule, elle tombe rapidement dans une chasse à l’homme…

-Bah, allez, il s’est passé quoi ? T’es allé dans la chambre avec elle, c’est clair qu’y s’est passé de quoi, non ?

-Haha, avec lui, il se l’est tappée solide.

Non pas que j’aimais me donner la réputation de celui qui avait toutes les filles qu’il voulait, mais c’était réellement l’image que Dustin et Gordon avait de moi. Ah oui, j’avais oublié de vous mentionner leur nom respectif. Pour le peu que ça change…

-Okay, vous savez la petite brune de la classe de photo que je vous avais parlée la dernière fois ? Ben même elle, c’est rien à côté de celle-là.

-Pour ce que j’en ai vu, elle était vraiment chaude la fille de photo.

-Ouais mais t’aurais dû voir la fille d’hier. C’est vrai que Jess c’est rien à comparé… Alors, elle a fait quoi ?

-Okay, on arrive dans la chambre et direct, elle me saute dessus. Même pas le temps de me rendre au lit qu’elle est déjà dans mes bras. Pis elle embrasse comme une déesse, la fille. En plus, vous auriez dû voir les hanches de la fille. Elle se collait contre moi, sans même aucune arrière pensée.

-Pis après ?

-Je me retourne et la pousse sur le dos pour la faire tomber sur le lit. C’était vraiment rien que ça qu’elle attendait. Vous auriez dû voir ça ! Elle a écarté les jambes d’un coup. Les gars, elle portait rien du tout sous sa robe. Une vraie, celle-là…

-Haha, et qu’est-ce que t’as fait ?

-Bah voyons, tu me connais. Direct, j’y fais mon show. Elle en bavait tellement qu’elle a pas pu résister de passer la main sous sa robe. Elle se caressait devant moi, vous imaginez ?!

-Maudit Alexander. Tu pognes toujours les plus chaudes.

-Attends, c’est pas fini ! Je me retrouve juste en chemise devant elle, plus rien d’autre et m’approche d’elle. Plus excitée que ça, la fille, t’as jamais vu ça. Comme une tigresse en chaleur, elle me saute au cou et m’ordonne de la faire hurler.

À ma défense, je n’ai pris que certaines parties de la soirée et les ai amplifiées grandement. Il y a bien eu quelque chose avec cette demoiselle, mais pas exactement ça. À vrai dire, la fille était très saoule, mais aussi très très dépressive. Son mec venait de la laisser et comme si ce n’était pas assez, son meilleur ami venait de se suicider. Si on s’est retrouvés dans le lit, c’est plutôt parce que je l’ai entraînée dans la chambre pour discuter et la rassurer. Après tout, elle avait besoin de réconfort dans ces moments difficiles. Mais je ne m’attendais pas à ce qu’elle s’éprenne de moi. Elle m’a embrassé par la pitié que j’avais eue d’elle. C’était plutôt involontaire que je m’étais retrouvé dans ses bras. Toutefois, c’est vrai qu’elle ne portait absolument rien sous sa robe. Je l’ai bien remarqué quand elle s’était réellement caressée, envieuse que je lui fasse oublier son copain. Je me suis laissé prendre au jeu, mais je me suis limité…

-Haha, et pis t’as dû la baiser à mort, c’te fille-là.

-Mon gars, t’as jamais entendu une fille venir aussi fort qu’elle. Ça m’étonne presque qu’on en reparle pas. Elle hurlait, j’te dis. D’après moi elle va me rappeler.

Étrangement, c’est vrai. Je n’avais fait que caresser la dite demoiselle, lui fournissant un bien maigre plaisir, qu’elle était venue. Je n’avais même pas eu besoin de faire quoique ce soit de réellement sexuel… Je pouvais supposer qu’elle était en manque depuis très très longtemps et que ça s’ajoutait au réconfort émotionnel et physique que je lui offrais. Et si elle me rappelait, c’était probablement parce qu’elle se serait éprise de moi à tort…

-Mais tu vas dire non, j’te connais. Un soir, c’est tout, hein Alexander ?

-T’as tout compris, Dustin. Elle peut bien rêver si elle espère un encore.

-Hahaha, c’est bien toi ça. D’ailleurs, parlant de chaudasse, t’as vu la fille derrière toi ? C’est le genre de fille que tu pourrais te tapper n’importe quand, j’te dis !

Et voici le moment critique… Je jète un coup d’œil rapide derrière moi. La demoiselle n’est pas dos à moi, mais plutôt face à moi de l’autre côté de la table. Et elle nous regarde… Et le pire, c’est que je comprends pourquoi elle m’était si familière. Herendieria…

Herendieria, c’est la cousine d’Ambra. Cette dernière nous a déjà présentés l’un à l’autre auparavant, il y a quelques temps. Je ne la connais pas autant que je connais Ambrae, mais ce que je sais, c’est que j’éprouve un certain quelque chose pour cette demosielle si jolie. Car il faut se l’avouer, c’est une des filles les plus belles que j’aie vues. Évidemment, Ambrae est magnifique aussi, mais Herendieria a quelque chose de spécial… Je n’arrive toujours pas à savoir quoi, moi qui suis pourtant plutôt observateur.

Elle m’avait vu, c’était certain. Elle m’avait vu et elle m’avait surtout reconnu. Qu’est-ce que je pouvais bien lui dire, maintenant ? J’ai toujours été gentil avec elle, comme je suis réellement. Et là, et je le sais, elle m’a entendu parler de cette histoire avec l’autre demoiselle d’hier… Qu’est-ce qu’elle va bien pouvoir penser de moi ? Mais surtout, qu’est-ce que je peux bien répondre à la question de Gordon, maintenant ? Herendieria ne partait pas. Elle devait être offusquée, mais elle resta là… Elle aurait peut-être dû partir. Bon, devais-je garder le masque du charmeur de ces dames et oublier que c’est Herendieria ou bien laisser Dustin et Gordon en plan ? Essayons les deux… Je me penchai pour faire semblant de chuchoter aux deux gars, mais parlai suffisamment assez fort pour qu’Herendieria entende aussi…

-Hah, Gordon. Tu penses bien juste qu’à ça toi. Mais cette fille-là, derrière, elle vaut bien mieux que ça. Beaucoup trop gracieuse pour qu’on se la tappe comme ça.

-Mouais… En tout cas, être à ta place, j’y sauterais dessus pis je perdrais pas mon temps !

-Non, non, non. J’te dis, celle-là, elle a de la classe. Elle cherche quelque chose d’autre. Elle est pas du genre facile. Rien qu’à la voir, elle est sérieuse. Et puis, t’as vu ses yeux ? Tu pourrais te perdre dans ces yeux-là...

Et ce n’était pas des mensonges en l’air… Herendieria a réellement des yeux à s’y noyer.

-Si tu le dis… Bon, faut que j’y aille. Tu me suis Dustin ? Faut aller faire le maudit travail pour le cours de demain !

-Ouais, j’te suis. Alexander, on se voit tout à l’heure dans le cours. Prends soin de toi, le gros

-Ouais, mais non. J’suis occupé cet après-midi. Je rattraperai plus tard. Vous me direz ce que j’ai manqué

-Okay, ciao là.

Et ils quittèrent le café. Il était temps… Maintenant, Herendieria… Et nous étions seuls tous les deux. Comment recoller les morceaux, maintenant ? Je me mordis la lèvre avant de me retourner. Herendieria ne me croirait certainement pas si je lui racontait ce qui s’est vraiment passé. Et Ambrae était au courant de ce que je faisais de temps à autres, elle avait dû en parler à sa cousine une fois. Mais merde, qu’est-ce que je pouvais bien lui dire, maintant ? « Salut, désolé, je suis vraiment un imbécile ? » Si j’avais sû que c’était elle… Dustin et Gordon avaient le don de me mettre la pression, même si les trucs les plus banals…

Je me retournai dans un soupire. Herendieria était toujours là. Je me levai et allai m’assoir à l’opposé de ma banquette, devant elle, à sa table. Sans même la regarder et en une fraction de seconde, je pouvais deviner qu’elle avait des sentiments contraires à ceux que j’aurais aimé qu’elle ait par rapport à moi.

-Salut, Herendieria…

Qu’elle réponde ou pas, je la couperais court, avant qu’elle ne me déverse ses flots d’insultes…

-Tu dois me prendre pour un sale macho maintenant… Je voudrais bien te dire que tout est faux, mais comme il y a des parts de vérité, je ne peux pas… Désolé si l’image du gentil garçon est complètement défaite… Si tu me laisses une chance, je peux t’expliquer ce qui s’est vraiment passé…

Heren savait qu'en se levant cela allait être une mauvaise journée c'est pourquoi pour se remettre de ce réveil brutale elle décida d'aller boire un café avant d'aller faire les boutiques, mais elle ne savait pas qu'elle allait rencontrer Alexander et qu'elle allait entendre tout sa en effet. Ses petites emplettes étaient tomber à l'eau. Mais même si Herendieria ne ferait pas les boutiques aujourd'hui, elle préférait rester la à discuter avec Alexander, et puis la connaissant, elle n'allait pas lui en vouloir longtemps, surtout si il avait l'intention de se faire pardonner de la meilleurs manière qu'il soit. Il n'avait pas vraiment à s'excuser auprès d'elle, mais le fait qu'il traine les filles dans la boue, n'avait en aucun cas plus à la jeune fille, car dans un sens il roulait toutes les filles dans la boue.
Faire l'amour pour Herendieria c'est bien plus que du sexe elle se donnait corps et âme à la personne avait qui cela arrivait et le fait qu'on la trompe l'avait blesser au plus profond d'elle même et Herendieria ne pardonnerais jamais une telle faute. C'est vrai que Alexander ne l'avait en aucun cas tromper, mais d'après ce que sa cousine racontais de lui, il n'avait pas franchement d'étique morale sexuellement parlant. Ce qu'il y a de surprenant c'est de savoir pourquoi Herendieria avait des sentiments pour ce jeune homme qui n'a en aucun cas l'intention de se poser dans une relation stable ce qui est le cas Heren et en plus de sa il avait six ans de plus qu'elle. Donc en aucun cas Herendieria pourrait penser à une relation quelconque avec celui ci, même si dans ses rêves les plus fous elle y pensait de temps en temps, mais comme on dit souvent les rêves sont le fruit de notre imagination, et puis l'espoir fait vivre pas vrai ?

Une fois que Herendieria sortit des ses pensées les plus profondes elle leva les yeux sur les trois garçons en face d'elle, Alexander était entrain de la regarder d'un air gêner, quand les deux jeunes hommes insistait pour que «Alexander se fasse Herendieria.» Lui rétorquais que non sa n'arrivais jamais car elle était gracieuse et qu'elle avait la classe, ses paroles lui fit chaud au cœur, mais il n'était pas totalement pardonner pour finir les deux jeunes hommes décidèrent de s'en aller en laissant Alexander tout seule, enfin pas si seule que sa en fin de compte....

Alexander venait de s'installer à sa table, il la fixait du regard avec ce même sourire qui faisait fondre Herendieria, le fait est que son sourire rendais Heren maladroite et gêner. Heren n'arrêtais pas de baisser les yeux et emmêler ses cheveux autour de son doigts, ce qui ne rendait pas vraiment crédible son jeu de jeune fille en colère. Bien qu'elle le soit vraiment car il n'avait pas eu encore la chance de ce justifier, et pourquoi le ferait-il de toute manière ? Il ne pas à se justifier auprès d'elle aucun compte à lui rendre.
Et pourtant le naturel gentille de Alexander ressurgissait à grands pas, il demandait de lui laisser une chance de s'expliquer, bien entendu elle accepta sans hésiter. Pour rendre ce moment un tout petit plus agréable que maintenant elle appela un serveur pour qu'il resserve un café à Alexandre et à elle par la même occasion accompagner de biscuit frais.

- Va y je t'écoute mon grand, mais sache que sans vouloir t'offenser j'en connais bien plus de ta vie que tu en connais sur la mienne, tu dois surement te souvenir que je suis la cousine de Ambrae, mais peut être que tu te souviens plus de moi, mais vu la tête que tu as fait quand tu t'es retourner tu as du te rappeler au moins de mon visage ou mes «yeux». dit-elle en rigolant.

Herendieria était loin d'être prétentieuse car elle n'était même pas sur qu'il se souvenait d'elle, mais si c'était en effet le cas elle ne serait plus ou se placer, et fuirais sûrement à toute vitesse et puis c'est pour le coup qu'elle aurait passer vraiment une salle journée alors que la matinée n'était même pas finis. Herendieria fixa les deux jeunes hommes qui était précédemment avec Alexander.

- Tiens tes amis sont revenus, ils veulent surement te demander quelques chose, car permets moi de te dire qu'ils ont pas l'air d'avoir la lumière allumer à tous les étages, je ne critique pas tes amis, mais pour demander comment se passe un nuit avec un fille faut être débile. Les filles sa raconte sa souvent, mais je savais pas que le garçons aimaient parler de sa entre eux.
- Alexander, ba tu t'es décidé en faite de te la faire, sage décision mec, tu voulait juste attendre notre départ, pour pas qu'on te la pique ? J'avais juste oublier mon portable, maintenant tu va pouvoir épingler une nouvelle fille à ton tableau de chasse. Ont te laisse avec la belle.
- Tu vois ce que je viens de dire c'est pas faux, ils sont énormément cons, sachant que je suis à coté il pourrait baisser un peu le volume mais il se gêne pas pour dire que je pourrais atterrir dans ton tableau de chasse si tu en as vraiment un.

Les deux jeunes hommes étaient enfin partis, ils pourraient enfin discuter ensemble pendant plusieurs heures, sans voir le temps défilée le temps pour ce qui s'agit d'elle. Les pâtisseries étaient arriver elle plaça sa main sur une petite pâtisserie que Alexander avait aussi décider de choisir, donc leurs mains se frôlèrent, ils avaient les mains douces, et comprenait un peu en partis pourquoi, les filles aimaient coucher avec lui, mais n'était pas toujours du même avis quand il s'agissait qu'il en profite, mais malheureusement Herendieria ne pourrait pas l'empêcher de coucher avec des femmes c'était dans son caractère.

Comme j’ai dit précédemment, il y a de ces jours où tout change radicalement. Après un avant-midi ennuyant à souhait, je m’étais retrouvé dans un café étudiant branché avec Dustin et Gordon, jasant de cette fameuse soirée de la veille où il s’était supposément passé bien des choses. Encore une bonne occasion pour bien paraître alors que c’était pratiquement faux. Mais ce que je ne m’attendais complètement pas de cette conversation des plus banales, c’est qu’on me dise par la suite qu’il y avait une fille fort intéressante derrière moi. Bon, évidemment, c’est une situation tout à fait normal qu’il se trouve une fille magnifique derrière soi une fois de temps en temps, mais pas quand tu connais cette fille magnifique…

Herendieria… la cousine d’Ambrae. L’une des filles les plus belles que j’aie vue et ce ne sont pas de paroles en l’air. Évidemment, j’ai dû jouer le jeu avec Dustin et Gordon. Pas question qu’ils sachent que je connaisse cette fille-là. Mais comme elle avait tout entendu depuis le début, je ne voulais pas non plus qu’elle me prenne pour ce que je me vantais d’être. Surtout que c’était bien loin d’être le cas. Quoique… Enfin.. ce serait mentir de dire que je suis un saint alors je ne m’y aventurerai pas, mais quand même, je suis loin d’être ce que je laisse certains croire. Bref, j’étais bien content quand les deux Ding et Dong foutèrent enfin le camp. Je pus enfin m’installer à la table d’Herendieria et tenter de réparer mon erreur. C’était clairement involontaire d’avoir dit tout ça dans son dos. En fait, je ne sais pas trop pourquoi je m’excusais de ma conduite. Après tout, je ne lui devais absolument rien à Herendieria…

Et pourtant, elle m’écoutait comme une adolescente attendrie, les yeux bas et la main des les cheveux à les entortiller autour de ses doigts. Et le pire, c’est que c’était vraiment des plus mignons. Elle était là, à s’extasier comme une écolière et moi je mordais à l’hameçon. Oui, il y a toujours eu ce je-ne-sais-quoi avec Herendieria. Oui, je ne serais pas contre l’idée de dire à quiconque qu’elle était une des plus belles filles que j’aie vue, même à Dustin et Gordon qui me prenaient pour un dieu de la baise. Et justement, je me demandais pourquoi elle ne m’était pas tombé dans la face à propos de ça … Je m’attendais à ce qu’elle soit en colère, que je l’aie blessée au plus profond d’elle-même. Je regrettais que mes mensonges aient pu être considérés comme des vérités. C’était bien ça le pire. À vouloir jouer cool et déformer la réalité, j’avais créé une vérité qui l’avait blessée, elle.

Elle me répondit de façon bien singulière, mais avec une voix amusée. Était-elle réellement en colère ou bien le sourire sur ses lèvres l’avait emporté sur la déception ? Elle m’avoua qu’elle était au courant de bien des choses dans ma vie. Normal, comme elle me l’a rappelé, elle est la cousine de mon rayon de soleil. Ambrae avait bien pu lui dire tout ce qu’elle voulait sur mon compte, sans que je puisse dire quoique ce soit pour l’en empêcher. Je me demandais si Herendieria savait que je suis lié de sang avec Kirsten… En même temps, ça ne lui changerait que peu de choses de le savoir. Qu’elle le sache n’était pas un problème en soi. J’étais offusqué qu’elle croit que je ne me souvenais pas d’elle. Après ce que j’avais pu dire à Dustin et Gordon pour les détromper sur sa personnalité charmante, ça me décevait qu’elle puisse penser que je l’avais oubliée. Bon, c’est vrai que nous n’avons jamais été très proches l’un de l’autre jusqu’à maintenant, mais comment pourrais-je oublier un si beau visage ? Et c’est d’ailleurs ce que je lui dis. Pour la charmer davantage ? Peut-être. Mais c’était surtout parce que je le pensais réellement…

-Comment tu peux croire, Herendieria, que j’aurais pu t’oublier ? Je ne pourrais jamais me sortir un si joli visage de la tête, tu sais… ?

Je pouvais aussi revenir sur le fait qu’elle en savait beaucoup sur moi. C’était très vrai aussi que je n’en savais que très peu sur elle. Récapitulons ce que je sais… Si je ne me trompe pas et si ma mémoire est bonne, Ambrae m’a dit qu’Herendieria a 19 ans et qu’elle étudie à Berkeley aussi, mais en Danse. Hum, quoi de plus merveilleux pour ajouter à sa beauté qu’être danseuse. Elle devait être bien gracieuse sur une piste. Il ne fallait pas que j’imagine ou bien je me mettrais à divaguer et j’aurais l’air bien idiot… N’empêche, la simple pensée était captivante. Oh que non ! Concentration…

-D’ailleurs, c’est vrai que tu as des yeux magnifiques…

C’est pas tellement mieux comme réplique. Après elle va croire que je la drague. Je ne voudrais pas qu’elle pense que je dis ça à toutes les filles que je vois. Il est vrai que certaines que je voyais avait un corps bien formé ou des lèvres alléchantes, mais des yeux aussi envoûtants que ceux d’Herendieria, vous n’en avez jamais vu des pareils. Et pour ajouter à tout ça, elle avait, en plus, des lèvres qui semblaient alléchantes et un corps splendide… Je fus coupé court dans mes rêveries par la voix mielleuse de la demoiselle en face de moi. Ses paroles me firent un grand froid dans le dos. Dustin et Gordon étaient revenus ? Je me retournai vivement. C’était bel et bien eux. Qu’est-ce qu’ils pouvaient bien vouloir, maintenant ? Herendieria avait raison, ils n’étaient vraiment, mais vraiment pas des lumières… Par contre, elle avait bien tort de dire que ça prend des gars plutôt cons pour parler d’une soirée bien chaude… C’était même le sujet de conversation le plus courant entre potes. Ça et le sport.

-Alexander, bah tu t'es décidé, en fait, de te la faire ? Sage décision, mec. Tu voulais juste attendre notre départ, pour pas qu'on te la pique ? J'avais juste oublier mon portable, maintenant tu va pouvoir épingler une nouvelle fille à ton tableau de chasse. On te laisse avec la belle.

Même pas le temps de protester que Gordon avait repris son dit cellulaire et était reparti par la porte d’entrée. Quel toupet ! Comme s’il pouvait même rêver ne serait-ce qu’un instant qu’il pourrait me voler Herendieria… Même dans 100 ans, il n’aurait toujours aucune chance ! Bon, pour ça, il faudrait que la-dite demoiselle soit mienne et ce n’était pas vraiment la situation actuelle. Loin de là… L’ajouter à mon tableau de chasse… pour qui il se prend, d’abord ? Je lui ai bien dit que mademoiselle n’était pas ce genre de femme.

Et à nouveau, celle-ci vient m’interrompre dans mes réflexions. Oui, les deux étaient réellement des cons. N’empêche, ça avait dû la faire rougir un peu qu’ils parlent d’elle comme ça. Je n’avais pas vraiment remarqué, trop préoccupé par de tels mensonges profanés par ces deux cloches. Un tableau de chasse ! Et puis quoi encore ? Qu’est-ce que je pouvais bien répondre à Herendieria maintenant ? Lui dire que c’était faux, que je n’en avais bel et bien pas ? Ce serait la vérité, mais comment je pouvais lui dire sans que ça soit mal compris ? Mieux valait adopter son point de vue…

-Hah.. des cons, tu dis ? Tu ne vois que la pointe de l’iceberg, Herendieria… Ils sont pas mal toujours comme ça. Rassures-toi, ce n’est pas vrai du tout. Si j’avais un tableau de chasse, comme ils aiment croire, tu ne serais pas dessus parce que tu vaux mille fois mieux que ça. D’ailleurs, la soirée d’hier, elle ne s’est pas du tout passée comme je l’ai dit. Je joue leur jeu, tu vois ? C’est vraiment con, je sais, mais comme ça je ne passe pas pour le naïf de service. Dans mon domaine d’études, soit tu écrases les autres, soit tu te fais écraser. Je préfère encore être du côté des gagnants, quitte à faire comme tous les politiciens et déformer positivement la réalité.

Je n’en dis pas plus parce que la serveuse se pointa avec la commande de ma compagne. Bizarre, elle avait commandé pratiquement la même chose que moi. Comme la serveuse avait placé le tout entre nous deux, aucun moyen de savoir qu’est-ce qui était à qui. Il n’y avait rien comme un bon croissant avec un café pour garder le moral intact. Surtout après de pareilles conneries. Je regardais distraitement par la fenêtre. Non pas que je ne voulais pas porter attention à la beauté qui se trouvait sous mes yeux, mais je guettais que Ding et Dong reviennent au galop pour m’incendier de louanges. Oui, m’incendier. Parce qu’ils me mettent le feu de colère par l’embarras qu’ils peuvent me faire parfois, même si ça n’a jamais parut. Donc, distraitement, je posai ma main sur la table afin d’y prendre un des deux croissants. Je savais où il était de par ma vision périphérique, mais ce que je ne vis pas, c’est la main d’Herendieria se poser aussi sur ce même croissant. Oh oh… Malaise… Mes doigts se posèrent sur les siens. Devais-je les retirer tout de suite ou bien les laisser là ? Trop tard, elle avait retiré sa main. Tant pis, je pris le croissant. Surtout, il ne fallait pas la regarder dans les yeux. Je risquai quand même un regard, intrigué de savoir si elle avait rougi du geste. Il semblait que oui… Je me demandais à quoi elle pouvait penser maintenant… Ses mains étaient douces comme la soie. Ça devait être agréable de caresser sa peau, en fait… Je risquai un autre regard. J’espérais voir dans son regard le désir me mordre littéralement.

Je ramenai le croissant, agissant comme si la situation était bien normale. Dans un sens, elle l’était. C’était juste un concours de circonstances si nous avions tenté de prendre le même croissant en même temps. Et pourtant, je n’arrivais pas à en prendre une bouchée. Et doucement, ma tête se retourna et pouf… mon regard se perdit dans le sien. Et voilà, je me noyais dans ses yeux bruns. Je l’avais bien dit : elle a des yeux envoûteurs. Les plus beaux yeux qu’il m’ait été donné de voir. Qu’est-ce que je pouvais dire maintenant ? J’étais complètement conquis par son regard. Désirable était à peine le mot pour décrire cette beauté sublime. Elle ressemblait un peu à Ambrae. On voyait qu’elles étaient de la même famille. Mais Herendieria avait quelque chose de si … Un je-ne-sais-quoi, quoi ! Pour pas sortir une connerie, il valait mieux se recentrer. Mais puisque l’occasion s’y prêtait…

Je saisi ses mains. L’envie était irrésistible de le faire. Le contact de tout à l’heure m’avait mis en appétit. Étrangement, j’en avais perdu l’autre. Le croissant ne me disait plus rien qu’y vaille. La belle ironie ! Il ne fallait pas se perdre au jeu… Même si en ce moment, j’avais complètement oublié tout ce qui nous entourait…

-Tu sais… Tu peux croire ce que tu veux sur moi. Je sais qu’Ambrae a dû te dire bien plus que je n’imagine… Tu as raison aussi, je ne te connais pas vraiment.

Je fis une légère pause, soutenant mon regard dans le sien. Je gardais aussi ses mains dans les miennes, caressant du pouce droit le revers de sa main gauche. Elle avait vraiment une peau satinée. Elle fait attention à elle, c’est évident…

-J’aimerais bien apprendre à te connaître. Après tout, on s’est vus quelques fois et on ne s’est jamais vraiment parlés… Ambrae était toujours pas très loin… En ce moment, on est en toute… intimité, disons…

Devais-je reparler de la soirée d’hier et lui expliquer ce qui s’était réellement passé ou bien ça gâcherait la « magie » du moment ? Et si j’en restais à « on est en toute intimité » … ?

Alexander lui disait qu'elle était belle ? En effet Herendieria est belle et bien une jolie demoiselle et personne ne pouvait dire le contraire. Herendieria a un corps de que beaucoup de jeunes filles envient et beaucoup d'hommes essayaient à plusieurs reprise de coucher avec celle ci, mais à chaque fois Herendieria décline leur invitation avec une grande classe, on pourrait croire que Herendieria est vierge, mais non elle aurait sûrement préféré l'être mais malheureusement pour elle ne n'était plus le cas. Herendieria tenait sont corps svelte et musclé de sa mère, qui elle même était magnifique, elle rendait verte de jalousie ses amies, mais Herendieria devait aussi son corps aux heures de danse qu'elle pratiquais, Elle était bien la fille de sa mère. Elle était aussi belle et reprenais le nom de sa mère dans le monde de la danse classique, c'est vrai qu'elle ne partait avec aucun handicap pour réaliser son rêve être danseuse étoile et danser dans les plus grands ballets du monde, Mlle Wellingthon est belle, intelligente et très talentueuse et pour améliorer le tout elle portait le nom Wellingthon l'un des plus connus dans le monde de la danse, donc on pourrait dire qu'elle est pistonner, mais Herendieria veut arriver à réussir à percer dans le métier sans que personne intervienne, juste qu'on remarque ses talents de danseuse. Herendieria était une bonne danseuse certes, mais comme chaque danseuse elle avait les pieds très abimer et pour continuer à danser sans souffrir il faut souvent suivre des traitements qui ne sont pas spécialement agréable à passer, on pourrait utiliser l'expression «Il faut souffrir pour être belle.» en «Il faut souffrir pour être une bonne danseuse.»

Alexander n'allait pas lui donner les raisons de son comportement qu'il avait eu lors de la conversation avec ces deux amis, Herendieria l'avait belle et bien ressentit tout à l'heure, mais encore une fois pourquoi le ferait-il ? Aucune explication il était loin d'être très proche et puis c'était mieux ainsi, Herendieria ne voulait pas du tout savoir ce qu'Alexander avait fait la nuit dernière avec cette fille. Herendieria est une fille jalouse donc savoir qu'il couchait avec des filles ne lui plaisait pas forcement alors savoir les détails, elle se canaliserait comme à son habitude mais elle aurait sûrement envie de sauter sur le premier venu comme pour se venger, mais cela lui servirait à quoi ? Il n'a aucun sentiments pour elle, il la trouve juste jolie et ce n'est pas du tout dans le caractère d'Herendieria de sauter sur quelqu'un, il faut des sentiments réciproque et une grande confiance en l'autre. Ses erreurs lui ont couter beaucoup, donc maintenant la jeune fille est très méfiante des hommes et fait très peu confiance.
Herendieria était en train de penser à Alexander alors qu'il était juste en face d'elle, mais ses pensées s'envolèrent à la seconde ou Alexander pris ses mains. Elle eu presque eu un moment de panique. Aurait-elle pensée à voix haute ? Et qu'il prenait ses mains pour lui dire que il était désolée mais qu'il ne ressentait rien du tout pour elle. Mais no6n elle n'avait pas penser à voix haute il restait juste là à caresser ses mains en la regardant dans les yeux, elle ne comprenait d'ailleurs pas cette élan de tendresse, mais ce qui était sur c'est qu'elle aimait, mais malheureusement pour elle avait le visage rubicond, peut être avec un peu de chance il ne remarquerait rien, vu que Herendieria avait une peau halée, elle savait juste qu'elle était rouge car elle avait ressentis un léger frisson et cette chaleur monter en elle. Herendieria avait l'impression de retomber en enfance et elle en avait presque honte ce qui aggravait son cas. A cette instant elle aurait aimer ce rentrer, mais ici avec Alexander elle était bien. Malgré sa elle essayait de changer de sujet pour arrêter de penser à lui pour cesser de sourire comme une idiote et sentir cette chaleur.

- Comment va Ambrae, tu la vu dernièrement ? Moi sa fait un moment que je l'ai pas vu, il faudrait surement que je l'appelle et qu'on aille faire les boutiques ensemble entre cousines.

Herendieria mentait elle avait vu sa cousine il n'y a même pas douze heures, espérons que Ambrae n'avait mis en aucun cas mis au courant Alexander de tout ce qu'elle avait dit et surtout qu'elle ne l'avait pas mis au courant que elle avait vu sa cousine hier soir. Sinon il saurait qu'elle avait mentis et si il lui faisait remarquer elle serait plus que gêner qu'elle ne l'est maintenant.



Herendieria venait rendre visite à sa cousine comme à son habitude, mais elle venait aussi pour prendre des nouvelles Alexander, car elle n'avait pas le numéro d'Alexander pour en prendre elle même comme une grande fille. Herendieria n'était en aucun cas intéresser, mais il n'y a avait aucun mal à prendre des nouvelles d'un ami pas vrai ? Enfin c'est ce qu'elle croyait.

- Coucou ma puce comment vas tu ? Alors qu'est ce que tu raconte de beau depuis la dernière fois. Avec Shabbela, toujours pareil ?
- Je vais très bien et toi ? Avec Shabbela tu sais bien c'est toujours pareil, je n'arrive pas à m'entendre avec elle et pourtant je fais des efforts je te jure, mais j'ai l'impression qu'elle ruine tous mes efforts.
- Moi je vais aussi très bien, tu sais ma puce c'est ta jumelle vous arriverez a bien vous entendre, je sais bien que tu fais plus d'effort qu'elle, mais je peux pas t'aider j'ai ni sœur ni frère tu le sais bien et sinon toi et ton meilleur ami ? Vous vous entendez toujours autant ? Il a trouver une copine ?
- Qui Alexander ? T'es folle lui être en couple ? Sa arrivera sûrement dans très longtemps, il ne veut pas du tout avoir une relation stable c'est pas son truc, mais pourquoi tu me demandes sa ? Tu...tu l'aimes bien ? C'est sa tu l'aimes bien.
- Non pas du tout, je l'apprécie c'est tout....Arrête de me regarder comme sa, oui tu as raison mais aimer est un mot un peu fort. Je te déteste de me connaître autant, tu répéteras rien hein promis ? Maintenant que tu sais, il te dit rien sur moi ?
- Ma chérie tente ta chance avec lui et puis tu me dis que tu es pas amoureuse donc tu risque pas de souffrir si il te met un vend. A part qu'il ma dit qu'il te trouvais très jolie non il a rien dit de spéciale. Mais déjà qu'il te le dise pas à toi c'est déjà une bonne chose il veut pas coucher avec toi, bien souvent il complimente beaucoup les filles qui veut se faire.



Elle se rappelait ce qu'Ambrae lui avait dis «Il complimente beaucoup les filles qui veut se faire». Herendieria n'arrêtait pas de trotter dans sa tête, les questions ne cessaient de déborder. Il aurait mentit ? Il aurait belle et bien un tableau de chasse, il traiterait les filles ainsi ? Ce que disaient ces amis était-il vrai ? Il voulait coucher avec elle ? Elle ne serait en aucun contre l'idée «un jour», mais dans d'autres circonstances que maintenant. Elle était quasiment sur qu'Alexander était honnête avec elle, Alexander disait qu'il avait en aucun cas l'intention de coucher avec elle, mais peut être aussi qu'il n'en avait pas l'intention, mais peut être qu'il en avait pas car elle était la cousine qu'Ambrae.

Dans tous les cas de figure qu'elle le sache ou pas que ce soit vrai ou non, elle avait toujours les mains dans cette d'Alexander, elle appréciait le moment qu'elle passait, sinon elle aurait dégager ses mains, mais non elle était la en train de le regarder et toujours dans son étreinte qui lui transperçait presque le cœur. Alexander demanda à Herendieria si elle voulait que ses deux personnes fassent plus ample connaissance car c'est vrai qu'il n'était pas aussi qu'Ambrae et Alexander et bien entendue Herendieria accepta avec plaisir et puis on est samedi quoi de mieux que de rester avec lui ? Faire les boutiques ? Non.

Je savais ce qu’Herendieria devait se dire maintenant, après avoir entendu tout cela. Je lui avais dit il y avait quelques instants qu’elle était belle et je n’avais pas hésité à dire à mes idiots de potes qu’elle avait de beaux yeux. Mais après ce que j’avais pu leur dire plus tôt au sujet de cette fille de la soirée précédente, comment Herendieria pouvait maintenant me croire ? Après tout, pour elle, elle n’était peut-être qu’une autre cible, une autre fille avec qui j’aurais envie de coucher. C’était peut-être ça, en fait… Mais non, je ne pouvais pas m’imaginer coucher avec Herendieria puis ne plus jamais lui reparler par après. Ça ne se pouvait tout simplement pas. Il y avait bien plus à cette magnifique jeune femme qu’une autre histoire de baise. Et pourtant, c’était probablement ce qu’elle pouvait croire… La façade que je m’étais créée devant les deux Ding et Dong n’avait pas raison d’être devant Herendieria. La façade n’était pas qui je voulais être avec elle. Elle méritait bien mieux que ça. Le gars dominant et séducteur de ces dames que j’avais créé pour me fondre dans la masse n’existait que pour cette masse. Avec une fille d’une telle pureté, allant peut-être jusqu’à l’innocence, je n’aurais jamais pu la mériter en devenant celui que j’avais créé. Mais pour Herendieria, qui était vraiment Alexander Windsor ? Pour moi, il ne faisait nul doute que je n’étais pas ce vantard arrogant et charmeur. Et pourtant… pourtant… et si en fait, je désirais être charmeur avec elle ? Non, je ne la voulais pas dans mon lit. Enfin, peut-être, mais pas de cette façon…

Le charmeur se faisait charmer à son tour par la séduisante passionnée. Quelle ironie ! Je ne connaissais pas beaucoup Herendieria, mais elle m’apparaissait un peu comme celle qui rêve d’histoire à l’eau de rose. Peut-être est-ce que je faisais erreur sur son compte. Peut-être pas. Ce que je savais, par contre, c’était qu’elle me regardait toujours, à cet instant, avec cette flamme de passion dans les yeux. Et ce fut d’autant plus vrai quand, sur un élan de spontaniété, je pris ses mains dans les miennes, oubliant tout aux alentours, même ce qui semblait être un délicieux croissant. Elle ne retira pas ses mains. Elle aurait bien pu le faire, mais elle ne le fit pas. Je m’attendais à ce qu’elle le fasse. Qu’elle s’offusque et qu’elle me crie, peut-être, toute la frustration qu’elle pouvait avoir. Mais elle ne le fit pas. Elle resta là, ses mains dans les miennes, le regard perdu dans le mien, presque autant que je pouvais me perdre dans ses yeux ambrés magnifiques. Ses mains s’étaient réchauffées, aussi. Je ne l’avais pas entièrement remarqué, mais en caressant leur revers, je m’en rendis compte. Elle s’embrasait, je pouvais le sentir. Il fallait que cette flamme se calme. Pour le moment en tout cas. Mais non, c’était de plus en plus chaud. Ses joues prirent une teinte rougeâtre. Avait-elle rougi ? Non… ça ne se pouvait pas. Je n’avais jamais vraiment fait rougir une fille. Enfin, si, mais c’était surtout dû à l’alcool dans la plupart des cas…

Oui, elle avait rougi… Je détournai très légèrement le regard, juste un instant. Juste un instant pour éviter de réagir moi aussi à cet effet domino. Elle rougissait. Elle avait aimé ce que j’avais dit. À moins qu’elle ait plutôt aimé que je prenne ses mains. Ça devait être plutôt ça. Et je voulais éviter de réagir. Je ne rougissais pas, mais à voir le visage adorable et désirable d’Herendieria en ce moment, j’aurais pu être pris d’une certaine envie aussi. Mais c’était trop. Je ne pouvais pas regarder bien longtemps à côté d’elle. J’avais envie de savoir si elle rougissait toujours. J’aurais aimé savoir à quoi elle pensait à cet instant bien précis. Du désir ? Je l’espérais, malgré moi. Je ne voulais pas dire que je l’aimais. On aime pas personne d’un simple regard. On n’aime pas non plus simplement d’une rencontre dans un café par un pur hasard. Et puis moi, je n’aimais tout simplement pas. Avec Herendieria, ce n’était que du désir, rien de plus. Voilà, c’est ça. Du désir. Ce n’était pas de l’amour, ce n’était que de l’attirance. À moins que… Et dans tout ça, nos mains étaient toujours ensemble.

Peut-être pour changer cette tension invisble qui pressait nos cœur ou peut-être parce qu’elle n’avait rien ressenti vraiment, elle tenta de changer de sujet. J’en venais à me demander si elle avait réelleent rougi. Peut-être est-ce que je m’étais fait des idées. Qu’en fait, elle ne ressentait rien et moi non plus. Ainsi donc, elle changea de sujet. Elle me demanda si j’avais vue Ambrae récemment. L’espace d’une seconde, j’en faillis d’oublier qui était Ambrae. Heureusement que je n’étais pas trop perdu car le tout revint très vite. Quelle étrange de question c’était… Pourquoi me parlait-elle d’Ambrae ? Enfin, quand était la dernière fois que je l’avais vue ? Il me semblait bien que c’était hier, si je ne me trompais pas. En même temps, je ne l’avais pas beaucoup vue ces temps-ci. C’était normal, elle n’avait plus vraiment besoin de moi… Elle était avec ce gars, là… Son nom, dur à se rappeler à cet instant. Mais je me souvenais qu’elle était en couple. J’étais aussi bien heureux puisqu’elle aussi l’était. Qu’avait été notre dernière discussion, à Ambrae et moi ? Il fallait que je me souvienne…

Ah oui ! Étrange… Comme toujours, on avait parlé de tout et de rien. Mais était-ce une coïncidence ? Il semblait que mes souvenirs me rappelait que nous avions discuté d’Herendieria, justement. Qu’est-ce qu’elle m’avait demandé déjà ?


-Dis-moi, mon cœur, ma cousine te plaît ?

-Hein ? Ta cousine ?

-Oh allez, fais pas l’innocent ! Herendieria ! Elle te plaît ?

-Herendieria ? Bah, elle est vraiment unique, ta cousine. Vous êtes toutes belles, dans la famille, alors ça paraît qu’elle en fait partie.

-Elle te plaît, alors ?

-Qu’est-ce que tu veux que je réponde à ça ? En tout cas, je ne veux pas t’offenser, ma petite chérie, mais bien que tu sois la plus belle du monde, je dois dire que ta cousine a les plus beaux yeux que j’aie jamais vus.

-Hah, je pensais que c’était moi la plus belle de toute ? Et ça répond pas à la question…

-Je ne sais pas, Ambrae… Elle est vraiment très belle et elle est très attirante.

-Donc elle te plaît !

-Bah.. oui, elle me plaît ! Où est-ce que tu veux en venir ?

-Nulle part… Hihihi.


Aie, quel con… C’est vrai que ça me revenait, maintenant. J’avais dit à Ambrae que sa cousine me plaisait. Forcément, elle avait dû comprendre de travers. Ambrae essayait de nous mettre ensemble ? Ou bien c’était juste une coïncidence ? Oui, ça devait l’être… Après tout, Herendieria venait de dire qu’elle n’avait pas vue Ambrae depuis un moment. Donc c’était juste le hasard que hier seulement, Ambrae me demandait si sa cousine me plaisait et qu’aujourd’hui je voyais cette cousine dans un café. Après tout, Ambrae ne m’a pas dit d’aller à CE café ce matin. Elle ne m’a pas non plus envoyé les deux Ding et Dong m’inviter à prendre un café à cette heure précise. Ça ne se pouvait tout simplement pas. Je doutais même qu’elle ait déjà parlé sérieusement avec ces deux-là. Par contre, avait-elle parlé à Herendieria après m’avoir parlé ? Ou bien elle lui avait peut-être parlé avant ? Ça devait être ça… Elle avait dû lui parler avant, il y a bien longtemps. Qu’est-ce qu’elles pouvaient s’être dit sur moi ?

Ce qui était sûr, c’est que j’avais dit à Ambrae que sa cousine me plaisait et que je voyais la beauté qu’était cette cousine dans un café le lendemain. Et que je tenais encore ses mains dans les miennes sans les lâcher, comme si c’était devenu quelque chose de bien normal. J’aurais bien pu retirer mes mains de là et la laisser, mais quelque chose m’en empêchait. J’appréciais le moment, à vrai dire. Tout à coup, il me revint en tête que je venais de demander à Herendieria si elle voulait que l’on apprenne à se connaître un peu mieux. Le mot intimité me revint en tête assez vite aussi. Je jetai deux coups d’œil rapides autour de moi. Intimité était bien loin d’être la situation présente. Le café était assez plein de monde qui pouvaient nous épier à tout moment. Donc pour l’intimité, on pouvait repasser… Il fallait que j’évite de lui demander d’aller dans un endroit plus privé. Ça allait sonner horriblement prévisible. Ce n’était pas l’envie qui manquait, par contre… J’aurais bien aimé me retrouver complètement seul avec cette beauté, pour qui je ne pouvais décrocher mon regard, l’espace de quelques instants. Mieux valait ne pas penser à ce que pouvait être d’avoir Herendieria au lit avec moi. C’était hors de question, même si c’était tentant de l’imaginer. Non non non ! Il ne fallait même pas y penser.

Je n’avais toujours pas répondu à sa question si j’avais vue Ambrae tout récemment. Je commençais à me demander si je ne devrais pas répondre, justement. Combien de temps avait passé ? 5 mins ? 15 ? 1h peut-être ? Elle devait trouver que je prenais bien du temps pour réfléchir à quelque chose d’aussi simple. À moins que ça ne fasse en réalité que quelques secondes… ce qui était en fait le cas. Elle aussi sembla réaliser sur le tard que je lui avais demandé si elle voulait qu’on apprenne à se connaître. Elle avait accepté volontiers. J’en étais presque soulagé… Elle ne m’en voulait donc peut-être pas. Elle n’était peut-être pas frustrée du fait que je puisse avoir étalé une histoire de baise, bien que fausse, pour me vanter. Elle avait vu la vérité par elle-même… Il fallait tout de même que je réponde à sa question. Oui, j’avais vu Ambrae.

-Ouais. On se voit pas mal tous les jours. Je l’ai vue hier, justement. Tu devrais l’appeler si tu veux magasiner avec elle. Elle a du temps libre, tu sais ? Mais… pourquoi me demander ça ?

Il fallait que je sache. Elle allait certainement éviter la vraie raison, mais je voulais savoir quand même. Après tout, elle ne pouvait pas mentionner sa cousine comme ça, juste pour changer de sujet. Elle aurait pu me parler de n’importe quoi d’autre… Et dire que je tenais toujours ses mains dans les miennes. Elle ne s’en lassait pas, il semblait. Ça tombait bien puisque moi non plus. Avec tout ça, j’en avais complètement oublié le café et le croissant. Si bien que je faillis demander à Herendieria si elle voulait aller ailleurs. De plus tranquille, oserais-je préciser. Les mots me brûlaient la langue, mais je ne devais pas les prononcer. Pourquoi ne pas aller manger ensemble ? Ah… les croissants. Dans un sens, c’était ce que nous étions en train de faire. Même si nous ne mangions pas vraiment. Donc, c’était un peu comme un repas en tête-à-tête, sans repas… Ou plutôt, le repas était là, mais l’envie d’y toucher, elle, n’y était pas. L’envie était plutôt déplacée ailleurs… Quelque part dans la région du cœur, qui battait à tout rompre. Quelque part comme dans les yeux, rivés dans ceux de cette beauté divine. Quelque part entre les doigts, caressant le revers de ses mains d’une façon bien plus tendre que j’aurais pu le vouloir. Trop tendre pour la conscience. Et dans ce tumulte de tendresse, j’attendais de savoir pourquoi elle avait voulu savoir si j’avais vue Ambrae récemment…

Herendieria épiait les filles qui ne faisaient que regarder le beau Alexander, ses jeunes filles devait bien être dans la tranche d'âge d'Herendieria et sachant qu'Alexander a vingt six ans, elle avait envie de leur sauter dessus, pour leur dire qu'elles n'avaient aucune chance, enfin c'est ce qu'elle aimerait croire, mais ses jeunes filles étaient provocante et très belles, surement le genre des filles à Alexander, mais Herendieria se disait bien qu'Alexander n'aurait pas le toupet d'aller voir ses demoiselles, alors qu'il était tout de même en très bonne compagnie, c'est ce qu'on pourrait croire en tous les cas, mais ce qui était sur et certains c'est qu'Herendieria se sentait compresser, tout le monde les regardaient, est ce que c'était le fait qu'ils se tiennent les mains, et il fallait savoir que la plupart des personnes qui était dans le Zumi Cofee était des élèves de Berkeley, ils venaient tous prendre leur café avant d'aller faire des boutiques dans le coin, comme ce qu'Herendieria avait prévus de faire, mais son emploi du temps avait tourner à un rêve avec la personne qu'elle affectionnait le plus. Comment Alexander ne pouvait pas s'apercevoir qu'elle l'appréciait bien plus que lui pouvait l'être ? Herendieria ne se reconnaissait pas quand elle était en sa compagnie, elle qui était si sur d'elle, qui n'avait pas du tout les mêmes réaction quand il n'était pas dans le coin, elle n'avait plus aucun contrôle, dans un sens elle adorait sa comme si elle sortait de sa coquille une sorte d'adrénaline, mais elle détestait aussi cela car ce manque de confiance en elle avait des inconvénients c'est à dire un visage rouge, alors que rougir ne lui arrivait jamais, enfin juste en compagnie Alexander. Herendieria le regardait à chaque fois qu'il détournait son regard pourquoi le fuyait-il ? Aurais t-il vu qu'elle rougissait ? Et que cela le gênait plus qu'autre chose. Herendieria décida enfin à lâcher ses mains sont regard fuyant la mettais mal à l'aise, elle replaçait des mèches de cheveux derrière des oreilles, ensuite elle prit un croissant placer devant elle et commença à le manger en fuyant le regard du jeune homme, à son tour.

Alexander lui demandais pourquoi elle lui demandait comment ses portait sa cousine, Herendieria savait très bien, mais elle ne pouvait pas pas lui dire, qu'elle avait pris un élan de tendresse, Herendieria essayait désespérément de trouver une raison qui pouvait passe assez crédible au yeux Alexander et d'ailleurs pourquoi Alexander lui demandait ? Elle lui avait dis qu'elle n'avait pas vu Ambrae depuis un moment, bien entendu c'était totalement faux et Alexander aurait put le découvrir. Et si c'était le cas elle ne pouvait pas répéter le même mensonge, mais si il la croyait il fallait qu'elle ne déforme pas la réalité qui est fausse soit en dit en passant, mais en même temps il fallait donner une autre explication. Herendieria réfléchissait vraiment beaucoup, le bruit assourdissant résonnait dans le Zumi Cofee, les réflexions d'Herendieria s'embrouillait. Contre son gré elle essayait de suivre les conversations des personnes autour, mais sans succès. Alexander, Alexander, Alexander c'est sur lui qu'il fallait se concentrer, toute son attention sur lui, c'est lui le plus important dans l'histoire.

«Ambrae ne m'aimes pas autant que toi, tu es surement la personne en qui elle a le plus confiance, je voulais savoir si elle t'avais dit quelques chose à propos que je sois amie avec sa sœur jumelle, Shabbela, tu as dut déjà la voir. Mais j'ai peur qu'elle m'en veuilles. Et puis même si elle te l'avais dit à toi, ce n'est pas pour que tu viennes me le dire juste après, donc laisse ce n'est pas grave, changeons de sujet.»

Herendieria voulait absolument changer de sujet, elle espérait qu'il ne remettrait pas sa sur le tapis, mais normalement non. Herendieria avait été clair et net, elle ne voulait plus du tout en parler. Mais de la jeune fille pouvait-elle parler ? Et puis dans le café, les personnes se multipliait, donc le bruit devenait de plus en plus insupportable, puis un serveur vint à leur table.

«Je suis désolé, mais nous allons vous demandez de partir, vous êtes la depuis un moment et nous avons du monde ici, qui attende que des tables se libèrent, si vous acceptez nous mettrons votre commande dans un emballage et pour vous remerciez votre commande vous sera remboursé, lors de votre prochaine commande chez nous, vous n'aurez qu'à présenter votre facture et nous vous rendrons tout ce que vous avez commandez aujourd'hui.»

Herendieria guettait un semblant de réponses Alexander, il hocha de la tête, bien entendu Herendieria compris que sa réponse était «oui» lui aussi voulait partir d'ici. Le serveur encore à côté d'eux attendait leur réponses, les deux jeunes se mirent debout et tendirent leur facture pour qu'il marque «remboursés» dessus. Le serveur leur demanda si ils voulait qu'on emballe leur commande pour Herendieria la réponse était non et la réponse Alexander suivit à la sienne. Herendieria avait l'intention de l'inviter au restaurant un peu plus tard dans la matinée si il avait le temps, mais lui n'en savait encore rien du tout. Quand Herendieria et Alexander quittèrent le café elle fit un grand sourire au serveur qu'il l'avait presque sauver de ce mal de tête, donc sa valait bien un sourire, non ?

Quand Herendieria fut dehors, elle prit un grand bol d'air, dieu merci elle était dehors, ce qui ne changeait pas vraiment, à part qu'elle avait pas le brouhaha qui se trouvait à l'intérieur, mais les regards étaient toujours sur eux, mais Herendieria avait l'habitude de ce regard, on la regardait souvent, parce qu'on la trouver maigre pour sa petite taille ou encore on la trouvais magnifique. Enfin Alexander et Herendieria se dirigeait vers le parc, elle était bien contente de se diriger la bas, elle aimait beaucoup ce coin car les personnes qui passait pas la était seulement les plus vieux qui sortait les chiens ou qui courait pour être en forme et quelques élèves qui passait par la à leur heure perdu.

Une fois à l'intérieur, elle alla s'installer dans l'herbe qui était fraiche et douce, elle aimait cette sensation d'être un lit de pelouse, Herendieria regardait Alexander avait un grand sourire, elle se remit debout s'approcha de lui, elle releva le col du beau jeune homme pour pouvoir enlever la cravate du jeune homme, elle voulait s'amuser et bien entendu elle voulait qu'il se détende un peu avec elle. Une fois qu'elle enleva sa cravate elle remit bien son col de chemise en déboutonnant les trois premiers boutons de sa chemise et puis Herendieria faisait tout sa en le regardant dans les yeux, cela pouvait sembler arrogant, mais pas quand Herendieria le faisait, au contraire sa douceur paraissait tellement agréable. Herendieria se mit sur la pointe des pieds et lui fit un baiser sur la joue l'envie était irrésistible, elle baissait les yeux sur son torse, non pas parce qu'elle était gêner, mais pour l'admirer, puis elle lui donna une petite tape sur le torse qui ressemblait plus à une caresse. Herendieria lui fit un dernier sourire avant d'aller enlever ses chaussures et courir pour faire quelques roues.

Herendieria revenait à plusieurs reprises auprès d'Alexander, elle lui prit les mains, et essayait de lui transmettre son énergie, Herendieria avait bien souvent une énergie qui se transmettais, son énergie donnait vraiment la pêche et elle voulait vraiment lui donner sa pêche.

Puis un moment elle s'éloigna un moment elle dansait puis un garçon lui arrivait pas derrière et lui donna une grande claque dans les fesses. Herendieria était offusquer elle se retourna en colère en oubliant presque qu'Alexander était la. Il se trouvait que cette personne était un élèves de Berkeley, elle le connaissait de vus mais ne lui avait jamais parler elle ne s'intéressait pas à ce genre de mec.

« - Salut !!!!! Mademoiselle, T'es superbe.»
« - Dégage, ça va pas ? Ta des problèmes, va te faire soigner pauvre débile.»
« - C'est bon t'es avec le plus grand baiseur de Berkeley, il a dut se faire toutes les filles de Berkeley , sauf toi et t'es avec lui la si je me trompes pas donc c'est ce que ce soir au plus tard tu seras dans son lit, qui accueillis bien plus qu'une fille. Et tu es choquer quand on te tape les fesses» il disait sa en regardant derrière l'épaule d'Herendieria et faisant un signe de la main à Alexander.
« - Non, il couchera pas avec moi, t'inquiète pas pour moi et DEGAGE !!!!»

Le jeune homme n'avait pas l'air de partir et tout cela avait le don d'énerver la belle, heureusement qu'Alexander était à cet heure ci trop loin pour entendre ce que le jeune homme avait dit sur lui, il aurait put être vexé, mais il avait vu le geste déplacé il n'y avait aucun doute. Herendieria n'arrivait pas du tout à le faire partir, elle se demandait si ce n'était pas un signe du destin qui lui disait de ne pas être avec Alexander et que toutes ses personnes était des indices, mais à cet heure ci le destin pouvait aller se faire voir, elle voulait rester avec lui et puis si il voulait coucher avec elle ? Elle n'accepterais pas, elle savait très bien se défendre, mais beaucoup moins convaincante quand il s'agissait de faire partir un jeune homme.