| | | « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton |  |
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| Auteur | Message |
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Invité Invité
 | | Sujet: Re: « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton Dim 2 Mai - 18:17 | |
| Contrairement à Thomas qui lui avait baigné dans cette vie de strass et paillettes toute sa vie, Chelsea n'avait pas exactement la même vie que celle d'une bimbo rouquine capitaine des cheerleaders de l'équipe de basket-ball de l'université. Avant d'en arriver là, Safton tenta le tout pour le tout pour se faire une place parmi son collège. Mais son physique disgracieux, n'avait pas joué à son avantage. Heureusement que son grand frère avait été là pour la soutenir. Et surtout pour lui mettre un coup de fouet. Chelsea s'était mise au sport intensif, du moins elle ne faisait plus que ça. Les cours étaient totalement mis de côté pour laisser place à une activité sportive. Il y avait son look également à changer, elle qui s'habillait comme un sac à patate avec sa nouvelle plastique, Chelsea pouvait se permettre les petites jupes sexy et les tops à paillettes. Une véritable transformation. La Chelsea d'aujourd'hui était une femme complètement libre de ses actes et de son corps. Elle faisait ce qu'elle voulait de sa vie et de ses relations sociales et surtout extra-conjugales il fallait le dire. Son activité de vengeresse s'était un peu calmée, de deux ou trois jours seulement avant de trouver une nouvelle proie à se mettre sous la dent. Peut-être que maintenant, tout ceci était devenu un passe-temps plutôt qu'un besoin. La vengeance avait emportée complètement la Chelsea qui se cachait sous cette carapace. Seul Thomas et quelques privilégiés savaient qui elle était réellement sous les traits de cette allumeuse qui faisait parler d'elle.
La vie de Thomas était donc bien plus palpitante que la sienne. Chelsea n'aurait même pas dit non à un peu de piment dans sa vie quotidienne ou même sentimentale. L'amour n'était plus vraiment sa tasse de thé à vrai dire. Après Thomas & Sterling, plus personne n'avait franchit le rempart SAFTON. Difficile à franchir, mais ensuite on appréciait réellement l'arrivée. Le simple fait de revoir Thomas, de voir son sourire ravageur laissait Chelsea de marbre. Elle ne faisait juste que tirer sur sa cigarette après tout, la seule qui pouvait encore se faire expulser par la jeune femme.
THOMAS : « J’espère bien ! D’ailleurs, peut-être que dans l’avenir on se recroisera quand tu voudras te refaire au botox. »
Chelsea ria ou plutôt laissa échapper un rire de sa bouche, mais vraiment minuscule. Avait-elle besoin de se refaire au botox alors que sa plastique était tout à fait parfaite ? Une IOTA se devait de rester en forme, le sport avant toute chose. On ne voyait pas un seul bourrelet, ni même une boule de graisse sur les longues jambes de la cheerleader. Imaginez l'horreur si jamais la capitaine des pompom-girls grossissait à vue d'oeil ? Une honte. Ce n'était pas vraiment dans les objectifs de Chelsea à ce moment précis.
- « Penses-tu que j'ai vraiment besoin de chirurgie ? Tu as été le premier à vanter les mérites de mon corps, monsieur Johansten ! »
Bien sûr, tout était dit sur un ton ironique légèrement moqueur. Mais qui sait, peut-être qu'au final c'était vrai ? Après tout, la rouquine ne savait pas vraiment ce que Thomas pensait de ces retrouvailles. L'IOTA avait l'impression de repartir en arrière, au temps où ils formaient un couple vraiment parfait. Mais pas assez mâture pour continuer. C'était plus pour jouer, même si Chelsea avait ressenti des sentiments profonds pour le DELTA. La simple vue de son regard posé sur son corps mettait la jeune femme légèrement mal à l'aise. Mais elle ne devait montrer aucun signe de faiblesse. Imaginez si un photographe traînait ? Ou même si Thomas s'en rendait compte ?
THOMAS : « C’est vrai, mais je dirais plutôt, difficile d’en avoir une ! Entre les journées de 12 voire 14 heures, les séances d’autographes aux quatre coins du monde, t’as pas vraiment le temps pour ça. Heureusement que la majorité de mes fans sont des filles ! Ca ma permis de faire de charmantes rencontres. » « Et de ton côté ? Est-ce que Mademoiselle Safton a enfin trouvé l’amour ? ou alors est-elle encore raide dingue de moi ? »
Bien sûr que c'était des femmes ! Comment ne pas résister à son regard de braise ? A son corps d'apollon ? Il fallait être aveugle pour ne pas remarquer quel homme était Thomas Johansten. Mais ensuite, pour en être réellement amoureuse, il fallait surtout apprendre à connaître ce fabuleux jeune homme. Chelsea en connaissait un peu, mais sûrement pas assez à l'époque où ils étaient fusionnels tous les deux. La rouquine écrasa son mégot contre le rocher puis s'étala sur sa serviette les deux coudes prenant appui pour encore observer le DELTA aussi beau au naturel que derrière l'écran. Oui, Chelsea l'avouait. Elle avait été voir tout ses films. Mais ça, pour paraître cruche, elle préférait plutôt le garder pour elle.
- « En même temps, je les comprends. Qui ne voudrait pas d'un homme comme toi ? » fit-elle en souriant. « Oh, moi... Tu ne me laisses jamais indifférente, Thomas. Mais non, l'amour n'a pas frappé à ma porte aujourd'hui. »
L'amour .. Une perte de temps ? Ou une peur bleue ? Ca c'était à miss Safton de connaître la réponse. Pour le moment, la jolie rouquine n'y trouva aucune réponse.
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| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton Mer 12 Mai - 15:47 | |
| Même si j’ai partagé une partie de ma vie avec Chelsea durant un laps de temps court – trop court sans doute – je sais qu’elle est loin d’être cette bimbo sans cervelle que certaines personnes ont tendance à le croire. Certes, on peut se demander si elle ne passe pas plus de temps à faire du shopping au centre ville plutôt que d’étudier. Pour être franc et réaliste, je suis persuadé que la jolie rousse passe davantage de temps dans les centres commerciaux mais cela ne veut absolument rien dire. On juge trop souvent les gens sur leur apparence, sur leur look et moi-même je suis comme ça. Parce qu’une fille met des tops trop courts, on pense que c’est une fille facile qui n’attend plus que de se faire rouler dessus –si vous me permettez cette expression peu sympathique – , quand vous croisez un homme mal coiffé, les cheveux tout ébouriffés et légèrement sale, vous pensez que c’est un clochard ou qu’il a des problèmes d’argent. Quand vous croisez un homme qui sort d’une limousine, vous vous dites que c’est un crétin. Tout le monde juge, nous sommes de humains après tout et tous pensons de la même façon, ou plus au moins de la même façon. Je suis le premier à admettre que j’ai tendance à juger les gens un peu trop vite et c’est d’ailleurs pour cette raison que je m’efforce de ne plus le faire. Parce qu’au fond, quand j’ai connu Chelsea, je la prenais comme une fille facile, je m’étais dit que ça n’allait être qu’une histoire de cul entre elle et moi et pourtant, c’était allé au-delà de ça. Nous avions vécu quelque chose tous les deux. Un sentiment peut-être pas aussi fort que l’amour avec un grand « A » mais je dois bien admettre qu’elle avait touché quelque chose en moi.
En la revoyant après tout ce temps qui s’était écoulé, je ne pouvais m’empêcher de me remémorer de bons comme de mauvais moments passés en sa compagnie. Je n’oubliais pas nos ébats intenses en plaisirs et je ressentis mes mains glissé sur sa douce peau blanchâtre. Nos corps s’entremêler, nos baisers échangés. Bien qu’aux yeux de tout le monde je passe comme un salaud sans cœur, je n’oublis jamais les femmes qui ont atteint quelque chose en moi. En l’occurrence, Chelsea l’avait fait et je ne l’ai jamais réellement oublié. Malgré tout, je ne peux pas dire que j’en sois amoureux, non, l’amour est désormais un sentiment que je veux rayer de ma vie en ayant beaucoup trop souffert précédemment. Cela dit, être ici en sa présence me rendait très heureux. Il m’était agréable de penser que même si nous nous étions séparés, nous étions restés en de bons termes.
CHELSEA : « Penses-tu que j'ai vraiment besoin de chirurgie ? Tu as été le premier à vanter les mérites de mon corps, monsieur Johansten ! »
Je compris parfaitement bien que sa remarque n’était pas citée sur un ton pour me faire comprendre sa vexation ou autre. Elle-même avait saisi que ma réplique précédente n’était en fait qu’une autre de mes plaisanteries habituelles. Je lui adressai un sourire avant de répondre sur un ton charmeur.
THOMAS : « Et je le suis toujours crois-moi ! »
En effet, je ne peux nier le fait que la plastique de Chelsea est tout simplement irréprochable. On peut parfaitement comprendre aussi comment elle a pu sortir avec moi. Je suis le genre d’homme qui aime les belles femmes – comme plus au moins tous les hommes c’est vrai – mais j’aime également les femmes qui ont du caractère. Les pauvres cruches qui ne savent pas où est leur cul, peu pour moi ! Je la regardai s’allonger et je ne pu m’empêcher d’admirer ses jambes telles celles d’une vraie top modèle. Il faut dire que lorsque nous étions ensemble, nous formions un très beau couple.
CHELSEA : « En même temps, je les comprends. Qui ne voudrait pas d'un homme comme toi ? » fit-elle en souriant. « Oh, moi... Tu ne me laisses jamais indifférente, Thomas. Mais non, l'amour n'a pas frappé à ma porte aujourd'hui. »
Il est vrai que je n’ai jamais éprouvé de grande peine pour trouver une fille. Depuis mon adolescence les filles se plient à mes pieds. Mon physique y est bien entendu pour quelque chose. Par ailleurs, c’est bien pour cette raison que je l’entretien. En effet, je ne fais peut-être pas partit de la confrérie IOTA qui passe une grande partie de son temps libre à faire du sport cela dit, j’en pratique régulièrement. Et puis, savez-vous que les relations sexuelles brûlent énormément de calories ? (a)
THOMAS : « Tant mieux ! J’ai pas vraiment envie qu’un mec débarque chez moi demain pour me casser le figure prétextant que je draguais sa copine quand on verra des photos de nous dans les prochains magasines people. » fis-je en souriant.
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| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton Dim 15 Aoû - 20:22 | |
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| | Sujet: Re: « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton | |
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