| | | Never meant to start a war | Caroll |  |
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Invité Invité
 | | Sujet: Never meant to start a war | Caroll Ven 28 Aoû - 21:33 | |
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« Both hands, tied behind my back with nothing
Oh no, these times when we climb so fast to fall again
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Les erreurs sont humaines, vrais ? Parfois nous faisons des choses qui en temps normal, nous paraîtrait horribles. Mais dans la folie du moment parfois sa semble être la seule chose a faire, la normalité des choses, comme si tout se déroulerais comme il faut. Mais dans ces instants là, nous agissons sous l'effet de l'adrénaline, dans le plus profond de nous, nous savons que le geste est mal, mais nous refusons de le voir, d'y faire face ou simplement d'arrêter. Parce que c'est trop bon. Dans ces moments nous ne pensons pas aux gens que nous pourrions blesser, parce que c'est trop bon. On oublie nos valeurs, nos convictions, ont s'oublie soi-même, parce que c'est trop bon.
J'avais rencontré Caroll Venn pour la première fois dans les Hamptons l'été avant de commencer la troisième année du lycée. A l'époque nous étions tellement différent, elle avait l'allure d'une princesse, le genre de personne qui donne envie d'être fréquenté, J'habitais la maison voisine a la sienne. Un soir alors qu'elle pleurait sur les marches de son patio pour une histoire d'amour compliqué, je lui adressa la parole pour la première fois. Pour les reste des vacances nous nous étions éclatez, nous avions réellement fait les quatre cent coups. Avec mes talents pour jouer la comédie, je réussis a convaincre mes parents de me faire transférer au même lycée qu'elle. Depuis ce jour nous étions amis, de très bons amis.
L'an dernier, j'avais eût le coup de foudre, et j'avais à la fois fais une erreur, que j'avais regretté longtemps, mais que je ne pouvais malheureusement pas effacer, que je ne pouvais pas oublier, de un parce que l'avoir fait m'avait apporté de la satisfaction, mais a la fois du remord. Edward était de loin un des, sinon le seul gars qui m'avait fait ressentir cette sensation, celle à laquelle tout le monde souhaite goûter. J'étais tomber raide dingue pour le copain de ma meilleure amie, un classique. Mais si les choses n'aurait pas été aussi compliqués aussi. J'avais pris mes distances a cause de toute cette culpabilité, mais du jour au lendemain, j'avais eût droit a une tonnes de visages froids de la part de Caroll. Le fait que je prenne mes distances lui avait probablement foutu une bonne claque en pleine figure, surtout au moment où elle avait le plus besoin de moi, alors que sa relation avec Edward pris une fin des plus nulle, son accident de voiture, la mort de ses parents. Mais j'étais incapable, incapable de répondre a ses messages, a ses appels, de croiser son regard, parce que je me sentais trop mal, de ne pas regretter au début. Après tout c'était normal qu'elle m'en veuille, avec la façon dont je l'avais laissé tomber.
Ce soir là, je repensais a plusieurs choses, des questions existentielles, a ma vie en général, j'avais les blues. Et chaque fois que j'avais les blues, le toit de l'école me semblait le meilleur remède, d'ici ont pouvait voir l'océan, la ville, les lumières. Toute ses personnes qui s'entrecroisait dans les rues. Il faisait un froid de canard pour un mois d'août, j'avais mis un petit manteau noir et une écharpe. Il faisait bon de revoir le toit, sa faisait un bail depuis la dernière fois que j'y étais monté. Tout avait changé mis a part un détail, et non le moindre.
Elle se trouvait là, debout, surprise de me voir ici, bouche bée, en fait nous l'étions tout les deux. C'était le moment, celui que j'avais tant fuis. Mais j'avais tant de questions. Pourquoi aucunes paroles, pas même un sourire ou un geste de la main. J'étais mal, quoi dire.
J'avais oublier que tu aimais venir ici toi aussi ...
Après avoir commis une telle erreur, vient toujours le moment de la confrontation pour plus tard passer à celui de la rédemption.
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| | Sujet: Re: Never meant to start a war | Caroll Dim 30 Aoû - 20:57 | |
|   Je n'avais jamais été une élève intérréssé par le pouvoir, le luxe, la célébrité ou ces choses là. La popularité qu'avait connut mon nom l'année qui venait de s'achever avait clairement fait tourner mon destin dans l'université que je fréquentais maintenant pour ma quatrième année. Tout avant me semblant simple. Avant Alpha, la tête plongée dans les bouquins, je n'avais jamais vut à quel point le monde dans lequel je vivais était totalement fermé. J'étais dans une bulle, dans ma bulle et lorsque la mort de mes parents la perça, je me suis vut projeté au milieu d'un banc de requins ... Terrifiante description n'est-ce pas ? Après le décès de mes parents, j'avais décidé de changer totalement, de prendre un tournent et de devenir une soeur Iota. A Noël je me vis projetée très rapidement et en doublant toutes les candidates déjà présentes pour le poste de capitaine des pompom girls et présidente de confrérie.
Non je n'avais rien compris à la vie de l'université. Je voyais les études mais alors que je rentrais dans cet atmosphère noyer de paillettes je vivais enfin une vie dangereuse, amusante et pleines de tentations ... Mais tentation rime avec corruption ... La vie n'avait pas été douce avec moi cette année, à se laisser trop entrainer, on finit par tomber et à blésser les gens que l'on aime. J'avais briser mon amitié avec mes deux meilleures amies Annalynn et Nena ... De plus, mon coeur fut balloté de gauche à droite entre deux garçons qui malgré moi faisait partit entièrement de ma personnalité. Je les aimait et ne pouvait choisir. J'avais tord car cela me détruisit encore plus. Edward Atwoodth et Lucas Stane ... J'y repense souvent, mais il faut oublier ...
La première semaine de cours venait de reprendre. J'avais laissé en plan Edward et Lucas qui me demandait de faire un choix. Je l'avais fait. Finit de me faire marcher sur les pieds. Finit que l'on me prenne pour la présidente de confrérie à qui tous les malheurs tombaient dessus sans qu'elle le cherche forcémment. Finit la jeune femme qui n'osait dire non à tout et qui ne voulait blésser personne. Cette époque était belle et bien révolue. Mes amis m'avaient trouvé froide et distante mais je restais pourtant la même au fond. Les autres durent croirent à un gag. Une toute nouvelle Caroll Venn venait d'arriver, plus vibrante, plus pétillante, plus garce et froide qu'avant et beaucoup plus confiante en elle ...
J'étais sur le toit de l'université. J'avais finit de faire la réunion anuelle des Iotas sur les nouvelles arrivantes. Je pouvais enfin respirer et m'impregner de ma nouvelle personnalité. Une carapace de plus sous laquelle me cacher, sous laquelle mon coeur réparait ses misérables morceaux. De l'amour, pff, ça n'existait pas ... Mais un bruit vint interrompre ma réflexion, tournant la tête vivement j'apperçut la personne que je voulais éviter à tout prix depuis la rentrée, il était devant moi et me lança une phrase presque inaudible. Je le regarda ma toute nouvelle froideur reprenant le dessus :
Tu oublis beaucoup de choses ces derniers temps ... |
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| | Sujet: Re: Never meant to start a war | Caroll Mer 16 Sep - 4:16 | |
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Contrairement a ce que plusieurs pourraient bien coire, la vie est difficile lorsqu'on est jeunes, aimables, avec un minimum de beauté, de charme. Parce que nous sommes tous dans une grande quête, la quête de l'amour, oui parce que lorsqu'on se sent seuls, au milieu d'une soirée chic et glamour, avoir seulement quelqu'un a qui pensé, en sachant que lui aussi pense a nous suffit a nous procurer un sentiment de réconfort, comme si nos vies était parfaites. Il y a aussi la quête de la perfection justement, pour certains, ceux qui essaie tant bien que mal de créé une illusion aux yeux de tous, l'illusion que leur vie est tellement mieux que la leurs, alors qu'en fait, elle ne l'as jamais été. La quête de soi-même, quand le monde auquel tu fait partie de ronge le cerveau, ou plutôt le coeur, quand tout ce que les gens autour de toi font semble être mal, alors qu'au contraire, leurs actions sont censés représenté le bien. La quête de la popularité, parce que l'on ne veux Ô surtout pas être ignoré ou oublier, dans ce cas, certains font des actions stupides, illogiques ou tout simplement fausses pour se faire remarquer, pour se faire parler d'eux. En bref, nous cherchons tous a nous faire aimés, à rester dorés. Et parfois c'est lorsque nous en faisons trop, que nous faisons tout basculer.
Pour ma part, j'avais tant de fois chercher l'amour là où il ne le fallait pas, parce que dans le monde auquel je faisais partie, c'est ce que tous font, c'est de la bonne façon. Puis parce que l'amour était ce qui manquait a mon illusion de la perfection, et j'arrivais a faire parler de moi du même coup, pour ne pas que l'on m'oublie. Tant de fois j'avais fais mine de rien devant des gens qui m'avait blessé, parce que ma vie parfaite n'était pas censé avoir de problème dans quoi que ce sois, avec qui que ce sois. En fait j'étais un froussard, parce que plutôt que d'affronter mes problèmes, je les fuyais. Un très bon illusionniste, parcequ'ent tout temps tout semblais parfait, j'étais parfait, alors que sa ne l'était pas vraiment derrière ma fausse gentillesse, et que je ne l'étais pas si ce n'était pas de mes vêtements a des milliers de dollars, ma coiffure dans laquelle j'avais mis de temps, et dans mon faux bronzage que j'avais réussis a falsifier avec le temps. J'étais un hypocrite aussi, parce que c'était selon-moi quelque chose que je ne supportais pas chez une personne, alors que je savais très bien que moi-même je l'étais, en tout temps, oui, les mensonges faisaient royalement partie intégrante de mon quotidien, de ma triste et fabuleuse vie. En fait c'est ce que tout le monde est dans notre monde, notre univers, clos mais tellement ouvert, parfait mais tellement débauché, joyeux mais tellement triste. Des froussards hypocrites qui créés des illusions parfaites en cherchant a faire parler d'eux. Prenons exemple sur Caroll Venn, une fille a qui tout les malheurs sont arrivés, qui devrait pourtant passer le reste de sa vie a se morfondre parce que c'est ce que je ferais si c'était mon cas. Mais elle continue a sourire, a agir comme si tout vas bien, comme si tout est parfait alors que les mille et un petits et gros malheurs ne cessent de s'empiler. Parce qu'elle fait elle aussi partie du royaume des paillettes, de la fausse fantaisie, en fait elle serait supposé en être la reine si s'en était de moi. Elle avait pris de l'assurance bien évidement, sa démarche était plus sûre d'elle, son menton plus haut également et elle ne cachait plus ses magnifiques jambes derrière des ballerines ou des petits talons, non maintenant elles étaient supportés par de hauts, chic, glamour, vrais talons aiguilles avait-elle peur d'être oublier elle aussi ? moi oui en tout cas. Sa réponse avait été brève et fausse. En fait je n'oubliais rien, j'évitais simplement de m'en rappelé, c'était beaucoup plus parfait et classe comme ça, sa sonnait moins sale. Je n'avais pas oublier qu'elle était ma bonne amie quand j'avais passer la nuit avec son copain, quand j'essayais de l'attirer dans ma vie pour combler le manque de perfection. Non j'avais simplement omis de m'en rappeler. Puis de lui dire aussi, j'avais préféré éviter le problème, le fuir. Puis une fois de plus je sortais un beau mensonge, en fait c'en était plus vraiment un, plus un automatisme.
Mm, OUI en effet, j'oublie. Sans cesse, et je fais tout pleins de conneries. On s'est éloignés pas vrai ? Je m'ennuie, de toi, de nous. Il y a forcément quelque chose. Je comprend que tu m'en veule, d'être disparue au moment où t'avait le plus besoin de quelqu'un, mais je suis pas seulement disparue de ta vie, je me suis éloigné de tout, COMPLETEMENT... parce que les choses n'allaient pas.
Le pire c'est que je m'efforçais a paraître sincère, alors que sa ne l'était pas. La vérité toute crue c'était que je l'avais abandonné parce que je n'avais plus aucun intérêt pour elle, elle était bien contente après tout, son copain l'aimait, celui sur lequel je flashais, puis elle continuait a le fréquenté jusqu'au jour où elle l'avais jeté, parce qu'elle en avait trouvé un mieux que lui (enfin c'était ce que JE croyais). Puis je lui avais joué dans le dos ce qu'elle ne savait pas mais moi sa me faisait étrange de le savoir. Mais maintenant je m'ennuyais, elle me manquait, et ça c'était pas un mensonge
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