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topic commun » wake up in the city that never sleeps.

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Wren Rosenbach
there's no place like berkeley
Wren Rosenbach
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MessageSujet: Re: topic commun » wake up in the city that never sleeps. topic commun » wake up in the city that never sleeps.  - Page 3 EmptyLun 4 Mai - 0:39


    Son téléphone a sonné tout l'après midi et Kennedy n'a pas daigné y répondre. Encore sa mère qui veut l'engueuler pour la scène qu'elle a donné avec Andrew en plein milieu de la cinquième avenue. Comme si Kennedy avait voulu tomber sur lui, comme si elle avait voulu perdre son calme et se retrouver à lui crier dessus, à pleurer, tout ça bien sur devant des caméras et des photographes. Il faudrait être con pour penser ainsi. Mais non, sa mère bien sur, imagine que Kennedy a fait exprès. Pour un peu, elle pourrait presque s'en satisfaire et penser que Kennedy a fait tout ça dans le but de faire le buzz, de faire parler d'elle pour la sortie de la nouvelle collection de vêtements qu'elle a crée avec sa sœur. Idée saugrenue au possible. Sauf pour sa momager de mère. Qu'importe. Kennedy n'a pas répondu à son téléphone, sauf quand il s'agissait de Charlotte et d'Andrew. Elle avait rendez vous avec les deux à la soirée de Central Park, le tout sans que l'un et l'autre ne le sache. C'est plus marrant, qu'elle a pensé la Kennedy. Des idées cons elle en a beaucoup quand elle s'y met. Mais c'est ce qui fait son charme après tout. Charlotte entre dans l'appartement sans même que Kennedy l'ait entendu. Elle l'entend pourtant quand elle crie qu'elles vont être en retard et que la voiture s'en va dans deux minutes, avec ou sans elle. Hum, elle n'a pas envie de marcher jusqu'à central park Kennedy, pas avec les escarpins jimmy choo qu'elle a choisi de porter ce soir. Alors elle active le mouvement et apparaît quelques instants plus tard face à sa meilleure amie. « Je finirais le maquillage dans la voiture sinon on ne partira jamais et tu vas râler. » qu'elle souffle à Charlotte avant de la prendre brièvement dans ses bras. Dans la voiture elle s'enquiert d'appliquer la dernière touche de maquillage sur son visage, à savoir son rouge à lèvre dior ruby préféré. Là, l'ensemble de sa tenue est terminé et fin prête à être exposé aux yeux de tous. « Je sais, Kenzo m'a aidé à choisir la tenue, alors je ne pouvais qu'être canon comme ça ! Mais je dois dire que tu es magnifique aussi, ta robe est magnifique ! » qu'elle commente en regardant d'un peu plus prêt la robe de couturier que sa meilleure amie porte sur le dos. Ces deux là se sont définitivement bien trouvées. Accroc aux vêtements de luxes, les virées shopping à Paris ou sur la cinquième avenue n'ont plus aucun secret pour elles. La voiture arrive et les dépose pile devant le début de la fête. Kennedy est déjà dans l'ambiance et ses pieds ont déjà la fièvre danseuse. « Mais non Chaton. On reste ensemble toute la soirée. Par contre, je ne te promets pas que l'on restera uniquement toutes les deux… » Loin de là même. Le téléphone de Kennedy s'agit et elle décroche pour répondre à Andrew. « Je suis à l'entrée de la soirée avec Charlotte. Tu nous rejoins bientôt d'accord? J'ai pas envie de courir partout pour te chercher Drew, pas avec mes talons de douze centimètres. » qu'elle rigole au téléphone, en imaginant la scène, elle courant après son ami. Les deux jeunes femmes avancent un petit peu dans la foule, et Kennedy se dirige immédiatement vers le bar. Elle demande deux cosmos et se tournent vers Charlotte qui lui pose une question qu'elle juge très… marrante. « Ce serait prétentieux de dire que je connais tout le monde. Alors je me contenterai de dire que je connais beaucoup de personnes, et que tout le monde me connait. » qu'elle répond sobrement avant de rire. Quand on fréquent aussi souvent le milieu de la fête, on finit par croiser toujours les mêmes personnes et donc connaître ces mêmes personnes. Mais quand on est quelqu'un d'aussi populaire qu'elle, forcément, son visage est loin d'être inconnu et la jeune femme est très souvent reconnue. Elle prend sa meilleure amie dans ses bras et la sert fort, pour finalement attraper son verre. « T'inquiètes pas Chaton, tout va bien se passer ce soir, et je te lâche pas d'une semelle. » Les premières gorgées de la boisson aux couleurs ruby sont comme une douceur dans sa gorge. Elle en a presque rêvé durant la journée de ce cosmo. Et finalement, Kennedy voit une silhouette qu'elle reconnait très facilement. Elle crie alors le nom de son ami qui se retourne et s'approche d'elle. Elle le prend dans ses bras, son verre toujours à la main. « Andrew, je te présente Charlotte ma meilleure amie, Charlotte voici Andrew, un de mes plus vieux amis ici à New York. En fait si on y réfléchit bien, j'ai grandi avec vous deux mais à des milliers de kilomètres de différences. Trop bizarre. » Oh Kennedy… Toujours une folle avec ses idées bizarres et étranges.
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MessageSujet: Re: topic commun » wake up in the city that never sleeps. topic commun » wake up in the city that never sleeps.  - Page 3 EmptyMar 5 Mai - 13:17


    Aiden étant là, Andrew n'avait aucuns doutes, ils allaient passer une bonne soirée, voir même une excellente soirée. En plus de ça ils avaient un jouet pour eux, en la personne de Kevin. Un ami que Drew ne connaissait pas, un pote bien bizarre d'Aiden, jamais il n'aurait pensé qu'il pouvait trainer avec ce genre de personne, mais bon on ne juge pas les gens sur ses connaissances. Kevin doit se dire la même chose de Drew, mais que voulez-vous, ils ne vivent pas dans le même monde, Kevin travail pour vivre, Andrew n'a qu'à suivre le chemin familiale pour rester l'homme le plus riche de sa génération. Alors oui, quand on entend "Tous les hommes naissent libres et égaux", on peut rapidement exploser de rire devant cette connerie écrite dans un des écrits les plus importants du monde. Enfin ne parlons ni politique ni rien qui pourrait voler plus haut que le sol vu que nos deux acolytes sont totalement ivres une nouvelle fois. Voilà deux cuites qu'Andrew prend depuis qu'il est revenu sur New York et je vous le donne en mille, deux cuites avec Aiden.

    Parlons un peu de Peach, Andrew lui non plus n'en avait pas en ce moment, mais s'il avait bien compris le jeu vidéo qu'ils étaient en train d'imiter, les deux frères se tapaient la même peach, donc bon ce soir ça allait encore une fois déraper, bien déraper même. Tournant la tête Andrew fut surpris de voir Kennedy non loin d'eux, il était ivre, mais pas assez pour aller la voir surtout après ce qu'ils s'étaient dit la dernière fois. Descendant cul sec la bière que Kevin venait de leur apporter Andrew grimaça puis éclata de rire " Oh putain ça change de notre alcool, la bière j'ai franchement l'impression de boire de la pisse et je sais de quoi je parle, comme tout bon Omega j'en ai bu une fois dans ma vie" il en avait fait des conneries dans sa jeunesse, plus que la moyenne et plus de fois qu'à son tour, donc la plupart du temps, toutes les brimades que l'on puisse imaginer, il les avait subis et surtout il les avait fait subir à d'autres. " " On partage Peach c'est une obligation, il n'y a qu'une princesse pour deux frères. Franchement laisse-moi la bouche ça me suffira." , posant la main sur l'épaule de Kevin avec un air compatissant il lui lança " "Non Kevin, ce n'est pas pour lui faire des bisous!" dit-il avant d'éclater une nouvelle fois de rire. Si Kevin supportait et se prêtait un minimum au jeu il pourrait lui aussi passer une bonne soirée. Mais il avait l'air bien occupé ç regarder à droite et à gauche, que cherchait il? Des filles ou un moyen de s'échapper? Puis vint le sujet de l'homosexualité d'Aiden, qui avait un gros problème avec ça. Andrew trouvait tout de même bizarre qu'un mec si ouvert que lui soit toujours réticent à propos de ça. Andrew lui n'avait rien contre les gais, même s'il ne voudrait jamais essayer, sauf que ça Aiden ne le savait pas, sourire aux lèvres il le regarda avant de lui avouer " " Aiden mon pote, je ne te l'ai jamais avoué à cause de ça. Mais je me suis déjà fais sucer par un mec, franchement c'était la meilleure pipe de ma vie. Un mec ça sait ce qu'un autre mec aime. Franchement tu devrais demandé à Kevin de t'en faire une tu ne le regretterais pas!" , marquant un temps d'arrete en entendant Kevin lui dire qu'il n'était pas gai et surtout en comprenant qu'il était vraiment flic et que ce n'était pas simplement un déguisement, il s'adressa à lui avant de compatir " " Fuck mon pote t'es vraiment flic? Tes parents ont acceptés? Tu aimes ça? Non, n'en parle pas, je pense que c'est trop dur pour toi d'en parler. Tu sais quoi, tu as vraiment l'air d'être un mec bien, t'as un job de merde et c'est surement ça qui te pousse à ne pas savoir faire la fête. Donc je te propose un poste dans mon entreprise, tu seras payé bien plus grassement que tu ne l'es. Puis je pense que t'es parents seront fiers de toi." fouillant dans sa poche sortis des champignons qu'il avait fait directement livré de Hollande dans la semaine, les posant sur la table. " "Maintenant que tu n'es plus flic et que tu n'es pas gai, je pense qu'on peut s'amuser un minimum" lui dit-il en lui tendant un champignon. Deux choix, soit la fête pouvait enfin commencé, soit Kevin lui passait les menottes et elle se finissait tout de suite.
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MessageSujet: Re: topic commun » wake up in the city that never sleeps. topic commun » wake up in the city that never sleeps.  - Page 3 EmptyMar 5 Mai - 17:55

    Assailli par les soubresauts de son téléphone portable s’agitant dans la poche gauche de son pantalon, Andrew laissa échapper un soupir. Aujourd’hui était une journée unique à New York City et les médias s’affolaient sur les réseaux sociaux. Le défi lancé par le célèbre Grant Sullivan s’était répandu à travers quatre immenses villes tel une vague déferlante écrasant tout sur son passage. Chacune d’entre elles organisait des festivités toutes plus démesurées les unes que les autres accompagnées d’événements à l’allure rocambolesque. Saisissant l’appareil, le jeune fiancé fit glisser son doigt sur l’écran, supprimant ainsi les innombrables notifications agaçant sa vue. La soudaine effervescence régnant autour de la grosse pomme le fatiguait plus qu’elle ne l’amusait et le grand brun ne désirait pas apparaître en public seulement quelques semaines après l’annonce de ses fiançailles dans le Times. La présence évidente de journalistes à Central Park ne l’enchantait guère et le dernier des Williamson craignait indubitablement que des rumeurs ne circulent sur sa venue en solitaire. Rester éloigné de toute cette agitation paraissait être la meilleure chose à faire. De brusques vibrations firent frémir sa large main tandis que le visage de Kennedy illuminait l’écran de son smartphone. Il décrocha, apposant la nouvelle technologie contre son oreille. « Je suis à l'entrée de la soirée avec Charlotte. Tu nous rejoins bientôt d'accord ? J'ai pas envie de courir partout pour te chercher Drew, pas avec mes talons de douze centimètres. » Ses sourcils se froncèrent tandis que ses doigts parcouraient ses cheveux bruns. Il ne pouvait le nier, la jeune femme l’avait presque supplié de l’accompagner à ce festival urbain la veille au soir et il avait accepté. L’envie pressante de trouver un subterfuge naquit en lui, et pourtant, il y renonça. Aux vues de leur dernière dispute ayant éclatée en plein centre de la cinquième avenue, l’assistant directeur de production s’était laissé emporté par le tourbillon d’enthousiasme qui animait la belle. Ses lèvres s’entrouvrirent dans le but de prononcer une réponse, bien que sans le moindre élan de gaité, mais elle avait déjà raccroché. Andrew avait beau avoir partagé l’enfance de la jolie blonde, l’impression qu’elle vivait à cent à l’heure ne le quittait pas et le déstabilisait sempiternellement. Elle était comme le tonnerre, la foudre et l’éclair : impressionnante, impétueuse et débordante d’une énergie dont elle seule connaissait la source inépuisable.
    Évoluant en direction de la limousine qui l’attendait, le jeune fortuné reconsidéra les paroles prononcées par la demoiselle, ses pensées se focalisant sur un élément : Charlotte. Quelle était cette créature ? L’imaginant tantôt brune, tantôt rousse, le grand brun tentait de mettre un visage sur ce nom à la consonance française. Ce fût intrigué qu’il s’installa sur la banquette en cuir matelassé du véhicule et indiqua sa destination au chauffeur. Le trajet ne dura que quelques minutes et pourtant, ce temps lui paru interminable. La curiosité du jeune fiancé était à son apogée et le sentiment qui le rongeait alors se révélait détestable. Désireux d’en savoir plus sur celle qui accompagnait son amie, Andrew haïssait la sensation d’ignorance qui l’avait conquéri. Il s’extirpa de son moyen de transport privé pour se mêler à la foule qu’offrait le gigantesque square. Se mouvant entre les personnalités amassées, il détaillait chacune des figures à la recherche de Kennedy lorsqu’il entendit son nom jaillir du brouhaha omniprésent. Le dernier des Williamson fit volte-face, allant à la rencontre de celle qu’il côtoyait maintenant depuis son plus jeune âge. L’engouement qu’elle porta à son étreinte le fit serrer la mâchoire. Peu importait que la jolie blonde en sache long sur sa personne et ait partagé la majorité des années composant sa misérable petite vie, Andrew manifestait toujours le même malaise à chaque contact féminin. Il n’était ni un homme tactile, ni un homme romantique et pas le moins du monde démonstratif. Il était… lui. « Andrew, je te présente Charlotte ma meilleure amie, Charlotte voici Andrew, un de mes plus vieux amis ici à New York. En fait si on y réfléchit bien, j'ai grandi avec vous deux mais à des milliers de kilomètres de différences. Trop bizarre. » Son regard se posa alors sur celle qui lui était encore inconnue, longuement, intensément. À aucun moment la jeune femme ne lui avait parlé de cette créature à l’allure aristocratique. Il finit par esquisser un large sourire, accueillant. « Enchanté, Charlotte. » commença-t-il. « Ce ne serait pas un prénom français ? » prononça-t-il enfin. Il avait cette habituelle diction claire et soutenue qui le caractérisait tant. Ses prunelles de bronze vinrent fixer les boissons alcoolisées des deux blondes. Puis il saisi celle de Kennedy pour en boire une gorgée. « Alors comme ça, on ne m’attend pas ? » déclara-t-il, quelque peu enjoué. Son sourcil droit s’arqua, illuminant son visage d’un air empli de malice. Taquiner la jolie blonde avait longtemps été l’un de ses passe-temps favori et malgré toute la complicité qui les unissait, elle avait toujours détesté qu’il partage son verre. C’était donc pour cette raison qu’il ne s’en privait et ne s’en lassait jamais.
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MessageSujet: #cc6699 topic commun » wake up in the city that never sleeps.  - Page 3 EmptyMar 5 Mai - 20:26

A cet instant où elle ouvre la bouche, Thea sait qu'elle commet une grave erreur. A croire qu'elle ne peut que les additionner aux côtés d'Adriel. Des premiers mensonges à ce trop plein de confiance, elle s'engage. Elle attrape son bras et fait mine d'être importante à ses yeux. Égarée désormais entre le désir et la réalité, elle écoute attentivement les paroles de cette ravissante jeune femme. Ellie, qu'elle dit s'appeler. Ellie est une amie. Elle est surtout à tomber. Si Thea était une vraie lesbienne, elle aurait sans doute craquée. Seulement, cette histoire n'est qu'apparence. Elle sait qu'elle n'est pas intéressée. Elle apprend surtout au quotidien que le charme de son supérieur est ravageur. Thea a tout fait pour le détester, dans un premier temps. Elle l'a dénigré à longueur de journée. Elle a critiqué ses costumes, sa démarche et ses réflexions. Mais à chaque pensée, elle était dérangée par ce goût amer qui se prononçait au fond de sa gorge. Celui que l'on goutte, lorsqu'on se voile la face. Alors Thea décide secrètement de s'en tenir à celui qui a lancé sa carrière comme assistante. Son premier mensonge. Le fait qu'elle soit attirée par les filles. Elle les aime et c'est tout. Elle doit arrêter de se tourmenter, arrêter de songer à Adriel et au parfum qu'il adore porter. Également, quand celui-ci vient à prononcer sa réelle importance, sa réelle fonction à ses côtés.. Thea fait mine de rien. Elle ne montre pas ce qui se froisse en elle. A ce moment où il décide de remettre les choses en place et de déterminer avec conviction celle de Thea. Elle reste de marbre. Elle détend les doigts qu'elle a posé soigneusement sur son bras. Elle ne souhaite pas lui faire ressentir cette pression, celle qui sommeille dans sa dernière réflexion. Passant presque à côté d'un grand détail, d'une Grimaldi. On peut dire que Adriel sait choisir ses '' amies ''. « Oui, je suis son assistante. déclare-t-elle instinctivement, comme si ça avait son importance. Et il n'est pas mon genre. » Thea essaye de cette manière maladroite de se faire pardonner et de ne pas détruire la relation déjà bien installée entre ce dernier et Ellie. Elle le voit. Elle le constate. Dans les prunelles de la jeune femme, elle reconnaît ce sentiment. Celui qui dit clairement : je suis là pour toi. Néanmoins, Thea ne souhaite rien rajouter. Pas avant qu'on lui ait autorisé de parler. Quand le jeune homme décide de préciser qu'elle n'est pas une parmi tant d'autre, Thea n'a pas besoin de cacher son étonnement. Elle l'a compris. Elle est de trop. « Je ne voulais pas être impolie. » précise-t-elle sur ce ton professionnel qu'ils avaient l'habitude d'utiliser. D'ailleurs, il était temps pour elle de le libérer de ce bras. Elle s'en détache pour le laisser saluer cette Ellie. Après tout, elle était beaucoup plus belle, beaucoup plus femme et beaucoup plus fiable que la jeune Eyerman. Elle le comprend et en prend encore conscience. Thea s'est mis dans un pétrin pas croyable. Si elle n'arrive pas à contrôler ses émotions, les choses vont lui échapper et elle risque de tout rater. Elle risque de perdre sa place, pour un homme qui n'arrive même pas à la regarder. La regarder, comme on devrait regarder une femme.. En même temps, elle n'est qu'une assistante. Une assistante comme il en a déjà eu des dizaines. Jeunes. Innocentes. Ravissantes. Lesbienne. C'est tout. « Je vais donc vous laisser.. Et ravie de vous avoir rencontrer mademoiselle Grimaldi. » Avec le sourire, Thea lui tend la main. Elle cherche par ce geste à s'excuser encore et toujours. Filant rapidement un coup d'oeil à son supérieur, Thea décide de fuir, de s'éloigner de cette discussion plutôt étrange et de cette attitude qu'elle avait choisi naturellement, sans se poser de question. « Je vais rejoindre les artistes, si vous me cherchez. » ajoute-t-elle, comme si ce détail pouvait être important. Aussitôt annoncé, aussitôt plongée dans la foule. Thea se perd parmi tous ces visages, parmi tous ces inconnus. Elle a envie de hurler, de crier les mensonges qu'elle doit préserver. Thea est surtout sur le point de réaliser de grandes choses. Depuis Edison, depuis la plus grande déception relationnelle à laquelle, elle avait dû faire face, Thea n'a jamais ressenti ça. Elle n'a jamais été attiré de cette manière par un autre homme. Jusqu'ici et jusqu'à ce que son chemin croise celui de Adriel, elle ne pensait pas retrouver une telle attirance. De celle qu'on n'explique pas. De celle qui se vit pleinement et sans tracas. Thea est loin de tout cela. Elle a envie et en même temps, elle préfère s'en éloigner. Les relations aussi fusionnelles n'ont jamais été bénéfique pour elle. Elle en a eu le cœur brisé. Ses nuits ont été tourmentées par ses souvenirs. Elle a dû se battre contre son pire ennemi, elle-même. Elle a fait face à son reflet, aux larmes qui ont affaiblies son corps et son cœur. Thea n'a jamais vraiment su s'en remettre. Et même si une fraction de seconde, elle pense que Adriel peut lui apporter de nouvelles choses. Même si elle aurait envie d'écrire une autre page de sa vie, Thea sait qu'elle n'en restera pas intacte. Elle ne sera pas épargnée. Tôt ou tard, elle va en souffrir. Tôt ou tard, il ne sera plus intéressé. Du moins s'il l'était un jour.. Tirailler entre toutes ces femmes, Adriel n'avait qu'un vaste choix. Et son assistante lesbienne n'y avait pas sa place.
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Stana N. S. Dickens
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MessageSujet: Re: topic commun » wake up in the city that never sleeps. topic commun » wake up in the city that never sleeps.  - Page 3 EmptyVen 8 Mai - 16:06

C’est que si je continue ainsi, je vais avoir plus d’amis à New York qu’à San Francisco. Bien que ça ne me dérange pas, car je compte bien partir dès que je le pourrais. Je n’ai rien qui me retient sur la côte Ouest. Alors que par contre, j’ai tout qui me ramène à la côte Est. Il est temps que je me fasse des amis ici, comme ça si un jour je décide de déménager, j’aurais déjà des amis ici. Je ne serais pas la petite blonde qui débarque de nulle part, et qui se retrouve toute seule dans la Grande Pomme. Je me retrouvais à Central Park, et je m’étais avancée vers deux jeunes qui me semblaient bien amusant. J’aurais pu aller vers ceux qui étaient déguisés en Mario et Luigi, seulement il n’y avait que des hommes, et je préférais être en compagnie d’une fille quand même. Sait-on jamais. Je sais me défendre, mais l’autre blonde semble aussi. Elle ne semble pas être une Barbie, comparée à moi. Je peux sembler fragile, et un peu superficielle sur les bords, je sais tout de même me défendre face aux méchants. Les deux jeunes se présentèrent à moi, Zayn et Mad… Mad quoi ? Bon ça sera Mad. Et avant même que j’ai pu dire quoique ce soit, j’eus un grand câlin de la part du jeune homme, et la jeune femme quant à elle me donna son haut, pour se retrouver en soutien-gorge. Euh… D’accord. Je regardais Zayn, un peu perdue. Le tee shirt dans les mains, je ne savais pas trop quoi en faire. Je n’osais pas trop le mettre. Je suivais simplement les deux jeunes, qui semblaient vouloir boire. Pas de soucis de ce côté-là pour moi. Je peux boire, même si légalement parlant, je n’en ai pas encore l’occasion. On s’en fout, je suis là pour m’amuser. L’autre jeune fille nous dit qu’elle offrait la première tournée. Super. Mais voyant tout le monde devant nous, je pris les initiatives. Je me faufilais parmi tout le monde. J’entendis des gens râler, mais rien à foutre. J’arrivais enfin devant les serveurs, et leur demanda trois boissons. Ce qu’on me donna. Fière de moi, je retournais vers mes nouveaux amis, et leur tendit les boissons. « Et voilà ! » Les gens derrière moi me regardaient mal, mais je ne fis pas attention « Je n’aime pas attendre, je le fais souvent ça. Me faufiler comme une petite souris. » Et de toute manière, les gens n’ont pas intérêt à râler, car je peux râler encore plus qu’eux. Oui, j’ai une grande gueule, même si ça ne se remarque pas. Je regardais Mad, qui me donnait tout de même froid en étant habillée comme elle l’était. En plus tout le monde la regardait, mais elle ne semblait pas y prêter attention. Heureusement elle avait un très beau soutien-gorge. « Tu l’as acheté où ton soutif ? Je l’adore ! » Désolée Zayn, je ne peux pas t’inclure dans cette conversation, car tu n’en a pas toi. Quoique… Je posais mon verre par terre, pour enfin retire mon soutien-gorge et le passer à Zayn. Les gens devaient se demander ce que je fichais en dessous de mon tee shirt. C’est vrai je devais sembler très conne à me trémousser comme ça, à essayer de le retirer sans enlever mon haut. « Tiens tu peux le mettre, tu te feras encore plus remarquer ! »
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MessageSujet: Re: topic commun » wake up in the city that never sleeps. topic commun » wake up in the city that never sleeps.  - Page 3 EmptySam 9 Mai - 9:26

Affalée devant sa télévision, en train de regarder pour la énième fois les épisodes de One Tree Hill, Harper pouvait enfin souffler un peu. Alessia venait de s’endormir et n’allait sûrement pas se réveiller avant le petit matin. Devenir mère – et de façon inattendue – était l’une des meilleures choses qui lui était arrivé dans sa vie, et pour rien au monde elle ne reviendrait en arrière. Néanmoins, elle savait qu’un événement incroyable avait actuellement lieu à Central Park, et elle s’en voulait de ne pas pouvoir s’y rendre. Elle culpabilisait à chaque fois qu’elle laissait sa fille, ayant sans cesse la culpabilité de l’abandonner pour aller s’amuser. Depuis son déménagement à New York et le déménagement d’Erwan à la Nouvelle-Orléans, tout était radicalement différent. Ils avaient beau être encore en couple et tout autant amoureux qu’avant, ils ne se voient qu’une ou deux fois par mois. Harper craint qu’Alessia ‘oublie’ son père, qu’elle ne tisse pas les mêmes liens avec lui qu’avec elle. N’ayant elle-même jamais connu son père, elle aurait souhaité quelque chose de différent pour sa petite. Une famille unie. Quoi qu’il en soit, depuis son arrivée, elle s’occupait quasiment seule de sa fille et elle ne l’avait encore jamais laissée pour aller faire la fête. Soudainement, comme si on lisait dans ses pensées, son téléphone sonna. Elle jeta un coup d’œil à l’écran : C’était Aiden. Elle hésita un instant, et décrocha. « Non non, tu me déranges pas ! » répondit-elle, se sentant totalement pitoyable à être affalée dans son canapé un soir pareil. Lui était visiblement en train d’assister à l’évènement, vu le bruit qu’elle entendait dans le fond. Il proposa de venir le rejoindre et de passer la soirée ensemble. L’offre était plus que tentante, mais elle ne pu s’empêcher d’hésiter. Aiden avait beau être un simple ami, elle ressentait une certaine tension ambiguë entre eux, et cela la mettait mal à l’aise vis à vis d’Erwan. Elle n’aimerait pas que lui aille rejoindre un troupeau de fille pour passer une nuit de folie. Puis, tandis qu’Aiden déblatérait de nombreux arguments pour la convaincre, son téléphone vibra : elle venait de recevoir un message. Il venait d’Erwan justement. « Super soirée ici à la Nouvelle-Orléans, de la folie ! », était ce qui était écrit, le tout accompagné d’une photo de lui légèrement éméché. Bon. « Ça marche, j’arrive alors ! » dit-elle ensuite à Aiden. Elle téléphona à sa babysitter, qui heureusement, accepta de venir surveiller Alessia.

Aiden avait fait venir un chauffeur à l’adresse d’Harper, how fancy of him. Il faisait relativement chaud, elle avait donc opté pour un combishort, à la fois sexy et décontracté, le tout avec une paire de basket et une petite veste en jean. Pas question de porter des talons pour traîner à central park. Lorsqu’elle arriva sur place, difficile de retrouver qui que ce soit, tellement il y avait foule. Après un bref échange d’sms, elle se dirigea vers les festivités, avant de l’apercevoir avec tout un tas de mec, en train de boire des verres. Elle inspira un bon coup, espérant qu’elle avait bien fait de venir. « Alors, j’ai pas fait trop long j’espère ? » le salua-t-elle en lui faisant un clin d’œil.
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MessageSujet: Re: topic commun » wake up in the city that never sleeps. topic commun » wake up in the city that never sleeps.  - Page 3 EmptyDim 10 Mai - 17:18

« En bon Delta je me suis pris plus d’une cuite avec cette merde, ça rappelle des souvenirs mon vieux»  lui dit-il en lui tapant amicalement sur l’épaule. A Berkeley les deux milliardaires n’avaient pas le même train de vie qu’à New York, là-bas ils avaient tous deux décidé de se fondre dans la masse et de profiter un maximum de leur jeunesse, en refusant totalement de se retrouver chez les Epsilons au cul serrer. Bien sûr ils avaient de l’argent, mais ce n’était pas leur principale qualité, c’était donc tout naturellement qu’ils s’étaient orientés vers d’autres confréries. De retour dans leur ville natale, ils ne faisaient plus la fête de la même manière, ils avaient retrouvé leurs goûts de luxe et leur attrait pour l’alcool de qualité. Ils avaient beau ne pas avoir un fin palet, entre une bière dans un gobelet en plastique et un bourbon à quelques centaines d’euros la bouteille, leur choix était vite fait.

Vint alors le sujet de la princesse Peach, voulant rentrer totalement dans le rôle qu’ils représentaient, il allait de soi que les deux hommes devaient trouver une princesse à libérer. Mais mario avait toujours eu une longueur d’avance sur son frère. «  Y a la princesse Daisy, je te la laisse je sais que tu as un petit faible pour les blondes !»  il faisait référence à la nouvelle employé de son ami, dont il lui avait parlé quelques jours plus tôt, il lui avait avoué ne pas être totalement insensible à son charme, et avait fait comprendre que la promotion canapé était totalement envisageable. Quant à lui, il n’était pas tout à fait d’accord sur le fait de partager sa Peach, à savoir Harper qu’il avait invité quelques minutes plus tôt. Il aimait Andrew  certainement plus que tout au monde, car il était l’un des rares à avoir su entrer dans son cœur, mais pas suffisamment pour partager la fille qu’il avait en vue ce soir. Harper, il en faisait son affaire, une affaire personnelle, et il comptait bien profiter de l’évènement pour le lui faire comprendre. La réflexion que fit Drew à Kevin le fit rire aux éclats. Il n’en ratait jamais une celui-là ! Il ne connaissait pas le policier quelques heures plus tôt et le voilà qui prenait un malin plaisir à lui lancer des piques. Et il ne faisait pas dans dentelle. Aiden le regardait alors avec un sourire coquin, plein de malice «  T’es cochon !»  lui dit-il en imitant une voix de fille, avant de rire de plus belle.
Il avait beau être ouvert d’esprit, l’idée de voir deux hommes ensemble le répugnait. Deux femmes, pas de soucis, au contraire c’était plutôt amusant à voir pour lui, mais lorsqu’il s’agissait de personnes du même sexe que lui, il ne comprenait pas. «  Mec tu me dégoutes !»  et encore, il était soft, le sentiment que lui procurait l’image que son ami venait de lui renvoyer était bien plus fort que le dégout. Homophobe à souhait, imaginer son meilleur ami ayant une quelconque relation sexuel avec un autre homme le répugnait. «  Et puis quoi encore ? Dans deux verres tu vas m’avouer que tu t’es fait prendre par un type et que du coup tu renonces totalement aux femmes ?»  En l’espace d’un instant il devenait presque fou, à l’idée de voir son meilleur ami dans une pareille situation, comment avait-il pu tomber aussi bas ? «  Ça m’en fera plus pour moi dans ce cas !»
Il finit ensuite par découvrir avec stupeur que Kevin n’était pas déguisé en village people mais qu’il était bel et bien gardien de la paix. Cette situation cocasse faisait bien rire Aiden, qui ne s’arrêtait plus, tant il riait il en avait mal au ventre. Il n’y allait pas avec le dos de la cuillère, avec l’alcool qu’il avait dans le sang et se moquait ouvertement de son interlocuteur. Jusqu’à ce qu’il lui sorte les fameux champignons de sa poche. Sa réaction risquait de beaucoup changer la donne. Mais du peu qu’Aiden le connaissais il pouvait lire dans son regard qu’il avait déjà une idée en tête et qu’il préparait quelque chose. Pendant ce temps il échangeait quelques messages avec Harper pour la guider jusqu’à eux à travers la foule. Il lui avait bien évidemment précisé qu’il était déguisé et ce à quoi il ressemblait afin qu’elle ne le confonde pas avec un autre, derrière le maquillage. Après quelques longues minutes d’attente, elle arriva jusqu’à eux en s’excusant pour son retard «  J’ai failli attendre»  lui répondit-il le sourire aux lèvres, tout en se levant. Il avait déjà quelques verres dans le nez et la position debout n’était pas des plus agréable, mais il ferait bien un effort pour elle. Il vint alors déposer un bisou sur sa joue, pour la saluer. La prenant ensuite par la taille, tout naturellement, il la ramenait contre lui avant de la présenter à ses acolytes. «  Les mecs dites donc bonjour à la belle Harper, Harper voici Luggi alias Andrew et le village people c’est Kevin !»  qui venait de se dégoter un nouveau surnom. «  Comme à ton habitude tu es très jolie»  complimenta-t-il l’ancienne Beta, avant de lui proposer un verre «  c’est ma tournée, et je vais voir si je ne peux pas trouver autre chose que de la bière !»  Sans lui laisser vraiment le choix, il prit Harper par la main et l’entraina avec elle. Pas question de la laisser avec ces deux-là le temps d’aller se ravitailler. Alors qu’ils faisaient la queue, il en profita pour la taquiner «  Qu’est-ce que tu ferais sans moi hein ? Tu n’allais quand même pas louper ça !»  Il demanda alors au barman quelque chose de plus fort que la bière et revint les mains chargé de 4 Jaggerbomb «  c’est tout ce que j’ai pu nous trouver»  



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Kevin F. Tatcher
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Kevin F. Tatcher
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MessageSujet: Re: topic commun » wake up in the city that never sleeps. topic commun » wake up in the city that never sleeps.  - Page 3 EmptyMer 13 Mai - 0:30

« Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde. »
But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Connaissant Aiden je savais très bien que celui-ci était loin d’être gay. Ce n’est pas pour rien qu’on sort tous les deux pour se trouver des filles, et qu’on en joue même. Seulement, depuis qu’il s’est fait abordé par un homme lors d’une de nos soirées, j’aime le lui rappeler et le taquiner avec cela. Je me mis à rire lorsqu’on mon ami réagit en disant directement qu’il n’était pas homosexuel. Je posais ma main sur son épaule, avant de déclarer. « Il faut dire qu’avec ta coupe, tes beaux yeux bleus, et ton visage d’ange, tu le fais un peu… » Et c’est là qu’il peut répliquer tout de suite que je suis dans le même cas. Coupe de cheveux, yeux bleus et visage innocent. Nous ne nous ressemblons pas physiquement mais nous avons tout de même les mêmes caractéristiques. Seulement, je pense qu’il est bien trop bourré pour le remarquer et répliquer. Je fus presque heureux lorsqu’Andrew m’envoya chercher la tournée suivante. J’allais pouvoir respirer pour quelques minutes. M’échapper ? Non, parce qu’au fond je voulais voir comment était cet Andrew. Mais j’aurais dû m’enfuir, et non pas revenir car Aiden eut la fameuse idée de me mettre au défi, juste pour voir de quoi j’étais capable. Je suis flic, pas coincé ! Bien que j’en ai l’air. Ce n’est pas de ma faute s’ils sont bourrés, et pas moi. Évidemment que j’ai l’air d’un coincé du cul face à eux. Mais ça va bientôt changer, je vais leur montrer ce dont je suis capable. Et sans boire qui plus est ! Sorry guys, mais c’est bien mieux de s’amuser sans de l’alcool dans le sang. Andrew me déclara toutes sortes de cochonneries, j’eus un sourire en coin. J’essayais de voir s’il était ainsi sobre, ou s’il ne disait que ce genre d’absurdités bourrés. A voire les conneries qu’il sort, je dirais qu’il est con naturellement ! Je ne répondais rien à cet idiot. Quoi répondre ? Il est totalement pompette, on ne peut pas avoir une conversation avec lui. Je l’écoute tout simplement, et c’est suffisant comme ça. C’est déjà assez drôle comme ça. Et j’explosais de rire lorsqu’il avoua avoir eu une relation avec un autre homme. Bon, ce n’est pas moi qu’il fait chier, il taquine aussi son bon ami Aiden. Qui lui semble très choqué de cette annonce. Ouverture d’esprit mon pote. Mais ne nous étalons pas là-dessus pour ce soir. Ce soir amusons-nous. Et apparemment pour Andrew, c’était avec des produits illicites. Évidemment. Pourquoi je ne suis pas étonné. J’en oubliais immédiatement tout ce qu’il me dit sur mon métier, et heureusement sinon ça m’aurait plus agacé qu’autre chose. Je restais là, devant Andrew, à faire face à ce qu’il m’avait sorti de sa poche. Je regardais autour de moi. Pas de collègues en vue. Je pris le tout dans ma main, faisant semblant que j’allais m’amuser, mais non. Je les planquais dans ma poche arrière, avant de sortir mes menottes et plaquer violemment Andrew sur le banc le plus proche. « Mr… » Je regardais Aiden, pour qu’il me donne son nom. « Mr Wlaton je vous arrête pour possession de stupéfiants… » Et je lui sortis tout le speech que l’on dit à chaque arrestation. Aiden ne semblait plus où se mettre, et c’est pourquoi je lui lançais un clin d’œil, pour qu’il comprenne que c’était pour de faux. Je fis alors asseoir le jeune homme sur le banc, tout en le menottant, pour qu’il ne puisse pas bouger de ce banc. Entre temps, une amie à Aiden arriva. Je la saluai. D’ailleurs, ils s’en allèrent aussi vite qu’elle était arrivée. J’en profitais pour m’éloigner, faisant mine d’appeler mes collègues pour qu’ils viennent chercher Andrew. (…) Lorsqu’Aiden et Harper revinrent avec des boissons à la main. Je me mis debout sur le banc, et me mit à crier « Oyé oyé jeunes new yorkais. Ce soir, vous avez le droit à un petit show d’un Village People, accompagné d’un héritier pourri gâté : il s’agit d’Andrew WALTOOOOON. Applaudissez nous ! » Il voulait que je m’amuse ? Et bien je m’amusais. Sur le son de la musique qu’on pouvait entendre, je me mis à me déhancher, toujours debout sur le banc. J’enlevais alors mon haut, et arrachais par la suite le débardeur que j’avais sur moi, pour dévoiler mon torse. Je descendis alors du banc pour me retrouver face à Andrew. « C’est bien toi qui a dit que tu avais kiffé… » Puis, je me rapprochais de lui pour me déhancher, mais cette fois sur lui. Oui, je n’hésitais pas à m’asseoir sur lui. A lui caresser les cheveux, mes mains sous son déguisement. Je m’autorisais même à lui déposer un baiser sur la joue.
crackle bones
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MessageSujet: Re: topic commun » wake up in the city that never sleeps. topic commun » wake up in the city that never sleeps.  - Page 3 EmptyMer 13 Mai - 9:40


    Des cuites avec de l'alcool immonde ils en avaient pris bien plus qu'à leur tour, la bière bas de gamme, de la téquila achetée au Mexique dans un magasin de rue, ils avaient même essayé de faire leur propre alcool, immonde, mais elle avait permis de faire passer un bizutage à un jeune. Il fallait bien s'amuser et même si Drew était à Berkeley uniquement parce que son père avait beaucoup d'argent, quand il était avec des amis il ne cherchait pas à faire le bourgeois. Tout avait bien changé, maintenant rares sont les fois où vous le verrez avec autre chose qu'un bon vieux scotch ou une bonne vodka tout droit importée de Russie. Il aimait les bonnes choses, tout le monde savait qu'il était riche, bien trop riche pour son âge. Alors pourquoi s'en cacher? " Perso, je ne me rappelle pas de grand-chose, mais bon je pense que c'est ça le meilleur. Se dire tu te rappel et voir ton pote dit non. C'est ce qu'il va nous arriver ce soir!" dit-il en bavant un peu sur certain mots, il était ivre et vu l'alcool qu'il buvait il savait qu'il se souviendrait de rien. Il devait y avoir de l'alcool à 90° dans ses bières pour qu'elles aient l'air si fortes et agressive en bouche. Puis la discussion sur les gays, Drew n'en était pas un et surtout ne testerai jamais les hommes, il faisait juste preuve d'ouverture d'esprit et sur ce sujet Aiden lui voyait plus ça comme une fracture du cerveau qu'autre chose. Parler des gays, ils ne le faisaient jamais, mais la présence de Kevin avait poussé Drew à en parler. Il en était persuadé, il aimait les hommes ou au moins les deux sexes, cela se lisait sur son visage et Drew ne se trompait que très rarement sur les orientations sexuelles. " " J'aime les blondes, surtout celles qui sont sous mes ordres si tu vois ce que je veux dire", ils avaient déjà parlé de la petite Edea, pour le moment il ne s'était rien passé, mais la dernière rencontre avait été encore plus chaude que leur première, il ne suffirait plus de grand-chose pour qu'employée et patron joue à saute mouton. Posant ensuite sa main sur l'épaule de son pote tout en ignorant Kevin qui commençait petit à petit à lui monter au nez il lui lança " "Aiden le velours du sexe féminin et tellement bon que je ne pourrai m'en défaire. Tout ça pour casser un fion de mec! Mais never, jamais de la vie mon pote. Je préfère devenir flic que gay et pourtant je hais les flics!" . Andrew n'avait pas l'alcool mauvais, mais quand on lui courait sur le haricot il avait une fâcheuse tendance à ne pas savoir se retenir, c'est ce qui était en train de se passer là, il perdait patience et cela se sentait de plus en plus.

    Heureusement l'arrivée de la gente féminine allait certainement faire du bien, voyant Harper, Drew comprit tout de suite pourquoi Aiden avait insisté sur le fait qu'il préfère les blondes, c'était une belle brune. Levant le bras tout en descendant un nouveau verre il lança un " "Mamselle", digne d'un film de western. Le moment trop peu attendu et presque redouté par Drew arriva, il était seul avec Kevin et surtout Kevin et les champignons. Il s'attendait à deux choses se faire embarquer ou qu'il se décoince, ce n'était que des champignons, il en avait pris tellement dans sa vie que pour Drew cela était même banal, de vulgaires champignons de Paris. Mais ce qui allait se passer non, il ne s'y attendait pas le moins du monde. Kevin prit rapidement les champignons pour les ranger dans sa poche, première chose qui ne plu pas vraiment à Drew, il lui lança " "Si tu n'en veux pas, n'en prive pas les autres, moi j'en veux, Harper et Aiden aussi je pense! Toi tu n'as cas voir ailleurs si tu trouves pas des amis!" vulgairement assis sur sa table Drew n'était pas violent et heureusement parce que là il n'en pouvait plus de lui. Ce qui suivi n'allait pas arranger les choses, ni une ni deux le voilà menotté, bon ben voilà il allait pouvoir se faire embarquer au mois il allait bien rire ... mais non, il le lança sur un banc avant de commencer à danser, mais n'importe quoi. Il monta sur une table avant de crier, enfin crier, comme quand un mec timide décide de prendre la parole en public, aucun impact tout le monde s'en branle, les flics on le évite alors les mecs qui se déguisent en flic alors là c'est encore pire. Drew assit perdait patience et quand Kevin enlève son uniforme c'est encore pire, l'alcool venait d'un coup d'un seul de partir. Poussant le flic avec sa tête il se leva et partit en bondissant à la manière d'un kangourou. Montant sur le bar il commença à hurler, Luigi qui hurle menotté alors autant dire que les yeux se rivèrent sur lui " " Mes amis les fêtards, j'ai une triste nouvelle pour vous. Alors que mon pote Mario et moi venions pour nous amuser. Nous sommes tombés sur un faux flic qui a commencé à vouloir nous raqueter notre argent. Puis ensuite il m'a menotté!" dit-il en essayant tant bien que mal de montrer ses mains dans le dos. " Ce n'est pas tout le pire de ça c'est qu'il m'a proposé de lui acheter des champignons pour qu'il me laisse tranquille. Méfiez-vous de lui" lança t'il en montrant du menton Kevin qui venait de se lever, torse nu, insigne à la ceinture. Au moins s'il voulait rester incognito il ne pourrait pas l'être.

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