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« no, you're not set for jeans. »

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MessageSujet: « no, you're not set for jeans. » « no, you're not set for jeans. » EmptyMar 17 Juin - 16:26


Il est à peine sept heures du matin lorsque j'ouvre enfin les yeux en baillant à m'en décrocher la mâchoire. Sur le côté, Meleya dort encore profondément, un bras autour de mon torse comme si j'étais son doudou. Cette pensée me fait sourire autant que la vision que je contemple pendant quelques instants. À son doigt, une jolie bague de fiançailles trône fièrement. Qui a dit que Delta rimait forcément avec coureur de jupons ? Cette erreur de jugement m'a toujours poussé à changer l'image de la confrérie, même si je suis d'un naturel séducteur. Être un Delta, c'est être le meilleur, le plus populaire, et surtout faire comprendre aux autres que malgré tous les efforts possibles, il n'est pas envisageable d'atteindre notre degré de perfection. N'ayons pas peur des mots : être Delta, c'est assumer sa supériorité naturelle sur le petit peuple. Aujourd'hui, j'allais devoir enseigner ces précieuses façons d'être à celui que je considère comme mon poulain, une sorte de filleul en devenir pour la confrérie. Pablo. Un beau jeune homme... qui mériterait sa place chez nous s'il se décoinçait, s'il se mettait en valeur et aussi s'il apprenait à s'habiller. Il a le potentiel, reste à lui donner un coup de pouce pour l'aider à s'élever, plutôt que de l'enfoncer comme il m'arrive de le faire avec d'autres. Je sors du lit après avoir mis une éternité à bouger le bras de Meleya sans qu'elle ne sente le mouvement, puis je me rends dans la salle de bains. Comme d'habitude, un sourire de vainqueur à mon reflet dans la glace, un passage de main dans les cheveux pour un petit côté "négligé sexy du réveil" et un clin d'œil pour compléter le spectacle. Oui, Kenzo s'aime tellement qu'il aurait épousé son reflet s'il n'avait pas rencontré la doyenne des Alphas. Je me douche puis passe une crème hydratante sur le visage car, malgré mon teint naturellement bronzé et mes origines pakistanaises, les années de misère passées dans la rue avec la poussière, le soleil et autres ont rendu ma peau plus fragile. Par moments, face à ce miroir, je me demande quelle aurait été la réaction des étudiants de Berkeley s'ils m'avaient vu cinq ou six ans plus tôt... Rien à voir avec ce grand mannequin habillé à la fine pointe de la mode et au visage impeccable. Plutôt un miséreux qui rase les murs pour survivre. Je sors de la salle de bains et m'occupe ensuite pendant environ une heure de Charlie, mon fils adoptif encore tout bébé. Le câliner, le nourrir, le laver et le changer afin d'épargner toutes les corvées à la maman qui peut profiter d'une grasse matinée. Après avoir grignoté une pomme et un grand verre de lait chocolaté, je file m'habiller pour cette longue journée qui m'attend. Remise à niveau de la garde-robe de Pablo, ça risque de nous occuper un moment. J'opte pour un pantalon légèrement slim noir et une chemise cintrée bleu roi aux manches retroussées, puis une paire de chaussures montantes en cuir brun. Une ceinture et les Rayban plus tard, j'attrape les clefs de ma voiture et je file à bord de l'Aston Martin pour récupérer Pablo. À dix heures, comme convenu, devant chez lui pour commencer dès l'ouverture des magasins. Voyant qu'il n'est pas encore là, je me gare et j'appuie sur le klaxon pour me faire connaître. Malheureusement, ce n'est pas le jeune étudiant qui se radine le premier. C'est une dame d'une soixantaine d'années, le look typique de la voisine qui tuerait père et mère pour avoir l'occasion de vous pourrir la vie. "Vous vous croyez où, enfin ?!" Sans sortir de la voiture, je baisse la vitre et mes lunettes pour la détailler de la tête aux pieds. "À vue de nez... 1973 et des poussières ? Quoique la coupe, ça fait années 80, j'abuse un peu." J'affiche un sourire goguenard au coin des lèvres tandis qu'elle reste bouche bée. Elle s'apprête à vouloir en rajouter une couche lorsque je lève la main pour l'interrompre. "Chérie, je ne parle pas aux imprimés à fleurs, et encore moins quand ils sont sur du polyester. Circulez, c'est en train de me faire mal aux yeux, là... Ah, te voilà !" lançai-je à Pablo qui se tenait juste derrière la dame en pleine crise d'hystérie. Je lui fais signe de monter à bord de la voiture puis je démarre en fermant la vitre, non sans snober outrageusement la paysanne qui pensait pouvoir m'adresser la parole dans du tissu de fabrique douteuse. "Dis donc, j'sais pas si tu la connais, la vieille pie, mais abstiens-toi de la fréquenter... Il paraît que la mochitude des gens, c'est contagieux, à force." Ton sérieux et sourcils légèrement froncés, il faut partir du principe que je ne plaisante pas. Kenzo et les sujets graves de la vie... Tout un roman. Je pars vers le centre-ville et tourne la tête vers le jeune homme. "Alors, prêt pour un nouveau look complet ? T'as brûlé tes anciennes fringues ou on s'en occupe après ?"
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MessageSujet: Re: « no, you're not set for jeans. » « no, you're not set for jeans. » EmptyVen 20 Juin - 0:57



Le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt, dit-on couramment. Cette phrase n'était autre que stupide. Elle reflétait ici l'air hautain des travailleurs qui jalousaient secrètement les flemmards qui poussaient leur sommeil jusqu'à ce que le soleil soit bien haut dans le ciel. Malgré le fait que Pablo ait toujours été au courant du véritable sens caché de cette réplique, il ne pouvait s'empêcher de l'appliquer. Dormir jusqu'à pas d'heure n'était pas fait pour lui. Monsieur avait une horloge biologique dans la tête, une horloge qui sonnait toujours très tôt le matin et ce, qu'importe l'heure à laquelle il avait décidé de s'endormir. Beaucoup aurait profité de l'heure matinale pour faire des choses constructives pour leur bien-être, comme par exemple faire du sport. Et bien aujourd'hui, Pablo, lui, ne fit rien d'autre que gaspiller le temps qui lui avait été donné avant l'arrivée de Kenzo. En effet, il était assied sur lit, à se demander ce qu'il allait bien pouvoir se mettre comme tenue aujourd'hui. Quelle tuile. Depuis qu'il était à Berkeley, Pablo avait l'inestimable chance de se faire coacher par deux personnes possédant un charisme et un charme fou. Qui pouvait avoir le mérite de dire qu'il était entré dans les bonnes grâces du président de la confrérie des Bêta-Delta ainsi que de sa doyenne ? Personne d'autre que Pablo. Il avait conscience de ce qu'il avait et en profitait un maximum. Outre le fait qu'ils lui donnaient des conseils, Pablo avait su se faire réellement apprécier des deux personnes. Enfin, il le pensait en tout cas. Il fallait dire que lui, il les considéraient vraiment comme de précieux amis, qui étaient présents pour son bien. Un peu naïf comme pensée, il fallait bien l'admettre, mais en même temps c'est comme ça que le jeune Pablo ressentait la chose. Il n'était pas un pigeon, il ne se laissait pas avoir par les manipulateurs et les hypocrites. Il accordait une confiance aveugle en Kenzo et Valentina et jusqu'à preuve du contraire, cette confiance était justifiée. Mais justement, Pablo avait tellement confiance en eux qu'il ne voulait pas les décevoir. Il ne désirait en aucun cas qu'ils se lassent de lui et qu'ils le laissent tomber comme un moins que rien, car sans mentir, une fois les conseils des deux experts appliqués, Pablo arrivait à être un peu plus à l'aise avec la gent féminine. À tel point qu'il arrivait à séduire une fille en particulier : Juliet. Cette demoiselle appartenant à la même confrérie que Kenzo et Valentina, n'était, à première vue, pas du tout le style de filles de Pablo. Néanmoins, l'américain d'origine italienne avait su voir dans les yeux de biche de la demoiselle, cette lueur de grâce qui faisait d'elle une fille à part. Di Marco avait réussi à prendre son courage à deux mains et à inviter la magnifique demoiselle au bal. Le comble du bonheur puisqu'elle accepta. Mieux, elle l'invita à se joindre à elle à l'after bal spécialement consacré aux membres de la confrérie ainsi qu'à ses aspirants Lambda. Quelle joie de voir qu'un rapprochement certain c'était accompli entre les deux. Depuis ce soir-là, Pablo ne cessait de penser à elle et seulement à elle. C'était décidé, il la voulait, plus que tout ou n'importe qui d'autre et autant dire qu'il était prêt à tout pour la séduire davantage et arriver à se l'accaparer. Ainsi, Pablo était resté sur son lit durant des heures à regarder sa triste collection de vêtements, la majorité n'étant pas de marque. La première fois que Kenzo l'eût vue, il crut faire un arrêt cardiaque. En même temps, à quoi est-ce qu'il s'attendait ? Il fallait regarder le jeune Pablo de haut en bas pour se douter qu'il ne cachait pas du Calvin Klein, Hugo Boss ou autres marques de luxe dans ses placards, bien qu'il ait aisément les moyens de s'offrir se genre de vêtements onéreux. À vrai dire, son apparence n'eût plus été une priorité depuis sa dernière année de lycée, où le malheureux avait appris que sa petite amie de l'époque s'était tapée ses trois frères. Triste histoire, mais aussi tellement peu intéressante : la demoiselle était une trainée finie, les mecs de véritables connards, point final. Pablo s'efforçait tant bien que mal de passer à autre chose et il se disait qu'en ayant une meilleure apparence, il laisserait tous ses vieux démons derrière lui. De plus, en s'investissant de nouveau dans une relation amoureuse, il pourrait faire passer le goût amère de sa dernière idylle. Juliet semblait être la personne idéale pour ça et comme Pablo Di Marco avait tellement peu confiance en lui ainsi que peu d'expérience en matière de séduction, il parlerait probablement de ses désirs à ses maîtres, qui l'aideraient à coup sûr. Mais avant ça, il fallait qu'il se décide à s'habiller avec ce qu'il avait. Il ne voulait pas faire honte à Kenzo. Heureusement, il avait acheté quelques vêtements déjà avec Valentina, donc il en mit quelques-uns et alors qu'il s'évertuait à faire tenir sa coiffure, il entendit un klaxon dehors. Allant à la fenêtre, il vit la voiture du président des Delta. Quelques coups par-ci, par là dans les cheveux et le tour était joué. Se saisissant de ses clés, il sortit en trombe de son appartement et courut dans les escaliers. La vieille McGregor était là, fidèle à son poste de mégère de l'immeuble à emmerder Kenzo. Grave erreur de sa part puisqu'en un rien de temps, elle se reçut une tonne de piques de la part de l'homme dans la voiture. Elle ne répondit pas aux attaques lancées tant elle était peu habituée à ce que quelqu'un lui trouve quelque chose à redire. Passant derrière elle, un sourire amusé naquît sur les lèvres de Pablo, un sourire qu'il ne put cacher à la vieille folle. « Désolé Madame McGregor, mon ami est assez pointilleux concernant la mode... Bonne journée ! » dit alors Pablo qui courait presque jusqu'à la Aston Martin. Se saisissant de la poignée de cette dernière, le plus jeune l'ouvrit et s'installa directement sur son siège. La porte à peine fermée, Kenzo se dirigeait vers les magasins. « Heureusement pour moi, elle n'est pas sociale. » répliqua brièvement Pablo tendit qu'il analysait scrupuleusement la manière dont Kenzo était vêtu. Cela pouvait peut-être rendre mal à l'aise n'importe quel type, mais pas Kenzo, qui comprenait bien que pour Pablo, il était presque son modèle à suivre. Roulant à toute allure, un rictus amusé apparut sur le visage de Pablo suite aux répliques de son ami. « Je n'attends que ça... Non, j'ai préféré te laisser le plaisir de les brûler toi-même, si bien sûr tu peux supporter de les regarder quelques secondes afin d'y mettre le feu... » murmura-t-il. Le trajet vers le centre ville ne fût pas si long que ça. Se garant au parking, les deux étudiants arrivèrent très vite dans cette allée regroupant les magasins les plus prestigieux. Rêveur, Pablo brisa se silence qui s'était installé depuis qu'ils étaient sorti de la voiture. « Par quoi on commence ? » questionna-t-il. Les magasins étaient impressionnants vu de l'extérieur et quelque chose disait au blondinet qu'ils le seraient encore plus, à l'intérieur.
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MessageSujet: Re: « no, you're not set for jeans. » « no, you're not set for jeans. » EmptyLun 30 Juin - 9:51


Je baisse un peu le son de la playlist qui tournait à plein régime dans l'Aston Martin, petite habitude du conducteur tout seul lorsqu'il n'y a pas de bébé à l'arrière. Sans le dire, je sens le regard de Pablo glisser sur moi, mais je ne lui en ai jamais tenu rigueur. Là où j'aurais bondi sur l'occasion de me la raconter une fois de plus, je ne pipais mot pour la bonne et simple raison que je connaissais par cœur les raisons pour lesquelles il s'adonnait à ce genre de regard scrutateur. Combien de fois ai-je moi-même épié les gens riches dans la rues en espérant un jour sortir de la misère dans laquelle j'avais toujours vécu ? Au lieu de me payer la tête du jeune italien, j'avais tout de suite vu en lui un futur Delta à tailler dans la roche pour en faire l'exemple à suivre dans la confrérie. Il lui fallait seulement un coup de pouce au niveau du look et de la confiance en soi, le reste se ferait tout seul car, contrairement à ce qu'on a sans doute pu lui faire croire par le passé, il est loin d'avoir une personnalité quelconque ou fade. Il suffit juste de s'autoriser à la montrer. Un sourire se glisse sur mes lèvres en l'entendant parler de sa garde-robe actuelle tandis que je m'aventure en direction des quartiers réservés au shopping haut de gamme. "J'dis jamais non à un autodafé de fringues sacrilèges au nom du bon goût... mais c'est important que ce soit toi qui le fasse. Ça te permettra aussi de tourner la page." Je tourne la tête vers lui et lui décoche un clin d'œil à travers mes lunettes de soleil. Cette journée aura aussi pour but de donner à Pablo l'opportunité de laisser parler ses propres goûts avec quelqu'un qui saura lui donner les clés pour avoir un look parfait, pas de le transformer en "poupée humaine" et satisfaire mes seules envies. Nous finissons par arriver à bon port et j'ai déjà hâte d'écumer les boutiques alors que le moteur tourne encore. Une fille face à son idole n'aurait pas eu un sourire aussi réjoui que le mien ! Une fois à l'extérieur, je me tourne vers mon poulain pour l'observer avec insistance des pieds à la tête. "Mmm... Tes cheveux, ça va, mais on rafraîchira quand même ta coupe à la fin. Par contre, on va aller faire un tour chez Hugo Boss, je pense que t'as la carrure qu'il faut pour porter leurs collections. C'est classe sans être trop guindé, on verra si ça te plait. Allez, en route mauvaise troupe !" Et une petite claque amicale à l'arrière de la tête, une ça marche. Autant t'y habituer, bonhomme : Kenzo est tactile dans tous les sens du terme. À peine rentrés dans la boutique, je pose mes mains sur les épaules de l'Italien après avoir retiré les lunettes de soleil. Des hauts par dizaines, des pantalons de toutes matières et formes, des vestes, des costumes, des accessoires... Tout est soigneusement rangé, rien à voir avec la friperie du coin pour manant en manque de goût. Ici, même si les tons des articles sont relativement sobres, il y a moyen de faire un peu de fantaisie si le client le désire, il suffit de savoir accorder les éléments ensemble. "Alors, première impression ? On a très peur et on veut tenir la main de tonton Kenzo ?" plaisantai-je en espérant le détendre un peu. Nous avons à peine le temps de tourner la tête qu'une vendeuse vient nous voir et sourit en m'apercevant. "Cindy, ça fait plaisir de te voir, ma belle. Oui, on est venus pour changer la vie de Pablo ici présent. Tu nous amènes deux chocolats chauds, s'il te plait ? T'es chou." Je mime un baiser à distance tandis qu'elle repart à l'arrière de la boutique. Première étape, j'entraîne Pablo en direction d'une grande glace pour qu'il puisse se regarder en même temps que moi. "En premier, quand tu fais une séance shopping, il faut que tu saches quel type de vêtement est fait pour te mettre en valeur, et pour ça, il faut regarder ton corps. T'as les épaules plus développées que tes hanches, du coup ça te donne de la carrure... un peu comme les nageurs, tu vois ? Ça fait un V, et ça, c'est le top du top pour un mec. Pour les hauts, tu peux te permettre des vêtements près du corps sans être trop moulants non plus des vestes pour accentuer ta silhouette... Bref, tu peux te faire plaisir !" Je fais glisser mes mains de ses épaules à sa taille pour appuyer ce que je dis. Ce sont des compliments afin de le mettre en confiance avec son propre corps. Nous avons eu l'occasion de parler de son passé et je sais qu'avec ses frères, il s'est souvent senti étouffé... À lui de se débarrasser de cette impression. Il a un corps très bien formé, il lui manque juste les conseils adéquats pour se plaire avec ce corps. "Par contre, au niveau de la taille, tu n'es pas non plus un géant, même si tu es largement dans la moyenne. Du coup, au niveau des pantalons, c'est mieux d'opter pour des modèles slims, ou qui soient plus resserrés vers le bas afin d'allonger un peu plus ta silhouette. Et pour les hauts, l'astuce du col en V peut aussi allonger ton corps pour le regard des autres." Ce n'est pas parce que je suis un grand gabarit que je suis étranger à toutes ces astuces pour des hommes d'une morphologie différente. Depuis que je me suis lancé dans une carrière de créateur et de mannequin à temps partiel, mon œil s'est aiguisé et je compte bien en faire profiter Pablo. Cindy revient avec nos chocolats qu'elle dépose sur une petite table à côté puis nous laisse entre hommes. Je prends ma tasse d'une main et attrape quelques articles repérés rapidement. Un pantalon jean brut avec une ceinture brun clair, un t-shirt à manches longues bleu marine fluide et près du corps, une veste cintrée sombre et une paire de chaussures montantes de la même couleur que la ceinture. "File essayer ça et viens me montrer après. Ce sont normalement des vêtements qui te vont au niveau de la forme, c'est pour que tu puisses voir ce qui te convient à ce niveau-là. Ensuite, on verra au niveau du style ce qui peut te faire envie !" Je m'assieds sur le rebord d'une table en attendant qu'il aille essayer cette tenue "test". Pas besoin de lui demander ses mensurations, je les ai devinées en un coup d'œil. Ne cherchez pas, c'est un don.
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MessageSujet: Re: « no, you're not set for jeans. » « no, you're not set for jeans. » EmptyDim 31 Aoû - 13:16

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