Sujet: Re: La nouvelle du siècle, tiens toi prête [Juliet] Jeu 24 Avr - 11:13
“ La nouvelle du siècle, tiens-toi prête ! ”
The good news is that, according to the Obama administration, the rich will pay for everything. The bad news is that, according to the Obama administration, you're rich. Je le tenais toujours entre mes bras, mon visage collé contre son cou, ses bras ballaient encore le long de son corps, il ne bougeait pas. Je pleurais déjà doucement, je voulais lui montrer que j’allais être là pour lui, que j’allais le soutenir. J'ai besoin de toi Juliet.. Disait-il désormais m’entourant de ses bras musclés et me serrant d’amour. Je n’avais pas été une très bonne amie envers lui ses derniers temps, en plus avec l’histoire de sa famille, vu que j’avais déjà la mienne à m’en occuper et puisque je n’étais pas la meilleure fille/sœur du monde non plus, je me suis sentie impuissante face à ses problèmes. Complètement incapable de pouvoir lui venir en aide, puisque je n’ai jamais eu un bon père non plus, mis à part ma mère, ma famille n’avait jamais été de l’or, donc je ne me sentais pas en pouvoir de l’aider avec ses problèmes, puisque je n’arrivais même pas à résoudre les miens, comment voulait-il que je fasse ? Je ne pouvais rien faire, je n’avais aucun mot pour le soulager à l’époque, aucun mot de confort qui sortait de ma bouche, chaque fois que j’essayais de lui en parler, mes histoires de famille me venaient à l’esprit, alors il fallait que je me rattrape. Je suis consciente que ses derniers jours je n’ai pas été la meilleure des meilleures amies, mais je vais me rattraper je te jure, je suis là pour toi Mavis, je suis là, je suis là, je te soutiendrais jusqu’à la mort, tu le sais, je suis là. Lui susurrais-je, toujours mon visage contre son cou. Je pouvais sentir l’odeur de son shampooing qui me faisait sentir encore mieux, me rappelant l’époque où on avait la belle vie, au début, lorsque nous étions parfaits, sans problèmes. Cette douce odeur, me rappelait nos câlins de l’époque, nos journées ensemble, un petit moment de nostalgie, qui venait accompagnée de sentiments que je n’avais jamais senti. Écoute je vais t’aider avec ce bébé, je te promets. Je vais probablement regretter ce que je vais dire, mais je pense que pour commencer, il faudrait déjà que je fasse connaissance de ta blonde. Enfin je dis ça, je ne dis rien, mais au moins ce serait un début. Je sentais déjà le regret de mes paroles m’envahir, je crois que c’était bien la dernière chose dans cette terre que je voudrais faire, mais bon, ce cas là était spécial. Il ne s’agissait désormais plus de moi, mais de lui. Il fallait que je m’occupe de lui, parce que je reconnais bien à quel point il est mal, je reconnais bien ce visages, ces yeux remplis de tristesse, quoique contents d’accueillir un enfant, mais tout de même méfiant. Surtout qu’il ne sait pas si il va y arriver, vous savez, à être un bon père, c’est pourquoi je décide de le rassurer, toujours dans ces bras, je recule de quelques centimètres, désormais face-à-face avec lui. Tu vas être un bon père Mavis, je t’assure, le meilleur des pères. Je souriais, mais je ne pouvais m’empêcher de voir dans ses expressions, mon meilleur ami avec ses traits de bébé. Je prenais sa bouche entre mes deux doigts, lui faisant ainsi une petite bouche de canard toute mignonne. Je relâche sa bouche, désormais plus emprisonné entre mes doigts, mettant ainsi mes deux mains sur mes hanches.Par contre, j’espère que ce sera une fille, histoire que je lui fasse une petite réputation de bombe atomique, parce que si je laisse ce rôle à la maman, faut que je te le dise, ce n’est pas gagné d’avance. Du Juliet tout craché encore une fois, ça c’était ma vraie personnalité, un peu garce sur les bords quand même, mais pas trop, ça devrait le faire sourire, du moins j’espérais le faire sourire, parce qu’avec cette tête là, ben il fallait bien y dessiner un sourire, d’une façon ou d’une autre. Si ça marcherait pas, je pourrais très bien faire le singe devant tout le monde, ô oui, tout et n’importe quoi pour le Mavis hein, dieu sait ce que je serais prête à faire pour cette bouille de bébé.
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Sujet: Re: La nouvelle du siècle, tiens toi prête [Juliet] Jeu 24 Avr - 23:34
Mavis & Juliet bouche toi les oreilles
Mavis avait mis un peu de temps avant d'accepter l'étreinte de sa meilleure amie, Juliet, il était comme ça, un peu rancunier, même si avec elle il ne pouvait pas l'être très longtemps. C'est ainsi qu'il vint l'entourer de ses bras parce qu'il ne pouvait l'éviter ainsi une seconde de plus. Il lui dit quelques mots, il avait besoin d'elle, oui il avait besoin de celle qu'il nommait sa meilleure, sa puce pour pouvoir supporter tout ce qui pouvait se passer dans sa vie en ce moment. Il savait bien qu'elle avait elle aussi son lot de soucis mais elle savait que si elle avait besoin, il était là, et même si elle n'en avait pas besoin, il serait quand même là pour elle parce que c'est ça l'amitié, toujours être là pour l'autre car la solitude n'a jamais été bon pour personne. La sentir contre lui, sentir sa tête dans son cou, son parfum, tout ça lui faisait du bien et parfois un câlin de sa meilleure amie était suffisant pour qu'il retrouve des forces pour les jours à venir. Il lui caressa alors doucement les cheveux en l'entendant lui dire des mots qui avaient toujours le don de le toucher car il la savait sincère et qu'il se sentait chanceux de l'avoir dans sa vie. Je le sais, merci puce.. Lui déclara t-il en lui déposant un baiser sur la tête, finissant par esquisser un petit sourire lorsqu'elle lui déclara qu'elle allait l'aider avec le bébé, il avait hâte de voir ça, Juliet un bébé dans les bras, ça risquait d'être mythique! Le jeune alpha fut alors des plus surpris en entendant sa demande, il se retira d'ailleurs légèrement pour la regarder dans les yeux voir si elle était sérieuse. Mais oui, elle l'était et c'était certainement le meilleur geste qu'elle pouvait lui faire en signe de son soutien. Tu ne le regrettera pas, et avant que tu ne changes d'avis, t'auras qu'à venir avec moi à la maison après, on t'invite à diner. Lui déclara t-il, n'ayant même pas demander à Léo mais c'était pas grave, ça serait l'invité surprise et puis il n'avait aucune envie que sa meilleure change d'avis entre temps donc là au moins elle ne pouvait plus reculer. Il ne s'attendit pas non plus à ses prochaines paroles, des paroles qui se voulaient rassurantes et qui le touchaient, et cela se voyait. Il était sensible sur le sujet car n'ayant jamais eu d'exemple de parents, il ne savait pas si il serait si prendre bien avec son bébé, c'était l'inconnu total.. Il finit alors par rire lorsqu'elle lui fit une bouche de canard de ses mains, elle savait comment le faire rire, il ne fallait pas viser très haut. Il continua d'être amusé par la jeune femme qui arrivait à blaguer avec le futur bébé du jeune couple, bien sûr ses paroles l'amusaient et il ne retenait pas du tout le fait qu'elle ait pu critiquer Léo dans sa réflexion, non elle était juste amusante à ce moment. Il passa alors son bras sur ses épaules pour alors commencer une marche avec elle. J'espère que ça sera un garçon alors! Lui déclara t-il en lui tirant la langue pour la taquinant, aimant aller à l'inverse d'elle pour l'énerver. Ils restèrent encore une bonne heure dans ce parc à parler, à blaguer avant de prendre la route vers la nouvelle maison de Léo et de Mavis en quelque sorte puisqu'il passait toutes ses nuits là-bas. Bien sûr ils prirent le bus pour le plus grand plaisir de Juliet, okay il avait eu envie de la faire un peu rouspéter, ça l'amusait tant. La nuit était tombée depuis peu et le jeune anglais s'apprêtait à faire une belle surprise à sa Léo, ramener sa meilleure amie à dîner sans le lui avoir dis. Qu'il était gentil ce mec! Une fois devant la maison, et avant d'ouvrir, il se retourna une fois face à sa meilleure pour lui rappeler un détail. Souviens-toi qu'elle est enceinte donc pas de violence. Lui déclara t-il avant de lui pincer la joue pour l'énerver tout en riant, rentrant alors dans la maison tout en s'annonçant à Léo. Je suis rentré, et je ne suis pas seul, j'ai invité Juliet à manger! Lui déclara t-il haut et fort pour qu'elle l'entende où qu'elle soit dans la maison..
Sujet: Re: La nouvelle du siècle, tiens toi prête [Juliet] Ven 25 Avr - 12:49
“ La nouvelle du siècle, tiens-toi prête ! ”
The good news is that, according to the Obama administration, the rich will pay for everything. The bad news is that, according to the Obama administration, you're rich. Il me caressait les cheveux, alors que je lui disais des mots doux qui avaient le don de le soulager, de le faire sentir mieux. Je le sais, merci puce... me répondait-il me déposant un baiser sur la tête. Puce. Dieu sait à quel point je n’aimais pas ce mot, encore moins que l’ont m’appelle comme ça. J’aurais du lui avoir répondu ‘de rien cafard’ voir s’il allait aimait. Déjà une puce à la base, c’est vraiment une bête dégueulasse, presque autant que le cafard et toute la compagnie, mais bon je sais que de sa bouche, ces intentions étaient bonnes et tout ça. J’aimais tout de même, bien le fait qu’il prenait le temps de m’appeler de telle façon, mais bon cela ne change pas le fait que je n’aimais pas, que je n’aime pas et que je n’aimerais jamais cette appellation et qu’autre chose du même genre, irait tout autant. Tu ne le regretteras pas, et avant que tu ne changes d’avis, t’auras qu’à venir avec moi à la maison après, on t’invite à diner. Oh mon dieu, trop vite Mavis, trop vite. J’avais déjà regretté avoir dis cette phrase, mais à quoi est-ce que tu pensais, Juliet Sage Allenwood ? Qu’est-ce que t’avais dans le crâne quand t’as dit ça. Mais je n’étais plus sûre d’avoir le choix, il fallait tout simplement ne jamais l’avoir dit, mais bon c’était genre, un peu trop tard maintenant. J’allais inventer une excuse quelconque, mais il ne me laisse pas le temps d’en placer une, d’un coup je me dis qu’il fallait que je fasse cet effort pour lui. J’essayais de revenir à mes esprits, me faire à l’idée que si ça se trouve c’est quelqu’un de bien, puis Mavis a bon goût, elle doit être jolie et tout. Si ça se trouve, je regretterais aussi de ne pas l’avoir connu avant, je deviendrais sa meilleure copine et s’aimera à tout jamais. Enfin j’espérais peut-être un peu trop, dans mes pensées, pendant un instant je ne me reconnaissais même plus. Je me pince discrètement les fesses afin de revenir à moi. Par contre, j’espère que ce sera une fille, histoire que je lui fasse une petite réputation de bombe atomique, parce que si je laisse ce rôle à la maman, faut que je te le dise, ce n’est pas gagné d’avance. Du Juliet tout craché encore une fois, ça c’était ma vraie personnalité, un peu garce sur les bords quand même, mais pas trop, ça devrait le faire sourire, du moins j’espérais le faire sourire, parce qu’avec cette tête là, ben il fallait bien y dessiner un sourire, d’une façon ou d’une autre. Si ça marcherait pas, je pourrais très bien faire le singe devant tout le monde, ô oui, tout et n’importe quoi pour le Mavis hein, dieu sait ce que je serais prête à faire pour cette bouille de bébé. J'espère que ça sera un garçon alors! Me déclarait-il en tirant la langue. Non mais franchement, j’espérais vraiment que ce soit une fille, de toute façon j’ai toujours voulu avoir une fille, histoire de pouvoir l’habiller, la coiffer, lui faire les ongles et tout ce genre de trucs que ma mère n’avait pas toujours le temps de faire avec moi. Comme moi, nous apprenons toujours avec les erreurs de notre passé, nous essayerons toujours d’être une meilleure mère que notre mère, se fixant sur les erreurs qu’elle a pu faire avec nous. Pas la peine de parler de mon père, j’imagine. Non mais t’es pas sérieux ! Disais-je en rigolant. Puis on continuait de blaguer, parler sans arrêt. Je regarde ma montre Swatch blanche, qui entourait ma poignée délicate, je m’aperçois qu’une heure était déjà passé, sans qu’on s’en rende compte. Il fallait donc partir, on était en route donc pour rencontrer la blondasse, hé non, je ne dis jamais ça dans un bon sens. Bien sûr, encore une fois, Mavis eut la bonne idée de prendre le bus, de toute façon on n’avait pas le choix, on n’avait pas pris de voiture, puis elle habitait bien trop loin pour qu’on s’y rende à pied, puis avec des talons : pas pratique ! Pendant le trajet, la nuit commençait déjà à tomber, peu à peu, la noirceur de la nuit nous envahissait. On était enfin arrivés, fini l’enfer de ce bus, ô dieu sait comment il puait et comment les gens y était… je ne pouvais pas supporter ses transports publics, puis c’est pas pour rien que j’ai plus d’une voiture à ma disposition, dans mon garage, mais bon, sans commentaires, voulez-vous ? On s’arrêtait devant la maison pour que l’alpha me face une petite remarque. Souviens-toi qu'elle est enceinte donc pas de violence. Disait-il avant de me pincer la joue, ce qui m’énerve légèrement, mais me fait rire au même temps. Quand même je n’étais pas aussi cruelle que ça, m’enfin, c’est vrai que parfois je peux aller un peu à l’extrême –surtout ces temps-ci– mais bon fallait pas non plus me prendre pour LA PERSONNE LA PLUS DANGEREUSE, donc encore moins pour une meurtrière qui aime la violence, enfin juste de fois, mais bon, ne donnons pas de détails. Je ne te promets rien. Répliquais-je d’un sourire coquin, avant de lui déposer un baiser sur sa joue, elle était douce et bronzée –au même temps dans la ville qu’on est, ce n’est pas très difficile de bronzer– c’était une chose qui avait le don de m’apaiser et de me rassurer, dans ce genre de situations. Je ne pouvais m’empêcher de lancer ce genre de répliques, c’était plus fort que moi, c’est comme parler du mal de sa blondasse, je ne pouvais pas m’en empêcher, même si je ne la connaissais même pas encore, c’était naturelle, physiquement impossible quoi. Je suis rentré, et je ne suis pas seul, j'ai invité Juliet à manger! On pénètre finalement dans la maison, je regarde un peu autour de moi, blondasse n’était pas encore en vue, mais bientôt, dans quelques secondes j’allais pouvoir voir sa tête, découvrir son identité après tant de temps. Je regardais la décoration, elle avait bon goût, les couleurs s’assemblaient à la perfection, le tout était très harmonieux, mais bon je ne lui avouerais jamais une chose pareille, à voix haute. Regardez qui voilà. Disais-je discrètement. Des paroles tellement légères que je fus la seule à les entendre. C’était l’ancienne bêta, avec qui je m’étais plus ou moins battue lors de la soirée qui était supposée lui être concernée, comme une fête d’au revoir. Oh mon dieu, vraiment la dernière personne que j’aurais voulu voir devant moi, mais elle était bien la, c’était bien elle ‘la blondasse’ dont il me parlait tout le temps, c’était bien elle qui allait avoir un enfant de mon Mavis, ô bon dieu, qu’ais-je fais pour mériter une chose pareille, mais il fallait bien faire un petit effort pour Mavis, mais bon comme je l’avais dis à l’entrée, je n’ai rien promis. Mavis s’avance vers elle pour lui déposer un baiser en guise de salut, puis il me tire par le bras afin de faire nos présentations. Bonsoir. Disais-je de la façon la plus polie possible, c’est vrai que vu les circonstances, la politesse ne pourrait pas être mon fort, mais il fallait bien essayer. La seule chose que j’avais envie de lui faire était de la cogner, mais bon, elle y échappe : voilà un des avantages d'être enceinte.
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Sujet: Re: La nouvelle du siècle, tiens toi prête [Juliet] Dim 27 Avr - 16:42
La nouvelle du siècle, tiens toi prête.
Mavis&Léo-Alisson&Juliet
Je suis assise par terre, au milieu d'un amoncellement de nourritures en tout genre. Farine dans les cheveux, du liquide d'une couleur plus que suspicieux étalée sur le tablier que j'ai enfilé, je ne peux pas dire être la meilleure des cuisinière. En même temps j'en étais à ma première fois. Et les premières fois en cuisine, d'une princesse qui s'est toujours fait servit était très laborieuse. Bien plus que les gens normaux qui arrivaient au moins à faire quelque chose qui ressemblaient à de la nourriture. Pour ma part je mettais battue avec le batteur électrique, avait sursauté lorsque j'avais allumé la plaque chauffante, mettais brûler au moins deux fois lorsque j'avais voulu voir si le four était bien chaud et avait brûlé quelques ustensiles. Mais qu'est-ce que je pouvais savoir que ce n'était pas bon de mettre certains matériaux sur une plaque chauffante ? Je fulmine contre le cinglé qui a évoqué l'idée qu'une femme pouvait très bien faire la cuisine à son homme pour lui faire plaisir. Bien sûr, cet adage avait été repris et vivement détourné par la gente masculine qui y avait vu ainsi un prétexte pour déléguer totalement ce rôle à leur femme. Ben voyons. Et moi dans tout ça ? J'avais penser engager une cuisinière parce que je me m'imaginais pas sans mes petits plats gastronomiques et qui m'aideraient à garder un minimum ma ligne et qui au moins, aurait le respect de garder mes ongles impeccablement soignés. Mais en vue des remarques que m'avais fait Mavis sur mon manque d'investissement évident et le fait que je dépensais trop d'argent pour un rien, j'avais vite compris que lui parler de cuisinier et d'employés de maison allait vite devenir un sujet tabou et très compromettant pour notre couple. Non mais sérieusement ! Dans ces moments je comprenais pourquoi mes parents m'avaient toujours poussé à sortir avec un riche d'homme d'affaire ! Oh moins il était sûr que je ne me serais pas retrouver dans cette situation ! M'enfin il fallait dire que ces péripéties m'empêchaient de penser à l'arrivée du futur poupon qui arrivait à grand pas. Mon ventre grossissait de jour en jour. Au début discret, maintenant c'était incontestable que ça devait être un mutant pour grandir aussi vite en une seule nuit. Alors forcément je me dis que je devrais commencer à préparer son arrivée à et m'occuper de cette famille malgré moi. Alors j'avais décidé de cuisiner. D'apprendre à faire quelques chose de mes deux mains autres qu'étudier, me limer les ongles ou me satisfaire de quelques bassesses avec l'alpha qui partageait ma vie. Mais j'avais littéralement échoué dans cette quête et me disais qu'il valait mieux pas que Mavis voit le désastre. Un coup de clochette et tout serait réglé. Clochette ? ha oui exact, je n'avais pas de bonnes à tout faire, voila pourquoi j'étais dans cette panade. Non mais sérieusement, je pense que Mavis, en enlevant de suite cette option, n'avait pas totalement pris conscience que j'étais une personne dotée de beaucoup de qualités mais qui n'avais jamais tenue une maison de sa vie. Je n'avais d'ailleurs jamais sortit les poubelles de ma vie, n'avait jamais touché à de la vaisselle autre que pour manger dedans. Le ménage ? Je ne connaissais pas. Alors évidement que j'allais avoir besoin d'aide très vite au quel cas j'allais foutre le feu à cet baraque et noyer le bébé dans le lave vaisselle en ayant essayer de faire les choses bien ! Je rumine encore plus et la colère vient s'étaler sur mon visage pendant que je me redresse tant bien que mal après avoir glissé sur une flaque d'huile au sol. En même temps, quelle idée de continuer à porter ses talons immenses alors que je suis enceinte ? Pour le simple souvenir de se dire qu'avant j'étais belle. Peut-être. Et aussi parce que c'était des bottes Gucci et qu'avec ce pantalon, le rendu était impeccable ! J'entends alors la porte d'entrée s'ouvrir au moment où je fait le tour des dégâts d'un regard navré. Pas de ma faute. J'aurais sûrement dû acheter ces bandes jaunes que les policiers mettent sur les zones de crime pour déconseiller Mavis de s'approcher plus de ce carnage. Mais tant pis. Je commence à sortir de la cuisine pour le rejoindre mais je l'entends annoncer l'arrivée d'un invité. Un invité ? Ha merde. C'est quoi qu'il faut faire dans ces moments-là ? Encore une fois je me rappelle de Rob qui allait de suite chercher les manteaux et proposait des collations. Qu'est-ce qu'il me manquait aujourd'hui ... Sauf que je n'ai clairement pas besoin de remplir son rôle lorsque je tombe nez à nez avec Mavis mais surtout Juliet. Encore regard envers l'alpha. De suite le reflexe est de cacher mon ventre avec mes mains mais c'est trop tard. Et puis il lui a sûrement tout dit. Il s'avance mine de rien et dépose un baiser sur mes lèvres mais je reste focaliser sur la présence de la bêta qui m'a incendié à la dernière soirée à laquelle j'ai assisté au sein de mon ancienne confrérie. Je me tourne alors vers Mavis comme si elle n'était pas là et glisse entre mes dents une remarque acerbe. Tu sais Mavis, si tu voulais faire du bénévolat, c'est pas marqué qu'il faut nous ramener les défavorisés ensuite à la maison ! Il ne doit sûrement pas comprendre pourquoi je dis ça et ma remarque s'envole pendant que je me tourne de nouveau vers Juliet avec un sourire que j'essaie d'exprimer sincèrement. Alors c'est toi la fameuse Juliet ! Très ... Heureuse de faire ta connaissance. Ok, tout sonnait faux. Piètre jeu de comédienne, c'était à n'en pas douter !
Sujet: Re: La nouvelle du siècle, tiens toi prête [Juliet] Lun 5 Mai - 17:46
Mavis & Juliet bouche toi les oreilles
Mavis allait enfin présenter sa meilleure amie à sa copine, depuis le temps qu’il aurait dut le faire, il avait fallu que Léo tombe enceinte pour qu’il se décide enfin, enfin surtout que Juliet se décide. Oui, car la jeune femme ne la connaissant même pas lui avait trouvé toute sorte de petits surnoms pas très sympathique et ne l’avait juste jugé par rapport à ce que le jeune anglais avait pu lui dire sur leur relation passée. Il n’avait jamais apprécié le fait qu’elle ne puisse ne pas aimer sa copine alors qu’elle ne l’avait jamais vu mais bon c’était Juliet, il connaissait son caractère et l’aimait quand même. Ce soir allait être le grand soir, bien sûr le jeune alpha n’avait pu s’empêcher de faire une réflexion à sa meilleure avant d’entrée, il lui disait de rester calme, il voulait que la soirée se passe bien. Bien sûr, la jeune femme ne lui répondit pas ce qu’il attendait, non ça aurait été trop dur pour elle, elle ne lui promettait rien.. Il hocha doucement de la tête l’air désespéré par sa meilleure avant de lui adresser un petit sourire amusé, elle n’était pas possible. Ils entrèrent enfin dans la maison et Mavis s’annonça lui et l’invité surprise de la soirée, Juliet. Okay, il était un peu chié d’invité quelqu’un sans la prévenir mais bon il savait que s’il l’avait prévenu, elle aurait très certainement trouvé une excuse, donc là au moins elle se trouvait devant le fait accompli. Lorsqu’il vit sa blonde débarquer, il fronça doucement des sourcils tout en esquissant un air amusé sur son visage en la voyant avec un tablier et de la farine dans les cheveux. Il n’aurait jamais pensé retrouver ainsi sa Léo mais il était assez content d’elle, cela prouvait qu’elle essayait de faire des efforts, qu’elle essayait de se servir de ses dix doigts sans avoir appel à un professionnel qui pourrait tout lui faire dans la maison. Il s’avança vers elle pour lui déposer un baiser sur les lèvres, tout en passant son pouce sur sa joue pour lui retirer le brin de farine qu’elle avait tout en restant assez amusé. Mais ses sourcils se froncèrent alors lorsqu’elle lui fit une remarque assez culotée à propos de sa meilleure amie. Qu’est-ce qu’elle lui faisait là ? Elles se connaissaient ou quoi ? C’était à n’y rien comprendre. Il tourna son regard vers Juliet pour voir son expression et en voyant sa tête en effet il se disait qu’il y avait quelque chose qui se tramait dont il n’était pas au courant. Alors qu’elles venaient de se saluer, Mav’ stoppa tout. Euh attendez, vous vous connaissez ? Demanda t-il en les regardant l’une après l’autre, voulant être éclairé là tout de suite. Mavis avait l’air con dans cette histoire et il n’appréciait guère cela. Répondez moi, non parce que je ne vais pas être le pigeon qui va gober que vous venez tout juste de vous rencontrer, après ce que t’as dis toi – désignant Léo- et ta tête à toi –désignant Juliet-. Qu’est-ce qui se passe, vous avez eu un différent ? Demanda t-il en attendant des explications de la part des deux, oui des deux car il ne voulait pas qu’une des deux puisse déformer la réalité ou quoi que ce soit.. Il se disait que ce soir il allait en découvrir des choses, peut être pas celle qu’il aurait voulu mais bon on a pas toujours tout ce que l’on veut dans la vie..
Sujet: Re: La nouvelle du siècle, tiens toi prête [Juliet] Jeu 29 Mai - 16:07
“La nouvelle du siècle, tiens-toi prête et bouche-toi les oreilles.”
J’avais encore et toujours du mal à me faire à l’idée que la blondasse de Mavis était enceinte et maintenant, c’était encore plus dure à y croire puisque la blondasse était en effet LA Léo qu’il ne fallait pas. Avec tant de filles dans ce putain de monde, il était vraiment obligé de l’avoir choisi elle. Ce serait probablement la dernière personne que j’aurais choisis pour lui. Je ne pourrais jamais me faire à l’idée que Mavéo -ou peut importe comment l’appellent ceux qui les shippent- était vraiment vrai, devant mes yeux et Mavis passerait probablement toute sa vie avec celle-ci. Tu sais Mavis, si tu voulais faire du bénévolat, c'est pas marqué qu'il faut nous ramener les défavorisés ensuite à la maison ! Oh c’est chou la princesse au ventre désormais arrondit sors déjà ses crocs, ou plutôt ses blagues pourries et son humour à deux balles. Mon dieu, comme j’aurais voulu pouvoir lui mettre un coup de boulle au milieu de sa face, mais je ne pouvais malheureusement pas. Non seulement elle était enceinte –oui, bien au fond, j’ai un cœur, ne soyez pas si étonnés– mais je devais le faire pour Mavis, il méritait bien cela. Je la regardais d’un faux sourire, je faisais un effort phénoménal pour qu’il paraisse le plus vrai et le moins hypocrite possible, je regardais ensuite Mavis, qui semblait être un peu confus. Au même temps je le comprends, si on ne connaît pas l’histoire de l’intérieur, c’est vrai que ça n’a aucun sens. Alors c'est toi la fameuse Juliet ! Fameuse, oh oui, c’est le cas de le dire, pensais-je. Un poil trop prétentieuse peut-être ? Oh jamais quand il s’agit de l’Allenwood. Et toi la blon... Léo, et toi Léo-Alisson. Il me tardait de te rencontrer. Disais-je d’un sourire hypocrite. J’allais dire blondasse, parce que pendant une seconde j’avais complètement oublié la situation dans laquelle on se trouvait. Dans ma tête, nous étions toutes les deux dans un ring de box, genre les meufs de WWE avec les têtes sexy –enfin en tout cas la mienne– et je lui mettais un peu en raclée en mode bruneVSblonde. Puis bien sûr on saurait celle qui gagnerait à la fin de cette visite. Très... Heureuse de faire ta connaissance. Mais oui c’est ça : mon dieu, qu’elle pourrait être fausse parfois, elle ne fait pas une très bonne actrice, il faut le dire, au même temps c’est ma spécialité ça, on ne peut pas tous être aussi doués que moi, voyez-vous. Il n’y a pas assez de talent pour tous, je suppose je prends déjà trop de place. Euh attendez, vous vous connaissez ? Son jeu de comédie minable avait donné quelques pistes à Mavis. Heureusement qu’il nous a tout de suite stoppées à ce moment là, parce que je peux faire beaucoup d’efforts et tout, mais faut pas trop m’en demander non plus, je n’étais pas encore prête à devoir dire que j’étais ravie de faire sa connaissance aussi. Il me regardait moi, puis son regard de posait sur la iota. Puisqu’aucune de nous ne savait réellement quoi répondre –parce que d’un côté, je ne sais pas vraiment si on aurait pu trouver une réponse potable à cela– il ajoute encore un petit quelque chose. Répondez moi, non parce que je ne vais pas être le pigeon qui va gober que vous venez tout juste de vous rencontrer, après ce que t’as dis toi… disait-il en désignant la blondinette qui ne semblait pas être très confortable, je ne sais pas si c’était avec la situation ou si c’était son gros bide qui la rendait inconfortable. Parce que c’est vrai qu’une femme enceinte n’a pas l’air d’être l’une des plus confortables, elle est d’ailleurs la plupart du temps tordu : bide et seins trop en avant, dos trop en arrière, c’est l’impression qu’on a en tout cas ! …et ta tête à toi. Ajoutait-il ensuite en me désignant. Mais qu’est-ce qu’elle avait ma tête ? Allez il était temps pour moi d’entrer en action. Lumières, caméra, action ! Je ne vois pas du tout de quoi tu parles. Disais-je en lui souriant d’un air tout à fait angélique. Il était presque crédible si on ne me connaissait pas, mais mon ton de fille tout à fait sage faisait la chose un peu plus réaliste. Qu’est-ce qui se passe, vous avez eu un différent ? Je me demande qu’elle est la partie du ‘je ne vois pas du tout de quoi tu parles’ qu’il n’avait pas pigé le Mavis. Non, du tout. Je ne la connais pas, on a peut-être du se croiser quelques fois dans le campus, mais je n’ai pas fais attention je pense. Impossible de ne pas y croire. Je me demandais qu’elle allait être la réaction de Léo-Alisson, après tout il fallait bien faire un effort pour Mavis, même si j’avais une envie puissante de lui arracher la tête, aussi dégueulassement que dans Walking Dead, mais bon, il fallait se retenir, après tout, elle était enceinte. Oh mon dieu, que ça sonnait faux !
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Sujet: Re: La nouvelle du siècle, tiens toi prête [Juliet] Mar 3 Juin - 16:56
La nouvelle du siècle, tiens toi prête.
Mavis&Léo-Alisson&Juliet
Et moi qui pensait cuisiner ! J'étais bien prise au dépourvue de me retrouver devant la seule jeune femme de l'université que je n'appréciais pas. A me creuser la tête, je pouvais le dire, je n'étais même pas sûre de mettre disputer de cette manière avec une inconnue. C'est pourtant le genre d'évènement qui se passe très fréquemment. A cause de rivalités, des trahisons et toutes sortes de futilité avec lesquelles je ne traite absolument pas. Et pourtant, sa grande gueule avait eu le don de m'énerver. Elle avait été à la limite de me sauter dessus et moi avec mes airs supérieurs, je n'avais pas réfréné ses ardeurs puisqu'elle m'avait prise au dépourvue en plein milieu d'une soirée qui m'était dédiée. Clairement ça ne passait absolument pas. J'avais l'habitude d'être traitée comme une princesse et pas comme une moins que rien et c'est ce qu'elle avait essayé de faire. A ses risques et périls. L'alcool fusent dans le corps et les esprits s'échauffent. Les langues s'étaient déliées très facilement et on avait dû être séparé chacune par Marni ou Harper. Mes meilleures amies de toujours. Et la voila dorénavant dans ma maison. Cette femme qui ne m'intéressait absolument pas, qui avait créé un beau scandale aux olympiades et crachant une fois de plus son venin à la face des caméras et donc aux yeux du monde entier. Bref, une personne que je n'admirais pas assez pour la voir frôler le sol de ma demeure. Merci, tu peux faire demi-tour et t'en aller. Mais le regard de Mavis tente de comprendre. Parce que s'il l'amène ici sans même me prévenir c'est qu'il se dit qu'elle a assez d'importance pour pouvoir la faire venir sans aucune nouvelle au préalable. L'improviste ne tue pas mais quand il est de cet ampleur, il fait des ravages. Je n'admire en rien cette fille. Elle fait partie des femmes bêtas qui ne sont là que pour faire jolies. Les potiches qui cours au gré des hommes comme elles ne savent absolument pas quoi faire sans leur corps. Je lève les yeux au ciel intérieurement et à l'extérieur, j'affiche une expression des plus figée qui tente de cacher toutes les émotions contradictoires qui se cachent en mon fort intérieur. Piètre comédienne j'essayais tout de même d'arriver autant à faire semblant que cette garce et qui prouvait qu'elle était fausse de la pointe de ses cheveux au vernis à ongle appliqué soigneusement sur ses orteils. Elle fait du mal autour d'elle, c'est tout ce que je connais de cette fille et je n'ai aucune envie de la connaître. Mais apparemment, ce n'est pas à moi d'en décider. Encore une épreuve dans notre couple ? Oui mais celle-là est plus qu'importante. Des plus délicates même. Alors je ne sais pas sur quel pied danser entre Mavis qui commence à s'impatienter devant nos réactions et l'envie de lui faire plaisir et de ne pas en faire qu'à ma tête pour une fois. Oui mais attention, privilège de femme enceinte ! Mais je ne pipe mot et tente veinement de suivre les propos de Juliet à défaut de pouvoir lui sauter dessus dans cet état et d'avoir même l'envie d'utiliser mon énergie pour lui intimer de déguerpir de mon palier. Je n'avais pas quitté une seule fois le regard de Juliet et pourtant je tourne enfin la tête, détruisant ainsi toute la tension que j'accumulais pour lui retranscrire à travers mon regard. Mes yeux de nouveau plongé dans ceux de Mavis je tente de feindre la surprise devant ses paroles. Qu'est-ce que j'ai dit ? C'est pas comme si tu savais pas que je faisais avant partie des bêtas. Une remarque destinée à lui prouver que mes pics de tout à l'heure étaient totalement habituelles. Mais apparemment Mavis me connaissait assez pour savoir que je n'étais pas non-plus du genre à agresser les gens de la sorte pour un rien. Mais après tout, autant lui faire croire que les hormones me jouaient des tours ! Je serre les dents devant les paroles de Juliette et me tourne vers elle en essayant de ne pas montrer mon visage à Mavis pour l'instant. Clairement, le mensonge pourrait se lire dans mon regard si je le fixe trop longtemps. Pour une fille dans ton genre c'est étrange de ne pas suivre la mode. Ou pour une bêta ... Mais ça je n'étais pas censée le savoir. Une remarque faite d'une voix des plus innocentes et calmes. Une manière de lui faire comprendre que ce n'est pas crédible qu'une fille comme elle ne puisse pas me connaître. Il allait falloir faire mieux si elle voulait vraiment faire croire à Mavis qu'elle ne me connaissait ni d'Eve ni d'Adam. Mais évidemment ce n'était sûrement pas dans ce sens là qu'elle disait sûrement ça. Elle parlait sûrement au sein de l'université avant tout. Mais après tout, c'était une perche qu'elle m'avait tendue pour que je lui assène un second coup de massue alors je la prenais avec plaisir. Mais il faut dissiper la tension ne sachant vraiment de toute manière si cette situation va tenir bien longtemps. Si vous avez faim, je vous conseil d'appeler le traiteur. Voila qui était dit. J'aurais pu faire un effort mais pour elle ? Qu'elle aille au diable c'était déjà bien assez difficile pour moi d'envisager de cuisiner pour quelqu'un alors pour une femme que je n'appréciais guère, c'était inenvisageable.
Sujet: Re: La nouvelle du siècle, tiens toi prête [Juliet] Lun 16 Juin - 16:48
Mavis & Juliet bouche toi les oreilles
Mavis ne savait pas qu'en ramenant sa meilleure amie, Juliet, à la maison ce soir pour lui présenter sa copine, il allait découvrir des choses. En effet, le jeune anglais soupçonnait qu'elles se connaissent déjà d'avant car cela n'était pas possible de dégager autant d'ondes négatives alors qu'elles sont censées ne pas se connaitre.. Le jeune homme avait du mal à assembler les deux bouts mais il avait espoir que si elles se connaissaient, leur divergent n'était pas important et qu'il pourrait vite passer grâce à cette soirée qu'il voulait être agréable. Mav' avait juste envie de passer une bonne soirée avec les deux femmes de sa vie, qu'elles puissent s'entendre à merveille et ainsi qu'ils puissent bien rire ensemble. De plus, Mav' avait beaucoup réfléchi et il pensait demander à Juliet d'être la marraine de la petite car même si il ne savait pas ce qu'elle pouvait donner avec les enfants, il savait que parce que c'était le sien, elle en prendrait soin comme à la prunelle de ses yeux au cas où il leur arriverait quelque chose. Oui, il savait que c'était une décision à ne pas prendre à la légère mais il avait une confiance aveugle en sa meilleure amie et il savait qu'elle serait la personne parfaite pour ce rôle. C'est pour cela aussi en parti qu'il espérait que les deux jeunes femmes s'entendent bien. Les deux jeunes femmes lui annoncèrent alors ne pas se connaitre ou bien s'être croisé sans plus dans l'université. C'est vrai qu'avant Léo était chez les bêtas donc en effet, ils ont pu se croiser quelques fois dans la confrérie.. Bon Juliet affichait une mine plutôt confiante donc il espérait ne pas à avoir de soucis à se faire.. Okay, oui vous avez dut déjà vous croiser à l'université.. Dit-il en regardant les deux même si avec le regard fuyant de Léo, il se demandait si elles n'étaient pas en train de le berner. Mav' suivit qu'à moitié lorsque Léo fit une remarque sur la mode à Juliet car le jeune alpha s'inquiétait pour l'état de la cuisine, qui vus d'ici semblait pas mal dévasté par le passage de la tornade blonde.. D'ailleurs elle vint leur soumettre l'idée d'un traiteur, le jeune homme esquissa un petit air amusé. Ouai je crois qu'en effet c'est préférable. Déclara t-il avant de venir lui déposer un baiser sur le front. Mais c'est bien que t'ai essayé.. C'est vrai cela lui faisait plaisir qu'elle ait essayé de lui préparer à manger, c'était une belle attention assez étonnante venant de sa part. Il attrapa son téléphone et appuya sur le numéro du chinois où il avait l'habitude de commander. Après avoir passer sa commande, il raccrocha et se dirigea vers le salon où s'étaient dirigés ses deux femmes (a). Ça arrivera dans vingt minutes. Déclara-t-il tout en passant derrière le bar, car oui ils avaient un bar dans le salon, on avait la classe ou on ne l'avait pas. Alors je sers quoi aux deux femmes de ma vie? Dit-il de son petit air naturellement charmeur, il était barman donc géré un maximum tous les cocktails et autres boissons élaborées..
“La nouvelle du siècle, tiens-toi prête et bouche-toi les oreilles.”
La soirée s’annonçait prometteuse. Diner en famille, c’est comme ça que Mavis l’appellerait. Mon dieu, si je dois appeler cette blonde ma famille, alors là, faut qu’elle rame beaucoup pour que je la traite comme tel. Déjà si elle ne serait pas enceinte je l’aurais probablement déjà frappée, surtout vu ses petits piques énervants. Mais bon, j’en prenais sur moi, concentrée sur le fait qu’un joli –ou pas– bébé (probablement un extraterrestre, ah ben oui hein, vu sa tête sa m’étonnerait franchement pas) était dans son gros ventre. Okay, oui vous avez dut déjà vous croiser à l'université... Nous confirmais donc Mavis. Ces soupçons étaient pourtant toujours présents, je le voyais dans ses yeux. Je ne pouvais toujours pas y croire de qui il s’agissait. De toutes les filles du campus, de la ville, du pays, du continent, du monde, de la planète, de la galaxie même : il a fallut qu’elle soit LA fille. Ce n’était pas sérieux. Je me demandais bien qu’est-ce que j’avais bien pu faire pour que mieux me déteste et me fasse des coups salops comme ça. Je priais pourtant, j’étais une bonne fille, sage et tout, plus ou moins. Qu’est-ce que j’avais fait pour mériter une telle chose. Je la trouais du regard, pendant un long moment et c’était réciproque. Elle avait pour finir détourner son regard, enlevant ainsi tout poids de tensions qui s’était accumulé sur mes épaules tout au long de ses longues minutes d’introductions. Pour une fille dans ton genre c'est étrange de ne pas suivre la mode. Oh mon dieu, elle était sérieuse. Comme si je ne suivais pas la mode, elle est sérieuse. Une bêta qui ne suit pas la mode. Elle n’était pas sérieuse. Elle n’aurait pas pu être un poil plus créatif ? Parce que là, c’était carrément énervant. Help me. Mais ma pauvre, je suis la mode. Je parlais au niveau du campus. Disais-je d’un ton ironique, essayant de cacher mes envies meurtrières, chose qui se compliquait de plus en plus à chaque minute. C’était la guerre. Plus de déclarée, j’avais des envies meurtrières. On croirait presque que c’étaient mes hormones qui me jouaient des tours et que j’étais celle qui était enceinte. Plus qu’autre chose. Si vous avez faim, je vous conseil d'appeler le traiteur. Hé bien encore heureux. Si elle croyait que j’allais manger un de ses repas, elle se voilait la face la princesse. Si moi, pas enceinte, sans les hormones incontrôlables (quoi que..) j’avais des fortes envies meurtrières, alors je ne peux même pas imaginer comme elle se sentait. J’avais pas du tout envie de mourir aujourd’hui et surtout pas empoisonnée par une telle blonde. Ouais je crois qu'en effet c'est préférable. Ajouta ensuite Mavis d’un air amusé, à l’égard de sa remarque concernant le traiteur et le repas, qu’elle était supposée avoir fait. Mais c'est bien que t'ai essayé... C’est chou mais non, pas devant moi. S’il veut éviter des vomissements de ma part, il vaudrait mieux qu’il évite ses manières romantiques devant moi avec l’ancienne bêta, parce que je serais vite dégoutée. Nous allions donc manger chinois, la chose la plus simple lorsqu’il faut commander et surtout notre préféré à moi et Mavis. C’est d’ailleurs toujours ce qu’on commandait lorsqu’il vient chez moi. Histoire de la rendre un poil jalouse, je lui remémorais nos bons moments en grandes lignes. Tu commandes chinois, pas vrai ? C’est un peu notre routine, hein Mavis ? Je lui faisais ensuite un clin d’œil. Pendant qu’il était au téléphone avec le traiteur, je profitais du moment pour m’adresser à Léo. Je n'aurais probablement aucune autre occasion ou chance pendant la soirée alors je la saisis. Écoute-moi bien princesse, redescends de tes grands chevaux, dakk ? J’en ai marre de t’entendre. On sait toutes les deux que je suis... Je n’ai malheureusement pas eu le temps de finir ma phrase, puisque le traiteur connaissait déjà tellement bien Mavis, en vu de toutes les fois que nous y avons commandé que son appel n’avait duré que quelques secondes. Un faux sourire s’affichait sur mes lèvres. Ça arrivera dans vingt minutes. Parfait, vingt minutes de torture assurés. Il passe derrière le bas, histoire de nous préparer un petit apéritif. Toutes les bouteilles l’entouraient, ça faisait presque rêver, si j’en avais pas un chez moi et si la blonde n’y habiterais pas, j’y viendrais probablement tous les jours. Alors je sers quoi aux deux femmes de ma vie? Oh mon dieu, Mavis. C’est sérieux ? Évite de m’appeler comme ça. Je vais vomir. Je te jure que je vais le faire. Je te jure hein. C’est tout ce que j’avais envie de sortir de ma bouche. Tu connais la chanson : quelque chose avec de la vodka. Mais je me retiens, je faisais beaucoup ça dans la soirée, alors que ça ne faisait que commencer. J’allais exploser à un moment donné si ça continuerait comme ça. Ça allait vraiment mal aller et surtout mal finir.
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Sujet: Re: La nouvelle du siècle, tiens toi prête [Juliet]