the great escape
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -20%
Ecran PC GIGABYTE 28″ LED M28U 4K ( IPS, 1 ms, ...
Voir le deal
399 €

Partagez

when the sun comes up, you'd better be running (ft. davy)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Invité
Invité
avatar

when the sun comes up, you'd better be running (ft. davy) Empty
MessageSujet: when the sun comes up, you'd better be running (ft. davy) when the sun comes up, you'd better be running (ft. davy) EmptyDim 17 Nov - 0:42

Dissimuler le mensonge sous une fausse vérité. C’était ce que s’efforçait de faire Damien depuis son arrivée sur le continent américain. Il avait juré à sa mère de laisser ses vieux démons à Londres, partir le cœur léger, et recommencer une nouvelle vie plus saine. En d’autres termes, il avait choisi de s’accorder une seconde chance de pouvoir connaître le bonheur. Mais comment aurait-il pu en être ainsi ? Faire impasse sur son passé reviendrait à dénigrer le décès de sa meilleure amie. Chose que le jeune homme s’était toujours refusé à accomplir, et ce malgré la souffrance et les remords qui le dévoraient jour après jour. Ridley était son monde, son âme sœur. Elle représentait à peu près tout ce dont il avait besoin pour vivre. Oxygène, amour, aventure, loyauté. Il aurait pu passer une éternité à l’admirer, sa silhouette appelant à la contemplation. Mais cette chance, il n’avait jamais été capable de la saisir. Trop lâche pour assumer les sentiments qu’il nourrissait vis-à-vis de sa plus proche amie. Et sa disparition n’avait fait que renforcer cette tragique vérité : aucune autre femme ne pourrait jamais subvenir à ses besoins ni même arriver à la hauteur de sa plus belle. Enfoncé dans le rythme infernal d’un deuil qu’il n’avait jamais fait, l’anglais avait perdu toute notion de dignité. Alcool, drogue, sexe. Des plaisirs notoires pour panser cette plaie béante qui continuait indéfiniment à faire saigner son palpitant. Pourtant, depuis quelques mois, Damien se faisait un point d’honneur à paraître radieux et présentable… Et ce, même si son esprit et ses motivations lui dictaient le contraire. Disons qu’il s’acharnait simplement à se montrer sous son meilleur jour en permanence. Le but ? Retrouver un semblant de vie, s’intégrer parmi la foule, et tenter de se convaincre d’un bonheur fictif. Plus il se sentait misérable, et plus il tenait à être rayonnant. Le sourire narquois qui bordait en permanence ses lèvres était peut-être le seul élément qui pouvait amener à douter de sa fausse sincérité. Mais qui pourrait témoigner en la défaveur de ce cher Sullivan ? Garçon tout à fait honnête et adorable qui jusqu’à présent n’avait jamais fait le moindre faux pas. Quand on ignore tout de son prochain, impossible d’en déchiffrer les intentions. Or, s’il devait exister une personne au sein de Berkeley à pouvoir prétendre connaître un tant soit peu la véritable nature de ce manipulateur  né, c’est bien la jeune Lancaster. Davy Lancaster. Tout héros possède son talon d’Achille. Et si jusqu’à présent la ravissante et mignonne petite Alpha avait vécu une vie idyllique auprès de ses confrères, la donne risquait très prochainement de changer. Autrefois amants, aujourd’hui ennemis. Durant des mois il avait cherché à retrouver la trace de cette gamine qui, à ses yeux, lui appartenait de droit. Bien plus qu’une simple petite amie, l’anglaise était apparue à l’époque comme une étrange forme de réconfort. Un lien malsain qui leur avait tout deux échappé, mais une rupture à laquelle Damien, malgré son imposante fierté, avait eut du mal de se remettre. Et bien des années plus tard, voilà qu’il retombait par un heureux hasard sur le profil de la jeune femme au travers des réseaux sociaux. Une aubaine pour ce mangeur d’âmes qui s’était empressé de parcourir les visages de son nouvel entourage. Parmi eux, une certaine Montgomery… Son cheval de Troie était lancé. En outre, Pippa avait généreusement contribué à intégrer le pire cauchemar de sa meilleure amie au travers les murs de l’université. Pour des êtres réputés cerveaux de l’Amérique, des efforts restaient encore à fournir. C’est ainsi qu’il avait pénétré dans la maison des bleus, prétextant devoir rendre visite à sa jeune tutrice improvisée. Ses pas feutrés s’étaient finalement frayés un chemin jusqu’à la chambre de son ex petite amie. Une porte fermée qu’il martela généreusement de quelques coups pour signaler sa présence. Comment était-il certain qu’elle s’y trouvait ? En apercevant par hasard sa silhouette entrée dans la maison il y a une vingtaine de minutes à peine, lorsqu’il fumait encore sa cigarette dans l’ombre d’un arbre. Son mégot s’écrasant nonchalamment contre le sol tandis que le cliquetis d’une clé résonnait dans la serrure. Confirmation faite lorsqu’elle entrouvrit la porte de sa chambre. « Salut Davy. » marmonna-t-il d’une voix suave et presque enjouée alors que ses deux billes noires se posaient aussitôt sur le visage de sa Muse. L’avait-elle oublié ? Bien sûr que non. Elle ne pouvait pas avoir oublié. Pas après des mois entiers passés sous ses draps, à subir son mauvais caractère, ses insultes et ses caresses. Un sourire condescendant vint éclairer son visage froid et lisse lorsqu’il se pencha en avant tout en posant une main sur son épaule. A la manière d’un ami qui saluerait une vieille connaissance, il déposa dans un geste mesuré un baiser contre sa joue chaude. « Je t’ai manqué ? » Sa voix enjôleuse laissa planer le mépris qu’il éprouvait à son égard. Fût un temps, elle lui aurait sauté au cou pour l’enfermer dans l’étau de ses petits bras. Quant à lui, il l’aurait embrassée en lui murmurant quelques mots doux avant de la porter jusqu’à leur lit. Et puis, une fois leur étreinte achevée, ses sarcasmes et moqueries seraient venus remplacer la moindre parcelle de tendresse qu’il avait pu lui apporter. Damien était un salopard fini. Profiteur de la naïveté impure des anglaises. Et si elle avait finalement choisi de se redonner une chance en fuyant ce démon, celui-ci était venu de son plein gré retrouver sa marionnette fétiche. Sa main gauche venait de se plaquer violemment contre le bois de la porte, l’empêchant ainsi de fuir à nouveau sa triste destinée. Pour ne pas déranger aux bonnes habitudes ainsi qu’à sa réputation d’autrefois, il pénétra sans la moindre gêne au sein de la pièce. Comme si l’environnement présent était dors et déjà le sien. Sa main libre s’était posée contre sa bouche et la forçait ainsi à reculer. Reculer jusqu’à ce qu’il puisse les enfermer au sein de sa propre chambre. Des gestes qui auraient pu paraître déplacés voir inquiétants s’il ne les avait pas effectué avec la plus infime des tendresses. Telle une danse improvisée, il attrapa son poignet pour la faire tourner sur elle-même et la serrer contre lui. Sa bouche posée contre son oreille. « Tout doux ma belle, je n’ai pas l’intension de te faire du mal. » Menteur. Il laissa planer sa phrase en suspend tout en desserrant très lentement son emprise. Il aurait été dommage qu’elle alarme toute la maisonnée en hurlant ‘’au viol’’. Chose qui, admettons-le malgré tout, aurait pu tout à fait être faisable en cet instant. Mais pas suffisant répugnant pour abuser de cette ancienne camarade de la sorte, il se contenta de la libérer tout en parcourant d’un œil avisé sa silhouette inchangée. Et le rictus qui pendait au bord de ses lèvres s’intensifia, trahissant ses pensées quant à sa plastique qui lui avait tant manquée. Une fraction de seconde plus tard, ses traits retrouvèrent leur dureté légendaire avant qu’il ne recule jusqu’à s’appuyer contre la porte.  « Je suis juste venu te parler. Rien de plus. » Quoique. Ses yeux étaient dorénavant partis à l’exploration des moindres babioles qui meublaient la chambre. Poster, cadres photos, sous vêtements accrochés. Si certains effets le firent intérieurement ricaner, d’autres en revanche eurent le don de lui faire grincer des dents.  Chose qu’il se garda bien de lui montrer. « Mais tu es bien consciente qu’un refus de ta part serait malavisé. » Et sur ses dires, l’anglais gratifia sa partenaire d’un charmant clin d’œil. Pauvre enfant.
Revenir en haut Aller en bas
Nina Fitzmartin
there's no place like berkeley
Nina Fitzmartin
prénom, pseudo : julia
date d'inscription : 15/06/2013
nombre de messages : 6103
avatar : florrie arnold

when the sun comes up, you'd better be running (ft. davy) Empty
MessageSujet: Re: when the sun comes up, you'd better be running (ft. davy) when the sun comes up, you'd better be running (ft. davy) EmptyLun 25 Nov - 22:00

“. You've been checking me out, haven't you ?
In between your flaming insults,  Ah ! I feel like man candy.”


Davy Lancaster avait décidé qu'elle n'écouterait la classe de psychologie qu'à moitié, sous prétexte que celui-ci n'allait pas enrichir plus son intellect déjà foisonnant, afin qu'une fois ledit cours terminé, elle puisse déborder d'énergie et accoster sa séquence de révisions intensives (et bavardages intempestifs ) en compagnie de Meleya. Elle se demanda une bonne douzaine de fois pourquoi diantre avait-elle opté pour ce cursus dénué d'intérêt et au combien éreintant, puisque se concentrer sur une flopée de mots qui donnaient l'air intelligent plus qu'ils n'avaient vraiment de sens lui offrait plus de migraines que ne l'abreuvait de savoir. La journée avait été claire et parfumée à l'automne, et le soleil couchant délayait  désormais le ciel d'un orange presque flamboyant lorsque Davy s'échappa de son dernier cours à grandes enjambées afin de rallier la maison Alpha. Heureuse de partager un moment avec sa doyenne de confrérie et mère pas procuration, elle regretta cependant l'absence d'Aidan (de toute évidence trop occupé en médecine pour s'intéresser aux cancans des deux Alphas, si un jour ça l'a intéressé) et c'est non sans envoyer un message anodin ( je suis sortie de cours, mais je pense manger avec Meleya et rentrer directement, on se capte demain ? xx) à Wren qu'elle entama de … danser, plutôt que de marcher droit comme tout être normalement constitué le ferait, vers la maison Alpha, musique dans les oreilles. Davy Lancaster était pleine de vie, toute en joie et sa bonne humeur contagieuse invita toutes les têtes à se détourner vers elle afin de contempler cette boule d'énergie traverser le parc (ou bien à la toiser avec dédain, selon le spécimen). Arrivée à la maison, ses pas lui donnèrent l'impression de danser un jive cadencé dans les escaliers (en vérité, elle avait surtout l'air con, mais ses frères de sororités étant trop habitués pour même relever, nulle n'osa émettre quelconque commentaire) et ses petites cabrioles un peu délirantes n'étaient en réalité qu'une invitation pure et simple, et inconsciente évidemment, à mater son cul qui s'évasait divinement à sa taille. Une bombe à la connerie transcendante, cette Davy. Et tandis qu'elle patientait tranquillement dans la chambre de la doyenne, plus spacieuse et nettement plus luxueuse que la chambre de l'étudiant moyen, un sms de la propriétaire des lieux l'informa qu'elle devait s'occuper de Charlie en catastrophe après un empêchement de sa nourrice. Sale mioche, même pas capable de partager avec sa sœur. Quelques mois déjà et il empiétait déjà sur son territoire. Néanmoins, et ce à sa plus grande surprise, on vint toquer à la porte et, hésitante une fraction de seconde, Davy se décida à aller ouvrir. Ouvrir une porte sur le passé qu'elle aurait voulu claquer sur l'instant. Le paysage la laissa pantoise, aussi paralysée que si elle était sous anesthésie locale et endormie à coup de marteau. Damien se présenta comme le gentilhomme bling bling qu'il était sur le paillasson, armé de ses bonnes manières de pacotilles et de son sourire suffisant. Berk. Pétrifiée, bien que son cœur s'obstine à battre la chamade et à jouer un écho presque assourdissant jusqu'à ses tympans, Davy le scruta de tout son long, sans trouver que dire, le rythme de ses pensées ne l'aidant pas à trouver une phrase correcte à formuler. « .Euh. » bredouilla-t-elle, surlignant ainsi sa surprise d'une couche d'impolitesse. Félicitation Davy, c'est exactement le genre de réaction qu'il espérait susciter. C'est tout le genre de Davy ça. Sortir des idioties spontanément, des miaulements un peu vagues à la con. S'il lui avait manqué ? Voilà une question bien insolente qui ne manqua pas de l'extirper brutalement de sa torpeur. « .Non. » connard. Bien sûr qu'il lui a manqué. Du moins, les bons moments au moins. Le reste, les disputes, les insultes, les désillusions, certainement pas. Davy, depuis toujours, s'obstinait à toujours se faire mal. Mais y a quand même une limite à la connerie. « .Non. Non, mais pour qui tu t'prends ? Me touche pas, blaireau. » s'excita-t-elle d'un coup d'un seul, une énième fois victime de son trop plein d'émotions, s'essuyant la joue après le passage de ses lèvres. Quel trou du cul. Avec son port de tête à la con, le pli trop bien fait du putain de froc qu'il porte, son look de dandy désuet et son sourire renversant. Ren-ver-sant. Il fallait évidemment que les plus beaux soient les plus cons et lui définissaient les extrêmes de cet adage. Très beau, très con. Elle espéra un instant être foudroyée et mourir sur le coup, plutôt que de se confronter à ce fieffé connard qui lui inspira la plus grande confusion. Un mélange d'antipathie mordante, presque vorace, mais une flamme, un petit amour en braises qui persistait à subsister et éclairer, malgré que Damien ne s'obstine, lui, à faire pleuvoir des méchancetés gratuites dessus. Emprisonnée dans son étau, ou presque, et son pouvoir de parole obstrué par sa main, elle chercha à se débattre et envisagea, un quart de secondes, de lui foutre la bonne correction qu'il méritait amplement. Ce serait marrant de lui mettre une bonne claque dans sa gueule, songea-t-elle, impétueuse. Non. Boire et plus savoir retrouver le chemin de sa maison, c'est marrant. Wren et son mètre 88 dans un tout petit grenier, c'est marrant. On dirait un basketteur dans une maison de poupée. Faire l'amour aussi, c'est plutôt marrant. Mais claquer sa gueule à Damien c'est carrément du délire. Si la proximité la troublait ? Pire que ça. Le parfum qu'il dégageait lui rappela les longues nuits passées dans ses draps et ne manqua pas de la piquer assez pour la rendre nostalgique de ses baisers. Non, Davy. Non. « .Bah fallait pas. C'est dommage de faire un si long voyage pour te faire refouler comme le gros sale gland que t'es. » siffla-t-elle, une fois débarrassée de cette proximité. Bien sûr qu'elle allait refuser. Conne, naïve et tout ce qu'il voulait. Mais pas assez maso' pour le laisser l'embobiner avec ses grandes phrases bien romantiques volées dans un ouvrage qu'il avait probablement pris au pif dans sa bibliothèque. « .C'est une menace ?. » trancha-t-elle, suspicieuse. « .Tu vas faire quoi ? Me rendre la vie infernale ? Déjà fait. Me casser la gueule ? J'aimerai bien voir ça. » la fin de sa supplique fondit dans un ricanement sarcastique. Il lui a déjà fait mal, et bien pire encore. L'amour agonisant, elle connaît.  Elle en sortait désormais plus grande. Peut-être pas plus mature, mais plus grande. Plus courageuse surtout et décidée à grignoter la vie par tous les coins. Elle vivait désormais pour elle et plus pour quelqu'un d'autre, qui en l’occurrence, se moquait éperdument d'elle. « .Bah vas-y, balance ton meilleur crochet du gauche. » insista-t-elle d'un ton caustique, la provocante. Elle se rappelait de sa main douloureuse, de l'accident dont il ne voulait jamais parler, mais dont elle avait capté quelques lignes. Faut croire que même la petite naïve sait où appuyer pour faire mal.« .Ça fait encore mal hein. T'as pas trouvée une pute ascendant magicienne pour panser ta patte folle, depuis ? Surprenant. » railla-t-elle, croisant les bras autour de sa poitrine. Autour en rire qu'en pleurer, avec du recul. En rire n'aurait pas été possible il y a des mois, mais maintenant que celle histoire était derrière elle (qu'elle croit, naïve, remember?), elle s'octroyait le droit d'en ricaner librement. Elle avait un petit ami parfait, des amis parfaits, quelques turbulences parfois certes, mais dans l'ensemble, elle était heureuse et ne laisserait pas ce connard de Damien gâcher tout ça. « .Tu perds ton temps. Je parle plus aux connards dans ton genre et j'en ai rien à foutre de ce que t'as à dire. » Parler de quoi, d'ailleurs, du passé ? De leur relation qui n'avait existé que pour elle ? Non merci. Elle avait désormais sa propre vie et la relation qu'elle voulait avoir avec lui à l'époque, mais avec quelqu'un d'autre. De normal, de sympa, de drôle. La présence de Damien ne fit que souligner plus encore combien Wren pouvait le surclasser sur tous les aspects et ne manqua pas d'animer plus encore l'amour encore gracile qu'elle lui allouait. Elle avait alors compris que Damien n'était qu'un pauvre type désaxé, vidé d'âme et à la conscience pauvre. Tout n'était qu'apparence, chez lui. Damien n'était qu'un tableau bourré de ratures qu'on essayait d'arranger à coup de pinceaux trop approximatifs et de peinture sombre. Derrière ses apparences profanes de petit bourgeois maniéré se cachait un diable qui se régalait du malheur des autres et plus particulièrement du sien. Davy s'obstina à déposer son regard effronté sur ce vieux fantôme qu'elle croyait avoir remisé au fond d'une vieille boite estampillée '' perversité et préjudice '' synonyme de sa période post-Berkeley et se demanda, de toute évidence, ce qu'elle avait encore fait pour s'attirer le mauvais œil à nouveau. Tout allait pourtant si bien, songea-t-elle, la bécasse. Tout allait bien, tout allait bien. Mise à part le fait que Sam lui rendait la vie si belle, mais paradoxalement si douloureuse et qu'elle en faisait de même avec Wren à son tour. Que tous le monde souffrait de l'alchimie indéniable qui définissait joliment sa relation avec le président des Oméga et qu'elle souffrait de faire souffrir certains de ses proches au prix du rêve que Sam lui inspirait. Twisted. « .Va crever. » finit-elle par lâcher, avant d'ouvrir la porte et de l'inviter à sortir. Et ça, c'est l'invitation encore sympathique.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

when the sun comes up, you'd better be running (ft. davy) Empty
MessageSujet: Re: when the sun comes up, you'd better be running (ft. davy) when the sun comes up, you'd better be running (ft. davy) EmptyDim 12 Jan - 22:49

:out:
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

when the sun comes up, you'd better be running (ft. davy) Empty
MessageSujet: Re: when the sun comes up, you'd better be running (ft. davy) when the sun comes up, you'd better be running (ft. davy) Empty

Revenir en haut Aller en bas

when the sun comes up, you'd better be running (ft. davy)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» Keep The Car Running [Joe]
» ( w i l l . ) running in circles
» Running [PV: Juliette]
» best relationship advice, make sure you're the crazy one (davy)
» you are like a little funny dog, running after something you know you can't have (+) rayan

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
the great escape :: flood and trash :: corbeille rp-