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Le passé nous rattrape toujours

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MessageSujet: Le passé nous rattrape toujours Le passé nous rattrape toujours EmptyJeu 5 Déc - 23:52

All I can say is that I'm sorry
past is gone♡
Que fais je ici ? Question que je me pose moi même à vrai dire. Ce n'est pas un scoop : je suis loin d'être la plus grande sportive du monde. Non en fait c'est même pire que cela : je déteste faire du sport. Transpirer c'est loin d'être mon truc. Et pourtant je suis là, assise dans les gradins, sous ce doux soleil d'automne, à regarder des gens qui font une activité dont je ne saisit pas réellement l'intérêt. Ne croyez pas que je suis complètement gaga, et que je perds la tête au point d'ignorer la raison de ma présence près d'un stade. Soit, pas besoin de tourner davantage autour du pot : je suis ici pour un projet scolaire. Le thème aujourd'hui : comprendre qu'est qui peut faire marcher les films à gros budget plein de phéromone directement destinés aux ado. Je vous l'accord ce n'est pas vraiment ce qu'à écrit la prof au tableau quand elle a évoquer le projet, cependant c'est ce qu'il faut en comprendre. Après une mûre réflexion, d'à peu près 5 secondes et demie, je me suis rappelée de tous ses jolis garçons en sueur apparaissant dans tout les films à succès. De toute façon de notre temps les choses sont assez simples, gagner de l'argent dans le cinéma = trouver un acteur mâle qui a des muscles, qui sait faire -ou faire semblant- de faire du sport, et qui est un bon rendu une fois passé derrière la caméra. Voilà c'est à peu près tout. C'est peu optimiste je vous l'accorde -surtout pour une étudiante en cinéma-, mais si on travaille sur ce genre de thème -et c'est avant tout une approche commerciale des choses- c'est bien pour une raison.
Ainsi voilà la raison de ma venu dans ce temple maudit. Quoi que maintenant que j'ai les athlètes sous les yeux, je comprends l'engouement de certaines pour les sportifs. J'exagère sans doute en disant certaines, je fais partie du lot, après tout je ne suis qu'une simple femme comme les autres, incapable de résister à la testostérone ainsi mise en valeur, d'autant plus que je suis déjà sortie avec des férus de sport... Bien que j'aime à me dire qu'ils étaient tous pourvus d'un cerveau.

Assise en tailleur sur un banc je prenais donc des notes sur mon petit calepin, essayant de rester sérieuse au moins le temps qu'allait durer ma prise de conscience.
Le soleil me donne envie de lézarder... Je suis une européenne définitivement en mal de soleil... A Dublin, à Londres, à Paris... Bref toutes ses villes où j'ai habité, ne sont pas celle prédestinées au soleil, et mon teint albâtre le prouve. Mais encore une fois je m'égare.
Je lève les yeux de mes notes, pose le petit cahier sur le banc, et attrape mes cheveux pour les déposer sur une seule épaule, histoire de prendre le soleil au moins sur le cou, ma chemise blanche à manche et mon pantalon beige m'empêchant de profiter du soleil par une autre partie de mon corps. Je continue inlassablement de fixer le petit groupe qui est entrain de se réunir au pied de la série de banc sous moi. Mes yeux se posent tour à tour sur les joueurs (sont ils des joueurs au moins ?), j'essaye de réfléchir à toutes sorte d'histoire que j'ai vu, lu, ou que je pourrais inventer sur la vie hypothétique de l'un d'eux qui pourrait m'inspirer pour mon cours, quand soudain je me rends compte que je ne suis pas entrain de tous les regarder, mais que j'en fixe un en particulier. Honteuse de moi, je baisse d'abord les yeux en premier réflexe. Puis je me souris à moi même en me disant que personne n'a sans doute rien vu : je suis bien trop haut, bien trop discrète pour que quelqu'un me remarque d'en bas -surtout avec toutes ses pom-poms girls qui s'agitent en rythme.
Mes yeux reviennent donc vers le jeune mâle. Je me retiens de pousser un cri, mais ma main vient se placer instinctivement devant ma bouche.

Oui, j'ai tendance à penser que le monde est petit. Mais je ne crois pas au destin, au hasard, aux cartes qui prédisent l'avenir, ni même aux boules de cristal. Je ne lis même pas l'horoscope. Cependant il doit y avoir une explication. J'essaye de me calmer.
Dans ma panique, j'ai détourné les yeux de ce visage familier, mais la curiosité qui me pique maintenant m'oblige à regarder encore une fois, une dernière fois... Peut être que je me suis trompée. Que ce n'est pas lui, qu'il n'est pas là juste devant moi, comme il avait été devant moi 3 ans auparavant. 3 ans déjà ? Que le temps passe vite...
Il n'y a plus de doute maintenant.
Mortifiée je n'ose même pas respirer. Il faudrait que j'arrive à m'éclipser le plus naturellement du monde, même si il est sans doute trop tard pour jouer la fille complètement naturelle et décontractée.
Je prends mon sac, et pose la lanière sur mon épaule sans faire le moindre bruit – ce qui est stupide parce qu'il ne pourrait sans doute même pas m'entendre depuis en bas-, et je prends mon cahier, et me lève normalement histoire de ne pas passer pour une dingo.
Bon d'accord, je savais déjà depuis le début que ça n'allait pas se passer tout à fait comme ça.

Les choses, les erreurs que l'on a commises finissent toujours par nous rattraper quoi qu'il arrive il faut se faire une raison. Mais là... Enfin bref je ne suis pas tout à faire sûre de comment les choses se sont réellement passées à ce moment là... Est ce que c'est la pointe de mon talon qui c'est coincée dans un trou du plancher, ou tout simplement que j'ai réussis à me faire un croche pied toute seule, de toute façon le résultat est le même : moi parterre dans un fracas immense de feuille qui vole, de crayon à dessin qui tombe, et puis un cri qui accompagne bien entendu la chute. C'est ce qu'on appelle faire une entrée.... Fracassante.
Je reste parterre les yeux fermés en espérant que personne ne m'a vu, entendu... Oui, je fais l'autruche. Puis j'ouvre un oeil, et l'autre. Tout le groupe en bas à les yeux tournés vers moi. Génial. Ca n'est pas filer à l'anglaise ça... C'est mettre les pieds dans le plat et sauter plusieurs fois dessus pour être sûr de ne pas l'avoir louper.
« Ca va, c'est bon je n'ai rien … Vous pouvez retourner à vos affaires. »
Je souris et me lève rassemblant mes affaires et ce qui me reste d'amour propre en espérant que Louis ne m'ait pas remarquée.







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MessageSujet: Re: Le passé nous rattrape toujours Le passé nous rattrape toujours EmptyVen 6 Déc - 13:20





Sawyer &Louis
“ Présence inattendu ”


. Je me considère comme un petit nouveau ici a Berkeley et pourtant mon intégration fut très rapide. Les personnes ici sont assez accueillantes, exceptée peut-être certaine comme partout d'ailleurs, mais ce que je veux dire par là, c'est qu'a Paris les gens ne sont pas du tout comme ici. En france, les gens sont stressés, râleur, il faut toujours faire vite et si tu as le malheur d'être un peu trop lent et endormi, tu te fais secouer comme un prunier.

Lent et endormi, ce n'est pas mon cas loin de là. Je suis un mec actif, très actif même. Dure de caractère, je sais ce que je veux et quand je désire quelque chose, je l'obtiens toujours. Mon enfance fut très mouvementée, mais ça, on s'en fout un peu ce n'est pas le sujet de ma présence au Terrain ce matin-là.

Avec une bande de potes, ont avaient décidé de toucher un peu le ballon rond. Le soccer, sport que tous les jeunes sportifs qui se respect un minimum, pratique. Sur le béton, a nombre réduit, nous avions envie ce matin-là de suer un peu. D'éliminer les mauvaises graisses prisent la veille, et que cela se transforme en masse musculaire.

Un passage par les vestiaires, histoire d'enfiler un équipement adéquat puis nous étions là sur le terrain. Une poignée de main, des sourires sur nos visages montraient réellement notre envie d'être présent.

Nous avions donné rendez-vous à un autre petit groupe de mec du le bahut d'a coté histoire qu'il y ai tout de même une pointe de compétition et rivalité. J'aimais plus que tout ce sentiment de compétition, être le meilleur, toujours vouloir faire mieux, proche de la perfection, je n'acceptais pas les échecs !!

Nous étions tous là ... sauf nos adversaires, alors afin de les attendre, un petit échauffement était nécessaire. Après une bonne dizaine de minute, mon corp était déja en condition de concourir, c'est alors que nos chère adversaire firent leur entrée sur le terrain.

Pas de spectateur, non on était la, entre nous, uniquement entre mecs ... Enfin presque. La haut tout la haut, une personne, une demoiselle même. Mon regard se posa sur elle un moment lorsque je portai ma bouteille d'eau a mes lèvres, histoire de m'hydrater un peu. Elle était assise la tête baissée, peut être était-elle entrain de dormir ... Dormir assise ?? Je fus interrompu par un de mes potes qui se plaça devant moi et me dit que je ferais connaissance après le match, car à présent, on attendait plus que moi pour démarrer.

Le match débuta et très vite on leur fit comprendre qu'on était la pour gagner en inscrivant le premier but dés la troisième minute du match. On dominait, ça, c'est certain, mais dominer n'est pas gagner. A la dix huitième minute nos adversaires égalise !!

1-1 ce fut le score à la mi-temps du jeu, nous discutons ensemble, une tactique a mettre en place quand soudain un vacarme résonne dans tout le complexe ... Un peu exagéré non ... Enfin bref aucun bruit nous étions tous occupés de regarder la haut. La jeune femme n'était plus la ... Enfin ci une tête fit apparition de nouveau, elle était au sol entre les bancs, voilà pourquoi nous ne la voyons plus.

Je devais surement rêver, ce n'était pas possible que ce soit elle ... Paris est si loin, notre histoire aussi et pourtant, j'ai le net sentiment que rien n'est finit... Peut-être par ce qu'elle est partie sans rien dire.

Sawyer .....

Je monte alors les escaliers jusqu'a elle. Mon visage était décomposé, je n'arrivais pas a y croire. Que faisait-elle ici? Pourquoi m'avait elle laissait? Plein de questions défilaient dans ma tête mais aucune réponse ne suivit. Sawyer fut mon premier amour, et la revoir ici après 3 ans d'absence ... qu'elle sentiment devait prendre le dessus ???  ...

Un silence, puis un de mes potes me dit qu'il allait reprendre sans moi, aucune réaction de ma part ... Seulement une main tendue vers Sawyer.

Aller relève toi ... Tu n'as rien ??

Je ne savais pas lui sourire après tout ça mais je me devais de m'inquiéter de son état après cette superbe chute spectaculaire.



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MessageSujet: Re: Le passé nous rattrape toujours Le passé nous rattrape toujours EmptyVen 6 Déc - 23:40

All I can say is that I'm sorry
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Remettons les points sur les i et les barres sur les t : je ne suis pas quelqu'un de maladroit, ou même une de ses filles qui tiennent absolument à se faire remarquer coûte que coûte. Non je suis juste Sawyer celle qui a essayé de s'enfuir sans se faire remarquer, et qui à plus que rater son coup. Moi qui voulait juste partir sans attirer l'attention... Après ma chute, qui restera sans aucun doute dans les annales de Berkeley pendant de longues années, tout les regards se sont fixés sur moi. Les garçons qui jouaient au foot jusque là ne semblaient vraiment pas m'avoir remarqué, et j'en étais très contente : le but en temps que future réalisatrice, et directrice est d'être le plus invisible possible quand les acteurs sont entrain de jouer, et puisque mes acteurs ici sont les joueurs, et ma tâche de les observer, je devais me fondre dans le paysage. Notez bien cet imparfait, oui : j'ai tout rater.

En réalité ça ne me serait pas venu à l'esprit de me cacher si je n'avais pas vu Louis. Louis Rodrigez, ex petit ami, et père de cet enfant qui n'a jamais vu le jour. Ca faisait longtemps que je n'avais pas pensé à lui. C'était du passé, pour moi c'était derrière, loin, enfouit et je pensais jusque là que personne ne viendrait jamais déterrer ce passé que mon cerveau avait prit soin jusque là d'oublier.
Ca remonte à un peu plus de trois ans maintenant...

Quand j'étais à Paris pendant mon année de mannequina, j'ai rencontré beaucoup de gens. Dont Louis le beau sportif Américain au lourd passé, avec un caractère assez similaire au miens au final. Je vous laisse devinez comment les choses se sont terminées -à vrai dire pourquoi j'aurais évoqué le fait que c'était mon ex sinon ?-. A vrai dire ça se passait bien. Désolée si ça semble légèrement dénué de fleurs roses, et de petits coeurs, mais encore une fois mon cerveau refuse de me laisser l'accès à ça...
Enfin toujours est il qu'une fois que j'ai réellement pris conscience que le mannequina ne serait jamais une carrière pour moi, j'ai postulé pour différente fac, dont une de Londres qui a retenu ma candidature en dessin. Et c'est là que j'ai décidé de partir, laissant Louis derrière moi, même si je ne comptais pas rompre avec lui. Paris et Londres sont proches, c'est un fait avéré, et si moi je n'avais pas les moyens pour prendre un billet de train tout les week end, lui pouvait toujours venir...
Enfin, ça ne s'est pas tout à fait passé comme ça. Mes débuts à Londres n'ont pas été les mêmes qu'à Paris. Je n'étais pas logée dans un appartement au début mais dans une résidence catholique. Et là se sont un peu enchaîner les catastrophes. Je suis tombée malade -personne ne sait encore ce que j'ai réellement eut- toujours est il que je ne sortais pas de mon lit, et que j'étais tout le temps sous médications. Et puis quand les choses commençaient à aller mieux pour moi : reprise des cours pendant quelques heures, etc. J'ai commencé à perdre du sang. Sans comprendre je suis allée chez le médecin : j'étais à 3 mois de grossesse -peut être 4 je ne m'en souviens plus- et j'avais perdu le bébé. D'abord je ne voulais pas y croire, et puis je crois que je me suis réellement rendu compte des choses quand je me suis retrouvée à dormir dans ma voiture, puisque la gentille soeur qui m'hébergeait avec vu en moi le démon qui avait avorté, et m'avait juste jetée dehors.
Je n'ai jamais rien dit à personne sur cet épisode fâcheux, Louis ne savait pas, et ne saurait jamais ce qui s'était passé, et pour notre bien à tous les deux j'ai décidé de couper les ponts, sans donner de nouvelles. Je savais qu'il ne comprendrait pas, qu'il voudrait venir et s'occuper de moi. Cependant j'avais juste envie d'être seule. J'étais dans une sorte d'état second permanent, je me sentais sale, et n'avait qu'une envie rentrer chez moi. Mais je suis ce que je suis et j'ai survécu.

Cependant Louis est bien là devant moi, toujours le même physiquement comme si c'est 3 ans n'avait rien changé. Ai je changé ? Je ne sais pas. Mais là n'est pas la question.
Toujours assise par terre je commence à rassembler les feuilles autour de moi, mais je tremble, autant par la peur que m'a causé la chute, que par cet apparition soudaine qui me donne l'impression d'avoir vu un fantôme -ou deux.
« Aller relève toi ... Tu n'as rien ?? »
Je lève les yeux doucement. Je sais très bien qu'il est là en face de moi. Il me tend la main, mais ne sourit pas. Allons bon, à quoi je m'attendais ? A un câlin et un clin d'oeil ? Je prends sa main et me relève rapidement essayant de garder le peu d'amour propre qu'il me reste.
« J'ai survécu à pire ne t'en fais pas. »
Bravo Sawyer, excellent sens de la répartie.
« Merci. »
Je le regarde dans les yeux, et lâche sa main. Franchement est ce que ça peut être pire que ça ? Je ne sais pas quoi faire, c'est franchement, sincèrement... Horrible. Voilà c'est dit c'est fait, ça ne pouvait réellement pas être pire. D'ailleurs je sais que je ne peux pas m'enfuir en courant... J'ai déjà essayé une fois, et ça n'a pas marché... Je me croirais presque dans un mauvais rêve de ceux où quelqu'un nous poursuit et que nos jambes sont dans l'incapacité de nous porter, et on sait qu'on va irrémédiablement se faire attraper.
« Je ... je ne veux pas te déranger, t'inquiète pas pour moi, c'est bon je devrais pouvoir rentrer sans m'effondrer encore une fois. »
Est ce que ça suffira à le dissuader de me parler davantage ?




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MessageSujet: Re: Le passé nous rattrape toujours Le passé nous rattrape toujours EmptyDim 8 Déc - 23:09





Sawyer &Louis
“ Présence inattendu ”


. Le match avait repris et je n'étais pas sur le terrain avec les potes mais dans les tribunes avec Sawyer. Elle n'avait pas eu mal, ni aucun bobo a première vue par contre la chute aller bien évidemment faire le tour du campus ça c'est évident.
Lorsque je suis arrivé en France pour mes études, j'ai eu plus de mauvais moment que de bon et heureusement que le sport occupait une bonne partie de mon temps libre.
Et puis un soir, avec des amis nous somme sortie et j'ai fais la rencontre de Sawyer. On est pas sortie ensemble tout de suite car j'ai vraiment beaucoup de mal a faire confiance au gens et a m'attacher a une personne depuis mon enfance quelque peu perturbé.
En étant enfant j'avais besoin d'amour mais personne a su m'en donner.
Pourquoi , moi, devrais je en donner? Et pourquoi devrais je aujourd'hui en recevoir? Quel sentiment éprouve t on lorsqu'on reçoit de l'amour ? J'en savais rien et pourtant c'est venu tout naturellement, je me suis accroché a cette fille tout naturellement.
Et puis elle est partie pour londre un sentiment d'abandon chose que j'avais déjà vécu en étant plus jeune. Malgré que nous somme rester en contact sa présence me manqué jusqu'au jour ou je n'ai plus eu de nouvelle d'elle. Depuis je n'ai plus vécu d'histoire sérieuse. J'ai même gardé dans mon porte feuille une photo de Sawyer.
Bref après trois ans cela fait bizarre de la revoir elle a pas beaucoup changé ainsi que son caractère et moi je suis rancunier, je ne su donc me taire a ses première parole
c'est sur moi comparais a ce que toi tu as vécu, c'est rien du tout
Je réfléchis pas beaucoup, parfois, avant de parler et la c'est sortie tout seul.
Puis elle me dit de la laisser, j'étais a la fois gêné par ce que je venais de lui dire puis quelque peu mal a l'aise c'est pour cela que je ne la fixait plus du regard. Je m'assoie alors sur l'estrade non loin d'elle fixant les joueurs. Je n'avais plus envie d'aller jouer avec eux. Soupirant un grand coup j'espérais néanmoins qu'elle ne parte pas aller savoir pourquoi



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MessageSujet: Re: Le passé nous rattrape toujours Le passé nous rattrape toujours EmptyMer 11 Déc - 19:33

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Aujourd'hui plusieurs choses me tombent dessus : la malchance, et la remalchance. 1) tomber devant une foule de garçon, et 2) revoir mon ex que j'ai soigneusement évité pendant 3 ans. Tout ça d'un coup, peut être un petit peu trop pour mes nerfs. Dur de voir le bon côté des choses quand tout se passe comme ça. Mais on peut dire que je l'ai bien chercher cette fois ci, et que compter m'en sortir sans la moindre petite écorchure était très ambitieux de ma part. Je n'avais jamais planifier que les choses se passeraient comme ça entre Louis et moi. Je ne sais pas si à l'époque je pensais réellement à un futur pour nous deux, et je ne sais pas ce que j'aurais fait si je m'était aperçu que j'avais été enceinte. Est ce que je lui aurait dit ? Et dans ce cas là, qu'est qu'on aurait fait ? On aurait garder ce bébé ? J'avais 19 ans à l'époque, des rêves plein la tête – bon je vous l'accorde ça fait partie de moi, j'ai toujours des rêves plein la tête quoi qu'il arrive- alors est ce qu'avec tout ça j'aurais été apte à m'occuper de cet enfant ? De toute façon on ne le saura jamais je pense. Peut être que c'est mieux comme ça.

Je ne sais pas vraiment pourquoi j'ai coupé les ponts du jour au lendemain avec Louis, je savais qu'il méritait mieux que d'être laissé en plan. Lui je lui avais parler un peu de ma situation à Londres, même si je me faisais brève. Je n'aime pas que les gens aient pitié de moi... Peut être que c'est exactement la raison qui m'a poussée à ne rien lui dire, je ne voulais pas qu'il me protège, comme si ça allait m'empêcher de me sentir incroyablement mal, inutile, inapte... Et je vais arrêter là les adjectifs. Enfin bref tout ça pour dire que je l'ai complètement mis à l'écart des évènements, et je ne comptais jamais le revoir. Malgré tout les sentiments que je pouvais avoir pour lui, la peine était plus forte et j'avais juste lâché prise.

Sauf que voilà le passé nous rattrape toujours.
« C'est sur moi comparé a ce que toi tu as vécu, c'est rien du tout  »
Je fronce les sourcils, pas vraiment sûre du message qu'il faut que je comprenne ici. Est ce qu'il en sait plus que je ne le crois ? Qui aurait put lui dire ce qu'il s'est vraiment passé ? Weyna ? Je suis sûre qu'elle ne le connait pas, et puis pourquoi elle aurait fait ça ? Non sérieusement, il n'y a aucune chance qu'il soit au courant de quoi que se soit. De toute façon je le connais, et je vois en lui les signes de colère. Quoi de plus normal ?
Je reste interdite sans savoir quoi dire, mais je le fixe toujours, ne sachant quoi faire au final. Il s'assoit, et regarde le terrain. Je me sens soudain invisible. Qu'est qu'on est sensé faire dans ce genre de situation ?
Je soupire. Je n'ai définitivement pas le droit de prendre mes jambes à mon cou une nouvelle fois, je n'ai pas le droit de lui faire ça encore une fois, surtout qu'il semble assez perdu. Moi aussi en réalité.
Je m'assois à côté de lui.
Le match en bas à repris, personne ne semble faire attention à nous...
« Je … Je suis désolée de t'avoir laissé... Sans nouvelles. »
C'est un début comme un autre non ?



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MessageSujet: Re: Le passé nous rattrape toujours Le passé nous rattrape toujours EmptyDim 12 Jan - 22:47

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