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| En pleine obscurité, je vois enfin la lumière! [Maël] | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: En pleine obscurité, je vois enfin la lumière! [Maël] Lun 23 Déc - 19:35 | |
| Mes soucis en rapport avec Bony me semblaient plus loin maintenant que j'avais pu les évoquer avec Maëlle. Après tout je n'en avais parlé à personne : ma sœur était un peu trop agaçante selon la plupart des étudiants du campus. Et je ne pouvais pas leur en vouloir, je savais qu'elle n'était pas un cadeau. Mais cela ne m'avait pas empêché de m'inquiéter pour elle. Je l'aimais. Et oui, malgré tout ce que je lui avais fait subir, il restait en elle suffisamment de bonté pour me pardonner. Et si les autres ne le savait pas parce qu'elle ne voulait pas leur laisser voir, moi je savais ce qu'il en était. Après tout, j'étais le gars qui l'avait aidé autant qu'elle m'avait sauvé. L'année dernière, quand on était à New York, elle était venu dormir avec moi un soir qu'elle n'allait pas bien. J'étais sans doute l'une des seules personnes à qui elle laissai voir ses moments de faiblesses. Elle me faisait suffisamment confiance pour que je ne la trahisse pas. Et je savais que cette confiance était précieuse. Et puis, surtout, elle était ma sœur, ma seule famille sur qui je pouvais compter. Pas de doute, je n'allais pas la laisser tomber. Mais ses frasques faisaient que je ne pouvais pas parler avec tout le monde de ce que je ressentais. En plus, elle m'en aurait voulu puisque mon récit l'aurait forcément placé en position de faiblesse, ce qu'elle ne voulait pas. Quand Maëlle voulu détendre l'atmosphère je souris. Après tout, je savais que les deux filles avaient eu une altercation quelques mois auparavant. D'ailleurs j'en avais parlé avec Bony. Mais leur relation était leur affaire. J'aimais autant ma sœur que Maëlle et je n'allais pas laisser tomber l'une pour l'autre, elles en étaient conscientes. De toute façon, je n'aurais jamais pu choisir. Malgré tout, Maëlle restait une gentille fille. Et elle s'inquiétait pour ma sœur. Je le voyais. Mais je voyais aussi que ma meilleure amie ne semblait pas à l'aise dans sa nouvelle maison. Alors, après avoir évoqués mes problèmes, je voulais me concentrer sur elle. Je voulais l'aider. Je me doutais bien que tout ce luxe allait faire trop pour elle. Et pourtant, emménager avec James était sans doute une chose à faire après leur relation secrète à l'université. Mais je ne voulais pas que la texane souffre de ce choix. Je fus reconnaissant à Maëlle de ne pas avoir approfondi le sujet de ce que j'avais ressenti lors de l'accident de Bony. Cela faisait remonter tellement de choses que je ne pouvais parler de mes sentiments sans avoir bu d'alcool. Cela ne rendait pas la douleur moins dure à supporter, mais seul l'alcool me déliait la langue. Sans ça je n'avais pas le courage de parler de mes émotions parce que je savais à quel point cela allait m'atteindre. Je savais que les jours suivants je les passerais à ruminer sur la mort de Cameron, sur l'accident de Bony, sur ma solitude... Bref, je ne voulais pas en parler, comme si ne rien dire permettait de tout garder cacher sans rien ressentir. À une période j'avais souhaiter ne rien ressentir, la douleur était trop forte pour que j'ai encore envie de vivre. Mais maintenant que j'avais reconstruis ma vie, je ne voulais pas tout détruire alors je ne parlais jamais de mon passé. Quand ma meilleure amie relança la conversation sur elle je senti comme un soulagement en moi. Sans m'en rendre compte, je m'étais tendu -peur de laisser passer des trucs que je ne voulais pas dire sans doute-. Désormais je pouvais écouté ses soucis, être attentif et essayer de l'aider. « Tu ne m'as pas embêté du tout. Ça ne me dérange jamais de te voir. Si tu as besoin de parler, je suis là Maëlle. » Quand elle m'avoua se sentir mieux depuis que j'étais arrivé, je souris. Elle avait eu cet effet sur moi aussi. Et je voulais qu'elle aille bien. Je ne voulais pas qu'elle ait de problème. Surtout qu'elle allait avoir sa dose de pression avec les études qu'elle venait de commencer. Et pourtant, son histoire avec James ne se passait pas aussi bien qu'elle l'espérait. Et je ne savais pas vraiment comment l'aider. Je ne pouvais décemment pas m'en prendre à ce cher professeur. Ce n'était pas la chose à faire. Mais je ne le connaissais pas suffisamment pour comprendre tous les enjeux de sa vie professionnelle. Ça c'était la première raison pour laquelle je me sentais perdu dans les conseils que je devais donner à ma meilleure amie. La seconde était que je n'avais pas vraiment d'expérience dans ce genre de relation. Disons qu'ils étaient ensemble depuis longtemps quand mes histoires duraient moins de trois mois... « Est-ce que tu en as déjà parlé avec lui ? De ce que tu ressens ? Je pense que s'il t'aime vraiment il comprendra et essayera de faire un effort. Je sais que ce n'est pas facile de démarrer une nouvelle vie dans une nouvelle maison. D'autant que tu n'as jamais été habituée à ce luxe. Et puis, il y a aussi la différence de statut. J'veux dire, c'est un businessman avec les problèmes qui vont avec quand tu n'es encore qu'une étudiante. J'imagine que réunis tous les deux sous le même toit, il doit avoir pas mal d'incompréhensions... » J'avais commencé mon argumentation sans trop savoir où j'allais arriver. Une chose était sûre, je ne voulais pas dénigrer James devant Maëlle. J'avais trop de respect pour elle. Mais s'il n'était pas capable de se rendre compte que sa petite amie n'allait pas bien, ce type n'était sans doute pas celui qu'il fallait pour elle. Mais j'étais de parti pris et j'étais sans doute trop exigeant pour le bonheur de Maëlle. « Est-ce que tu as songer à déménager une seconde fois ? Votre relation fonctionnait quand vous ne viviez pas tous les deux, non ? Peut-être que ce déménagement était trop précoce... » J'étais un peu perdu dans cette relation qui unissait Maëlle à James.
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| Sujet: Re: En pleine obscurité, je vois enfin la lumière! [Maël] Jeu 26 Déc - 15:45 | |
| En pleine obscurité, je vois enfin la lumière! Je ne souhaitais pas trop m’aventurer sur le sujet de la famille avec Maël connaissait fort bien ce que cela évoquerait chez le jeune homme et puis il savait pertinemment que s’il avait besoin de parler que je serais toujours présente. Voilà pourquoi je tentais de dériver vers autre chose ou avec plus de légèreté. Nous avions la même option être toujours là, pour l’un et l’autre en cas de coup durs ou bien pour faire la fête. Cela dit il y avait longtemps maintenant qu’on ne s’était pas octroyé une petite soirée rien que tous les deux –excepté ce soir – pour profiter comme on le faisait jadis dans des soirées ou au restaurant. Chose à laquelle il nous faudra remédier d’ailleurs. Mais l’avoir à mes côtés n’était pas primordial, mais vital ! Tel un frère, plus qu’un ami. Je lui souris lorsqu’il me dit ces paroles qui me touchèrent. J’avais beau le savoir, cela me faisait toujours quelque chose de me l’entendre dire surtout venant de lui. Sans mon petit Maël ma vie ne serait pas la même, pas aussi intéressante et pas aussi réconfortante. Il était mon point de repère ici comme ailleurs et l’avait toujours été ! Puis la conversation vint sur mon couple. J’avais imaginé les choses autrement, plus gaies ? Plus faciles peut-être… Mais lorsque Maël me lança ses paroles, je ne sus quoi répondre au final. Surtout concernant le fait d’avoir emménagé trop la hâte et de repartir hors de ce château. Dans un mutisme pendant quelques instants, je me mis à réfléchir avant de soupirer, tête baissée et de reposer enfin les yeux sur le beau brun. « On discute parfois, même s’il y a de désaccord, et tu n’as pas tort peut-être…Je ne sais pas c’est si…différent de ce à quoi je pensais…il essaye de faire des efforts, mais ici c’est chez lui, c’est son territoire, et moi je ne suis qu’une nouvelle pièce dans cas château. »Dis-je avec un rictus sans penser à mal. « Ce n’est pas tant le lieu qui me dérange mais tout ce qui y est entreposé…Son passé, ces règles à suivre à ne pas déroger. Pour ce qui est de la luxure, tu sais je vivrais parfaitement dans une petite maison au milieu de nul de part en toute simplicité. Mais ce n’est pas cela le problème je t’assure. C’est plutôt la conduite à tenir, je ne sais pas. Parfois j’ai l’impression de tout faire ma avec lui, alors que je ne veux qu’une seule chose c’est d’être là tout simplement à ses côtés. Je ne me sens pas libre de faire ce dont j’ai envie. À l’extérieur, il a une image à tenir, à conserver et je dois faire attention comme si je marchais sur des œufs. Alors je me restreins parfois, je vais en cours, je suis ma formation à l’hôpital et je rentre, sans fréquenter tous les lieux de fêtes auxquels j’allais avant. Ca me manque un peu tu sais, mais je l’aime malgré tout. Je me sens tirailler entre deux feux… »Soupirant et me rendant compte que je me plaignais chose que je ne faisais jamais, je devais me lâcher en cet instant en présence de Maël –le seul d’ailleurs avec qui je pouvais le faire-avant d’afficher un léger sourire presque gêné. « Je suis désolée j’veux pas t’embêter avec mes histoires de cœur… »Je posais ma main sur la sienne avant de me rapprocher de lui, ayant besoin de réconfort et sur qui me poser. «Si je suis venue ici c’est que je pensais que c’était le mieux à faire pour James et Louna et pour moi…Mais tu as raison peut-être ai-je été trop vite…Avant c’était magique entre lui et moi. Il venait à l’improviste me chercher dans ma chambre d’étudiante et m’emmenait en bateau loin d’ici pour un weekend en amoureux. Il était différent de cet homme d’affaire. Ces moments-là me manquent…mais je le sais aussi très pris par ses affaires, sa fille…enfin je me sens un peu perdue et seule parfois… » Me redressant doucement je regardais Maël. « Voilà pourquoi j’ai besoin de toi dans ma vie, pour me sentir mieux, t’es toujours présent à mes côtés, depuis que nous sommes tous petits et cela me rassure. »Dis-je en lui déposant un baiser sur sa joue, avant de venir me blottir contre lui. « Dis-moi comment tu vois ton avenir ? Dans quelques années ? »Se projeter dans cinq ou dix ans était une manière d’avancer, de se fixer des objectifs et de savoir comment on se sentait en ce moment présent. CODE TOXIC GLAM |
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| Sujet: Re: En pleine obscurité, je vois enfin la lumière! [Maël] Jeu 9 Jan - 20:04 | |
| Il fallait que je soutienne ma meilleure amie. Après tout, c'était pour son couple une période importante. Ce n'était pas vraiment que je m'y connaissais en histoire de cœur, simplement, emménager ensemble était une étape qu'il fallait franchir sans trop de casse pour éviter les drames. Et comme un idiot, je ne l'avais pas compris avant qu'elle ne m'en parle et que je vois que cela n'était finalement pas tout rose ici. En plus de devoir apprivoiser la fille de James, elle devait s'habituer à voir son homme autrement et également prendre ses marques dans une maison qui n'était pas la sienne et qu'elle n'avait pas choisi. Forcément que ce n'était pas évident pour elle. On serait perturbé à moins. En plus elle faisait des études de médecines, ce qui, en soit, n'était pas très aisé. Je n'aurais sans doute pas dû disparaître de la circulation pile à ce moment. Mais j'avais eu mes propres démons à vaincre et comme d'habitude, je m'étais replié sur moi... Mais maintenant que j'étais revenu, je l'étais pour de bon et j'allais aider Maëlle à passer ce cap. Et on allait pouvoir faire tout ce que nous faisions habituellement. D'autant qu'il allait falloir qu'on parle d'autre chose : nos conversations étaient un poil trop sérieuses à mon goût. Surtout qu'il commençait à être tard et que je n'allais pas pouvoir dispenser des conseils sérieux et potables encore bien longtemps. Pourtant, je voulais rester ici, avec la texane. Je me sentais bien, détendu, plus zen pour la première fois depuis l'accident de Bony. Face à Maëlle je n'avais pas besoin de faire comme si tout allait bien, comme si tout roulait. Et, bizarrement, comme je n'avais pas à le faire, pour une fois tout était parfait. Raison pour laquelle je serais bien resté toute la nuit ici. Et rien ne m'en empêchait. Du moins, je resterais tant que ma meilleure amie ne me mettrait pas dehors. C'était bien plus drôle d'être ici que de bosser sur mes dissertations juridiques. « Quoi ? Tu ne sors plus ? » voilà ce que j'avais retenu de son explication. Enfin, non, pas vraiment, j'avais entendu tout le reste mais je ne savais pas comment l'aider. C'était une situation qui devait se régler entre elle et James et je ne voulais pas m'immiscer entre eux. Je ne condamnais personne pour ce qui se produisait entre eux mais je ne voulais pas non plus, avec un conseil mal aviser, être à l'origine d'une dispute entre eux. « Alors, il faut qu'on s'organise une sortie bientôt, pour que tu t'amuses, sur le campus, avec d'autres étudiants. Tu ne peux pas vivre juste avec tes études et tes heures à l'hôpital. C'est pas humain, il faut aussi que tu te détendes » Non, je n'étais pas un oméga pour rien. Partisan de la fête, c'était mon remède à tous les problèmes. Enfin, à une bonne partie d'entre eux. Et je voulais que Maëlle sorte un peu de ce château. « De toute façon, il ne peut pas t'en vouloir, lui aussi a été étudiant, il doit bien savoir qu'on a besoin de s'amuser en sortant » J'espérais vraiment la convaincre de faire une sortie avec moi. Cela me manquait ces moments où on s'éclatait comme des gamins insouciants, qu'on buvait sans compter et qu'on se déchaînait sur les pistes de danse. « Tu sais, j'ai peut-être parlé un peu vite. Même moi, quand tu m'as dit que vous alliez emménager ensemble j'ai pensé que c'était une bonne idée. Il faut juste que vous vous adaptiez à cette nouvelle étape de votre relation. Mais si tu penses que c'est mieux si tu ne vis pas avec lui alors il ne faut pas que tu restes ici. » Oùla... Mes conseils commençaient à être n'importe quoi. La fatigue faisait sentir ses effets. Mais je m'en moquais : je pourrais passer toute la nuit dans ce salon à grignoter des biscuits et boire du café en parlant avec Maëlle. La conversation pris un tout autre tour après qu'elle me demanda comment je voyais mon futur. « Je ne sais pas trop. Je n'y réfléchis jamais. J'ai peur de faire des erreurs, de ne pas prendre le bon chemin. Mais sans doute que je bosserais dans un métier du droit. À moins que j'éternise mon passage à la fac en passant un doctorat et préparant une thèse. Une chose est sûre, je ne bosserais pas avec mon père. J'espère aussi que je finirais par trouver quelqu'un pour vivre une belle histoire et avoir une famille unie et heureuse. Mais bon, comme tu le ois, je reste un éternel idéaliste. » Je souris en pensant que mes envies étaient toutes réalisables pour un peu que je m'en donne la peine. Mais il fallait aussi que je ne me trompe pas dans mes futures décisions... « Et toi alors, tu penses que tu en seras où dans quelques années ? »
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| Sujet: Re: En pleine obscurité, je vois enfin la lumière! [Maël] Ven 10 Jan - 18:54 | |
| En pleine obscurité, je vois enfin la lumière! Je ne voulais me plaindre auprès de Maël qui avait eu sa dose de soucis également mais un peu de réconfort me fit le plus grand bien. Surtout en la présence de Maël. Mon âme sœur ! Je réfléchissais sur ce que mon mai me disait. Mais le mieux serait d’y resonger à tête reposée et voir comment les choses évoluerait avec James et même on discuter ensemble. Peut-être était ce aussi la fatigue de chacun qui faisait que notre relation était calme…ou non d’ailleurs. Mais pour l’instant je voulais me focaliser sur Maël qui s’était déplacé au beau milieu de la nuit pour venir me voir à mon simple appel téléphonique … Mais après m’être livrée à au jeune homme, il n’en retint surtout que je me cloitrais en quelques sortes, ne voyant plus aussi mes amis par manque de temps entre les études et l’hôpital ou encore passant quelques heures aux côtés de James et de Louna. Choses rarissimes ces temps derniers…soupirant et le regardant de la sorte, je voulus me rattraper mais il avait raison au final. «J’en sais rien. Tu sais je suis très occupée…Et... »Mais voyant son air décisif je ne pus que me reprendre et accepter son offre. « Très bien, dis-moi quand et où ? Et promis je viendrais ! T’as raison ça ne pourra me faire que du bien !»
Puis sa remarque sur James me fit légèrement sourire…J’imaginais James en étudiant…Comment pouvait-il bien être à cette époque de sa vie ? Peut-être pourrais-je retrouver des photos de classe datant de ses années universitaires….Cela m’étira un léger sourire avant de reprendre. « Je le pense aussi mais en fait j’en sais rien…mais peu importe, je te suivrais, j’ai besoin de prendre de l’air et sortir d’ici, de retrouver mes amis et un petit peu de mon anicienne vie. »
Cette idée me ravit que j’en avais grande hâte d’ailleurs. J’en reviendrais presque à être impatiente. Mais le sujet "Couple" revint une fois encore ou là, Maël se confia sur ses ressentis ce que j’appréciais grandement chez lui, cette sincérité à toute épreuve. « Je dois en discuter avec James, ce sera le mieux à faire je pense, une relation se fait à deux et les décisions à prendre également. Mais merci pour ton honnêteté ça me touche vraiment beaucoup. » Puis cette fameuse question sur l’avenir, le futur et notre vision des choses avant de me blottir tout contre lui. « Mais c’est en faisant des erreurs qu’on apprend, Qui sait peut-être seras-tu juges ? Et puis ça peut toujours servir en cas de coup dur ? »Petite référence concernant mon procès avec Aengus. Être avec une personne publique avait des avantages mais aussi des inconvénients d’où la justice ne ménageait pas ces grands de cette ville, riches de surcroit ou connus par leur statut… « Ne t’en fais pas tu trouveras l’amour avec un grand « A » crois-moi, tu es quelque ‘un de bien Maël, gentil, doux et attentionné, faudrait être aveugle pour ne pas voir quel garçon super tu es. Si je n’étais pas avec James j’aurais pu envisager peut-être … »Je me mise à éclater de rire, la taquinant car nous aurions pu être ensemble, former un véritable couple mais ce lien qui nous unissait était si précieux, si différent de tout ce que j’avais pu connaitre jusque-là, qu’il était comme mon double, ce jumeau que je n’avais pas eu… « Moi ? »Inspirant profondément avant de rétorquer « Peut-être deviendrais-je médecin ? Ou je me lancerais dans la recherche pour trouver des remèdes »Cela avait un rapport avec le fait d’avoir perdu ma mère à mes 12 ans d’une pneumonie mal soignée qui au final s’est empirée et qui avait entrainée des complications …Le corps médical était un choix pour moi, une vocation enfouie qu’aujourd’hui je pouvais enfin pratiquée même en étant qu’une seule interne pour le moment. « Mais contrairement à toi je ne vois pas au sein d’une belle et grande famille, c’est pas pour moi ce genre de vie, et je suis pas maternelle. »Bien sûr j’avais pensé qu’un jour lointain, très lointain j’aurais des enfants enfin peut-être mais ce n’était pas mon désir. J’aimai les enfants mais ceux des autres…Et était ce peut-être aussi le fait d’avoir perdu ma mère jeune, que je ne souhaitais que l’histoire se répète, ayant bien trop souffert et encore aujourd’hui d’ailleurs. Paranoïaque pensez-vous ? Peut-être... « Il se fait tard, tu peux rester si tu veux. ca me ferait plaisir. » Une invitation à rester ensemble à discuter encore peut-être ou l’on s’endormirait probablement l’un tout contre l’autre… CODE TOXIC GLAM - Spoiler:
On le clôture ici ou tu souhaites poursuivre, comme tu veux ^^
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| Sujet: Re: En pleine obscurité, je vois enfin la lumière! [Maël] Lun 10 Fév - 12:48 | |
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| Sujet: Re: En pleine obscurité, je vois enfin la lumière! [Maël] | |
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