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| Et moi qui pensais ne pas te voir avant longtemps... [PV Aleskie} | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Et moi qui pensais ne pas te voir avant longtemps... [PV Aleskie} Mer 1 Mai - 15:40 | |
| J’étais encore complètement chamboulée. Dernièrement, je venais d’apprendre qu’une de mes amies d’enfance était à Berkeley. Aleskie. Une brunette avec qui je m’étais liée à force de voir son père débarquer en Angleterre, régulièrement. On se retrouvait régulièrement, j’avais gardée contact avec elle. Au point d’être de plus en plus proches. J’étais en quelque sorte sa confidente. Je savais énormément de choses sur l’Alpha. Même le pourquoi du comment elle avait une fille. Et voilà que je la retrouvais à Berkeley après tant d’années via les sms, les conversations via Skype et j’en passe. Elle était en chair et en os dans le même endroit que moi. Jamais je n’aurais cru revoir autant de personnes en allant aux Etats-Unis. Le monde était vraiment petit. Depuis une bonne demi-heure, j’hésitais sur la méthode à suivre. Soit envoyer un message à Aleskie pour savoir comment elle allait, soit carrément l’inviter au restaurant. Histoire de parler de tout et de rien. Je me tâtais encore jusqu’à que je prenne mon téléphone. De : Kathleen - Citation :
- « Hello Aleskie ! Tu ne vas peut-être pas me croire mais, je suis à Berkeley… J’ai cru voir ta tête brune sur le campus alors… Si c’est vraiment toi, ça te dis de me retrouver à un restaurant qui te servent des plats incroyables ? Je t’ai joint l’adresse. Si ce n’est pas toi, dis-toi que c’est simplement le manque qui me fait délirer. Bisous, ma belle ! »
Le message était étrange, je vous l’accorde mais bon. La situation était déjà bizarre. Après, j’avais plus qu’à croiser les doigts pour que ce soit bien mon amie que j’avais vu à l’université et non, son clone. Sinon, ce serait direction l’asile avec une belle chambre immaculée. J’attendis avec appréhension que mon portable vibre, tout en me demandant ce que j’allais bien pouvoir mettre. J’eus à peine le temps de faire le tour de la question que la réponse d’Aleskie arriva. Réponse positive qui m’arracha un énorme sourire. J’allais enfin la revoir. La journée ne pouvait que bien commencer. Je sortis en trombe de la chambre, manquant de bousculer un anglais qui avait eu le malheur de sortir à ce moment-là. Je lançais des excuses à la va-vite. J’étais surexcitée. Je pris ma voiture. Direction le nord de San Francisco. Le chef du resto n’allait pas en revenir de me revoir aussi vite. Avec une amie en prime. J’allais lui faire de la pub. Je me garai sur le parking le plus proche. Elle n’était pas encore là. Pas grave, j’avais le temps. J’allumai mon mp4 et laissa la musique inonder mes oreilles. Du bon son, du soleil… La vie est belle. Si je m’écoutais, je me mettrai à danser en plein milieu du parking. Qu’importe le regard interloqué des passants. J’avais des raisons d’être heureuse. Beaucoup trop même. J’avais réussi à m’intégrer au sein de l’université. J’avais rencontré des gens géniaux. Je ne regrettai pas un seul instant d’avoir choisi de participer à l’université… et en prime, les retrouvailles se faisaient en série. Je ne vis pas tout de suite mon amie. Bien trop absorbée par la musique. Ce fut un détail qui me mit sur la voie. Avant même qu’elle ait eu le temps de dire ouf, je m’étais déjà précipitée sur elle pour un énorme câlin. « Je suis trop heureuse de te voir ! Je t’assure, j’ai cru hallucinée quand je t’ai vu sur le campus. On aurait voulu faire exprès qu’on n’aurait pas réussi. C’est juste énorme de te voir ! »J’étais partagée entre la joie pure et l’excitation digne de la fiesta du siècle. Elle avait changée. C’était indéniable. Je la lâchais, histoire qu’elle puisse respirer un peu, toujours ce sourire géant sur le visage. Je faisais concurrence au smiley avec ma tête. Si un chasseur de tête me croisait dans la rue, j’étais engagée d’office pour une publicité Colgate. Je jetais un œil au restaurant, m’assurant que ce n’était pas encore bondé. Parfait. Ni trop vide, ni trop rempli. L’idéal. Je l’observai des pieds à la tête avant de la faire entrer dans le restaurant. On s’installa à une table. Une flopée de souvenirs se réactiva dans mon esprit. « Désolée pour l’étrange message. Je n’étais pas sûre que ce soit toi que j’avais vu. Juste à 95%. Ça fait du bien de te revoir, tu sais. Il s’est passé tellement de choses depuis la dernière fois qu’on s’est vus… Qu’est ce qui t’amène à Berkeley ? Je veux tout savoir ! »Sur ces mots, je lui adressai un énorme sourire avant de faire signe au serveur de venir pour qu’on puisse prendre notre commande ou du moins, nous apporter les cartes. Même si j’avais déjà une idée précise de ce que je voulais. Il était plutôt canon, fallait avouer… |
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| Sujet: Re: Et moi qui pensais ne pas te voir avant longtemps... [PV Aleskie} Jeu 2 Mai - 2:39 | |
| ❝.Remember how we used to party up all night Sneaking out and looking for a taste of real life.❞ . SWEET SIXTEEN AND WE HAD ARRIVED . ▶ . Les cheveux attachés en chignon lâche, aucune once de maquillage sur le visage, habillé d’un débardeur délavé et d’un short pyjama, je passais mon après-midi auprès de mon amant Ryan Gosling, ou plutôt, j’observais son jeu d’acteur via mon plasma, bavant légèrement à la vue de son corps musclé et sublime qui me faisait tant rêver parfois, c’était bien le seul qui me permettait d’avoir ce genre de pensé sans crainte. J’aurais tout de même voulu passé le reste de mon après-midi avec ma fille, mais cette dernière était en compagnie de son oncle, alias mon frère bien aimé, Maxim. Je n’ai pas pu refuser sa demande de passer une journée complète avec sa petite nièce puisque son horaire bien chargé l’empêchait de consacré plus de temps avec elle. Le seul et premier congé qu’il ait, au lieu de faire la grasse matinée et de rester étendu dans son lit, il a préféré se réveiller de bonne heure et passer prendre ma fille avant mon départ pour les cours. J’en ai bien sûre avisé la garderie de l’absence de ma fille pour la journée, pour ne pas qu’ils s’inquiètent de son absence. Je savais bien qu’ils avaient des préjugés sur les jeunes mères, qu’elles étaient incapables de s’occuper de leur enfant, qu’elles préféraient penser à elle avant leurs enfants, enfin bref, je connais bien la chanson, mais il se trompait sur mon compte. J’étais l’une parmi plusieurs à vouloir le bien être de mon enfant. Il ne fallait pas se baser sur l’apparence, connaissant leurs piètres opinions sur les fortunés. Il n’y aura jamais une fin aux préjugés, que soit de son statut social à son ethnie, les gens garderons toujours en eux une opinion peu fondée sur chaque personne. Je ne peux pas m’exclure de cette catégorie, j’avoue bien que j’ai agi de la sorte aussi, mais je préférais et toujours donnée une chance aux autres que me renfermer sur une idéologie. Pour en revenir, j’étais seul dans mon grand appartement vide, s’y animé par la présence de mon petite ange, que j’ai préférée m’abattre sur un film romantique & comédie pour remplir ce vide. Crazy stupide love était l’un de mes grands coup cœur, moi qui passe peu de mon temps à m’intéresser à la cinématographie. Je crois qu’en un ans, j’aurais seulement vue au maximum 3 films au cinéma. Et pourtant de nombreux films intéressants sortaient en affiche, certains même me tentaient, mais soit je n’avais pas le temps ou que j’étais trop paresseuse pour y aller. Donc je me concentrais le plus possible sur ce qui se passait à l’écran, malgré que c’était la unième fois que je visionnais ce film. Je fus interrompu dans mon observation par la vibration de mon portable. Je tendais ma main aveuglement vers ce dernier sans quitté des yeux l’écran. C’est d’un rapide coup d’œil vers mon mobile que j’arrêtais le film pour me concentrer sur le texto reçu. Quoi de plus surprenant de recevoir un message de Kathleen dont je ne me rappel à peine la dernière journée qu’on avait communiqué, à vrai dire, après trois ans d’absences et de communications, j’étais surprise qu’elle recommunique avec moi. À croire que je ne devrais pas être si surprise que ça, il y a plus d’un que je revois parmi les étudiants de l’université, autant que c’était de bons amis d’autrefois, autant que c’était des personnes indésirables. Voulant absolument renouer d’ancien lien, je lui envoyais ma réponse dans l’immédiat. - Citation :
Tu sais bien que je suis unique ma belle, il n’y en pas d’autres comme moi . Tu as bien vue ma petite tête à Berkeley, ça m’étonne même que tu m’es vue parmi tous ce monde, on se croirait dans un océan humain, mdr. J’accepte avec joie ton invitation, si je continue à rester planter chez moi et regarder mon obsession éternel, je crois en faire une overdose (je t’expliquerais, tu sais comment je peux être dingue) J’envoyais mon message et dépose mon portable sur la table basse. Je retirais le bol de popcorn qui était installé entre mes genoux et le mettait aussi sur le table basse. En me levant de mon siège, je pouvais sentir une légère tension dans mes jambes par la longue période de ma position en indien sur le canapé. Je parcourrais le couloir vers ma chambre d’un pas presser et pris la première blouse et paire de jean que je trouvais. J’enfilais un pair de bottine en cuir brun clouté, prit un petit cardigan léger au cas que la température refroidisse, mon sac, mes clés et sortait de l’appartement en la fermant à clé derrière moi. J’actionnais le bouton de commande à distance pour ouvrir les portes et jetait mes effets sur le siège accompagnateur avant de démarrer en vitesse et me rendre aux lieux de rendez-vous. Ne connaissant pas l’endroit, encore étrangère de cette ville, j’entrais les données dans mon gps un peu irrité de suivre la voix robotique et ennuyant de l’engin. J’arrivais à destination et repérait déjà d’où j’étais Katlheen. J’étais à peine arrivée proche d’elle, qu’elle sauta dans mes bras. Son rire remplie de gaité me parvenu à mes oreilles déclenchant le mien aussi. « Je suis trop heureuse de te voir ! Je t’assure, j’ai cru hallucinée quand je t’ai vu sur le campus. On aurait voulu faire exprès qu’on n’aurait pas réussi. C’est juste énorme de te voir ! », « Pas autant que moi, ça fait du bien de revoir des visages familier dans tout cette population, j’ai l’impression de revenir d’une autre planète. » Elle me relâcha et je pus observer la nouvelle jeune femme qui me faisait face aujourd’hui. Coupant court à mon observation, on rentra dans le restaurant qui était assez rempli, sans que cela soit surchargé de monde. On prit place à une table attendant que le serveur vienne avec les cartes. « Désolée pour l’étrange message. Je n’étais pas sûre que ce soit toi que j’avais vu. Juste à 95%. Ça fait du bien de te revoir, tu sais. Il s’est passé tellement de choses depuis la dernière fois qu’on s’est vus… Qu’est ce qui t’amène à Berkeley ? Je veux tout savoir ! » « A qu’il dit tu, depuis que je suis ici, j’ai l’impression d’être dans une réunion d’ancienne élèves tant que je vois de vielles connaissances. Et puis tu sais, après que mes parents aient décidé de mettre dans un pensionnat pour jeune mère, je me suis dit pourquoi pas faire le reste de mes études ici, Berkeley est l’une des meilleures universités. Assez parler de moi, et toi de ton coté, quoi de neuf ? ». Je ne prête peu attention au serveur qui faisait les yeux doux à mon amie, je préférais regarder la carte que m’intéresser à lui.
- Spoiler:
Bah écoute , c'est du tout pas à mon habitude de faire d'aussi longue réponse, je sais pas se qui m'est arriver, surement une surcharge d’imagination, mais je promets pas que soit ainsi tout le temps
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| Sujet: Re: Et moi qui pensais ne pas te voir avant longtemps... [PV Aleskie} Lun 20 Mai - 17:07 | |
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