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Alors comme ça on est de la même famille ?

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MessageSujet: Alors comme ça on est de la même famille ? Alors comme ça on est de la même famille ? EmptySam 18 Fév - 17:15

Alors comme ça on est de la même famille ? Tumblr_lg0hgjkA8v1qdekafo1_500

    Ca faisait déjà dix minutes que ses doigts tapaient le bureau. Le son qui en résultait n’était même plus présent dans l’esprit du français. Son esprit était bien trop occupé par autre chose. En effet deux jours plus tôt Mina était venu le voir. Qui est Mina ? Une jeune femme qu’il a connu en France, à l’époque de leurs études. Pendant six ans, ils avaient vécus une relation de confiance. Elle était d’ailleurs la seule femme en qui il avait confiance. Avec les abus physique et mentaux que lui faisait subir son père, Maxence avait trouvé un certain refuge auprès de Mina. Pendant six ans, il avait aimé être avec elle. Elle avait été sa première petite amie, celle avec qui il avait eu sa première fois et également la première à lui briser le cœur. Elle avait eu une place importante dans sa personnalité et elle avait encore cette place. Seulement, elle lui avait fait une annonce des plus bouleversantes. Il l’avait vu apparaître dans son tailleur foncé et se présenter avec un visage fermé et dur. Il avait apprit ce qu’elle était devenue, mais elle n’avait donné signe de vie à part deux jours auparavant. Elle avait fermé la porte de son bureau à Berkeley pour lui dire de but en blanc qu’il était père de famille, d’un jeune garçon de 25 ans.

    A cette annonce, il s’était mit à rire. Non pas un rire nerveux, mais clairement un rire, comme si on venait de lui dire une bonne blague. Il voyait l’air sérieux de la jeune femme, ce qui fit augmenter son hilarité avant de s’arrêter d’un coup sec et de froncer les sourcils en lui demandant si elle était réellement sérieuse. Elle lui avait tout expliqué. Le fait qu’elle était déjà enceinte quand elle avait rompue, qu’elle avait ensuite eu une relation avec un médecin et qu’ils s’étaient mariés. Qu’elle avait donné naissance à Maxwell, leur fils, puis quelques années plus tard, elle avait eu une fille. Il lui avait demandé pourquoi elle lui annonçait cela aujourd’hui, après vingt cinq longues années de silence. Apparemment l’homme qu’elle avait épousé était décédé, voilà la raison de cette annonce. Seulement Maxence ne voulait pas y croire. Il n’avait jamais eu d’enfants, il n’avait jamais pensé en avoir, alors il n’avait pas d’enfant. C’était impossible, point final !

    Seulement, ça faisait deux jours qu’il cogitait et après un énième soupir, il se passa les mains sur le visage, frottant sa barbe du plat de la main avant de regarder sa montre. Il était déjà 15h, mais il n’avait pas cours de l’après-midi. Ses classes de futurs médecins étant dans des hôpitaux, cliniques ou autres centres privés, lui avait quartier libre. Maxwell, son soit disant fils devait lui aussi être dans un hôpital et en l’occurrence au General Hospital. Se levant de son fauteuil, il se rassit finalement. Non, il n’irait pas le voir. Pour quelle raison pourrait-il aller le voir de toute façon ? Il n’en avait aucune, alors autant resté assit là, à son bureau. Se levant à nouveau, il alla chercher une pile de dossier et commença à étudier le premier. Seulement, en voulant tourner une page, il se coupa le pouce. Blessure plus que superficielle, mais il prit cela comme le fait qu’il pouvait aller à l’hôpital. Plus pathétique tu meurs !

    Ayant prit sa moto, il se gara sur le parking et alla directement à l’entrée, pour remplir les papiers demandés et il précisa le médecin qu’il voulait. L’infirmière le regarda de haut, avant de lui sourire. Il haussa les sourcils de façon suggestive et elle se mit à rire. Maxence connaissait bien l’hôpital et surtout cette jeune infirmière qui savait qu’il était enseignant en médecine, qu’il venait voir ses étudiants parfois et surtout qui semblait ouvert à jouer au docteur avec elle. Gardant son sourire, il alla s’asseoir en salle d’attente et attend une bonne demi-heure avant d’entendre son identité à haute voix. Voyant alors l’infirmière lui sourire, il la suivit, entra dans une des salles de consultations et prit place sur la table d’auscultation. Elle lui demanda ce qui se passait et il montra son doigt, ce qui la fit rire. Il haussa les épaules et il rit à son tour quand elle commença à lui faire des propositions assez indécentes. Cependant, il devait avouer que c’était un jeu intéressant, jusqu’à ce qu’une personne entre dans la pièce.

    Prenant alors un air sérieux, il demanda à l’infirmière de ne pas oublier les papiers dont il lui avait parlé et elle sortit de la pièce. Le jeune homme qui se tenait face à lui était son fils. Il le savait parfaitement, cependant, il ne dit rien, le laissant prendre la parole et faire son boulot. Puis, quand l’autre lui demanda ce qu’il avait, il montra son doigt.

    Je me suis coupé avec une feuille et mon doigt me fait atrocement souffrir.

    Fronçant les sourcils, il savait que Maxwell pourrait l’envoyer clairement chier. Venir à l’hôpital parce qu’on s’est coupé avec une feuille de papier, sérieusement ? Donc, il pouvait comprendre le fait qu’il sorte de la pièce sans même l’examiner.

    Il faudrait au moins une radio, ça serait plus prudent.

    Autant pousser le vice jusqu’au bout et jouer avec ce garçon qui était soi-disant son fils. Autant voir de quoi il était capable après tout.

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MessageSujet: Re: Alors comme ça on est de la même famille ? Alors comme ça on est de la même famille ? EmptySam 18 Fév - 18:46

Alors comme ça on est de la même famille ? Tumblr_lzets3OmZu1qakd4jo1_500

    Deux gardes d’à filée…N’importe qui aurait jeté l’éponge et serait parti piquer un bon petit roupillon bien au chaud dans un lit douillet, à ce rythme là. Mais lorsque l’on s’appelle Maxwell, on reste droit comme un i, on est aimable avec les patients et en prime, on reste disponible pour toute question, y compris la plus idiote de la création. Autant dire qu’il s’attendait à ce que cette journée soit nettement plus calme comparée aux deux précédentes, qu’il avait enchaînées sans même sourciller ou soupirer une seule fois…Et non à faire la connaissance de quelqu’un ayant déjà bouleversé sa vie une première fois alors qu’il avait à peine dix-huit ans. Quand on lui avait fait mine de s’engager dans la première salle d’examen du service de chirurgie, il s’était appliqué à y aller avec rapidité et précision. Et pour cause, lorsque l’ordre vient de votre résidente, vous ne prenez même pas le temps de répondre, de peur de ne plus avoir de tête avant d’avoir fini votre phrase ! Il avait donc parlé de manière aussi polie que possible à l’infirmière, tout en lui indiquant de ne surtout pas oublier le dossier X du patient Y au sujet d’une pathologie de la plus haute importance…Et s’était finalement retrouvé en face de ce patient dont il n’avait pas encore lu le nom sur le dossier. Il n’en n’eut pas le temps, et pour cause, celui-ci attaqua bi en tête en lui présentant sa « blessure de guerre » avec cette sorte de fierté qui lui fit hausser un sourcil de surprise. D’ordinaire, Maxwell considérait qu’il en avait vu bien d’autres, qu’il en verrait sans nul doute des plus coriaces avec le temps et qu’il ne fallait surtout s’étonner de rien…Mais face à un tel aplomb, difficile de ne pas être possédé par l’irrépressible envie d’éclater de rire. Il se retint, on ne sait par quel miracle, avant d’enfiler deux gants, armé de son professionnalisme habituel. Il avait de la chance que le jeune chirurgien en herbe ne se soit pas levé de mauvais poil et n’ait pas d’autre patient plus passionnant…Après tout, dans le pire des cas il transmettrait ledit cas au service de psychiatrie dans quelques minutes et le tour serait joué !

    « Effectivement, entaille on ne peut plus profonde, j’ai bien peur qu’il nous faille radios, sutures et même peut-être un plâtre ! Vous comprenez, la gangrène est un sujet sérieux et je tiens à vous éviter ce genre de souffrances abominables. »

    Le pire, c’est qu’il avait débité ce discours ridicule d’un air parfaitement sérieux ! Il avait même examiné la « plaie » sous toutes les coutures, tandis que les traits de son visage étaient restés parfaitement impassibles dans l’adversité. Du grand art, de la théâtralité comme on ne fait peu. Il n’avait enlevé ses gants qu’ensuite, tandis qu’un petit sourire à la fois narquois et suffisant peuplait peu à peu ses lèvres. Ce n’est qu’ensuite qu’il avait pris son dossier, sans regarder le nom, comme la plupart des chirurgiens un peu pressés considérant que le cas n’avait justement rien de chirurgical…En l’occurrence, il allait le renvoyer chez lui en deux coups de cuillère à pot et n’avait donc aucun besoin de connaître son nom.

    « Merci pour le délirium ! En tout cas, vous n’êtes pas passé loin de la case « cas psychiatrique » avec vos conneries. Vous savez qu’on en a interné pour moins que ça ? »

    Cela ne l’empêchait pas de remplir scrupuleusement le dossier…Si jamais sa résidente repassait derrière, il fallait qu’il justifie le fait de n’avoir rien fait, sans quoi il risquait une fois encore de ne plus avoir de tête pour le raconter par la suite à ses « petits camarades » !

    « Autre chose avant que je ne vous quitte, le blessé de guerre ? »
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MessageSujet: Re: Alors comme ça on est de la même famille ? Alors comme ça on est de la même famille ? EmptySam 18 Fév - 19:16

Alors comme ça on est de la même famille ? Tumblr_lg0hgjkA8v1qdekafo1_500

    Jouer les benêts pouvait être tout un art pour certain. Pour Maxence, pas réellement. Comme dirait sa mère, tu es né comme ça. Non ça mère ne le considérait pas comme un mauvais garçon, mais quand il jouait les imbéciles elle aimait bien l’embêter. La mère de Maxence était bien la seule qui malgré ses blessures psychologiques à cause de son père et de son passé houleux restait là, à ses côtés. Elle était celle qui était là en permanence, la constante dans sa vie. Alors oui, aujourd’hui, il comptait bien commencer par jouer à l’imbécile, avant de voir de quoi était capable Maxwell. Ce jeune homme était apparemment son fils, il voulait donc voir de quoi il était capable. Savoir à quoi il ressemblait, même s’il avait vu une photo. Savoir quel était son caractère. Il voulait tout savoir, pour pouvoir ensuite décréter si oui ou non ce garçon était bien son fils. Expliquant alors au jeune futur médecin qu’il s’était coupé avec une feuille et qu’il avait très mal, il regarda ce dernier avant d’expliquer qu’il aimerait passer une radio. Le voyant mettre ses gants, il resta attentif au moindre de ses mouvements, voulant voir s’il était vraiment professionnel. Puis, l’écoutant parler, il ne fit que hocher la tête, prenant ce qu’il disait au sérieux. Un bon sens de l’humour était quelque chose d’important et c’était plutôt bien partit pour l’étudiant. Le laissant regarder sa plaie au doigt, enfin plaie, pour ne pas dire le rien du tout qui était sur son doigt, il devait avouer qu’il était plus que professionnel. Ne faisant que le regarder sans rien dire du tout, il ne pû s’empêcher de sourire aux propos qu’il tint par la suite. L’écoutant ensuite lui demander s’il pouvait y aller ou pas. Maxence hocha la tête positivement.

    Vous avez sans doute entendu parler de la fusillade qu’il y a eu à l’université de Berkeley récemment ?

    Sachant que le garçon étudiait là-bas, forcément, il avait dû en entendre parler.

    On m’a frappé au visage et on m’a tiré dessus, du coup il faut que je fasse voir les plaies. Pour savoir si tout se cicatrice comme il faut et tout le bazar.

    Montrant d’abord son arcade sourcilière gauche, il savait que là, la plaie cicatrisait bien. Quand il se regardait dans le miroir, il pouvait le voir, mais autant ne pas dire qu’il savait ce qu’il faisait vu qu’il s’y connaissait désormais en médecine. Puis, il enleva sa veste, avant de soulever sa chemise et son tee-shirt et lui montrer un pansement à sa hanche droite. Enlevant le côté du pansement, pas besoin de le mettre à la poubelle si jamais il devait encore le garder.

    La balle n’a fait que m’effleurer, mais la peau s’est ouverte et il y a eu quand même pas mal de sang. Seulement pas très simple comme emplacement pour que je puisse voir quoi que ce soit et savoir si tout va bien.

    Regardant l’étudiant, il fut coupé par l’infirmière qui rentra à nouveau dans la pièce et qui lui montra des papiers et qu’elle posa près de sa veste. La remerciant d’un sourire et d’un hochement de tête, il l’entendit glousser. Puis, il se concentra sur le médecin qui semblait attentif et qui faisait son travail avec sérieux.

    Alors, je dois encore gardé des pansements ? Je sais qu’en bougeant trop vite, ça me fait un mal de chien, mais je commence à en avoir ras le bol des pansements. Encore si j’avais une infirmière sexy pour les changer je ne dis pas, mais je n’en ai pas. Donc, conclusion ?

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MessageSujet: Re: Alors comme ça on est de la même famille ? Alors comme ça on est de la même famille ? EmptySam 18 Fév - 19:31

Alors comme ça on est de la même famille ? Tumblr_lzets3OmZu1qakd4jo1_500

    Je coche cette case et vos voisins de chambre seront Jésus et Frapadingue le barjo, comme dirait ce bon Docteur House…Mais il n’était pas question ici d’envoyer son patient au service psychiatrique se trouvant deux étages plus haut, face aux autres patients baveux. Il n’y avait aucune raison objective pour que Maxwell se mette dans la peau de cet interne en médecine cruel n’ayant pas deux sous de jugeote. Par contre, il fronça légèrement les sourcils face aux propos de son patient : Son cas n’était pas aussi anodin qu’il ne le laissait présager de prime abord et forcément, le jeune homme avait entendu parler de la fusillade. Il avait d’ailleurs fait plus qu’en entendre parler dans le sens où il avait été de corvée trois jours de suite pour s’occuper des sutures et de certaines opérations…Un calvaire pour tous les blessés, une véritable opportunité pour le futur chirurgien qu’il était d’être en première ligne au bloc opératoire. Chacun sa manière de voir la chose ! « J’ai été aux premières loges pour les sutures » rétorqua-t-il à l’aide de son habituel petit air narquois. Il n’y avait personne à séduire ici, et quand bien même serait-il homosexuel, cet homme ne serait définitivement pas son type. Il ne valait mieux pas, c’était tout de même son père, bien qu’il ne soit pas au courant une minute de la chose ! Il reprit donc des gants, armé à nouveau de son professionnalisme habituel, avant d’arborer un rictus tout à fait enchanté face aux nouveaux propos de son patient. Celui-là n’était visiblement pas du genre à perdre le nord, l’est, l’ouest ou même le sud. Plutôt à aimer ce qui porte jupons et qui en prime a un joli minois…Comment lui jeter la pierre dans ces conditions !

    « Conclusion ? Les petites annonces coquines. Il n’y a que là que vous pourrez trouver des nénettes suffisamment givrées pour faire l’infirmière sexy. A ceci près que vous aurez de quoi vous rincer l’œil, mais que le service n’y sera évidemment pas derrière…A vos risques et périls. »

    C’était à voir. S’il préférait avoir de quoi se rincer l’œil en se moquant du reste, alors il trouverait sûrement son bonheur en deux coups de cuillère à pot…Mais Maxwell en doutait. Et tandis qu’il redevenait sérieux, il inspectait minutieusement la plaie, recousue de main de maître par un chirurgien résident ou un interne, mais qui cicatrisait à merveille. A ceci près que son patient était bon pour garder le pansement encore une bonne semaine…Ce n’était pas une plaie aussi superficielle que celle qu’il portait au doigt, justement.

    « Une bonne semaine. Si vous l’enlevez avant, vos points risquent de sauter et vous serez bon pour repasser par la case départ sans toucher vingt mille dollars…Ce serait moche, n’est-ce pas ? Je peux vous prescrire un antidouleur en revanche, pour atténuer votre gêne. Et celui qui vous a recousu vous a précisé qu’il faudra enlever vos fils dans environ deux semaines ? »

    Comme il n’existe pas toujours des médecins très soigneux vis-à-vis de leur métier, il valait mieux prévenir que guérir…Et pour la peine, il avait haussé un sourcil presque conquérant. On ne pouvait pas lui enlever cela : Maxwell était un petit con arrogant, mais il savait de quoi il parlait et prenait son travail à cœur malgré les apparences.
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MessageSujet: Re: Alors comme ça on est de la même famille ? Alors comme ça on est de la même famille ? EmptySam 18 Fév - 21:03

Alors comme ça on est de la même famille ? Tumblr_lg0hgjkA8v1qdekafo1_500

    C’est mieux que les bananes et fruits en tous genres.

    Le français n’avait eu à suturer sur des fruits, mais il en avait entendu parler avec son meilleur. Quand il enseignait encore la philosophie à La Sorbonne, son meilleur ami, l’enseignant en médecine lui avait expliqué certaines techniques et certaines choses importantes. Du coup, il en savait quand même pas mal. Par la suite, il expliqua donc ce qui lui était arrivé lors de la fusillade. Entre le coup à la tête et la balle qui l’avait effleuré à la hanche, il avait besoin de l’avis d’un vrai médecin. Il n’était qu’enseignant en médecine et même s’il savait beaucoup de chose dans le domaine, il ne négligeait pas le fait qu’il avait besoin de l’avis d’un professionnel. Puis, il évoqua le fait qu’il avait encore un pansement au niveau de sa hanche, du coup il commençait sérieusement à en avoir marre. Comme il l’ajouta, avec une infirmière sexy à disposition ça serait déjà beaucoup plus attrayant que de devoir nettoyer la plaie et changer le pansement seul. Demandant donc au jeune homme une conclusion à ses propos, il espérait une issue positive, mais il entendit une réponse à laquelle il ne s’attendait pas.

    Je n’ai pas besoin des petites annonces pour ça, en plus je ne tiens pas à tomber sur une femme qui voudrait se marier à la seconde et j’évite les call girls, c’est trop cher.

    Ecoutant avec attention les propos de l’étudiant en médecine, il soupira. Génial, il allait encore devoir attendre avant d’enlever complètement le pansement. Le remettant en place, il grimaça, avant de descendre son tee-shirt, puis sa chemise et de regarder le garçon.

    Je ferai sans l’antidouleur, par contre je n’avais pas été prévenu pour les deux semaines à attendre.

    C’est vrai qu’on ne lui avait rien dit du tout. En même temps, il savait qu’il se les faire enlever, mais personne ne lui avait donné de date ou d’autres détails à ce sujet.

    Comme je ne vous fait pas remplir d’ordonnance pour les antidouleur vu que je n’en ait pas besoin, vous devriez remplir ceci.

    Il avait en main les papiers qu’il avait demandés à l’infirmière. La jeune femme n’avait sans doute pas dû aller bien loin pour les avoir, ce qui était parfait vu que Maxence voulait faire d’une pierre deux coups en les ayant sous la main. Il avait demandé à ce qu’on lui apporte des papiers pour un test de paternité. Laissant les papiers dans les mains de l’étudiant, pour qu’il puisse lire, il commença à enlever sa chemise.

    Autant faire la prise de sang tout de suite, ça sera beaucoup plus simple.

    C’était sans doute une façon de faire des plus inappropriés, mais c’était la seule façon pour Maxence d’accepter les faits. Il avait besoin de voir ça écrit sur un papier, pour y croire pleinement. La parole de Mina ne lui suffisait pas, surtout si Maxwell était bel et bien son fils. Une fois sa chemise enlevée, il la posa à côté de sa veste et remonta la manche de son tee-shirt en regardant le jeune homme.

    Je suis près et vous pouvez même louper à plusieurs reprises la veine si ça peut vous soulager.

    Evidemment, il espérait que ça serait pas le cas, il n’avait pas envie d’un bleu qui virerait à différentes couleurs, mais bon, si ça pouvait aider son interlocuteur à ne pas lui coller son poing dans la figure à la place, il se laisserait faire et serrerait simplement les dents.

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MessageSujet: Re: Alors comme ça on est de la même famille ? Alors comme ça on est de la même famille ? EmptySam 18 Fév - 21:20

Alors comme ça on est de la même famille ? Tumblr_lzets3OmZu1qakd4jo1_500

    Un papier. Un foutu papier et le sol s’était comme mis à trembler, preuve que sa vie n’avait pas été suffisamment bouleversée jusqu’ici. Maxwell prit quelques minutes pour s’assurer qu’il n’était pas en plein cauchemar, et s’il ne s’était pas retenu, il se serait probablement pincé pour être sûr qu’il ne rêvait pas. Le fameux papier qu’il avait en main lui prouvait deux choses : La première, qu’il se trouvait en face du fameux Maxence Delacre dont lui avait parlé sa mère. La deuxième, qu’il s’agissait de son père et qu’en prime, il réclamait un test de paternité…Allons donc ! S’il pensait ne serait-ce qu’une seconde que Maxwell avait l’intention de se plier à ce petit jeu, il se plantait le doigt dans l’œil jusqu’aux orteils ! L’espace de quelques instants, son air narquois avait soudainement disparut, ses yeux étaient devenus comme vide et son teint avait légèrement pâli. Normal, lorsque l’on reçoit un tel choc en pleine face…Et il lui fallut faire preuve d’un contrôle proprement surhumain pour ne pas s’écrouler contre le carrelage froid de la pièce. Il déglutit avec difficulté, frappé non seulement par la nouvelle mais également par le manque cruel de tact dont faisait preuve ce « père » qu’il rencontrait pour la première fois. C’est sûrement ce qui le conforta dans son idée : Prouver ce qui était inutile à ses yeux n’avait aucun intérêt. Comme s’il était du genre à se plier aux ordres des autres ! Cet homme n’était rien pour lui. Tout au plus quelqu’un lui ayant provoqué d’affreux cauchemars durant toute la fin de sa leucémie, point barre. Il balança donc le dossier contenant le papier contre la table d’examen et laissa échapper un rire mauvais avant de soupirer. S’il pensait le faire flancher de cette manière…Autant dire qu’il s’était planté de personne. Pour l’impressionner, il en fallait bien davantage !

    « A moins que je ne vous taillade moi-même la veine, ça ne risque pas de me soulager. Mais je ne suis pas idiot, je risquerais bien trop gros et comme je ne sais pas de quoi vous aide capable, je vais surtout m’abstenir de prendre quelque aiguille que ce soit en main. »

    Il avait passé cette foutue période où tout l’énervait, tout le rendait hystérique au point qu’il frappait dans les murs à tout bout de champ. Il n’était plus comme ça. Hélas, ce genre de nouvelle le secouait si facilement qu’il ne pu se retenir de saisir violemment la chemise de Maxence, sans aucun signe avant coureur. Il était calme la seconde d’avant, et désormais, ses yeux étaient brillants de rage, comme s’il allait péter une durite dans la minute qui allait suivre…Ce n’était pas tout à fait éloigné de la vérité. Il venait de perdre son père, et n’avait demandé aucun congé. Il n’avait pas eu le moindre répit, la moindre minute pour s’apitoyer sur son petit sort personnel. Il avait été fort…Sans doute trop. Et le manque de tact pour ce genre de chose si personnelle, il ne pouvait pas cautionner.

    « Regarde-moi bien monsieur je sais tout ! Il n’est pas question que je fasse ce foutu test à la con ! En ce qui me concerne, tu peux aller te faire foutre, avec ou sans tes infirmières sexy, mais en tout cas, sans moi !! C’était peut-être la lubie de ma chère mère de venir te balancer une vérité dont tout le monde se tamponne, mais personnellement, j’en ai rien à secouer d’avoir des preuves. Tu n’es pas mon père, je n’ai pas besoin de toi, et celui qui était vraiment mon mentor, il n’est plus là pour me botter le cul à ta place. Alors ton test de paternité, tu sais où tu peux te le carrer ?! »

    Maxwell ne lâcha l’homme qu’au terme de son discours, avant de chiffonner nerveusement la demande de test en question et de la balancer à la poubelle, avec une dextérité tout à fait digne du sportif qu’il était…Bien que le basket ne soit guère son sport de prédilection. Son visage était désormais fermé, glacial, parfaitement impassible. Cette façon qu’il avait de se moquer d’autrui reviendrait, mais pour l’instant, il préservait sa fierté…Et tout le reste. Il ne craignait pas d'être viré, bien au contraire. Rien d'autre n'avait d'importance que le fait de ne plus voir le visage de son soi disant père.

    « Dégage. »
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MessageSujet: Re: Alors comme ça on est de la même famille ? Alors comme ça on est de la même famille ? EmptySam 18 Fév - 21:39

Alors comme ça on est de la même famille ? Tumblr_lg0hgjkA8v1qdekafo1_500

    Le manque de tact dont faisait preuve le français était sans doute une mauvaise chose vis-à-vis de Maxwell. Seulement, il avait besoin de voir la concordance de leur sang, écrit sur papier. Il ne croyait pas Mina, tout simplement parce qu’elle lui avait brisé le cœur des années auparavant. Seulement, il devait bien admettre que si ce garçon était son fils, il voudrait prendre soin de lui. En tout cas, il le pensait, mais n’était pas du tout près à l’admettre. Il préférait faire un test de paternité et voir les choses comme elle viendrait. Ayant tout fait jusqu’à arriver à remonter la manche de son tee-shirt pour qu’il fasse une prise de sang, il regarda par la suite le jeune brun. Ne disant rien à ses premiers propos, il sentait dans la façon de réagir de son interlocuteur qu’il avait touché un point très sensible. En même temps la mère du jeune homme lui avait clairement dit que son père adoptif avait toujours été là pour lui et qu’il était sa plus grande fierté. Il avait laissé ça de côté et lui voulait juste une preuve écrite, c’était tout ce qu’il demandait, enfin pour le moment. Sur le moment, il fut surprit quand l’autre homme attrapa la chaise, pour venir lui parler bien en face. Ne sourcillant pas, l’enseignant, l’écouta parler, sans l’interrompre une seule fois. Puis, le voyant chiffonner le papier et le lancer dans la poubelle, il l’écouta à nouveau parler pour lui dire de sortir de la pièce.

    Je suppose que ta mère n’a pas du te dire grand-chose à mon sujet. Elle n’a jamais été du genre démonstrative ou loquasse, mais venir me dire cela vingt cinq ans après, elle n’avait pas le droit.

    Fronçant les sourcils en regardant son fils, il voyait que ce dernier préférait détourner le regard plutôt que de le regarder.

    Tu ne veux pas de réponses, pas de discussions, rien ayant un rapport avec moi, parfait. Seulement, moi j’ai le droit de savoir la vérité. Si vous êtes mon fils, alors je serai fixé, mais ça ne veut pas dire que j’agirai comme un père. Tu en as eu un, très bien parfait, mais je veux savoir et si pour ça je dois aller en justice pour avoir mes réponses, alors je le ferai.

    Mettant sa chemise, il était près à partir vu la réaction du garçon, mais il était sérieux, il pouvait aller en justice pour ça. Même s’il pouvait perdre, il le ferait. Mettant par la suite sa veste, il regarda une autre fois son interlocuteur.

    Réfléchissez bien. Soit on le fait tranquillement, soit d’ici quelques jours vous aurez un mot de mon avocat.

    Mettant bien le col de sa veste, il sortit de la pièce. Ca n’était pas le moment qu’on vienne lui parler. Evidemment qu’il savait qu’il aurait dû arrondir les angles, mais il ne le pouvait pas. D’un côté, il voulait la vérité et de l’autre, il savait que si c’était vrai, il ne pourrait pas assumer un rôle de père. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il avait vécu avec un homme qui l’avait battu à de nombreuses reprises, physiquement et verbalement. Que son père adoptif était un ami de la famille, mais qu’il n’avait jamais fait un pas vers lui et qu’il n’avait aucune figure paternelle à laquelle s’accrocher. Il ne serait jamais un bon père, seulement, cette possibilité d’avoir un fils le travaillait. Cependant, il n’avait pas non plus envie de s’accrocher à quelque chose de peut-être faux, alors, il continua de marcher pour sortir de là et rejoindre sa moto garée sur le parking.

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MessageSujet: Re: Alors comme ça on est de la même famille ? Alors comme ça on est de la même famille ? EmptyDim 19 Fév - 8:34

Alors comme ça on est de la même famille ? Tumblr_lzets3OmZu1qakd4jo1_500

    Désormais seul dans la pièce, Maxwell prit cinq petites minutes pour souffler et se rendre mieux compte de ce qui venait de se passer. Il avait tout de même rencontré son père, avait manqué de lui refaire le portrait façon puzzle, et s’était heurté à son désir de connaître la vérité à l’aide d’un maudit papier que personne n’aurait pu réfuter, même pas lui. Quelque part, ce que comprenait désormais le jeune homme, c’est que l’éminent Maxence Delacre s’était fait autant couillonner que lui dans l’affaire. Il n’était au courant que depuis peu, et Maxwell pouvait s’estimer heureux d’avoir eu un père adoptif suffisamment scrupuleux pour lui balancer la bombe en pleine poire il y a quelques années. Ce fut sans doute ce qui motiva la suite de ses décisions : Il se plaça lui-même un garrot contre le bras et s’empressa de se prendre un simple tube de sang, avec la conscience professionnelle d’un médecin et ce sans trembler. Il n’était plus totalement temps d’être en colère mais plutôt d’agir avec raison…Et là, c’était la maturité qui parlait. Une chance qu’il ait des nerfs suffisamment d’acier pour se reprendre en main, faire en sorte d’extirper un maudit tube de sang de son corps avant de courir pour redemander un papier concernant le test de paternité à la première infirmière qu’il trouva à portée. Dans un hôpital, ce n’était pas la chose la plus dure qu’il soit…Ce n’est qu’ensuite qu’il s’était lancé à la poursuite de ce « père » dont il n’avait jamais voulu, et qui ne prendrait de toute évidence jamais la place de celui qu’il avait perdu, quelques semaines plus tôt. Mais sa mère était la première responsable de la situation…Et quelque part, il y avait de quoi réfléchir à deux fois avant d’accuser cet homme qui n’avait sûrement rien demandé. Maxwell se bénit d’être aussi sportif et de pouvoir se taper un sprint jusqu’aux sous sols, puis aux parkings, afin de retrouver sans peine l’enseignant et de lui faire face, le visage toujours aussi fermé et l’air aussi fier qu’il le pouvait. Il était venu, il l’avait rattrapé…C’était en soi légèrement encourageant, n’est-ce pas ?

    « Ma mère est une manipulatrice née. Je l’adore parce qu’elle reste ma mère, mais je la connais suffisamment pour la savoir tout à fait capable de te balancer la nouvelle en pleine gueule et te laisser ensuite te démerder avec. Je n’ai rien demandé, et elle ne m’a pas consulté au préalable…Elle a pris ses décisions toute seule et si tu as envie de lui refaire le portrait, je pourrais presque te trouver une certaine sympathie. »

    Haussement d’épaules. Presque. Il ne fallait pas mettre la charrue avant les bœufs, Maxwell était actuellement affreusement mal à l’aise et ce sentiment ne laissait strictement rien présager de bon pour la suite. Au contraire, tout ce qu’il fit fut de tendre le tube ainsi que les papiers pour le test de paternité en forçant presque Maxence à les prendre en main. Désormais, il avait tout ce qu’il fallait pour faire ce foutu test et surtout, oublier son existence au passage…En espérant qu’il n’ait surtout pas à le revoir pour ses points. Merde, ce n’étaient pas les internes qui manquaient dans ce foutu hôpital pour s’en occuper comme de vrais chefs !

    « Tu as les cartes en main, libre à toi de les balancer dans la première poubelle venue ou de revenir me trouver pour ce foutu test. Je n’ai aucune envie que cela s’ébruite…J’ai mes raisons. A bonne entendeur…Et au fait, la roue de ta moto, elle est légèrement dégonflée. »

    Maxwell ne le vouvoyait plus, ne faisait pas preuve d’un respect débordant et retrouvait peu à peu son évidente ironie, tellement pratique pour ce genre de situation. Quoi qu’il en soit, il tournait désormais les talons, les mains dans les poches, tout fiérot d’avoir eu le dernier mot cette fois-ci. Quelle fierté mal placée… !
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MessageSujet: Re: Alors comme ça on est de la même famille ? Alors comme ça on est de la même famille ? EmptyDim 19 Fév - 15:27

Alors comme ça on est de la même famille ? Tumblr_lg0hgjkA8v1qdekafo1_500

    Un punching-ball, voilà ce qu’il lui fallait ou alors une femme et s’envoyer en l’air. Un des deux finirait bien par le calmer. Ou alors les deux ? Aller dans un club de gym en ville pouvait apporter les deux sans doute. Cette rencontre avait été des plus désastreuses, mais il n’avait pas pensé que ça se passerait mieux. Il voulait juste la vérité. Celle que Mina venait de lui dire quelques jours avant. Devoir faire face à une telle réalité n’était pas quelque chose d’envisageable pour le français. Il n’avait jamais eu d’enfants, il n’y avait même jamais pensé, alors pourquoi devrait-il devenir père aujourd’hui. Ce garçon, ce Maxwell ne semblait pas non plus avoir de lien avec lui, quel qu’il soit, alors autant en rester là. Frustré, énervé et en colère, il marchait vers les ascenseurs. Montant dans le premier qui ouvrit ses portes, il attendit qu’il le mène au parking. Une fois que ce fut fait, il partit vers sa moto. Près à ouvrir le coffre pour prendre son casque, il entendit parler et il se retourna pour voir le jeune homme qui l’avait envoyé balader, se tenir là, face à lui. Fronçant les sourcils, il se méfia, mais resta attentif à ses propos.

    Je ne tiens pas à finir en cellule pour l’avoir agressé, même si lui refaire le portait pourrait me détendre.

    Gardant les sourcils froncés, il savait qu’il ne frapperait jamais Mina. Il n’était pas du genre violent, sauf si vraiment il le fallait. Mais surtout, il n’était pas le genre de type à frapper une femme, ça jamais. Puis, voyant le garçon prendre sa main pour lui mettre dedans un tube de sang et les papiers du test de paternité, il fut étonné que ce dernier ait changé d’avis. Cependant, il apprécia le fait qu’il accepte de lui donner des réponses. L’écoutant répondre, il devait avouer que Maxwell n’avait pas froid aux yeux. Puis, il tourna la tête pour regarder le pneu de sa moto. Penchant la tête, il vit en effet qu’il n’était pas aussi bien gonflé que la normale. Puis, regardant vers l’étudiant, il le vit qui reprenait son chemin vers les escaliers et il soupira.

    Hey !

    Papier et tube de sang en main, il marcha vers le garçon. Une fois à sa hauteur, il soupira, mais resta silencieux, tout en montant les marches pour aller dans le bâtiment.

    Je veux juste savoir si ta mère dis la vérité ou pas. Dès que j’aurai les résultats je serai fixé, c’est tout.

    Une fois arrivé au bon étage, il regarda son interlocuteur.

    Tu me fais la prise de sang ou je dois aller voir quelqu’un d’autre pour ça ?

    Il n’avait pas passé l’éponge, seulement, il avait ce besoin de savoir. S’il voyait alors que le jeune homme était bien son fils, il n’avait pas encore la moindre idée de comment il devrait agir. Mais pour l’instant, il voulait juste savoir si son ex disait vraiment la vérité ou pas.

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