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weird night ;; part two▬ THAYPHIS [HOT]

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MessageSujet: weird night ;; part two▬ THAYPHIS [HOT] weird night ;; part two▬ THAYPHIS [HOT] EmptyJeu 3 Nov - 7:54

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La soirée avait de nouveau prit un tournant, beaucoup moins excitant cette fois ci. L'inconnu que je venais à peine de rencontrer et moi venions à peine de terminer nos ébats sexuelles qu'une voix grave c'était fait entendre, une voix d'homme il n'y avait aucun doute la dessus. À ma grande surprise, il s'agissait d'un policier, sans doute que les cris que j'avais laisser s'échapper quelques minutes plus tôt, voir quelques secondes, avaient alarmé les passant de la rue voisine ou peut-être que c'était un habitant de l'immeuble qui n'avait pas apprécier le spectacle gratuit que nous venions de lui offrir, c'est pas tout le monde qui aime la pornographie gratuite faut croire, ces gens doivent être du genre à payer pour voir des photos de filles en bikini sur le web. En moins de deux, le jeune homme qui m'avait amener au septième ciel, s'était retrouver menottes aux bras, les pantalon encore au sol. Il me fit un léger signe afin que je lui remontre son caleçon ainsi que son pantalon, se que je fis en caressant du revers de la main son membre réjoui. Ce fut alors mon tour de me faire passer les menottes au bras, comment ma mère serait fière de moi en ce moment. Le jeune blond me mordilla l'oreille puis me dit quelques mots à voix basse. Tu vois ma belle, c'est maintenant que ca devient intéressant. Si on te demande, je suis ton petit ami, Balthazar, c'est mon quatrième prénom. Enfin, un brin d'information à son sujet, se n'était pas beaucoup, au contraire, il s'agissait simplement de son quatrième prénom, ses parents ne devaient pas trop l'aimer pour lui donner autant de prénoms. Tant qu'à rester dans les secrets, je décidai également de ne pas lui dévoila mon prénom usuel. Pour moi tu seras Balthy, chéri. Et au fait, tu peux m'appeler Sutton, un de mes nombreux prénoms. Les présentations étaient dorénavant faites, quoiqu'elles auraient sans doute du être faite avant que l'on partage nos corps entièrement nues, après tout nous étions au vingt et unième siècle, fallait être moderne parfois. Nous eûmes donc droit à une jolie balade sur la banquette arrière d'une voiture de police, gyrophare en primes. À notre arrivée au commissariat l'agent de police qui était en charge de nous, nous fit asseoir dans un petit recoin entre un classeur et un mur de brique. De là nous avions une vue d’exception sur l'entrée du poste de police. Il ne fallut pas plus de deux minutes pour que le spectacle commence, deux policiers, un homme qui devait avoir manger beaucoup trop de beignes et une femmes qui ressemblait beaucoup plus à un homme que le premier, entrèrent avec un vieux saoulons entre eux deux. Cet homme offrait tout un show à tout ceux présent, déjà il avait une chemise de style hawaïenne grande ouverte, ce qui dévoilait son torse velu, une horreur je vous jure. L'homme était tellement saoul qu'on pouvait le sentir à douze miles à la ronde, une odeur par très agréable. Et ô comble de malheur, les deux agents virent installer le dit homme juste à coté de moi. Immédiatement il pensa être devenu mon nouvel meilleur ami, son haleine me donnait envie de vomir et il ne pouvait arrêter de parler une seule seconde. Si au moins j'arrivais à comprendre ce qu'il disait, mais rien de se qui sortait de la bouche de cette homme était compréhensible, ce n'était qu'un affreux boucan. Je me contentais de sourire d'un air dégoûter et d'éviter son regard. Je me retourner vers Balthy, mon nouveau petit copain d'un soir pour les raisons de la situation dans la quel nous nous étions mit, mes yeux voulaient tout dire ''pitié fait qu'il se la ferme celui-là''. Une simple requête, mais vu l'état dans le quel le saoulons était, a tâche allait s'en doute s’avérer plus difficile que prévu. Heureusement mes prières furent exhausser rapidement, les policiers devaient avoir l'habitude de le voir ici et comme par magie une vieille dame était apparue et aida le vieil homme a retourner chez lui. L'air empestait encore, décidément j'allais avoir cette odeur prit dans le nez pour une éternité. Nous étions assit au même endroit depuis bientôt quinze minutes quand soudainement le dos se mit à me piquer comme pas possible, j'essaya de me gratter, j'alla même jusqu'à vouloir me gratter avec le dossier de la chaise, mais à rien. Je me penchai donc vers l'avant et levai l'arrière de mon t-shirt. Tu veux bien me gratter le dos s'est insupportable.
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MessageSujet: Re: weird night ;; part two▬ THAYPHIS [HOT] weird night ;; part two▬ THAYPHIS [HOT] EmptyJeu 3 Nov - 19:55

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Je n'étais pas sur que ce soit le cas de ma très sexy acolyte de la soirée, mais j'aimais le tournant que prenait cette soirée. Me faire arrêter par la police, du Texas, de France ou de Russie, j'en avais l'habitude. Mais je devais avouer que je ne m'étais jamais fait arrêté le cul à l'air, avec mon membre entre les cuisses d'un demoiselle, en train de faire sauvagement l'amour à une fille dont je ne connaissais rien, même pas son prénom. Mais bon, si je l'avais fait avec elle dans cette ruelle, c'était parce que d'avoir des chances de me faire voir par des passants ou que quelqu'un appelle la police pour tapage nocturne, mais j'aimais cela parce que c'est ce qui m'excitait par dessus tout, même si cette demoiselle qui était ma partenaire était loin d'être étrangère au plaisir que j'avais pu rencontrer il y a quelques minutes. Heureusement, le policier avait du me comprendre en tant qu'homme et avait attendu que je lâche tout en la demoiselle pour venir m'arrêter, et ainsi m'éviter la frustration de ne pas avoir connu ce plaisir délicieux avec la demoiselle. Thanks buddy. Enfin, il aurait quand même pu me laisser le temps de remonter mon pantalon et mon caleçon, même si le fait que la demoiselle vienne à nouveau gâter ma virilité ne m'était pas désagréable, au contraire. J'aimais être le bad boy, celui qui, plus jeune, rentrait chez lui plus souvent en voiture de police qu'avec celle de ses familles d'accueil, j'aimais me retrouver à être accusé de ceci ou de cela. Ca ne me faisait plus grand chose, désormais. La première fois, j'avais eu peur. Là, cela m'amusait, rien de plus. Et avoir une complice de crime -et quel magnifique crime que celui que nous avions commis, celui de la chair- rendait encore plus délectable cette soirée, qui avait bien commencé, en un concert, que ds-je, un duo de cris, engendrés par un intense plaisir. Sutton. Joli prénom soit dit en passant, j'aimais bien. J'étais pas fan du raccourcissement de mon prénom, mais bon, je ne m'en offusquerais pas, je n'étais pas du genre à me vexer pour un rien. Puis, si j'avais envie de ramener la demoiselle dans ma chambre iota en sortant, il ne fallait absolument pas que je la vexe, je les connais les femmes, quand elles sont vexées, elles le sont pas à moitié. J'imagine que les présentations sont censés se faire avant de se voir nus et de jouir avec une personne, mais bon, j'ai pas l'habitude de faire les choses comme il faut. Dis je avec un sourire des plus carnassiers. A vrai dire, je le voyais comme ça. J'étais le lion, et la dénommée Sutton était la plus attirante, la plus appétissante des gazelles. Et dieu sait que mon appétit est insatiable, c'est pour cela que je ne pourrais évidemment pas me contenter de ce que m'avait offert la demoiselle dans cette ruelle. Il y avait deux situations où je me retrouvais sur la banquette arrière, quand je couchais avec une fille ou quand je me faisais arrêter. Je me demandais si c'était les filles ou le gyrophare qui faisait le plus de bruit, mais j'avais envie de penser que c'était la première solution. J'ai le chic pour trouver les demoiselles qui ne retiennent pas leurs soupirs, leurs cris de plaisir ; et à vrai dire, c'est ce que je préfére. Ma main se glissait sous la jupe de la demoiselle, et évidemment, elle me regarda, sourire coquin de mise. On se retrouvait ensuite à l'endroit le plus chiant des commissariats, celui où tu vois passer tout le monde. Les cinglés, les clodos, les mecs arrêtés en état d'ivresse. D'ailleurs, -alors que ma main ne quittait pas le dessous de la jupe de Sutton- un spécimen s'était assis à côté d'elle, et puait la mort. Si il la touchait, j'imagine qu'agression serait une charge en plus dans mon dossier. Je détestais qu'on touche à une femme, je trouvais ça honteux et faire cela, c'était la marque des faibles. Et les faibles de cette éspèce, moi, je leur montre que je ne suis pas comme eux. Après le départ du gros bonhomme, je vis Sutton tentant de se gratter le dos, avant de me demander de le faire pour elle. Je grattais lentement son dos, avant de passer mes mains et caresser sa peau, si douce. Elle se remit normalement, et je remis ma main sur le haut de sa cuisse. Bon, c'est maintenant que le vrai jeu du mensonge commence. Je rapprochais ma bouche de son oreille et vint chuchoter sensuellement à la demoiselle Alors, ma belle, voila comment je vais nous faire sortir et après je t'offre une bouteille de vodka. T'as juste à continuer à te gratter. Je tournais son visage vers moi et vint l'embrasser, langoureusement, ma langue venant rencontrer la sienne -tandis que mes doigts eux se faufilaient à un endroit plus intime-, avant de me lever et d'aller voir la demoiselle qui se trouvait à l'accueil du commissariat. Excusez moi mademoiselle, mais ma petite amie a un problème, c'est comme de l'eczema mais en plus grave, et faudrait vraiment qu'on rentre pour que je lui mette sa crème. dis je d'un ton qui se voulait presque inquiet, avant de continuer. On est désolés pour ce qu'on a fait dans cette ruelle, vous savez, dans un couple, c'est pas facile à maintenir la flamme, vous voyez ce que je veux dire ? On le refera plus, je le jure. Non, on le fera dans mon lit, dans ma douche, sur ma table, sur mon plan de travail ou où que ce soit en fait. J'avais vu directement qu'en fait, la demoiselle avait plutôt une quarantaine, une trace d'alliance encore récente, une divorcée, bonjour liberté.



1000e message pour mon amour de LOANNKA :FK: BATANNKA FUCK THE WORLD hanwi :mimi: :love3:

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MessageSujet: Re: weird night ;; part two▬ THAYPHIS [HOT] weird night ;; part two▬ THAYPHIS [HOT] EmptySam 5 Nov - 2:30

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Je n'aurais jamais pensé en ce début de soirée que j'allais me retrouver assise dans une voiture de police, avec un inconnu qui plus est qui pour le reste de la soirée allait être mon petit ami. Et dire qu'il n'y à même pas une heure j'avais été effrayer par ce jeune homme, décidément je n'avais plus aucune peur envers lui. Tout au long de ma vie j'avais souvent fait des conneries, à force de vouloir faire rager celle qui m'avait donner la vie je m'étais mise dans le pétrin plus d'une fois. Mais ce soir était ma toute première visite dans un poste de police et à vrai dire je n'étais pas du tout dans mon élément en ce moment. J'étais plutôt du type brunch en petite robe cocktail et champagne à la main, simplement m'imaginer en tenu orange j'en avait envie de vomir, l'orange était loin d'être une couleur qui m'aille bien, en fait cette couleur ne fessait que faire ressortir les mauvais coté de mon teint. Je me rappel encore alors que je n'avais à peine trois ans, je devais participer à un concours de beauté très important selon ma mère, pour la toute première fois ma mère m'avait dit que j'allais pouvoir choisir la robe de mon choix. J'étais très exciter lorsque nous nous rendîmes à la petite boutique ou ma mère achetait toutes mes robes. Immédiatement mes yeux c'était dirigé vers la robe la plus brillante de toutes, une jolie petite robe courte orange, mais je ne pu même pas l'essayer, ma mère déclarant que cette couleur allait me faire perdre. Après tout porter l'uniforme de prison serait en quelque sorte une double revanche envers cette femme que j'appelais maman. J'allais devoir lui envoyer une photo que pour le plaisir de la voir s'énervée. Nous sommes deux alors. Je me suis toujours dit que s'il était possible de faire différent des autres alors pourquoi pas, c'est plus amusant comme ça, non? Les mains de mon petit ami d'un soir étaient plutôt très baladeuse, il ne se gênait pas pour les glisser sous ma jupes dès que les policiers regardaient ailleurs et ce n'était pas moi qui allait s'en plaindre. J'aimais bien ce petit jeu, c'était beaucoup plus divertissant que la soirée merdique qui m'aurait attendu si j'avais décider de rester seule chez moi comme je devais faire à la base. J'avais l'impression d'être retomber en adolescence, vous savez lorsque vous avez votre premier vrai petit ami et que vos parents ne veulent pas qu'il se passe trop de chose dans leurs dos, mais cette fois il y avait plus de deux personnes à nous surveiller et les conséquences pouvaient être beaucoup plus pire ce qui rendait le jeu encore plus amusant pour deux jeunes adultes en manque de sensations fortes. Qui a dit qu'il fallait sauter en parachute ou en bas d'un pont en bungie pour vivre se genre de sensations palpitantes. La soirée semblait être chargée pour les employés du commissariat, il y avait un va et vient énorme, toute sorte de personne entraient les main menottées, d'autres quittaient les lieux en claquant toutes les portes sur leur passage. Puis un vieillard vient à coté de moi, heureusement il ne restait là que quelque minutes. Je demandai à Balthy de me gratter le dos, comme je n'y arrivais pas seule, foutu menottes. Ce qui donna une idée à mon faux petit ami. Il m'offrit une bouteille de vodka, comment je pouvais refuser cette offre? C'était impossible. Je ne sais pas se que tu crois faire, mais pour une bouteille de vodka tu peux arrivé à me faire faire presque n'importe quoi. J'avais prit le temps d'ajouter un ''presque'', c'était quand même un homme et on sait tous qu'ils peuvent parfois avoir des idées qui laissent à désirer, je la voulais cette bouteilles d'alcool, mais au pire je pouvais aussi m'en acheter une seule, c'était pas l'argent qui me manquait. Il tourna donc ma tête vers lui et vient m'embrasser furtivement, je sentais sa main se glisser de plus en plus sous ma jupe, je ne pu m'empêcher de lui mordiller légèrement la langue. Puis il se dirigea vers la réceptionniste, il essaya de la convaincre du mieux qu'il pouvait que j'avais un réel problème et qu'il fallait donc nous laisser partir. Son jeu était pas mal du tout, je du même résister à ne pas éclater de rire tellement il y mettait du sien. Alors que personne n'avait les yeux porter sur moi, j'en profitai pour me frotter le dos le plus fort que je pouvais sur le dossier de la chaise, s'ils demandaient des preuves, les paroles de Balhty seraient plus crédible j'avais le dos entièrement rouge. Malgré ses promesses, la dame ne semblât pas le croire et le renvoya s’asseoir à mes cotés, elle envoya également un enquêteur dans notre direction. L'homme à moustache nous emmena dans une petite pièce isoler au fond du commissariat, sur le chemin je penchai et chuchota à l'oreille de Balthazar: Putain, il y a des caméras partout ici, C'est pas comme si il manquait de policier pour surveiller merde. L'agent qui marchait devant nous, se retourna, par chance il ne semblait pas avoir entendu ce que je venais de dire, je me contentai de lui lancer mon sourire hautain. De nouveau nous furent laisser à nous même, dans une pièce isoler de tous cette fois. Ils voulaient sans doute être spectateurs cette fois.

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MessageSujet: Re: weird night ;; part two▬ THAYPHIS [HOT] weird night ;; part two▬ THAYPHIS [HOT] EmptyDim 6 Nov - 1:28

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Dans ma vie, j'avais toujours réussi à me mettre dans des merdes pas possible. Au départ, ca me mettait mal parce que je décevais des gens qui croyaient en moi. Très vite, j'ai compris que les gens qui croyaient en moi, ca n'existait tout simplement pas. Pas ma mère biologique, pas mes familles d'accueil, pas mes profs et encore moins mes psychologues. Donc, comme je décevais personne, je faisais en sorte de me mettre dans les pires merdes du monde, pour qu'il y ait des gens qui s'occupent de moi, tout simplement. J'aimais faire des conneries, ca avait toujours été ma passion, ça ainsi que faire du mal aux gens qui m'entourent à l'exception d'une personne unique ainsi que le sport, le football américain of course. Je connaissais ainsi un nombre incalculable de commissariats, à la fin, au Texas, j'appelais même les policiers par leurs prénoms tellement on se voyait souvent. C'est une relation très proche qui se forme entre un jeune délinquant et le commissaire qui s'occupe de lui. Nan, je blague, c'est un sentiment qui mêle la haine et le défi que cette relation. Mais soit. Ce soir, je n'étais pas tout seul dans ce commissariat, puisque la charmante Sutton -si il s'avérait qu'elle s'appelait ainsi et qu'elle ne m'avait pas dupé avec un faux nom- m'accompagnait dans cet acte ; assise sur d'inconfortables chaises et un petit scénario qui nous ferait sortir sans encombres d'ici à jouer. Elle avait dit qu'avec une bouteille de vodka, elle pourrait faire n'importe quoi. Personnellement, je voyais cela comme une nouvelle invitation à la débauche et au pêché de chair. Là où elle disait qu'elle ferait n'importe quoi, je comprenais qu'elle me ferait n'importe quoi, et dans ma tête, c'était comme si elle demandait si j'avais encore envie de faire l'amour avec elle. Et évidemment, la réponse serait oui, of course. La femme du guichet avait semblé légérement touché par mon discours, elle était la maillon faible, il ne serait pas très difficile de la faire craquer. Mais, malchance quand tu nous tiens, elle envoya un policier vers nous, qui nous emmena dans une pièce plus isolé, avant de nous enlever les menottes puis quitter la salle. N'étant pas sur que quelqu'un écoute, je m'approchais de l'oreille de la demoiselle, avant de chuchoter, encore. Et merde, j'étais à deux doigts de la faire craquer, la divorcée. Un sourire carnassier sur mon visage apparut, j'aimais user des faiblesses des gens dans mon intérêt, j'avais toujours agi ainsi, et à vrai dire, j'avais l'impression que ca m'avait plutôt pas mal réussi. Seul Sarabi avait eu l'occasion de ne pas voir ses faiblesses exploiter par Balthazar Mercer-Fitz. J'avouerais que depuis quelques minutes où mes mains se baladaient sous la jupe de la demoiselle, où je m'obligeais à me mordre la lèvre inférieur, qui était au bord du saignement, lorsque je jetais un coup d'oeil dans le décolleté de ma terriblement sexy acolyte du soir ; me trouver dans une pièce, isolée, seul avec la merveilleuse créature à mes côtés, mes pensées étaient loin d'être catholiques. A vrai dire, je n'avais jamais été très croyant. J'avais souvent du assister aux messes le dimanche matin, dans mes différentes familles d'accueil qui souvent étaient des familles croyantes et pratiquantes, chose assez fréquente dans mon état natal, la mère de Sheldon Cooper n'est pas un stéréotype, elle représente pas mal les familles texanes, il faut bien le dire. Mais bon, n'étant ni baptisé -personne aurait voulu être mon parrain ou ma marraine j'imagine- ni rien, j'étais pas le chrétien parfait, puis, n'ayant que rarement eu des pensées très catholiques avec les femmes, j'imagine que même dieu -si il est avéré qu'il existe- ne voudrait pas de moi. Même si je vais dans une église et que je dis, "Hey God, It's me, Thayer. What up ?". Too bad, mais bon, tant pis pour la religion j'imagine. Si ils désirent pas avoir quelqu'un d'aussi awesome que ma personne, j'imagine qu'ils n'auront qu'à s'en mordre les doigts, ces personnes. Puis bon, ne croyant pas en dieu et ayant besoin de croire en quelque chose, j'avais choisi. Ceux qui me connaissent ne trouveront pas cela étonnant, mais j'avais décidé que si je devais croire en quelque chose, je croirais en moi. Evidemment. Même si je croyais aussi, en une autre chose. Une chose qui fait environ un mètre soixante cinq, une petite cinquantaine de kilos, des cheveux bruns et longs et un visage qui m'avait fait craqué plus que n'importe quoi auparavant. Sarabi. Ma seule petite amie depuis le début de ma vie. Et elle était secrète, je savais pas si cela comptait mais pour moi, cela comptait plus que tout autre chose. Si j'avais le choix entre le football américain et elle, ce serait elle. Si je devais choisir entre la drogue et elle, évidemment, ce serait elle. Si je devais choisir entre ma vie et elle, ce serait encore et toujours elle. Penser à elle, c'était pas la meilleure des choses, surtout quand j'étais avec une autre fille. Parce que le problème était toujours le même. Sutton n'était pas Sarabi. Sutton était magnifique, et super sexy. Mais même si j'étais très superficiel, Sarabi faisait pas la différence, même si elle était d'une incroyable beauté, par bien plus que son physique. Les jambes nues de la demoiselle assise à mes côtés m'appelaient, m'attiraient. J'étais un homme faible et je ne pouvais résister à une telle femme, c'était tout bonnement impossible. Posant ma main sur sa cuisse, et remontant celle ci lentement, je posais mes lèvres dans son cou, tendrement avant de venir lui glisser quelques mots. J'imagine que maintenant qu'on est seuls c'est le moment où ta langue vient retrouver la mienne et qu'on se touche sous la table ? Si j'avais voulu être plus cru, je pense que j'aurais eu du mal à l'être. Mais bon, je manquais de tact, surtout avec les femmes à qui je voulais faire l'amour. Mais, ca ne semblait pas gêner la demoiselle qui vint poser sa main sur mon pantalon tandis que je passais mes doigts non loin de la partie la plus intime de son corps, avant de l'embrasser langoureusement. Manquerait plus que l'inspecteur rentre dans la salle, ca serait le clou du spectacle, la cerise sur la gâteau.
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MessageSujet: Re: weird night ;; part two▬ THAYPHIS [HOT] weird night ;; part two▬ THAYPHIS [HOT] EmptyLun 7 Nov - 20:37

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Ce n'était pas la première fois que je devais face à des policiers, je me rappel encore la première fois ou je m'étais retrouver face à face avec un agent de la loi. J'avais alors à peine quatorze ans, je n'avais rien fait de mal, enfin à mes yeux à moi, mais pour ma mère la situation nécessitait l'implication des policiers italiens, je n'avais rien comprit à se qu'ils m'avaient dit, mais j'acceptai de partir avec eux lorsque je vis qu'ils allaient mettre mon petit ami de l'époque derrière les barreau. Je n'avais alors pas du tout apprécier ma ballade en auto patrouille, j'avais eu l'impression que l'on me rapportait aux enfer, les enfer de vivre avec ma mère qui adorait tout contrôler. Quelques années plus tard j'avais du de nouveau faire face à la loi, on m'avait prit avec de la drogue et j'avais eu droit à l'obligation aux travaux communautaires, la joie quoi. Je n'avais alors sans doute pas comprit la leçon, puisque tous les fois ou je devais me rendre dans le centre de désintoxication ou je fessais mes travaux obligatoires, je m'y rendait avec de la drogue sur moi que je donnais à une fille que j'avais rencontrer là. Elle devait arrêter sa consommation de drogue, je lui nuisais, j'en avais rien à foutre. À la longue nous avions développer une relation amicale et je voyais pas pourquoi elle était là en fait, elle me semblait être une personne tout à fait honnête. Il était tout de même étonnant qu'avec tout ses altercations avec la justice je n'ai jamais mis les pieds dans un commissariat au par avant, en fait ce n'était pas si étonnant que ça quand on savait mon nom de famille. J'avais la chance de faire partie de l'une des familles les plus riche du pays et ma mère s'était même remarié à un homme encore plus riche que notre famille. On a beau dire que l'argent n'achètent pas le bonheur, les gens qui on inventer cette phrase ne devaient pas avoir d'argent parce que personnellement avec mon compte en banque je m'achète régulièrement du bonheur. J'avais souvent fait appel à mon beau père, il n'aimait pas que je le nomme de la sorte, tous les fois ou j'avais le malheur de l'appeler beau père devant lui j'avais droit au même sermon, il m'avait adopter du fait j'étais dorénavant sa fille, mais pour moi il ne serait jamais réellement mon père. Bien que je l'aime, il est ce que j'ai de plus proche d'un père n'ayant jamais connu le mien, mais ce n'est pas lui qui m'ai donner, se ne sera donc jamais pareil. Bref, dès que j'étais dans le pétrin je fessais appel à lui, avec tout ses contacts il arrivait toujours à me sortir de la merde dans la quel je m'étais mise sans trop de conséquences. J'attendais donc qu'on m'autorise mon appel, même si je n'avais aucune idée si nous avions réellement droit à un appel, j'avais vu cela que dans les films et Dieu sait que le cinéma est parfois loin de la réalité. Mon complice et moi même étions à présent dans une petite pièce isolé des autres, je m'étais immédiatement mise à me créer des scénarios pire les uns que les autres. Je croyais qu'on allait nous faire une fouille anale ou bien nous interroger avec la lumière directement dans leur yeux, mais non le policier nous enleva les menottes et puis il quitta la pièce nous laissant seul à nous même. Il était sans doute parti se cacher derrière la vitre miroir afin de voir le spectacle que l'on pourrait lui offrir. De nouveau la main de mon acolyte vient se poser sur ma cuisse avant de me faire savoir assez directement se dont il avait envie, et à vrai dire j'avais les même envies donc je ne fit pas gaffe à sa façon plutôt cru de dire les choses et de toute façon ces paroles auraient facilement pu être les miennes. Je ne lui répondis rien, me contenta de venir déposer ma main sur son entre jambe et de venir l'embrasser comme il me l'avait demander. Nos langues s’entremêlèrent langoureusement depuis quelques minutes quand la porte s'ouvrit d'un seul coup. Décidément ces fichu policiers ils savaient comment empêcher deux jeunes personnes de passer à l'acte. Heureusement cette fois ce fut de bonnes nouvelles. Désoler mademoiselle Mcfendders, nous avons parler avec votre père et vous pouvez quittez sans problème. Il déposa par la suite tout nos objets personnelles sur la table devant nous. Je m'empressai de tout prendre et d'enfouir le tout au fond de mon sac avant de quitter cette minuscule pièce en riant. Encore une fois j'avais eu peur pour absolument rien et une fois de plus papa Mcfendders était venu à ma rescousse, j'allais sans doute avoir des comptes à rendre lorsque je le verrais, tant qu'il ne m'enlevait pas ma carte de crédit une fois de plus tout irait bien. Une fois dans la rue devant le commissariat ou nous venions de perde une bonne heure de nos vies je me retournai vers mon complice du soir, je posai mes mains sur son postérieur avant de venir l'embrasser une fois de plus. Alors cette bouteille de vodka elle arrive bientôt?
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MessageSujet: Re: weird night ;; part two▬ THAYPHIS [HOT] weird night ;; part two▬ THAYPHIS [HOT] EmptyLun 7 Nov - 23:14

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J'ai toujours pensé que je pourrais jamais vivre en cage. Lorsqu'on m'a dit que j'étais schyzophrène, j'ai pensé à ceux que l'on voit dans les films et qui sont tellement arrachés de la tête qu'on les enferme dans des pièces où mêmes les murs sont en matelas pour pas qu'ils s’abîment la tronche. Mais bon, au final, j'étais pas encore assez cinglé pour qu'on me foute avec des gens encore plus cinglés que moi et mes parents adoptifs, les Mercer-Fitz, ne désiraient pas non plus qu'on me fasse cela, à l'instar de la prise de médicaments qu'ils jugeaient inutiles. Ils avaient toujours pensé dans mon intérêt, donc je leur faisais confiance. J'imaginais qu'il se disait que ca se soignerait tout seul et que d'aller voir le psychologue c'était déja assez et qu'en faire plus, ce serait en faire trop. La demoiselle semblait ne pas être inconnue aux balades dans des voitures de police qui font les malins à allumer le gyrophare et en roulant à fond. Mais bon, elle devait surement être beaucoup plus riche que moi, sa famille devait être d'autant plus riche et donc une fille comme celle ci ne devait pas souvent finir dans des commissariats de police. Et encore moins avec une personne comme moi ; un jeune homme complètement cinglé avec qui elle avait couché dans une ruelle sans même avoir connu son prénom et qui partageait sa presque garde à vue ce soir. J'avais jamais couché avec une fille dans une ruelle sombre alors que des passants pouvaient à tout moment ous voir et je devais avouer que c'était une des expériences sexuelles les plus excitantes de ma vie, je n'avais pas pris la peine d'étouffer mes soupirs et la demoiselle ne s'était pas gênée elle pour soupirer d'aise à de nombreuses reprises, sous mes mouvements de va-et-vient répétés; ce qui avait surement fait que l'on avait été ensuite, une fois notre affaire terminée, arrêtés par un policier. Maintenant, nous nous retrouvions, seuls à nouveau, ensemble dans cette salle qui devait être celle des habituels garde à vue mais qui ici servait en quelque sorte de salle d'attente. J'aimais pas attendre, ca avait toujours été comme ça, je n'aimais pas attendre que l'on me dise quelque chose ou de faire quelque chose. C'est pour cela par exemple que je détestais que l'on me fasse une quelconque surprise, parce que j'étais super chiant, à demander ce que c'était, sans arrêt. Et le pire, c'est quand on me demandait de fermer les yeux, j'arrivais pas à tenir plus de cinq secondes avant de regarder. En plus, la plupart du temps, les surprises c'est pas aussi coule que ce que l'on éspère, quasiment jamais en tout cas. Sauf lorsque c'était ma Sarabi. Je proposais donc, pour éviter une attente longue et ennuyeuse, à ma partenaire du soir ; de venir m'embrasser et si elle le souhaite, venir toucher des parties de mon corps qui n'étaient pas insensibles à son charme. Et évidemment, la demoiselle ne se gêna pas et ne se fit pas prier pour poser sa main sur mon entrejambe, pendant que ma main remontait vers sa petite culotte et que sa langue retrouvait la mienne dans une danse endiablée. Et évidemment un de ces flics vint nous interrompre en plein préliminaire, si je puis dire ; mais cette fois avec une meilleure nouvelle. La demoiselle pouvait sortir et moi par la même occasion. Je récupérais mes affaires rapidement avant de sortir, suivi par mademoiselle Mcfendders vu que c'était son nom. Elle vint poser ses mains sur mes fesses -je suis définitivement pas le seul à faire cela sans arrêt- avant de réclamer sa bouteille de vodka, promise il y a une grosse demi heure. « Bon ma belle, on va dire que même si j'ai l'argent, je suis sur que je peux voler une bouteille de vodka facilement sans qu'on se fasse choper, et si ils arrivent à m'arrêter, je dis que je t'es obligé, donc pas de soucis pour toi. Mais si j'y arrive, tu viens passer la nuit dans mon lit. Deal ? Un sourire carnassier orna mon visage, évidemment, j'arriverais à ne pas me faire choper et j'aurais le droit de goûter à une nouvelle reprise -et j'éspérais un peu plus qu'une fois- à l'infinie douceur de son corps. Je pris donc sa main avant de me diriger vers le supermarché qui me semblait être le plus proche. Allez, Thayer, fais pas le con, tu pourras te faire cette bombe. Ca valait le coup, j'imagine. Arrivée devant le supermarché, j'avais une seule consigne pour la demoiselle. Bon, dans ces magasins, il y a des caméras de surveillance, donc si j'attrape ton visage, tu te laisses faire et je t'embrasse pour que nos visages soient à découvert, c'est aussi simple que cela.
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MessageSujet: Re: weird night ;; part two▬ THAYPHIS [HOT] weird night ;; part two▬ THAYPHIS [HOT] EmptyMar 15 Nov - 3:03

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Ma vie n'avait pas toujours été de tout repos depuis les dernières années, il était parfois difficile de croire que j'avais déjà été un enfant modèle. En même temps à l'époque je n'avais pas le choix d'être parfaite, c'est ce qu'on attendait de moi et rien de moins, mais avec le temps j'avais apprit à déjouer tout ça. Il m'était bien plus facile de donner l'impression que j'étais une personne parfaite alors que ce n'était pas le cas, loin de là même. C'est alors que j'avais quatorze ans que ma personnalité avait complètement changer, j'avais envoyer balader la routine que je suivais depuis que j'avais trois ans. Debout à sept heure, petit-déjeuner en compagnie de ma mère pour par la suite passer la journée sur les plateaux de tournage, ou il y avait tout pleins de règlement à suivre, encore plus qu'à la maison. Je m'étais donc rapidement fait à l'idée de suivre se que l'autorité me disait, il m'était normale de me fier aux adultes, ils étaient plus vieux du coup je me disais qu'ils savaient plus que moi ce que je devais faire. J'avais donc laisser plein contrôle de mes actions et paroles à ma mère, enfin quand je dis laisser c'est plutôt qu'elle avait tout prit en charge par elle même. Une fois, elle avait même écrit d'avance tout ce que je devais dire lors d'un entrevue à la télévision et évidement je n'étais qu'une enfant et j'avais dit tout l'inverse de ce qu'elle aurait voulu, comme punition je n'avais pas eu droit à mon habituelle chocolat chaud avant d'aller au lit. Balthy et moi avions donc été placer dans une petite pièce à l'écart de tous, j'avais eu peur qu'on nous envois derrière les barreaux par la suite, mais heureusement un policier vient nous annoncer qu'il avait parler avec mon père, qui était en fait que mon père adoptif comme mon père biologique avait été tuer à la guerre avant ma naissance, bref, grâce à M. Mcfendders nous pouvions enfin sortir de cette prison. Dès que nous fûmes à l'extérieur du bâtiment je demandai à celui qui avait fait croire être mon petit ami quand j'aurais droit à cette bouteille de vodka qu'il m'avait promis quelques minutes plus tôt. Bon ma belle, on va dire que même si j'ai l'argent, je suis sur que je peux voler une bouteille de vodka facilement sans qu'on se fasse choper, et si ils arrivent à m'arrêter, je dis que je t'es obligé, donc pas de soucis pour toi. Mais si j'y arrive, tu viens passer la nuit dans mon lit. Deal ? Décidément celui qui disait se nommé Balthazar aimait bien les plaisirs du danger , ce n'était pas moi qui allait en s'en plaindre, au contraire j'aimais bien son petit coté bad boy, en même temps qu'elle fille n'aime pas traîner avec un vilain garçon. On dirait bien que t'aime jouer avec le feu toi!! Lui dis-je avec un léger sourire au coin des lèvres avant d'ajouter: Ce deal me convient parfaitement. Nous marchons donc en direction du super marcher le plus près du commissariat, idée de génie vous me direz. Une fois arriver sur place il me mit en garde: Bon, dans ces magasins, il y a des caméras de surveillance, donc si j'attrape ton visage, tu te laisses faire et je t'embrasse pour que nos visages soient à découvert, c'est aussi simple que cela. L'embrasser quelques fois de plus était loin de me déranger, au contraire j'aimais bien sentir sa langue venir danser avec la mienne. On devrait pas tester un peu avant d'entrer à l'intérieur? Je n'attendis même pas qu'il répondre et je m'approchai de lui avant de l'embrasser langoureusement une fois de plus. Par la suite je le pris par la main avant d'entré dans le super marché ou nous nous apprêtions à commette notre second crimes de la soirée. La vieille dame au comptoir nous salua avant de servir un autre client, nous devions faire vite avant qu'elle n'ai le temps de poser les yeux sur nous.
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MessageSujet: Re: weird night ;; part two▬ THAYPHIS [HOT] weird night ;; part two▬ THAYPHIS [HOT] EmptyMar 15 Nov - 18:47

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J'avais toujours pensé que faire des conneries, me faire arrêter, dire un tas de conneries et un tas de choses que je ferais mieux de garder pour moi ; vivre ma vie comme je l'entendais et pas comme les gens aimeraient que je la vive, j'avais toujours pensé que c'était ça qui était le mieux. Vivre pour faire ce qu'on attend de toi, pour être un enfant, puis un petit ami, un mari puis un père exemplaire ; c'était pas ça la vie, la vraie vie en tout cas. La vie c'était de se réveiller la gueule dans le caniveau après une nuit à se bourrer la gueule avec une ou deux demoiselles ayant peu de vertu. Pour moi, la vie c'était de foutre le bordel en boîte et de finir la nuit au poste de police après cela. J'aimais cette vie, à faire des choses que personne ne penserait que quelqu'un était assez bête pour les faire. J'aimais être quelqu'un. Non, je n'était pas quelqu'un dans ces moments là. J'étais tout simplement moi, Thayer Klaus Elias Balthazar Mercer-Fitz. Et c'était déja bien assez j'imagine. Cette soirée, à partir du moment où j'avais décidé que je ne pouvais pas laisser partir une si jolie et sexy demoiselle après lui avoir seulement vendu de la drogue et que nous irions plus loin elle et moi, que j'avais compris que cette soirée serait loin d'être ordinaire. Sans aller jusqu'à dire qu'elle serait inoubliable, je pouvais quand même dire qu'après cette soirée, j'aurais quelques anecdotes à garder. Rien que le fait d'être arrêté par un policier avec le caleçon et le jean au niveau des genoux et après avoir laissé échapper mon excitation aux côtés -dans plus précisèment- de la dénommée Sutton ; ca resterait dans ma tête durant quelques temps j'imagine. Grace aux relations de papa, la demoiselle avait réussi à nous faire sortir de ce trou à rat qu'était le commissariat du Civic Center de San Fransisco. Je lui proposais de nous amuser encore quelques peu, car acheter une bouteille de vodka est sans aucun doute beaucoup moins marrant que de la voler, c'est clair. En échange de cela, la demoiselle devait accepter de passer la nuit dans mon lit. Je lui demanderais pas de s'habiller bien pour venir chez moi ; au pire, elle était pas obligé d'avoir des vêtements. Cela me conviendrait parfaitement. Elle accepta, sourires aux lèvres avant de me prendre la main. Une fois arrivé devant le magasin, je lui expliquais de simples consignes -voler, c'était mon truc- et elle comprit rapidement car sa langue vint rejoindre la mienne dans ma bouche, tandis que ma main venait rejoindre ses fesses, une énième fois. J'entrais dans le magasin, la demoiselle aux bras. Capuche sur la tête, j'embrassais la demoiselle dés qu'une caméra failli nous capturer ensemble. Je pris la bouteille, que je tendais à la demoiselle et un paquet de chips. Arrivant vers la sortie, je regardais la femme de la caisse avec un grand sourire. Je vous vole cette bouteille... ah et des préservatifs, ca peut être utile ce soir. dis je en prenant une poignée de protections -non aux mini-thayer- avant d'envoyer le paquet de chips vers elle, d'attraper Sutton au passage avant de courir de façon à ce que l'on soit le plus rapidement possible loin de l'endroit. Et hop, une bouteille et hum... six préservatifs gratuits, c'est coule ça. M'arrêtant un instant, je posais la demoiselle -ben oui avec des talons, je pouvais pas la laisser courir- et la regardais, un grand sourire aux lèvres. Je l'ai volé, je peux la commencer cette bouteille au moins ? un sourire carnassier aux lèvres. Elle me la passa, je l'ouvrais rapidement avant de boire une grande gorgée, cul sec. Je souris et lui offris la bouteille. M'approchant, collant mon corps au sien, ma bouche venant non loin de son oreille et mes mains se baladant toujours sur son corps, je venais lui glisser quelques mots. Voila ta bouteille, donc tu vas pouvoir venir poser cette jolie paire de fesses dans mon lit, c'était le deal non ?
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MessageSujet: Re: weird night ;; part two▬ THAYPHIS [HOT] weird night ;; part two▬ THAYPHIS [HOT] EmptyVen 18 Nov - 7:59

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J'avais souvent eu l'impression d'être prise dans une chanson de Jordy, ''Viens ici, touche pas ça. Reste assis, va pas là. Fais comme çi, fais comme ça. Patati et patata.'' Tout mon enfance on m'avait comment me comporter, encore aujourd'hui on me répétait constamment ce que je devais et ne devais pas faire. Plus on m’ordonnait mes faits et gestes, plus je m'éloignais du fameux droit chemin. Faire tous les conneries que je pouvais faire me donnait l'impression d'avoir enfin mon propre cerveau. Ce n'était peut-être pas bon pour ma réputation, mais honnêtement j'en avais rien à foutre, le plus important pour moi était de m'affirmer finalement. Le moyen choisit n'étant sans doute pas le meilleur, mais c'était la seule façon que j'avais trouver afin de faire comprendre à ma mère que je n'en pouvais plus de supposé pouvoir qu'elle avait sur moi. J'allais bientôt célébré mon vingt et unième anniversaire, il était temps que ma mère cesse d'exercer un pouvoir de la sorte sur ma vie. Depuis que j'étais à Berkeley le tout avait été amplifier, sans doute le fait d'être loin de la maison familiale n'avait pas aider. Quoi que ce n'était pas la première fois que je vivais par moi même sans ma famille, mais cette fois ci malgré que je n'avais pas tout à fait l'âge légal pour boire, on me servait tout ce que je voulais dans tous les bars de la ville, mon statut de vedette avait ces avantages. Ce mode de vie m'avait valu plusieurs première page de magasines, la toute dernière en liste m'avait comparé à Lindsay Lohan, j'avais trouver la comparaison plutôt drôle. Visiblement cela ne m'avait absolument pas atteint, je m'étais contenté de jeter le magasine au bout de mes bras et j'étais en boite toute la nuit. Après tout que la pub soit mauvaise ou pas ça reste de la publicité pour moi et puis si tu n'es pas visible t'es personne dans ce métier. On avait pas parler de moi depuis plusieurs semaines déjà, après cette folle soirée en compagnie de Balthazar j'allais sans doute être mentionner dans quelques magasines, à la limite sur quelques blogs on allait parler de moi. Dans l'état ou se trouvait ma carrière pour le moment un peu de publicité ne pouvait pas faire de mal. Main dans la main, nous entrons dans le super marché, Balthazar m'avait au préalable averti que l'endroit était bourré de caméras, donc afin de couvrir nos visage il allait m'embrasser. Je n'avais aucun problème avec cela, probablement même que je l'aurais laisser faire même si l'avertissement ne m'avait pas été fait. Il embrassait bien alors pourquoi je refuserais de laisser nos langues danser ensemble. Une fois à l'intérieur, une vieille dame nous salua. Nous l'ignorons et allons directement au fond du magasin là ou il y l'étalage d'alcool. Le jeune blonde prit une bouteille de vodka qu'il me tendis, je n'avais encore jamais rien voler de ma vie. Enfin mise à part quelques billets de cent dollar dans le porte-monnaie de mère. Je pris tout de même la bouteille, après le début de soirée que nous avions vécu il ne pouvait quand même pas nous arrivé pire, dans le genre retourner au poste de police pour la seconde fois dans la même soirée. Balthy prit par la suite un sac de chips, sel et vinaigre, mes préféré. Puis avant de sortir il mentionna à la vielle caissière que nous partions avec la bouteille de vodka et quelques préservatifs qui allaient sans doute s'avérer très utiles plus tard, il lui lança ensuite le sac de chips, moi qui avait vraiment envie de manger ces croustilles, une autre fois peut-être. Il venait d'avouer ce que nous venions de commette comme crime, la fuite s'imposait donc. Armé de mes talons haute je ne pouvais courir, mon petit ami d'un soir, me prit donc dans ses bras et couru le plus rapidement possible, à la vitesse à la quel il allait il devait faire partie d'une équipe sportive. Une fois en territoire sécuritaire, il me demanda la première gorgée, proclamant avoir voler la bouteille lui même, il avait beau avoir eu l'idée j'avais été celle qui l'avait littéralement voler. Je le regardai avec mon petit air bitchy avant de lui dire: Alors pourquoi n'as-tu pas la bouteille dans les mains si c'est toi qui la voler, mais comme je suis gentille, tien. Je lui tendis la vodka, il en prit une énorme gorgée puis me la redonna, je fis de même. Son corps était à présent coller contre le mien et de sa bouche au creux de mon oreille, me rappela le reste du deal qu'on avait fait quelques minutes plus tôt. C'était bien le deal, mais maintenant que j'ai ce que je voulais je crois que je vais aller rejoindre mon propre lit, seule. Lui dis-je tout en posant ma main sur ses fesses, évidement j'étais sarcastique et espérons qu'il l'aura comprit.
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