Sujet: so why don't we go somewhere only we know ? Lun 13 Juin - 15:16
Dévléo & Seth :love2:
« Un peu de jalousie éveille un amour heureux qui s'endort » (c) madame delhouilières
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Sujet: Re: so why don't we go somewhere only we know ? Lun 13 Juin - 15:17
Ce n'était qu'une bête journée qui venait de débuter et Dévléo l'avait particulièrement appréciée. Encore une fois, il s'était levé à la bourre et dut courir dans tous les sens afin de se préparer rapidement. Une douche de moins de dix minutes, des habits rapidement sélectionnés dans sa garde-robe, la besace embarquée sur l'épaule, ... Dévléo savait parfaitement qu'il était en retard. Qui plus est, il commençait sa journée avec le professeur qu'il détestait le plus : le professeur de littérature médiévale. C'était un vieil homme aigri par le temps, dont les rides profondes effrayaient plus d'une personne. Le jeune homme ferma alors sa porte rapidement, dévala dans le couloir par la suite. Sorti de long corridor, il courut à tout vitesse afin d'aller le plus rapidement vers l'extérieur. Le blondinet allait à vive allure, remettant tantôt des mèches fugitives, tantôt son sac qui ne faisait que glisser. Puis, il remarqua qu'il était devant la porte de son amphithéâtre. Il était à présent temps de faire son entrée qui sera alors des plus discrètes dans l'histoire des arrivées tardives. L'éphèbe ouvrit la porte silencieusement, passa son corps d'une manière svelte et sinueuse et referma ensuite le morceau de bois délicatement. Un petit bruit léger se manifesta mais personne ne fut distrait par le son. Par la suite, le jeune homme se dirigea vers les places mais forcément, celles-ci étaient quasiment toutes prises. Le blondinet dut alors monter rapidement afin de trouver une place assise au niveau de vingt-quatrième rangée. Dévléo s'assit et sortit une feuille de bloc avec un fin crayon étant donné qu'il était désireux de prendre note à l'un des cours qui était réputé pour être un des plus ardus de son année académique. L'homme fit une moue d'ennui lors de tout le cours et comme à chaque reprise, le professeur interrogea les étudiants et l'éphèbe fut l'une des victimes. Par chance, le blondinet répondit parfaitement aux quelques questions qui lui furent présentées. Après tout, les mythes sur l'histoire du légendaire roi Arthur ou sur l'histoire de Tristan & Yseut lui parurent des plus simples. Cependant, ce sale déchet n'était jamais d'accord au niveau d point de vue. L'étudiant littéraire manifesta son mécontentement sur son visage : il avait parfaitement bien répondu mais ce vieil hiboux n'était jamais du même avis que l'autre homme. Après deux heures de torture, le cours fut terminé : Dévléo avait fini sa plus dure des journées ... En sortant, il vit une étudiante écervelée. Cette fille répondait à tous les stéréotypes présents à l'esprit de l'espagnole : elle était blonde, possédait de beaux attributs mais était aussi intelligente qu'un ver à soie. La jeune demoiselle invita Dévléo à venir lors d'une soirée dans une des discothèques de la ville. L'étudiant acquiesça qu'il passerait mais il n'en était pas certain. Ainsi, l'homme continua sa journée, travaillant un peu ses cours obstinément, couchant avec une demoiselle dans un placard à balais ou une assistante de linguistique sur un bureau libre. Ce fut lorsqu'il se trouva seul dans sa chambre qu'il sut ce qu'il allait faire. En effet, l'étudiant s'amusait à zapper de chaîne en chaîne mais aucun programme ne l'intéressait. De plus, son colocataire n'était pas présent, Dévléo ne savait ce que pouvait bien faire Raiser à l'instant présent. C'est ainsi qu'il rentra dans sa chambre, ôta son haut et mit une chemise classe. Il rangea ses cheveux admirablement et partit ensuite en direction de la discothèque où le bruit pouvait se faire entendre à des kilomètres. L'homme se faufila parmi les personnes refusées et le sourire éclatant, il parvint à convaincre les videurs du bien-fondée de sa personne. Et à présent, ça allait chauffer : Dévléo allait pouvoir matter, toucher et jouir à plusieurs reprises dans tout le club. Il avait hâte de rencontrer diverses créatures envoyées par le diable car, forcément, Dévléo succomberait rapidement à la tentation. A vrai dire, il ne pouvait qu'y goûter ... L'homme descendit alors quelques marches et se retrouva sur la piste, il se dirigea vers le bar où de sublimes demoiselles étaient présentes en groupe. L'homme commença alors à charrier les quelques filles, les complimentant dans le but de les « sauter » par la suite. L'étudiant se décida alors à s'introduire entre les gens et rapidement, il vit alors une horde de jeunes filles : Dévléo s'immisça entre elles toutes, dansant de manière très serrée et intercalant ses mains sur les parties sublimes de celles-ci. Le blondinet n'hésitait pas du tout, massant, dorlotant, câlinant tout ce qu'il pouvait saisir. Et alors qu'il était occupé d'embrasser le cou d'une fille – qu'il ne trouvait pas excellemment jolie mais elle faisait l'affaire allons-nous dire –, l'homme remarquant quelqu'un qu'il connaissait : Seth. Que faisait-il là ? Le blondinet, qui était pour le moment discret, se mit alors à la surveiller au loin. Il ne savait pas pourquoi mais si quelqu'un osait l'approcher, il n'hésiterait à régler des comptes là-bas. Et pourtant, secrètement, Dévléo espérait que Seth le voie et vienne le rejoindre. Et la raison n'est pas que purement amicale ... L'étudiant le regardait, admirant chaque détail, le dévorant des yeux lorsque soudainement, il ne put résister lorsqu'il remarqua que d'autres personnes tournaient autour de son homme à lui ! Il largua l'autre stupide dans le décor et se dirigea vers l'autre homme. Il poussa quelques personnes sur son passage lorsqu'il vit alors le dos de l'autre homme. Dévléo vint alors se frotter à lui, imitant ses pas de danse. Il lui murmura alors quelques mots doucement, plaçant ses mains sur les fesses de son amant.
« Tu sais que dans tout ce club, personne n'a d'aussi belles fesses à matter que les tiennes ! ».
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Sujet: Re: so why don't we go somewhere only we know ? Mar 23 Aoû - 18:52
L'année scolaire venait d'arriver à sa fin, depuis plusieurs jours. Neuf mois viennent de se terminer, laissant derrière eux des souvenirs heureux tandis que d'autres laisseront plutôt des traces amères de leurs passages. Mais, en même temps, c'est là tout le quotidien d'un être humain. Ou presque. L'université de Berkeley, en Californie, commence à se vider et à aborder cette ambiance si similaire aux vacances scolaires. Les couloirs et les salles de classes se vident tandis que les pelouses et autres coins d'ombres se remplissent d'élèves profitant de l'été naissant. La piscine de la faculté n'est plus exclusivement réservé aux entraînements sportifs et aux cours de natation, et reste ouverte jusqu'à pas d'heures. Les cours, bien évidemment, non plus de raisons d'être et non plus du tout lieu d'ailleurs. Quand au personnel administratif, ils sont en train de larguer les amarres comme on dit. Soit ils ne viennent plus du tout et prennent des vacances bien méritées, soit ils se montrent d'un laxisme et d'une euphorie qu'ils n'auraient pas dans d'autres périodes de l'année (sauf éventuellement pour Noël). Quand aux examens, ils ne sont plus qu'un lointain souvenir à présent qu'ils sont terminés. C'est tout juste même si leurs résultats importent aux élèves maintenant qu'ils sont terminés et que les vacances sont là. Ne soyez donc pas étonné de voir une feuille s'envoler dans les airs, non loin d'un établissement scolaire, une fois par jour, signe d'une nouvelle liberté largement méritée pour Berkeley. Mais dire que, dans trois mois, tout recommencera. Un cycle éternel ...
Les vacances scolaires, en particulier celles de l'été, ont également différentes connotations dans l'esprit de chacune et de chacun. Elles permettent d'avoir déjà plus de temps libre et de faire des choses qu'on ne peut pas faire le reste de l'année. Par exemple, amusez-vous à aller vous baigner à Minuit en plein milieu du mois de Décembre. Même en Californie, dans l'océan Pacifique. Il y a aussi l'augmentation des fêtes et des soirées d'étudiantes qui explosent sur le campus. Alors qu'en temps normal, il y en a que le week-end principalement ; aujourd'hui il en émerge trois à quatre dans la même soirée. Quand aux clubs environnants, ils n'ont jamais autant eut de clients jeunes et frais, tout disposés à faire la fête et à s'amuser. Le mot d'ordre, dans toute cette histoire, est de se vider l'esprit pour oublier les événements (heureux et malheureux) des mois passés, de profiter pour faire des choses dont on aura sans doute honte dans quelques semaines et de recharger les batteries car il va falloir se relancer au mois de Septembre. Il n'empêche que ce mois, tant détesté par bons nombre d'étudiantes et étudiants, est aussi loin et proche qu'on veuille bien le laisser paraitre ...
Une énième soirée a lieu ce soir au ENDUP NIGHTCLUB, un club ouvert il y a quelques mois, plutôt branché mais s'il y a mieux, et qui dispose de plusieurs salles avec différents thèmes. Mais, l'ambiance y est bonne et les consommations plus que abordables. Seth Dusin Hainworth a donc, tout naturellement, accepté d'accompagné quelques camarades de sa classe à venir passer une soirée. Surtout qu'ils ont prévus d'aller dans la salle en plein air. Pour information, il faut savoir que Seth déteste les clubs où il fait trop chaud et qui donnent une impression de claustrophobie. De plus, ça permet au jeune homme de pouvoir passer un peu de temps avec le bel Alexander, un garçon de son cours de littérature française, blond et craquant, qu'il a bien l'intention de se taper avant la fin de la soirée. Un verre de soda-light à la main, bougeant un peu des fesses au sein d'une chanson de Rihanna, Seth discute tranquillement avec le fameux Alexander. Il évite autant que possible paraitre trop '' dinde '' mais essaye quand même de le séduire un peu. Ou du moins de le troubler, le charmer. Après avoir discuter pendant une trentaine de minutes sur l'année qui vient de s'écouler et les projets scolaires de la prochaine, Alexander et Seth se mirent à discuter de leurs projets de vacances. Et, lorsque Alexander annonça qu'il voulait s'amuser cet été, Seth ne manqua pas de lui dire qu'il pourra toujours l'aider pour ça ...
C'est alors que Seth sentit quelqu'un se coller contre lui mais, surtout, poser ses mains sur ses fesses. Surpris et prêt à frapper et se défendre au début, il se calma néanmoins en reconnaissant cette voix, si chaude grave et suave. Une voix qu'il connait pour ainsi dire par cœur. Dévléo. C'était Dévléo. Le garçon avec qui Seth entretient une relation aussi compliquée que torride. « Tu sais que dans tout ce club, personne n'a d'aussi belles fesses à mater que les tiennes ! » murmura Dévléo, à l'oreille de Seth, avant de la lui mordiller. Le jeune australien se mit alors à sourire et bouger contre le corps de son ami/amant. « Merci ... » répondit-il alors, entre deux petits rires. Puis, il finit par se ressaisir. « Dévléo, je te présente Alexander, un garçon de mon cours de littérature française. » entama alors Seth, pour les présentations. « Alex', voici Dévléo ... » Seth fut aussitôt coup par le beau blond qui dit, d'un coup sec et assez fort pour être bien entendu : « Le petit ami, très jaloux et très possessif, de Seth. » ...
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Sujet: Re: so why don't we go somewhere only we know ? Mar 13 Sep - 12:50
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