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Famille et vengeance, ça ne fait pas bon ménage

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MessageSujet: Famille et vengeance, ça ne fait pas bon ménage Famille et vengeance, ça ne fait pas bon ménage EmptySam 11 Juin - 17:44

Famille et vengeance, ça ne fait pas bon ménage 903691tumblrlllupsWCM91qjkmbno1500Famille et vengeance, ça ne fait pas bon ménage 856878grand005

    Flash-Back

    « Qu’est-ce que vous lui voulez ? »

    En quoi cela vous concerne ?

    « Abby est ma fille. »

    Et ?

    « Vous voulez coucher avec elle c’est ça ? »

    « Encore une fois, en quoi cela vous concerne ? »


    Fin Flash-Back

    La conversation avait duré quelques minutes de plus, avant que Dimitri Vodianov ne menace Cooper de briser sa carrière s’il touchait à un seul des cheveux d’Abbygail. Evidemment, Coop s’était monté souriant et sarcastique en lui répondant que s’il devait coucher avec l’étudiante, c’est qu’elle serait totalement consentante et que donc, il serait intouchable. Il n’était pas avocat pour rien et ce Dimitri l’avait mit hors de lui. Plus personne ne lui donnait d’ordre et Cooper avait trop souffert étant plus jeune, avec des ordres, pour se laisser faire aujourd’hui. Alors, ça faisait déjà dix minutes qu’il fixait ce livre. Un livre au titre russe. Cooper ne parlait pas du tout la langue, mais il savait que la jeune femme est d’origine russe, du coup il se doute bien que c’est la langue qui est inscrite sur le livre en question. Se retournant en soupirant doucement, il regarda autour de lui. L’appartement d’Abby était plutôt pas mal.

    Ah oui, parce que pour tout comprendre, il faut savoir qu’après sa conversation avec papa Vodianov, Cooper a décidé d’aller voir la vie familiale de l’homme, pour vérifier certaines choses. Il avait deux filles, Abbygail et Tasha. La seconde étant trop sage, il s’était plus intéressé à la première. En effet, cette dernière, était parfaite pour pouvoir prendre sa vengeance et surtout pour s’amuser. Evidemment, il avait déjà rencontré Abby, mais il fallait qu’il creuse plus et du coup il avait vu qu’elle avait été adoptée par un autre homme. Apparemment un français, mais il n’avait pas tout de suite vu son identité et puis ça n’était pas ce qui l’intéressait le plus. Trouvant donc des informations sur la jeune femme, il décida de passer à l’action et d’aller chez la jeune femme. Il fallait trouver la clé, il y avait forcément un double quelque part. Le pot de fleur ? Classique, mais au moins il l’avait. Alors, une fois à l’intérieur, il posa la clé sur la table du salon et il commença à regarder les livres. Puis, il fit un tour dans l’appartement et il était assez impressionné par la qualité d’aménagement. Elle avait du goût. Puis, allant dans la cuisine, il commença à se faire un thé. Il chercha tout ce dont il avait besoin et mit l’eau à chauffer. Une fois que tout fut près, il en versa dans deux tasses et il les amena dans le salon. Une heure plus tard, il entendit la porte s’ouvrir et il se mit à sourire.

    Bonjour.

    Posant la tasse sur la soucoupe posée sur la table basse, il se leva du canapé et ferma les boutons de sa veste avant de s’approcher de la jeune femme.

    N’ayez pas peur entrez, faites comme chez vous.

    Il haussa un sourcil en souriant et alla fermer la porte derrière la jeune femme.

    Je suis là à cause de votre père.

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MessageSujet: Re: Famille et vengeance, ça ne fait pas bon ménage Famille et vengeance, ça ne fait pas bon ménage EmptySam 11 Juin - 18:41

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Dure, dure journée pour notre chère Abbygail nationale. Entre les cours de danse qu’elle donnait actuellement au salon de Miss Clark, les missions données par Harrington grand-père et la démarche qu’elle essayait d’avoir pour récupérer la garde de ses jumeaux, l’ardente blondinette avait la fâcheuse impression de courir partout, à longueur de temps. Mais le tiroir caisse commençait à se remplir à nouveau, et ça, ce n’était nullement négligeable. Après avoir été ruinée et dite finie, Abby prenait une joyeuse revanche sur sa propre existence, et ce notamment en étant l’assistante traductrice d’un Sénateur. Qui aurait cru qu’une fille de mafieux comme elle, irrévérencieuse au possible aurait pu obtenir un tel poste ? Certes, elle était une relation d’Aaron, le petit-fils dudit Sénateur, mais il n’empêche qu’elle avait été engagée pour ses aptitudes et non pour sa vie sexuelle ou ses relations sentimentales. Abby sautillait actuellement dans la rue comme si elle était revenue à l’âge innocent de cinq ans, profitant de cette demi-journée de congé pour rentrer enfin chez elle. Sa mission de l’instant, c’était prendre un bain jusqu’à en avoir la peau fripée. Elle était tout bonne ravie…Hélas, comme si le destin n’en n’avait jamais assez de s’en mêler, à peine eut-elle mis un pied à l’intérieur de son appartement qu’elle manqua de peu la crise cardiaque en voyant un parfait inconnu être installé dans son salon. Cet importun venait de se faire du thé, dans sa réserve personnelle, et squattait désormais son canapé en toute impunité, comme s’il était chez lui. Il n’en fallut pas davantage pour qu’Abby en lâche son sac à main, qui vint s’échouer sur le parquet lustré de son bel appartement. Ce n’était pas seulement scandaleux qu’il se croit ainsi chez lui, c’était tout bonnement insupportable ! D’autant qu’elle ne le connaissait ni d’Eve ni d’Adam, et qu’il se permettait avec elle une familiarité qui n’aurait pas pu lui déplaire davantage. « Au cas où vous seriez aveugle coco, je suis chez moi, c’est plutôt à vous de dégager ! » Abby avait pris son habituel air aimable numéro trente trois bis avant de s’avancer dans le salon, les mains sur les hanches. Son regard était fier et droit, quant à ses yeux en eux-mêmes, ils brillaient de mille éclats. Ainsi, il avait osé forcer sa porte pour lui parler de son père, décidément, il marquait de plus en plus de points…Au lieu de lui offrir de la tranquillité, son appartement était devenu un cirque qu’elle souhaitait plus que tout quitter au plus vite. Mais d’un autre côté, elle n’avait aucune envie qu’il se croit chez lui et se permette de rentrer ainsi chez elle en toute impunité !

ABBY – « Voyez-vous ça…Non seulement vous forcez ma porte mais en plus je devrais écouter votre délire ? Avec mon père en plus ! On ne vous a jamais appris que forcer la porte de quelqu’un, c’est puni par la loi ? Allez apprendre le métier d’avocat au lieu de venir emmerder quelqu’un qui a autre chose à foutre ! »


Furieuse, c’était le mot. Abby tâchait de se dominer, et en soi, elle y parvenait : Elle ne lui avait pas sauté au cou ni déchiqueté son joli minois. Il fallait admettre ce qui est, il était séduisant. Abby aurait pu s’en rendre compte si sa présence ne la dérangeait pas à ce point. Par manque de chance, il tombait au pire moment et elle n’avait strictement aucune patience pour ses éventuels arguments. En plus, elle n’avait strictement aucun pouvoir sur son propre père, contrairement à ce que beaucoup pensaient. Dimitri Vodianov l’écoutait parfois, mais cela restait rare et qui plus est, elle n’avait aucune envie de se mêler à une querelle ne la concernant en aucune façon.

ABBY – « Quelle que soit la raison qui vous oppose à mon père, c’est le cadet de mes soucis. Vous êtes un grand garçon, non ? Alors sauvez votre cul tout seul et débarrassez-moi le plancher illico presto avant que je n’appelle les flics ! »

Abby n’aimait pas les autorités depuis sa plus tendre enfance, et ce notamment parce qu’elle était fille de mafieux. Mais s’il fallait employer ce moyen là pour qu’il décampe, c’était un prix qu’elle aurait payé cent fois. Elle allait même jusqu’à prendre la tasse de thé qu’il avait entre les mains, ainsi que la soucoupe présente sur sa table basse, pour mieux aller la déposer dans son évier et ramener un chiffon doux. Après avoir frotté énergiquement l’endroit mouillé de la table en chêne massif, elle déclara, furibarde :

ABBY – « En plus, vous salopez mes meubles, encore mieux ! On vous a jamais appris à être respectueux des affaires d’autrui ? Pas vrai ça ! »

Piquante, voilà ce qu’elle était. Mais elle prouvait également qu’elle était maniaque, et ça, cela pouvait être charmant comme ne pas l’être pour trois sous. Cela dit, Abby n’était pas rentrée chez elle dans l’espoir de s’envoyer en l’air avec un parfait inconnu…Par conséquent, il valait mieux pour lui qu’il la laisse en paix s’il tenait à la vie.
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MessageSujet: Re: Famille et vengeance, ça ne fait pas bon ménage Famille et vengeance, ça ne fait pas bon ménage EmptySam 11 Juin - 19:07

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    Elle avait des thés très différents et Cooper devait avouer qu’il n’avait pas l’habitude de voir une jeune personne avoir autant de choix dans ce domaine. Alors, tout content de sa découverte, il se fit un thé et attendit patiemment l’arrivée de la propriétaire du lieu. Quand cette dernière arriva, il se leva, fermant sa veste et il avança vers elle, tout en lui disant de ne pas avoir peur et d’entrer. Evidemment les mots employés n’étaient pas vraiment les meilleurs, mais elle semblait vraiment … surprise ou horrifié ? Il n’aurait pas sû choisir lesquels des deux termes étaient le meilleur. Mais, elle finit par bouger et il haussa les sourcils, en la voyant passer devant lui pour aller jusqu’au salon. L’écoutant alors parler, il se mit à sourire.

    Je suis avocat mademoiselle et je n’ai pas forcé votre porte, j’ai pris la clé qui était sous le pot de fleur et que j’ai posé sur la table basse du salon.

    Cooper était totalement calme et très posé. Il avait besoin de parler à la jeune femme, alors autant qu’il agisse ainsi et ça n’était pas parce qu’elle était énervé, qu’il devait l’être aussi. Quoi qu’il devait avouer que s’il était dans la situation inverse, il ne serait pas non plus très heureux. Laissant alors la jeune femme parler, il comprit que la relation père-fille n’était pas au mieux. Ca serait sûrement à son avantage. La regardant ensuite passer de la cuisine au salon, pour nettoyer la table basse, il se mit à sourire de plus belle.

    D’accord, reprenons du début.

    Avançant vers la jeune femme, il tendait la main.

    Je suis Cooper Stevenson, avocat et j’ai besoin de vous parler à cause de votre père.

    Comme elle ne lui serra pas la main, il soupira. Laissant son bras tomber le long de son corps, il se décida à reprendre.

    Que vous ne vouliez pas m’écouter est une chose, seulement votre père m’a dit que ne devez en aucun cas vous toucher, sinon il brisait ma carrière. Evidemment me faire des menaces n’est pas la meilleure chose qu’il est faite de sa vie.

    Accrochant le regard de la jeune femme, il continua de sourire.

    Je vous ai aussi fait un thé, alors autant nous asseoir dans votre salon et discuter. Sachez en tout cas que vous pouvez appeler la police qui me fera sortir, mais je viendrai tant que vous ne m’aurez pas écouté.

    Il alla prendre place sur le canapé du salon. Il savait que soit elle accepterait, soit elle refuserait, à elle de choisir désormais.
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MessageSujet: Re: Famille et vengeance, ça ne fait pas bon ménage Famille et vengeance, ça ne fait pas bon ménage EmptySam 11 Juin - 19:30

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Décidément, ce pauvre bougre avait du mal à assimiler la notion de « respect d’autrui », et notamment du cadre de vie d’Abbygail. Elle ne voyait pas en quoi c’était son droit de s’emparer de la clef présente sous son paillasson pour mieux pénétrer dans l’appartement d’une parfaite inconnue…Et ce, dans le but de lui parler des menaces de son géniteur ! Dimitri Vodianov n’était pas homme à entendre une réponse négative, et encore moins à subir des contre arguments. Aussi, s’il pensait qu’elle allait lui être d’une quelconque aide, il s’était mis le doigt dans l’œil jusqu’au gros orteil. Cela dit, Cela n’empêcha pas Abby de s’asseoir sur le fauteuil juste en face du canapé, croisant ses bras contre son corps fin et habillé d’un tailleur lui allant à ravir. Puisqu’il voulait qu’elle l’écoute, elle allait l’écouter…Non pas par respect, puisqu’elle avait toujours autant de mal à comprendre le sens même de ce mot, mais plutôt par curiosité. Elle souhaitait savoir ce qu’il attendait au juste d’elle, et pourquoi diable lui rendrait-elle ce fameux service. Après tout, ce qu’il faut savoir avec Abby, c’est que rien n’est jamais gratuit. Sa gentillesse est souvent étudiée, à moins qu’elle ne soit en face d’une personne résolument proche, et son côté magnanime n’est rien d’autre qu’une vaste fumisterie. Aussi ferait-il mieux de s’adresser à quelqu’un d’autre s’il tient à ce que sa tête reste bien accrochée au reste de son corps. Mais ce genre de détails n’intéressait nullement Abby. S’il tenait à mourir jeune, après tout, n’était-ce pas son choix ? « Vous avez trois minutes » énonça-t-elle d’une voix à la fois glaciale et amusée, tout en détachant sa longue chevelure blonde qu’elle avait portée en un chignon serré toute la journée durant. Elle n’allait pas s’empêcher de vivre ou d’agir à sa guise parce qu’il se trouvait à usurper ainsi, impunément toujours, son salon ! « Mais avant que j’oublie…Avocat ou pas, si je veux vous coller un procès au cul parce que vous avez pris cette foutue clef sans ma permission, je le peux sans l’ombre d’un souci. Je ne vois toujours pas ce qui vous a fait penser que je pourrais accepter que votre cul se pose sur mon canapé sans avoir été informée avant… » Et sur ses mots, Abby s’était relevée de son fauteuil pour mieux contourner le bar placé tout près de la porte de la cuisine. A l’heure actuelle, ce n’était pas d’un thé dont elle avait besoin, mais bien d’un remontant, quelque chose de plus fort et qui saurait lui faire avaler sans trop de peine cette visite incongrue et déjà insupportable.

ABBY – « Je pense que vous le savez, mais je suis russe. Le thé, c’est pour mes sautes d’humeur ou pour mes longs passages de déprime…Là, j’ai besoin d’un truc beaucoup plus fort pour vous supporter ! »

Cet avocat ne devait sûrement pas être habitué à ce qu’on lui dise non, ou à avoir affaire à quelqu’un d’aussi peu respectueux des conventions. Mais d’un autre côté, il était lui-même irrespectueux, aussi, Abby ne voyait pas en quel honneur elle devrait lui lécher les bottes d’une quelconque manière. Elle était chez elle, sur son terrain, et lui n’était rien de plus qu’un insecte qu’elle avait hâte de pouvoir écrabouiller à loisir.

ABBY – « Si je peux me permettre…Vous êtes peut-être avocat, et tout le saint Frusquin ; mais si mon père décide qu’il vous a dans le nez, excusez-moi, mais vous serez comme un ver de terre amoureux d’une étoile : Inutile comme un parasite. Vous êtes du côté des gentils et mon père, c’est le parrain de tous les parrains de la Mafia Russe…Pour caricaturer. Vous pensez vraiment avoir une chance ? Votre naïveté est vraiment extra alors ! Mais trêve de conneries : Je ne vous suis d’aucune utilité, alors dehors. Oh mais oui j’y pense…Je vous ai accordé trois minutes. Top chrono ! »

Il ne fallait pas espérer qu’elle aille contre ses principes : A l’heure qu’il est, elle aurait dû être en train de savourer un bain, et au lieu de cela, elle était contrainte de siroter un excellent scotch dans un verre en cristal afin de pouvoir supporter la présence de ce parfait inconnu dont elle tâchait d’oublier le nom. « Vous êtes tellement habitué à ce que tout le monde vous lèche les bottes que vous avez oublié les bonnes manières, au fait ? Trois minutes. Après, je vous fous dehors moi-même, à coup de pompe dans le cul s’il le faut. »
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MessageSujet: Re: Famille et vengeance, ça ne fait pas bon ménage Famille et vengeance, ça ne fait pas bon ménage EmptySam 11 Juin - 19:47

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    Assit dans le canapé, il fixa la jeune femme qui vint prendre place face à lui. Ah bah voilà qui était mieux. Seulement, il vit son visage changé de la colère à un sourire qui ne lui disait rien de bon. Souriant en coin, il attendit qu’elle attaque et fut surprit qu’elle lui dise simplement qu’elle lui donnait trois minutes. Il s’attendait à pire comme attaque, alors, il continua de la fixer et il l’écouta sans l’interrompre. Il la laissait aller et venir à sa guise. Le fait qu’elle ait besoin de quelque chose de fort à boire le fit sourire. C’était pour le supporter, ça il pouvait parfaitement le comprendre. Ca arrivait souvent à bien des personnes d’ailleurs. Puis, quand elle eu finit, il la fixa.

    C’est bon ? Vous avez finit de vous époumoner, j’ai enfin le droit à mes trois minutes ?

    Il savait qu’elle pouvait mal le prendre, mais au vu du caractère qu’elle avait, elle devait comprendre et il décida d’enchainer.

    Vous pourrez me coller un procès quand vous voulez et ou vous voulez, je vous fais confiance là-dessus. Pour ce qui est d’un remontant plus fort que le thé je le comprends aussi, vu qu’on me dit souvent que je suis irritant et désagréable. Chose que je ne comprends pas vraiment, mais bon, chacun ses qualités et ses défauts.

    Souriant de plus belle à la jeune femme, il se mit à rire avant de reprendre.

    Pour ce qui est de me mettre dehors, vous aurez du mal. Je suis plus lourd que vous et même si vous avez de la force, vous n’y parviendrez pas.

    Continuant de fixer l’étudiante, tout en gardant son sourire, il se décida à en venir au fait.

    On s’est déjà croisé une fois, vous ne vous en souvenez sans doute pas, mais je suis resté vous regarder et votre père m’a dit que je ne devais en aucun cas vous touchez, que vous n’étiez pas un bon partit et que j’étais trop vieux pour vous.

    Levant les mains, tout en haussant les épaules, il donnait un air d’innocence qui ne l’était pas du tout et il le savait parfaitement.

    Donc, si je suis là aujourd’hui et que ma présence vous énerve au plus haut point, c’est parce que je voudrais montrer à votre père qu’il a tort. Je sais qui est votre famille, ce qu’elle représente, mais je m’en fiche royalement. J’ai connu bien pire que la Mafia dans ma vie et ça n’est pas elle qui me fera peur.

    En effet la Mafia, Cooper s’en fichait comme de sa première chemise. Lui, ce dont il avait le plus peur serait de se retrouver face à toutes les personnes qui l’ont violée quand il était enfants. Il ne voulait jamais les revoir, mais il savait que ça finirait un jour par ce faire, seulement, il ne voulait pas y penser.

    Donc je vous propose un marché. Soit je pars et vous direz à votre père que je ne suis en rien une menace pour vous, car je n’avais fait que vous regardé, soit on couche ensemble et vous pourrez dire à votre père que j’étais doué et que c’était juste une fois en passant. A vous de voir.

    Souriant à nouveau, Cooper fixait la jeune femme, tout en attendant sa réponse.

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MessageSujet: Re: Famille et vengeance, ça ne fait pas bon ménage Famille et vengeance, ça ne fait pas bon ménage EmptySam 11 Juin - 20:06

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Visiblement, c’était un concours du plus culotté. Abbygail était sûre de remporter la palme, cela dit…Cooper avait beau être plus âgé qu’elle, la demoiselle avait de la pratique. Elle n’avait pas besoin de supposer qu’elle gagnerait, puisque c’était déjà le cas : Même s’il lui proposait une partie de jambes en l’air, il était évident que l’ardente blondinette valait bien mieux que cela. Sa vie sentimentale était chaotique depuis toujours, certes, mais ce n’était pas une raison pour se jeter sur le premier venu, qui plus est le premier venu le plus désagréable et irritant qu’elle connaisse. Elle éclata donc volontiers de rire lorsqu’il lui proposa son plan minable, avant de vider l’intégralité de son verre de scotch cul sec. Si jamais il lui proposait également un concours de beuverie, autant dire qu’il serait cuit : Abby avait une résistance surhumain à l’alcool, quelque soit le type ou le degré. Mais elle doutait fortement qu’il s’adonne à de telles pratiques ; il n’était pas russe, et si ses manières laissaient franchement à désirer, il ne semblait pas être un moins que rien pour autant. Il fallait qu’elle la joue finement à partir de maintenant : Non seulement parce qu’il venait ouvertement de lui demander un service qu’elle n’avait aucune intention de lui rendre, mais également parce que prendre son bain dans les plus brefs délais était désormais une question de vie ou de mort. Ce n’était pas un avocat des bas quartiers qui allait l’empêchait de mener la suite de sa soirée comme elle l’entendait, n’est-ce pas ? « Vous êtes tellement sûr de vous…C’est gerbant à souhait » ajouta-t-elle à l’aide d’un sourire narquois, tandis que son rire n’avait pas encore disparut de sa voix. Elle ne savait pas encore comment elle allait se dépêtrer de cette situation, mais la vengeance à retardement n’allait pas être son moyen de procéder, c’était une certitude : Il fallait qu’elle agisse tout de suite et maintenant, quitte à user de tous les plus viles stratagèmes pour qu’il quitte enfin son domicile. Dans un premier temps, elle déposa son verre contre le bar avant de s’avancer vers lui, le regard brillant et le sourire à la fois charmeur et provocant. Non, elle n’allait pas lui offrir ce qu’il convoitait visiblement. Mais elle allait le lui faire croire, évidemment…Ce fut sans doute pourquoi elle contourna le canapé pour mieux passer délicatement ses mains contre le cou de Cooper, remontant jusqu’à ses joues pour mieux le contraindre à la regarder en soulevant son menton avec rapidité et agilité. « Qu’est-ce qui vous fait croire que j’ai envie de m’emmerder à vous aider, hum ? Parce qu’au cas où vous n’auriez pas remarqué, c’est plus un immense « va te faire foutre » qui traîne dans mes yeux bleus. » Ca au moins, c’était dit. Il fallait dire que ses yeux d’un bleu saisissant aurait pu déstabiliser n’importe qui, même un avocat, qu’il soit de renommée ou non. Ce qui l’opposait actuellement à Dimitri Vodianov n’était pas son problème une seconde. Peut-être était-il temps qu’il en prenne conscience.

ABBY – « Pour infos, je ne suis pas une pute. Je ne couche pas à la demande, et encore moins avec des inconnus qui forcent ma porte. Deuxièmement, il me faudrait une excellente raison pour ne pas vous arracher les yeux sur le champ, et troisièmement…Qui vous dit qu’en tant que fille de mafieux je n’ai pas d’arme planquée dans un coin stratégique ? Vous êtes tellement naïf que ça aussi, c’en est gerbant à souhait. »


En vérité, elle avait bien une arme, mais elle n’était pas chargée. Abby n’était pas un as du flingue, et pour cause, elle sortait de trois ans de cécité, ce qui n’était pas négligeable. Mais cela ne l’empêcha pas d’émettre l’hypothèse, avant de s’approcher délicatement de l’oreille de Cooper et de laisser sa langue entrer en contact avec cette petite parcelle de peau durant un dixième de seconde. C’était une provocation ultime, surtout chez la plupart des hommes, très sensibles de cette partie en question. Mais Abby s’écarta rapidement pour se remettre debout et lâcher définitivement Cooper pour mieux retourner vers son bar et se resservir un verre, qu’elle ne porta pas immédiatement à ses lèvres. Ce n’était qu’un avant goût de ce qu’elle était capable de faire pour arriver à ses fins…Sans avoir à coucher avec un parfait inconnu.

ABBY – « Vous m’inspirer autant d’intérêt qu’un verre vide lorsque j’ai soif. Donc, je ne m’enverrais pas en l’air avec vous, et comme j’agis souvent par intérêt…Je ne parlerais pas non plus à mon père de votre cas. Je ne peux imaginer sans une intense envie de vomir la façon dont il vous traitera si jamais il apprend que vous rôder par ici sans y être invité, et que vous me proposer d’être votre…Jouet. J’ai trop de fierté pour m’envoyer en l’air avec quelqu’un n’ayant pas la carrure pour me supporter. Maintenant dégagez. »
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MessageSujet: Re: Famille et vengeance, ça ne fait pas bon ménage Famille et vengeance, ça ne fait pas bon ménage EmptySam 11 Juin - 21:19

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    Il devait avouer qu’il n’avait pas eu une personne avec autant de répondant en face de lui depuis bien longtemps. Ca lui manquait plus qu’il ne l’aurait imaginé. Seth et Swen restaient trop jeunes et moins piquant. Maria était douce et il n’avait jamais fait pour la mettre dans un tel état. Pour les autres, il devait avouer que rien de bien exceptionnel ne se passait. Mais Abbygail était à sa hauteur et il devait avouer que c’était plus que plaisant. La voyant finalement venir vers lui, il garda son sourire, mais il savait que ça ne serait pas aussi simple qu’il le disait ouvertement. Il savait parfaitement qu’elle ne serait pas du genre à se donner à un parfait inconnu. La fixant droit dans les yeux quand elle releva sa tête, il restait souriant. Il n’allait pas froncer les sourcils ou faire la tête juste parce qu’elle s’amusait avec lui. Au contraire, ça serait lui prouver qu’elle gagne la partie et ça il ne le voulait absolument pas. L’écoutant donc, en la fixant dans les yeux, son sourire s’agrandit.

    Je n’ai jamais dit que vous êtes une prostituée, je ne vous ai même pas proposé de vous payer en échange de sexe. Et arrêtez de dire que j’ai forcé votre porte, j’avais la clé, ne la laissez plus traîner, ça c’est de votre faute. Pour ce qui est de l’arme, j’ai eu le temps de passer dans votre appartement en une heure, vous en avez une, je l’ai vu, mais vous n’êtes pas comme votre père et la Mafia, vous ne tuez au hasard.

    La laissant alors faire avec son oreille, Cooper se contracta légèrement. Ca n’était pas la chose qu’elle aurait dû, parce qu’il aurait pû lever la main sur elle. Il aurait pû être violent, mais là il préférait ne rien faire, il savait que ça allait lui retomber dessus et il ne voulait pas parler de son passé. Alors, la laissant s’éloigner, il l’écouta parler et son sourire revint sur son visage.

    Moi qui avais monté un dossier pour vous aider à récupérer vos jumeaux, c’est dommage. J’enverrai le dossier en question à la poubelle.

    Se levant du canapé, il boutonna à nouveau sa veste et regarda la jeune femme, retrouvant son sourire.

    Maintenant si vous voulez bien m’excuser, je vais donc prendre congé comme vous l’avez si gentiment demandé.

    Avançant vers la porte, il la regarda.

    Bonne fin de journée mademoiselle Vodianova.
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MessageSujet: Re: Famille et vengeance, ça ne fait pas bon ménage Famille et vengeance, ça ne fait pas bon ménage EmptySam 11 Juin - 22:25

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Au départ, il était évident qu’Abbygail s’était crue très forte, puisqu’elle était sur son terrain. Depuis le début, elle cherchait des bâtons pour se faire battre tout en sachant éperdument qu’il ne parviendrait jamais à la toucher de quelque manière que ce soit…Avant qu’il ne prononce les mots fatidiques, ayant un rapport on ne peut plus proche avec ses jumeaux. Abby s’immobilisa pendant quelques secondes, avant que son poing ne se serre violemment contre le verre de scotch auquel elle n’avait toujours pas touché. Sa manœuvre était non seulement vile, mais on ne peut plus cruelle : Il n’y avait pas grand-chose dans ce monde pour ébranler l’impétueuse fille Vodianova, mais parler de ses jumeaux, c’était prendre un très gros risque…Risque que Cooper n’hésita pas à prendre pour parvenir à ses fins, et c’est bien la pire chose qu’il ait faite depuis son entrée abracadabrante dans l’appartement de la belle blonde. Sans attendre la trinité, Abby se rua vers la porte d’entrée, se plaçant devant, l’air menaçant. « Allez-y, essayer donc de passer » lança-t-elle avec toute la fureur dont elle était capable. Son beau regard, autrefois vide, exprimait une rage indicible, mêlée à une haine qu’elle espérait ne plus jamais avoir à ressentir. Cooper était mal barré, mais elle l’était tout autant : Abby ne savait pas comment lui faire payer la chose sans se discréditer complètement ; ses jumeaux, c’était toute sa vie. La seule étincelle positive à laquelle elle voulait s’attacher corps et âme…Quoi qu’il lui en coûte. Ce fut sûrement la raison pour laquelle elle n’hésita pas à lui balancer le contenu de son verre de scotch, dans un élan incontrôlable de colère. « Nom de dieu, j’ai balancé un excellent scotch sur un abruti dans votre genre, ça me déglingue…Merde, c’est pécher ! » Abby avait toujours été fervente amatrice de bons alcools, en particulier au niveau de la vodka et du scotch de divers pays. Mais s’il y avait bien un détail notable dans son tempérament furieux, c’était sa rage. Elle ne la contrôlait pas toujours, et pour le coup du péché, elle s’en mordrait presque les doigts…Si elle ne le haïssait pas d’ors et déjà pour autre chose.

ABBY – « Vous êtes tellement à court de plans cul que vous osez me provoquer avec mes jumeaux ? Mais de quoi je me mêle bordel ! Comme si j’avais besoin d’un minable avocat pour me sortir de la merde…Je suis une grande fille, je sais lacer mes chaussures toute seule. Par contre, vous, vous êtes dans la merde. Assez pour risquer de vous faire massacrer chez moi ! »

Sans attendre, elle déposa le verre sur la première petite table tombant sous sa main, avant de saisir Cooper par le col et de le plaquer avec violence et force contre la partie de son mur qui n’était pas décorée par un tableau de valeur. Il fallait dire qu’elle avait du goût en matière de décoration, la jeune russe. Mais elle n’hésitait pas à s’opposer à un homme plus grand qu’elle, nettement plus fort qu’elle et surtout, plus âgé. Il n’était pas grand-chose qu’elle puisse craindre et, qui plus est, si elle devait perdre ses jumeaux pour toujours…Il n’était rien de plus qu’elle puisse perdre. Par conséquent, il courberait l’échine sûrement avant elle, c’était une quasi certitude.

ABBY – « Soit vous êtes complètement crétin, soit un obsédé sexuel soit…Vous faites dans votre froc parce que vous savez très bien que mon père ne fera pas que vous péter les deux genoux ! Mais une question demeure : Pourquoi faire appel à moi alors que mon inutile jumelle serait une proie bien plus aisée pour vous, hein ? Vous la connaissez, j’en suis intimement persuadée. Vous savez, je n’ai rien à perdre…S’il faut que je vous brise en deux moi-même pour avoir la paix, c’est pas du tout un problème ! Vous ne savez rien de moi, rien du tout, et encore moins de l’affaire concernant mes deux bébés. Un conseil, allez chasser ailleurs et rentrer le petit oiseau là où il doit être…Car en ce qui me concerne, vous pouvez aller vous faire foutre, avec qui vous voulez, mais en tout cas, sans moi ! »

Et sur ses belles paroles, Abby lâcha brusquement le col de Cooper avant de reculer d’un pas et d’un seul. Elle le toisait de tout son long, avec la fierté qui était la sienne, tandis qu’elle était prête à lever à nouveau les poings pour se battre s’il le fallait. Après tout, son père n’avait-il pas dit qu’elle était autrefois qu’un garçon manqué ? Lui qui voulait tant un garçon…Abby gardait des réflexes forts, et c’est sûrement ce qui l’avait sauvée durant toutes ces dures années, et qui la sauvait encore lorsqu’elle avait des crises d’épilepsie.
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MessageSujet: Re: Famille et vengeance, ça ne fait pas bon ménage Famille et vengeance, ça ne fait pas bon ménage EmptySam 11 Juin - 22:52

Famille et vengeance, ça ne fait pas bon ménage 856878grand005

    Il s’était attendu à beaucoup de réaction et le fait qu’elle lui bloque la porte ne l’étonna pas plus que cela. Alors, il l’écouta et garda son sourire en coin. Fermant les yeux avant de recevoir le scotch en plein visage, il ouvrit ensuite les yeux et se passe une main sur le visage. Laissant donc la jeune femme parler, il se retrouva vite attrapé par le col pour être plaqué au mur. Ne disant absolument rien, il la regarda se détacher de lui.

    Je suis le meilleur en ville et avec moi vous serez sûr de gagner.

    Il était plus que sérieux et il ne souriait plus désormais.

    Si je ne suis pas allez vers votre sœur, c’est parce qu’elle n’a pas vos antécédents, elle est trop lisse pour que je puisse trouver quelque chose de croustillant à utiliser contre votre père.

    Au moins les choses étaient claires sur ce point là.

    Vous êtes bien plus intéressantes. Une ancienne aveugle, ayant abandonné ses jumeaux et qui veut aujourd’hui les récupérer. Ca devrait tout de même préoccuper votre père non ? Pourtant il n’a rien dit parce que vous avez été adopté par un autre, étrange …

    Haussant un sourcil, Cooper retrouva son sourire.

    Je peux vous aider, faire de vous une mère comblée. Je l’ai déjà fait avec une personne que vous connaissez très bien.

    En effet, c’est grâce à lui que Maria était parvenue à avoir la garde d’Ambre.

    Si vous ne voulez pas de mon aide très bien, mais ça m’aurait permit de montrer à votre père que je me fou de vous avoir dans mon lit, mais que moi au moins je vous aide.

    Passant une main sur son costume, il soupira en voyant dans quel état elle l’avait mit.

    Le sexe n’aurait été que la cerise sur le gâteau.

    Haussant les épaules, il soupira à nouveau.

    Je vous aide ou je ne vous aide pas, à vous de choisir.

    Il fixa alors l’étudiante dans les yeux et son sourire ne fut plus là. Il était vraiment sérieux. Il se demandait pourquoi le père de la jeune femme avait laissé un autre l’adoptée et surtout qu’il accepte cela sans se battre en justice. Mais aider Abby et prouver au père de cette dernière que lui au moins l’aidait, ça serait déjà pas mal.

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Famille et vengeance, ça ne fait pas bon ménage

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