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| Il y a des jours où rester coucher serait une bonne idée. [HOT] | |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Il y a des jours où rester coucher serait une bonne idée. [HOT] Lun 23 Mai - 22:28 | |
| You can't handle me, I'm the master of the game ; but please, just try to play against me, just for fun...
A croire que Ulrika soit la spécialiste parmi les spécialistes pour martyriser les professeurs ! En tout cas, à voir comment Samuel quittait l’amphithéâtre, il n’était pas difficile de conclure qu’il était à deux doigts de la crise de nerfs. Parfait, au moins, sa vengeance était complètement et elle pouvait passer à autre chose. L’ardente brunette attendit qu’il quitte définitivement la pièce pour mieux se diriger vers le banc où elle s’était précédemment installée en début de cours, pour mieux récupérer ses affaires à elle. Pendant près de deux heures après cet « incident », Ulrika fut incapable de se poser quelque part pour réfléchir. Sans qu’elle ne sache pourquoi, toutes ses pensées étaient irrémédiablement tournées vers ce bon Samuel, qu’elle n’avait eu de cesse de défier pendant un moment épique. Mais d’un autre côté, le fait qu’elle ne soit pas totalement inhumaine la rattrapait : Comment avait-il fait pour se maîtriser aussi bien et ne pas la gifler devant tous ? Il n’était pas idiot. Il savait pertinemment qu’elle l’aurait attaqué en justice et laissé sur la paille, au cas où il aurait laissé ses pulsions parler. Ce fut sans doute à cause de ce cas de conscience, sortit d’on ne sait où, qu’elle eut l’idée de se diriger vers les salles de sport, où un bruit sourd régnait. Très discrètement, Ulrika s’en était approchée et avait constaté sans peine que Samuel tapait de toutes ses forces contre un punching ball, en imaginant sûrement qu’il s’agissait de la tête de la demoiselle insupportable. Il était trop tard pour faire un semblant de mea culpa, mais la brunette n’avait pas l’intention de lâcher le morceau de sitôt. Pourquoi, c’était un mystère, et à vrai dire, elle ne voulait même pas chercher de raison précise pour l’instant. Il valait mieux laisser les évènements se tasser et se dérouler à leur manière, sans chercher à contrôler quoi que ce soit. Ce fut donc sans réellement s’en rendre compte qu’elle suivit de près le professeur pendant ces deux longues heures, jusqu’à ce qu’il n’entre dans les douches, et qu’elle n’ait la piètre idée de le suivre. C’était stupide, et même dangereux, pour l’un comme pour l’autre…Mais la cabine où il était entré était plutôt ample et Ulrika n’était pas du genre à avoir froid aux yeux. Aussi pénétra-t-elle sans s’annoncer, et sans demander la moindre permission. Ce ne fut que lorsqu’il lui demanda ce qu’elle foutait là au juste qu’elle laissa un petit rire s’échapper de ses divines lèvres. Mille réponses différentes auraient pu lui venir à l’esprit, à vrai dire. Mais une seule fut digne d’être énoncée à haute voix :
ULRIKA – « Je suis de celles qui croient qu’il vaut mieux demander pardon que permission. »
En vérité, elle ne comptait pas s’excuser en ces termes. Mais cela ne l’empêcha pas d’ôter lentement ses vêtements qui commençaient à être sérieusement trempés à cause de l’eau s’éclaboussant de la douche contre les parois. Ulrika n’était pas là pour faire un concours de tenue, aussi commença-t-elle à déboutonner doucement, sensuellement chaque bouton de sa belle chemise, avant que celle-ci se s’échoue irrémédiablement sur le sol. En moins de temps qu’il n’en fallut pour le dire, elle fut trempée, et donc, impossible à réutiliser pour sortir. Mais elle n’en n’avait cure, pour l’instant…La preuve, elle venait d’ôter une botte, puis l’autre, avant de s’attaquer à ce pantalon qui moulait très bien ses formes divines, et notamment ses fesses musclées. Samuel devait d’ors et déjà se demander ce qu’elle fichait là, à lui faire un strip tease qu’il n’avait pas demandé alors qu’il devait être tenté de lui arracher la tête pour la présenter en guise d’exemple sur la place publique. Ulrika était aussi provocante que possible, mais ce n’était pas exactement pour jouer avec les sens de l’homme, et ce bien qu’elle soit diablement agréable à regarder. Une fois qu’elle fut en sous vêtements, blancs bien évidemment, devant lui, l’ardente brunette esquissa un petit sourire avant de pencher légèrement la tête, comme s’il s’agissait d’un jeu. Mais le pire dans tout ça, c’est qu’elle ne se contrôlait pas vraiment. Comme si son cerveau était en standby, elle agissait sans réellement réfléchir ni aux conséquences, ni à ses actes en eux-mêmes.
ULRIKA – « J’ai été odieuse avec vous. Et je vous devais une danse et un strip tease…La danse sous la douche c’est dangereux, à moins que vous ne soyez tenté par une salsa à l’horizontale. »
Il n’y avait bien qu’une étudiante dans tout Berkeley pour venir dans la cabine de douche d’un homme, pour mieux lui faire un strip tease d’anthologie et jouer ainsi avec ses nerfs. Samuel devait d’ors et déjà penser qu’elle allait se reculer et se moquer encore une fois de lui…Mais elle n’en fit rien. Elle comptait bien être son lot de consolation, à condition qu’il ne la repousse pas ; et ce n’était pas gagné. Ulrika s’approcha donc, délicatement, laissant la douche la toucher elle aussi, tout comme ses sous vêtements. Elle frissonnait déjà, mais pas de plaisir hélas, plutôt de froid.
ULRIKA – « Je suis ton lot de consolation. »
Qu’elle l’ait tutoyé n’avait aucune importance. N’étaient-ils pas d’ors et déjà dans l’intimité ? Et puis, ils étaient seuls jusqu’à preuve du contraire.
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| Sujet: Re: Il y a des jours où rester coucher serait une bonne idée. [HOT] Lun 23 Mai - 23:13 | |
| Il avait eu deux heures pour se calmer et oublier l’humiliation qu’il venait d’avoir et voilà que la jeune femme revenait à la charge. Encore qu’elle l’ait fait au milieu d’un couloir, sur le parking, dans la bibliothèque, dans une classe remplie comme quelques plus tôt passait encore à peu près, mais pas seul, avec lui, dans une douche ! Essayant de se contenir, Samuel lui demanda, le plus aimablement possible et Dieu sait que ça n’était pas gagné, ce qu’elle faisait là. Elle venait de fermer la porte, sans aucune autorisation et elle restait plantée là face à lui. Est-ce qu’elle allait s’amuser à prendre des photos de lui en bermuda ou même en caleçon, pour les balancer un peu partout ? Ouvrant la bouche aux propos de la jeune femme, il ne sû pas que dire et il ferma la bouche en fronçant les sourcils. Qu’est-ce que ça voulait dire exactement ? Haussant alors les sourcils, il vit que la jeune femme commençait à se déshabiller. Tournant la tête sur le côté, il se mit sur la pointe des pieds. Elle avait amené du monde avec elle, pour tout filmer et le prendre en flagrant délit avec elle sous la douche ? A vrai dire, Samuel ne savait pas comment interpréter les propos de la jeune femme et il savait encore moins comment se comporter face à ce qu’elle était en train de faire. Entendant la première botte tomber au sol, il ne pû s’empêcher de baisser les yeux pour fixer la jeune femme. Ayant du mal à déglutir, il se sentit vraiment con.
Elle l’avait prit pour un violeur, elle l’avait giflé, humilié et elle se trouvait là, face à lui, à se déshabiller. Il ne pouvait pas s’empêcher de se demander où était le piège. Il se rendit compte à quel point les femmes avaient raisons parfois. Les hommes ne pensent pas avec leur cerveau et Samuel pouvait en témoigner à cet instant même. Il devait se reprendre et lui dire de partir, c’était la meilleure chose à faire. Seulement, quand elle se retrouva en sous vêtements, il ne pû pas parler. Elle était simplement magnifique. Seulement, il fallait à tout prit qu’il se reprenne. Une danse et un streap tease ? Pourquoi les lui devrait-elle ? Après tout, lui c’était le boulot qui l’aidait à payer les factures, ça n’était en rien autre chose. La voyant avancer, il fronça une nouvelle fois les sourcils et il la regarda venir sous l’eau de la douche. Lot de consolation. Ouvrant de grands yeux, Samuel se demandait s’il rêvait où s’il était bien éveillé.
Ca n’est pas une blancheur pure.
Se rendant compte de ce qu’il venait de dire sur les sous vêtements de la jeune femme, il soupira. Se passant les mains sur le visage, il regarda l’étudiante.
Laissez-moi prendre ma douche seule s’il vous plaît.
Fixant l’étudiante, il ne voulait pas se laisser tenter. Même si ces derniers, il se laissait facilement tenter par beaucoup d’étudiantes, il ne voulait pas se laisser aller avec elle. Pourquoi ? Parce qu’il n’avait pas envie de finir en prison ! Alors qu’il allait lui redemander de sortir de là, il se crispa.
« T’as fait un bon match tu sais ».
Ouvrant de grands yeux, il attendit de savoir si les voix se rapprochaient de la douche ou pas. Se retournant, pour mieux écouter, il baissa la tête et remarque que le bas de la porte n’était pas pleine. Oh non, pas ça ! Les voix se rapprochaient encore et il eu le temps de se retourner vers la jeune femme, pour la soulever du sol et la plaquer à une des parois de la douche, avant de plaquer sa main sur sa bouche et de lui demander de ne pas parler. Ecoutant les étudiants parler, ils restèrent là un peu de temps, avant de repartie. Soupirant, Samuel fixa alors l’étudiante qui était collé à lui et il relâcha sa main qu’il avait plaquée sur sa bouche.
S’ils avaient vus qu’on était dans la même douche, ils auraient pû me dénoncer et j’aurais perdu mon emploi.
Fronçant les sourcils, il n’avait plus du tout envie de jouer. Il avait déjà perdu son emploi à cause d’une étudiante, il ne voulait pas que ça recommence encore.
Laissez-moi tranquille. |
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| Sujet: Re: Il y a des jours où rester coucher serait une bonne idée. [HOT] Lun 23 Mai - 23:42 | |
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Ulrika n’avait pas eu le temps d’en placer une, ou même de faire valoir ses arguments on ne peut plus convaincants lorsque des étudiants les perturbèrent. Elle n’eut pas le temps de faire ouf non plus, qu’elle se retrouvait portée par Samuel et plaquée silencieusement contre l’une des parois de la cabine de douche. Au départ, l’ardente brunette ne comprit pas immédiatement le pourquoi du comment d’un tel revirement de situation, avant qu’il ne lui plaque sa main contre ses douces lèvres : C’était un professeur, elle restait une étudiante, et par conséquent si quelqu’un le surprenait en galante compagnie, il risquait sa place. Une telle idée ne lui était même pas venue à l’esprit, c’était dire si elle avait prémédité son geste ! Mais ce n’était pas le propos actuel. Ils durent attendre que les étudiants ne quittent la pièce pour s’exprimer, et Ulrika écouta avec attention chaque propos prononcés, chose très étonnante pour elle. Ainsi, il avait eu peur pour son travail, comme elle s’y attendait. Mais ce n’était pas ce qui allait la décourager. Maintenant qu’elle était entrée et que ses vêtements étaient trempés, ce n’était pas pour ressortir immédiatement. Elle lui sourit donc, constatant qu’il ne l’avait pas encore relâchée pour autant, avant de s’approcher et de capturer délicatement ses lèvres. C’était aussi soudain qu’étonnant de sa part. Habituellement, Ulrika était passionnée, furieuse même, elle ne faisait pas preuve de délicatesse et encore moins de gentillesse. Mais, sans ressentir la moindre pitié, elle estimait dans son for intérieur qu’il méritait lui aussi d’avoir un petit moment où il pourrait tout relâcher. Ne plus être seulement un objet de désir, mais où il dicterait sa loi et qu’il serait écouté. Ce baiser dura un moment, preuve qu’il n’y était pas aussi insensible qu’il ne le laissait entendre. Ulrika le faisait gagner en intensité de seconde en seconde, et le temps était complètement oublié. L’eau avait beau continuer de couleur sur leurs deux corps, l’ardente brunette n’en n’avait cure : Il aurait pu pleuvoir, venter ou même grêler, rien n’aurait pu la déconcentrer. Et cette fois-ci, il n’y avait ni manipulation ni mauvaise arrière pensée. Un côté naturel, voilà tout…Surprenant, mais bien existant.
ULRIKA – « Alors, c’était terrible ? Je ne crois pas, sinon tu m’aurais lâchée depuis belle lurette. Range tes crocs, les autres étudiants sont partis, pour l’instant il n’y a rien à craindre, et puis, on ne voit pas mes pieds grâce à toi. Mais pour éviter d’être lâchée en cours de route, j’espère que tu ne t’offusqueras pas du fait que je m’accroche. »
Et pour appuyer ses dires, la jolie brunette entoura le bassin de Samuel à l’aide de ses cuisses musclées, et laissa ses bras enlacer son cou. Pour cette fois, il n’y avait ni tendresse ni sentiment particulier, mais ce n’était pas bien important. Le fait est qu’il était légèrement coincé et qu’il ne lui restait que deux options : Céder, et se perdre…Ou alors la repousser violemment, et la vexer plus encore qu’elle ne l’avait été jusqu’ici. L’un dans l’autre, il était préférable qu’elle reste agréable plutôt qu’elle ne continue sa petite vendetta ridicule. Mais Ulrika n’était plus à ça près…Et s’il réagissait comme un imbécile, il n’était pas dit qu’elle ne fasse pas de même, un degré au dessus !
ULRIKA – « Tu n’en n’as jamais assez d’être constamment pris pour un objet ? Tu n’as donc aucun désir ? Glisse-les-moi à l’oreille et je peux peut-être faire quelque chose. Ton job n’est pas encore en danger, crois-moi…Laisse couler, relâche un peu de pression ! On dirait que tu vas prendre vingt ans d’un coup si jamais tu continues…Laisse-moi faire. »
Après tout, si elle n’avait pas eu de relation sérieuse depuis un lustre, Ulrika était plutôt experte pour satisfaire un homme, bien que celui-ci soit nettement plus âgé qu’elle. La preuve, elle laissait sa bouche parcourir désormais son cou, une partie de son torse, tandis que ses doigts massaient légèrement sa nuque pour le détendre. Il ne devait pas trop souffrir, puisqu’elle était légère comme une plume. Au contraire, il lui semblait que ses muscles se détendaient progressivement. Ce n’était qu’une question de minute avant qu’elle ne porte le coup de grâce pour qu’il se laisse définitivement aller…Mais par principe, elle ne comptait pas le forcer. Aussi déposa-t-elle un baiser chaste contre ses lèvres, histoire de le lui prouver, avant de sourire de manière amusée. Sous cet angle, Ulrika n’était pas seulement magnifique…Elle était divine.
ULRIKA – « Tu ne peux pas toujours avoir ce que tu veux…C’est ce que tu m’as dis à notre première rencontre. Mais que dirais-tu que je t’offre ce que tu désires ? »
A savoir, un moment agréable dépourvu de tout problème et tout attachement. Du plaisir, des frissons, un moment inoubliable…Ce qu’il ne devait pas avoir eu depuis un lustre.
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| Sujet: Re: Il y a des jours où rester coucher serait une bonne idée. [HOT] Mar 24 Mai - 0:22 | |
| Il s’était fait avoir une fois, il ne voulait pas que ça recommence. Il avait pensé que Caroll était une femme faire pour lui, mais il s’était bien planté. Il en avait perdu son travail, il en avait perdu sa confiance en lui, il avait tout perdu. A peine avait-il retrouvé un peu d’aplomb que cette étudiante, qui se tenait là, à moitié nue devant lui faisait oublier toutes ses bonnes résolutions. Il voulait changer, devenir un autre et elle l’avait humilié en quelques secondes, lui faisant perdre toute confiance en lui. C’est pour ça aussi que quand il avait entendu des personnes parler, il avait attrapé la jeune femme par les hanches, pour la plaquer à une des parois de la douche et faire en sorte qu’on ne voit pas qu’il était accompagné dans la douche. Une fois qu’ils furent seuls, il la fixa dans les yeux pour lui dire qu’il pouvait perdre son emploi, chose qu’il ne voulait pas le moins du monde. Lui disant alors de le laisser tranquille, il ne réalisa pas tout de suite qu’il la tenait encore dans ses bras. Mais il fut surprit quand il sentit la jeune femme l’embrasser. Ne bougeant pas, il se laissa faire. Il ne réalisa pas bien ce qu’elle était en train de faire. Ca faisait tellement longtemps qu’on n’avait pas été aussi doux avec lui qu’il en perdait la notion du temps. Il se laissa totalement faire. Il n’avait plus du tout l’habitude qu’on le traite ainsi. Tous les soirs, ou presque, il allait au club, pour assouvir les envies des clients, alors là, c’était comme redécouvrir un plaisir. Profitant alors simplement de l’instant et du baiser, il devait avouer que c’était plutôt plaisant. Ecoutant par la suite la jeune femme parler, il la fixa dans les yeux. Sentant alors les jambes de la jeune femme autour de lui et ses bras autour de son cou, il ne dit absolument rien. Il ne fit que la faire remonter le long de son corps, pour avoir une meilleure position.
Mais que faisait-il ? Il fallait qu’il se calme et qu’il la force à sortir d’ici. Ca n’était pas bien ce qu’il faisait et étant l’adulte, c’était à lui de prendre les bonnes décisions. Ecoutant ses paroles, il ne savait même pas quoi répondre. Il ne savait même pas lui-même qui il avait en face de lui. Au club, elle était volcanique, dans la salle de cours, elle était autoritaire. Mais là, elle était douce et agréable. Comment est-ce que c’était possible ? Seulement, plus aucune pensée cohérente ne passait dans son cerveau, vu qu’elle venait de commencer à embrasser sa peau. Fermant les yeux, il se demandait encore comment elle pouvait avoir un tel pouvoir sur lui. Se laissant alors aller, il ne dit rien et profita simplement de ce qu’elle lui offrait. Ouvrant les yeux, il la fixa et la laissa l’embrasser chastement.
Je ne te pensais pas du genre à offrir quoi que ce soit à un violeur.
Il savait que revenir sur le cours donné deux heures plus tôt n’était pas la meilleure chose à faire, mais il voulait comprendre.
Pourquoi ? Pourquoi tout ça ?
Samuel ne comprenait rien du tout. Elle passait du chaud au froid en quelques secondes et il se retrouvait complètement perdu. Seulement, il devait avouer qu’il était tenté par le fait de se laisser aller avec elle ici. Son cerveau commençait sérieusement à manquer de sang et il fallait qu’il puisse aligner deux pensées cohérentes, pour essayer de comprendre, non ? Peut-être pas. Peut-être devait-il simplement se laisser aller dans les bras de la jeune femme.
Laisse-toi faire.
Embrassant la jeune femme, il prit son temps. Il ne voulait pas aller trop vite. Ca avait toujours été trop vite ces derniers mois au club. Alors pour une fois, il voulait prendre son temps, mais surtout, il voulait lui montrer qu’il n’était pas le monstre qu’elle s’imaginait. Alors, il descendit ses baisers dans le cou de la jeune femme. Il ne contrôlait plus du tout son cerveau et il préféra laisser ses envies le guider. Amenant sa main dans le dos de la jeune femme, il dégrafa son soutient gorge, pour le laisser tomber parmi les autres vêtements, avant de descendre ses lèvres vers la poitrine découverte de sa partenaire. |
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| Sujet: Re: Il y a des jours où rester coucher serait une bonne idée. [HOT] Mar 24 Mai - 15:59 | |
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Pourquoi tant de pourquoi ? Il fallait vraiment qu’on explique à Ulrika la raison pour laquelle les hommes ont toujours besoin de réponses. Voilà bien une chose inutile…Surtout qu’elle n’agissait pas avec une arrière-pensée particulière ! Elle était d’ailleurs prête à lui en faire la réflexion lorsqu’il se décida enfin à agir. Ce n’était pas trop tôt…Encore une minute et l’ardente brunette aurait sûrement agit autrement. Il ne fallait pas espérer qu’elle soit quelqu’un d’autre du jour au lendemain…Elle offrait ce qu’elle voulait quand elle le voulait et nul autre n’était en possession des informations. « On t’a jamais dit qu’un silence est plus parlant qu’un questionnement incessant ? » C’était plus fort qu’elle. Mais son ton n’avait strictement rien à voir avec celui qu’elle avait employé dans cette salle de classe, en présence des autres étudiants. A croire qu’elle soit excellente actrice, et qu’elle aime à se donner ainsi en spectacle. Il n’en n’était rien, comme l’attestait de sa façon actuelle de faire. Aussi, Ulrika accueillit son changement d’avis avec un sourire sincère, alors qu’elle resserrait l’étreinte entre leurs deux corps. De longs frissons naquirent et fleurirent contre son échine alors qu’elle laissa échapper un petit soupir n’ayant strictement rien de désagréable. Il était préférable qu’ils soient seuls dans les douches, sans quoi, Ulrika aurait dû rester complètement discrète…C’était cruel, n’est-ce pas ? Elle préférait être expressive et montrer qu’elle était satisfaite ou, à l’inverse, qu’elle ne l’était pas. En l’occurrence, elle n’était nullement insensible au petit manège de Samuel, bien trop contente qu’il se laisse enfin aller et que ses questions aient été reléguées au placard. C’était plus agréable, le silence…Cela dit, elle laissa échapper un petit son lorsque sa poitrine fut nue, et qu’il en prit possession, se délectant de chaque seconde. Ils ne se faisaient plus la guerre, cette fois-ci…Et si quelqu’un avait dit à la volcanique Ulrika qu’elle tomberait sous peu entre les bras de cet homme, elle aurait non seulement rit à la figure de la personne, mais celle-ci aurait dû manger du pudding sans dents à l’avenir. Contrairement à ce que Samuel semble penser, elle n’avait pas prémédité son geste une seule seconde. Elle l’avait suivi, et avait saisit cette formidable occasion s’offrant à elle. Quelle autre femme normalement constituée n’en n’aurait pas fait autant à sa place ?
ULRIKA – « Alléluia, tu as enfin compris que ce n’était pas la peine de te questionner pendant des heures…Tais-toi et profite. Et laisse-toi faire… »
Brusquement, ils ne se vouvoyaient plus, l’un comme l’autre. La brunette avait pensé qu’il n’était pas utile de mettre davantage de barrières entre eux. Ce n’était ni le lieu ni le moment d’avoir un discours soutenu ou philosophique, bien qu’à la base Samuel enseigne cette matière. Aux yeux de la demoiselle, il n’était plus professeur, et elle n’était plus violoniste de renommée mondiale. Ils n’étaient rien d’autre qu’un homme et une femme prêts à assouvir leurs désirs trop longtemps passés sous silence. A ceci près qu’elle imaginait tout à fait Samuel nettement plus brimé de ce côté-là. Ce fut sans doute pourquoi Ulrika finit par reprendre le contrôle des opérations en laissant ses mains devenir nettement plus baladeuses et en commençant à le provoquer de manière nettement plus franche. Après tout, ils n’étaient pas pressés certes, mais ce n’était pas une raison pour qu’ils deviennent soporifiques…Ulrika voulait soutenir la pression et tenir la distance. Un défi qu’elle allait remporter haut la main, comme à son habitude. Ses lèvres s’étaient faites diablement passionnées tandis qu’elles possédaient littéralement celles de Samuel, et bien qu’elle soit soulevée par l’homme et ne puisse donc pas se servir de ses jambes à proprement parler, cela ne l’empêcha pas de mettre en place un petit manège tout à fait délectable à l’aide de son bassin. Une sorte de danse sensuelle, la poussant à se frotter délicatement contre Samuel, faisant ainsi monter la pression sans aucun mal. Ulrika était douée pour être inventive, et il valait mieux pour elle : On ne pouvait pas dire qu’elle soit dans la position la plus confortable du monde, aussi.
ULRIKA – « Si tu fatigues tu me dis, je m’accrocherais à la paroi de la douche. »
Pourquoi manquer d’esprit pratique ? Ce n’était pas stupide, comme intervention. A sa décharge, elle parlait rarement pour ne rien dire…Et s’excuser de tout ce qu’elle lui avait dit, ou lui avait fait subir, lui paraissait inutile. Samuel allait vite s’en remettre : La preuve, elle lui offrait un lot de consolation de taille après tout…Alors que rien ne l’y prédisposait de prime abord.
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| Sujet: Re: Il y a des jours où rester coucher serait une bonne idée. [HOT] Mar 24 Mai - 19:51 | |
| Cette jeune femme était étonnante. Samuel ne savait plus du tout comment se comporter avec elle. Autant elle pouvait être froide et cassante, autant, elle pouvait être agréable et douce. Il ne savait pas si elle voulait vraiment qu’ils couchent ensemble, mais c’était une idée de le mettait sur ses gardes. Il ne voulait pas se retrouver avec une accusation de viol sur le dos. C’était en partie pour cela qu’il hésitait. A l’écoute des propos de la jeune femme, il ne dit rien, mais n’en pensa pas moins. Elle ne pouvait pas s’empêcher d’avoir le dernier mot. Enlevant le soutien gorge de la jeune femme, il en prit possession. Autant agir, vu que madame ne semblait pas vouloir qu’il parle. Il laissa la jeune femme parler, sans jamais répondre. A entendre ses soupirs, il devait avouer que c’était un son qu’il appréciait beaucoup. Grognant aux propos de l’étudiante, il ne répondit toujours pas. Elle semblait avoir se besoin constant d’avoir le dernier mot. S’occupant du haut du corps qui était à porté de ses lèvres, Samuel sentit finalement la jeune femme l’embrasser. Se laissant aller, Sam avait toujours une sorte de retenue face à la jeune femme. Sentant finalement la jeune femme se frotter à lui, il se mit à grogner. Puis, quand elle reprit la parole, il la fixa dans les yeux.
On t’a jamais dit qu’un silence est plus parlant qu’un questionnement incessant ?
Il reprenait ses propos et il continua de la fixer dans les yeux.
Tu n’as pas posé de questions, mais arrêtes d’avoir ce besoin incessant d’avoir le dernier mot. Tais-toi et agis.
Il n’avait pas été méchant, il voulait juste lui faire comprendre que pour le moment parlé n’était pas la priorité. Baissant la tête, il fit descendre une de ses mains vers les cuisses de la jeune femme. Il appréciait de la sentir se frotter à lui, mais il y mit fin. La lâchant doucement, il attendit qu’elle touche terre, avant de faire descendre ses doigts le long du ventre de son étudiante, pour commencer à jouer avec les bords de son dernier dessous. Fixant la jeune femme dans les yeux, il lui enleva ce dernier rempart de tissu. Puis, il se recula, tout en laissant tomber le tissu, pour fixer la jeune femme. Elle avait un corps magnifique et il devait avouer que son cerveau n’en revenait pas. Se collant à nouveau à la jeune femme, il savait qu’elle pouvait sentir l’effet qu’elle lui faisait. Embrassant l’étudiante, il resta collé à elle. Il aurait bien enlevé ses propres sous vêtements lui-même, mais il se disait qu’elle allait sans doute lui dire que c’était à elle de le faire, alors, il continua de l’embrasser, espérant qu’elle allait le libérer. |
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| Sujet: Re: Il y a des jours où rester coucher serait une bonne idée. [HOT] Mar 24 Mai - 21:38 | |
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Au lieu d’être offusquée par les propos de Samuel, Ulrika laissa échapper un petit rire amusé. Discret, histoire qu’ils ne soient évidemment pas repérés de sitôt, avant d’agir effectivement. Elle venait à peine de toucher le sol qu’un nouveau soupir se fit entendre dans la cabine, et la demoiselle avait un mal fou à réfléchir et à agir effectivement. Les caresses de l’homme contre son corps ruisselant et frissonnant l’empêchaient de se mouvoir comme elle le souhaitait, ou même de procéder elle-même à une divine provocation qu’il avait pourtant largement méritée. Ce ne fut qu’une fois complètement nue que l’ardente brunette vit une formidable occasion de se « venger » comme il se devait : D’un geste vif, elle plaqua l’homme sans vraiment de violence contre la paroi opposée de la douche afin de poursuivre son petit manège. Certes, elle s’était légèrement écartée de lui afin de lui offrir une sorte de danse rapprochant leurs deux corps progressivement, mais cela n’empêcha pas à ses mains de finir par se plaquer délicatement contre ses côtes de Samuel. Elles finirent par descendre délicatement, tandis que son regard le dévorait littéralement, jusqu’à ce que ses doigts ne frôlent le caleçon qu’il portait. Ulrika se mit à jouer avec l’élastique avant de s’emparer à nouveau de ses lèvres et de lui offrir un baiser qui gagna en intensité au fil des secondes. A aucun moment elle n’avait prononcé le moindre mot. Effectivement, les paroles étaient complètement inutiles, du moins pour l’instant, et tant qu’il n’était pas nu. Ulrika était pour l’équité parfaite, et ils étaient loin de ce fameux résultat tant que son caleçon serait porté. Elle ne rectifia ce petit détail qu’au bout d’un moment, et ce bien que leurs corps soient toujours collés l’un à l’autre. C’était comme si elle ne pouvait supporter la moindre distance entre eux. Ce n’était plus une distance de sécurité qu’il leur fallait, mais bien une proximité de sécurité. Pourtant, ils n’étaient ni ensemble, ni fiancés, ni mariés…Ils n’étaient rien l’un pour l’autre à proprement parlé, d’où le fait que ce retournement de situation soit on ne peut plus surprenant. Ce n’était pas sa faute, Ulrika aimait autant être surprise qu’être surprenante. Elle cessa donc son petit manège, son petit jeu favori avec l’élastique du caleçon de Samuel plutôt brutalement, avant de le lui ôter avec vigueur. Le vêtement tomba de lui-même dès lors qu’elle eut légèrement tiré dessus, avant qu’elle ne se baisse pour le lui ôter de façon définitive. Ainsi, ils étaient sur un même pied d’égalité, et alors qu’elle embrassa chastement ses lèvres une fois revenue à sa hauteur, elle ne pu s’empêcher de s’amuser en le provocant légèrement.
ULRIKA – « Maintenant, on est sur un même pied d’égalité. »
Elle avait dicté cette phrase plutôt fièrement, avant de déchanter légèrement en entendant que la porte principale s’ouvrait en grand. C’était un homme accompagné d’un autre, sortant visiblement d’un entraînement de sport, et la poussant à sauter avec vigueur dans les bras de Samuel afin qu’ils ne soient surtout pas captés. Il fut passablement difficile pour Ulrika de ne pas exploser de rire en cours de route, surtout étant donné le côté cocasse de la situation…Mais rien n’aurait pu l’empêcher d’être provocante ou joueuse, à vrai dire. Ils n’étaient plus vraiment seuls, mais tant qu’ils étaient discrets, qu’est-ce qui les empêchaient de s’amuser ? Rien. Elle dû certes étouffer un petit rire, mais elle le fit de la manière la plus agréable au monde : En s’emparant des lèvres de Samuel. Qui disait discrétion, disait silence et donc, douceur. Elle ne pu être réellement passionnée ou provocante en soi, et ce pendant de longues minutes. Mais cela lui permit d’expérimenter une toute autre sorte d’étreinte entre leurs deux bouches. Quelque part, si les deux autres hommes savaient ce qui se tramait dans leur cabine, ils n’auraient sûrement pas pressé leur douche. Mais qu’importe, Ulrika n’avait aucune attention pour ces deux inconnus, bien au contraire. Elle n’avait d’yeux que pour l’homme la tenant fermement dans ses bras, et dont elle provoquait implicitement l’intimité en cambrant légèrement son bassin avec une sensualité parfaitement digne d’elle. Là-dessus, elle n’avait strictement rien à apprendre, bien qu’elle doive reconnaître qu’il était bon danseur, et qu’il devait sûrement remporter l’unanimité auprès des clientes du club…Qu’importe, dans la seconde, Ulrika menait quelque peu la danse, et à ce qu’elle commençait à sentir comme nouvelles sensations, il n’était pas insensible à son charme, bien au contraire ; et ce bien qu’ils ne soient pas complètement tous seuls. Sans être exhibitionniste, Ulrika savait visiblement comment le satisfaire en toute discrétion et surtout, en tout silence. Cependant, elle ne pu s’empêcher un léger sourire amusé lorsqu’elle eut mis un terme à leur baiser.
ULRIKA – « Tu préfères qu’on attende qu’ils partent ? » lui murmura-t-elle à l’oreille, tellement doucement que Samuel ne pouvait qu’être le seul à l’avoir entendue…
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| Sujet: Re: Il y a des jours où rester coucher serait une bonne idée. [HOT] Mar 24 Mai - 22:02 | |
| La faire ne serait sans doute pas une mince affaire, mais il préférait être clair. Pas besoin de chercher à avoir le dernier mot. Agir serait la meilleure chose à faire dans la situation dans laquelle ils se trouvaient. Déposant la jeune femme au sol, il pû finir de la dénudée. Profitant alors de voir son corps, il devait bien avouer que c’était plus que plaisant. Se retrouvant finalement plaqué contre la porte de la douche, il fixa la jeune femme. N’avait-elle pas apprécié ce qu’il venait de dire ? Continuant de la regarder, il sentit ses mains sur ses côtes. Ne sachant pas ce qu’elle allait faire, il était à la fois excité et fébrile. Excité parce qu’il savait qu’elle serait sans aucun doute imaginative et qu’elle parviendrait à lui faire perdre tous ses moyens. Mais fébrile, parce qu’il ne savait pas ce qu’elle avait décidé de lui faire et si elle le plantait maintenant, il serait plus que rancunier. La jeune femme le fixait dans les yeux et il ne décrocha pas son regard. Sentant les mains de l’étudiante descendre jusqu’à son caleçon, il fronça légèrement les sourcils. La seule pensée qui lui vint à l’instant, fut qu’elle pouvait le castrer d’un bon coup de genou. C’était une pensée totalement nulle, mais avec ce qu’il avait déjà pû voir de l’étudiante, il s’attendait à tout. La laissant s’occuper de son caleçon, il se retrouva embrassé à nouveau. Seulement, elle mit plusieurs minutes, qui durèrent des heures pour Samuel, avant de lui enlever son caleçon pour de bon. La regardant se baisser, il leva un pied après l’autre, pour se retrouver nu à son tour.
Haussant un sourcil, il la fixa. Décidemment, elle ne pouvait pas s’en empêcher. Il fallait qu’elle parle à chaque fois. Seulement en quelques secondes, elle lui sauta dans les bras. Allant parler pour lui demander si elle était aussi en manque que ça, de cette position, il entendit à son tour des voix. Ils ne pourraient décidemment pas être tranquilles, ne serait-ce que quelques minutes. C’est vrai que beaucoup d’étudiants étaient sportifs à Berkeley, mais pour une fois, ils auraient pû prendre leurs douches chez eux. Se laissant embrasser à nouveau, il assura plus sa prise autour de la jeune femme. Il fit en sorte qu’elle soit bien accrochée à lui, pour ne pas tomber. Profitant au maximum du baiser de sa partenaire, il la sentit bouger son bassin contre le sien. Serrant les dents, il la fixa dans les yeux. Elle le provoquait encore une fois et très ouvertement. Soupirant, il essayait de se calmer, mais ça n’était vraiment pas simple. Souriant à ce qu’elle venait de lui dire à l’oreille, il approcha son visage du sien, pour lui répondre également à l’oreille.
Pourquoi attendre ?
Il réussit à les retourner, pour plaquer doucement la jeune femme contre la porte et lui prouver qu’il n’allait pas attendre. Il ne savait pas combien de temps les deux hommes allaient mettre pour prendre leur douche et il n’avait pas vraiment envie d’attendre non plus. Souriant, il fixa la jeune femme dans les yeux avant de plonger en elle. Serrant les dents au maximum, il ne fallait pas qu’il fasse de bruit. Il savait qu’en commençant tout de suite, ils seraient plus rapides que prévu, mais il s’en fichait pas mal. Commençant alors de longs mouvements de vas et vient, il sentant les ongles de la jeune femme s’enfoncer dans ses épaules et son dos. Souriant de plus belle, il savait qu’elle finirait par le mordre ou l’embrasser pour s’empêcher de faire le moindre bruit. Ca ne le dérangeait pas outre mesure et il se mit à sourire encore plus, quand il déposa ses lèvres dans le cou de la jeune femme. L’embrassant, il continua ses mouvements de bassins, mais pendant ce temps, il décida de marquer la jeune femme. Elle lui avait mené la vie dure, alors à lui d’en profiter et de pouvoir lui déposer sa marque, sur la nuque. |
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| Sujet: Re: Il y a des jours où rester coucher serait une bonne idée. [HOT] Mar 24 Mai - 22:36 | |
| You can't handle me, I'm the master of the game ; but please, just try to play against me, just for fun...
Ce petit jeu était aussi délectable qu’il était dangereux, à vrai dire. Puisqu’ils avaient décidé de jouer jusqu’au bout, ils allaient devoir faire avec les deux hommes présents dans la pièce, tout à leurs douches. Ulrika s’en réjouissait presque d’avance, puisqu’il s’agissait d’un défi en bonne et due forme. Elle ne savait pas très bien ce qui la retenait d’exprimer son plaisir à haute voix…Sûrement qu’elle s’était promis de ne pas être à l’origine d’un blâme de Samuel. Elle s’était pointée dans sa cabine pour lui faire du bien, pour lui procurer du plaisir, et non être à l’origine de la perte de son emploi. Elle avait beau être cruelle sur les bords, elle avait un semblant d’honneur, et ça, même l’homme la tenant fermement dans ses bras ne pouvait le lui reprocher ou prétendre le contraire. La preuve, elle lui avait murmuré un semblant de mot doux on ne peut plus discrètement, auquel il avait répondu avec la même provocation dans le regard. Il succombait enfin sans retenue, et si elle devait être tout à fait honnête, Ulrika énoncerait qu’elle adorait cela. Mais à la place, elle se contenta de sourire, afin de poursuivre sans son élan de discrétion, tandis qu’elle cambrait volontiers son bassin afin de lui permettre une plus grande marge de manœuvre. A la surprise générale, Samuel succomba à la tentation en un rien de temps, lui offrant un premier frisson homérique dès lors qu’il eut commencé ses va et vient. C’était divin…Nettement mieux que ce à quoi elle s’attendait, et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle profitait pleinement de cet instant. Même s’ils n’étaient plus seuls dans la pièce et qu’ils devaient se contenir l’un comme l’autre, elle joua le jeu jusqu’au bout : Elle se laissa plaquer délicatement contre la paroi opposée de la cabine, se mordant les lèvres afin d’éviter tout cri qu’elle n’aurait pas pu maîtriser. Les mouvements de son nouvel « amant » étaient longs et de ce fait, ils accentuaient les sensations naissant dans le corps de la demoiselle. Ses bras s’accrochaient à sa nuque, et leurs corps étaient si proches que la température ne faisait que grimper de seconde en seconde. Bientôt, la pression serait tellement insupportable que la volcanique demoiselle allait devoir s’accrocher à la paroi de la douche ou…En l’occurrence, au dos de Samuel. Sans même en faire exprès, ses ongles griffèrent légèrement son dos alors qu’elle retenait tant bien que mal ses soupirs et ses petits cris de plaisir. Aucun sang ne s’échappa de la marque certes, mais Ulrika pouvait être certaine que celle-ci allait rester quelques jours : Elle avait enfoncé suffisamment ses ongles pour le griffer et ainsi lui garantir une trace de ce moment partagé. Le pire ? C’est que l’intention de le marquer n’était pas intentionnelle, alors que Samuel venait de se délecter de lui faire un suçon ! Tout d’un coup, elle regrettait nettement moins la petite « blessure » qu’elle venait de lui faire, et qui l’avait empêchée d’être nettement moins discrète.
ULRIKA – « M’est avis que ça va se payer » ne put-elle s’empêcher de lui murmurer à l’oreille, d’une voix à la fois suave et soupirante.
Ce moment était un délice et un supplice en même temps. Ulrika ne savait même pas comment elle faisait pour se retenir à ce point. Lorsqu’elle fut sur le point de craquer de manière plutôt violence, l’ardente brunette s’empara furieusement des lèvres de Samuel, afin de lui faire comprendre à quel point cette frustration était délicieuse. Mais quelque chose lui disait qu’il vivait exactement la même torture, de la même façon. Cette façon qu’ils avaient de s’appartenir sans se connaître, et sans promesse, était divine. Malgré la différence d’âge et la compagnie qu’ils avaient bien malgré eux, Ulrika n’hésitait pas à s’accrocher à lui comme à une bouée de sauvetage, tout en laissant son corps pleinement s’exprimer. A chaque mouvement, elle se sentait se perdre dans les méandres de son propre plaisir, et ses hanches, plutôt que de s’écarter afin de lui laisser quelques secondes de répit avant le nouvel assaut, se soulevèrent traitreusement pour lui permettre un plus grand champ d’action. Samuel sembla comprendre le message à la lettre, puisque la vitesse s’intensifia légèrement et la force de ses mouvements également. Ulrika préférait l’embrasser à en perdre le souffle plutôt que de risquer d’être découverte maintenant. Mais cela ne l’empêchait nullement de laisser ses bras entourer sa nuque, et ses mains s’accrocher violemment à son dos. Non, ce moment n’était pas synonyme de douleur et de plaisir…Il n’était que plaisir délectable, proche du paradis. Qui l’aurait cru, alors qu’ils étaient censés se haïr cordialement ! Pourtant, l’ardente brunette ne sépara ses lèvres des siennes qu’au bout de longues minutes, tandis qu’elle commençait à maudire ces maudits sportifs qui commençaient à prendre bien trop de temps pour leur douche à son goût. Elle se mordait la lèvre inférieure tandis que Samuel ne ralentissait pas la cadence, bien au contraire. Ils finirent par se décoller de la paroi de la douche, afin d’accélérer encore davantage leur supplice, tandis que la demoiselle souriait satisfaite. Si, encore une fois, elle se devait d’être honnête, elle aurait pu dire sans crainte qu’il s’agissait de sa meilleure partie de jambes en l’air depuis un lustre…Et ce même si elle allait devoir camoufler un suçon et qu’il allait sûrement devoir appliquer un pansement contre les endroits où elle l’avait griffé sans faire exprès. Fallait-il qu’elle ait un haut sens de l’honneur pour ne pas hurler de plaisir, à vrai dire…Tout en espérant que Samuel remarquait l’effort fait et profitait autant qu’elle de l’instant.
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