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| | Celle qui allait aider celui qui s'y prend trop tard |  |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
 | | Sujet: Celle qui allait aider celui qui s'y prend trop tard Mer 20 Avr - 13:50 | |
| Elève en dent de scie, Ulysse ne connaît que des hauts et des bas dans ses notes. En général, il étudiait la veille des examens et ça passait. Mais cette année, il était à l’université et il avait intérêt à redoubler d’effort. Alors c’est sûr que la vie à l’université, ça il avait réussit à s’adapter: les soirées pour tout et n’importe quelles excuses, les virées en villes, les bals, les fêtes à grand débit d’alcool, les coups d’un soir,…Ah ça oui, Ulysse avait réussit à s’adapter et s’intégrer. Mais pour les cours, c’était une toute autre histoire.
Le jeune homme entrait dans la bibliothèque. Il n’avait jamais pris le temps vraiment d’y venir sauf peut-être pour se réfugier lorsqu’il pleuvait des cordes dehors …et même dans ces cas-là, en général, il n’osait pousser la porte de peur de faire trop de bruit. Oui, s’il y avait bien une chose qu’Ulysse trouvait funèbre dans une bibliothèque c’est le silence terrible qui plane dans ces grandes pièces. Il trouvait ça d’autant plus dur à respecter qu’il y résidait une sorte d'écho qui amplifiait d’ailleurs le moindre petit bruit ou geste qu’il pouvait faire.
Ulysse passait devant l’accueil, et entrait enfin dans l’antre du savoir…ici tout le monde paraissait studieux et intelligent, ça faisait presque peur à voir. Certains avaient l’air de zombies tant leur teint était blanchâtre. Ulysse se surpris à se demander s’ils étaient au courant qu’il existait le soleil à l’extérieur. Lorsqu’il passa devant un garçon-zombie qui possédait tout les artefacts du coincé de bibliothèque idéal (à savoir : chemise, lunettes, nœud papillons, bonus: cheveux gras, combo: acné sévère), Lyss’ était quasi certain d'avoir remarqué une toile d’araignée entre lui et la fenêtre à côté de laquelle le garçon lisait. Le jeune Sparker continuait d’avancer entre les colonnes de livres et retint un frisson de dégoût en pensant peut-être que l’araignée avec laquelle ce garçon était en train de faire plus qu’un, serait peut-être la seule compagnie qu’il aurait de la journée.
Une fois installé à l’une des tables libre de la pièce, ouvert son sac en bandouilère, sortit son devoir et se faire entendre quinze fois " chuuuttt !!! " pour tout le bruit qu’il avait fait, Ulysse ajouta un long soupire en y relisant l’énoncé. Comment allait-il pouvoir comparer les écrits du célèbre écrivain Charles Dickens à la société angaise du 19ème siècle ? La sociologie c’est cool mais pour Ulysse ça l’est beaucoup moins lorsqu’un écrivain dont il n’avait jamais lu aucun ouvrage venait s’en mêler.
- Pfff c’est pas possible ! je vais pas pouvoir lire tous les livres de ce Dickbens pour demain, moi !! et puis c’est quoi l’intérêt !? Je suis pas en littérature, merde !
Après s’être défoulé verbalement et 7 " chuuuttt !!! " plus tard, Ulysse tenta une approche dans les rayons. Lyss’ cherchait après les livres qu’un certain Dickbens aurait pû écrire…Puisqu’il ne trouvait rien, il revint vers son devoir avec un petit sourire
- Héhé bah c’était plus simple que ce que je pensais. S’il a rien écrit cet idiot de Dickbens, je peux pas faire ce devoir…sont vraiment cons parfois les professeu…
Puis…Effroi ! Désolation ! Stupeur ! Ulysse vit sur l’énoncé du devoir qu’il aurait du chercher après un Dickens et non un Dickbens. Voilà comment le Sampi avait perdu quasiment une heure pour rien. De plus, Charles Dickens avait écrit pratiquement une quarantaine de bouquins, ce qui rendrait la tâche encore plus longue que ce qu'il avait espéré.
Complétement perdu dans ce milieu qu’il ne connaissait pas, Ulysse regardait à gauche puis à droite, puis encore à gauche et encore à droite pour trouver quelque chose qui aurait pû l’aider. On aurait dit qu’il s’apprêtait à traverser une immense autoroute avec ses mouvements de tête rapide. Mais tel un véritable Sampi, il restait Zen. Quoiqu’il lui faudrait maintenant trouver une solution et vite de préférence. C’est là que son regard se déposa sur une ravissante jeune fille…une Alpha. Enfin, Ulysse avait du mal à le croire, d’habitude les Alpha n’étaient pas si jolies. Mais bon, ça le gay affirmé qu'il était s’en fichait. Il s’approcha de la demoiselle qui allait peut-être pouvoir le sauver.
- Hey salut, t’es bien une Alpha, c’est ça ?? Dis... est-ce que tu pourrais m’aider ? J’ai un devoir sur Dickbens euh je veux dire sur Dickens à rendre pour demain et j’ai jamais rien lu sur lui…
Il ajoutait un sourire triste avec deux grands yeux aux pupilles dilatées, comme l'aurait fait un célèbre chat surmonté de bottes et coiffé d'un chapeau de mousquetaire. Ulysse espérait que ça suffirait pour que la jeune fille accepte. Dommage que sa relax attitude de Sampi ne puisse pas plus laisser paraître la misère dans laquelle il s’était fourré. |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Celle qui allait aider celui qui s'y prend trop tard Mer 20 Avr - 18:33 | |
| - Je devais réviser le temps de mon voyage à los angeles pour y rejoindre mon cher père, même si nous allions probablement passer nos premiers jours ensemble à nous disputer ou encore à essayer de s'expliquer sur la situation dans laquelle il nous avait mis avec cette nouvelle femme qui prenait peu à peu la place de ma mère aux côtés de mon paternel. Je décisais de me rendre à lma bibliothèque pour en retirer certains livres pour être sûre d'être prête pour mes partielles de fin d'année, qui normalement devait être la dernière! Je n'avais pas trop à m'en faire, j'étais une élève très consciencieuse et faisait partie dela confrérie des Alpha ce n'était pas pour rien non plus. J'errais dans les allées à la recherche des fameux bouquins quand une fois trouvée, je me rendis à une table, où un jeune homme se fit remarquer à plusieurs reprises. C'était insupportable de voir de tel gens avec aussi peu respect envers autruis.
Je prenais quelques notes, quand soudain on semblait s'adresser à moi, je relevais les yeux sur ce jeune homme qui semblait presque sangêne. Je l'écoutais toujorus mon crayon en main puis me redressant et le regardant dans les yeux prenant une posture plus redressée sur ma chaise je pris la parole après avoir fait une légère moue.
- Hey salut, t’es bien une Alpha, c’est ça ?? Dis... est-ce que tu pourrais m’aider ? J’ai un devoir sur Dickbens euh je veux dire sur Dickens à rendre pour demain et j’ai jamais rien lu sur lui…
Effectivement je suis une Alpha, j'étais fière de porter ce nom, même si certain entendait par là, que ce n'étaient que des intellos sans autre passion que les études, les livres et tout ce qui se rapportait à la vie étudiante, mais les partisans de ce groupe savaient tout autant faire la fête!
Pour commencer, la moindre des choses serait de se présenter jeune homme, je ne suis au service de personne, et pas très convainquant comme argument d'avouer que tu ne connais même pas Dickens sachant que tu as un devoir à rendre sur auteur.
Je me levais et rassemblais mes affaires pour ensuite faire face à cetce jeune homme dont je ne connaissais toujours pas le nom puis lui indiquais de me suivre sans faire trop de bruit.
L'emmenant au fond de la grande pièce, pour déranger le moins possible je lui fis signe de s'asseoir.
Je veux bien t'aider, mais si à la moindre occasion si je vois que tu te fiches éperdument de moi, tu te débrouilleras et crois moi, dis je en me baissant à sa hauteur, les mains posées sur le bureau, tu le regretteras, me suis-je bien fait comprendre? Et tu auras un zéro pointé pour ton devoir, alors la balle est dans ton camp.
Je fis le tour de sa personne pour prendre place à ses côtés et reprit la parole.
Au fait, moi c'est Emy.
Ce genre de personne arrogante aux premiers abords avaient tendance à me taper sur le système, mais il avait fait la démarche de venir demander de l'aide, peut-être voulait-il vraiment obtenir une bonne note?
Se montrer était une chose que je me devais de faire pour lui faire comprendre que je n'étais pas à sa disposition et qu'au moindre écart il se verrait seul devant sa feuille blanche et un peu d'affirmation et d'autorité ne puvait pas lui faire de mal mais essayer de le motiver.
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| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Celle qui allait aider celui qui s'y prend trop tard Mer 20 Avr - 20:08 | |
| Ulysse était assez perplexe. La jeune Alpha défiait totalement toutes les lois des clichés en ¼ de seconde. Non seulement elle était jolie mais en plus elle avait du caractère. Ca alors, qui l’aurait cru pour une Alpha ?? Il était clair que face à elle, il n’avait plus aucune excuse de faire le malin. Mais malgré les apparences, Lyss’ était travailleur à l’école, enfin quand ça lui plaisait et il faut l’avouer…ça lui plaisait que très rarement. Enfin bref, lorsqu’elle lui fit la remarque sur son manque de tact en matière de présentation, le jeune garçon en vint même à rougir, et le phénomène s’accentua encore plus lorsqu’elle lui expliqua à quel point c’était navrant de ne pas connaître Charles Dickens surtout lorsqu’on est censé rendre un devoir sur lui.
Le jeune Sampi essaya de s’excuser et de se présenter en même temps, si bien que, de sa bouche, ne sortit qu’un bête balbutiement. Le "si sûr de lui" Sparkle se transformait petit à petit en minuscule chaton sans défense. Mais comment se faisait-il qu’il devenait si gêné ? En cet instant, il aurait fait honte à tous les Sampi s’ils l’avaient vus dans cet état. Où était donc passé sa sociabilité infinie ? Le voilà cloué sur place ne sachant plus quoi dire, ni quoi faire.
Puis, en regardant autour de lui, il se rassura en se disant que son état ne pouvait venir que du lieu. Le prestige et le charisme de la bibliothèque était en train d’aspirer toute son aisance.
Il se devait de réagir s’il ne voulait pas finir tout séché comme le garçon-zombie qu’il avait vu auparavant et dont il était certain à présent que ce pauvre garçon n’arriverait plus à s’échapper de l’emprise de l’infâme bibliothèque.
La jeune femme s’éloigna. Ulysse restait dépité …Apparemment, il devrait lire la bibliographie complète de Dickens et rendre un devoir impeccable en quelques heures seulement sans l’aide de la demoiselle. Ulysse s’en voulait de ne pas s’être pas présenté correctement, si c'était ça qui avait posé problème. Il reprit le sourire. Au moins, il allait quitter cette bibliothèque et tant pis pour le devoir …Enfin, Emy lui fit signe de la suivre. Ulysse fit des yeux tout ronds, elle paraissait moins sévère qu’elle en avait l’air. Peut-être que le jeune homme était juste arrivé au mauvais moment. Après tout, si elle était-là, il l’avait sans doute dérangé pendant qu’elle travaillait.
Il n’en fallut pas plus à l’Australien pour reprendre goût à son devoir et maintenant, plus que jamais, il était décidé à décrocher la meilleure note possible.
Emy invita Lyss’ à s’asseoir et s’assura qu’il comprenne bien qu’en aucun cas, il n’avait intérêt à prendre son aide à la légère. Il trouvait ça étrange et intriguant de voir à quel point elle pouvait être très déterminée dans ce qu’elle disait sans pour autant hausser le ton.
- Tu peux compter sur moi Emy, je suis motivé à max…ah et désolé pour tout à l’heure, moi c’est Ulysse – Sampi – 1ère année de sociologie dit-il en présentant sa main. Il avait l’habitude des poignées de mains originales où l’on fait s’entrechoquer de diverses manières tout les côtés possibles d’une main avec celle de son partenaire mais pour une fois, il sentit que cela n’aurait pas été dans son intérêt de se faire remarquer avec ce genre de débilitées.
- Bon, par quoi on commence ?? Tu sais je pense pas que ce travail va prendre beaucoup de temps, je suis plutôt calé sur la société anglaise du 19ème siècle, ce qui coince surtout c’est ce Dickens, tu peux m’en dire plus sur lui ?
Uyss’ avait sortit la feuille de son énoncé et s’apprêtait à présent à prendre note. Il sortit de sa poche un crayon, qui, d’après son allure, avait traîné plus de temps à se faire mâchouiller qu’à glisser sur une feuille de papier.
En cet instant, c’est certain, il avait tout l’air d’être un touriste. Mais qu’est-ce que vous voulez …un Sampi ne s’encombre pas d’objets superflus. Un crayon en bois à tailler au couteau lui suffisait amplement pour décrocher des bonnes notes et c’était beaucoup plus écologique que tout ces autres barbaries de bureautiques qui permettent d’écrire grâce à des produits chimiques colorés qui polluent et coûtent une fortune comparés à un crayon ordinaire.
Dernière édition par Ulysse Sparkle le Jeu 21 Avr - 21:28, édité 2 fois |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Celle qui allait aider celui qui s'y prend trop tard Jeu 21 Avr - 13:42 | |
| - Il me fit sourire intérieurement en jouant le petit soldat face au commandant, comme s'il prenait la posture devant un haut-gradé. Mais je ne lui montrais en rien ce côté amusé qu'il venait d'éveiller en moi. Puis il se présenta sous le nom d'Ulysse, "un Sampi", en me tendant la main. Je lui rendis sa poignée, puis finissais de m'installer à ses côtés. La motivation était une chose, encore fallait-il qu'il se mettre au travail. Comment pouvait-il cerner Dickens en si peu de temps et allonger une ribambelle de mots pour le lendemain, où tout devait avoir un sens, comprendre cet auteur et expliquer qui il était lui et ses oeuvres?!
Pour commencer de son vrai il se prénommait Charles John Huffam Dickens, il est né à Portsmouth dans le comté du Hampshire un 7 février 1812, et mouru en Higham dans le Kent, le 9 juin 1870, c'était un romancier anglais. Tu n'as jamais entendu parlé d'Oliver Twist? Il en fut l'auteur parmi d'autres oeuvres.
Chacun connaissait Oliver Twist, non?
Il compte parmi les écrivains anglais les plus populaires du XIXe siècle.
Je l'observais tandis que je lui apprenais qui était ce grand homme, espérant qu'il prenne des notes.Puis je poursuivis.
Il a commencé par écrire de petites histoires dans les journaux et les magazines à l'âge de 21ans, 3ans plus tard il commence la publication des "Aventures de M.Pickwick Papers", grand succès qui fut immédiat, un pur chef d'oeuvre humouristique puis la même année il devînt éditeur du Recueil de Bentley et pendant les deux années suivantes il entama une nouvelle publication celle "d'Oliver Twist". Il se maria avec une dénommée Catherine Hogarth, avec qui il eut dix enfants. Il a poursuivit avec diverses publications... Il visitera même l'Amérique pour écrire ensuite toutes les observations qu'il pu faire à travers ce voyage. Il fut le créateur du quotidien "The Daily News". Il poursuivit toujours ses publications où il se réfèrera dailleurs à sa propre vie après avoir fait quelques écrits sur les romans industriels. En 1858, il achètera un maison près de Rochester et il quittera sa femme deux ans après. Puis après cette période il décidera de retourner aux romans historiques en ayant pour thèmecette fois-ci, la "Révolution française". Son meilleur roman fut celui des "Grandes Espérances", d'après les nombreux critiques et lecteurs de cet auteur. Suivit ensuite de deux nouveaux livres, donc l'un fut inachevé. Dickens mouru à l'âge de 58ans, épuisé par ses tournées incessantes de lecture publique comme jadis il y en eu beaucoup, laissant dernier lui un nom, ainsi qu'une fortune. Il fut inhumé dans le coin des poètes à l'abbaye de Westminster. Et pour ces oeuvres elles se comptent au nombre de 32.
Je regardais Ulysse, avec un sourire aux coins des lèvres, espérant qu'il ait enregistré tout ce dont je lui avait dit, et encore je n'avais fait qu'expliquer en gros la vie de Dickens en inculant certaines de oeuvres. Je n'allais pas tout de même pas lui mâcher le travail.
Et bien sûr je ne t'ai donné que ce qui était superficiel, les bases de Dickens maintenant à toi de décortiquer tout ça, détailler pour faire que ton devoir soit correct.
Je voulais voir s'il s'intéressait vraiment ou bien s'il s'en fichait? Dans ce cas, je laisserais tomber, il avait les cartes en main alors c'était à lui de voir pour la suite des événements.
Je le regardais, assise de trois quart vers lui, ma tête posée sur l'une de mes mains où celle-ci s'enfonçait dnas ma chevelure.
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| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Celle qui allait aider celui qui s'y prend trop tard Jeu 21 Avr - 18:45 | |
| Lyss’ notait à vive allure. Si vite, qu’il n’aurait pas été étonné de voir la feuille de papier s’enflammer sous les traits vifs de son crayon. Dans son poignet, c’était la panique: les ordres fusaient dans chacun de ses doigts, les muscles de sa main se contractaient en rythme, les globules rouges s’activaient en chœur pour apporter toute l’énergie nécessaire et enfin, ses os cliquetaient dans une harmonie quasiment parfaite. Quasiment ? Oui, parce que le jeune garçon venait à peine d’arriver à la moitié de sa page que déjà, il ressentait des douleurs.
- Ah ! Alors c’est de lui Oliver Twist …Je me rappelle, j’avais commencé à le lire quand j’avais 7...
A peine Emy le voyait déborder du sujet qu’elle reprit, l’obligeant alors à se re-concentrer et prendre notes, il n’avait pas d’autre choix de toute façon s’il voulait obtenir toutes les infos nécessaires dont il aurait besoin.
Puis, Emy s’attaqua alors à la vie proprement dite de l’auteur anglais jusqu’à ce qu’elle arrive à un détails qui fit réagir le jeune garçon.
- Attend…te fous pas de moi...t’es pas en train de dire n’importe quoi, j’espère. Nan, parce que dix enfants…tu trouves pas ça beaucoup, toi ? Avec la même femme en plus ! Moi, plus tard je veux pas d’enfants, c’est sûr je suis à l’autre extrême …mais bon dix c’est quand même beaucoup trop…J’ose même pas imaginer les repas d’enfer qu’ils devaient y avoir chez eux tous les soirs…et les batailles de coussins après, le soir, dans les chambres… Y a quelque temps, c’est vrai, je me disais que ça pourrait être cool d’avoir un gamin, je l’aurais appelé Hugo, je pense… ou peut-être Timothé et …
Quand il s’aperçut à quel point il était en train de déballer sa vie, il s’arrêta net dans son élan…prit le temps de faire disparaître dans sa tête cette idée d’avoir des enfants et revint à Charles Dickens en s’excusant grâce à un petit "désolé" à peine audible. Emy continua et Ulysse ressentit les douleurs revenir dans son poignets au fur et à mesure que ses notes s’allongèrent.
Lorsqu’Emy lui apprit que Charles Dickens quittait sa femme, la laissant donc toute seule à s’occuper de dix enfants, Ulysse ne pu s’empêcher de retenir un petit "oh" de surprise. Puis, avec un mine de plus en plus stupéfaite à mesure que la biographie s’achevait, Ulysse lâcha même un "c’est triste" quand Emy lui dévoila l’âge pas si avancé que ça de Dickens à l’heure de sa mort.
Emy avait terminé, Ulysse analysait d’un regard rapide les notes qu’il avait prise pour être certain qu’il avait bien tout saisit. Puis, puisque Emy insinuait en avoir finit avec lui, Lyss’ posa sa main sur la sienne comme pour la retenir un instant.
- Attend…je …j’ai…hum, me prends pas pour un nul, mais j’ai jamais rien lu de ses livres…Apparement, il a beaucoup voyagé et écrits sur plusieurs pays mais tu sais quelque chose de la vision qu’il avait de sa société à lui ? Il n’en parle donc jamais de l’Angleterre dans ses ouvrages ?
Lyss’ retira sa main de celle d’Emy et repris son crayon en main.
- Je pensais mettre l’accent sur le fait que peut-être la société anglaise ne lui plaisait pas, voilà pourquoi il avait tant envie d’aller voir chez les autres comment ça se passe, peut-être espérait-il trouvé mieux ? En fait, je me demande si le devoir ne devrait pas plus être axé sur ses publications au daily news, l’énoncé était peut-être légèrement faussé en mettant célèbre écrivain pour qu’on pense forcément à ses œuvres les plus célèbres mais la majorité ne se déroule même pas en Angleterre.
A présent, Ulysse était plein de ravissement. Un sympatique sourire illuminait son visage et bientôt il fut lui-même étonné que son entrain lui fasse embrasser Emy sur la joue pour la remercier.
- Ahah mais oui ça doit être ça ! En sociologie, la plupart des devoirs sont des tests limite psychologique pour voir comment on peut surmonter les problèmes. Du coup, il fallait y voir là un intérêt à l’homme que Dickens était et non à ses romans…enfin, peut-être. Ah ! Il me semblait bien que ce devoir presque littéraire n’avait que fort peut d’intérêt…
Ses propos mal tourné auraient pu offenser la demoiselle Alpha, justement en étude de littérature, c’est pourquoi Ulysse se reprit.
- Oh, je ne dis pas que la littérature, c’est pas intéressant juste que…en sociologie, ça n’aide pas beaucoup les romans et les fictions. |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Celle qui allait aider celui qui s'y prend trop tard Ven 22 Avr - 13:20 | |
| - Cela me rassurait de ne pas avoir parlé dans le vide puisqie le nom d'Oliver Twist lui était familier, se souvenant même d'en avoir lu quelques pages à ses 7ans. C'était déjà un bon début et puis cela éveillerait peut-être sa curiosité par la suite de savoir un peu plus qui était cet auteur, ce grand écrivain Charles Dickens.
Tu auras toujours un bref aperçut de l'un de ses romans c'est déjà ça.
Puis reprenant, mon récit, sur ces parutions et sa vie personnelle, Ulysse eut une nouvelle fois une réaction quant au fait que cet homme était le père de 10 enfants et avec la même femme. Il se prit à donner son opinion, sur son futur en tant que père ou non, du nom qu'il donnerait à celui-ci peut-être.
Je t'assure, et je ne vois l'intérêt que j'aurai à te mentir, tu m'as demandé mon aide, et je te l'apporte après si tu doutes tu peux toujours te rendre entre toutes ses étagères bondées de livres et te renseigner tout seul, je n'y vois aucun inconvénient tu sais?!
Mais toutefois je repris, il s'intéressait à mes explications puisqu'il faisait des remarques à chaque fois, c'était plutôt bon signe dailleurs, non? Et cela me faisait plaisir au moins je ne me perdais pas mon temps, il faisait souvent la comparaison entre lui et Dickens, je trouvais cela amusant au fond et puis si cela pouvait lui permmetre de mieux s'en sortir lors de son exposé, pourquoi pas? il retiendrait ainsi certains élements de la vie de cet écrivain. Ce n'était pas peine perdue. Je pensais avoir fait le tour sur ce personnage superciellement sans vraiment entrer dans ses oeuvres plus profondément, mais Ulysse me stoppa dans mon élan quand je faillis m'apprêter à me lever.
Etonnée je le regardais, attendant de savoir ce qu'il voulait savoir d'autre. je l'écoutais attentivement puis lui répondit.
Chacun de ses romans, lui sont personnels, il est un peu de lui dans chacune de ses oeuvres et pour te guider je peux te dire qu'il a effectivement parlé de l'Angleterre comme dans "Les Temps Difficiles" se référant à l'industrialisation et bien d'autres encore. Je te note ici tout ce dont tu auras besoin-je notais le nom d'un site ."je suis mort.com- pour étoffer ton devoir. Je pris son crayon et tira sa feuille vers moi, pour ensuite, lui noter le nom d'un forum où il trouverait ce dont il aurait besoin. Une fois fait je lui rendis sa feuille.
Voilà, ça devrait d'aider. Je me suis déjà servi de ce site, très intéressant dailleurs.
Il se rattrappa sans doute pour ne pas m'offenser, mais chacun était libre de choisir telle ou tellematière à étudier et en fonction de ce que l'on voulait faire plus tard.
Ne t'en fais pas et tu veux que je t'avoue une chose, je n'ai jamais fait de sociologie de toute ma scolarité.
Je voulais lui démontrer que nous ne pouvions pa toujours tout savoir ou connaître, et c'est cela la vie, apprendre chaque jour une nouvelle chose. Sincèrement je ne sais pas si cette matière la Sociologie me plairait, et j'ai beau être une Alpha, je ne suis pas non plus ces petits rats de biblitohèque, ou encore ses intellos à vouloir toujours en apprendre davantage et ce dans n'importe quel domaine! Disons que j'ai certaines capacités à enregistrer les choses et qu'apprendre n'est pas un soucis pour moi, je ne reste pas cloîtrée des heures assise à un bureau. Alpha peut regrouper toutes sortes de gens intellectuels, à des degrés différents, et je ne sais pas tout non plus.
Alpha, parfois ce nom pouvait être péjoratif et je n'aimais pas ce la mais du tout. A me regarder, ressemblais-je aux intellos purs et durs? Chemise à carreau, noeux pap", lunettes, la raie sur le côté? Cette vision m'étira tout de même unléger sourire.
J'espère avoir pu t'aider et je pense que tu devrais t'en sortir, tu as été très...attentif et à même participé, c'est bon signe, lui dis je en lui lançant un clin d'oeil.
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| | | | Jake Fitzgerald there's no place like berkeley › prénom, pseudo : elo, lodiie
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| | Sujet: Re: Celle qui allait aider celui qui s'y prend trop tard Jeu 12 Mai - 21:25 | |
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