the great escape
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -28%
Précommande : Smartphone Google Pixel 8a 5G ...
Voir le deal
389 €
Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal

Partagez

Oh my god. Flavia de Suza

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Aller à la page : 1, 2  Suivant
AuteurMessage
Invité
Invité
avatar

Oh my god. Flavia de Suza Empty
MessageSujet: Oh my god. Flavia de Suza Oh my god. Flavia de Suza EmptySam 5 Mar - 0:43

Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu.

Oh my god. Flavia de Suza Deb47f94256331 Oh my god. Flavia de Suza 2cijkzn

    Petite soirée entre Oméga, on est là, étalé de le couloir comme une bande d'alcoolique pas anonyme du tout. On est tous callé, bien, avec pas trop l'envie de bouger. Je discute avec un amie, tout du moins, j'essaye de discuter, parce que j'ai déja 3 grammes dans chaque poche donc je dit un peu n'importe quoi, je cafouille, je raconte ma vie, c'est limite si je ne me bave pas dessus. La fumette et l'alcool ne font pas bon ménage ? Moi je trouve que si. Je suis complètement opérationnel, je continue a descendre mes deux verres - bah oui j'ai deux mains donc deux verres - et je rigole au blague nul de mon ami, qui en faite est pas vraiment un ami parce qu'on s'est rencontré y'a 12 minutes je crois, mais il est marrant alors je veux bien être son ami ce soir parce que demain je me souviendrai de rien comme d'habitude. Je suis toujours comme ça, avec un vieux trous noir au milieu de mes soirées. Au début, je me faisait en sang d'encre a chaque fois que ça m'arrivait, puis maintenant ça m'arrive tous les jours alors ça me fait plus rien. C'est Alzheimer qui me guette mais tempis, je ferais avec si y'a pas d'autre solution. Je vais pas arrêter de faire la fête juste parce que le lendemain je suis une limace incapable d'aligner 3 mots. J'allume une cigarette, mais comme je me suis habitué a fumer dehors avec l'air frais et tout et tout, je descend sur le chemin des Grecs. Je suis en jean et en tee shirt, mais il ne fait pas trop froid pour une fois cette nuit. Bon enfaite si, il fait super froid, mais l'alcool me tient chaud. Et puis je m'en fou parce que demain j'ai pas cours, donc je vais pouvoir décuver en regardant Walker Texas Ranger à la télé, que du bonheur.

    Quand je suis de retour dans le couloir, mon ami est parti. Je sais pas où, vomir, peut être, ou avec une fille. Ou vomir avec une fille c'est une possibilité. Enfin bref, je m'en fou, moi je veux un truc a faire, alors je m'étale sur un oreille qui traîne par là ( Ouais on avait pris des oreillers pour s'assoir par terre, ça faisait stylé ). Je me recroqueville sur moi même, et fait un petit somme d'une demi heure, histoire d'être au taquet jusqu'à la fin de la soirée, bercé par le son des bouteilles, des verres qui s'entrechoquent, des briquets qui s'allument, des gens qui parlent. Quand j'ai ré-ouvert les yeux, tout le monde avait changer de place, et genre moi j'étais rester inerte. Enfin bref, avant j'avais un groupe de gars en face, maintenant j'ai deux filles, et là a coté y'a un mec complétement raide qui essaye de se servir un verre mais qui met tout a coté. Ca m'a fait rire un moment, tout seul, comme un abruti, puis je me lève, me frotte les yeux en avançant vers...vers rien du tout, et je tombe nez à nez avec une fille, belle et blonde, qui, je l'avait décidé a partir de se moment là, allait terminé dans mon lit ce soir. J'ai articulé « Bonsooooir », et là elle m'a vomit dessus. Dégueu. Je suis parti dans ma chambre, j'ai tout mis a lavé, j'ai pris une douche, j'ai enfilé un autre jean, un autre tee shirt et une veste, parce que je savais que j'allais aller dehors fumer ma clope étant donner que j'en avait envie. ( Logique imparable )

    Je suis donc retourné dehors, dans le froid qui fait pas froid pour moi. Je me suis assis sur les marches de la maison, il y avait une fille aussi, brune cette fois-ci. Je l'ai scotché pendant 3 minutes parce qu'elle me disait quelque chose, et là j'ai sortie la pire phrase que j'ai jamais dites qui fait trop dragueur désespéré : « On s'est pas déja vu quelque paaaart ? » J'ai tellement insisté sur le paaaart que j'ai eu l'air d'un abruti fini ( J'ai toujours l'air d'ailleurs ) et de mieux en mieux Calvin, desfois t'es vraiment nul.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Oh my god. Flavia de Suza Empty
MessageSujet: Re: Oh my god. Flavia de Suza Oh my god. Flavia de Suza EmptySam 5 Mar - 20:42



Oh my god. Flavia de Suza Ole_910

« vivre dans le péché est la nouvelle tendance »


Comme tous les soirs, nous étions tous réunis pour faire la fête et comme tous les soirs j’avais passé des heures à me préparer. A quoi bon vous allez dire ? La moitié des gens seront ivres morts quelques minutes après leur arrivée, les autres finiront complètement défoncés dans un coin, en bref aucun des gens que je croiserais ce soir ne se souviendra de comment j’étais habillée. Mais bon j’y tenais. Après plus d’une heure d’essayage et après avoir étalée toute ma garde robe sur mon lit j’avais opté pour un petit short en jean accompagné d’un tout nouveau débardeur noir. Une fois coiffée, maquillée et les ongles vernis je pouvais donc enfin rejoindre la soirée. Vous allez vous dire, quelle organisation ! Rassurez vous, comme tous les soirs, je quitte les cours une heure plus tôt pour me préparer. Faire la fête ça ne s’improvise pas. Voila pourquoi une bonne partie de mes profs n’ont encore jamais vue à quoi je ressemblais. S’ils savaient ce qu’ils manquent…
Sans grand mal je trouvai la chambre dans laquelle se déroulait la soirée. Je saluai les gens que je connaissais, les autres, disons que je pourrais les considérer comme intimes d’ici la fin de la soirée, je pris donc la peine de dire bonjour au peu d’entre eux qui étaient encore sobres. En toute honnêteté ça ne me pris que peu de temps. J’évitai de justesse un type – plutôt sexy certes - sur le point de vomir le verre de trop qu’il venait sans doute de s’enfiler. Pour me mettre dans l’ambiance j’attrapai la bière qu’on me proposa, et remercia ce charmant jeune homme d’un clin d’œil. Il du surement croire qu’il devait à son tour me remercier car à peine eus je le temps de cligner des yeux qu’il avait déjà fourré sa langue dans sa bouche. Écoute il était plutôt mignon et autant en profiter, dans l’état où il était il m’aurait déjà oublié demain, inutile donc de perdre de l’énergie à le repousser.
Une heure. J’ai l’impression que le moment où je n’avais qu’une bière à la main et une seule langue dans ma bouche est bien loin. Disons que si je n’ai pas trop la tête dans le cul demain il faudrait que je pense à m’inscrire au concours du roulage de pelle. Comment vous décrire la position dans laquelle je me trouvais actuellement ? J’étais allongée une cigarette à la main, un chouilla de vomi sur le short, entourée de mecs plus mignons les uns que les autres – sauf lui là mais à la limite il me caresse les pieds, chacun son truc... – de temps en temps je sentais passer une petite langue, par ci par là, toute à l’heure j’ai même pu récupérer un chewing-gum. Je ne pourrais vous décrire précisément la totalité de cette soirée, je sais qu’à minuit nous avons fais un petit jeu sympa : il fallait boire le plus de bières cul sec, cette fois ci j’ai trouvé plus fort que moi, il faudra que je pense à m’entrainer pour la prochaine fois.
Je décidai donc qu’il était temps de me lever, et, en mettant trois fois plus de temps qu’il m’en aurait fallu à un quelconque moment de la journée, autre qu’en soirée je me dirigeai vers le bar pour m’hydrater un peu. M’hydrater, oui. C’est vrai qu’on s’hydrate souvent avec un verre de vodka.
Alors qu’une charmante demoiselle se mit à me ploter les fesses, je décidai qu’il était temps d’aller faire un petit tour dehors pour m’adhérer un peu l’esprit. Je m’assis sur les marches de la maison, mon ami la cigarette dans ma main droite quand un mec s’adresse à moi : « On s'est pas déja vu quelque paaaart ? » . La façon dont il me sorti ça me fit exploser de rire, dix minutes plutôt j’aurais surement vomi, c’était son jour de chance. Est-ce qu’on s’est déjà vu quelque part ? Bon il est mignon, mais à cette heure et dans mon état (qui est soit dit en passant le même tous les soirs) je n’arrive même pas à voir à quoi il ressemble donc bon. « Ecoute babe' si tu reviens mvoir demain jserais peut être en mesure dte répondre mais là je nsaurais même de reconnaître ma mère tu vois » . Flavia explosa de rire, non ce n’était absolument pas drôle mais quand elle était bourrée elle riait, beaucoup. Prise de la fameuse pulsion des défoncés elle l’attira vers elle et l’embrassa. « Non je ne vois toujours pas ! »




Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Oh my god. Flavia de Suza Empty
MessageSujet: Re: Oh my god. Flavia de Suza Oh my god. Flavia de Suza EmptyMar 8 Mar - 0:12

Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu.

Oh my god. Flavia de Suza Deb47f94256331 Oh my god. Flavia de Suza 2cijkzn

    C'est vrai que ça part souvent en orgie dans les couloirs des Oméga, mais au bout d'un moment on fait plus attention. Enfin, je ne fais plus attention. Je suis presque jamais concernée de toute manière, ou quand je suis concerné je suis vraiment mort, et je ne m'en souvient pas le lendemain. Vaut mieux pas d'ailleurs, sinon je me foutrais des claques. Je suis du genre généreux, mais de la a partager ma partenaire, faut pas abuser non plus. Enfin bref, moi je suis un winner, parce qu'après ma douche j'ai réussis a garder mes affaires propres durant toute ma traversée du couloir, et là je suis dehors et je sent le gel douche au lieu de sentir la bière : J'ai un point de plus que les autres, je finirais avec la plus belle des oméga ce soir. Je ne savais pas si c'était elle que j'avais en face de moi a présent mais dans tout les cas elle n'était pas mal non plus et ça m'aurait surement pas déranger. « Ecoute babe' si tu reviens mvoir demain jserais peut être en mesure dte répondre mais là je nsaurais même de reconnaître ma mère tu vois » Je rigole avec elle, avant d'articuler difficilement, la mâchoire encore prise par l'alcool. « On va faire comme ça ! » . Sauf que là elle a fait autrement, j'ai sentit sa main agripper mon col et m'attirer vers elle, puis elle a poser ses lèvres sur les miennes. J'avais rien demandé, mais j'étais pas plus malheureux que ça, parce qu'une belle brune qui t'embrasse dehors, et bah c'est cool en toutes circonstances. Son baiser me disait légèrement quelque chose. Une saveur, une façon d'embrasser. Mais bon, je ne suis pas dans l'état pour identifier quoi que ce soit, et après tout je m'en fou. « Non je ne vois toujours pas ! » Je lui sourit puis haussa les épaules. Normalement on se souvient toujours de moi hein, i am the best of the wooorld ! Non je déconne. Et puis après tout je me souviens pas d'elle non plus. C'est bien, je dit toujours autant de la merde quand je suis bourré, ça fait plaisir. Je reste fidèle a moi même. Je m'écarte un peu, puis allume une cigarette. Je passe mon bras gauche autour des épaules de cette fille qui m'a embrasser, puis pose mes lèvres sur sa joue, et les fait glisser dans son cou et souffle « J'ai du te voir dans mes rêves les plus fous ... ». Je me redresse, et la regarde sournoisement en souriant. Un gars passe par la, à moitié mort, avec une bierre pleine a la main. Je lui la vole discrètement, et il est bien trop inerte pour remarquer quelque chose. Je sourit et l'ouvre avec mon briquet, bois une gorgée et la tends à la demoiselle.

    Je crois que j'ai envie de finir la nuit avec elle, ou peut être avec une autre j'en sait rien. Je me demande si j'ai pas déja terminer un soir avec elle, et ça serait fort probable mais bon, 2 fois avec une fille comme ça pourrait être cool. Non ça serait cool. Je la sert un peu plus contre moi, un bras toujours autours de ses épaules. De l'autre main je fume ma cigarette tranquillement en sifflotant. Aaaah je siffle mal, et là je rigole tout seul parce que siffler ça me fait rire. Mais surement aussi parce que j'ai trop fumé tout a l'heure, et puis trop bu aussi, et là ça me monte a la tête et je fais n'importe quoi. Je lâche ma cigarette, tourne la tête vers Flavia, et l'embrasse encore sur la joue. Mes lèvres dérapent sur sa bouche, et je passe une main sur sa bouche, l'autre dans ses cheveux. Je me redresse et soupire en souriant, l'alcool faisant briller mes yeux. « Mais mon rêve ne devait pas être très catholique..! Oh my god. Flavia de Suza 277800 »
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Oh my god. Flavia de Suza Empty
MessageSujet: Re: Oh my god. Flavia de Suza Oh my god. Flavia de Suza EmptyMer 9 Mar - 19:20



Oh my god. Flavia de Suza Ole_910

    La température s’était légèrement réchauffée dehors, je ne sais pas si c’est parce que j’étais complètement ivre, défoncé à vrai dire mais je me sentais bien. Et puis j’appréciais la compagnie de ce mec, tiens je ne savais même pas son prénom d’ailleurs. Au pire je m’en fout un peu. Il embrassait bien c’est tout ce qui comptait. . « On va faire comme ça ! » . Je ne sais pas pourquoi mais j’avais de plus en plus l’impression de le connaître. C’était pourtant impossible étant donné que je venais seulement d’emménager ici mais sa voix, ses manières, sa façon d’embrasser, son rire me rappeler quelqu’un. Sans doute une autre conquête je ne vois que ça. Et puis merde je ne vais pas me pourrir ma soirée à essayer de me rappeler d’un pauvre type parmi tant d’autre. Quoi que, si je m’en souvenais tant que ça, il ne devait pas être si mauvais que ça. Après m’avoir répondue, il fut pris d’une crise de fou rire et m’entraina avec lui. Oui, quand je suis bourrée je ris, beaucoup, pour rien. Nous sommes donc restés là quelques minutes à rire comme deux ivrognes. Si nous avions été dans la rue, on nous aurait surement donné quelques pièces par pitié. Il – appelle le Roger pour le moment, j’essayerai dans savoir plus plus tard - passa son bras autour de mon coup et déposa un baiser sur ma joue. Je trouvai ça plutôt mignon, d’habitude les mecs s’empressent de me violer la bouche en m’enfonçant leur langue dans leur gosier. Oui, rouler une pelle à un bourré c’est pas aussi sex qu’il veule bien nous le faire croire à la télé. Je lui empreinta la cigarette qu’il venait d’allumer pendant quelques instants. Il m’embrassait maintenant le cou, c’était autre chose désormais et j’avoue que je préférais ça au petit bisou sur la joue. Disons que j’envisageais de plus en plus de finir la soirée avec lui. Comme ça au moins la prochaine fois qu’on se recroise j’aurais une raison de me souvenir de lui. « J'ai du te voir dans mes rêves les plus fous ... ». Haha, le beau parleur, enfin je lui pardonne il est aussi bourré que moi. Je souris en entendant cette phrase, ça devait surement être ça, alors moi aussi. J'avais du le voir dans un rêve. « Oui surement, d’ailleurs on a du faire le même rêve. Et si mes souvenirs sont bons tu étais plutôt bien foutu, je pourrais vérifier ? » . Je dis cette phrase d’une façon plus coquine que je ne le pensais mais bon, on mettra ça sur le compte de l’alcool. Il me tendit une bière, comme si je n’étais pas déjà assez morte comme ça. Mais c'était sympathique de sa part, personnellement je ne suis pas trop du genre à partager quand je suis bourrée, j'apprécie donc ce grand geste. « Merciiiiiiiiii ! » . Je l’embrassa dans le cou afin de le remercier. Il me serra contre lui, et pendant quelques instants nous sommes restés là, sans rien dire à échangés baisers et cigarettes. Il se mit à siffler. Une catastrophe. Espérons qu’il soit meilleur au pieu. Il avait l’air de s’en rendre compte et il explosa de rire, je me mit à siffler avec lui et me rendant compte du massacre j’explosa moi-même de rire. Comme quoi, oui c’était vraiment drôle. Au bout de quelques minutes il m’embrasse à son tour et passa une main dans mes cheveux. Quelques frissons me parcoururent. Alors qu’il retirait sa bouche je l’agrippai dans le t-shirt et l’attira de nouveau près de moi en l’embrassant. Ce nouveau baiser durant bien plus longtemps que le premier. Par contre, je ne me souvenais toujours pas de lui, pourtant un mec qui embrasse aussi bien on s’en souvient. Il a du me confondre, mais avec qui bordel ? Je suis unique, non ? « Mais mon rêve ne devait pas être très catholique..! ». En même temps, en général quand je suis dans un rêve ces derniers ne sont jamais très catholiques. Ouais en même temps qu’est ce que j’en sais ? Je n’ai jamais été dans la tête de quelqu’un qui rêvait de moi. D’ailleurs est ce qu’on rêve de moi ? Ouais franchement ça parait évident. Je suis sure que même dans les rêves je suis un bon coup, j’espère. Nan sérieusement j’aimerais bien rêver de moi. Je suis sure que je suis trop bonne. Je devrais essayer d’ailleurs ça doit être marrant. Nan parce que souvent dans ses rêves on rêve de beaux goss, du moins pour ma part c’est ça, je me vois faire l’amour avec des beaux mecs, de très beaux mecs mais jamais avec moi-même. En même temps faire l’amour avec soit même c’est assez spécial. Il faudrait que je rêve que je suis quelqu’un que je ne suis pas pour rêver que je me fais l’amour. Ouais, je vais faire ça, dès ce soir d’ailleurs. « Tu m’étonne, si j’étais dedans ça ne fait aucun doute. » Oui, j’avais pensé tout fort.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Oh my god. Flavia de Suza Empty
MessageSujet: Re: Oh my god. Flavia de Suza Oh my god. Flavia de Suza EmptyVen 11 Mar - 16:12

Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu.

Oh my god. Flavia de Suza Deb47f94256331 Oh my god. Flavia de Suza 2cijkzn


    Je sais, j'ai toujours cet esprit d'invétéré dragueur qui prend le dessus, et cela explique toujours ma mani de paraître doux avec elle, de leurs caresser les cheveux, de leurs effleurer la joue...Effectivement, je n'aime pas fourré ma langue au fond de leur gosier, parce que d'une c'est complètement dégueulasse, et de deux ce n'est ni agréable pour elle, ni pour moi. Enfin, c'est le meilleur moyen de la faire fuir et de terminer la soirée seule à se toucher sous la couette comme un adolescent de 15 piges. J'ai passé ce stade là, je vous remercie, et j'ai le don d'être un peu plus..compréhensif avec les femmes. J'essaye toujours de comprendre leurs réactions avant d'entamer autre chose. Je tâte le terrain comme ils disent. Et je m'en sort toujours à merveille, car je suis un bon coup, il ne faut pas mentir sur ça. D'ailleurs on ne peut pas mentir sur ça, parce que Calvin bon on lit ça va de soi. Je suis en enfoiré de beau gosse bon au lit qui drague comme un dieu. Les autres ont toutes les raisons de me détester, et je veux bien les croire d'ailleurs, car c'est tout à fait justifier. Tout ça pour dire que Roger c'est vraiment flippant comme prénom. Mais j'étais Roger si elle le voulait, parce que je ne pouvais rien refuser à ce genre de demoiselle, avec un corps qui semblait aussi parfait que le mien sous ses vêtements. « Oui surement, d’ailleurs on a du faire le même rêve. Et si mes souvenirs sont bons tu étais plutôt bien foutu, je pourrais vérifier ? » Justement on y viens. J'affiche un sourire au coin de mes lèvres, et la regarde en coin, un sourcil haussé. C'était une mani que j'avais toujours eu avec les femmes, je les regardait sournoisement au lieu de répondre, et ce petit regard voulait tout dire. Pas une seule de mes conquêtes n'y avait pas eu le droit. C'était un reflex, ma marque de fabrique presque. J'adorait le faire, et elles adoraient que je le fasse, parce que ça me donnait un espèce de côté mystérieux ou je ne sais quoi d'après la plupart. Moi je m'en rendait pas franchement compte, et puis après tout je m'en foutait un peu, tant qu'elles me donnaient leur nuit. J'allais pas me plaindre non plus, et chercher le pourquoi du comment. C'est pas parce que je suis en psychologie que je me sens obligé d'analyser tout ce qui se passe autour de moi. Enfaite si, mais je me retient de pas le faire, car je sais qu'au bout de 5 minutes de réflexion, je vais m'ennuyer moi même et baissé dans mon estime. Mon égo en prendrait un coup. Il faut que je m'aime, sinon je suis plus le Calvin Kane Beckett prétentieux qu'on connait. Cette étiquette ne me gênait pas plus que ça en faite.

    Je suis un ivrogne averti, je sais, mais je crois que là elle est pire que moi, alors ça se voit pas. On va dire ça comme ça. Et un Oméga qui ne boit pas, c'est comme un Alpha qui ne travaille pas : C'est impossible. Même pas réalisable. A peine pensable. « Tu m’étonne, si j’étais dedans ça ne fait aucun doute. » Je suis surpris, les filles presque aussi prétentieuse que moi, ça ne cours pas les rues. Où du moins, ça se croit puissante, mais ça ne le dit pas. Je me mord la lèvre inférieure et l'embrasse avec envie. La bouteille de bière est posé entre mes jambes, presque vide, et j'ai récupérer la cigarette. Je souffle la fumée en l'air et l'écrase a coté de moi, avant de jeter le mégot un peu plus loin, en une pichenette experte. La claaaasse Calvin, la classe ! J'ai envie de rouler ce qu'on appelle ici pour faire les innocents " une cigarette magique " mais j'ai carrément la flemme, même si l'euphorie qu'elle peut me provoquer pendant l'acte m'attire d'avantage chaque seconde. Mais là j'ai une idée merveilleuse, resplendissante, parfaite : Une idée à moi quoi. Je sort mon téléphone, ouvre difficilement mon répertoire et appelle quelqu'un en espérant qu'il ne soit pas déja étaler dans un couloir à moitié mort. Mon autre bras et toujours autour des épaules de cette fille. Je la regarde, lui sourit, fait un clin d'oeil et désigne la bouteille de bière d'un petit coup de tête, histoire de la faire patienté. Ca sonne «...Hep mec c'est Calvin...Haha, supeer marrant, je suis pas en état là, mais tu te rappelles que tu me doit un petit quelque chose ?...C'est vrai tu ferais ça ? T'es un Dieu mec, t'es où ?...Ok on te rejoint...Tu verras bien !...A tout de suite gros poussin ! » Sur ces mots, je raccroche, glisse le téléphone dans ma poche et me hisse sur mes deux jambes ( Pas sans mal d'ailleurs..Ouuuh satuurne ! ). Je me poste face à cette fille, et décide de l'emporter un peu plus loin. D'ailleurs, je me demande bien ou on va le faire. On reste sur la base, où on part dans des lieux insolites ? J'en sait franchement rien, je peux plus réfléchir, ma matière grise est inerte. Je lui tends une main. Je suis vraiment sur de l'avoir vu quelque part, c'est fou. Je me résouds a me dire que j'ai déjà couché avec, parce que de toute manière, il n'y a que ça qui est possible. Les gens que je rencontre dans d'autres circonstances je m'en souvient généralement, alors que les coups d'un soir ont tendance à m'échapper. Et puis si elle est là devant moi, c'est que je ne l'ai pas tuer la dernière fois qu'on s'est vue, ça veut dire qu'il n'y a eu aucun problème. Alors je relativise, tranquille, et conclut comme ça, parce que de toute manière je suis pas en état de chercher plus loin que ça dans ma mémoire, que l'alcool a troué comme du gruyère depuis bien longtemps. J'ai des vieux trous noirs une fois pas semaine, mais je le vit très bien, et c'est pas si grave que ça, si au final j'arrive a m'en sortir pour les cours de psychologie et à faire la fête a coté. Tout ça ne m'empêche pas de vivre, alors je me demande bien pourquoi je devrait m'en soucié, au fond, parce que tout le monde s'en fou moi y compris. C'est ça la vie de Calvin. « Je vais te vendre du rêve chérie. »

    Nous voilà dans notre édifice, la musique a fond dans un couloir, les bouteilles qui jonche le sol dans un autre, la fumée a ne plus en pouvoir dans le dernier. C'est justement celui là qui m’intéresse. Je repère celui que je cherche assez facilement, il est entouré de 3-4 nanas en train de raconter sa vie, qu'il invente au fur et à mesure je le sais très bien. J'approche, le bras toujours autour des épaules de la fille, me demandant si je fais ça pour conserver la proximité ou pour ne pas m'écrouler par terre. Le gars s'exclame alors en me voyant. « Tu t'arrêtes jamais ! » J'hausse les épaules, il me tend un stick magnifiquement roulé ( Je me suis toujours demandé comment il arrivait a faire ça en étant complètement défoncé. Personnellement, quand je dépasse un certain seuil, les miens ne ressemble plus a rien : C'est généralement dans ces moments là que je l’appelle ), et je le remercie. Il rigole et boit une gorgée d'une bouteille de vodka qu'il tient fermement dans sa main. « Soit pas impuissant, je crois que ta demoiselle vaut le coup ! » J'hausse les épaules en ricanant. Je n'ai jamais été impuissant pour cause de drogue ou d'alcool. Je n'ai jamais été impuissant tout court, pour la simple et bonne raison que je choisie bien mes compagnes, et qu'elle sont toujours magnifiques. Donc être impuissant avec des femmes comme ça, c'est pas possible. « T'es con parfois, tu sais trèèèès bien que je suis un Dieu au lit dans n'importe quelles circonstaaaances », lancait-je en m'éloignant dans le couloir. Je guette les portes, pour trouver ma chambre à moi, où en faite nan, n'importe qu'elle chambre qui parait vide et qu'on peut fermer a clé, ça suffira. J'allume le stick et pousse une porte au hasard, tombant sur un couple en pleine... Ça ressemblait a rien de connu. « Désoléééééééééé », je referme expressément la porte et regarde Flavia, ne pouvant m’empêcher d'exploser de rire. J'adore faire ça. Je reprend mon calme, les lèvres pincés, et pousse la porte de la chambre voisine, qui est a première vue inhabitée, étant donné que c'est tout blanc. J'ouvre de grand yeux, heureux de ma trouvaille : L'infirmerie. Je ferme la porte derrière moi, à clé. Je suis une Dieu. Un lieu parfaitement confortable qui ne se présente pas comme un banale chambre pourtant. C'est ça qu'est bon. Je tire une dernière fois sur le stick, et le tend à la fille, pour aller faire le tour du propriétaire. C'est magnifique, on peut le faire dans la douche, sur le lit, et même dans l'armoire si ça nous enchante. La tapis est une bonne possibilité également. Je me promet juste qu'après, je fais un allé direct vers ma chambre, pour me réveiller demain dans une atmosphère connue, fumer ma clope à la fenêtre et prendre un petit dèj' devant la télé, tout ça comme d'habitude, qu'elle soit encore là ou pas. Enfin bref, je me retourne, et tombe nez à nez avec elle. Je pose mes mains sur ses hanches et l'embrasse, longuement, enivrée par l'alcool et la drogue. Je la pousse doucement jusqu'au lit, en lui posant des baisers humides dans le cou. Je crois que c'est à peu près à partir de ce moment là, que je ne pouvait plus lui résister.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Oh my god. Flavia de Suza Empty
MessageSujet: Re: Oh my god. Flavia de Suza Oh my god. Flavia de Suza EmptyDim 13 Mar - 16:22



Oh my god. Flavia de Suza Ole_910
Oh, I love the feeling you bring to me, oh, you turn me on
It's exactly what I've been yearning for, give it to me strong
And meet me in my boudoir, make my body say ah ah ah
I like it-like it ♪




    Nous étions toujours là, assis côté à côté à nous tripoter comme deux ivrognes en manque. C’est alors que tout en me souriant – ai-je précisée qu’il avait un magnifique sourire ? Non ? Bon et bien c’est fait. Parce que j’aime vraiment beaucoup le sourire des mecs. Je sais on ne dirait pas, quand on me voit, on pourrait imaginer que je suis plus du style à aimer le petit cul, d’ailleurs j’adore leur petit cul, et pas que d’ailleurs, j’aime aussi pleins d’autres choses chez eux, j’adore leur main quand elle se ballade sur moi. Pour en revenir au sourire, oui j’aime quand les mecs ont un joli sourire et c’était son cas – il haussa un sourcil et il se passe un truc de bizarre. Vraiment bizarre et ne me dite pas que c’est à cause de l’alcool, je venais certes de vider une bière mais depuis le temps que nous étions là, assis, dehors j’avais légèrement – très légèrement – dessoulée. Donc non, ce qui est bizarre n’est pas que mon cœur ce soit accéléré, il ne l’a pas fais d’ailleurs. Il est sexy, canon et tout ce qu’il faut mais j’ai appris à contrôler mes pulsions sinon je lui aurai surement déjà fait l’amour là, sur les escaliers. Au moment où il fit ce trèèèèès sexy mouvement de sourcil j’eus comme un flash. Je me vis quelques secondes avec lui à une autre soirée. C’était la première fois que ça m’arrivait, je n’avais jamais vécut ça auparavant. Je ne comprenais pas. C’était tout simplement impossible qu’on ce soit déjà vus, j’étais ici depuis seulement quelques semaines. Alors que je le regardais d’un ai plutôt paniquée, il m’embrasse avec envie. Son baiser mit fin à toutes mes interrogations. Au fond, on s’en fout, si le destin à fait que nous nous retrouvions ici c’est qu’il doit y avoir une raison. Peut être qu’au lit c’était dingue. D’ailleurs avec moi c’est toujours dingue, mais si lui aussi c’est une bombe sexuelle alors oui là je comprends mieux ce destin. Il passa une main autour de mes épaules, je serrai sa main et lui sourit tout en prenant la bouteille de bière qu’il venait de me désigner. Devrais-je m’inquiéter ? Un mec qui essaie de vous souler comme ça à peut être besoin que je sois bourrée pour lui faire l’amour ? Non ce n’est pas possible, il n’a pas l’air comme ça. Sa voix me tira de mes pensées : «...Hep mec c'est Calvin...Haha, supeer marrant, je suis pas en état là, mais tu te rappelles que tu me doit un petit quelque chose ?...C'est vrai tu ferais ça ? T'es un Dieu mec, t'es où ?...Ok on te rejoint...Tu verras bien !...A tout de suite gros poussin ! » . A mon avis, au vue de la conversation qu’il venait d’avoir, il allait très prochainement m’annoncer une très bonne nouvelle. « Je vais te vendre du rêve chérie. » . Ah les choses intéressantes commencent enfin, je levai un sourcil à mon tour – oui oui son petit truc de sourcil là, j’aime bien m’en servir aussi, ça les rend tout fous – et l’accompagna à l’intérieur en me demandant ce qu’il m’avait bien préparée. Il avait quand même plutôt la classe, il se donnait du mal même pour ses coups d’un soir, la classe ! Ou alors c’était juste pour moi ? Je sais qu’elle prétention, mais que voulez vous, je suis comme ça et je n’ai aucun doute quand à mon sex appeal. Tant qu’on est en mode " je pête plus haut que mon sexy petit cul" autant continuer. Je lui chuchotai sensuellement à l’oreille « C’est moi qui vais te vendre du rêve baby ». Sur ces mots pleins de modestie, Roger et moi nous sommes dirigés à l’intérieur. Il retrouva un mec en train de prendre son pied – tu m’étonne moi avec 4 mecs autour j’aurais pris mon pied. En même temps j’étais plutôt contente d’avoir trouvée mon petit Roger ce soir, d’ailleurs Roger c’est vraiment pas sexe comme prénom, ça va me bloquer je sens, il faudra que je pense à lui demander comment il s’appelle – et ce fameux mec nous donna un joins. Rouler les joins c’était une de mes spécialités, et j’aurais bien aimée le faire moi-même pour l’impressionner mais j’appréciai le geste. Roger était vraiment parfait ce soir. « Soit pas impuissant, je crois que ta demoiselle vaut le coup ! » . Tu m’étonne que j’en vaux le coup, attend. J’appréciai le compliment et fis un clin d’œil au type qui prenait son pied pour le remercier. J’aurais aimée lui glisser deux trois mots mais Roger me devança : « T'es con parfois, tu sais trèèèès bien que je suis un Dieu au lit dans n'importe quelles circonstaaaances » . Tiens, c’est une bonne nouvelle, je crois bien que le destin nous à vraiment réunit. Un Dieu et une Déesse du sexe, ça promet. Le bel inconnu – finalement je ne sais pas si je peux dire inconnu parce qu’en repensant à toute à l’heure j’ai vraiment l’impression que nous avons déjà fait plus ample connaissance et si nous avons fait connaissance de la façon dont je l’imagine, à partir du moment où un mec s’approche trop de mes parties intimes j’estime que ce n’est plus vraiment un inconnu – m’emmena dans un couloir et ouvrit une porte. « Désoléééééééééé » . Trop tard, on nous avait devancés. Roger me regarda et on ne pu s’empêcher d’exploser de rire. Oui je sais, il en faut peu, que voulez vous. J’aurais aimée rouvrir la porte pour que ça finisse en orgie mais Roger m’avait déjà emmenée dans une autre pièce. Pas n’importe la quelle, une infirmerie. Ca allait déjà tout de suite me plaire. D’un coup d’œil je fis la liste des endroits où je m’amuserais ce soir, il y en avait un bon paquet, nous n’allions pas nous ennuyer. Je tire un coup sur le stick qu’il venait de me tendre. Généreux en plus le Roger ! Il posa ses mains sur mes hanches et m’embrassa longuement, très longuement. Je caresse ses cheveux et déboutonne sa chemise tout en l’embrassant langoureusement. Il était vraiment bien foutu, comme dans mon rêve. Enfin dans mon rêve je ne parlais pas de ça mais c’est déjà un bon début. Sans plus attendre je retire son haut. Ca devenait vraiment chaud. C’était le mot où jamais, tout en l’embrassant dans le coup je murmure : « Dis, c’est quoi ton p’tit nom ? » . Bon la phrase ressemblait un peu à une phrase de drague pathétique, mais Roger et moi avions depuis longtemps dépassés ce stage. Pitié pas de Roger, pas de Roger, pas de Roger. J’aurais du mal avec Bernard aussi mais à part ça je suis prête à tout entendre. Il me poussa sur le lit. En l'embrassant toujours avec passion, je me me mit califourchon sur lui et décide qu'il était grand temps maintenant de lui retirer son pantalon. Pour être honnête, j'avais bien trop envie de vérifier s'il était oui ou non vraiment bien foutue. C'était un des moments que je préférais, la découverte, le moment où tu étais comblée où très déçue. Avant chacune de mes petites "découverte" je me faisais une fourchette dans ma tête. Je n’étais pas trop du genre à dire des trucs comme "j’ai envie de toi" ça prouverait que j’en ai vraiment envie et mon partenaire se sentirait trop puissant, j’aimais garder un certain contrôle de la situation mais si ça avait été mon style je lui aurais dis, là, maintenant, tout de suite car oui j’avais envie de lui. Oui, je pensais à des centaines de choses entre ça et ma fameuse fourchette, l'excitation qui grandissait de plus en plus et tout ce que j'allais bien pouvoir lui dire, mais pendant qu'il m'embrassa je décidai de ne plus penser à rien qu'à lui et moi.


Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Oh my god. Flavia de Suza Empty
MessageSujet: Re: Oh my god. Flavia de Suza Oh my god. Flavia de Suza EmptyLun 21 Mar - 22:12

Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu.

Oh my god. Flavia de Suza Deb47f94256331 Oh my god. Flavia de Suza 2cijkzn


    « Dis, c’est quoi ton p’tit nom ? » Quand elles ne savent pas mon nom, elles ne m'appellent pas. Cela devient juste problématique quand, en plein rapport, elles ont envie de crier mon nom, ou de me le souffler dans l'oreille. Je les vois réfléchir une demi seconde, puis il suffit d'un coup de bassin bien appuyer pour que ça leur sorte de la tête. Je m'en fou totalement qu'elle ne disent pas mon nom. Ça m'arrange même si elle ne s'en rappelle pas, ça m'évite ainsi les retours un peu collant et toutes ses histoires de " sentiments " comme elles disent. C'est pour ça que j'ai passer sa question sous silence, j'ai juste passé une main dans ses cheveux, et j'ai collé encore un peu plus son corps au mien en guise de réponse. Je l'ai embrassé pour qu'elle se taise, et je n'ai rien eu d'autre a faire. Et c'est mieux comme ça. En vérité, moi j'ai surtout le pressentiment que ça partira en live si je décide d'aller plus loin avec elle, car mes histoires d'amour finissent toujours en catastrophe, et je ne me pose pas plus de question que ça parce que je m'en fou royale, je ferais des gosses a celle qui en voudra, mais faudra pas venir demander son reste. Non mais ho ! Je suis une procréateur, pas un père. Du moins jusqu'à aujourd'hui. Je suis pas du genre à vouloir leur amour, moi je veux leurs fesses et puis on verra après pour le reste. Je préserve ma libido, je coule des douilles et vides des bouteilles. Je suis une Oméga pur souche, j'ai la Omégatitude jusqu'à bout. Incouchable, increvable, alcoolique, sex & drugs addict. C'est ça qu'est bon. Mais au fond c'est pas aussi bon que ce qui se passe dans l'infirmerie cette nuit. La chaleur monte, et plus rien ne pourrait m'arrêter dans ma quête de plaisir. Je préférais mourir brulé vif en plein 7ème ciel que de tout planté au milieu de l'action. Personne ne peut nous interrompre, et je sens ses lèvres collés sur les miennes en permanence. J'adore la façon dont elle m'embrasse, me touche, et je me perd dans mes réflexions pour laisser place à la passion, enivré par l'alcool, la drogue, et le sexe surtout.

    Elle me retire mon haut, et nos deux corps chaud se collent, avide d'affection, poussé par une envie incontrôlable. Le meilleur moyen d'effacer la tentation est d'y succomber. Je n'ai jamais été aussi d'accord. Je sens ses bras dans mon dos, je passe mes mains dans ses cheveux, je l'embrasse au creux du cou, puis remonte sur ses joues et lui mords doucement les lèvres. Je la pousse de plus en plus sur le lit au draps blanc, respirant l'innocence des malades endormi, tellement calme et serein habituellement. Une pièce respirant le froid, le propre, et nous nous apprêtions a faire quelque chose de chaud, et sale. Enfreindre des règles que l'ont s'impose soit même, c'est encore mieux. Je le sens passé au dessus de moi, elle me chevauche. Une de mes mains passe derrière sa nuque, et je l'embrasse encore, encore et encore, jouant avec sa langue, souriant bêtement, complétement voué aux désirs de la jeune femme. Puis, mes deux mains descendes jusqu'à ses hanches, et passe sous son tee shirt. Je lui enlève, sans retenue, trop poussé par l'envie. Après tout elle n'avait qu'a pas me sauté dessus. C'est peu être moi qui lui est sauté dessus ? Oh je m'en fou, et puis là on a l'air assez d'accord sur ce qui va se passer ensuite. Elle se trouve de plus en plus offerte a moi, et je ne m'en pleins pas. Du tout. Je laisse tombé une de mes mains dans le vide, presque soumis au plaisir d'une femme experte, le tee shirt au bout des doigts, tendis que l'autre est au creux de son dos, descendant doucement et frôlant la couture de son jean. Le tee shirt tombe pas terre, et mon autre main vient accompagné l'autre.

    Cette façon de faire, de toucher, d'embrasser, je m'en souviens parfaitement maintenant. Tous s'éclaire, j'ouvre les yeux et regarde le plafond, qui se déforme sous l'euphorie de l'alcool et la mouvance du stick. Je me mords la langue, sent mon pantalon descendre, mais n'y prête plus attention. Je suis dans un état second. Ça ne dure par longtemps. Je me revois avec cette fille. New York, la ville de tous les pêchés. Et là, je sourit, doucement, posé, le corps chaud et frissonnant à la fois. Ma respiration semble se calmer, j'avale ma salive, mes oreilles se bouchent. Brusquement tout revient, je me mords les lèvres, et je suis bien. Les nuits comme ça je les adore, a demi conscient. Plus rien pour nous remettre dans le droit chemin, le esprits sains dans des corps sains n'ont jamais exister. Je me demande pourquoi je n'ai pas reprit le dessus quand elle s'est mise au dessus de moi. J'ai pris l'habitude de contrôler la situation, mais celle qui voulait un peu de puissance ne me dérangeait pas plus que ça. Ce n'était même plus moi qui devait montré ce qu'elle savait faire, mais bien elle. Et je suis un juge très exigeant. J'ai envie de me laisser faire, jusqu'à ce que je reprenne le dessus. J'ai envie de lui faire glisser le jean sur les hanches, de dégrafer d'une main experte son soutient-gorge. De la déshabiller le plus habillement possible, pour pousser tout les vices à leurs combles. Je réserve ça pour plus tard, mais je n'attendrais pas longtemps, je me sait trop peu patient pour ça. Quand je veux quelque chose, je l'ai. Cette fille en ai la preuve même. Nous rebaptisons la pièce en lieux de vices. Je dépasse les limites, on dépasse les limites et c'est ça qui me plait. Après tout, si elle veut prendre le dessus, qu'elle y aille, elle ne sera surement pas déçu de ce que je lui offre sans rien demander un retour. On est plus ou moins gâter par la nature, et elle a été assez cool avec moi. J'ai compensé ma stupidité maladive avec un physique de dieu grec. Un sourire s'étire au coin de mes lèvres. Je ferme les yeux. Elle n'a qu'a m'appeler Zeus.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Oh my god. Flavia de Suza Empty
MessageSujet: Re: Oh my god. Flavia de Suza Oh my god. Flavia de Suza EmptyMer 30 Mar - 12:18


Oh my god. Flavia de Suza Ole_910
Oh, I love the feeling you bring to me, oh, you turn me on
It's exactly what I've been yearning for, give it to me strong
And meet me in my boudoir, make my body say ah ah ah
I like it-like it ♪




    Bon, il n’avait pas l’air vraiment prêt à me donner son nom, tant pis pour lui, il restera Roger. Là au moins si par un quelconque hasard je me retrouvais bloquée, oui ça arrive même au plus fort, même à l’élite du sexe, je saurais d’où ça vient. D’ailleurs, cette petite mésaventure m’est déjà arrivée, bon deux fois seulement, je suis tellement douée il faut dire. La première fois, c’était pour ma première fois justement, je n’étais encore qu’une petite pucelle ignorante, il y a prescription depuis, j’en ai vue passer des engins. La seconde fois, c’était à une soirée, j’étais comme à mon habitude complètement défoncée mais pas assez pour ne pas me rendre compte de certaine chose donc quand Roger – nan je ne peux pas tous les appeler Roger, disons Jean-Yves - quand Jean-Yves s’est dessapé et que j’ai vue, ou plutôt que j’ai aperçut ce tout mignon, tout joli, tout petit asticot j’ai perdue tout mes moyens. Comme quoi nous quand on n’a pas de seins – non, non, ce n’est pas mon cas - ça ce voit tout de suite, ils n’ont pas de mauvaises surprise, mais eux c’est autre chose. Pour en revenir à notre Roger national, j’espérais vraiment ne pas avoir la même surprise qu’avec Jean-Yves, deux dans une vie, c’est trop. En guise de réponse il se contenta de passer sa main dans mes cheveux, de coller son corps contre le miens et de m’embrasser. A la limite je préfère. Je continuai de l’embrasser langoureusement tout en passant mes mains sur son torse. Nos corps étaient collés, j’aimais le contact de sa peau, de son souffle sur moi.

    Il m’embrassa dans le cou et me mordilla doucement la lèvre. Quand je voyais ce qu'il était capable de faire en haut je n'imaginais même pas ce qu'il pourrait être capable de faire en bas. Enfin si, justement j'imaginais très bien et cette simple perceptive me réjouissait. Ce gars-là me rendait dingue, je ne pouvais absolument plus lui résister et j’en avais la conviction, ce soir, cette nuit, je ne pourrais absolument rien lui refuser. Il retira enfin mon t-shirt, les choses sérieuses allaient bientôt pouvoir commencer. Je m'approchai encore plus de lui pour ressentir encore plus le contact de sa peau contre la mienne, de nos corps si proches. Toujours à califourchon sur lui je l’embrassai sensuellement, sur la bouche, dans le cou et commençai à descendre petit à petit le long de son torse en le couvrant de baiser. Arrivé à son caleçon le remontai de nouveau jusqu’à sa bouche du bout de ma langue plusieurs fois de suite. J’avais remarqué qu’il appréciait ça après avoir retiré la fermeture de son jean avec les dents, il avait l’air d’aimer tout ce qui touchait à la langue, ça tombe bien moi aussi. Je sentis de nouveau ses mains expertes caressaient mon corps, mon cœur battait de plus en plus, ma respiration s’accélérer de plus en plus mais ça n’avait rien à voir avec la drogue, non. Le faire à l’infirmerie, ici sur ses draps blancs, symbole de pureté, de chasteté, d’innocence, était plutôt original alors que ce que nous étions en train de faire était loin d’être pure, chaste et nous étions loin d’être innocent. D’ailleurs nous étions bien loin de l’être à mon avis, mais que voulez vous, s’il y a des limites c’est bien pour qu’on les dépasse non ? On est d'accord. Et j'avoue que l'idée même de les dépasser, là, maintenant, cette nuit avec lui m'enchantait. Pour certains c'était un péché, pour moi, c'était la vie, c'était ça la vie. Dieu serait content au contraire, et je suis sure que s'il était là il serait avec nous, à faire des partouse à longueur de journée.

    Alors que nous nous embrassions avec passion, je me souviens que la soirée à laquelle nous étions était organisée par des Omégas. Oui, oui, par les meilleurs quoi! Il faisait donc forcément partie de la même confrérie que moi, et même si je n’étais pas ici depuis longtemps je l’avais forcément croisé un jour et nous avions forcément des amis, des dealeurs ou des fournisseurs d’alcool en communs. Tout en lui mordillant la lèvre, je passais une main derrière sa nuque et caressais de l’autre le haut de son caleçon du bout des doigts quand je me souviens soudain que je l’avais aperçut, enfin je croyais l’avoir aperçut, je n’étais sure de rien. La seule chose que je savais c’est que j’étais bien en ce moment, avec lui et que peut importe où je l’avais rencontrée si le destin nous avait fait nous retrouver c’était qu’il y avait une bonne raison. Ne pouvant décrocher mes yeux de son corps d’Apolon je souris légèrement en pensant qu’il y avait effectivement une très bonne raison. Je pensais donc l’avoir aperçut une fois en compagnie de Perséphone, mon double, une de mes meilleures amies. Si jamais je garde un bon souvenir de cette nuit, ce dont je ne doute pas, je pourrais toujours me renseigner auprès d’elle pour qu’on remette ça. A vrai dire, je n’en sais trop rien, ce n’était peut être pas lui. J’avais beau chercher, impossible de me rappeler de cette bombe sexuel et ses caresses n’arrangeaient rien, je n’avais vraiment pas la force de réfléchir et encore moins ce soir, encore moins maintenant. Je décidai alors d’arrêter de lutter, je ne pensais désormais plus qu’à lui, à nous et à cette nuit qui promettait d’être inoubliable.

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Oh my god. Flavia de Suza Empty
MessageSujet: Re: Oh my god. Flavia de Suza Oh my god. Flavia de Suza EmptySam 2 Avr - 18:01

Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu.

Oh my god. Flavia de Suza Deb47f94256331 Oh my god. Flavia de Suza 2cijkzn


    Je ne m'appliquai plus a savoir qui elle était, où qui elle avait été. Je l'avais déjà rencontré certes, et tant mieux, ma réflexion n'ira pas plus loin que ça étant donné que je n'en savais pas plus. Ou du moins, je ne croyais pas en savoir d'plus. En vérité je préférais ne jamais en savoir d'avantage, car les femmes causait toujours des problèmes. Dans quelque sorte qu'elle soit, soeur, mère, amie ou amour, elles avait toujours un truc qui foutait tout en l'air. Je ne les comprendrais jamais sur ce besoin intense de nous faire culpabilisé à chaque seconde passé avec elle. Ça doit être pour ça, la fête : Pour oublier tous les défauts. A présent, cette fille, elle n'en a aucun. Elle est juste parfaite à sa façon, et c'est ça qui me plait. Beaucoup même. Le hasard a fait que nous soyons tout deux dans ce lit a présent. Parfois, j'adore le hasard. Tout devenait un peu plus osé à chaque seconde. Mais je ne pouvait lutté, et ça me revenait un peu plus a chaque seconde. Dans quelques minutes, je serait capable de vous dire son prénom. Il daignera me revenir, je le sent. Je me souviens presque toujours du nom de mes conquêtes. A défaut de ne pas me souvenir de la couleur de leurs yeux, j'essaye de retenir ça. Ça donne un côté plus romantique, moins bad boy briseur de coeur. Puis elles sont toujours flattés quand vous les recroisez. Et souvent, elles ont envie de recommencer car elles vous considèrent un instant comme l'homme parfait.

    Je sent sa respiration s'accélérer, la chaleur prendre part à notre étreinte. Ses baisers descendent sur mon torse, frollent mon caleçon et remontent. Mon dieu, c'était pas cool du tout ça, ça donne bien de trop envie. Elle s'attardait de nouveau sur mes lèvres. Un de mes mains passe dans ses cheveux. L'autre caresse le bas de son dos, puis remonte. D'un main experte, j'attrape l'arrière du léger tissus qui me sépare d'elle, je le pince d'un côté et de l'autre, et les agrafes lâchent dans un soupire de désir de ma part. Je ne l'enlève pas pour autant. Il tombera tout seul. Je me mord la lèvre inférieur, mes baisers dérapent sur son cou, et j'aspire l'air étouffant qui nous entoure. Je parcoure son dos du bout des doigts, jusqu'à atteindre son jean qui - sur le moment - était de trop. Pendant qu'une main effleure le creux de son dos, l'autre vient se balader au niveau du ventre de la jeune femme. Elle descend, déboutonne et ouvre la fermeture, sans culpabilisé. Ma bouche dérape dans le cou de la jeune femme, mes mains sur ses fesses. Mes dents attrapent une bretelle du vêtement qui semble vouloir rester, et la fait glisser le long du bras de ma promise. Celle de l'autre coté suis le mouvement, et il daigne enfin tomber. Mes baisers descendent légèrement pour venir embrasser son décolleté. Mes mains attrapent le bord de son jean. Trop, trop de chose a enlevé. Plus tard, je peux toujours me débrouillé avec pour l'instant. J'aime la faire attendre un peu, lui donner envie. Mais se balader a moitié nue dans la rue en faite, ça serait mieux. Plus pratique surement. J'enfreins les limites du catholique, même si je les ai déjà enterré depuis longtemps. Ma main droite glisse vers la partie la plus sensible que je connaissent chez une femme. J'avoue sourire. Ma bouche baisers remontent sur la sienne. Nous sommes lèvres contre lèvres, corps contre corps et je m'applique à retenir la moindre parcelle de peau que j'effleure.

    Elle s'appelle Flavia. C'était de la folie la dernière fois. A New York, il y a un bout de temps. Une fête, beaucoup d'alcool, et nous deux, dans, approximativement, la même position qu'aujourd'hui. Excitant, avec une note d'interdit qui flottait dans l'air, dont je n'ai toujours pas compris le sens. Un coup parfaitement improvisé, mais réaliser avec une dextérité et une précision aguichante. Je me demande si c'est vraiment elle. Que ferait-elle donc à Berkeley ? Elle voulait me retrouver pour recommencer. Voilà qui se fait. Ah, je suis vraiment là pour exhausser tous leurs désirs, c'est fou. J'hésite à lui souffler son prénom dans l'oreille, mais je renonce : Elle me prendrait pour un psychopathe, et ça serait la meilleur solution de foutre mon coup en l'air, et ma libido avec. Mais j'intériorise une certaine satisfaction à savoir qui elle est et d'où elle vient.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

Oh my god. Flavia de Suza Empty
MessageSujet: Re: Oh my god. Flavia de Suza Oh my god. Flavia de Suza Empty

Revenir en haut Aller en bas

Oh my god. Flavia de Suza

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant

Sujets similaires

-
» Découverte féminine [With Flavia]
» if i ain't wrong we'd probably die on the floor - c'est naveen&flavia
» Allez viens on va jouer un peu ♥ Flavia
» « Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia
» Esseyage entre amie - Elena De Suza

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
the great escape :: flood and trash :: corbeille rp-