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« crazy little thing called love » AYM&MILI

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MessageSujet: « crazy little thing called love » AYM&MILI « crazy little thing called love » AYM&MILI EmptyMer 9 Fév - 3:53

AYMERIC & MILITINE
« crazy little thing called love » AYM&MILI Tumblr_lfw6xz9ojd...seo1_500-2561bdd
« A kiss is a lovely trick designed by nature to stop speech when words become superfluous. »

Nous avions eu la folle idée de tout laisser tomber le temps d’un week-end voir plus si l’envie nous prenait. Nous avions tout mit derrière nous et étions partie sans bagage, sans rien pour l’aéroport de San Francisco. Notre destination, Las Vegas, la ville de tous les pêcher, l’endroit parfait pour étaler au grand jour notre relation secrète. C’est à l’arrière d’un taxi que nous étions arrivé, Aymeric, en gentleman qu’il est avait bien prit soins que personnes nous voit monter à bord du même taxi. La chance devait être de notre coté, ou était-ce l’amour qui opérait sa magie, nous avions pu mettre la main sur une paire de billet pour un vol qui partait dans cinq minutes. Après l’achat de nos billets, première classe qui plus est, nous nous primes la main en direction de l’embarcadère. À quelques pas de la porte qui allait nous mener à notre avion, je m’arrêtai sec, je venais de me rendre compte que j’avais encore deux pilules d’extasie dans mon sac, je devais les faire disparaitre avant que quelqu’un d’autre mettre la main dessus. Je les sortis de mon sac je les mis les deux dans ma bouche, en avala une et m’approcha d’Aymeric pour l’embrasser et lui glisser subtilement l’autre pilule dans la bouche qu’il avala sans rechigner. Je n’avais encore jamais prit l’avion sous l’influence de l’extasie, cela risquait d’être une expérience intéressante, en compagnie d’Aymeric qui plus est. Nous étions installés tout près d’une petite famille accompagnée de la mamie. Je me demandai ce qu’une famille pouvait bien aller faire à Las Vegas, il me semble que cette ville était loin d’être pour les enfants. Du moins le jour ou j’aurai des enfants jamais je ne les amènerais dans un tel endroit. L’avion décolla, je n’avais jamais aimé les décollages et les atterrissages, j’en avais une peurs bleu. Je pris donc la main d’Aymeric en recherche de réconfort, je la serrai très fort et plongeai mon regard au creux du sien. J’avais l’impression d’être seule au monde avec lui, il n’y avait que lui et moi, deux amoureux en quête de bonheur. Nous volions depuis une quinzaine de minutes lorsque l’hôtesse de l’air vient nous offrir un petit quelque chose à manger ou à boire, je pris un verre de champagne. Dès la réception de mon verre j’en pris une gorgée qui le vida presque entièrement. Puis je me levai, devant cet homme qui fessait battre mon cœur je ne pu m’empêcher de l’embrasser le plus passionnément du monde, la vieille dame qui était près de nous semblait être dégouter de notre façon d’agir. Après tout nous étions jeunes et amoureux, elle avait sans doute déjà été amoureuse elle-même à une époque ou les mœurs étaient différents des nôtres. Je me penchai et murmurai quelques mots à l’oreille de ce beau brun. « Tu viens me rejoindre au toilette? » Je savais que le ton interrogateur n’était pas de mise. Nous n’avions pas fait ce dont nous étions supposés faire dans l’amphithéâtre de l’université, trop emballer par nos révélations amoureuses. Il était donc logique qu’il m’y rejoigne, après tout j’avais encore cette paire d’as entre les mains. Je fus seule dans cette petite toilette que quelques minutes, mais l’attente me parut éternel. J’entendis enfin quelques coups à la porte, j’ouvris tranquillement la porte afin de laisser mon amoureux entrer dans ce petit racoin avec moi. « Tu m’as manquer mon amour. » Je mis alors à l’embrasser de nouveau, j’adorais sentir ses lèvres chaudes sur les miennes. J’avais toujours aimé se toucher délicats, mais depuis que je savais qu’il m’aimait également, tout avait plus de sens, plus de sentiments, plus d’importance. Rapidement je lui retirai son chandail afin de caresser son torse. J’avais toujours rêvé de faire l’amour dans les toilettes d’un avion, mais jamais ce fantasme n’avait été réalisé, on m’avait toujours dit que cela ne se fessait pas, que c’était impoli pour ceux qui avait réellement besoin d’utiliser les toilettes. Non mais comme on s’en fou des autres. Tout ce qui comptait en ce moment c’était Aymeric et moi, Aymeric et Militine. Soudainement, de nouveau coups se firent entendre à la porte suivit d’une vieille voix que je reconnu immédiatement, c’était la vieille dame assit près de nous quelques minutes plus tôt. Elle avait sans doute vu Aymeric me rejoindre et trop choquer par ce qu’elle venait de voir elle devait y mettre terme. Je fis comme si j’avais rien entendu et continua d’embrasser cet homme qui fessait battre mon cœur, cet homme grâce à qui je vivais encore. L’extasie mélanger au champagne se mirent à faire effet, à présent j’étais seule avec Aymeric, plus rien ne nous entourais, nous n’étions plus dans ces toilettes, même plus dans cet avion, nous étions tout simplement tous les deux à s’aimer du plus profond de nos êtres. Enfin j’étais heureuse, réellement heureuse. Ce n’était pas une de c’est fausse joie que je m’amusais à créer question de faire comme si le bonheur m’envahissait. Non ce bonheur il était bien réelle et tout ça grâce à Aymeric. Il était le seul à me faire sentir de la sorte et il sera toujours le seul jusqu’à la fin de mes jours, je n’avais aucuns doutes sur cette affirmation. « Aymeric, je t’aime! » Je ne me tannais pas de lui avouer mon amour, je pourrais lui dire c’est trois petits mots jusqu’à la fin des temps et jamais je ne m’en lasserais.

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MessageSujet: Re: « crazy little thing called love » AYM&MILI « crazy little thing called love » AYM&MILI EmptyMer 9 Fév - 15:17

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« the money, the job, thecars isn't important. the only thing important is a kiss of you. »
AYMERIC ♥ MILITINE.

Une folle idée pour les deux amoureux de se rendre à Las Vegas, tout lacher le temps d'un week-end voire plus, laisser San Fransisco derrière eux, oublier Berkeley et leurs problèmes pendant deux jours ? Pas si folle que ça. Pas besoin de bagages, ils s'étaient promis de totalement oublier San Fransisco, rien ne devait leur faire penser à la ville qui rythmait leurs vies depuis quelques années maintenant. Pas de bagages, pas de vêtements de rechange donc. Juste une carte de crédit, et ca suffirait amplement. La chance, de surcroit, était de leur côté. A peine arrivé à l'aéroport, aprés avoir, sans qu'aucune personne de Berkeley ne les voit, pris un taxi, ils trouvèrent tout de suite un vol direct San Fransisco - Las Vegas. Et ce vol partait dans moins de cinq minutes. Billets en première classe, c'était quand même une Penrose et lui un De Lavignères. Aymeric et Militine se prirent la main pour rejoindre l'embarcadère de l'avion. A quelques mètres de celui ci, Militine s'arrêta net. Elle sortit de son sac sa petite boîte métallique et en sortit deux pilules, d'extasie. Elle mit les deux dans sa bouche et embrassa Aymeric pour lui en faire passer une, qu'il avala sans rechigner. C'était la première fois qu'Aymeric prenait l'avion sous l'influence de la drogue. L'éxpérience serait surement inconnue, mais avec Militine, elle ne pourrait qu'être belle. Les deux amoureux purent enfin rejoindre leur place. Ils se retrouvaient à côté d'une famille, accompagnée de leur grand mère. Aymeric ne voyait pas vraiment l'utilité d'emmener des enfants à Las Vegas, la ville de tous les pêchers. Cette initiative lui semblait bizarre mais il ne s'y arrêta pas, préférant la compagnie de Militine. Celle ci avait peur des décollages apparemment car elle serra trés fort la main d'Aymeric et plongea son regard dans le sien, comme pour se vider l'esprit. Pour se redire encore une fois qu'il n'y avait qu'eux sur Terre. Et dans le ciel désormais, car l'avion venait de décoller. Aprés quinze minutes de vol, une hôtesse vint et nous offrit à manger et à boire. Je pris un verre de champagne comme Militine. Ce verre de champagne devait être vraiment aphrodisiaque car aprés en avoir bu une gorgée, qui faisait quasiment tout le verre, Militine se leva et embrassa trés passionément Aymeric. La grand mère se trouvant nonn loin ne semblait pas apprécier ce qu'elle venait de faire. Peut-être que cete vieille n'avait jamais connu ce qu'ils connaissaient depuis quelques temps. Ces picottements dans les doigts, ce battement de coeur hyper rapide, toutes ces choses qui arrivaient à Aymeric depuis Militine. « Tu viens me rejoindre au toilette? » La demande était peu orthodoxe mais tellement séduisante. Ce n'était pas vraiment une demande même. C'était une invitation et Aymeric ne pouvait la refuser. Il fallait dire qu'il n'était pas vraiment passé à l'acte dans l'amphithéatre, qui n'était devenu que le théatre de leurs révélations amoureuses. Et puis, Militine avait gagné le jeu, elle avait encore la paire d'as dans les mains, il ne ne pouvait en aucun cas refuser. Mais cette éventualité ne lui avait même pas effleuré l'esprit. Il fit un clin d'oeil à Militine qui s'empressa de rejoindre le lieu de leurs futurs ébats. La séparation, même pour quelques minutes, paraissait une éternité à Aymeric. C'était comme si on lui attrapait le coeur et qu'on le faisait sortir de sa poitrine. Aprés ces quelques interminables minutes d'attente, Aymeric se décida à rejoindre discrètement les toilettes. Il frappa 3 coups et Militine lui ouvrit la porte. « Tu m’as manquer mon amour. » « Tu m'as manqué aussi. Je ne peux plus me passer de toi, Militine Léa Penrose. » Il referma derrière lui et Militine recommença à l'embrasser. Ses lèvres contre les siennes. Aymeric touchait le corps de Militine. Il l'avait toujours fait avec beaucoup d'attention et toujours en étant doux mais depuis les révélations qui précédaient ce départ à Las Vegas, tout cet amour avait plus de sens. Il prenait plus de place dans leurs vies, devenant la chose la plus importante à leurs yeux. Leurs sentiments étaient maintenant la seule chose qui pourraient rythmer leur vie. Militine lui retira son haut afin de caresser le torse de l'alpha. Les mains, la peau de la belle contre la sienne donnaient des frissons à Aymeric. Faire l'amour dans les toilettes d'un avion, c'est quand même assez cliché mais aussi très excitant, surtout avec Militine. La drogue ne faisait que multiplier ces sensations. Ça pouvait semblé impoli par rapport aux autres personnes, qui elles avaient réellement besoin des toilettes, mais comme il n'y avait plus qu'eux dans leur esprit, ils s'en fichaient complétement. La seule chose qui comptait c'est Aymeric et Militine. Alors qu'il allait retirer le haut de Militine, des coups sur la porte se firent entendre, ainsi qu'une voix, d'une personne âgée. Aymeric n'eut aucun mal à reconnaître la voix de la vieille grand mère assise à côté d'eux dans l'avion. Mais, ils firent comme si ils n'avaient rien entendu. De plus, la drogue commençait à faire effet. Il n'y avait rien autour d'eux. Pas de toilettes, pas même d'avion, pas de grand mère, pas de famille. Juste Aymeric et Mlitine, deux être qui s'aiment du plus profond de leur coeur. Le bonheur les submergeait. Aymeric n'avait jamais connu ce sentiment, ce sentiment que l'on ne voit que dans les séries. Cet amour parfait qui envahit votre coeur. Mais, il existait vraiment. Militine était la seule qui pouvait faire ressentir cela à Aymeric. Elle était la seule qui faisait vibrer son coeur, et ce pour toujours. Cette affirmation serait vrai, jusqu'à son dernier souffle, Aymeric y croirait, il en était persuadé. « Aymeric, je t’aime! » Même si ce n'était plus la première fois que Militine lui disait ces trois mots, ces trois mots si importants pour lui, il lui faisait toujours plus que plaisir, il lui donnait l'impression d'être quelqu'un. Et ce quelqu'un était le petit ami de Militine. Plus même que son petit ami, il lui paraissait qu'elle le voyait comme l'homme qui lui fallait. Et lui la voyait comme la femme de sa vie. « Je t'aime aussi Militine! Plus que ma propre vie, plus que mon propre père, je t'aime plus que quiconque. » Aymeric enleva à Militine son haut, laissant apparaître les courbes parfaites de la jeune femme. Aymeric avait pu admirer ce corps de nombreuses fois mais c'était diffèrent à cet instant. Avant, ils ne se voyaient que comme deux personnes qui ne se voient que pour coucher ensemble, désormais, c'était bien plus que ça. C'était de l'Amour, le vrai, avec un grand A. Ils étaient donc rien que tous les deux, ils se baladaient dans l'espace, ensemble, ils volaient, rien ne pouvait leur arriver. Aymeric était torse nu et Militine en soutien gorge, la suite était on en peut plus logique. Aymeric se rapprocha de Militine, jusqu'à avoir son corps collé au sien, tout en continuant à l'embrasser. « J'aimerais que ce moment dure toujours Militine. Que ce bonheur qui est le mien, et qui je l'éspère est le tien, soit notre pour toujours. » Aymeric déboutonna le jean que portait Militine pour le faire descendre en bas des jambes de la new yorkaise. Elle était désormais en sous vêtements et Aymeric n'allait pas tarder à la rejoindre dans cet état de quasi nudité. « C'est à toi. C'est toi qui a la paire d'as, c'est à toi d'avoir les choses en main mon amour. » dit il en souriant.
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MessageSujet: Re: « crazy little thing called love » AYM&MILI « crazy little thing called love » AYM&MILI EmptyMer 16 Fév - 21:52

AYMERIC & MILITINE
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« A kiss is a lovely trick designed by nature to stop speech when words become superfluous. »

J'avais tout mit derrière moi, les cours, mes amis, mais surtout Woody. Il m'avait fallut du temps pour comprendre que je méritais mieux que lui, mieux que cet homme qui ne savait pas m'aimer. Comment avais-je pu être si aveugle aussi longtemps. Pourtant on m'avait souvent répéter que je devais le laisser, mais comme toujours je n'avais rien écouté de ses conseils. J'avais plutôt pensé que tout ceux qui voulait que je quitte Woody était plutôt jaloux de notre relation. Mais non j'avais tord. Aujourd'hui je réalise tout. Il ne m'aime pas, il ne m'a jamais aimé, maintenant je le savais. Maintenant que je savais ce qu'était l'amour le vrai, je voyais bien que ma relation avec Woody était tout sauf de l'amour. J'avais trouvé dans les bras d'Aymeric tout le réconfort dont j'avais toujours rêvé. Enfermé avec lui dans cette minuscule toilette, notre amour était plus fort que tout. Je n’avais rien n’à faire de ou nous étions je voulais l'aimer tout simplement. « Tu m'as manqué aussi. Je ne peux plus me passer de toi, Militine Léa Penrose. » Mon amour venait de pénétré dans la petite toilette, nous avions été séparer pas plus de cinq minutes et il m’avait manqué comme si on m’avait privé de le voir pendant plusieurs mois. Nous venions à peine d’avouer les sentiments que nous avions l’un envers l’autre, mais c’était comme si nous nous aimions depuis toujours. Notre amour avait prit le dessus sur tout. Plus rien n’avait d’importance à mes yeux à l’exception de l’amour de cet être cher. Je serais prête à tout pour lui. Il n’avait qu’à me demander tout ses désires et je m’empresserais de les réaliser du mieux que je peux. Nous nous embrassions tendrement, ce n’était pas la première fois que nos lèvre se touchait de la sorte, mais cette fois tout était différent. Ce baiser était emplit d’amour et de passion, j’avais le cœur qui battait la chamaille, la drogue avait pu me faire cette effet, mais je savais qu’à cet instant c’était Aymeric qui fessait cet effet. Lui seul arrivait à me faire sentir ainsi, comme si j’étais le centre de l’univers et que tout tournait autour de moi. J’avais l’impression de compter pour lui, jamais personne ne m’avait donné au tant d’amour. Je lui avais retiré son chandail et il avait fait de même, après une bref interruption du à des coups sur la porte c’est mon jeans qu’il me retira. J’étais à présent en sous vêtement devant lui, devant l’homme que j’aime plus que tout. Je n’avais jamais aimé me retrouver nue ou presque nue devant qui qu’on que, je n’aimais pas montrer mon corps, ce corps qui avait été ravagé par les marques de mon anorexie. J’aimais bien croire que j’étais guéri, mais au fond de moi je savais que cette fichu de maladie allait me suivre toute ma vie. Je n’aimais pas mon corps et je ne pense pas qu’un jour cela alla changer. Mais en ce moment, malgré les yeux d’Aymeric sur mon petit corps fragile, je n’avais pas honte. Je savais qu’il m’aimait pour ce que je suis. À deux nous serons simplement plus forts pour vaincre tous les obstacles qui entraveront notre chemin. « Je t'aime aussi Militine! Plus que ma propre vie, plus que mon propre père, je t'aime plus que quiconque. » J’adorais l’entendre me dire à quel point il m’aimait, jamais je n’allais m’épuiser d’entendre ces mots sortir de la bouche d’Aymeric. Je lui enlevai son pantalon à son tour, nous étions tout deux en sous vêtement à présent. La suite des choses était plutôt logique. Surtout que la drogue commençait drôlement à faire effet, le moindre toucher de la part d’Aymeric sur ma peau me fessait frissonner. J’avais envie de lui plus que tout. « J'aimerais que ce moment dure toujours Militine. Que ce bonheur qui est le mien, et qui je l'espère est le tien, soit notre pour toujours. C'est à toi. C'est toi qui a la paire d'as, c'est à toi d'avoir les choses en main mon amour. » Ce bonheur était bel et bien le notre, il m’était impossible de nous séparer dorénavant, Militine sans Aymeric ne pouvait plus exister. « Notre bonheur durera pour toujours mon amour ne t’en fait pas. » Il avait raison, j’avais gagné à notre petit jeu, je l’avais oublié avec tous ces déclarations. Tout en l’embrassant je le poussai légèrement jusqu’à ce qu’il n’ai plus le choix de s’assoir sur la toilette. Je passai mes jambes de chaque coté afin d’arriver à m’assoir sur lui. Je retirai par la suite mon soutien-gorge pour lui dévoiler mon corps d’avantage. Je n’avais encore jamais fait l’amour dans un avion, mais je suis persuader que je n’oublierai pas cette expérience de si tôt. Aymeric me caressait le dos et c’était comme si chaque un des ses doigts me donnaient un choc électrique. J’aimais cette sensation de bonheur qui m’envahissait. Jamais plus je n’allais pouvoir me passer de cet homme, je savais que c’était avec lui que je voulais terminer mes jours. Il m’était impossible de ne pas l’aimer, Aymeric était l’homme parfait.

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MessageSujet: Re: « crazy little thing called love » AYM&MILI « crazy little thing called love » AYM&MILI EmptyVen 18 Fév - 0:14

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« just, i say " i love you." »
AYMERIC ♥ MILITINE.

Il n'y avait plus rien à part eux. Ils étaient partis à Las Vegas, en laissant tout ce qui faisait leurs vies derrière eux. Berkeley et San Fransisco surtout. Plus d'alphas, plus de gammas. juste Aymeric et Militine, deux amoureux, tout simplement. Aymeric avait souvent pensé à refaire sa vie, à enfin sortir de cette état du jeune homme en deuil. Cela faisait maintenant plus de trois ans que Johanna était décédé. Il n'allait évidemment pas l'oublier, il ne le pourrait pas de toute façon. Il avait souvent pensé à recommencer une nouvelle vie, redevenir le garçon joyeux qu'il était avant. Mais il ne s'y était jamais résolu. Jusqu'à cette rencontre avec Militine. Elle lui fit comprendre que l'amour existait encore et que le simple fait de croire en lui fait que la flamme de cet amour ne peut s'éteindre. Et la flamme de la passion qu'il entretenait désormais avec Militine ne cessait de grandir depuis ces moments passés dans l'amphithéâtre. Là-bas, c'était une nouvelle vie qui commençait pour la new-yorkaise et le parisien. Ils avaient enfin pu s'avouer leurs sentiments l'un pour l'autre. Ils avaient pu dévoiler à l'autre l'amour qu'il éprouvait, le fait qu'il ne se voyait plus jamais vivre l'un sans l'autre. Mais aussi qu'il voulait pouvoir vivre au grand jour cette histoire d'amour sans se soucier du regard des autres. Mais pour le moment, c'était impossible à San Fransisco. Trop de choses faisaient que la ville d'accueil des deux jeunes gens n'étaient peut être pas encore l'endroit idéal pour vivre cette amour débordant. Toujours était il qu'ils avaient décidé de s'exiler à Las Vegas pour pouvoir être tranquille, ensemble, le temps de quelques jours. Un avion allait décoller quasiment dés leur arrivée à l'aéroport, et ils allaient donc pouvoir quitter SF. Deux billets ne première classe et c'était parti. Au revoir San Fransisco, bonjour Las Vegas, ville de tous les pêchés. Mais, en l'occurrence, ce serait juste la ville de l'amour pur les deux tourtereaux. A peine l'avion avait il décollé, que cela commença. Un petit quart d'heure après le décollage, Militine reçu un verre de champagne, qu'elle but directement avant de proposer un petit corps à cors avec son partenaire dans les toilettes de l'avion. Cela pouvait sembler assez original. Pas vraiment pour eux, ils avaient tellement multiplié le nombre de lieux ayant vus leurs ébats que ce n'était pas si bizarre, meme si c'était original. Mais cette fois, ce serait différent. Avant, il y avait l'appréhension que ce soit peut être la dernière fois ensemble. Là, c'était tout le contraire. C'était le début d'une longue lignée de moments d'amour pour eux. Cinq minutes aprés qu'elle eut rejoint les toilettes, Aymeric rejoint la demoiselle qui faisait vibrer son coeur. A peine entré, Aymeric reçu un doux et long baiser de Militine. Le coeur d'Aymeric battait à cent à l'heure. Ce n'était pas la drogue qui faisait ça, mais bel et bien Militine. L'attirance physique n'était que secondaire, désormais. Militine était magnifique mais ce n'était pas pour cela qu'Aymeric l'aimait. Elle lui retira son haut et lui en fit de même avant de lui retirer son jean. Seul Militine comptait pour lui, il n'avait d'yeux que pour elle, et ne voyais que par elle. Aymeric savait que Militine avait longtemps été complexée par son corps et qu'elle l'était surement encore. Mais avec lui, elle ne devait pas avoir honte. Il l'aimait pour ce qu'elle était, pas pour son physique. Aymeric savait que le refus de se voir comme elle l'était vraiment était une maladie, en l'occurrence l'anorexie, mais il était sur qu'ensemble il pourrait surmonter cela comme il pourrait surmonter toutes les choses qui pourraient se mettre en travers de leur amour. Aymeric, qui ne pouvait s'empêcher de le dire désormais, s'étant obligé à ne pas le dire durant des semaines, répéta encore son amour pour Militine. elle lui retira ensuite son pantalon. La drogue ne fit qu'augmenter l'envie sexuelle qui se trouvait dans les deux jeunes gens. Militine, tout en l'embrassant, fit reculer Aymeric jusqu'à ce qu'il soit obligé de s'asseoir sur les toilettes. Militine s'assit sur lui avant de retirer son soutien gorge, dévoilant son coeur désormais nue au français. Aymeric continua d'embrasser la belle, tout en passant ses mains dans le dos de la demoiselle. Il sentait sa peau ainsi que celle de Militine frissonner à chaque fois qu'ils se touchaient. Militine était la femme parfaite pour Aymeric, il savait que désormais Aymeric ne se conjuguerait plus qu'avec Militine. Aymeric retira le dernier de ses vêtements pour désormais se retrouver complétement nue, avec celle qui était sa moitié. Tout en ne laissant pas ses lèvres s'éloigner de Militine, il sentait les mouvements de va et vient de la demoiselle, qui lui faisait un effet fou combiné à la drogue. Aymeric avait l'impression de vivre un bonheur plus intense que la chaleur du soleil. Cette sensation était inexplicable et de toute façon il n'avait aucune envie ni aucun besoin de la décrire. Il voulait juste profiter du moment présent, avec Militine. Aymeric sentait la poitrine de Militine contre son torse alors qu'il embrassait le corps de la belle. Les mouvements de Militine redoublaient d'intensité. C'est alors qu'Aymeric se releva, embarquant au passage sa belle, pour le plaquer contre le mur alors qu'elle était encore dans ses bras, ses pieds ne touchant même pas le sol. Aymeric continuer à embrasser le corps de sa belle, dans son intégralité. Rien ne pourrait venir les déranger dans ce moment magique. Plus les mouvements d'Aymeric se faisaient intense, plus il sentait Militine au bord de l'extase, extase amplifié par la drogue, mais surtout par l'amour des deux êtres. Ils frissonaient de plaisir et sentaient que c'était vraiment une symbiose entre eux. Ils ne formaient plus qu'un. AYMILITINE.
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MessageSujet: Re: « crazy little thing called love » AYM&MILI « crazy little thing called love » AYM&MILI EmptyMer 23 Fév - 6:42

AYMERIC & MILITINE
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« The night is young, my love there's lots of time for sex and drugs. »

Il y a à peine quelques heures j'étais en cour de droit, je m’ennuyais à mourir et me voila au milieu du ciel, nue dans les bras d'Aymeric. Ce n'était pas la première fois que nous nous retrouvions nu dans la même pièce, loin de là, nous avions fait l'amour, en fait nous avions couché ensemble à de nombreuses reprise. Mais aujourd'hui dans cet avion c'était différent, nous fessions l'amour pour la première fois. Tout était tellement plus passionné, tellement meilleur. Ou n'était-ce que le sentiment de libération après lui avoir avoué ce que je retentais pour lui. Peu importe, j'étais bien et c'est tout ce qui compte. La drogue amplifiait le moindre de mes mouvements. Pour la première fois j'avais agit sans réfléchir, j'avais laissé tomber ma garde, je n'avais pas fait attention à mes peurs. J'ai foncé vers l'inconnue sans me poser de questions. Et je ne regrettais rien de ce geste. Il y a plusieurs choses que j'ignore, mais je savais à cet instant que c'était aux coté de mon beau français que j'avais envie de mourir. Une nouvelle vie commençait pour moi, pour nous, Aymeric et Militine, Amilitine. Je savais qu’après ce voyage je ne pourrais plus vivre sans lui, je pourrais en mourir. Les mains d’Aymeric qui caressaient mon corps, me donnait de plus en plus envie de lui. Je voulais ne former plus qu’un avec celui que j’aime, Aymeric De Lavignères. Je sentais le désir monter en lui également. Il me prit dans ses bras et m’appuya contre le mur, mes pieds ne touchaient même pas le sol. Depuis mon enfance je n’avais jamais aimé me faire prendre. Alors que j’avais environs cinq ans, mon oncle m’avait prit pour faire faire voler comme un avion. Un mauvais calculer de l’espace entraina une collision entre ma tête et le mur. Depuis je préfère garder mes deux pieds bien encré au sol. Mais dans les bras d’Aymeric je n’avais plus peur, j’avais confiance en lui et j’étais beaucoup trop dans mon monde parallèle pour me rendre compte qu’en plus d’être dans un avion mes pieds n’arrivaient pas à atteindre le sol. Le jeune français couvrait mon corps de baisée passionnées. Je pouvais sentir son cœur battre à travers sa poitrine. Nous ne formions plus qu’un être et n’être plus qu’un avec Aymeric me donnait l’impression que j’étais enfin en vie. C’était comme si je venais à peine de prendre ma première respiration. Plus les mouvements de l’alpha s’amplifiait plus ma respiration accélérait. Je m’étais agripper à son cou et sans m’en rendre compte plus l’extase montait en moi plus j’enfonçais mes ongles dans la peau du jeune homme. Le temps c’était arrêter jusqu’à ce que tous les deux atteignons le septième ciel. Aymeric me déposa alors au sol, je restai coller à lui, je n’avais pas envie que ce moment s’arrête. Son cœur battait contre ma tête appuyé sur son torse en sueur. J’étais heureuse plus que jamais. Je du sortir de mon état second lorsque nous entendions une agente de bord annoncer que nous allions atterrir et que nous devions tous gagner nos siège et boucler notre ceinture. J’embrassai mon français avant de me revêtir. Nous sommes alors retourner s’assoir, je ne pouvais m’empêcher de sourire sans cesses. Je lui pris la main quand tout à coup une idée me passa par la tête. C’était peut-être la drogue qui m’avait donné cette idée, mais mon cœur me disait que c’était la chose à faire. Je levai alors la tête et regardai Aymeric droit dans les yeux. « Et si on se mariait? » Après tout on ne peut pas aller à Las Vegas sans se marier sur un coup de tête. C’était le moment parfait, nous avions mit nos vies de coté pour les jours à venir. Et puis Aymeric avait bien parlé d’un nouveau départ, une nouvelle histoire qui commençait. Quoi de mieux qu’un mariage afin de célébré leurs nouvelle vie ensemble. Je commençais à redescendre de mon nuage d’extasie, la drogue fessait de moins en moins effet. Beaucoup de choses avaient changé en peu de temps, mais mon addiction à la drogue était toujours présente au rendez-vous. Je sentais ce manque si cruel monté en moi, j’allais devoir trouver quelque chose à prendre avant de pouvoir me marier avec l’homme parfait. Je sais normalement une mariée cherche plus à se mettre le plus belle possible quelques heures avant son mariage, mais je n’étais pas comme toutes ces filles sans saveurs. Je pourrais bien porter un sac de poubelle qu’Aymeric me trouverait sans doute la plus belle quand même. Je n’avais pas à m’en faire avec ça. Et puis je n’avais qu’une orange et morceau de poulet depuis les trois derniers jours, je savais que j’étais tout à fait présentable. C’est les yeux dans ceux de celui que j’aimais et le sourire aux lèvres que j’attendais sa réponse, j’espère au plus profond de moi qu’il accepte de partager le reste de sa vie avec moi. J’allais devenir Militine Léa De Lavignère s’il voulait de moi. Après tout j’avais toujours réussit à faire fuir tout le monde, peut-être n’était-il pas prêt à un tel engagement. Il m’avait avoué qu’il m’aimait, mais ses sentiments pouvaient être éphémères. Il allait un jour en avoir marre de moi, comme tous les autres que je n’ai pas su aimer suffisamment.

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MessageSujet: Re: « crazy little thing called love » AYM&MILI « crazy little thing called love » AYM&MILI EmptyJeu 24 Fév - 23:55

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« just, i say " i love you." »
AYMERIC ♥ MILITINE.


Ce sentiment était indescriptible, inénarrable. Aucun mot n'aurait pu être mis sur cela. Amour, trop faible. Passion, la même chose. C'était juste le sentiment Aymilitine, rien d'autre. Ce sentiment qui donnait à Aymeric le sentiment de voler, le sentiment que rien n'avait d'importance à part elle et lui, eux, Militine et Aymeric. Et ce sentiment, plus fort que l'amour et la passion s'était retrouvé réuni dans ce petit toilette dans cet avion qui menait les amoureux à Las Vegas. Cette passion, mélange d'amour mais surtout d'impulsivité des deux êtres, avait rapidement mis fin au jeu, pour les retrouver dans l'action, trés rapidement. La new yorkaise avait pris les choses en main en commençant à déshabiller son prétendant de longue date. Puis c'était elle qui s'était retrouvée quasiment nue, avant de pousser celui qu'elle aimait contre les toilettes. Et l'alpha avait repris les commandes en prenant dans ses bras et en appuyant contre le mur du toilette, celle qui faisait battre son coeur depuis maintenant de longues semaines. Ce n'était pas la première fois qu'ils couchaient ensemble. Ils l'avaient déja fait de nombreuses fois. Mais c'était leur première fois avec de l'amour, le vrai amour. Pas l'amour physique. Tous leurs gestes, leurs mouvements de va-et-vient avaient plus de sens qu'auparavant. De plus, la drogue amplifiait chaque mouvement, jusqu'à en donner des frissons à Aymeric. Aymeric avait décidé de ne pas réfléchir pendant ce voyage, qui était lui même un coup de tête. Tout ce qu'il voulait c'était être avec Militine, et dans ce toilette, en train de faire l'amour, il ne formait qu'un. AYMILITINE. Il ne pouvait plus vivre sans elle, c'était elle qui faisait battre son coeur. Ses mains dans le dos de Mili donnaient la chair de poule à la gamma. Le désir du parisien montait, de surcroit avec la drogue. Aymeric l'embrassait passionnément. Pas seulement les lèvres mais tout le corps de sa bien aimée. Les mouvements de va-et-vient s'accélérant, la respiration de Militine était de plus en pus forte, l'extase montait de plus en plus chez elle. Tellement qu'elle enfonca ses ongles dans la peau d'Aymeric. Mais la douleur ne fus que passagère. La temps semblait s'être arrêter, il n'y avait qu'eux dans l'avion, dans le ciel. Ce sentiment s'arrêta quand ils atteignirent le septième ciel, ensemble, en essayant de ne pas non plus crier ce plaisir qui était monté en eux. Aymeric put laché Militine pour que ses pieds retouchent terre. La belle restait collé à lui, aucun ne voulait s'éloigner l'un de l'autre. Le moment magique est n'importe qui aurait voulu que ce moment intense de bonheur continue pour toujours. La tête de la belle collé à son torse, Aymeric caressait ses cheveux tout en embrassant Militine. rien ne pouvait faire arrêter ce moment. Sauf l'hôtesse qui, au micro, annonca que tous les passagers devaient rejoindre leur siège pour l'atterrissage. Militine embrassa Aymeric avant de se revêtir, alors qu'Aymeric en fit de même. Sans gêne, ils sortirent tous deux des toilettes et l'américaine lui prit la main. C'est alors que la belle leva la tête vers son amant et le regarda droit dans les yeux. « Et si on se mariait? » Cette phrase fit comme l'effet d'une bombe dans le torse d'Aymeric. Il aimait Militine, il l'aimait du plus profond de son coeur et avait envie de dire oui. Mais cela n'allait il pas trop vite. C'est alors qu'il vit le sourire de la new yorkaise qu'il comprit. Qu'il comprit que c'était la meilleure chose à faire. Il voulait être sur de l'amour de Militine, il en était maintenant certain. « Bien sur que je veux t'épouser. Je veux que tu sois ma femme. Je veux que tu sois Militine Lea De Lavigneres Penrose. » Il se baissa et l'embrassa passionément. Cette idée le réjouissait au plus haut point. La nouvelle vie allait pouvoir commencer. La nouvelle vie d'Aymeric et Militine, plus jamais l'un sans l'autre. Tout en se rasseyant à leur siège, Aymeric ne pouvait s'empêcher de regarder sa belle, avec un sourire presque niais. Il ne se rendait pas compte que dans peu de temps, il serait marié avec la femme de sa vie. L'atterrissage ressembla au décollage. Militine qui attrapait la main de l'alpha et plongea son regard dans le sien pour ne pas penser à cela. Rapidement, ils purent quitter l'avion, et l'aéroport par la même occasion. Aucune valise a attendre, c'était pratique. La seule chose dont ils avaient besoin c'était de l'autre. Ils pouvaient enfin, en pleine ville, se tenir la main, s'embrasser, se chuchoter des choses à l'oreille, toutes ces choses simples que font les couples normaux. Mais le leur n'était pas normal, il était bien plus que ça. Il était spécial, beau, sulfureux, secret. A leur retour à Berkeley, il serait aussi surement jalousé mais cela passait aprés le reste. Leur seule idée était de vivre ensemble, de se marier, et un jour, de fonder une famille De Lavignères Penrose. Le reste n'avait pas d'intérêt. Dans le taxi, Aymeric avait pris soin de commander une voiture de location. Las Vegas, c'était bien, mais pas à pied. Lorsqu'Aymeric sortit de l'aéroport, Militine au bras, il aperçut rapidement un homme, un papier à la main, prés de la voiture qu'il avait choisi. Un beau coupé, parfait pour le jeune couple. Expediant les paperasses, Aymeric put rapidement prendre en main le bolide. La voiture de sport, c'était pour le style, pas pour la vitesse. Il avait déja peur de prendre la voiture, il n'allait de surcroit pas pendre le risque, sous l'influence descendante de drogue, de conduire vite. Il ne voulait pas voir ses démons resurgir. En roulant, Aymeric apercut un endroit arborant une pancarte géante floqué du mot "WEDDING". N'était ce pas le destin qui mettait cet endroit, qui allait devenir leur paradis, juste devant leurs yeux ? Aymeric n'avait jamais cru à cela, jusqu'à Militine. Il s'arrêta sur le parking de l'endroit. « L'endroit te convient mon amour ? Ce n'est peut être pas ce dont tu as rêvé mais seul notre amour compte, tu crois pas ? En tout cas, moi quel que soit l'endroit, quel que soit nos vêtements, j'aurais toujours cette petite voix dans ma tête qui me dira de t'épouser. Parce que je veux t'aimer pour toujours, je veux me marier avec toi, je veux un jour fonder une famille avec toi et je veux mourir avec toi. Est ce que tu veux ouvrir le livre, le livre de notre histoire ? »
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MessageSujet: Re: « crazy little thing called love » AYM&MILI « crazy little thing called love » AYM&MILI EmptyLun 28 Fév - 22:11

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« The night is young, my love there's lots of time for sex and drugs. »

Un jour j'ai lu que l'amour était un rêve que l'on peut faire qu'à deux. J'avais vraiment envie de réaliser se rêve en compagnie d'Aymeric et de lui seul. Peut importe l'endroit je voulais simplement lui montrer à quel point je l'aimais. Enfant j'avais toujours rêvé d'un mariage de princesse, je me voyais dans une belle robe blanche descendre l'allée de l'église blanche au bras de mon père qui me donne à l'homme de ma vie. J’avais tout imaginé dans les moindres détails, même que j'avais un album avec toutes les photos de ce que je voulais. Malheureusement, il y a longtemps que j'avais mit une croix sur tout ce que contenais cette album, je savais que jamais je n'aurais un tel mariage. De nos jour l'amour n'était plus ce qu'elle était au par avant. Plus personne ne prenait le mariage sérieusement, de toute façon on avait toujours la possibilité de se divorcé si jamais ça ne fonctionnait pas. C'est alors que je demandais à Aymeric de m'épouser que l'album me reviens en tête. Je n'avais plus envie de tout ça, ce n'était que superficielle maintenant. Tout ce qui comptait pour le moment c'était devenir madame de Lavignères. « Bien sur que je veux t'épouser. Je veux que tu sois ma femme. Je veux que tu sois Militine Lea De Lavigneres Penrose. » Il venait de faire de moi la femme la plus heureuse, dans quelques heures j'allais être devenir sa femme. Il m'embrassa, notre premier baiser entant que futur époux. L’atterrissage causa au tant de stress que le décollage, je pris la main de mon futur mari et plongea mon regard dans le sien afin d'oublier tout ce qui se trouvait au tour de nous. En quittant l'avion les deux amoureux se dirigèrent vers une voiture de sport qu'Aymeric avait loué. Rien de trop beau pour un jeune couple en amour par-dessus la tête. Tout était parfait pour commencer notre nouvelle vie à deux. Nous étions à bord de la voiture depuis quelques minutes quand nous vîmes une petite chapelle, mon alpha gara la voiture. « L'endroit te convient mon amour ? Ce n'est peut être pas ce dont tu as rêvé mais seul notre amour compte, tu ne crois pas ? En tout cas, moi quel que soit l'endroit, quel que soit nos vêtements, j'aurais toujours cette petite voix dans ma tête qui me dira de t'épouser. Parce que je veux t'aimer pour toujours, je veux me marier avec toi, je veux un jour fonder une famille avec toi et je veux mourir avec toi. Est ce que tu veux ouvrir le livre, le livre de notre histoire ? » L’endroit était parfait, ce n’était peut-être pas ce dont j’avais rêver étant enfant, mais j’avais réaliser que pour rendre un mariage parfait la seule chose dont on avait besoin c’était l’amour et cela nous l’avions. « C’est parfait mon amour, je m’en fou du lieux tout ce que je veux c’est devenir ta femme et t’aimer pour toujours. » Je débarquai de la voiture et pris la main de mon amoureux. Enfin nous pouvions se balader main dans la main sans avoir peur de se faire voir par quelqu’un qu’on connait. Nous étions libres de s’aimer et j’aimais ce sentiment. C’est donc main dans la main que nous nous rendîmes à l’intérieur de la petite chapelle. Une réceptionniste nous accueilli un sourire aux lèvres. « Bonjour, bienvenue à Las vegas! Vous comptez vous mariez dans notre jolie petite chapelle? »Je rapprochai de mon futur mari avant de sourire à mon tour à la réceptionniste. « Oui, immédiatement si possible. » Et puis si elle nous disait que nous devions attendre, il y a rien que nous ne pouvons acheter, quand tu as tout l’argent du monde, rien ne t’es impossible. « Bien sur que c’est possible, vous avez simplement qu’à remplir ce formulaire et nous procéderons après. Elle nous donna une feuille à remplir, nous nous installons tous les deux sur la même chaise afin de le compléter. Une fois notre tâche terminée nous redonnions le formulaire à la dame qui nous dirigea vers une autre salle. Il y avait une petite boutique, j’y achetai un bouquet de fleur et un voile. Bien que nous ayons décidé sur un coup de tête de se marier, j’avais tout de même envie d’avoir quelques symboles cliché à mon marige. « T’es prêt mon amour? dans quelques minutes il sera trop tard pour changer d’avis. Je ne réalisai pas encore que ma vie allait changer du tout au tout en l’espace d’une minute seulement. Soudainement j’eu une pensé pour Woody, il allait vouloir me tuer sans aucun doute s’il apprenait que je m’étais marié avec un autre. Mais ce n’était pas ça ni rien d’autre qui allait m’empêcher de passé à l’acte. J’allais tout simplement laisser Militine du futur gérer ces problèmes.
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MessageSujet: Re: « crazy little thing called love » AYM&MILI « crazy little thing called love » AYM&MILI EmptyMer 2 Mar - 18:49

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« just, i say " i love you." »
AYMERIC ♥ MILITINE.

Un mariage à Las Vegas semblait être la pire des idées. Surtout pour Aymeric. Il se souvenait du mariage de Drew dans cette même ville. Et ca avait trés mal fini. Lui et Coleen se détestaient à présent. Mais malgré cela, aymeric ne pouvait refuser. Il voulait vivre avec Militine, il était plus qu'amoureux d'elle, il ne pouvait plus imaginer un seul instant sa vie sans elle. Il avait envie de s'installer avec elle, et un jour même, d'avoir des enfants avec elle. Et de toute façon, dans son esprit, ils se marieront un jour, alors pourquoi pas aujourd'hui. Tous les feux étaient au vert. Ils s'aimaient de toute leur force et ils étaient seuls maîtres de leur destin, pour une fois dans leur vie. C'est pour cela qu'Aymeric avait tout de suite répondu positivement à sa belle new yorkaise. A peine vie il le mot "WEDDING" que le parisien n'hésita pas un instant et se gara sur le parking de la petite chapelle. Aymeric sortit et en grand gentleman ouvrir la porte de Militine, avant de lui tendre la main pour sortir du bolide. Cela pouvait paraître inutile, elle aurait pu sortir de la voiture seule, mais c'était important pour Aymeric, et ca semblait plaire à celle qui serait bientôt sa femme. Se balader main dans la main paraissait si ordinaire mais pour eux c'était bien plus que ça. Il pouvait enfin être un vrai couple, aux yeux du monde, même si pour l'instant, ce monde s'arrêtait à Las Vegas. Aymeric éspérait que ce monde ne s'arrête pas à cette ville, mais englobe au moins San Fransisco. Il leur faudra bien, un jour, mettre les étudiants de Berkeley au courant de leur relation, et surtout de leur mariage. Mais, pour l'instant, Aymeric préférait se concentrer sur l'instant présent, et ce mariage qui approchait à vitesse grand V. Quand Aymeric souleva le fait que cette chapelle, et le contexte du mariage, n'était pas ceux qu'avaient surement du rêver Militine depuis sa plus tendre enfance, comme le font toutes les petites filles, sa réponse ne fit que le conforter dans son idée que le mariage était la meilleure des solutions. « C’est parfait mon amour, je m’en fou du lieux tout ce que je veux c’est devenir ta femme et t’aimer pour toujours. » Nous rentrions donc, main dans la main, dans la petite chapelle et nous approchions d'un bureau aprés qu'une réceptionniste, sourire aux lèvres, nous accueillit en demandant par la même occasion si l'on avait dans l'idée de nous marier dans leur chapelle. Militine se rapprocha d'Aymeric et, d'une réponse claire, répondit par la positive tout en rajoutant qu'elle souhaitait le faire immédiatement. La réceptionniste leur tendit un formulaire, dernière étape avant leur mariage. Aymeric s'assit sur une chaise, Militine se mettant sur ses genoux, un stylo dans une main et le formulaire dans l'autre. Tout en donnant les informations sur sa naissance par exemple et tous ces informations inutiles imposées par le formulaire, Aymeric embrassait la nuque de Militine. Il ne pouvait s'empêcher d'être tactile, calin avec elle. Ce n'était pas sa personnalité, mais avec elle, il était quelqu'un d'autre. Quelqu'un de meilleur surement. A peine eut elle finit de compléter le document, qu'elle le rendit à la femme, qui dirigea les amoureux dans une autre salle. En passant devant une boutique, Militine s'arrêta et acheta un bouquet ainsi qu'un voile. Les symboles clichés étaient trop clichés pour s'en passer. « T’es prêt mon amour? Cette question fit sourire Aymeric. « Je n'ai jamais été aussi prêt de faire quelque chose. Et c'est surement la meilleure chose que je puisse faire dans ma vie. Madame Militine De Lavignères Penrose. » Aymeric tendit la main à sa belle, qui la prit, et l'emmena vers la salle qui serait leur premier souvenir de jeunes mariés. Dedans, les attendait un homme, habillé en costume. Il ne ressemblait pas vraiment à un prêtre mais passons, Aymeric ne voulait pas perdre son temps à regarder si l'homme était prêtre ou non, il n'avait, à vrai dire, jamais vraiment vu de prêtre. Mis à part à la télévision. L'homme commenca le baratin habituel, ce qui était pas trop du goût d'Aymeric. [color:920b=996699]« Je vous réunis ce soir pour célébrer... «» « Excusez moi, mais, on est est que deux. Donc, si vous pouveez passer tous les usages et passez directement à la fin, s'il vous plaît. » dit il avec un sourire en coin. Pas qu'Aymeric voulait expédier son mariage, mais il n'avait pas vraiment envie de perdre quelques minutes à entendre parler un vieil homme alors qu'il pourrait fêter son mariage avec sa nouvelle femme. Ils n'avaient normalement que deux jours à Las Vegas et comptaient en profiter le plus possible. Pas franchement ravi, l'homme accepta. Mais avant qu'il recommence, Aymeric prit la parole, ce qui enchanta encore moins le prêtre. Il devait se dire *Oh ces jeunes!*. Mais le parisien n'en avait que faire. « Militine. Ma Mili. Mon amour. C'est peut être bizarre, mais je ne te l'ai pas demandé. Veux-tu m'épouser ? »dit il en se mettant à genoux et en sortant la bague qu'il avait, auparavant, acheté dans la boutique. « Je veux que tu m'épouses. Pas seulement parce que je t'aime et que je veux que tu sois juste à moi. Tu sais je t'aime pour ce que tu es mais aussi pour ce que je suis en ta présence. Tu as redonné un sens à ma vie. Je veux que tu m'épouses parce que je ne vois pas ma vie continuer sans toi. Je veux qu'on vive ensemble, je veux avoir des enfants avec toi un jour. Je veux psasser le restant de mes jours avec toi. Veux-tu m'épouser, ici, à cet instant, et devenir Militine Léa De Lavignères Penrose ? »
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AYMERIC & MILITINE
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« Shut up and put your money where your mouth is. That’s what you get for waking up in Vegas. Get up and shake the glitter off your clothes, now That’s what you get for waking up in Vega. »

L'idée de se marié à Las Vegas n'était sans doute pas l'idée la plus originale du monde, après tout ne disons nous pas que l'amour rend aveugle. Je n'avais rien à foutre de ce que les gens allaient pensé de mon mariage avec Aymeric, je l'aimais et c'était la seule solution que j'avais trouvé pour lui prouver mon amour malgré le fait que je sois en couple avec un autre. Le mariage c'est à la vie à la mort alors si après ça il décide de partir parce que je prends trop de temps à laisser Woody au moins il saura ce que je ressens pour lui. Un amour tellement fort que j'étais prête à marier sur un coup de tête, moi qui disais il y a moins d'une semaine que j'allais sans doute jamais me marier parce que aucun homme ne valait la peine. J'avais tord et je l'avouais, je ne pensais pas que mon français m'aimait également. J'avais fait une croix sur cette relation avant même qu'elle ne débute alors que j'avais tord. Il m'aimait et je l'aimais également, maintenant nous savions tous les deux et c'est pour cette raison qu'en ce début de nuit nous nous marrions dans la ville de tous les pêchers. Nous étions à présent dans une petite salle, il y a avait quelques banc pour les invité, mais nous en avions pas, c'était qu'Aymeric et moi, Amilitine. Le prête commença alors son petit discours habituelle « Je vous réunis ce soir pour célébrer..» Mon futur mari, sans doute presser que tout soit terminer et qu'enfin nous puissions s'embrasser en tant que mari et femme pour la première fois, demanda au prête s'il pouvait simplement passer aux choses sérieuse et de laisser tomber le bla bla peux nécessaire au fait que nous étions seul. J'étais tout à fait d'accord avec cette idée, surtout que cette partie du mariage est toujours la plus longue et la plus ennuyeuse. Je souris donc à Aymeric qui me rendit mon sourire. C'est alors que mon époux se mit à genou devant moi pour me demander en mariage, il ne l'avait pas officiellement fait puisque je l'avais en quelque sorte prit par surprise en lui proposant cette idée à bord de l'avion. Il sorti alors une bague de ses poches. Je ne pu m'empêcher d'avoir une larme à l'œil. « Je veux que tu m'épouses. Pas seulement parce que je t'aime et que je veux que tu sois juste à moi. Tu sais je t'aime pour ce que tu es mais aussi pour ce que je suis en ta présence. Tu as redonné un sens à ma vie. Je veux que tu m'épouses parce que je ne vois pas ma vie continuer sans toi. Je veux qu'on vive ensemble, je veux avoir des enfants avec toi un jour. Je veux passer le restant de mes jours avec toi. Veux-tu m'épouser, ici, à cet instant, et devenir Militine Léa De Lavignères Penrose ? » C'était sans doute parce qu'il était alpha et qu'il avait du lire de nombreux roman dans sa vie, mais jamais au par avant un homme m'avait exprimer au tant d'amour. Je m’empressai de dire oui à sa demande avec une joie débordante. « Oui, oui je le veux, je veux dêtre ta femme et n'être qu'à toi. Je veux devenir Militine Léa De Lavignères, dit donc sa sonne bien, tu ne trouve pas? Le prête reprit alors la parole « Donc, Militine Léa Penrose désirez vous prendre Aymeric de Lavignères pour époux légitime, et vivre avec lui selon la loi de Dieu, dans le saint état du mariage? L’aimeras-tu, la consoleras-tu, l’honoreras-tu, dans la maladie, comme dans la santé, et renonçant à toute autre union, lui resteras-tu fidèle jusqu’à la mort? Je ne me posai même pas de questions et je répondis immédiatement sans le moindre doute que je fessais la bonne chose en épousant le beau et jeune français à mes cotés. «Oui je le veux , moi, Militine Léa Penrose déclare te prendre, toi Aymeric de Lavignères pour époux légitime, à partir de ce jour, pour le meilleur et pour le pire, dans la richesse et dans la pauvreté, dans la santé et dans la maladie, pour t'aimer et te chérir jusqu'à ce que la mort nous sépare, selon le décret de Dieu, et je t'en donne ici ma foi. Le prête se tourna alors vers l’homme que j’aime et lui adressa la même question. Il n'avait plus qu'à répondre et nous serions officiellement mari et femme. Jamais je n'aurai cru être aussi exister être marier, je ne réalisais tout simplement pas encore le mariage était synonyme de fidélité. Comment allais-je réussit à rester fidèle à Aymeric, moi qui ai toujours eu tendance à suivre mes instincts qui bien trop souvent qu'autrement me disait de m'amuser tout simplement. Je devais croire que l'amour était plus fort que tout.
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