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| laisse moi te déshabiller... du regard - feat. aby e. lovett | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: laisse moi te déshabiller... du regard - feat. aby e. lovett Sam 16 Jan - 5:10 | |
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Je crois que Dieu à inventer la femme pour se venger des hommes plus beaux que lui. Naomi en est l'exemple faite femme. Insupportable de provocation dans chacun de ses gestes. C'est dingue comme une femme peut plaire à ce point au type d'homme que je suis. Moi qui ne correspond à personne. On m'avais déjà parler des "désir flash"... Ces espèces de coups de foudres plus alchimique qu'autre chose. Ces coups de fouets qui vous prenaient au tripe sans même vous demander la permission. C'était comme une possession démoniaque. Mon corps n'en pouvais plus de la vouloir, avec force & passion. JE ne voyais plus grand chose à part ses yeux, ses lèvres, son cou, sa poitrine, sa taille, ses hanches & ses jambes. Je la désirais, je la désirais plus encore que qui que ce soit puisse désirer quoi que ce soit. Cette femme, cette Naomi, avait une présence, une façon d'être, un sourire, des manières, qui me rendrait dingue normalement & qui me rendent dingue là maintenant. Mon dieu elle sentait même le désir & son parfum était pleins de promesses de caresses interdites... En moi se déchainait des vents contraires, un orage implosait dans mon cerveau & je dois reconnaitre que j'avais du mal à aligner deux mots correctement. Son corps me rendais dingue. Je finis ma cigarette & l'écrasais dans le cendrier noir face à moi. Me frottant les mains je me relevais & me dirigeais vers la porte en retirant mon manteau & en tenant la porte à Naomi. Elle passât devant moi avec un magnifique déhanché... Je suis sûr qu'elle à fait exprès! Je relève la tête en regardant le ciel, faisant une petite prière pour moi-même avec un sourire en coin. Cette femme est un envoyé de Dieu pour me récompenser de faire bouger la vie sur terre? Faut croire. Cette image s'imposât à moi lorsquelle s'assit avant moi & que je put voir ses dessous, sa cambrure, le tissus de son haut caresser la chute de ses reins. La tête me tournât & je vint m'assoir face à elle avec un léger empressement que je ne me connaissait pas. Je joignais mes mains face à moi & presque aussitôt la serveuse vint nous apporter nos commandes. A croire qu'elle attendais que j'arrive... Mais j'suis con c'est pour ça qu'elle rougissait comme ça! J'avais tellement les yeux hypnotiser par la démone face à moi que je ne m'en suis même pas aperçut... Elle déposât mon assiette en dernier & je lui lançait un des sourires ravageur que j'avais en réserve. Elle rougit presque immédiatement. Elle me donnât une cannette de sprite en me disant que c'était offert par la maison. Je la remerciais d'un sourire & d'un mouvement de tête avant de me tourner vers Naomi pour savoir si elle en voulait. Elle me dit que non... Tant mieux j'adore ce soda moi! Je me penchais en arrière & récupérait un verre propre de al table de derrière. Pendant deux secondes le débardeur de dissimulait plus grand chose. Violemment plaquer contre ma peau, légèrement relever pour laisser une partie de mon ventre à l'air libre. Je repris ma position & me servait un verre d'un air distrait. Je finis la cannette en deux temps & finis par prendre ma tasse entre 3 doigts pour boire un peu de thé chaud. Ce thé était excellent, j'irai félicité celui qui l'a fait. Je pris ma petite cuillère avant de prendre un petit morceau de flan & de le faire fondre sur mon palais. J'adorais le flan depuis que j'étais petit, c'était une passion sans fin. Ce goût est tout de même magnifique dans la bouche d'un enfant. Ne l'oubliez pas, je suis un grand enfant. Lorsque nous étions encore dehors Naomi m'avait demander quelque chose...
Et si tu me parlais de ton plus grand défaut, je vais finir par croire que tu es parfait, sexy, cultivé, intéressant, amusant… Attention je vais genre, tomber amoureuse.
Je dois avouer que depuis tout à l'heure je réfléchissais vraiment, je lui disais d'ailleurs que je en savais pas vraiment. Il est toujours simple que les autres nous disent nos compliments, mais trouver ses propres défauts n'est jamais aisé non plus. Ce n'est pas comme si c'était écrit dans mes mains, prêt à répondre au quart de tour. Je passais am main dans mes cheveux, laissant la cuillère dans ma bouche. Je devais avoir l'air d'un gamin mais je m'en fichais. Je reportais mon attention un peu partout sauf sur Naomi afin de pouvoir réfléchir correctement, mais rien n'y fit je ne pouvais pas décoller mon regard de son corps. Je m'imaginais danser avec elle. Elle avait dit que ma fête était déjà envier par tout le monde. Mais tout le monde pouvait venir, à condition de en pas prévenir la moindre forme d'autorité. JE sortit un petit carton rectangulaire de la taille de carte de visite & commençait à griffonner dessus. Je me remit au fond de ma chaise & contemplait la salle. Tout ce blanc me rappelais de manière intense la salle d'attente de chez mon psychiatre. Lui qui avait déclarer que j'étais dangereux pour les autres. Heureusement quelques billets ont réussit à lui faire comprendre que j'étais des plus saints d'esprit. Mon père me répétait souvent que les génies étaient des gens compris une fois leurs mort prouvée. Pour bien faire comprendre à tout le monde que je n'étais pas fou je devais me tuer? Difficile à comprendre comme façon de penser tout de même. JE me souviens aussi de la pile de magasine manifestement périmé depuis belle lurette qui trônais fièrement sur la petite table aussi blanche que les murs. Cette pièce m'avait toujours donner la nausée... Des murs si blanc je ne vois pas en quoi c'est saint. On dirait juste qu'un fou est venu ici, guider par son envie de changement qu'il à renverser toute la peinture blanche qu'il pouvais autour de lui. Heureusement que les chaises pliantes étaient noir, sinon on ne les auraient pas vu j'en suis sûr. Le pire c'est que même la porte pour atteindre le cabinet du médecin est blanche, du coup on à dut mal à savoir ou elle est quand on n'est pas habituer. Une salle dépourvut de fenêtres & de peintures ou de cadres, enfin bref l'ambiance glauque par excellence. Je pense pouvoir assurer que jamais Ô grand jamais je ne retournerai la-bas sans avoir un plan bien spécifique... Hors de question de devoir supporter d'entendre du Danny Briand en attendant un médecin aussi qualifié pour son métier qu'une éducatrice dans un moteur de v8. Et croyez-moi, les éducatrices capable de bricoler un moteur de v8, ça ne cours pas les rues.
Je revins brutalement dans la salle, j'avais manger machinalement mon flan, dans mes pensée & la jeune femme s'était avancer pour voir si j'allais bien. Je lui souris avec un haussement de sourcil qui voulait dire pardon & but une nouvelle gorgée de mon thé à la rose. Je crois que d'un seul coup j'avais envie de fuir. Je voulais partir au plus vite, mais j'avais envie de rester avec elle... Je ne sais pas pourquoi, mais j'avais besoin de garder le contact. Je devais la voir encore une fois. JE me redressais dans ma chaise & prit un air un peu plus sûr de moi & moins rêveur surtout. Je but mon thé d'une seule traite, savourant le goût restant sur ma langue. Je me levais en finissant mon flan & me dirigeais vers la serveuse. Je lui donnait 50$ en lui disant d'offrir ce que la jeune femme lui demanderait. La serveuse restât bouche-bée. Je ne fit même pas attention aux regards noirs que me lançait le cuistot depuis tout à l'heure... Il y a bien longtemps que je ne fais plus attention à ça. Enfin je revint vers Naomi qui s'était levée sans comprendre. Je en tenais plus en place, tout ces envies dans mon ventre éclatèrent. Je la prit dans mes bras & l'embrassait le plus langoureusement que je le put. Sa langue était encore plus douce que je ne le pensait. Ses lèvres chaude, douce & humide me firent tourner la tête & son parfum m'enivrât aussitôt. J'avais une folle envie d'elle. Je pris le carton & lui donnait en reculant & en me rhabillant convenablement.
L'un de mes plus gros défaut est mon manque de patience...
Je repris ma respiration, plongeant mon regard ardent de désir dans le sien avant d'ajouter non sans avoir l'air un brin essouffler:
Voila mon numéro & l'endroit ou la fête se déroule. Cherche des gens avec un T-shirt marquer du mot "Rave" ou "Party". C'est ce soir. A bientôt.
& je partit comme un voleur. Mon dieu que cette femme me remplissait de désir... Je me demande si elle comprenait que je l'invitait comme étant ma "cavalière" même si la fête n'avait rien à voir avec un quelconque bal ou quoi que ce soit qui s'y apparente. Chose sûr: Si je revoit Naomi... Ce sera surement pour faire l'amour de la manière la plus fougueuse que je ne vivrait jamais.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: laisse moi te déshabiller... du regard - feat. aby e. lovett Sam 16 Jan - 17:59 | |
| Plus tu t'éloignes, plus je te veux. Perdu au fond de ses pensées, son air sur de lui avait laissé place à l’air d’un enfant égaré. Sûrement dans des souvenirs lointains, à moins que ce soit avec sa mémoire, ou ses souvenirs, qu’il bataillait intérieurement, tout en avalant, avec appétit le flan posé devant lui. Naomi le regardait toujours avec fascination, peut être attendant la réponse à sa question posé quelques secondes plus tôt, lorsque le froid de ce début d’hiver collait encore à leur peau. Oui, alors qu’elle lui avait demandé quelle était son plus gros défaut. Il n’avait dit mot, en réalité, et c’était au départ plutôt compréhensible, pour répondre à ce genre de question piège, il est nécessaire de réfléchir à deux fois, mais il était finalement rentré à l’intérieur, Naomi avait suivi ce mouvement, ne se lassant pas d’utiliser une démarche des plus gracieuse pour lui. La danse qu’elle avait pratiqué dans son enfance, aidait énormément, pour faire tourner la tête des hommes qui fixaient son déhanché. Ils s’étaient rassis l’un en face de l’autre, et la serveuse n’avait pas tarder à leur apporter leur commande, ne se privant bien sûr pas d’offrir au jeune brun une cadette d’un soda qu’il but d’une traite, ou presque. Cette attention n’agaça pourtant pas Naomi, cela la fit simplement sourire. Avec un peu de chance, pour la serveuse, celle-ci aurait accès au numéro d’Aby laissé à son patron. D’ailleurs elle s’était sûrement jetée dessus, c’est ce que s’était dit Naomi. Un petit sentiment de jalousie, même si ce serait exagéré d’appeler cela ainsi l’avait traversé, jusqu’à ce qu’elle ne se rende compte que c’était inutile et totalement déplacé. Elle ne connaissait même pas cet homme, si ce n’est son goût pour les études et les bandes dessinés, ainsi que pour le flan qu’il dévorait comme un enfant. Naomi quant à elle, savoura son café, ne se pressant pas pour boire ce breuvage noir à l’odeur envoûtante qu’elle avait attendu de longues heures depuis son réveil. Le muffin qui accompagnait sa boisson chaude et revigorante ne fit pas vraiment long feu. Naomi était d’une gourmandise certaine, et ce depuis vraiment longtemps, depuis sa tendre enfance en effet, alors que sa sœur faisait toujours attention à son poids, afin ne pas prendre un gramme, peut être pour attirer les regards qui malheureusement étaient toujours tournés vers sa sœur, Naomi ne se gênait jamais pour dévorer tout ce qui était sucré et délicieux. Ne jamais se priver, c’était sa devise, d’ailleurs elle avait, depuis quelques années, attribuer cela aussi aux hommes. Ne jamais se priver de sexe, ne jamais se priver de cette petite étincelle dans le ventre, lorsque deux corps se rencontrent et fusionnent avec passion. Aby d’ailleurs était sûrement le prochain dont elle voulait découvrir l’anatomie. Cet homme était remarquablement séduisant et attirant, tant que Naomi ne se voyait pas le repousser, encore moins le laisser s’échapper. Elle essuya finalement doucement sa bouche, tout en dévorant le jeune homme du regard, pour ne pas changer. Intérieurement, elle avait envie de lui ôter ce fichu débardeur, qui s’était pourtant relever, dévoilant une partie de son ventre quelques instants plus tôt. Mais bien trop peu de temps au goût de la jeune femme. Et l’idée de pouvoir entrapercevoir son torse entier était de plus en plus alléchante. Un petit sourire se forma sur ses lèvres en voyant le jeune homme qui venait de terminer la pâtisserie commandée. Cependant, il semblait déjà bien loin, ou du moins, plus du tout avec elle. Naomi se remémora les mots qu’elle avait prononcés un peu plus tôt, cherchant si quelque chose avait put être interprété de travers. « Et si tu me parlais de ton plus grand défaut, je vais finir par croire que tu es parfait, sexy, cultivé, intéressant, amusant… Attention je vais genre, tomber amoureuse. » C’était les mots exacts prononcés, et Naomi cherchait ce qui pouvait créer un tel silence. Peut être avait il crut qu’elle tomberait amoureuse de lui, réellement. Oui, c’était sûrement ça, et elle s’en voulut de ne pas avoir usé d’un ton plus ironique encore. « Tomber amoureuse », ces quelques mots étaient à coup sûr les bons pour faire fuir n’importe quel homme, Naomi en avait conscience bon sang, alors que lui avait il prit ? Elle s’énervait contre elle-même, intérieurement, cherchant à faire comprendre qu’elle plaisantait, qu’elle ne tomberait pas amoureuse, oh, non, jamais, même du meilleur des hommes, c’était impossible, tout du moins, impensable. Cet homme était tellement distrayant qu’elle oubliait ce genre de détail, toujours surveiller ses mots. Elle s’approcha sur le dessus de la table doucement de lui, cherchant à trouver une solution pour mettre fin à ce petit silence. Aby lui répondit d’un sourire, sortant enfin de ses songes. Cherchant ses mots, la jeune femme se concentrait sans vraiment y parvenir. Parce que son sourire était forcément source de désir si intense que tout le reste disparaissait si vite. Mais elle n’eut pas le temps de prononcer quelques mots, à la place, elle regarda Aby se lever de table et se diriger vers la serveuse pour lui glisser quelques billets. Se levant, à son tour, ne comprenant pas très bien pourquoi il ne disait rien et surtout ce qu’il faisait, elle attendit qu’il ne revienne vers elle finalement… Et là, ses mains s’emparèrent de sa silhouette, tandis que ne sachant que faire, elle se laissa transporter contre lui. Son odeur se propagea dans ses narines, et elle ne fut que de plus en plus emplie d’envie pour cet homme à l’allure à la fois sages et extravertie. Doucement, ses lèvres rencontrèrent celles d’Aby et ce fut un moment de passion intense. Ils échangèrent un baiser langoureux, et passionné, bien plus encore qu’aurait put se l’imaginer Naomi. Sa langue se laissa aller à une petite danse contre celle du jeune homme, tandis que leurs lèvres se dévoraient sans fin, jusqu’à ce que si, cela prenne malheureusement fin. Ses lèvres chaudes et humides se séparèrent de celles de Naomi, créant immédiatement un manque dans la personne entière de Naomi. Celle-ci fixa le jeune homme ne sachant que penser. Il glissa dans sa main un petit carton et sa voix résonna enfin. ABY - L'un de mes plus gros défauts est mon manque de patience... Voila mon numéro & l'endroit ou la fête se déroule. Cherche des gens avec un T-shirt marqué du mot "Rave" ou "Party". C'est ce soir. A bientôt.
Toujours sous l’effet de ce baiser sensuel échangé, Naomi laissa son regard se perdre sur le jeune homme qui s’éloignait déjà. Elle était complètement sous son charme, et le voir s’en aller si vite était assez troublant. Mais cet Aby savait l’étonner, c’était au moins cela de gagner pour lui, finalement, la porte se referma sur lui, et la tête pleine de songe, Naomi attrapa son manteau sur la chaise, ainsi que son sac à main. Cet homme venait de lui faire tourner la tête, et elle comptait bien le retrouver. Elle fixa le petit bout de papier entre ses doigts. Excitée d’avance par la soirée qui s’annonçait, Naomi se dirigea vers la porte, pleine d’envie d’y être déjà…
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