|
| Auteur | Message |
---|
Invité Invité
| Sujet: Prisoner of your lie Mer 21 Oct - 9:22 | |
| L'université reprenait tranquillement son train train quotidien. Le souvenir des vacances commençait à devenir lointain et le programme aujourd'hui ne se résumait plus qu'aux cours, aux amis et aux soirées pour la grande majorité des étudiants de Berkeley surtout que déjà les professeurs leur mettaient la pression avec les prochains examens à venir. A peine revenu de vacances que déjà, il fallait se replonger dans le boulot. César avait lui aussi repris le chemin des bancs de l'école. Ce matin, il s'était levé l'un des derniers du fait qu'il a fallu que son réveil sonne cinq fois avant qu'il ne se décide à ouvrir un oeil. Il s'était encore couché bien assez tard et se lever alors que le soleil pointait tout juste son nez à travers la fenêtre était vraiment difficile. Non, le jeune Coakley n'était pas encore sorti hier soir. D'accord, il apprécie bien les petites soirées entre étudiants mais il n'aime pas en abuser et hier soir, il avait prévu de jouer un peu de guitare et de se coucher tôt pour récupérer des premiers jours difficile au niveau du sommeil. Ben oui, aller en cours avec la gueule de bois, c'est pas toujours évident. Mais alors qu'il était dans son lit, il avait reçu un coup de fil d'une de ses amies de New York. Ils avaient parlé de tout et de rien et lorsqu'il avait enfin raccroché, son réveil affichait trois heures. Il avait encore mis quelques minutes avant de s'endormir et forcément, lorsque le reveil sonna à six heures, ce fut un peu difficile.
Mais par contre, une fois qu'il avait décidé de se lever, il fut assez rapidement prêt. Un tour dans la salle de bain pour la douche et la toilette, il avala un café et attrapa son sac de cours et sa guitare avant de se diriger vers les casiers. Il posa quelques livres pour en prendre d'autres en fonction de son emploi du temps et il salua quelques uns de ses amis. Il revit avec plaisir que Shaun était revenu de Londres et il pensa tout de suite à Aubrey. Aucune doute que la jeune fille serait très heureuse de retrouver son chéri surtout qu'il ne semblait pas avoir envie de repartir tout de suite. Il salua aussi son frère qu'il croisa au détour d'un couloir. Les deux Coakley n'étaient pas les meilleurs amis du monde mais ils s'entendaient plutôt bien. D'accord, ils ne trainent pas ensemble mais pas question non plus de se snober ou de ne pas s'adresser la parole, ils n'en sont pas à ce point tout de même.
Bref. La sonnerie retentit et César se dirigea vers la salle de musique. aujourd'hui, cours de piano. Il avait un peu travaillé les quelques accords mais il avait un peu de mal. Il fut l'un des premiers à passer. Même s'il n'aime pas les cours, il fut plutôt attentif à tous les conseils, essayant de s'appliquer au maximum. Il fut gratifié d'un B pour sa prestation et c'était plutôt pas mal au vu de ses dernières notes de l'an dernier où il avait totalement fait abstraction des cours. Cette année, il n'allait pas spécialement plus bosser mais il allait essayer de remonter un peu sa moyenne.
Le cours terminé, il rangea ses affaires dans son sac, attrapa sa guitare et se dirigea tout droit vers les toilettes. Il avait une envie pressante et il valait mieux y aller avant le prochain cours, cela éviterait de se sentir mal pendant une heure ou alors d'être obligé de demander au professeur de sortir. Les élèves sortaient tous de partout, certains se dirigeant à l'extérieur, d'autres cherchant leur prochaine salle de cours, d'autres encore discutant ou s'embrassant dans les couloirs. César se dirigea vers les pissotoirs et aperçu un autre garçon à côté de lui. Il n'y aurait pas fait attention si son visage ne lui était pas autant familier, malheureusement.
Lawrence, quel plaisir de te revoir ici
On pouvait largement sentir l'ironie dans la voix de César tendit qu'il descendait sa braguette pour pouvoir pisser. Il donna une grande tape dans l'épaule du jeune Block avec un sourire que peu lui connaissait. Un sourire mesquin. Aucun doute que Block n'aurait pas envie de trainer trop longtemps vers César mais lui aimait bien Lawrence ou plutôt il aimait pouvoir lui faire payer ce qu'il avait fait.
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Prisoner of your lie Ven 30 Oct - 23:34 | |
| La rentrée à Berkeley venais de sonner depuis quelques semaines déjà et Lawrence di Law' se levas à 6 heures et 30 minutes du matin pour commencer les cours de la matiner à 10 heures du mat', mais pourquoi donc se lever si tôt un lundi matin ? Tout simplement pour faire un peut de sport avant d'aller en cours et puis s'en oublier de se laver et de déjeuner. Alors le jeune Delta se levas tranquilement en fessant un peut de gymn' pour bien se réveiller, enfilas son sweat - shirt rouge avec le logo de Berkeley, mis ses chaussures de sport et allas piquer une petite course autour de Berkeley. Il revenu 3 heures est demie plus tard à la maison des Delta en forme mais sentant la suére d'un homme venant de faire du sport intensivement. Il montat dans sa chambre prendre une bonne douche, pendant une bonne vingtaine de minutes et se brossas les dents, se rassas et se parfumas pour enfin s'habillier d'un jean, d'un t - shirt blanc et de Converse en cuir. Descendit dans la cuisine commune de la confrérie et se pris un bon verre de jus d'orange et puis se pris deux petits pains aux chocolats qu'il se mangeas sur le pouce avant de partir à pied dans les bâtiments de l'université. Arrivé une demie heure plus tard dans les bâtiments d'enseignements de Berkeley, il filas dessuite en cours d'histoires Politique. Pendant l'heure de cours il étudier comment les hommes politiques arrivent au pouvoir, cours très soporifique. Puis enfin la sonnerie sonnas la fin du cours, Law' s'empressas d'aller aux toilettes, il avais une envie de se lâcher un truc de fou, allant aux W.C's, il saluat deux copains de confrérie et rentras enfin dans la zone interdite aux filles enfin en théorie, il allas aux pissotoires, etl urinas et refermas la fermeture de son jean après avoir finis la petite commission. A ce moment là il vus un visage famillier arriver c'était son cher ami "César Coakley", quelle bonne nouvelle. Ce dernier dit à Lawrence evec un ton ironique : "Lawrence, quel plaisir de te revoir ici" Le jeune Block, ne préfèras pas lui répondre de peur de s'attirer des ennuyeux en effet à New York avant d'aller étudier à l'université il vait rouler sans papiers une soirée de fête et avais renverser une jeune fille qui sortait d'un cinéma et devaniat quoi, la jeune fille était morte et elle connaissait César, vraiment que de bonne nouvelle et depuis ce dernier le fait chanter, de risque d'aller voir les flics et de tout balancer. Lawrence ne lui répondit pas et continuas son chemin, il ouvris la porte des toilettes quand ...
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Prisoner of your lie Jeu 5 Nov - 10:40 | |
| Depuis toujours, César a toujours détester trainer avec des gamins qui avaient de l'argent, vous savez ceux qui fréquentent l'école privée, ceux qui s'habille toujours bien, qui portent l'uniforme ou encore qui ont toujours tout ce qui veulent. Ceux aussi qui pensent que l'argent de papa ou les relations de maman lui permet de faire tout et n'importe quoi. Ceux qui n'ont jamais bosser et pourtant manque de rien. Ce ne sont pas les valeurs que Benjamin et Alanna ont appris à César et à son frère. Les deux jeunes Coakley sont allé à l'école publique, n'ont jamais eu tout ce qu'il demandait même lorsqu'il s'agissait d'une sucette chez le boulanger et cela leur a permis d'acquérir des valeurs que d'autres non pas.
En voilà, d'ailleurs un qui n'a aucun sens morale, aucun respect d'autri, qui se croit supérieur et qui pense que rien ne peut l'atteindre. Les règles ? Il ne les connait pas et les franchit sans aucun remords. oui mais voilà, renverser une jeune fille lorsqu'on a quatres grammes dans le sang même avec l'argent ou la réputation, ça peut faire mal. c'était certainement ce que le jeune Block avait redouté et pourquoi il s'était tu et son ami s'était accusé à sa place. Personne ne connaissait la vérité, à part la jeune fille et César. Malheureusement pour Lawrence, César et lui étaient à présent dans la même université et si la justice ne pouvait pas lui faire payer alors César s'en chargerait. Parce que prendre la liberté d'une jeune fille de la sorte est tout simplement horrible.
Alors depuis leur superbes retrouvailles, César ne manquait pas une occasion de lui faire regretter son geste. Certes, il pourrait en parler mais qui le croirait face à la réputation de Block. Il avait essayer pourtant mais le père de Lawrence avait tenté de l'acheter. César n'avait pas voulu de son pognon et pourtant, malgré qu'il ait dit la vérité, Block n'a pas été poursuivi et son ami libéré après quelques jours de taule seulement. Alors plutôt que de retenter et de se frotter à un echec cuisant, César avait trouvé une autre méthode. Il ne fut pas surpris que Lawrence ne lui réponde pas à sa tape amicale sur l'épaule et le jeune homme semblait n'avoir qu'une hâte, sortir au plus vite. Mais César ne l'a pas décidé ainsi. Tandis que le jeune Delta posa sa main sur la poignée pour ouvrir la porte, César la referma aussi sec et adressa un sourire cynique à Lawrence.
Block, tu ne pensais tout de même pas partir si vite. Cela fait tellement longtemps qu'on a pas pu parler tous les deux. Même un coup de fil pendant les vacances ou une visite à New York pour voir notre amie commune. Cela me déçoit de ta part Lawrence
César s'était posé le dos contre la porte pour empêcher le jeune homme de sortir et à quiconque d'entrer. Il n'allait pas le laisser partir aussi facilement et Block le savait bien. Restait à savoir ce que César attendait de lui.
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Prisoner of your lie Sam 14 Nov - 22:24 | |
| En effet les deux jeunes gens n'avaient pas reçus la même éducation car Lawrence et sa sœur Massie, pouvaient demander tout et n'importe quoi à leurs parents allant du simple vêtement à la dernière voiture sortie récemment. Ils étaient riches et ils en profités comme il le fallait.
Effectivement, Lawrence se croyais au dessus de toutes Lois, plus fort et riches que n'importe qui, il savait qu'il pouvait faire n'importe quoi, il n'aurait jamais aucun souci, ayant des parents laxistent et puissants au sein de la belle ville de New - York City. Mais le soir où il avait renversé une jeune fille tout changeas dans sa vie, son père avait bien essayer t'« acheter » César, mais ce dernier avait refuser tout argent, un « fou » d'après, les dires de son père car il lui avait tout de même proposés jusqu'à 1 000 000 dollars.
En effet le jeune Delta était presser de sortir d'ici, car il n'avait pas envie de refaire quelque chose qu'il pourrait regretter par la suite encore une fois pour ne pas changer mais le jeune Coakley avais refermer la porte avant que Law' eu le temps de sortir et lui dit avec un sourire cynique :
« - Block, tu ne pensais tout de même pas partir si vite. Cela fait tellement longtemps qu'on a pas pu parler tous les deux. Même un coup de fil pendant les vacances ou une visite à New York pour voir notre amie commune. Cela me déçoit de ta part Lawrence. »
Lawrence rester calme et serein pour éviter tout affrontement qui pourrait finir mal et lui répondit en souriant courtoisement :
« - C'est vrais cela fait tellement longtemps, César, qu'on à pas pus parler ensemble, mais le temps me manque comme aujourd'hui, c'est donc pour cela que je dois partir. »
Le temps ne manquer pas au jeune Delta c'était juste une diversion pour pouvoir sortir des toilettes, si il aurait voulus il aurait très bien pus sécher chose qu'il avait déjà fait moindre fois, mais à ce moment précis il aurait préféré être en cours que dans ses lieux. Le jeune homme avais éviter de dire quelque chose a propos de leurs « amies » commun, préférant faire l'indifférent.
H.J : désoler, pas d'inspi'
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Prisoner of your lie Mer 18 Nov - 22:55 | |
| César n'avait jamais aimé la façon dont agissait ses "gosses de riches" comme il avait coutume de les appeler avec ses amis. Se cacher derrière le fric et derrière ses parents pour faire ce qu'ils veulent, cela est complètement inégale par rapport aux autres étudiants qui doivent se battre pour avoir un peu de reconnaissance. De même lorsque les types de la graine de Lawrence s'amusent avec la chantage. C'est exactement ce que papa Block avait essayé de faire avec César mais sans succès. Comme si l'argent pouvait tout acheter. En tout cas, le jeune Coakley avait clairement refuser l'offre et même si sur le coup, cela lui avait valu d'avoir une amie handicapé, de se faire traiter d'idiots par Lawrence et compagnie et surtout de voir ses amis lui dire de se taire pour éviter les retombées, aujourd'hui, il se rendait compte que le pouvoir était de son côté et que l'attente et le refus de l'argent avait été bénéfique.
En effet, aujourd'hui, à l'université, tout était différent. Lawrence était nouveau et ne connaissait personne. Alors forcément sa réputation tenait une grande place pour lui ici. Que diraient ses nouveaux amis s'il était accusé d'avoir conduit en état d'ivresse et d'avoir renversé une jeune femme. Mais aussi de ne pas avoir assumer ses actes ? Pas sur que tous lui pardonne comme les "gosses de riches" de New York. Et César comptait bien se servir de cela pour faire chanter Lawrence. Ce n'était pas vraiment l'argent qu'il voulait, mais juste voir la peur s'emparer de Block lorsqu'ils se retrouvaient tous les deux comme actuellement. Mais tant qu'à faire, autant joindre l'utile à l'agréable. Surtout que le Delta semblait pressé de partir. Pas de chance, il va devoir prendre son mal en patience.
T'es pressé, c'est bien dommage Block mais tu va devoir attendre un moment, j'ai a te parler et cela ne peut pas attendre
En fait, si cela pouvait attendre mais César avait envie de jouer un peu avec Lawrence aujourd'hui surtout qu'il n'y avait qu'eux. Ainsi, rien ne viendrait ternir l'image que César avait dans l'université.
Tu sais dans quelques jours, c'est l'anniversaire de ma mère. C'est vraiment un femme généreuse, extraordinaire et vraiment très gentille. Elle mérite un très beau cadeau, t'es pas d'accord avec moi ?
Voyant qu'il ne répondait pas, il lui asséna une petite tape derrière la tête avec un magnifique sourire hypocrite.
Mais le problème, tu vois, c'est que je suis fauché. Alors je me disais que, comme t'es un ami, tu pourrais me prêter de l'argent. Bien sûr, je te le rendrais jamais mais au pire, tu t'en fous, c'est pas l'argent qui compte pour toi.
César n'en avait rien à foutre de cet argent et d'ailleurs, il ne l'utilisait pas pour lui mais en faisait cadeaux à ses parents ou à son amie. C'était sa façon à lui de faire payer Lawrence sans qu'il se cache derrière son père. Parce qu'il ne faudrait mieux pas que papa Block lui propose encore un gros chèque parce qu'il dira non. C'est tellement plus jouissif de voir sa tronche.
Alors t'en penses quoi ? Tu me le file ou pas ?
|
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Prisoner of your lie | |
| |
| | | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |