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| Good news are coming after bad reality • JAMES&ELZ | |
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| Sujet: Good news are coming after bad reality • JAMES&ELZ Mer 11 Aoû - 21:53 | |
| Sa maison paraissait vide, sans vie. Aucune ombre ne s’y promenait, en l’absence de lumière. Les volets étaient tirés, les serrures avaient été verrouillées. La maison était totalement close. On n’y entendait même pas un moindre bruit signe d’une quelconque vie. Vu de l’extérieur, on pourrait penser que le ou la propriétaire n’est tout simplement qu’en vacances. Mais tout cela n’est que pure illusion. La personne à l’intérieur a tout fait pour que l’on puisse avoir cette impression. Elle ne voulait pas qu’on vienne la déranger. Cette maison ne devait pas abriter une âme vivante. Alors qu’Elz s’était fait une promesse, comme quoi elle se battrait pour se ressaisir, elle replongea tout de suite après avoir quitté son ami Thomas. Loin de lui, elle ne voyait pas l’intérêt de se battre. Personne n’était sur San Francisco, tous ses amis étaient encore en vacances, quelque part dans le monde, ne se doutant pas de ce qui se passait pour l’une de leurs amis. Elle laissait son moral la bouffer. Tout ce mal qu’elle ressentait la rongeait de plus en plus en elle. Même son cœur n’allait presque plus pouvoir supporter tout cela. Elle le sentait. Cet organe qui nous donne toute la vie, était lui-même fatiguée de se battre contre ce faible organisme.
Le frigo était complètement vide, ainsi que la poubelle. Mais alors, où était tout ce qu’elle avait mangé pendant ces dernières semaines ? Nulle part. Elle n’avait rien engloutit depuis toutes ces semaines. Et c’est à peine si elle se force à boire quelque chose. Son lit n’est pas défait, totalement bien fait. Tous ses vêtements étaient rangés, et se cachaient dans tous ses armoires, placards, tiroirs. Elle ne portait sur elle qu’une petite nuisette, et était posée devant la télé, qui était allumée, sans aucun son. Elle ne regardait que les images, dormait là, sur son canapé. Si on pouvait alors appeler ça : dormir. Le sommeil ne venait pas. Il n’y avait que le sommeil éternel qui l’appelait. Elz ne tenait presque plus debout, d’ailleurs, elle ne tenait presque plus sur ses jambes. Dépourvue de toutes ses forces, de sommeille, elle devenait un zombie. Plus aucune paroles n’étaient sortit de sa bouche. Aucun contact avec qui que ce soit. Même les textos de son meilleur ami elle les laissait filtrer, sans aucunes réponses. Les larmes ne pouvaient même plus faire surface. L’eau n’était pas assez présente dans son corps de femme meurtrie.
Bob l’Eponge, qui ne connait pas ? Ce dessin animé est connu dans tout le monde. Et dire qu’une simple éponge peut avoir un tel succès. Elzbieta avait toujours aimé ce dessin animé, petite, adolescente, et maintenant. C’est ce qui passait à la télé, elle avait déjà vu cet épisode, le son n’était alors pas nécessaire. Ce Bob, la faisant toujours rire, même à 23 ans. Mais maintenant, le rire ne venait pas. La vie n’était que tissu de mensonges, et de cachoteries que l’on cache au grand public, le peuple de notre mère la Terre. Elle regarda l’heure, ainsi dans le noir, elle avait perdu toute notion de temps. Alors qu’elle pensait qu’il faisait déjà nuit dehors, elle vit que l’heure n’était que : 14h28. L’après midi ne faisait que de commencer. Et en y repensant, elle aurait du s’en rendre compte, vu qu’ils passaient un dessin animé. Ce genre d’émissions ne passe pas en pleine nuit. Elz, qui normalement est dotée d’une intelligence, d’ailleurs elle en est toujours dotée, mais ne l’exploite plus comme auparavant. Elle laisse cette blessure la consumer de l’intérieur, et maintenant elle s’attaque à son cerveau. Elle se sent devenir complètement bête, stupide, folle.
« Bon Elzbieta tu te décides à me répondre ou pas ? » Un énième sms de son meilleur ami, James. Elle avait de plus en plus de mal à ne pas lui répondre. Tout en se faisant du mal à soi-même, à ne pas lui répondre, elle avait ce besoin de lui parler, de l’entendre, mais surtout qu’il soit là pour elle. James devait tout autant souffrir de son côté, il était très certainement en train de se demander pourquoi il n’avait pas de réponses revenant de sa part. Qu’est ce qu’il avait pu faire pour qu’elle ne réponde pas. Elle commençait très bien à le connaitre, et s’en voulait déjà de le savoir en train de se poser toutes ces questions à son sujet. « Que t’ai-je fais ? ». Elle avait deviné juste, il pensait maintenant que c’était sa propre faute. Une goutte de larme vint se poser sur son portable, sur ce message tout juste reçu à l’instant. Ce n’était qu’une larme, mais une larme en trop. Elle n’en pouvait plus, elle craquait. De sa main faible, elle décida à lui répondre. « Golden Gate Park ». Message court, simple, mais qu’il comprendrait, elle savait qu’il allait venir.
Pas d’heure, ni d’endroit précis. Pour l’endroit, il savait où la retrouver, quant à l’heure, elle-même ne savait pas combien de temps elle prendrait pour y être. Déjà, elle se sentit faible pour se lever et aller se préparer. Elle devait aller prendre une douche, s’habiller, se coiffer, se maquiller. Tous ces gestes anciennement quotidiens, elle les avait perdu, et prit alors encore plus de temps à se préparer. Elle se vêtue tout de noir, prenant une légère robe noir, lui arrivant jusqu’au genou, plus une veste elle aussi noir. Elle se coiffa normalement, quant au maquillage, elle surligna ses yeux d’un trait noir, rajoutant encore du mascara, et une fine couche de rouge à lèvre. Elle se regarda dans le miroir, elle avait énormément changé. Son visage n’était plus le même, trop maigre à son goût. Son sourire n’était plus là. Elle se sentait allée à un enterrement, ou alors elle semblait être en deuil. Oui, elle l’était. En deuil de sa propre personne. Elle prit ses clefs, ouvrit la porte et fut atrocement éblouie par le soleil bien présent dans le ciel californien. Elle referma sa porte, et resta là, à s’habituer à la lumière naturelle du jour.
Enfin habituée, elle regagna sa voiture, et démarra. En direction du parc. Leur coin favori dans cet immense parc. Sous un arbre qui est toujours à l’ombre. Elle gara la voiture, et avança lentement. Ses jambes ne supportait pas encore tout son point, et c’était un supplice de marcher. Elle avait eut cette stupide idée de mettre en plus des talons à aiguilles. Elle regarda en direction du chêne, il était déjà là. Il avait l’air de commencer à s’impatienter, et il devait même se demander si elle ne lui avait pas poser un lapin. Sachant pertinemment que ce n’était pas du tout dans le genre de la jeune fille. A peine à ses côtés, elle se posa sur la pelouse. Ne montrant aucune faiblesse de son côté. Elle n’osait pas le regarder, encore moins dans les yeux. Son souffle était lent, tout comme son pouls, son cœur. Le revoir lui fit plaisir, elle avait envie de se serrer contre lui, ce qu’elle pouvait faire, mais elle ne pouvait. Elle restait encore trop à l’écart vis-à-vis des hommes. Ce fut avec une toute petite voix qu’elle le salua, qu’elle s’excusa d’avoir prit autant de temps pour venir. Mais aussi pour ne pas avoir répondu à tous ses messages.
E L Z B I E T A - Comment vas-tu toi ? |
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| Sujet: Re: Good news are coming after bad reality • JAMES&ELZ Jeu 12 Aoû - 1:59 | |
| Inquiétude. Un mot qui signifiait beaucoup pour pas mal de personnes. Ce sentiment était en train de ronger James de l'intérieur tandis qu'il ne cessait d'harceler sa meilleure amie afin qu'elle lui réponde. Sms, appels, e mails, tout restait sans réponse et cela lui faisait peur. Tournant comme un lion en cage chez lui, il ne cessait de tenter de la joindre pour avoir de ses nouvelles. Il savait qu'elle allait mal et la raison de cela mais il n'allait certainement pas cessé jusqu'à ce qu'enfin, il ait de ses nouvelles. Se sentant à bout, il se demandait si ce qu'il avait bien pu faire pour qu'elle stoppe tout contact du jour au lendemain, sans explication. Soupirant, il attendit, allongé sur son lit. Cinq minutes passèrent. Cinq longues minutes qui furent les dernières qu'il dut attendre pour avoir enfin une réponse de la part d'Elzbieta. Trois petits mots pour lui indiquer un lieu. Golden Gate Park. Le lieu où ils passaient la majeure partie de leur temps pour profiter du calme et promener le chien de James au soir. Cependant cette fois, il irait seul, ne sachant pas si Elzy s'y trouvait déjà ou si elle lui donnait rendez vous.
Courant jusqu'au parc, il attendit près de l'arbre, ne voyant personne. Patientant, il tapait sur sa cuisse dans un rythme lent d'abord puis de plus en plus rapide au fil du temps qui passait. Des tas de questions filaient à toute vitesse dans sa tête. Viendrait elle? Avait elle changé d'avis? Lui avait elle posé un lapin? Connaissant sa meilleure amie, il en doutait fortement mais le simple fait qu'elle n'avait pas répondu à ses appels était quelque chose à ne pas négliger dans l'équation. Ce fut alors qu'il la vit arrivée et demeura sous le choc. Livide malgré la couche de maquillage, amaigrie et de noir vêtue, James eut du mal à reconnaître Elzy tellement elle paraissait différente en quelques semaines. Le pire ce fut la souffrance qu'il vit dans son regard. Celle qui signifiait la perte de l'espoir et plus aucun gout dans la vie. Se reprenant, il eut envie de la serrer dans ses bras mais la pitié n'était pas quelque chose qui servirait à quoi que ce soit. Et agir comme si de rien n'était, n'était pas la meilleure des solutions non plus.
Ne t'en fais pas pour le retard, le plus important c'est que tu sois là. Et non, ça ne va pas, Elzy. Quand je te vois ainsi, comment cela pourrait il aller? Est ce que tu t'es regardée dans un miroir? Tu ressembles à un mort vivant.
Ce n'était peut être pas la bonne solution de lui parler ainsi mais James avait toujours été sincère dans ses propos et il n'était plus question de ne pas prendre la peine de chercher à agir avec tact.
Tu ne peux pas rester là bas, Elzy. Viens à la maison quelques semaines. Tu as besoin de t'éloigner de cet endroit pour le moment. Et surtout, je ne tolèrerais pas de refus de ta part. |
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| Sujet: Re: Good news are coming after bad reality • JAMES&ELZ Jeu 12 Aoû - 11:30 | |
| En acceptant enfin de lui répondre à un de ses messages, mais aussi en acceptant de le voir, et de sortir un peu de chez elle, elle ne s’attendait pas à une autre réaction de sa part. Depuis le temps qu’ils se connaissaient tous les deux. Dès l’arrivée de James, elle était venue vers lui, et de là, une amitié forte était tout de suite née, et leur relation n’arrêtait pas de croitre. Ce jeune homme, elle le connaissait par cœur, tout comme lui. D’ailleurs, les deux arrivaient toujours à imaginer la réaction de l’autre, ce qui déstabilisait toujours l’autre, mais ils commençaient à en avoir l’habitude. C’est ainsi qu’en venant ici, elle ne s’attendait pas à ce qu’il fasse comme si rien ne se passait. Il disait tout directement, ne faisant pas vraiment attention au tact. Pourquoi essayer de prendre des raccourcis, alors qu’il sait très bien que ça ne servirait rien avec Elz. Il allait droit au but, disant ce qu’il pensait vraiment. Elle avait fait de son mieux pour être le plus présentable possible, mais il y avait bien des choses qu’elle ne pouvait cacher, comme le fait qu’elle maigrissait de jours en jours, ainsi que la couleur de sa peau. Elle était blanche, comme un cachet d’aspirine.
J A M E S - Ne t'en fais pas pour le retard, le plus important c'est que tu sois là. Et non, ça ne va pas, Elzy. Quand je te vois ainsi, comment cela pourrait il aller? Est ce que tu t'es regardée dans un miroir? Tu ressembles à un mort vivant.
Face à ça, elle ne sut quoi répondre. Elle baissa la tête, comme un enfant qui venait de se faire gronder par l’un de ses parents. Elle se sentait mal. Elle savait déjà tout ce qu’il venait de dire. Elle savait qu’il ne pouvait aller bien la sachant dans cet état. Elle se savait comme une morte vivante. Elle savait tout, elle ne se cachait pas non plus la vérité, et d’ailleurs elle n’avait aucunement peur de cette atroce vérité. Elle y faisait face, et c’est pour cela qu’elle ne voulait personne à ses côtés, même le garçon qui lui sert de meilleur ami. Elle avait alors préféré le laisser à l’écart plutôt qu’il la voit sombrer dans une dépression, une déprime. C’était toute seule qu’elle se jetait au fond du gouffre. Restant comme elle était, ce qui veut dire, la tête baissée, elle lui répondit.
E L Z B I E T A - Je ne sais quoi répondre. Je sais tout ce que tu me dis, je m’attendais à une telle réaction de ta part. C’est pour ça que je préférais te laisser à l’écart, je ne voulais pas que tu me voies ainsi. C’est vraiment mal ce que j’ai fais ? Essayer de ne pas faire encore plus de mal à mon meilleur ami ? De toute façon dans les deux cas tu n’aurais pas été bien. Tu veux que je te dise quoi d’autres James ?
Son ami avait voulu tout dire directement, ne voulant pas passer par plusieurs chemins pour essayer de lui faire comprendre ce qu’il voulait. Ou alors ce qu’il ressentait face à cette Elzbieta-là. Et bien, elle pouvait en faire tout autant. La différence était qu’elle, elle ne le regardait pas. Lui, il la regardait, ses yeux se baladaient sur ton son corps, ce corps manquant de fibre, de vitamines, etc. complètement déshydraté. Face à lui, elle ne savait pas exactement comment se comporter, il ne lui faisait pas peur, mais son regard si. Elle n’acceptait pas qu’il puisse la juger. Il ne le disait pas encore, mais il le ferait d’ici quelques instants. Qu’est ce que ça pouvait être embêtant d’avoir un meilleur ami étudiant en médecine. Il lui ferait alors même la morale sur son comportement. Elle le savait, et ne voulait pas de ça.
J A M E S - Tu ne peux pas rester là bas, Elzy. Viens à la maison quelques semaines. Tu as besoin de t'éloigner de cet endroit pour le moment. Et surtout, je ne tolèrerais pas de refus de ta part.
Elle sourit à cette proposition, ou plutôt cet ordre. Il se souciait d’elle, et ça elle le savait depuis le début qu’elle se comportait ainsi. Si ça ne tenait qu’à lui elle remangerait tout de suite, mais non. Ca ne tenait même pas à elle, tout tenait à son esprit complètement bousillé qui lui disait de faire tout cela, que la vie n’était plus nécessaire à vivre. Si ses amis n’était pas là, elle n’aurait pas hésité à mettre fin à ses jours, mais encore une fois elle tenu au fait que ses amis n’aurait pas accepté cela, et qu’elle leur ferait encore plus de mal avec ça. De toute façon, comme elle venait de le dire, quoiqu’elle fasse, elle faisait les mauvais choix, en étant totalement consciente de ça. La meilleure solution serait de se reprendre en main, mais ce n’était pas possible, pas encore. Mais quand alors ? Quand la mort sera déjà arrivée à elle ? Soupirant, elle osa enfin affronter son regard.
E L Z B I E T A - De toute façon, face à toi je n’ai pas le choix, et tu sais comment t’y prendre. Mais j’impose mes conditions, tu me laisses faire ce que je veux, tu m’infliges rien, et promets moi d’être là qu’en tant que meilleur ami et non en tant que futur médecin, sinon je me casse tout de suite. Je n’ai pas envie d’être chez toi pour entendre des jugements à chaque secondes. Si je te dis ça c’est parce que je te connais James, tu ne pourras pas t’en empêcher…
Elle se faisait bien comprendre, elle le remarqua au fait du visage que prit James. Il n’aimait pas cette idée, elle le sentait. Qu’elle vienne chez lui ne changera rien, il le savait, mais il voulait tout de même essayer. Elle alla enfin se réfugier dans ses bras. Ses bras musclés qu’elle aimait tant. Elle n’avait jamais compris pourquoi il se trouvait parmi les ALPHA, elle le voyait dans tellement bien d’autres confréries. Elle n’allait pas se plaindre de ça, mais elle ne comprenait tout simplement pas. |
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| Sujet: Re: Good news are coming after bad reality • JAMES&ELZ Jeu 12 Aoû - 12:13 | |
| L'attitude même d'Elzy culpabilisa James. La voir ainsi, tête baissée comme une enfant ne lui plaisait pas. Il détestait ce rôle moralisateur mais que pouvait il faire d'autre? La laissait se détruire et se consumer de tristesse sans rien faire? James en était incapable. Il chassa donc bien vite la culpabilité de son regard et écouta sa meilleure amie et face aux questions qu'elle lui posait, hésita, l'espace d'un instant. Instant durant lequel, il fut attristé de la voir dans cette situation, se sentant inutile à consoler sa meilleure amie. Mais il savait aussi que quelque part, elle était toujours là et qu'il ferait tout pour la retrouver. Changeant de technique d'approche, il exigea qu'elle vienne s'installer chez lui. Attendant sa réaction, il ressentit un profond soulagement lorsqu'elle releva la tête et le regarda. Écoutant les conditions qu'elle mettait pour venir chez lui, il réfléchissait en même temps. Elle le connaissait vraiment bien et il lui faudrait être patient et agir comme un ami. Lui non plus n'avait pas le choix et puis c'était toujours mieux que rien. Mais pour le moment, il verrait plus tard. Prenant Elzy dans ses bras, il posa sa tête doucement sur la sienne, lui assurant juste son soutien.
Pour le moment, je vois le côté positif de la chose, tu sais. Tu es venue, c'est la meilleure chose que tu pouvais faire. Et ça montre ce que je savais déjà, Elzy. Tu es une battante. Même si je suis sûr que tu en doutes en ce moment et que tu as envie de te laisser couler, tu finiras toujours par remonter à la surface. Et c'est le meilleur ami qui parle... Allez viens, on va marcher et parler...
La tenant toujours contre lui, il lui fit un sourire. Il lui fallait agir normalement, ne plus la juger. Prenant le sentier, ils firent le tour du parc, passant près du lac. Un sourire malicieux vient naître sur ses lèvres en se rappelant un souvenir qu'il avait ici même avec Elzy.
Tu te rappelles la première fois où nous sommes venus ici? Tu m'avais poussé dans l'eau par surprise alors que je donnais à manger aux canards. Et je me rends compte qu'en fait, je n'ai jamais eu ma vengeance.....
La prenant dans ses bras, il s'approcha de l'eau et la fit tomber dedans. A peine quelques secondes plus tard, il la rejoignit en riant et s'amusa à l'éclabousser. Il fut heureux en voyant qu'elle commençait à riposter. |
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| Sujet: Re: Good news are coming after bad reality • JAMES&ELZ Jeu 12 Aoû - 13:08 | |
| Face au silence de son ami, elle comprit qu’elle avait visé juste. Il savait qu’elle avait raison, et n’avait pas de réponses à toutes les questions qu’elle avait pu poser. Elle n’attendait pas spécialement de réponses, son silence parla pour lui-même. Elle avait elle-même déjà les réponses à ces questions. C’était une sorte de façon de lui faire comprendre ce qui se passait dans sa tête, et pourquoi elle s’était comporté ainsi avec lui, pourquoi elle ne lui avait pas répondu à ses multiples messages, textos, mails, et on en passe. Il avait vraiment essayé tout pour la joindre, et rien n’avait marché. Jusqu’ici, à ce jour. Où elle n’en pouvait plus de le laisser là sans nouvelles. Pensant qu’elle prenait la bonne décision, ou du moins elle essayait de s’en persuader. A peine quelques instants qu’elle venait de le retrouver, et il l’obligeait à venir chez lui. C’était ainsi qu’elle l’aimait, elle le connaissait ainsi, et apparemment il ne changerait pas de si tôt. Alors qu’elle se blottissait contre lui, elle sentit la tête de son meilleur ami se poser contre la sienne, et écouta ce qu’il avait à répondre à ses conditions. Elle ne voulait pas qu’il bouscule sa vie, ses habitudes qu’elle venait d’acquérir, cela serait trop difficile.
J A M E S - Pour le moment, je vois le côté positif de la chose, tu sais. Tu es venue, c'est la meilleure chose que tu pouvais faire. Et ça montre ce que je savais déjà, Elzy. Tu es une battante. Même si je suis sûr que tu en doutes en ce moment et que tu as envie de te laisser couler, tu finiras toujours par remonter à la surface. Et c'est le meilleur ami qui parle... Allez viens, on va marcher et parler...
Son ami voyait toujours les côtés positifs, c’est ce qu’elle aimait. Elle savait aussi qu’une fois chez lui, il allait essayer de lui faire changer les idées, lui dire tous les côtés positifs de la vie, et elle en passait. Ce James avait de la ressource en la matière, ça n’allait pas être compliqué pour lui, surtout lorsqu’on a une personne qu’on connait extrêmement bien, en face de nous. Il savait comment s’y prendre avec elle, et n’hésiterait pas à prendre les choses en mains si au bout d’un certain moment rien ne s’arrange. Elle eut alors cette image : d’elle revenant dans sa maison, et lui la suivant et s’incrustant. Il en était tout à fait capable, et c’est ce qui la fit rire. Elle regarda James qui se mit à sourire lorsqu’il la vit rire toute seule, il ne savait pas la raison de ce rire, mais ça lui suffisait.
E L Z B I E T A - Tu vois toujours les bons côtés, James. Je ne supportais plus de ne pas te voir, tu me manquais trop. Merci, je le sais, mais je n’ai plus envie de me battre, ou alors à mon rythme. Un rythme qui va peut-être me couter la vie. Désolée de dire ça cash, mais au moins je suis réaliste. Je suis heureuse de voir que tu peux mettre l’étudiant en médecine un peu de côté.
Avec l’aide de son meilleur ami, elle se releva. Marchant à ses côtés, elle se sentait un peu plus forte, et ses jambes reprirent l’habitude de la marche, malgré la faiblesse de son organisme. Elle se collait à lui, s’accrochant à son bras, avoir de quoi s’appuyer. Elle ne se doutait alors pas du tout qu’il serait capable de faire une telle chose. Elle pensait qu’ils allaient parler, comme il l’avait dit. Avait-elle oublié que James est un parleur, mais derrière se cache un grand joueur.
J A M E S - Tu te rappelles la première fois où nous sommes venus ici? Tu m'avais poussé dans l'eau par surprise alors que je donnais à manger aux canards. Et je me rends compte qu'en fait, je n'ai jamais eu ma vengeance.....
Et voilà qu’elle se trouvait à l’eau. Le temps ne lui avait pas été accordé, n’ayant même pas pu lui répondre, ou alors se défendre. Elle s’était retrouvée dans ses bras, elle avait vite comprit ce qu’il comptait faire, c’est pourquoi elle avait essayé de se débattre, bougeant ses jambes de partout, mais cela ne suffisait pas à arrêter James qui vint la rejoindre et l’éclabousser qui plus est. Tous les passants les regardèrent, ce qui ne dérangea pas Elz, cela faisait bien des semaines qu’elle s’en fichait de ce qu’on pouvait penser de sa petite personne. Elle ripostait, oui. Elle l’éclaboussa à son tour, et essaya même de le couler, mais avec le peu de force qu’elle avait, il n’y arriva pas. Quelques canards nageaient dans l’eau pas très loin. Avec un sourire, elle alla vers eux, et avec délicatesse, elle en prit un dans ses bras et revint vers son ami. Elle resta là, en face de lui, avec le canard dans ses bras. Il se demandait surement ce qu’elle allait faire avec un canard dans ses bras.
E L Z B I E T A - Mauvais garçon, tu profites de ma faiblesse pour te venger. C’est injuste, tu peux le croire, je me vengerais à mon tour. Il est beau le canard hein ?
A son tour de ne pas attendre une réponse, elle avança le bec de ce pauvre animal vers la bouche de James, et enfin les lèvres de son meilleur ami touchèrent ce truc jaune au bout de la tête du canard. Elzbieta se mit à rire, c’était trop marrant. Elle venait de voir son meilleur ami se faire embrasser par un canard. Elle laissa partir le canard, et sortit vite fait du lac. Se mettant à courir, mais James n’eut pas du mal à la rattraper, elle se retrouva une nouvelle fois dans ses bras, il lui faisait maintenant des guillis, tout en lui racontant quelque chose sur le baiser qu’il venait d’avoir. Notre jeune femme rigolait, et rigolait. Mais enfin sérieusement, elle le poussa, et se posta devant lui. Ne rigolant plus, elle le regarda sévèrement, comme si il venait de faire une bêtise. Ses bras étaient croisés, et ils échangeaient un regard tout aussi noir l’un que l’autre. James jouait son jeu.
E L Z B I E T A - C’est malin, grâce à toi ma robe est toute mouillée et toute dégoutante. Je t’en remercie James, pff.
Ce fut un regard étonné que James eut. Ce n’était pas le genre d’Elz de se préoccuper autant de ses vêtements. Elle resta sérieuse, sous le regard de James qui ne comprenait toujours. Mais enfin, elle se mit à rigoler. Et le poussa à terre, il tomba à terre et enfin elle put le regarder de haut. Haussée sur ses talons, elle était plus grande d’environ cinq centimètres.
E L Z B I E T A - Je te taquinais petit. Je m’en fous de ma robe.
C’est bien sur le mot « petit » qu’elle insista. Pour une fois qu’elle paraissait plus grande que lui, ce qui n’était pas difficile lorsqu’il était à terre, elle en profitait. Elle le cherchait, elle savait qu’il n’aimait pas quand elle l’appelait petit, ou alors de toutes sortes de surnoms les plus débiles les uns que les autres. Mais elle aimait lui inventer ce genre de surnoms. Ça lui allait tellement bien. D’ailleurs, elle avait un petit surnom à lui donner maintenant. Elle n’attendit pas une seconde pour lui en faire part.
E L Z B I E T A - Voyons je t'aime mon vilain petit canard. |
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| Sujet: Re: Good news are coming after bad reality • JAMES&ELZ Jeu 12 Aoû - 15:15 | |
| Riant tous les deux en s'éclaboussant, James ne vit pas le coup venir. Sur ce coup, Elzy le surprit vraiment. Un canard dans les bras, il attendait en s'interrogeant sur ses paroles. Ce ne fut que lorsqu'il sentit le bec du canard sur sa bouche qu'il comprit. Elle l'avait eu par surprise tout comme lui l'avait fait quelques instants plus tôt. Ne la laissant pas s'échapper, il la rattrapa alors qu'elle venait à peine de sortir du lac et lui infligea une série de chatouilles au niveau des côtes. Basculant tous les deux dans l'herbe, il n'avait de cesse de continuer tandis qu'il se plaisait à entendre son rire. Le jeune homme s'arrêta cependant lorsque l'attitude d'Elzy prit un virage à 180 degrés. Ne comprenant pas, il crut tout d'abord qu'il s'agissait d'un jeu mais resta ahuri devant ses récriminations concernant le fait qu'il avait fichue. Cela ne lui ressembla pas le moins du monde et ce ne fut que lorsqu'elle éclata à nouveau de rire qu'il réalisa qu'elle venait une nouvelle fois de se jouer de lui. Riant à son tour, il resta par terre lorsqu'elle l'y poussa, faisant mine d'être offusqué par le terme dont elle venait de le qualifier.
Un mètre 83 est une moyenne tout à fait raisonnable se justifia t'il, jouant à bouder à son tour. Il ne put toutefois conserver son sérieux lorsqu'elle lui attribua un nouveau surnom. Vilain petit canard. Voila qui promettait de rester encore bien longtemps comme surnom et il ne se faisait aucun doute sur le fait qu'elle lui rappellerait à chaque fois qu'elle le pourrait cet épisode. Mais il se vengerait, il s'en fit la promesse même s'il ignorait encore quand et de quelle manière. En attendant, il valait mieux rentrer. Le temps commençait à se gâter et il allait pleuvoir. Les nuages noirs s'amoncelaient déjà au dessus de leurs têtes.
Je te propose d'aller chez moi pour boire un chocolat chaud et se réchauffer et ensuite, on ira chez toi pour chercher tes affaires. , suggéra t'il en voyant Elzy frissonner. Il ne pouvait même pas lui prêter son pull, celui ci étant trempé également depuis le saut dans le lac. |
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| Sujet: Re: Good news are coming after bad reality • JAMES&ELZ Jeu 12 Aoû - 17:50 | |
| Elle venait de l’insulter de petit, il fit mine qu’il était vexée, avouant enfin combien il mesurait. Elle savait qu’il était un peu plus grand qu’elle, mais de combien de centimètres ? Elle n’avait jamais pu savoir, car il n’avait jamais voulu le lui avouer. Lorsqu’elle était à côté de lui, on ne distinguait pas la différence entre les deux. Et c’est aussi pour cela qu’elle ne mettait jamais de talons lorsqu’elle avait rendez vous avec lui, ou qu’elle le voyait. De peur de le mettre mal à l’aise, plus petit qu’une fille. Ca pourrait être mal vu. Mais là, elle n’y avait pas fait attention et s’était rendu en talon au rendez vous qu’elle lui avait fixé. Encore heureux pour lui, les deux ne s’étaient pas rendu compte de ce petit détail. Tout d’abord au début, ils étaient assis, pour finir dans le lac, et par terre sur la pelouse. Ce n’est que lorsqu’il parla de sa taille qu’elle se rendit compte qu’elle était plus grande que lui à cet instant précis. Alors qu’elle le regardait toujours de haut, elle se mit à rire, et elle lui tendit le bras, enfin la main, pour l’aider à se relever. Et enfin debout, elle se mit à côté de lui.
J A M E S - Un mètre 83 est une moyenne tout à fait raisonnable.
E L Z B I E T A - Qui est le plus grand maintenant ? Petit.
Elle avait hâte de voir qu’est ce qu’il avait à répondre à cela. Mais c’est aussi maintenant qu’elle se rendit vraiment compte qu’elle était une assez grande fille. La moyenne des filles est d’environ 1m70, voire 75, à ce qu’elle avait entendu. Elle faisait 1m80, ce qui était bien proche de son meilleur ami. Peut-être que si elle avait bu un tout petit peu plus de lait elle aurait atteint ces seuls petits trois centimètres qui les séparait. Elle pourrait alors l’embêter avec cela. Notre jeune fille adorait embêter son meilleur ami, et cela tout le monde le remarquait. Elle ne manquait jamais une occasion pour le faire, et pour le prouver encore et encore. Vous pouvez en être sur que maintenant elle allait le charrier avec sa « petite » taille de mecs. Elle se voyait bien se ramener avec des talons de trois centimètres et lui dire un truc dans le genre : « On est au même niveau maintenant ». Quoique ça sera difficile de trouver des talons avec seulement trois centimètres, ce n’est pas exactement ce qu’il y a sur le marché.
J A M E S - Je te propose d'aller chez moi pour boire un chocolat chaud et se réchauffer et ensuite, on ira chez toi pour chercher tes affaires.
C’est vrai qu’elle commença à avoir légèrement froid. Elle était complètement trempée, il ne l’avait pas raté, et en tant que gentleman il ne pouvait rien lui prêter car il était tout autant mouillé qu’elle. Elle accepta son offre.
C’est vrai qu’elle commença à avoir légèrement froid. Elle était complètement trempée, il ne l’avait pas raté, et en tant que gentleman il ne pouvait rien lui prêter car il était tout autant mouillé qu’elle. Elle accepta son offre. Bien sur elle savait que sur le chemin du retour, il y aurait encore bien de la chamaillerie entre les deux, ils ne peuvent jamais s’arrêter. Et au grand bonheur des deux, elle avait totalement oublié son chagrin, et se laissait vivre au côté de son meilleur ami qui arrivait à la faire rire, et à lui donner l’envie de jouer. Ce que pas tout le monde peut faire. Par contre, si elle trouvait un seul instant à ne pas savoir quoi faire, ou autre, elle retomberait dans son trou noir, ce qui allait surement arriver dans la nuit. James n’allait pas lui tenir compagnie, et irait surement dormir. Ou alors, voudrait être avec elle pour la première nuit, mais pour la suite, il la quitterait, la laissant seule. Ce qu’elle comprendrait tout de suite.
E L Z B I E T A - Je suis partante, on prend ma voiture ?
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| Sujet: Re: Good news are coming after bad reality • JAMES&ELZ Jeu 12 Aoû - 20:59 | |
| James ne se trouvait pas le moins du monde vexé par la remarque que venait de lui faire Elzy sur sa taille. Il prit le parti d'en rire au lieu de faire le fanfaron ou le vexé.
Tu parles. Sans les échasses que tu as aux pieds, c'est moi qui serait en train de te considérer comme petite. dit il en lui tirant la langue dans un geste puéril avant de se remettre à rire en sa compagnie. Il avait craint pendant un moment de ne plus l'entendre rire pendant un long moment mais finalement ses inquiétudes sur ce point étaient infondées. Heureusement d'ailleurs.... Ce ne fut que lorsqu'il parla d'aller boire un chocolat qu'Elzy sembla réaliser qu'elle avait froid vu qu'elle eut un frisson et qu'elle croisa les bras dans une tentative pour se réchauffer un peu. Il eut un sourire quand il l'entendit accepter et qu'elle proposa d'y aller en voiture.
D'accord, on ira plus vite en voiture que si je dois te porter tout au long de la route. Et au moins, on ne prendra pas le risque de se faire tremper vu qu'il va pleuvoir d'une minute à l'autre. dit il en observant le ciel. Ils quittèrent alors le parc pour se rendre sur le parking. Sans rechigner, James se mit du côté passager mais il eut tout de même beaucoup de difficulté à caser ses longues jambes. Il poussa un long soupir avant de se plaindre auprès d'Elzy.
Dis moi, comment ça se fait que c'est aussi petit pour caser ses jambes? Je pensais que les femmes les avaient forts longues? |
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| Sujet: Re: Good news are coming after bad reality • JAMES&ELZ Jeu 12 Aoû - 23:05 | |
| Un débat sur qui était le plus grand entre les deux venait de commencer. C’était bien sur James, mais Elz essayait de contourner, comme le fait qu’elle est des talons, pour être plus grande que lui. Bien sur, maintenant elle ne grandirait plus, et n’arrivait jamais à prendre ces trois centimètres pour le regagner. Mais encore heureusement, car pour une fille elle était déjà assez grande, et elle ne voulait pas l’être encore plus. Elle aimait mettre des talons, mais à cause de sa taille, des fois il fallait qu’elle s’abstienne car ça la rendait bien trop grande, et ça ne donnait pas très beau. Par contre, elle avait quelque chose qui rendait très jolie sur elle, ses jambes. Fines, grandes et allongées, ça lui donnait une super silhouette, malgré le fait qu’elle en est déjà une super jolie, bien formée. Tout cela, elle le savait, mais n’en profitait pas plus. Elle pourrait très bien devenir mannequin, elle avait tout pour, et pourtant. Elle ne faisait rien pour. Bien des filles la jalousait, pour son corps, son visage, son sourire, ses yeux, pour tout. Elle était jalousée pour pleins de trucs, et elle vivait avec ça. Elle n’avait qu’une envie, devenir écrivaine, rien d’autre, le mannequinat loin de là pour elle.
J A M E S - Tu parles. Sans les échasses que tu as aux pieds, c'est moi qui serais en train de te considérer comme petite.
Elle se mit à rire, il se moquait bien d’elle là. Il devait toujours en rajouter une couche. Ca la fit rire, oui, car il ne changerait jamais ce petit James. Elle avait alors envie de l’appeler petit jusqu’à la fin de la journée. Elle ne s’en gênerait pas, elle allait le faire, elle allait rajouter le mot « petit » à chaque fin de phrase. Peut-être qu’à la fin, il en aura marre et … enfin elle voulait juste un peu l’énerver. Lorsqu’il s’énervait, et devenait tout rouge, ça faisait pleurer de rire notre Elz, ce qui le rendait encore plus malade. Bien sur ça ne durait jamais plus de deux minutes. Mais elle voulait le voir dans cet état, et lorsqu’elle se donnait ce but, elle y arrivait toujours. Elle savait aussi se prendre avec son meilleur ami, avec son vilain petit canard de la journée.
E L Z B I E T A - Tu n’en rajouterais pas un petit peu, petit ?
Pourquoi avoir dit oui pour un chocolat chaud alors qu’elle savait déjà à l’avance qu’elle n’en prendrait pas une gorgée. Peut-être parce qu’intérieurement ça la réchauffa de penser à un bon chocolat chaud, fait pas son meilleur ami. Oui cela devait être pour cette raison. Mais se connaissant, elle savait qu’enfin chez lui, elle ne pourra pas lui refuser ce chocolat chaud, qu’il fera alors pour rien. Ce fut à son tour de lui tirer la langue lorsqu’il fit allusion qu’ils iraient plus vite en voiture que s’il devait la porter. Par contre, elle, elle fit mine de bouder. Enfin dans la voiture, elle démarra la voiture, tout en ignorant complètement la question de son très cher ami. Elle regardait droit devant elle, elle mit même la radio à fond, et se mit à chanter. A gesticuler dans la voiture, alors qu’elle était en train de conduire, avec James à ses côtés qui essayait tant bien que mal d’attirer son attention. Mais lorsqu’elle faisait mine de bouder, ou bouder vraiment, c’était peine perdue. Il le savait. Il devait maintenant attendre qu’elle décide que le petit jeu est cessé. Elle aimait avoir la situation en main, pour une fois que ce ne sont pas les mecs qui l’ont. Avec ce pouvoir du sexe masculin. Avec James, elle arrivait toujours à les mettre à égalité. Pas de pouvoir. Enfin si, elle. Le pouvoir ne lui était accordé qu’à elle. |
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