<< Lilly mon coeur, il est l'heure, reveille toi ma chérie >> C'était les premiers mots que la petite fille de cinq ans entendis de la journée.
La fenetre éclairssissait la chambre de Lilly. Elle sauta immédiatement du lit, enroulant le cou de sa maman, de ses petits bras.
<< C'est aujourd'hui maman ? Hein que c'est aujourd'hui qu'on va aller faire la grande roue enssemble ? >> La petite fille était tellement éxitée de partager un moment pareil avec sa maman, qu'elle en perdis vite ses mots. Voila qu'elle sauta dans la douche, et qu'elle pris, toute seule, comme une grande, son bain matinale. A l'aide de son petit tabouret, elle se brossa les dents et coiffa ses cheveux. Taylor avait de la chande d'avoir un enfant aussi autonome que Lilly.

[...] Des heures plus tard.

Je voulais vous raconter l'histoire de cette jeune fille, dans sa jolie robe rouge. Elle était émmitouflée sous son petit manteau d'hiver, ses petits cheveux blond dorés étaient tressés. Elle marchait, en tenant de sa petite main chaude la main de sa mère avec assurance. Toutes deux, elles erraient dans ces rues éclairées par les lumières de noel et du nouvel an, magiques. Tout ça semblait à la petite fille si magique; il restait que quelques jours avant les festivités, et l'ésprit des fêtes était dejà présent dans la tête de Lilly. Elle faisait des petits pas auprès de sa maman, au milieu de cette foule agitée. L'air reveuse et assez mélancolique. Après une longue periode de souffrance, une période que la petite fille ignore totalement, Lilly a enfin trouvé le bonheur dont tout enfant de son age à droit. C'était l'une de ses soirées ou l'on espère toujours qu'elles se finissent jamais, un moment de bonheur, un moment que l'on voudrait à l'infini. Taylor avait fait preuve à Lilly d'amitié, d'amour, toutes deux, elles étaient unis, pour la vie. Tout à une fin certes, mais à la fin de cette soirée, elle aura toujours sa maman, Lilly devrait sans doute être dans sa chambre après, au coté de sa maman, avec un grand sourire au lèvres, lui racontant ce qu'elle a aimé de sa soirée.
Elles marchaient toujours toutes deux, la main dans la main, en contemplant les mille et une lumières des fêtes.
Soudain, la petite fille sursauta, en enttendant un énorme bruit qui lui fit peur. Elle s'arretta en enroulant les jambes de sa maman avec ses petits bras, et leva la tête vers le ciel, le ciel faisait son spéctacle, les milles et une couleurs apparaissaient pour ensuite disparaitre, c'était la première fois que Lilly voyait une chose de la sorte, elle leva les yeux vers sa maman :

<< Maman ... J'ai peur ... >>

Taylor la rassura, les mots de la jeunes femmes calmèrent aussitot les pleures de la petite enfant. C'était fou comment Lilly avait confiance en elle. Elle était doté d'une intelligence incroyable pour son age, et s'attachait très facilement à une personne, mais avec Taylor, c'était different, c'est quelque chose qui dépace l'attachement, elle l'aime, et l'amour qu'elle a pour elle, n'as certainement pas de limites, car jusqu'à maintenant, la jeune femme est là seule vie de l'enfant, si elle n'existait pas, Lilly n'existerait, ou bien, enfin si, dans un orphelinat, mais nulle part d'autre.

" Soyez polis envers tous, mais intimes avec peu, et choisissez-les bien avant de leurs faire confiance "
Lilly Elizabeth ne se doute pas encors qu'elle vit dans un monde hypporcrite, ou là confiance est érronée. Les apparences sont jugées. Les préjugés deviennent l'atraction du moment, on croit pouvoir faire confiance à des tas de personnes. Des personnes très proches, comme sa mère biologique, mais plus Lilly grandira, plus elle se rendra compte, qu'elle ne vaut pas plus qu'un bout de trottoire. La vie de Lilly Elizabeth sera compliqué, à cinq ans dejà elle a vécu des choses les plus pires qu'elle soient, elle n'est que le fruit d'une union par erreur, sa mère ne voulait pas d'elle, et son père, ne voulait absolument pas l'assumer, et a donc disparu, personne ne sait ou. Là ou elle était, elle entendait souvent dire que le monde appartient à ceux qui croient à la beauté de leurs rêves. Lilly étant une douce et innocente enfant, y'as toujours cru. Le monde lui appartennait t'il ? Pas concretement évidemment, mais sous l'autre sens, oui. Lilly à l'instant même s'en fou de tout,Taylor, Crouper et ses jouets sont les plus importants. Ses reves n'ont pas de limites, et ses yeux remplis d'étoiles. Elle a trois amoureux pour elle seule, et n'est pas jalouse quand elle les partage, elle tiens sa main, et cours partout, et les princesses et les pompiers sont son avenir mais qu'elle vit au présent.

<< Ca me touchera pas les feux d'artifices ? >> En effet, de sa vie, Lilly n'as jamais vu des petits points qui formaient une grande étoile de couleur, qui faisait un bruit énorme puis disparaissait pour laisser l'éspace un à un autre dans le genre. Dès lors; grace à sa maman, elle n'avait plus peur, la jeune enfant cessa de s'agripper aux jambes de Taylor et se déssina sur son visage un joli sourire, qui fait rever. Lilly leva la tête et commenca à admirer les milles et une couleurs. Elle sursauta à l'aboiement de son chien, Crouper, alors s'accroupis doucement :
<< Mais voyons Crouper, il ne faut pas avoir peur, je suis là, et maman aussi, ce n'est que des feux d'artifices, joli comme tout, n'est pas peur >> Crouper se calma aussitot, alors elle sorti de sa poche un biscuit qu'elle lui donna, le chiot se frota à sa jambe et la petite fille repris la main de sa maman, si dirigeant vers la fête forraine.

Les allées du parc longeaient tout le chemin qui mennait à la fête forraine, de là on pouvait les milles et une lumières de l'horrizon, Lilly aimait tellement se spectacle.
- Regarde maman comment c'est beau !
Lilly aime regarder les flocons tombés & former un tapis blanc sur le sol. Elle aime être dessous, quand des milliers de paillettes volent dans le ciel. Elle adore entendre craquer sous ses pieds et voir ses traces se déssiner sur cette étendue de coton. Et puis toute cette neige la fait rêver, toute cette soirée empli d'émotions pour elle la fait rever.

Voila que la mère et la fille s'approchaient de plus en plus de la fête forraine. A l'entrée, demeurait une grande porte décorée. Il y'avait une foule énorme. Les enfants étaient content devant ce décor magnifique, parmis eux, Lilly. Elle remarqua que Crouper était de plus en plus perdu parmis ces gens, alors elle sorti du sac de sa maman, la laisse, et l'accrocha au collier du jeune labrador.
- Maman on commence par quoi ? Demanda Lilly Elizabeth.
A vrai dire, dans le visage de la petite fille se déssinait un énorme sourire, qui refflettait sa bonne humeur, en fait, elle était exitée comme une puce. Sa maman lui avait promis la grande roue, normalement, elle était sencée avoir peur, mais à ses cotés, en vain.