the great escape
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hey sister - pv

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Augusto P. Da Volpedo
there's no place like berkeley
Augusto P. Da Volpedo
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MessageSujet: hey sister - pv hey sister - pv EmptyLun 9 Nov - 22:59


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Quatre jours auparavant ; Son père le voit arriver les mains dans les poches, la mine renfrognée et la démarche nonchalante. Il ne l'a pas vu depuis quoi ? Vingt, vingt-deux ans ? Des années lumière en somme. Son fils était haut comme trois pommes la dernière fois qu'il l'a serré dans ses bras. Aujourd'hui, il est devenu un homme. Le fils Stewart s'arrête devant l'homme qu'il considère presque comme un étranger pour lui. Il est tout, sauf un père. Néanmoins, il fut assez curieux, lorsqu'il reçut un appel de lui, pour venir au rendez-vous proposé par son paternel. Sans prévenir Millie, bien évidemment. Sinon, sa sœur aurait sûrement fait une crise cardiaque sur place. Parker s'arrête devant cet homme qui ne lui inspire qu'indifférence. Un léger signe de tête pour le saluer mais rien de plus le concernant. Hors de question pour lui d'embrasser celui qui l'a abandonné alors qu'il n'était qu'un petit garçon en quête d'affection. Son géniteur esquisse un pas en avant et fait mine d'ouvrir les bras pour lui donner une accolade, mais Parker se recule instinctivement. Il croit percevoir une ombre de tristesse dans les yeux de son père, mais il se dit qu'il doit rêver. « Bon, pourquoi tu m'as contacté ? C'est pas comme si nous avions beaucoup à partager. » Le ton qu'empreinte le jeune homme est remplit d'agressivité. Il a attendu des années pour déverser sa bile et aujourd'hui, il est déterminé à le lui faire part de tous ressentis les plus profonds. Son père lève la main pour le calmer et entamer une conversation plus civilisée. Parker n'est plus certain d'avoir envie de cette confrontation. Maintenant qu'il est là, difficile voire impossible de reculer sans paraître lâche. « Je suis venu pour voir le bel homme qu'est devenu mon fils et aussi … » Pause. Le cerveau du brun s'est arrêté à la première partie de cette phrase. Là c'est la meilleure. On croit rêver. Il se fout royalement de sa gueule. Silence radio pendant des années et monsieur décide de voir ce qu'est devenu le gamin qu'il a si gentiment laissé sur le bas côté. Parker boue de l'intérieur. Il va commettre un meurtre si on ne le retient pas. « T'as vu le prodige, tu peux te casser maintenant. » Merci et adieu. Sauf que son père n'en a pas fini avec lui. Il l'entraîne à sa suite dans le café où ils sont postés. Installés à une table, son père lui parle de sa vie passée, des erreurs qu'il a pu faire et qu'il veut à tout prix se racheter. Dubitatif, le jeune homme le laisse parler sans l'interrompre. Il ne comprend pas pourquoi il lui raconte tout ceci après tout ce temps. De plus, il s'en fout de savoir s'il a été heureux ou non. Lui n'a pas pris la peine de se renseigner pour savoir si son fils ne manquait de rien. Son père lui avoue qu'il a un secret à lui révéler. Parker croit revivre un souvenir douloureux de son passé. Encore quelqu'un qui veut lui offrir un secret sur un plateau d'argent. Mais plus tard. Dans quelques jours, le temps de tout organiser. Il quitte Parker en lui donnant l'adresse d'un parc. Le jeune homme prend le bout de papier entre ses doigts et le scrute sans relâche une bonne de l'après-midi.
Jour J ; Il fait les cent pas, tel un lion en cage. Y aller ou ne pas y aller, telle est la question qui le taraude depuis cette nuit. Il a à peine fermé l’œil. D'un côté, il ne doit rien du tout à son paternel. Ce dernier ne pourra pas lui en vouloir s'il ne vient pas car il ne lui doit rien. Toutefois, son subconscient le pousse à faire le deuxième pas puisque le premier à été fait par Stewart Senior. C'est finalement cette deuxième solution qu'il choisit. Advienne que pourra. Parker est à mi-chemin du Salem Common Park lorsque son portable sonne. Il n'a pas le temps de l'attraper qu'il a déjà un message vocal … De son père. Immédiatement, il sait que cela ne présage rien de bon. Et il lui suffit d'écouter le contenu pour en avoir le cœur net. « Bonjour Parker c'est pa … C'est Adam. Le secret dont je t'ai parlé va t'être révélé aujourd'hui. Mais je ne serai pas là. Tu as … une demie-soeur. Elle s'appelle Kara et elle sera au rendez-vous également. Je n'ai pas le courage de me confronter à vous. Pardonne-moi et apprenez à vous connaître pour construire une vraie famille. Ce que je n'ai pas été capable de faire. Je suis désolé Parker. » Être désolé n'arrange pas tout et ne colmate pas toutes les blessures. Ses yeux le picotent mais il se sermonne pour ne pas passer pour une mauviette. Il s'est fait berner comme un jeune premier. A force, il est habitué d'être déçu par son père. Il ne devrait même plus avoir mal. Sa première idée est de faire demi tour. Il s'en balance de cette file qui fait soit-disant partie de sa famille. Il ne la connaît pas et ne veut pas s'embarquer là dedans. Pourtant, à contrecœur, ses pas le conduisent tout droit dans ce fameux parc. Il n'a pas besoin d'en faire le tour pour remarquer qu'une brune assez frêle marche en faisant des ronds et en regardant un peu partout. A n'en pas douter, il s'agit de la dite Kara. Il l'observe cinq bonnes minutes sans bouger de la place à laquelle il est. Puis, il se rend compte que cela fait un peu trop voyeur alors il s'approche sans savoir comment il va se présenter. Impossible de dire « hey, je suis ton frère, belle journée non ? ». Ce serait tellement déplacé d'être aussi désinvolte. Il se stoppe à moins de deux mètres d'elle. « Je suis Parker. » S'il a eu un message, il est pratiquement certain qu'elle a eu le même mais dans le sens inverse. Il suffira donc de ces trois mots pour qu'elle assimile la situation.
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Jake Fitzgerald
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Jake Fitzgerald
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MessageSujet: Re: hey sister - pv hey sister - pv EmptyDim 29 Nov - 14:13

Derrière cette mèche de cheveux, Kara s'oubliait. Pour la toute première fois de son existence, elle ne trouvait pas sa place et cette simple idée la dérangeait. Ce sentiment d'insécurité. Cette remise en question. Elle ne l'attendait pas de cette façon. Il était arrivé tel un inconnu parmi tant d'autre. Il s'était assis à cette table près du bar. Il s'était fait servir un thé et il avait passé de nombreuses heures dans le silence, dans l'ombre. L'ombre de cette vérité. Celle qu'il maintenait au bout de ses lèvres. Celle qu'il finissait par confier, en quelques mots à peine. Juste assez pour captiver l'attention de la jeune femme et mériter un peu de son temps. Car Kara n'avait pas pour habitude de calculer de parfaits inconnus, beaucoup plus âgés qu'elle et complétement isolé dans un coin du Haltman'café. Sauf que cette phrase, la toute première prononcée, l'avait déstabilisée. Je connais ta mère. Ta mère biologique. Précisait-il presque si facilement, si intimement. Et c'était donc sur cette voie que la suite de leurs échanges s'étaient dessinés. Curieuse, elle l'avait interrogé et il avait répondu. Prétendant au passage, avoir l'identité correcte de son père biologique. Il avait confié également des détails sur la relation personnelle de ses parents.. De manière très précise, toujours. Il ne manquait pas non plus, de lui faire remarquer les similitudes physiques avec sa génitrice. Cette lueur dans ses yeux. Celle qui lui rappelait Maria. Un prénom. Une réponse à de nombreuses heures de recherche qu'elle avait menées en parallèle et sans jamais obtenir avec certitude, cette partie de son identité. Maria était le prénom de celle qui lui avait donné la vie. La même femme qui avait décidé de la laisser devant cet orphelinat. C'était donc pendant de nombreuses heures que la jeune femme l'écoutait et le questionnait. Très intelligent, son interlocuteur prenait le soin de la ménager et sans jamais trop en dévoiler. Juste ce qu'il fallait. Goûte après goûte. Vérité après vérité. Du moins jusqu'à ce qu'il en décide de le contraire. Il s'était levé et il lui avait laissé un joli pourboire. Avec la certitude dans son regard qu'il reviendrait. Kara avait essayé d'obtenir ses coordonnées, en vain. Aussi longtemps, était-il resté assis face à la serveuse. Aussi rapidement, s'était-il décidé quand elle avait commencé à insister sur l'identité du géniteur. Cet homme affreux qui n'avait pas pu soutenir Maria, qui n'avait pas fait un quelconque choix, décidé de la laisser en assumer l'entière responsabilité. C'est donc le cœur retourné et la sensation d'être à nouveau égarée que Kara se relevait. Dépité et à la fois énervée. Elle décidait d'abandonner son tablier. Et ce jour-là, Kara traversait la ville, à la recherche de ce dernier visage repéré. Elle traversait aussi la ville, en espérant oublier. Oublier qu'une seule personne pouvait la délivrer de ce passé.

Tourmentée les jours qui suivaient cette conversation, Kara se tairait dans ses draps. Elle décidait de s'y cacher, tout autant que cette réalité. Partagée entre l'évidence même et le doute le plus profond, elle se retournait. Les yeux humides et les dents serrées, elle s'effondrait. Elle réalisait que peut-être personne ne l'avait jamais aimée. Même pas la femme qui l'avait porté pendant neuf mois. Celle qui avait été là pour écouter son cœur se déchainer, la toute première fois où le monde nous ouvre ses bras. Et c'est là que son portable se mit à vibrer. Un message vocal venait d'être déposé. Ces quelques mots confiés avec stupeur et une étonnante sagesse. « Kara, c'est moi, l'homme du Haltman'café. Je m'appelle Adam et j'ai laissé beaucoup de réponses à tes questions au parc, sur le banc près du lac. J'y ai laissé quelqu'un, ton frère et je n'aurai pas la force, cette fois. Seulement, n'hésite pas, va le rejoindre. C'est peut-être le premier et dernier conseil que je peux te donner en tant que … père. Enfin géniteur, serait plus approprié et je suis vraiment désolé de manquer de courage. Finalement, rien ne change. Aujourd'hui ou il y a vingt-cinq ans. Prends soin de toi. Je t'embrasse. »  Kara restait quelques minutes sans bouger. Fixant le vide, elle s'arrêtait presque de respirer. Elle réalisait surtout ce qui c'était passé. La rencontre. Leur conversation en toute innocence. Elle n'était pas si innocente que ça. Elle l'avait eu, là à quelques mètres d'elle. Elle lui avait parlé et elle avait également répondu à ses questions. Kara hésitait alors. Souhaitait-elle en savoir davantage ? Ces derniers mois de recherches pouvaient-ils, toucher à leur fin.. Le méritait-elle. Kara se levait sans y songer plus longtemps. Elle enfilait ses vêtements et filait à toute allure. Peut-être qu'elle avait encore une chance de le prendre de court, avant qu'il ne dépose ce fameux paquet. Sans perdre une seconde de plus, elle s'éloignait de chez elle. Prenant la moto de son voisin, elle filait vers le parc. La visière entre ouverte, Kara essayait de maitriser toutes les émotions qui se mélangeaient et pouvaient prendre possession de son être. Arrivée cinq minutes plus tard, elle continuait cette course. Réalisant soudainement que ce banc ne contenait rien. Pas de réponse. Pas de colis. Et puis cette voix, une silhouette derrière elle, Parker. Elle le connaissait de vue. Assez parce qu'il avait le don de s'attirer les faveurs de nombreuses les filles, sans forcément en prendre conscience. Elle l'avait déjà constaté sans forcément s'y intéresser. Puis, elle comprit. Parker. Adam. Elle. Ils étaient tous liés. « Je suis Kara Haltman. » prononçait-elle hésitante et à la fois convaincue au fond d'elle. Convaincue que l'ignorance avait assez duré et qu'il était temps de briser ce silence trop longtemps maintenu sous scellé. « Tu es au courant depuis quand ? » l'interrogeait-elle soudainement et plus froidement. C'était son naturel qui la rattrapait. Cette façon dont elle agissait depuis toujours pour se protéger et surtout persuadée qu'elle était seule. Livrée à elle-même dans cette tourmente, dans ses mensonges, dans ses silences. Aujourd'hui, pourtant face à lui. Un homme. Un frère. Une moitié d'histoire et certainement beaucoup de révélations. Kara décidait de se placer face à lui, comme pour lui montrer qu'elle n'allait pas craquer. Elle n'allait pas fuir devant cette grande nouvelle, ce voile que Adam venait de lever. Chaque opportunité était bonne a prendre, qu'importe les conséquences qui s'en suivront. Elle finira par les gérer comme elle l'avait toujours fait. Plus solide qu'elle ne pouvait paraître, au premier coup d'oeil.. Surtout plus déterminée que jamais.

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Augusto P. Da Volpedo
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Augusto P. Da Volpedo
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MessageSujet: Re: hey sister - pv hey sister - pv EmptyLun 7 Déc - 23:07

Terriblement mal à l'aise par toute cette mise en scène orchestrée par son paternel qui lui ( leur ) fait un coup dans le dos pour la énième fois, Parker se présente sans pour autant attendre un quelconque retour de l'inconnue qui lui tourne le dos et qui pourtant, se trouve être sa demie sœur. De quoi déstabiliser le plus fort mental du pays. Quand elle lui fait, finalement, face, le jeune homme ne peut s'empêcher de la dévisager. La curiosité l'emporte sur tout autre sensation dans ce premier temps. Forcément. Il aimerait bien avoir de l'empathie pour elle. Pourquoi pas un brin d'amitié puisqu'elle vit actuellement la même galère que lui mais c'est assez difficile. Il n'est pas au courant du fait qu'elle n'a pas connu Adam et qu'elle est comme lui, un détail de sa vie qu'il n'a pas souhaité connaître plus que cela. Faire connaissance sans avoir le moindre à priori va s'avérer délicat. Néanmoins, Parker fait le premier effort de leur rencontre en tentant de lui adresser un sourire chaleureux. Avec un peu de chance, ce minime étirement des lèvres passera pour tel. « Enchanté. » Finit-il par lui répondre sans grande persuasion. Est-ce là le bon mot ? Pas sûr qu'il soit bien choisi mais il n'a pas mieux en stock. Par une espèce de pirouette, il se rattrape comme il le peut. « Enfin si on peut le dire vu les circonstances. » Ce qui est à dire ou à ne pas dire dans une telle situation ? Il en a fichtrement pas la moindre idée. Il tâtonne comme un aveugle que l'on aurait mis dans une pièce inconnue.Elle a l'air aussi peu bavarde que lui alors ils ne risquent pas d'aller bien loin. Une sorte de méfiance s'installe dans les prunelles de la brune qui lui tient tête et instinctivement, Parker fronce les sourcils. Sa question résonne presque comme une accusation. Comme s'il était au courant depuis des lustres. Si tel était le cas, il ne sait même pas s'il aurait pris la peine de se déplacer pour la rencontrer. Parce qu'au final, cette fille va bouleverser toute sa vie. Beaucoup d'emmerdes en perspective pour peu de compensations en retour. « Depuis quelques minutes. Une heure à peine. Adam m'a laissé un message sur mon téléphone en début d'après-midi pour m'expliquer ce qu'il en était. » Répond en toute honnêteté le brun. Il ne rentre pas dans les détails, certes, toutefois il répond de façon concise à son interrogation. Il se doute qu'elle a dû subir la même mésaventure que lui. A moins que leur géniteur commun ait eu le cran de se montrer à Kara. Après tout, il a sûrement dû avoir moins peur de se prendre une droite par une fille que par son fils qu'il savait à cran à leur dernier rendez-vous. Oui, peut-être qu'elle a été un peu plus chanceuse que lui et qu'elle a pu avoir quelques explications supplémentaires. Dans un sens, il brûle de le savoir mais il se dit que c'est mieux pour ne pas connaître la vérité car il pourrait être jaloux d'une relation qu'elle a eu avec celui qu'il a toujours attendu étant enfant. « Tu espérais sans doute être la fille qu'il aime plus que tout. » Commence Parker avec une once de sympathie pour elle. Si tel est le cas, elle doit être déçue en ce moment. Elle se retrouve avec un frère étranger sur les bras et un père qui n'a pas daigné les présenter l'un à l'autre. Un père qui a privilégié sa propre vie à celles de ses enfants. C'est tellement plus facile de faire un enfant que de l'assumer. Adam Stewart en est l'exemple parfait. « Brise tes rêves d'amour dès maintenant, sinon tu cours au crash sentimental. » Achève-la donc Parker. Il énonce ce fait sans émotion comme s'il parlait de la pluie et du beau temps. Sauf qu'en l'état actuel des choses, il est question de leur possible qu'ils doivent … Reconstruire ? Remettre à neuf pour devenir des adultes maîtres de leur destin ? Il ne sait pas trop comment va réagir cette fille parce qu'il ne la connaît ni d'adam, ni d'ève. Il a dû la croiser à une ou deux reprises dans Salem mais sans plus. Néanmoins, par souci de ne pas la laisser s'embarquer dans des espoirs fous et vains, le jeune homme a décidé de ne pas lui mentir. C'est tout à son honneur mais comme à son habitude, les phrases sortent sans filtre de sa bouche. Quitte à le faire passer pour le connard de service. Enfin, ce titre lui colle tellement à la peau qu'il s'y accoutume plutôt bien. « J'ai une petite sœur, Millie. Par conséquent, toi aussi. » Deux pour le prix d'un, bravo Kara, grande gagnante de l'année. « Mais elle n'est au courant de rien. » Et franchement, il n'est pas certain de vouloir lui avouer la vérité. Tout dépend de Kara, de son attitude, de son envie d'avoir un frère et une sœur. Tellement de points entrent en jeu qu'il en perdrait la tête.
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Cameron Eynsford
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Cameron Eynsford
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MessageSujet: Re: hey sister - pv hey sister - pv EmptyMer 27 Jan - 13:25

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