the great escape
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What the superior man seeks is in himself; what the small man seeks is in others.

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MessageSujet: What the superior man seeks is in himself; what the small man seeks is in others. What the superior man seeks is in himself; what the small man seeks is in others. EmptySam 18 Avr - 12:23


    26 ans et une vie d'une mec de 40 ans, voilà à quoi ressemblait la vie de Drew depuis la mort de son père. En tant que chef d'entreprise il fallait faire attention à toute la journée, il fallait être joignable en pleine nuit pour que les investisseurs ou les fournisseurs étrangers puissent vous appeler. Si le métier de patron se limitait à ça tout irait bien pour le jeune homme, mais quand vous avez votre tête au huitième rang des plus grosses fortunes mondiales, forcement tout change. Vous devenez ce qu'ils appellent vulgairement et généralement un people. Le mot people veut tout et rien dire, un présentateur télévision n'est pas un people, sauf s'il est beau, sa vie intéresse et donc il devient un people. Andrew est riche, beau, à la tête d'une multinationale avec beaucoup d'avenir et d'ambition et il n'a plus une seule famille. Il est donc une personne qui intéresse et donc un people. Donc quand on est people vos moindre faits et gestes sont analysés et dès que vous allez trop loin pour la mentalité américaine, un article sur votre pseudo dérapage. Voilà quelque chose que Drew ne gère pas encore totalement, lui qui durant toute sa jeunesse, voir même son enfance a été un adepte des dérapages, des conneries en soirée. Un ancien Omega quoi, autant dire qu'il n'a et n'aura jamais de limite. En étant le fils de papa c'est facile on intéresse, mais très moyennement, mais en devenant le numéro un c'est totalement autre chose. Ceci explique donc sa présence dans ce bar qu'il ne fréquente jamais et surtout passant une musique qui ne lui plait pas. Le jazz, il n'a jamais aimé ça et son père non plus, son père un brin sectaire et raciste lui disait toujours "Le jazz c'est une musique d'esclaves", sur cette phrase il n'avait pas tort et restait dans les clous de la normalité. Mais en enchaînant "Et nos ancêtres à nous leurs mettaient des coups de fouets", là Drew était un peu plus choqué et déçu de son père. Fin bref, oublions l'un des nombreux mauvais coté de son père pour juste finir par remarquer que Drew n'aime pas le jazz, pas du tout, lui préfère l'électro, la dance, des musiques de jeunes.

    Andrew tranquillement attablé au bar sirotait son whisky, le bar avait beaucoup de choses qui ne lui plaisaient pas. Absence de jolies filles, des mecs qui avaient tous l'âge de son défunt père, pour ne pas dire de son défunt grand-père. Mais on ne pouvait pas cacher le fait que l'alcool y était bien plus bon et de meilleure qualité que celui que l'on pouvait trouver dans les boites de nuits qui ne pensaient qu'à une chose, faire de l'argent. Les jeunes eux ne cherchant pas du bon alcool, mais simplement de l'alcool qui les feraient décoller plus vite. L'autre gros avantages ici c'est qu'il ne connaissait personne, mais que les autres le connaissaient, il y avait énormément de grands patrons qui étaient tous pour la plupart jaloux de lui. Pas de sa réussite car il n'avait pas fait grand-chose, mais simplement du fait qu'il soit si jeune et déjà à la tête d'un empire bien plus grand que le leur. Sirotant son whisky et saluant quelques têtes familières il était dans ses pensées, pensant encore à la nouvelle petite employé qu'il avait engagé. Un canon, une blonde vraiment bien foutue qu'il prendrait bien sûr son bureau, une vue sur New York pendant qu'il joue avec son sexe, mélanger sexe et pouvoir, le tripe de ce jeune homme. C'est la présence d'une personne qui le sorti de ce rêve pas si irréalisable que ça, cette personne n'était autre qu'Andrew, le second Andrew, celui qui avait toujours été l'autre Andrew et qui le restera. Pour ceux qui ne le connaissent pas il s'agit de monsieur Williamson, un homme assez riche, mais surtout le frère de son meilleur ami. Ils se connaissent depuis tout petit et sa haïssent depuis tout petit. Les deux Andrew se rejoignent uniquement sur une chose, l'amour qu'ils ont pour Aiden. Enfin même s'ils ne sont pas les plus grands amis du monde, même s'ils ont été durant des années et des années en conflits et en compétition. Ils se connaissent et ne s'ignorent jamais, bien au contraire. Voilà pourquoi sourire taquin aux lèvres Drew se tourna vers le jeune Williamson " Comment vas le frère raté de la famille Williamson?" lui dit-il en lui tendant la main. Ils avaient toujours été comme ça, chien et chat, mais Drew le savait, si un jour le frère Williamson avait besoin de lui, pour quoi que ce soit, il serait là.

    La soirée allait certainement prendre une autre tournure avec le second Andrew, ils étaient certainement tout deux là pour la même raison. Ici il n'y avait pas de tentation donc forcement pas de problèmes avec les journalistes, enfin ceux qui se font appeler comme tel. Une autre chose, Aiden avait dit que son frère était marié, voilà pourquoi il observa la main du jeune homme qui portait bel et bien une alliance. Un mariage blanc très certainement, chose qui se faisait encore beaucoup dans les grandes familles américaines. Un moyen de garder l'argent et surtout de faire grandir un patrimoine, riant une nouvelle fois il lui lança. " Je n'ai même pas été invité au mariage!". Avant de commander deux whisky, ils allaient au moins trinquer à cette alliance.

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MessageSujet: Re: What the superior man seeks is in himself; what the small man seeks is in others. What the superior man seeks is in himself; what the small man seeks is in others. EmptyMar 21 Avr - 21:39

- Qu’allez-vous faire ?
- Je me disais que j’allais écouter vos théories, les rejeter, puis ne garder que la mienne. Comme d’habitude.

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
    De retour d’un voyage d’affaire à San Francisco, le dernier des Williamson souhaitait s’octroyer un moment de distraction tel qu’il les aimait. Simples mais influents, emplis d’évasion. Appuyé contre la banquette en cuir matelassé de sa limousine, Andrew se laissait bercer par les quelques soubresauts du véhicule. Le regard dirigé vers l’une des nombreuses vitres teintées, le jeune homme se perdait dans le dégradé de couleurs qu’offrait le coucher de soleil New Yorkais. Tantôt bleuté, tantôt orangé, le voile céleste enveloppant la grosse pomme le transportait loin de son quotidien, lui faisant oublier les supplices dont il était victime. Pensif, son pouce fit rouler son alliance contre son annulaire. Les sourcils légèrement froncés, il hésitait à prévenir celle qui lui était promise de son arrivée. Bien que leur union forcée ne l’engage à rien envers elle, excepté à la fidélité, Andrew lui témoignait un respect certain. Sans doute du fait sa vicissitude répétitive avec le sexe opposé. Il indiqua l’adresse du Smoke Jazz club & lounge au chauffeur lorsque cela fut nécessaire, ayant en tête l’ambiance cosy de l’endroit. Plébiscité par nombre d’amateurs de musique, ce petit bar situé sur Broadway s’avérait être le lieu idéalement recherché par le grand brun. On n’y croisait en effet qu’une population agréable et civilisée. Bien qu’il ne soit pas adepte des discussions improvisées, le jeune fortuné se laissait parfois tenter par quelques bavardages en ce lieu. L’âme triste en ce début de soirée, le jeune fiancé tentait en vain de ne pas ressasser ses retrouvailles tumultueuses avec Ariadne. Mais volonté ne rimait pas toujours avec réussite. Ses doigts se refermèrent sur son pouce, y exerçant une pression tangible. Il revoyait ses yeux embués, son visage délicat déformé par la tristesse et la souffrance, sa silhouette chancelante… Il se haïssait presque d’être lui. Un déchirement violent entamait son cœur usé lorsque la limousine s’arrêta au détour d’une rue. La portière s’ouvrit sur Eric et son air continuellement dévoué. Andrew s’extirpa du véhicule, congédiant son conducteur d’un signe de tête. Glissant ses mains dans ses poches, il se dirigea vers le petit établissement à l’intérieur duquel il ne tarda pas à disparaître. Presque déserte, la petite buvette n’accueillait qu’une clientèle exclusivement masculine à l’exception de la cantatrice et d’une serveuse. Haussant involontairement les sourcils, le jeune homme évolua machinalement vers le bar auquel était déjà attablée une connaissance. Dévoré par l’envie de tourner les talons, il pris cependant place à côté de celui qui avait partagé son enfance et que l’on désignait comme l’ami le plus fidèle de son aîné. « Comment va le frère raté de la famille Williamson ? » l’accosta l’autre homme. Un soupir s’échappa d’entre ses lèvres. Pourtant accoutumé aux remarques cinglantes de l’héritier Walton, le grand brun n’avait que faire des querelles enfantines. Chacun des pics qu’il lui lançait le ramenait à l’ensemble des fautes qu’il avait commises et accumulées, dont une que le dernier des Williamson ne pouvait oublier : Kennedy. Il en voudrait indéfiniment à son semblable d’avoir anéanti celle dont il avait toujours été proche et avec qui il avait, autrefois, brisé les règles établies par son paternel. « Et comment va celui qui brise les rêves de ses petites-amies ? » répliqua-t-il d’un ton ferme. Ses mots le heurtèrent à son tour. Lui-même n’avait pas été digne d’une femme, la dissimulant à tous pour mieux l’épargner. Du moins, c’était ce qu’il croyait avant d’être rappelé au devoir par son géniteur comme un vulgaire mouton d’une imbécilité pure. Là encore, il se détestait de n’être pas capable de prendre ses propres décisions, d’assumer ses choix personnels, d’agir selon sa volonté. L’assistant directeur de production déglutit, serrant enfin la main que lui tendait son confrère. Ce contact fut bref mais puissant. Chacun possédait sa dignité, d’une ampleur peut-être trop poussée. « Je n’ai même pas été invité au mariage. » lui fit remarquer le fils Walton. Esquissant un sourire, Andrew laissa le poids de son corps s’appuyer sur son coude. N’ayant aucun contact régulier avec son semblable, il devina que celui-ci tenait cette information, pour le moins erronée, de son aîné. Il hésita un instant, statuant sur la réponse qu’il pourrait lui apporter. Tantôt moqueuse, tantôt glacée, elle serait tout sauf chaleureuse. Le jeune fortuné dépréciait toute atteinte à sa personne, aussi futile soit elle. « Il est préférable d’éviter les troubles fêtes dans ton genre. » Il s’empara du verre de whisky déposé devant eux par la serveuse et l’approcha de ses lèvres. Ce breuvage amer excita ses papilles délicates. Le jeune fiancé n’avait jamais raffolé de cet alcool noble aux traditions ancestrales. Scrutant du regard la mine offensée de l’héritier Walton, il décida de couper court à son plaisir cancanier. Se redressant sur son siège haut, il rétablit la vérité. « Aucune cérémonie n’a encore eue lieu. Ce n’étaient que de simples fiançailles. » Son destin lui semblait toujours lointain hormis lorsque son union future était abordée au détour d’une conversation. Bien que son avenir soit scellé, le dernier des Williamson ne mesurait pas totalement l’ampleur des choix de son géniteur. Il comptait les jours jusqu’à l’événement qui le lierait pour le restant de ses jours à l’époustouflante Vixie Oswald-Macieira. Dans un moment comme celui-ci où le futur époux imaginait sa promise multiplier les essayages dans le but de trouver la robe parfaite, choisir les fleurs ou encore les parfums de la pièce montée, l’esprit d’Andrew vagabondait jusque sur le toit-terrasse d’un building New Yorkais. Deux silhouettes enlacées se distinguaient de l’horizon civilisé, une journée d’été. Blottie dans ses bras, une frêle créature le dévisageait d’un regard empli d’une tendresse infinie. Ses lèvres mordues appelaient les siennes, désireuses de se perdre en un baiser gourmand plein de volupté. Les mains du jeune homme habillaient les hanches de la belle, serrant le fin tissu les recouvrant. Bouillonnant de désir, il peinait à déguiser cette tentation dévorante de la dévêtir entièrement. Elle était bien plus qu’Eve, elle était le fruit défendu. Des bribes de mots brouillèrent ce souvenir, ramenant le grand brun à la réalité. Une réalité qu’il lui plaisait d’oublier. Passant une main dans ses cheveux, il se concentra de nouveau, à son plus grand désespoir sur l’héritier Walton, fronçant quelque peu les sourcils.

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MessageSujet: Re: What the superior man seeks is in himself; what the small man seeks is in others. What the superior man seeks is in himself; what the small man seeks is in others. EmptyMer 22 Avr - 12:39


    Le destin croisé des Williamson et de Drew était assez intéressant à regarder. Il avait un peu l'impression d'être le cousin de la famille, celui qu'on apprécie, mais qu'on ne voit pas tout le temps. Il connaissait tous les membres de cette famille, leur mère qui malheureusement avait disparue, leur père, les deux frères qu'il appréciait à un niveau différent, puis leur sœur, qu'il avait toujours apprécié en s'en méfiant toujours un peu. On ne touche pas la sœur d'un pote, surtout quand ce pote est celui que vous appréciez le plus au monde. Avec le plus jeune des frères c'était différent, ils avaient à peu prêt le même âge et avaient toujours été en concurrence, mais une concurrence tellement malsaine qu'elle en était vicieuse. Andrew voyait dans le plus jeune des Williamson un vrai concurrent, ok il était très pote avec Aiden, mais il n'était pas fait pour le monde des affaires, encore moins que lui. Ce n'était pas un défaut pour autant, juste un constat, dans la famille s'il y en avait bien un seul qui pourrait et surtout qui devait reprendre l'entreprise familiale c'était le jeune Andrew, tête sur les épaules, bon allure, beau gosse, bonne présentation. Oui monsieur Walton n'avait jamais arrêté de dire à Andrew qu'il aurait préféré avoir un fils comme le jeune Williamson. Ceci explique donc cela, cette rivalité, le fait que Drew l'ait très rapidement pris en grippe et que depuis ils ne cessent de s'envoyer des pics tous les deux. Mettons les choses au clair, quand le Walton n'aime pas, il ne discute pas avec une personne, il aime le jeune Williamson, il le connait depuis toujours, il a toujours fait partie de sa vie. C'est encore une fois une rivalité familiale, une rivalité qu'il y aurait pu avoir entre Aiden et Andrew s'ils avaient tous les deux convoités le trône de leur père. Les entreprises Williamson et Walmart n'avaient rien à voir, donc il n'y aurait jamais de concurrence entre eux, mais les deux Andrew étaient des patrons en puissance, des coqs dans une basse cours et ça, c'était les problèmes assurés. Alors voir Andrew Walton dans ce genre de bar, jouant avec son doigt sur le contour de son verre n'est déjà pas un spectacle habituel, mais le voir en compagnie de Andrew Williamson c'est encore plus rare. Les deux hommes sont souvent comme chien et chat, opposé, mais tellement identique, même prénom, même sens des affaires et surtout même destin, beaucoup trop de choses qui font d'eux des concurrent potentiel.
    Alors oui, le pic lancé par le jeune PDG n'était peut être pas fairplay, pour ne pas dire totalement enfantin, mais il cachait quelque chose, il était content de le voir. Cela faisait un bail qu'il ne l'avait pas croisé, les discussions avec lui étaient toujours agitées certes, mais elles étaient toujours intéressantes. Le jeune Williamson avait de la discussion, du répondant et ça, Drew l'adorait. Bon même si la phrase qu'il venait de lui lancer à la gueule faisait mal, très mal. Surtout maintenant qu'Andrew avait recroisé la jeune femme et tous les souvenirs lui étaient revenus en pleine figure. Alors que Williamson, qui la connaissait depuis toujours lui envoie ça en pleine gueule était troublant presque surprenant de la part d'un homme comme lui, Andrew lui lança rapidement " Que celui qui n'a jamais merdé avec les femmes, paie la première tournée..." Il connaissait un minimum le passé d'Andrew et se doutait bien qu'à un moment ou à un autre lui aussi avait merdé avec une fille, peut être pas la meilleure amie du Walton, mais tout de même. Quand je vous dis qu'ils sont identiques je ne suis pas loin de la vérité. Ils sont tout deux à la botte de leur père, monsieur Walon est mort, mais avant ça dès qu'il demandait quelque chose Drew le faisait. Il pouvait dire tout ce qu'il voulait, qu'il n'était pas intéressé par la reprise de l'entreprise, que lui voulait simplement s'amuser. Quand quelque chose était exigé par papa Walon, le fils exécuté quitte à laisser ses amis de côté, Eileen en était la preuve vivante. Leurs pères et cet amour du mariage arrangé, voir Andrew bague au doigt n'était presque pas surprenant, les deux pères avaient cette manie de vouloir gérer la vie de leurs fils. Décidé de leur futur, de leur métier, de leurs études et de leurs futures femmes. De ce point de vue là Drew se pensait tranquille, son père ayant quitté cette terre avant de lui avoir imposé une demoiselle, enfin c'est ce qu'il pensait, il allait très vite déchanté. " Des paroles toujours des paroles, je suis certains que ton mariage en bois j'y serais invité..." marquant une pause, en réfléchissant à ce qu'il venait de dire. Il était tellement certain que ce mariage était un mariage arrangé qu'il n'avait pas eu la délicatesse de tâter le terrain. Il n'avait pas vu le Williamson avec une fille assez longtemps pour qu'il lui passe la bague au doigt, voilà pourquoi il enchaina "Enfin je suppose que sur ce coup-là tu n'as décidé de rien. Je connais ton père, j'avais le même à la maison. Je ne comprends pas pourquoi, à quoi peu bien leur servir ses mariages arrangés, ta lumière pourrait peut-être m'éclairer." Les préliminaires ayant pris fins, ils pouvaient maintenant avoir une discussion d'adulte, sans se lancer sans cesse des pics. Ils avaient encore beaucoup à apprendre l'un de l'autre et peut-être même allaient-ils un jour bosser main dans la main pour réussir un projet ou quelque chose dans le genre. Drew préférant largement travailler avec lui plutôt qu'avec un autre patron requin qui traine autour de son entreprise et qu'il ne connait ni d'Eve ni d'Adam. Puis bon en apprendre plus sur les mariages arrangés allait lui servir rapidement. Andrew ignorant encore que son père lui a laissé un petit cadeau, le fait de l'avoir marié avec la sœur Williamson, il est en quelque sorte, le beau-frère d'Andrew!
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MessageSujet: Re: What the superior man seeks is in himself; what the small man seeks is in others. What the superior man seeks is in himself; what the small man seeks is in others. EmptyLun 24 Aoû - 18:08

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