the great escape
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it's a new day, it's a new life for me + arielle & isay

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MessageSujet: it's a new day, it's a new life for me + arielle & isay it's a new day, it's a new life for me + arielle & isay EmptyJeu 18 Sep - 21:32

I know you, I walked with you once upon a dream
I know you, that look in your eyes is so familiar a gleam
And I know it's true that visions are seldom all they seem

Appartement de Rayan Clives-Harabo et Arielle Braster-Rivers, peu avant trois heures du matin. Life sucks. C'était ce que Arielle pensait alors qu'elle voyait l'homme qu'elle convoitait attiré la blonde qui lui servait de doyenne dans sa chambre à l'appartement alors que la fête touchait  à sa fin. Les pilules ne lui apportaient rien si ce n'est un calme beaucoup trop envahissant. Elle voyait les jeunes étudiants qui avaient remplis son appartement devenir des points flous et des rires criards lui perçaient les tympans. La jeune étudiante de psychologie devenait amorphe. Elle se demandait bien ce qui lui était passé par la tête. Une énième et sans doute pas dernière coupe de champagne à la main, elle dansait, les yeux fermés de peur de tombé à cause de tout le flou qui l'entourait, la tête libre de ses pensées sombres. Elle se laissait aller, complètement. Trop sans doute. Elle n'eut pas le temps de voir le sol arrivait qu'il vint à sa rencontre beaucoup plus vite qu'elle ne l'aurait pensé. Elle ne comprenait rien, elle ne vit rien si ce n'est les yeux d'Isay qui lui donnait envie d'aller se jeter du haut de son balcon. Isay la regarda avec ce regard qu'elle haïssait, celui qui disait qu'elle avait tout foiré et en beauté, et que pour retrouver un quotidien normal, elle allait devoir doublé et redoublé d'efforts jusqu'à la fin de ses jours. Elle sombra alors dans une inconscience reposante et espéra y rester durant de longs moments. Néanmoins, elle entendait les bruits autours d'elle, les cris des étudiants, les attentes d'autres. Arielle excellait dans l'art de se faire remarquer. Au bal, elle avait littéralement arracher des bras de vipères de Valentina le fameux Rayan, son colocataire et sans doute celui avec qui elle aura beaucoup de mal à se réconcilier avec. Elle voyait Pablo qu'elle avait courtisé la regarder avec des yeux effrayés juste avant de sombrer. Le bruit était reposant, calme. Il lui permettait de se rendre compte de la situation et en même temps, elle s'en fichait. Elle ne voulait pas remonter à la surface et leur faire face. Elle ferma tout.

Vingt minutes plus tard, quelque part dans les rues de San Francisco. Elle ouvrit les yeux d'un coup, elle voyait les lumières défilées à travers les fenêtres de l'ambulance. Un tube dans sa gorge et les voix des ambulanciers lui demandant de rester calme. Isay était là, juste à côté. Elle le voyait avec ces yeux paraissant voyagé entre l'inquiétude et l'envie de meurtre immédiat. Elle se demandait réellement ce qu'il faisait là, pourquoi  il était là alors qu'elle lui avait gâché sa soirée depuis le début. Comment faire en sorte de gâcher son premier bal de fin d'année en Amérique par Arielle Braster-Rivers. Elle était douée dans le sabotage de sa vie et de son bonheur et celui des autres l'australienne. Elle paniquait, elle voulait respirer normalement mais le tube dans sa gorge augmentait encore plus sa panique. Son estomac ne supportait plus rien, et grondait de faim. Elle voulait sortir, elle voulait s'évader encore et encore. Donnez lui une pilule et je me calmerais qu'elle se disait. Mais le monde ne marche pas comme ça petite sirène. Une douleur aiguë et soudain dans son bras la surpris et la fit sombrer encore une fois dans une inconscience réparatrice.

Une heure plus tard, chambre 406, hôpital de San Francisco. Les yeux fermés de la jeune fille n'étaient qu'un leur. Elle entendait tout, prenait conscience de tout. Elle se remémorait la soirée passée par des flashs violents et horriblement douloureux. Son estomac était vide, elle le sentait. Elle papillonna des paupières, essayant malgré elle de s'habituer à la lumière cuisante des lampes à néons qui illuminait sa chambre. La bouche pâteuse, les paupières collantes, la peau luisante de sueur, le front chaud, elle n'était définitivement pas en bon état. Un verre d'eau apparut dans son champ de vision et elle s'en empara difficilement avant de l'engloutir d'un trait. Sa gorge était serrée comme si elle allait pleurer, et elle n'en était pas loin. Arielle avait commis une belle erreur et elle en était consciente. Les larmes coulaient sur ses joues sans qu'elle ne s'en rende compte, brisant l’immuabilité de la chambre unique à l'hôpital. Elle entendit alors un souffle qu'elle n'avait pas encore remarqué jusque là. Tournant sa tête vers le coin sombre de la chambre, elle faillit s'étrangler de surprise. Isay. Il était là, affalé sur un fauteuil, sa beauté russe brisant la froideur monotone de la chambre. Elle n'en croyait pas ses yeux, et pourtant, il était là. Isay ? Elle essaya de se lever mais elle fut arrêter par des tuyaux sortant de ses veines de ses bras fins et pâles comme un cadavre. Le bleu flagrant de son sang lui remit les idées en place. Qu'est-ce qui s'est passé ? Isay, je t'en pris, dis moi tout. Son sang ne fit qu'un tour en voyant les yeux noirs du jeune homme. Elle se doutait bien qu'elle avait fauté, mais à quel point, à quel point avait-elle commis une erreur, pourrait-elle la réparer ? Elle se demandait tout et rien à la fois. Un flash lui vrilla le cerveau, elle voyait Valentina en train d'emmener Rayan. Elle les voyait très clairement, beaucoup trop clairement. Putain de merde, je sens que je me suis mis dans une belle merde. Elle se laissa tomber sur son oreiller moelleux. Les draps rêches de l'hôpital lui irritait la peau. Elle n'était pas le prototype même de la princesse superficielle comme la doyenne, mais elle était tout de même une mannequin qui avait besoin d'avoir une peau magnifiquement bien soignée et belle en tout point de vue, et tout ça malgré les nombreuses chûtes qui parsemaient sa vie au quotidien. Ah Arielle, tu t'es mis dans une magnifique situation de merdier total. Et tu n'es pas prête d'en sortir à la vue d'Isay. Le même Isay qui proclamait à qui voulait bien l'entendre qu'il n'en avait rien à faire de personnes et ne ferait jamais rien pour personne. Pourtant, il était là, à son chevet. Seul et irrésistiblement beau et effrayant. L'australienne craignait tout à son sujet et voulait tout aussi. Elle avait parfaitement compris qu'il ne voulait rien avoir à faire avec elle après leur petite aventure contre les lois des mineurs. Mais elle s'en fichait, elle était tout de même contente que son cavalier au bal ait pris la peine de l'accompagner à l'hôpital, malgré tout.
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Cameron Eynsford
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MessageSujet: Re: it's a new day, it's a new life for me + arielle & isay it's a new day, it's a new life for me + arielle & isay EmptyJeu 18 Sep - 21:51

'Tu agis comme si tout allait bien, donc personne ne s’inquiète pour toi, mais tu as besoin d’aide.' vampire diaries

Isay, occupé à discuter avec Aiden, garde tout de même un œil sur Arielle. Cette dernière l'a agacé au plus haut point ce soir, et son attitude ne fait qu'augmenter son irritation et pourtant, il ne peut s'empêcher de penser que quelque chose ne va pas. Il le connait ce regard vide, lubrique, brillant. Il en côtoyé des drogués en tout genre, alors c'est pas au Lindgren qu'on peut le faire à l'envers. Il ne la quitte pas des yeux, parce qu'il sait que quelque chose va arriver. Elle se trémousse au milieu des gens depuis des heures, se faisant remarquer plus que d'ordinaire et il l'a intercepté, ce regard apeuré, près à vaciller du mauvais côté. Arielle commence à tituber un peu trop. Isay pose son verre, n'écoutant plus les dires de son ami. Il ne quitte pas la sirène du regard, parce que si personne n'a remarqué son manège, lui il a vu le corps de la demoiselle commencer à s'affaisser, puis à s'écrouler au sol. Le russo-suédois s'élance vers le corps d'Arielle, jonchant au sol. « Poussez-vous, POUSSEZ-VOUS BORDEL ! » s'écrie-t-il, lorsque les étudiants présents à la soirée ne trouvent rien d'autre que de s'attrouper autour de la jeune femme, totalement inconsciente. « Il lui faut de l'air et appelez les pompiers TOUT DE SUITE ! ». Isay ne perd pas de temps et positionne le corps de la jeune femme comme il a appris lors de ses cours de secourisme, de façon à ce qu'elle ne s'étoufffe pas ou n'avale pas sa langue. « Arielle, reste avec moi, allez réveille-toi, tiens bon, les pompiers vont arriver ». Il tente de la réveiller, lui offrant des petites gifles sur le visage. Il est furieux Isay, qu'elle se mette dans ses états-là. Et puis, il faut bien avouer qu'il a un peu peur aussi. Il n'a pas très envie qu'il lui arrive malheur quand même. Mais son sang froid légendaire l'empêche de perdre pied et lui permet de prendre les choses en mains lorsque les pompiers arrivent au domicile d'Arielle et Rayan. Il leur décrit la situation et lorsqu'un pompier lui demande si quelqu'un souhaite les accompagner à l'hôpital, Isay se retourner vers Rayan, trop occupé à draguer Valentina. Il soupire de lassitude face à tant d'immaturité et se dévoue pour accompagner Arielle. Il ne l'aurait jamais laissé seule dans une pareille situation. Dans l'ambulance les conduisant à l'hôpital, le jeune homme tente tant bien que mal de répondre aux questions des pompiers. Son irritation atteint l'apogée lorsque le pompier lui confirme ses soupçons, Arielle est en pleine overdose. Des claques qu'il aimerait bien lui foutre, là, tout de suite, lorsque la jeune femme revient à la conscience le temps de quelques instants. Mais la jugeant trop agitée, le pompier lui envoie une dose de morphine et au dodo la sirène. Isay, ça l'énerve les gens qui font ça. Il ne comprend pas ce besoin de se foutre en l'air de cette manière là. La vie est bien trop importante pour la mettre en péril ainsi.

Cela fait maintenant quelques heures qu'Isay est à l'hôpital. Il est tard, ou tôt, cela dépend comment on voit les choses. Le jeune homme a les traits tirés, fatigués. Après avoir rempli tout un tas de paperasse et vu les médecins s'occupant d'Arielle, le russo-suédois s'est installé aux côtés de la jeune femme, attendant qu'elle se réveille. C'est la voix de la jeune femme qui le tire de sa léthargie. « Bouge pas, tu vas te faire mal » dit-il, se levant face à la jeune femme. Il tente de rester calme, histoire de lui laisser quelques instants de répit avant d'enclencher la troisième guerre mondiale. Isay est harassé de fatigue, ayant du aussi gérer les appels téléphoniques fusant de toutes parts. Il a même coupé son cellulaire pour avoir enfin la paix. Mais un Lindgren fatigué, c'est un Lindgren grognon, et c'est vraiment pas beau à voir ni à entendre. « Qu'est-ce qui s'est passé ? Tu me demandes vraiment ce qu'il s'est passé Arielle ? C'est à moi de te poser cette question ! » peste-t-il, passant sa main sur son visage. Son regard se lève vers Arielle, avant qu'il ne se dirige vers la fenêtre de la chambre. Limite il n'en croit pas ses oreilles lorsqu'elle lui pose pareille ineptie. « Je te jure Arielle que j'ai vraiment envie de te foutre des claques ! » crache-t-il, sur un ton amer. Isay ne regarde même pas la jeune femme, il fait les cent pas devant elle, furieux. Il laisse quelques secondes s’égrainer avant d'ajouter. « Une overdose. Une OVERDOSE ! Tu peux m'expliquer pourquoi tu t'es mise à prendre toutes ses merdes ? Ca t'avance à quoi à part te retrouver ici hein ??!! DIS MOI ! » hurle-t-il, se tournant face à la jeune femme. A bout de nerfs, il soupire, tentant de reprendre ses esprits. Si il a eu peur de perdre la jeune femme ? Oui. Elle est trop jeune et trop belle pour mourir d'une overdose. On ne met pas sa vie en danger lorsque l'on se trouve aux prémices de sa vie. Même pour une peine de cœur.

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MessageSujet: Re: it's a new day, it's a new life for me + arielle & isay it's a new day, it's a new life for me + arielle & isay EmptyMar 30 Sep - 15:10

Grognon. Ce devait être le surnom de Isay dans sa jeunesse. Jamais un sourire, jamais une blague vraiment marrante, pas une pensée positive en situation de crise, ni une parole gentille quand le moment arrivait. Arielle le savait pertinemment et en ce jour où elle se retrouvait à l'hôpital pour sa première, et définitivement dernière, overdose de sa vie, elle pensait vraiment que grognon irait comme un gant au jeune étudiant. Isay était pourtant là, au chevet de son lit, attentif à ce qu'elle soit bel et bien en vie dans sa robe haute couture que les médecins n'avaient pas encore pris le soin de lui retirer. L'aurait-il fait qu'elle se serait sans doute réveiller à ce moment là, ne voulant pas dévoiler tout son corps au monde plus qu'il ne l'était déjà. Elle voyait le plafond bleu hôpital juste au dessus d'elle, un plafond bien trop triste à son avis, trop peu gaie et propice à un rétablissement du patient. Heureusement pour elle, la dose de médicament qu'on lui avait injecté l'empêchait d'être la râleuse professionnel doublé de la pire chieuse de l'univers qu'elle avait l'habitude d'être. Pour le moment, elle était faible, bien trop faible pour ne faire ne serait-ce qu'un fuck magistral au monde entier. Du moins, quand son "ami" ce serait calmé. Parce que Isay fatigué, c'est le Isay grognon pas content du tout du tout du tout. Roooour, j'ai déconné là. Non, tu penses l'australienne. Une overdose, voilà la réalité de son triste présent aujourd'hui, voilà la galère dans laquelle elle s'était mis à l'aube de son été magique qu'elle voulait passer. Mais non, il a fallu qu'elle voit l'homme qu'elle aimait partir avec une autre femme pour se droguer à n'en plus finir, pour finir un mois de traitement en quelques heures et vider deux bouteilles de champagne à elle toute seule. Était-elle aussi désespéré pour être si faible devant un obstacle ? Certes, sa concurrente était la doyenne des betas/deltas, la reine incontesté des plus belles filles de l'université, mais elle était Arielle. Arielle. Celle qui faisait rire tout le monde, celle qui assumait complètement son hyperactivité et la faisait passer pour une simple maladie et non pas un handicap de tous les jours. Et celle qui répondait à un Isay furax alors qu'elle savait très bien qu'il ne fallait pas mais qui le faisait quand même. Ça va, ça va, pas la peine de me faire exploser les tympans aussi en plus de ça. Elle s'installa le plus confortablement possible qu'elle pouvait, se calant bien dans ses coussins et croisant ses jambes. Elle ne pouvait pas faire de grands gestes, mais au moins, être dans un confort minimum lui enlevait l'impression d'être une infirme qu'on venait d'opérer. Et puis, on ne tape pas une femme mon cher. Tu devrais le savoir. Arielle provoquait, elle n'était jamais la même deux jours de suite et ses sautes d'humeurs étaient accrues par sa fatigue et son envie de tout casser. Qu'elle idiote qu'elle était aussi. Prendre tout son flacon de médicaments en une seule soirée et s'engloutir littéralement des litres de champagnes. Elle voyait tous les jours l'états des omegas qui sortait d'une soirée trop arrosé et arrivaient en cours avec la tête semblable à une balle de basket et les yeux rouges, injectés de sang. T'as un miroir ?! S'il te plait, dis moi qu'il y a un foutu miroir dans cette chambre pourrie. Se moindre collante de sueur quand elle sortait du sport, elle s'en fichait. Mais son visage, son si beau visage ne devait pas être touché. Il valait des millions de dollars avec la campagne de pub qui l'attendait à la fin de l'été et elle avait besoin de cet argent afin de construire une école dans un village d'Afrique centrale qu'elle affectionnait particulièrement. Isay pouvait faire le choquer, il pouvait paraître offusqué, elle voulait son miroir. Un miroir dans lequel elle pourrait voir la honte qui la défigurait. Elle avait honte de son comportement. Je suis désolé, Isay. Tu pouvais l'être ma jolie. Abandonné le russe alors qu'il n'avait vraiment rien à faire à ce foutu bal et ensuite faire une overdose et qu'en tant que cavalier, il ait dut appeler les pompiers et t'escorter jusqu'à l'hosto, tu pouvais être désolé. D'ailleurs ... Qu'est-ce que tu fais là d'ailleurs ? T'as pas une bombe à aller sauter quelque part par hasard ? Parce qu'il ne fallait pas se voiler la face, Isay n'était du genre à rester aux côtés d'une personne dont il n'avait strictement rien à faire du tout. Il avait été clair que leur aventure n'avait été qu'une simple et belle aventure, rien d'autre. Pourtant, le voilà debout devant elle, en train de la sermonner parce qu'elle s'était rendu malade à en mourir. Littéralement. Elle n'en prenait conscience que maintenant. Sa vie n'avait tenu à un fil durant un court instant, un instant qu'elle avait désormais oublié mais que son subconscient n'avait pas effacé la trace. Elle serait à jamais marquer par cet épisode honteux et dégradant. Elle se verrait durant un long moment comme la fille idiote qui est tombée amoureuse de Rayan Clives-Harabo et a fait une overdose en le voyant partir avec Valentina.
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MessageSujet: Re: it's a new day, it's a new life for me + arielle & isay it's a new day, it's a new life for me + arielle & isay EmptyLun 22 Déc - 20:12

:out:
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