the great escape
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
ETB Pokémon Fable Nébuleuse : où ...
Voir le deal

Partagez

À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Invité
Invité
avatar

À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. Empty
MessageSujet: À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. EmptyMar 29 Juil - 22:17

«À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. »
Charlotte & Astor



Après un mois de Juillet mouvementé en évenement en tout genre, je voulais du répit et pas meilleur moyen que de prendre deux semaines avec ma meilleure amie. La vraie, l'unique, la seule. J'avais beaucoup d'amis mais Astorette était ma préférée, ma préférence à moi. Nous avions décidé de partir ensemble à Orlando en amoureuse avec l'université
, mais de nôtre côté étant à la limite de l'hyperactivité quand il s'agissait des parcs d'attractions. A cette période de ma vie j'aurai été capable de commettre un meurtre envers Alec de Marzio. Un crime horrible, si je pouvais le démembrer morceau par morceau je le ferrais. Il m'avait brisé, cet homme s'était servi de moi tout bonnement pour atteindre Lysa ? Qui sait. M'avouer des sentiments qui étaient tous sauf sincères, pour mieux me manipuler pour enfin se taper Arielle ? Quoi d'autres encore allait-il faire pour me montrer à quel point j'étais misérable. Il faisait trente cinq degrés à l'extérieur, pas un seul nuage faisait son apparition dans le ciel azur. J'avais enfilé une combinaison aux imprimés aztèques. Laissant mes cheveux relevés pour ne pas transpirer, nous nous levions à sept heure du matin. Car les parcs durant l'été ouvrent à huit du matin sans compter la queue pour la nouvelle attraction de Harry Potter " The escape from Gringgots " qui se trouvait à la Diagon Alley. Pour profiter du séjour l'université nous avait fournit des pass "express". Pour éviter les queues interminables, avant d'entrer à Universal, nous passions par le starbucks pour prendre un grand café latte à emporter. J'étais avec ma magnificence, sur les allées pavés. Nous marchions presque en courant mais pas trop pour essouffler ma belle. Depuis qu'elle m'avait annoncé sa maladie je faisais plus attention à elle, mais on s'était promis comme une Bucket List, on allait réaliser tout ce qu'elle voulait car je pourrais la perdre un jour ou l'autre et je n'étais pas prête à ça. Et dans notre liste les marathons des parcs étaient une de nos priorités. La chaleur étouffante nous couper presque nos respirations. Une fois dans la diagon alley le monde de Harry Potter était fabuleux, il y avait toutes les boutiques pour acheter l'équipement de quiditch. Il y avait aussi en face de nombreux lieux un capteur infrarouge et quand on achetait une baguette magique et qu'on la bougeait dans un sens ou dans un autre  et plusieurs éléments s'animaient. Astor avait des yeux comme des soucoupes, elle était merveilleuse. Mon amour était aux anges et du coup je l'étais aussi. La main dans la main nous marchions en direction de la Gringgots Bank qui était encerclé d'un dragon qui crachait toutes les quinze minutes du feu. Nous posions nos affaires aux lockers en y laissant notre empreinte. Une fois devant je lui souriais en laissant poser mes lèvres sur sa joue douce et chaude. Je laissais ma main agripper par la sienne. Nous montrons nos pass et nous passions la queue de deux cent soixante dix minutes. Je riais avec ma belle avant de lui dire avec gentillesse :

On a vraiment de la chance de passer toute cette queue je n'aurais pas pu la faire


Dans un sourire, les yeux brillants face à tant de beauté dans les décors. Posées sur la rambarde nous papotions de tout et de rien. Puis je lui demandais car je n'avais pas eu de nouvelle d'elle depuis le début de l'été car nos chemins s'étaient séparés. Elle savait tout de moi, mon overdose, mes conquêtes, mes failles et mes faiblesses.

Alors ma chérie, ce début d'été ? je ne t'ai pas trop manqué j'espère !

Lui avais-je dis en lui donnant un coup d'épaule gentil. Ma main tripotais quelques mèches de cheveux qui me glissais sur mes épaules.


Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. Empty
MessageSujet: Re: À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. EmptyVen 1 Aoû - 1:53

Mon début d’été avait été tranquille mais haut en surprises en même temps : je m’étais mise en couple avec mon colocataire et j’avais fait la rencontre d’une personne que je considérais maintenant, trois mois plus tard, comme ma meilleure amie : Charlotte. Au mois de juillet, j’avais planifié mon premier voyage à vie et cela, avec Pacey. Nous nous étions donc rendus au Brésil où j’avais retrouvé Elzbieta pour une journée entière entre filles pendant que mon copain faisait des emplettes. Le reste du voyage avait été entre amoureux. Maintenant revenue à San Francisco, j’avais eu une sorte de coup de blues, réalisant qu’il ne me restait que le mois d’août avant de retourner en classe. Ne voulant évidemment pas gaspiller ce temps à ne rien faire ou à travailler, j’avais décidé de prendre mes dernières économies et de partir avec Charlotte faire le tour des parcs d’attractions à Orlando, en Floride. J’étais déjà allée dans cet état, mais jamais à Walt Disney. En plus, en compagnie de Charlie, je savais que j’allais oublier tous mes soucis, que ce soit ma maladie ou ma vie sexuelle plutôt déficiente avec Pacey. La brunette allait me rappeler à quel point la vie est géniale et je savais aussi que je devais en profiter au maximum avant qu’il ne soit trop tard. Charlotte était d’ailleurs elle aussi au courant, maintenant, de la fragilité de ma vie. Après quelques sorties avec elle au début de l’été et voyant qu’une belle amitié naissait, je m’étais sentie comme un imposteur de ne rien lui dire. Alors je m’étais lancée. À mon plus grand bonheur, Charlotte était restée à mes côtés, me promettant de me soutenir dans ce défi personnel qui était pour moi une continuelle lutte. Sans plus aucun secret l’une pour l’autre, nous étions prête pour une amitié de longue date. Et rien de mieux pour souligner cette amitié que d’aller faire une virée dans les montagnes russes !

À sept heures du matin je sortais de la douche, une serviette enroulée autour de mes cheveux et l’autre autour de mon corps. Charlie était elle aussi dans la salle de bain, mais en train de se maquiller devant le miroir. Plus aucune gêne entre nous ! Une fois prêtes, nous nous étions tout de suite rendues à la course jusqu’à la Diagon Alley, qui renfermait tous les secrets de Harry Potter. Étant une fan finie de cette série de livres et de films, j’étais aux anges. Après à peine deux magasins, j’avais déjà acheté une baguette magique, un choixpeau magique, ainsi que des bonbons comme on les voyait dans les films. J’allais devoir travailler dur durant l’année scolaire pour rembourser mes dépenses de l’été ! Cela faisait bien une vingtaine de minutes que je jouais avec ma baguette magique devant les infrarouges quand Charlotte me rappela que nous allions devoir aller porter nos sacs dans les casiers si nous voulions pouvoir débuter la journée. Je rigolai et la suivis, après avoir fait virevolter un dernier objet virtuel.

Dans la file express de notre première destination de la journée, Charlotte souligna notre chance d’avoir les passeports VIP. « Carrément, on n’aurait même pas le temps d’en faire plus que deux à cette allure … ! » Heureusement, avec ces passes, nous allions pouvoir en faire des dizaines et cela en une seule journée ! La brunette me demanda finalement comment se déroulait mon été jusqu’à présent. « Trop manquer n’est même pas assez fort pour décrire à quel point je me suis ennuyée de toi ! » Je la serrai dans mes bras, parce que même si nous étions ensemble depuis une journée complète avec le transport et la nuit à l’hôtel, nous n’avions pas pris le temps de réellement nous retrouver. « C’est un super été, vraiment, j’ai jamais fait autant de trucs dans ma vie en fait ! Le Brésil avec Pacey c’était … wow ! Indescriptible … C’était la première fois que je sortais des États-Unis alors c’était magique. J’ai adoré, ça m’a donné la piqûre, maintenant j’ai envie de faire le tour du monde ! » Mes yeux brillaient encore. J’avais tout aimé : l’aéroport, l’avion, les auberges, les visites, la nature, la foule, tout ! « Et toi alors ?? » Évidemment que je m’intéressait aussi à l’été de ma meilleure amie !
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. Empty
MessageSujet: Re: À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. EmptyLun 11 Aoû - 12:39

«À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. »
Charlotte & Astor



Orlando, c'est la ville des enfants au fond, des montagnes russes, des yeux pétillants, des sacs souvenirs, de l'émotion et des palpitations dans le cœur. Voilà pourquoi j'avais choisi cette destination pour nous deux. Au début je ne savais pas si elle allait accepté car après tout elle aurait pu être réticente. Mais j'avais ce besoin de sceller cette amitié, et quoi de mieux que de passer ces quelques jours ensemble. Nous nous achetions nos babioles comme des gamines qui découvrait de la magie. Nous enfermions finalement nos sacs, pour nous diriger vers l'attraction en question. Après nos pass montés nous avancions doucement dans la file malgré tout. Je la taquinais pour savoir si je lui avais manqué, elle m'avait manqué c'était indéniable, cet été j'avais besoin d'elle avec tous ces événements. Ma période Alec était douloureuse, Astor savait que je papillonnais d'hommes en hommes et même de femmes en femmes mais elle savait aussi qu'à chaque fois je donnais de ma personne au fond je m'attachais même si je disais le contraire. Alec avait su capter mon attention, et pas qu'un peu. Astor me retira de mes pensées en me prenant dans ses bras, si j'étais un chat j'aurais ronronné. Je glissais mes mains sur son dos, pour la caresser un peu dans un sourire. Je me reculais après une bonne minute de câlin :

Toi aussi, ma petite blonde je suis contente de te retrouver !

C'était partit la belle Astor me racontait cet été avec son Pacey, pas que je ne l'aimais pas mais je le trouvais trop mou. Pas assez actif pour ma belle, mais je n'en mêlerai jamais ce n'était pas mon cœur mais le sien. Puis quand je voyais ses grands yeux marrons tout brillants quand elle me parlait de lui. Quand elle me parlait de son voyage au brésil j'avais l'impression de le vivre avec elle. Je lui disais alors presque autant excitée :

Wahou, le brésil ! Tu m'étonnes, c'était la période du carnaval ou pas ??

Puis elle me racontait ces récits, j'adorais sa façon de parler, sa façon de ressentir les choses, sa façon d'expliquer. Enfaite j'aimais vraiment tout chez elle. C'est fou comment une personne peut vous faire ressentir autant de chose ? Je lui souriais puis quand elle me demanda mon été. Un petit raclement de gorge se faisait.. devais-je attendre pour lui parler de tout ? ou tout balancer..

J'ai appris certaines choses au Festival qui m'ont assez énervée on va dire puis quand je suis partie en Europe avec Arielle c'était génial, mais voilà elle aussi m'a appris des choses du coup je ne sais pas trop quoi faire..puis je suis en couple.

J'avais lâché ça comme une bombe, je ravalais ma salive. Astor me regardait avec son regard d'enquêtrice prête à me poser milles et une questions.


Elle s'appelle Aengus, on était tellement proches que ça à finit autre chose qu'en amitié. Tu la verrais elle est exceptionnelle.


Puis je me taisais, pour continuer mes paroles..


Tu le sais que je navigue, un vrai cœur d'artichaut mais voilà au début de cet été avant de partir au festival j'avais passé la nuit avec Alec, c'était très étrange enfin j'avais l'impression que c'était plus que ça.. puis j'ai appris qu'il avait harcelé Lysa limite sur le point de la violenter, et il s'est fait Arielle. Enfin bref, ce soir là il me déclarait un peu ce qu'il ressentait.


Je me taisais car cette fois-ci j'allais craqué si je continuais à parler.

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. Empty
MessageSujet: Re: À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. EmptySam 16 Aoû - 0:01

Je savais que ce séjour à Orlando allait être dénué de tout souci et de toute responsabilité. Avec Charlotte, c'était toujours si simple. Et en plus si c'était à Walt Disney, royaume de l'amusement, cela ne faisait pas de doute que nous allions tout simplement rire, rêver et divaguer pendant ces quelques jours ! J'étais ravie parce que mon été n'avait pas été aussi ensoleillé que prévu. Les problèmes sexuels avec Pacey, ma maladie qui évidemment suivait toujours son compte à rebours, le stress lié à la rentrée universitaire ... j'avais besoin de ce moment de répit avant de retrouver ma routine mortelle ! Et même si je n'avais pas vu Charlotte aussi souvent que je ne l'aurais voulu, je savais qu'elle avait eu son lot d'histoires moches et tristes durant l'été aussi. J'imaginais bien que nous allions en discuter durant les courtes files d'attente ou lors de nos nuits à l'hôtel, mais je savais aussi que cela n'allait pas miner notre moral. Ensemble, nous avions ce don de nous rendre mutuellement heureuse. Et même si ce n'était que pour l'espace de quelques jours, cela nous ferait un grand bien à toutes les deux.

« Je suis pas petite !! » Lui lançais-je après notre étreinte qui avait duré dix mille ans. Il était vrai que Charlotte était plus grande et plus svelte que moi, mais j'étais tout de même moi aussi une assez grande femme - mais pas assez pour être mannequin. Nous parlâmes finalement de nos étés respectifs, moi d'abord avec le Brésil, un incontournable quand même, malgré les moments plus tendus avec Pacey. « Oui, c'était pendant le carnaval !! En fait une de mes amies, Elzbieta, y allait aussi et on s'est données rendez-vous pendant une journée pour aller au carnaval ensemble ! Pendant ce temps-là Pacey a fait ses trucs de son côté, des musées je crois ... » Dis-je avec un dégoût moqueur. J'aimais bien les musées, mais j'étais davantage du type activités, paysages et plein air en voyage. J'avais découvert cela au Brésil, justement, puisqu'il s'agissait de mon premier voyage.

Ce fut finalement au tour de Charlie de me parler de son été. Elle avait été au Festival de Coachella, j'aurais adoré y être surtout pour voir des vedettes en fait ! Mais j'avais eu d'autres plans durant ce week-end là. Elle me ferait rêver en m'en parlant !? Ou pas. Charlotte me parla plutôt de ses relations avec les autres et de certaines révélations plutôt désagréables et ... qu'elle était en couple ? Je plissai les yeux telle une enquêtrice, lui demandant télépathiquement de qui il s'agissait. Je fus surprise d'apprendre que c'était une femme, mais cela ne me dérangeait aucunement. Je souris. « J'espère que tu me la présenteras, alors, pour que je m'en rende compte par moi-même ! » Je jugeais être une amie assez proche de Charlotte pour qu'elle me présente à sa petite amie. Après tout, je considérais la brunette comme ma meilleure amie, et j'osais croire que c'était réciproque. Charlotte continua son récit qui me brisa le coeur, cette fois-ci. Je fis la moue et caressai son bras pour la réconforter. « Je connais pas ce Alec, mais j'vois le genre de mec ... J'suis certaine que ta Aengus est beaucoup mieux pour toi. Lui il ne méritait pas une fille aussi géniale que toi. » Je lui souris. « Tu tiens le coup ? » Demandais-je quand même, sachant fort bien que même si elle était présentement en couple, cet événement avec Alec avait fait des ravages et devait encore avoir ses traces.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. Empty
MessageSujet: Re: À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. EmptyMar 19 Aoû - 14:15

«À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. »
Charlotte & Astor



 Avoir une meilleure amie malade, ne me permettait pas pour autant de la laisser ne rien faire, la surprotéger. Non tout ça n'était pas mon rôle, Pacey pouvait le faire mais moi, ma sœur je n'aurai jamais voulu la surprotéger au point de l'empêcher de vivre de peur qu'elle attrape mal. Non.  Astor avait cette facilité à parler avec vous, tous vos problèmes semblaient moins grave quand vous en discutiez avec elle. Elle arrivait à vous consoler de manière à ce que vous puissiez passer à autre chose sans se faire mal pour autant. Elle était douce et gentille. J'avais besoin de gentillesse et il n'y avait qu'elle pour m'en procurait autant. J'écoutais alors son été, quand un prénom arrêta mes pensées. Elzbieta, je ne connaissais pas cette fille, mais elle avait laissé une fois un commentaire sur Mybcu. Nous nous croisions souvent dans les couloirs, à chaque fois nos regards étaient insistants sans que je puisse l'expliquer. Puis quand elle continua la discussion je comprenais que finalement tout n'avait pas été si beau et rose. Pourquoi, Pacey ne les avaient pas rejointes ? Il était vraiment si mou que ça ? Astor était une fille qui avait besoin de tout voir, tout découvrir et pas s'enfermer dans des musées qu'elle pourait voir dans les livres; A sa mine de dégoût je riais un peu. Elle était si expressive, je me demandais pourquoi elle ne faisait pas actrice, ça lui irai comme un gant .


Super des musées, il a pris plein de photos j'imagine..


Avais-je dis dans un ton moqueur mais peut-être un peu trop sincère. Astor savait que je n'affectionnais pas que Pacey la ralentisse. Mais je ne pouvais rien y faire, l'amour ça ne se contrôle pas. Puis leur histoire était tout aussi spéciale, entre la meilleure amie et compagnie c'était allé très loin. J'aurais très bien pu lui raconter Coachella mais j'en avais aucun souvenir, sous médocs et alcool rien de très gai venait à mes yeux, alors finalement je lui expliquait que j'étais en couple, à ce moment là, je pourrais jurer que mes joues avaient rougi. Quand elle me demanda si j'allais la présenter je raclais ma gorge, j'adorerai mais Aengus ne pouvait pas s'exposer avec moi à cause de sa famille, ce que je comprenais et qui ne me gênait pas :

Si je te la présente, je pourrais pas agir en couple avec elle, sa famille est très dure à ce sujet. C'est bête elle à l'air bien avec moi, tiens regarde elle m'avait même offert un petit collier avant que je partes avec toi !

Je lui tendais la moitié de cœur qu'elle m'avait "offert" - elle l'avait volé -. Ce cœur voulait dire beaucoup de choses pour moi, Aengus et moi étions liées de façon fusionnelle, elle vivait pour moi, je vivais pour elle. Dans nos  malheurs et nos crises nous nous soutenions, et même si Astor était là, pas mal de fois je ne voulais pas lui faire endurer tout ça. Puis le sujet Alec faisait son apparition, d'un coup la joie et mon sourire avait disparu. Il avait tellement était loin que ça me touchait. Sa caresse sur mon bras me faisait du bien et m'empêcher de pleurer. Elle arrivait toujours à me réconforter, moi géniale ? Pourquoi elle disait ça ? J'avais plus l'impression de créer des problèmes qu'autre chose mais je nichais ma tête dans son épaule..

Comment dire... Ce soir là avec lui je croyais qu'on s'était comme fait une promesse celle de rester ensemble, et qu'on s'appréciait plus que ça. C'était bizarre on ne s'était pas dit qu'on s'aimait ou autres mais tout comme. Et bien que je sois une fille volage, il était différent. Je ne comprends pas pourquoi il a fait ça  à Lysa et puis Arielle, c'était pour me prouver quoi ? Pas de l'amour en tout cas..

Je prenais une grande respiration avant de continuer :

Oui Aengus est adorable, elle est si fragile tu sais, elle non plus n'est pas comme les autres j'ai l'impression de protéger un petit oiseau, de tout faire pour ne pas qu'elle sombre comme on l'a souvent fait.

Je devais perdre mon Astor avec tout ce découlé de paroles.. Alors je décidais de m'intéresser à elle un peu à mon tour:

Avec Pacey...vous avez mieux...réussi..?

Je n'étais pas à l'aise ce sujet avec elle, car je savais que ça l'a complexée un peu que son homme ne soit pas aussi performant que les autres. Je me pinçais les lèvres comme si j'avais dis une bêtise, mais elle savait qu'elle pouvait se confier à moi..
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. Empty
MessageSujet: Re: À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. EmptySam 30 Aoû - 17:16

Je rigolai légèrement au sarcasme de Charlotte quant aux musées visités par Pacey. Je me sentais mal de me moquer ainsi de mon amoureux. Je l'aimais tellement et j'avais l'impression de le trahir en riant ainsi à ce commentaire. Mais d'un côté, c'était vrai. L'information trouvée dans les musées se trouvait n'importe où sur Internet. Mais la beauté d'un paysage ne se ressent pas de la même façon en le voyant en vrai ou en photo. Une photo, c'est bien joli, mais dans la réalité, c'est grandiose. Un souvenir inoubliable. J'étais donc du même avis que Charlotte quant à la journée aux musées de mon petit ami. Toutefois, c'était sa passion, apprendre et apprendre encore. Je l'aimais comme ça. Alors même si je me moquais un peu, au fond de moi, il n'y avait aucune méchanceté. Je savais par contre que Charlotte était plus sérieuse que moi dans ces moqueries, et certes j'avais de la peine qu'elle n'ait pas un bon sentiment par rapport à mon copain, mais je ne pouvais rien y faire. À part lui montrer que Pacey me rendait heureuse et qu'il m'aimait, et que je l'aimais aussi.

Finalement, Charlotte me parla de sa Aengus, que j'avais maintenant très envie de rencontrer. Mais justement, cette rencontre ne serait pas aussi facile à mettre en place puisque la famille de sa copine était dure par rapport à l'homosexualité. J'hochai la tête avec une petite moue. « C'est dommage pour elle ... Mais présente-la moi quand même, on se fera un souper au restaurant toutes les trois au pire, comme ça on aura l'air de trois amies tout simplement ! » Lançais-je comme idée. Puis la brunette me montra un collier magnifique que Aengus lui avait offert avant notre départ. Je le regardai avec des yeux brillants et un grand sourire. « Wow, il est magnifique !! Garde-la, cette fille, elle est précieuse. » Lui dis-je avec un beau sourire. Puis terminé le chapitre de l'amour, nous passâmes aux cœurs brisés. Elle me parla de Alec et de ses conneries. Je réconfortai Charlie du mieux que je le pouvais. « Je ne sais pas quoi te dire ma belle ... mais non, c'était pas de l'amour ça c'est clair ... ou bien il sait vraiment pas comment démontrer son amour. » Dis-je en roulant les yeux au ciel. Alec avait vraiment été con, et même si je ne le connaissais même pas, je ne le portais pas du tout dans mon coeur. La brunette continua alors de me parler d'Aengus, puisque je lui avais dit qu'elle était bien mieux avec elle de toute façon. « En autant que elle aussi, elle prend soin de toi. » Lui dis-je en lui prenant la main. Si Charlotte était la seule à protéger l'autre, un jour elle allait se fatiguer. Mais si Aengus était tout aussi attentionnée et protectrice, je n'y voyais pas d'inconvénient. Après tout, c'était ça, aimer.

Mon amie décida finalement que nous avions assez parlé d'elle. Elle me posa finalement la question qui tue : Pacey et moi avions nous réussi à faire l'amour ? Je soupirai. Le sujet fatidique venait d'arriver. « Si on peut appeler ça une réussite, oui ... » Je vis le regard de Charlotte plein de questionnements. « Au Brésil, on a réussi à faire l'amour mais ... il ... il avait pris ... tu sais du ... des pilules quoi. » Lui dis-je à voix basse pour ne pas que tout le monde entende à quel point ma vie sexuelle était ratée. « Je comprends pas pourquoi il a cru bon de prendre ça à son âge ... Enfin moi ça me fait sentir franchement pas désirable et puis ... enfin je sais que c'est à cause de son estime de lui mais ... j'en ai marre, un peu, d'essayer de le rassurer ... j'ai beau dire n'importe quoi, rien n'y fait ... » Et pourtant j'étais plus que sincère dans tout ce que je disais à Pacey. Mais c'était comme s'il ne me croyait pas.

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. Empty
MessageSujet: Re: À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. EmptyVen 10 Oct - 0:17

«À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. »
Charlotte & Astor



Etre avec Astor pour moi était source de bonheur. Elle respirait la joie de vivre et la facilité. Avec elle je me sentais invincible, peut-être qu'à nous deux nous l'étions tout simplement. Nous étions tellement différentes et pourtant si similaire à la fois. Elle respirer l'envie de vivre et moi aussi. Je n'osais pas tout de suite lui avouer toutes mes conneries. Comment le prendrai ma meilleure amie de savoir que je me suis mariée dans son dos à Las Vegas ? J'avais la boule au ventre depuis l'avion. Il fallait que je lui dise, mais le premier nom qui m'est venu à l'esprit était celui d'Aengus. Cet amour avec Aengus était aussi bénéfique que moi je l'étais pour elle. Elle m'apaisait comme personne car cet amour était sincère et il était vraiment indispensable et vital. Au bout d'un moment je lui avouais aussi qu'Aengus n'était pas le genre de fille qui pouvait avouer sa bisexualité. A la proposition d'Astor un sourire s'affichait sur mes lèvres, l'idée de manger me faisait déjà saliver mais encore plus avec mes deux meilleures amies. Je lui disais alors avec nonchalance « Grave, avec plaisir !!! ». Je tripotais le collier que j'avais avec mes doigts fin dans un sourire un peu niais les joues rouges. Oui Aengus avait su prendre mon cœur en otage mieux que personne. Les yeux brillants d'Astor me faisait rire je lui donnais un coup d'épaule. Puis finalement on parlait d'Alec. Mon cœur se mettait à battre de plus belle, j'avais mal je me sentais vraiment mal. Je m'en voulais de ne pas lui dire. Je n 'avais pas mon alliance sur ma main mais dans ma poche pour ne pas éveiller les soupçons. Je raclais ma gorge quand elle me disait qu'il ne savait pas démontrer son amour. Je prenais une grande respiration en lui disant «  Je crois qu'il ne sait pas ce que c'est l'amour tout simplement .. » Parfois quand je pensais à Pacey et Astor je me disais que l'amour était beau, qu'il supportait toutes les épreuves, qu'il était capable de tout et quand je me regardais je trouvais que l'amour c'était un sentiment minable qui ne faisait que du mal et qui n'entraînait que de la merde. Puis je changeais à nouveau de sujet pour parler d'Aengus. Sentir sa main prendre la mienne me réchauffait je me sentais bien avec elle, elle me rassurait et j'étais fière d'avoir une meilleure amie comme elle. Puis nous continuions de marcher dans la queue, car malgré nos pass il y avait énormément de queue. Je ne voulais pas trop parler de moi du moins pas pour l'instant, on avait tout le temps de parler de mes frasques. Il était temps de parler de Pacey. Est-ce qu'elle savait que je l'avais vu au starbucks quelques mois auparavant ? Visiblement non.... Voilà pourquoi je lui posais la question fatidique.. est-ce que finalement ils avaient pu évoluer comme ils le voulaient. Et dès qu'elle soupirait je me sentais mal je n'avais pas envie de la mettre mal à l'aise. Je la laissais commencer son récit. Mon regard plein de questions elle continuait. Et la suite de sa déclaration me choquait et un petit cri de surprise de faisait. « Quoi... ? ».  Je me pinçais les lèvres quand elle me parlait de l'effet que ça lui faisait  de se sentir indésirée. Je la prenais dans mes bras en lui disant pour qu'elle se sente bien bien « Moi je te trouve sexy, si tu veux je te fais l'amour sur le champs ! ». Puis quand elle riait je savais que lui changeait les idées était la meilleure des choses. Après ce câlin fou je lui disais en hésitant. «  Astor je ne t'ai pas tout dit... »...disais-je en me mordant la lèvre.



Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. Empty
MessageSujet: Re: À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. EmptyDim 19 Oct - 19:34

À notre façon, Charlotte et moi vivons chacune une histoire d’amour cruelle, damnée, compliquée et peut-être même vouée à l’échec, qui sait. Je ne savais que penser d’Aengus ou d’Alec, il me semblait que le cœur de mon amie semblait partagé entre tellement de gens en même temps. Elle ne savait plus où donner de la tête, elle ne savait plus qui aimer, ni comment. Peut-être qu’Alec n’était pas le seul à avoir du mal à comprendre le sens de ce sentiment surpuissant. Peut-être Charlotte était-elle elle aussi maudite. Et moi aussi. Et Pacey aussi. Nous vivions nos contes de fées avec les catastrophes et les faux pas qu’on cache aux enfants. Tous ces gamins, à Disney, ici-même, regardaient le château de princesse en se disant qu’un jour le prince charmant viendrait les sauver de la plus haute tour et qu’ils vivraient heureux et qu’ils auraient beaucoup d’enfants. Malheureusement, on grandit, et on se rend compte que l’amour n’est pas que rose. L’amour apporte son lot d’incertitude.

Alors malgré mes rigolades quant au commentaire de Charlotte sur le fait qu’elle me ferait l’amour n’importe quand, et malgré mes paroles rassurantes pour mon amie autant pour Alec que pour Charlotte, j’avais un goût amer en bouche. Une nostalgie face au temps où tout cela ne m’atteignait pas. Ce temps où je ne me souciais pas de la vie d’adulte, de l’amour, du futur, de ce qui était bon ou non. Je compris que Charlotte se trouvait elle aussi dans une drôle de place en ce moment, dans sa vie, lorsqu’elle me regarda hésitante, me révélant qu’elle ne m’avait pas tout dit. Je penchai la tête, fronçai les sourcils, ne lâchant pas sa main malgré le fait qu’on avança encore un peu dans la file d’attente. « Qu’est-ce que tu veux dire ? » Enfin, je comprenais le sens de sa phrase. Je me disais qu’il y avait quelque chose de plus avec Aengus, ou avec Alec, ou un autre qui sait. Quelque chose qu’elle n’avait pas su comment m’en parler, et qu’elle se jetait finalement dans le vide, sachant que je la rattraperais peu importe. On s’arrêta d’avancer dans la queue et je pivotai de nouveau face à elle, m’adossant à la barrière derrière moi. « Dis-moi tout. Tu sais que je ne juge pas, encore moins toi. » La rassurais-je, avec un sourire au visage, mon pouce caressant doucement sa main. De toute façon, je n’avais pas tout dit à Charlotte non plus. Parce que j’avais beau essayer de convaincre tout le monde et moi-même que j’allais rester avec Pacey pour le meilleur et pour le pire, j’avais maintenant la certitude que ça ne nous mènerait nulle part …
Revenir en haut Aller en bas
June D. J. Martin
there's no place like berkeley
June D. J. Martin
prénom, pseudo : Fanny, Fannence, la plus mignonne des mignonnes, Fannou
date d'inscription : 19/06/2011
nombre de messages : 20204
avatar : Selena Gomez

À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. Empty
MessageSujet: Re: À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. EmptySam 15 Nov - 23:25

:plop:
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. Empty
MessageSujet: Re: À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses. Empty

Revenir en haut Aller en bas

À pierre qui roule rien d’impossible et cœur vaillant nul mousse t’amasses.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» léo-alisson&nolan .Un ami... rien n'est plus commun que le nom, rien n'est plus rare que la chose.
» " On s'en roule une ? " Adam&Lee'
» une voiture sans essence, sa roule pas XD [PV STEVEN]
» Qui ne tente rien n’a rien
» On se roule un petit Cone devant le couché de soleil ?

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
the great escape :: flood and trash :: corbeille rp-