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you speak to me with words and i look at you with feelings ~ (pv)

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Nina Fitzmartin
there's no place like berkeley
Nina Fitzmartin
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MessageSujet: you speak to me with words and i look at you with feelings ~ (pv) you speak to me with words and i look at you with feelings ~ (pv) EmptyMer 8 Jan - 13:05

hazel est différente. elle se déplace avec légèreté, mec.
elle effleure le sol de ses pas. hazel connait la vérité :
on a autant de chances de nuire à l'univers qu'on en a de l'aider,
et on est pas prêt de faire ni l'un ni l'autre.


Perchée sur la balustrade du troisième étage, le corps penché vers le vide comme si c'était une mouette prête à l'envol, Davy Lancaster préserve sa tête d'ange d'un monde trop compliqué dans ce qu'elle appelle '' la planque ''. C'est un coin secret, mais qui ne l'est pas tant que ça puisque Matt sait où il se trouve, qu'elle s'est aménagé sur le balcon de l'ancienne chambre de Julian, le colocataire en fuite. Elle se cache dans le coin, puis elle rabat le volet pour ne pas qu'on puisse la voir. Les gens pensent que le volet est seulement un peu ouvert vers l'extérieur et pas accroché contre le mur, et donc ne vienne pas l'emmerder durant ses longues séquences de méditation. Davy est partie en vacances après la troisième épreuve. Du moins, durant la quatrième épreuve, au tout début. Juste le temps que Sam lui fasse comprendre qu'il voulait un câlin – alors que compte tenu de la situation c'était probablement la dernière chose à demander, que Wren lui fasse comprendre qu'il en a marre et que le reste du monde ne trépigne devant l'idée que l'un d'eux trois puisse faire l'erreur ultime qui provoquerait la chute du groupe 5. Elle a adressé un sourire vague à Sam et un air bête à Wren, elle a tourné les talons, fourrés ses mains dans les poches son trench coat bleu marine et son nez dans l'écharpe grise qu'elle a volé à Aidan, puis elle est partie. Sans prévenir, et sans donner de nouvelles après. Parce que Davy Lancaster est un électron libre, un esprit versatile, une inconstance. Elle a laissé la dernière épreuve des olympiades à ceux de son équipe qui pourraient vraiment s'amuser, là où elle n'en avait plus la force, ni l'envie, ni la patience. Sur le papier ça avait l'air sympa, le concept de '' free hugs ''. Puis c'est pas comme si elle était pas câline. Le problème c'est que son groupe, elle le supportait plus. Ils sont sympa, tous. Mais entre les petites tensions, les réflexions, les mauvaises actions et les désillusions, Davy s'est rapidement retrouvée embourbée dans une histoire d’ambiguïté qui agace ( mais passionnante, si passionnante...), une histoire de couple qui part à la dérive et son amitié avec sa colocataire, qu'elle a juré entendre soupirer de morosité lorsqu'elle a passé le pas de la porte le jour de son retour, ne tient plus qu'à un tout petit fil sur lequel elle marche les yeux fermés. Alors elle s'est servie de l'excuse des fêtes pour se faire la malle. '' Je dois aller rendre visite à ma maman '' qu'elle aurait pu dire à Wren, en guise de minimum syndical. Mais même pas. Elle est, certes, partie rendre visite à sa mère, mais aussi et surtout pour re-visiter un coin de son pays natal histoire de prendre un bon bol de l'oxygène empoisonné d'Oxford. Se ressourcer, qu'ils disent les anciens. Ou les philosophes. Bref. Davy Lancaster s'est ressourcée pour toute la période des vacances d'hiver et la voilà revenue avec certaines idées et certaines envies. Elle est là depuis la veille et évite quasiment tous le monde. Elle se cache dans la planque, puis quand elle en a assez – comme c'est le cas maintenant – elle passe tranquillement la jambe par-dessus le balcon, passe trois secondes dans le vide, puis bascule à nouveau sur le balcon pour aller gentiment se chercher un truc à grignoter, un livre à lire, ou des petites babioles dans la chambre d'Elmas qu'elle pourra balancer sur la baie vitrée entrouverte de l'appart' d'en face où réside un gars qui a le syndrome de Tourette sévère ( ça devrait pas la faire rire, mais ça la fait rire et même elle, elle en a honte ). Seulement quand elle passe la première jambe, elle entend un craquement plus bas qui la fait sursauter et évidemment, elle manque son appuie et … un peu plus et elle terminait écrabouillée en bas. Agrippée au marbre, elle lâche un « oh shit » de surprise et se hisse sur la terrasse de sa force de poulet. C'est en jetant un regard alerte et déterminé (à péter la gueule à l'idiot(e) qui marche trop fort et trouble son calme) en bas qu'elle constate qu'elle a un visiteur et pas n'importe lequel. Sam, avec sa barbe de trois jours et ses cheveux hirsute, donc son sex appeal amené à son paroxysme ( c'est une veste en cuir qu'il porte ? Putain il fait exprès ). « .Putain, tu m'as fait peur. » qu'elle lâche, toujours en proie à une petite frayeur rapidement balayée par un sourire espiègle. Elle sait qu'elle va devoir excuser sa disparition soudaine lors de l'épreuve trois et tout ce qui vient avec, mais son instinct (voir sa bêtise) l'incite à se la jouer « fille cool ». « .Tu cherches Wren ? Il est pas là. » Petite feinte balancée dans ton qui sonnerait presque enthousiaste. Et allons y pour la petite plaisanterie du jour, elle en serait presque fière. Oui, parce qu'elle a évidemment eut vent de la petite grosse accolade entre Wren, son actuel maybenotsomuch petit ami et Sam, son... Sam. Seulement elle sait parfaitement que l'entente entre les deux est abyssales et se doute que l'étreinte forcée par Wren, de ce qu'elle sait, n'a fait que renforcer la petite haine mesquine entre eux. Enfin, tout ça, elle le suppose. Mais ça l'empêche pas de jeter un peu d'huile sur le feu en sous-entendant que ça y est, c'est la grande histoire sentimentale entre eux, juste histoire de dire «  ouais, je sais, j'ai vu ». « .J'rigole. » et je sais que c'est pas drôle du tout, donc je vais arrêter. Sans se départir de son sourire ( et sans se rendre compte qu'elle est d'une impolitesse rude en ne l'invitant pas à rentrer ), elle laisse un tout petit instant de silence contemplatif s'installer. La pointe du menton déposé dans la paume de sa main, le coude appuyé sur le rebord de la petite terrasse, le petit sourire coquin sur les lèvres. Un vrai cliché. Oh Roméo, pourquoi es-tu Roméo ? En y pensant, elle se met à rire bêtement. « .Bonne année, au passage !. » qu'elle finit par balancer. Peux mieux faire, niveau conversation. Car même si elle peut paraître parfaitement à l'aise en façade, elle l'est finalement pas tant que ça. Si elle a oublié l'épisode du bisou sur la main dans la forêt ( et toutes les petites attentions particulières et parfois trop ambiguës des autres épreuves ainsi que les débordements d'affections au zoo ) ? Absolument pas. Toutes ces petites choses virevoltent dans son esprit en permanence, sans qu'elle puisse jamais les mettre de côtés ou même les ignorer. Mais résolue à ne pas en parler tant qu'il n'y ferait pas lui-même allusion, elle préfère encore faire semblant de rien et se préoccuper de tout, sauf de sa relation alambiquée avec Sam. Enfin, si relation il y a, car c'est sans oublier que Davy, c'est le genre à se faire des films sur rien. Elle hausse les épaules et finalement, son petit sourire s'estompe dans un soupir monocorde. « .Ouais je sais. Je suis partie sans prévenir et j'ai pas donné de nouvelles, j'étais pas là à Noël, ni Nouvel Ans, ni à la troisième épreuve, quelle espèce de petite connasse je fais ! On me l'a déjà sortie, te casse pas la tête. » hasarde-t-elle d'un ton qui en serait presque badin. Allons, c'est pas comme s'il savait pas qu'elle était le genre à faire n'importe quoi, n'importe quand avec n'importe qui. Davy respire la liberté, les contradictions, les grandes idées (généralement les plus folles) et se tire sans prévenir parce qu'elle pense que c'est plus simple. Excepté que ça l'est pas. Wren lui en veut, Aidan lui en voulait, Matt' ne sait que penser de son échappée belle et Sam... Va savoir. Elle va bientôt pouvoir prendre la température. « .Y a Aidan qui revient pas. Quand il me l'a dit, je voulais rester en Angleterre. Puis finalement je suis revenue quand même... » pour quelques raisons, quelques histoires inachevées et avoir des réponses à quelques questions. Le regard perdu dans le ciel, elle se met à penser. Penser pour pas pleurer en s'imaginant que Papou s'exile et ne fera dorénavant plus partie de son quotidien. Elle réfléchit ce que serait son décor si maintenant, elle avait décidé de tout plaquer une énième fois. Elle s'imagine de retour en Angleterre, peut-être dans la banlieue londonienne cette fois. A sillonner les rues pavés à la recherche du chemin de traverse d'Harry Potter, un truc du style. Mais bon... C'est quand même plus beau d'avoir Sam dans son paysage. « .Faut qu'on parle, tu sais. » qu'elle marmonne, le ton las, mais pas moins sérieux. Sérieuse au point où ça en est troublant, tellement ça lui correspond pas. Et son profil d'Alpha vient sauter à la gueule dans ces rares moments de sérieux. Puis, éclair de génie. Elle se met à froncer les sourcils de façon féroce, fait la moue et réalise qu'elle se tape un monologue pour rien. « .T'es là pour voir Elmas en vrai, c'est ça ?. » Oui, parce qu'elle sait rien. Elle sait pas si ça s'est bien terminé les olympiades, ou pas. Elle sait pas qui est avec où avec qui et pour faire quoi. Le prix de la liberté, sans doute.

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MessageSujet: Re: you speak to me with words and i look at you with feelings ~ (pv) you speak to me with words and i look at you with feelings ~ (pv) EmptyVen 14 Mar - 19:12

When she was just a girl she expected the world, but it flew away from her reach
so she ran away in her sleep. This could be paradise.  

Les mains plongées dans les poches de sa veste, Sam parcourt avec une certaine sérénité les rues de San Francisco, fermement arrêté sur sa destination. Il n'aurait jamais cru être capable de se rendre aussi détendu dans l'appartement en question, dans lequel vivaient deux femmes avec qui il entretenait des relations plus que singulières. L'une était, il n'y a pas si longtemps que ça, sa petite amie et ce après quelques mois déjà passés à se tourner autour. La relation avait été idyllique, du moins pour quelqu'un à la recherche de stabilité et de tranquillité. Elmas était une femme naturellement gentille, profondément généreuse et quasiment impossible à contrarier. La preuve, dans un monde normalement constitué, Sam aurait du subir maintes fois sa colère pour réprimander un comportement loin d'être respectueux. Fidèle à sa spontanéité maladive, l'omega s'était laissé aller au gré de sentiments qu'il n'était pas même conscient de suivre, trop occupé à tenter de les enterrer tandis qu'il les écoutait pourtant avec une intensité que son couple avec Elmas ne connaissait pas. Quant à l'identité de la tentatrice - n'ayons pas peur des mots - ayant clairement brisé sa relation avec la jeune lambda, il s'agissait de Davy Lancaster, sans la moindre surprise. Ce triangle amoureux avait beaucoup fait parler de lui lors des précédentes olympiades, et le jeune homme entendait sans relâche parler de l'anglaise par son entourage un peu trop curieux qui réclamait les détails croustillants de cette situation vieille comme le monde. A vrai dire elle était même plus compliquée que ça encore. Il était déjà assezd délicat d'avoir à se choisir entre deux femmes pour en plus devoir supporter le petit ami insupportable de mademoiselle Lancaster, j'ai nommé Wren Rosenbach. Iota sans aucun intérêt au yeux du président des omega, qui n'était pour lui qu'une problématique de plus à cette équation déjà complexe. Et pourtant malgré les conditions largement défavorables, Sam était parvenu à se rapprocher de Davy (ou le contraire, peu importe) esquintant au passage non seulement la fierté d'Elmas mais également ses sentiments. Carton plein pour les amants maudits qui partageaient désormais un passé turbulent, un présent indéfini et un futur inaccessible. Pas étonnant qu'elle se soit fait la malle, la Davy. Il n'approuvait évidemment aucunement ses méthodes, et les avait maudits elle et sa lâcheté tandis qu'il se retrouvait avec une Elmas blessée, un Wren frustré et plus insupportable que d'habitude face à la fuite de sa copine qui ne daignait pas donner de nouvelles, ainsi que sa culpabilité sur les bras. Difficile en effet d'assumer le rôle du coupable alors que son acolyte était aux abonnés absents. Et malgré tout... Une discussion avec Elmas et quelques semaines plus tard, le voilà qui sillonne les rues de l'ouest de la ville pour se rendre dans le repère de tous ses problèmes. Il n'allait tout de même pas se satisfaire de cet épilogue merdique, Sam. C'est un garçon chanceux, paraît-il, et si la chance ne semble cette fois pas décidée à lui sourire, il n'a pas dit son dernier mot. "Lets put a smile on that face", disait un certain clown... Il aperçoit finalement la silhouette de cet appartement familier, tout en sachant qu'il a une chance sur deux de tomber sur la personne à qui il souhaite rendre visite. Il n'a cependant pas l'occasion d'aller tout simplement sonner à la porte comme il en a l'habitude, puisqu'un juron vient le stopper dans son élan. Enfantine Davy, qui s'accroche comme une gosse aux barreaux de la terrasse, et qui n'a sûrement rien du faire d'autre depuis qu'elle y est que d'épier les passants et voisins. C'est limite s'il ne l'imagine pas leur jeter de l'eau ou des miettes de pain de sa cachette perchée. Sans retirer les mains de ses poches, Sam lui offre une moue tranquille, les yeux levés vers elle. « Si je voulais le voir, c'est pas ici que j'irais le chercher. Il m'a semblé un peu grognon ces derniers temps, je me demande bien pourquoi. » ironise-t-il dans un haussement d'épaules. Evidemment qu'il est au courant du silence quasi total de Davy pendant son escapade je-ne-sais-où. Tout le monde est au courant d'ailleurs, ou du moins ceux que ça intéresse. Entre Wren et Sam, autant dire que si le courant ne passait pas avant, la connexion devient aujourd'hui limite dangereuse. Il faut dire que l'épreuve des free hugs n'avait en rien tempéré l'animosité qu'ils éprouvaient l'un pour l'autre. L'accolade forcée que l'iota lui avait imposé y était pour beaucoup, tant il cherchait une étreinte différente ce jour là - et bien moins virile. C'avait été le début de la fin avec Elmas, ce fameux jour. Le "il faut qu'on parle" était finalement tombé, lourd, et ce malgré l'accolade qu'ils partageaient. Il toise Davy sans animosité aucune, lui rendant même son sourire lorsqu'elle avoue plaisanter à propos de sa remarque sur Wren. L'insouciante lui souhaite alors la bonne année, parfaitement détendue, comme si son voyage avait suffi à effacer tous les dérapages des olympiades. Si seulement... « A toi aussi. Je te demanderais bien quelles sont tes bonnes résolutions, mais je sais que t'arriveras jamais à les tenir, alors à quoi bon ? » Et à vrai dire lui non plus. Il n'en a d'ailleurs pris aucune cette année, si ce n'est celle d'avoir une réelle conversation avec Elmas. Ce qu'il a fait, dieu merci. Il lui offre une moue fataliste, et sait qu'elle ne pourra le contredire car malgré sa condition d'alpha, Davy aime se prétendre libre, quitte à ne pas tenir ses promesses. Il parle en connaissance de cause puisqu'il en a déjà fait les frais, et a depuis bien longtemps perdu l'envie de le lui reprocher ou de s'en offusquer. Il la refera pas, de toute façon. Sam trouve un instant étrange de lui parler ainsi, elle penchée sur le balcon et lui levant la tête pour obtenir un visuel. Plutôt atypique, comme posture. Cependant il s'en accommode parfaitement, évitant ainsi d'annoncer sa présence de façon plus formelle. Au moins n'a-t-il pas besoin de préciser ce qu'il vient faire ici - ou qui il vient voir. Tiens, le début de ce monologue ressemblerait-il à des excuses ? "(...) on me l'a déjà sortie, te casse pas la tête" ah, et bien non. Ca ressemble plutôt à un "me saoule pas, je fais ce que je veux." Elle changera jamais, et le jeune homme non plus. Les traits plus sévères, le regard plus froid, il répond avec une certaine sécheresse. « Si je peux même pas t'engueuler, je vois vraiment pas ce que je fous ici. » Les problèmes commencent. Attitude plus fermée, froideur qui ne leur avait pas manqué. Un bref silence s'installe durant lesquelles ils se fixent, silencieux, attentifs à la prochaine remarque qui marquera peut-être le début d'une bonne vieille dispute. Sauf que non. « Je rigole. » qu'il avoue finalement, sur le même ton que la jeune femme un peu plus tôt, accompagné d'un doux et franc sourire. Elle lui a manqué, sa Davy, qui n'est pas tout à fait la sienne mais qu'il continuera tout de même d'appeler ainsi, peu importe la suite des événements. Comme ils l'ont mainte fois prouvés, c'est pas quelques années à vivre sur deux continents différents qui suffiront à briser leur complicité. Si leur relation n'est pas meant to be, leur capacité à se retrouver pour se gueuler dessus, elle, l'est sans aucun doute. « J'suppose que je devrais sauter de joie que tu sois revenue... Au moins pour que tu subisses toi aussi la haine de ton boulet. Avec un peu de chance, il me lâchera un peu. » Par boulet, il entend bien évidemment Wren (sans blague) qui intériorise beaucoup moins bien qu'Elmas, et de loin. Il aurait été désolé d'apprendre le départ d'Aidan si ce dernier n'avait pas été si inbuvable dans son rôle de papa - voire papy - gâteux pendant les olympiades. Il est cependant désolé de voir Davy si attristée, quoi qu'il s'abstienne de la réconforter. A quoi bon, c'est pas ça qui va le ramener. Puis de toute façon, de la compassion à trois étages de différence, pas sûr que ça fasse le même effet. Après un bref passage où la jeune femme ne semble pas dans son assiette, elle recouvre un certain sérieux, rare chez elle et auquel il ne s'attend pas. Le retour du "il faut qu'on parle". Il avait déjà donné avec Elmas, et n'était pas certain de vouloir réitérer l'expérience tant elle avait été délicate. « C'est pas déjà ce qu'on est en train de faire ? » qu'il plaisante avec un léger rire, quoique déjà contaminé par la mine grave de l'étudiante. En fin de compte, c'est à peine s'ils ont besoin de parler, les mots n'étant dans ce cas là que de simples formalités. C'est en tout cas ce que ressent Sam, qui n'a certainement plus rien à cacher depuis ce baiser-pas-tout-à-fait-volé dans les bois. Le seul obstacle avait été Elmas, qui, bien qu'il ait frôlé voire dépassé les limites, l'avait empêché de les franchir bien plus que ça. Est-ce d'ailleurs elle qu'il est venu voir aujourd'hui ? C'est la question que semble se poser Davy, qui n'est pas fixée quant au bilan de leur histoire. « Si elle veut me voir, elle sait où me trouver. » répond-t-il sobrement, la voix légèrement plus grave. Non, ce n'est décidément pas Elmas qu'il est venu chercher.
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MessageSujet: Re: you speak to me with words and i look at you with feelings ~ (pv) you speak to me with words and i look at you with feelings ~ (pv) EmptyDim 1 Juin - 14:32

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