the great escape
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Léo-Alisson&Jonah :. L'été qui s'achève tu partiras, à cent milles lieux de moi ...

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MessageSujet: Léo-Alisson&Jonah :. L'été qui s'achève tu partiras, à cent milles lieux de moi ... Léo-Alisson&Jonah :. L'été qui s'achève tu partiras, à cent milles lieux de moi ...  EmptyLun 9 Sep - 13:24


    Léo-Alisson&Jonah :. L'été qui s'achève tu partiras, à cent milles lieux de moi ...  Tumblr_ms9gjz5eiW1qewiv5o9_250J'avais décidé de sortir à une soirée qu'un type m'avait conseillé après m'avoir accosté à la terrasse du Starbuck le plus proche. Enchanté par l'évènnement et par le regard aguicheur du bel-âtre, je n'avais pu résister à l'envie d'arrêter de penser constamment aux trois hommes qui hantaient mon esprit. Les mêmes noms qui revenaient toujours, Casey, Mavis et Jonah à présent. Enfilant rapidement un short et un débardeur, je fus rapidement sur la plage. Une soirée où tout le monde semblait déjà bien imbibé. Ce n'était pas pour me déplaire moi qui, travaillant au Burlesque, n'avait pas le droit à prendre de verres, je pouvais enfin rattraper ces soirées ! Alors que je me dirigeais vers le bar, je sentis une main s'arrêter sur ma taille et je tourna mon regard vers le jeune homme qui m'avait invité. Sourire aux lèvres, l'air complètement fait, les joues légèrement rouge, je me demandais s'il ne voyait pas deux moi au quel cas il était bien chanceux et je comprenais parfaitement ce sourire bêta. Je fis mine d'être surprise et l'embrassa avec un sourire tout en me dirigeant vers sa petite troupe d'amis qui semblaient dans le même état que lui. Musique, garçons et alcool. J'aurais pu appeler quelques amis mais je n'en avais aucune envie. J'avais juste l'envie d'être là seule, à boire tout ce qu'on m'offrait et ne pas m'occuper de mes problèmes personnels. Mais c'était sans compter les souvenirs qui remontaient de ma dernière altercation avec Jonah. J'avais essayé de ne pas y penser jusque là mais la rentrée pointant son nez, je savais aussi que je n'allais plus tarder à le revoir et j'avouais que cela m'angoissais. Notre dernière discussion avait été plus que tendue et j'avouais que j'avais ma part de responsabilité dans cette histoire même si beaucoup de choses encore restaient floues. Il m'avait demandé pardon et j'avouais que je ne savais comment prendre ces paroles. Jonah était bien plus fort que moi dans l'art de l'illusionisme et je savais aussi que chacune des paroles qui pouvaient sortir de sa bouche était loin d'être anodine. Je ne savais pas vraiment si je devais lui pardonner de quoi que ce soit ou si j'aurais pu moi-même m'excuser pour l'avoir mis plus bas que terre mais maintenant c'était fait. Nous nous étions déchirés et c'était en partie de ma faute. Qu'importe, je ne pouvais pas imaginer que la personne la plus importante à mes yeux pendant tant d'années s'envolait finalement de moi et cette fois-ci d'une manière définitive. Je récupéra un verre qui traînait et y plongea mes lèvres. Je fis de même encore et encore et ne pus que me laisser entraîner sur la piste de danse ou du moins sur les grandes lattes posés à même la plage où tous les jeunes pouvaient danser sans complexe. Je n'en avais aucun mais j'avais une très grande envie de me défouler et de ne penser à rien avant de devoir reprendre les cours c'est pourquoi j'enchaînais verre sur verre même si je savais que se saouler à une soirée entouré d'hommes qui vous regardaient avec envie n'allait pas m'aider à rester irréprochable surtout depuis que j'étais officiellement en couple ...
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MessageSujet: Re: Léo-Alisson&Jonah :. L'été qui s'achève tu partiras, à cent milles lieux de moi ... Léo-Alisson&Jonah :. L'été qui s'achève tu partiras, à cent milles lieux de moi ...  EmptyMar 10 Sep - 17:29

❝ MES ERREURS M'ONT FAIT AVANCER, MES REGRETS M'ONT BEAUCOUP APPRIS, MES DOULEURS M'ONT RENDU PLUS FORT JE N'AI PAS CHANGÉ NI OUBLIÉ, J'AI JUSTE AVANCÉ... ❞

 
 
© Loon



Les vacances étaient terminées, il fallait que je me fasse une raison. Je n’avais pas eu l’impression d’avoir profité tant que ça de celles que je venais de passer. Métro, boulot, dodo, ouais j’étais devenu une de ces milliers de fourmis. Je n’avais pas vraiment le choix si je voulais garder un toit sur la tête. Bosser, comme des milliers de con le font chaque jour. La rentrée approchait, quoique je puisse en penser elle serait bientôt là et je ne pourrais plus rien y changer. Mon train-train universitaire allait reprendre. Dans un sens cela ne serait pas pire que passer ma journée à servir des cafés. Ma journée de travail était sur le point de se terminer lorsque je reçus un message d’un nouvel ami, un gamma. « Ramène ton cul ce soir sur la plage », oui, il avait un sens de la tournure, très poétique. Ça serait sûrement ma dernière occasion de sortir avant très longtemps. Je m'étais inscrit dans un cercle infernal, car plus je bossais et moins je voyais de monde, moins j’étais invité. J’avais l’impression de ressembler à un alpha coincé du cul. Il fallait que je me bouge si je ne voulais pas croupir avec eux au fond d’une bibliothèque. Bon, il fallait que je m'active pour être un minimum présentable, mais surtout pour me réveiller. Oui, je commençais déjà à piquer du nez alors qu'il n'était même pas dix-huit heures. Je devenais vraiment un alpha de merde. Putain, mais il fallait que je fasse quelque chose, je ne pouvais pas me laisser couler ainsi. Voir des connaissances gammas me permettrait de m'intégrer d'avantage à ma récente confrérie. Je pourrais, ainsi, me faire une idée des gueules à éviter en toute circonstance. L'heure avait tourné quelque peu rapidement, je n'avais pas eu le temps de me rendre compte de l'heure qu'il était déjà temps de partir. Les cheveux encore en bataille, j'avais à peine eu le temps d'enfiler un pantalon et un tee-shirt que j'étais déjà en retard. Bon, je me ferais attendre. La ponctualité n'était pas vraiment mon fort, il fallait bien qu'ils s'y fassent assez tôt. En quelques minutes, j'étais sur place. Le soleil s'était déjà éteint, l'ambiance était déjà plantée : feu de camp, glacière à gogo, musique, des petits groupes dans tous les sens. Je m'attendais à une soirée plus... intimiste. Il était clair que je n'avais pas été au courant de l'ampleur de cette soirée. Il était temps que je me plonge dans l'ambiance, pour ce faire, je pris place sur un tronc d'arbre installé là pour l'occasion. Je pris une bière d'une des glacières présentes non loin de moi. A peine avais-je eu le temps de l'ouvrir, que je sentis une main se poser sur mon épaule. « Ah, te voilà enfin, c'est rare de voir ta gueule ces derniers temps. », l'ambiance était posée. Je venais à peine d'arriver que je m'étais déjà fait remarquer. Moi qui voulais faire passer mon retard discrètement, c'était loupé. « Cela dit, tu es venu à la meilleure soirée, matte le petit lot qu'à ramener John. » Il me montra du doigt, un groupe plus loin, majoritairement des hommes. Or, dans cette foule bourrée de testostérone, se trouver un visage qui me semblait familier. Léo ? Était-ce possible ? La bière devait déjà me jouer des tours. Enfin, je préférais me dire que j'avais un pète dans l'aile plutôt qu'envisager la possibilité que ce soit vraiment elle. Depuis nos retrouvailles tendues nous n'avions pas eu l'occasion de nous revoir : Dieu merci. J'avais déjà eu ma dose de reproches. Je ne pouvais m'empêcher de la surveiller du coin de l’œil. Je savais pertinemment que j'aurais dû faire comme si elle n'était pas là, pourtant je n'arrivais pas à faire comme tel. C'était plus fort que moi, il fallait que je l'observe, que mes yeux sont constamment posés sur elle, que je sache n'importe lequel de ses moindres mouvements. Elle avait l'air clairement de s'amuser, même si elle était entourée d'une masse d'hommes très entreprenants à son égard. Je la surveillais comme un chasseur à sa proie, elle ne devait pas sortir de mon champ de vision. Ses gorgés s’enchaînaient tout comme ses éclats de rire. Elle semblait plus que "joyeuse", elle avait sûrement dépassé le nombre de verres limités depuis un bon moment maintenant. En moins de temps qu'il en faut pour le dire, elle se retrouvait embarquée sur la piste de danse. J'avais l'impression qu'elle n'était plus maître d'elle-même et que ces connards profitaient quelque peu de la situation. Ça me faisait clairement bouillir. J'abandonnais mon compagnon de boisson sans rien dire. Pour tout dire j'en avais un peu rien à foutre de le laisser planter. Il en avait déjà bien trop dit pour tout le reste de la soirée. Ni une, ni deux, je partais en direction du parquet. Je connaissais ce mec de vue et je savais qu'il n'en avait rien à foutre de Léo, il en avait plus pour son décolleté que pour elle. J'en avais rien à foutre de rien, que cette soirée finisse par une bagarre ou bien par des retrouvailles, qu'importe, je voulais juste qu'elle se termine bien pour elle. Sans réfléchir, d'un pas déterminé je poussais cet abruti pour prendre sa place auprès de Léo.  « Je crois que c'est à mon tour. » Je me foutais de ce qui pourrait m'arriver, je m'étais déjà tellement battu dans ma vie que je ne reculerais pas ce soir. « Qu'est-ce-qu'il a lui ? » Je le regardais d'un œil menaçant, il ne valait mieux pas qu'il me cherche s'il voulait rentrait chez lui sur ses deux jambes. « Casse-toi ! Je ne le répéterais pas deux fois. » Tout était dit, ma mâchoire était serrée, prêt à lui en mettre une s'il ramenait sa gueule un peu trop fort à mon goût. Le message était passé, ce connard était reparti aussi vite qu'il était venu. Mon regard se posa sur Léo qui me regardait, elle n'avait plus son rire. J'avais l'impression de lui cacher une fois de plus la vie, pourtant je ne voulais que son bien, même si elle l'ignorait sûrement encore. Qu'importe, je préférais qu'elle me prenne pour un connard plutôt qu'elle finisse à califourchon sur ce blaireau. « Il me semble tu as assez bu pour le reste de la soirée. » Lui avais-je dis avant de quitter la piste. Un conseil qu'il valait mieux qu'elle suive si elle ne voulait pas avoir de remords demain. Je l'abandonnais de nouveau à sa soirée, elle s'amuserait mieux sans moi.
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MessageSujet: Re: Léo-Alisson&Jonah :. L'été qui s'achève tu partiras, à cent milles lieux de moi ... Léo-Alisson&Jonah :. L'été qui s'achève tu partiras, à cent milles lieux de moi ...  EmptySam 14 Sep - 14:25

    Léo-Alisson&Jonah :. L'été qui s'achève tu partiras, à cent milles lieux de moi ...  Tumblr_ms9gjz5eiW1qewiv5o9_250Je n'aurais pas dû me laisser autant aller dans la boisson. Après tout, on savait tous qu'une jeune femme comme moi pouvait avoir nombre de problème avec les hommes lorsqu'elle n'était pas accompagné par une armada d'amis bien battis. Sauf que ça, on ne me l'avait pas appris. En faîtes, je n'avais jamais vraiment eu besoin de faire attention à ce genre de problèmes que la plupart des filles avaient peur de rencontrer chaque soir parce que j'étais toujours soit très bien entourée, soit j'avais des gardes du corps qui prenaient soin de moi lorsque je retournais en Angleterre au sein du cocon familiale. Autant dire que cette univers qui m'avait autant protégé jusqu'alors ne m'avait pas encouragé à me méfier des hommes et de leurs envies de toujours afficher une proie de plus sur leur tableau de chasse. Mon visage était de plus assez connu sur les différents continents du monde pour savoir que j'étais un sacré poisson avec un corps que de nombreuses femmes jalousaient. Il ne m'était pourtant pas venu à l'idée que venir seule ici et se bourrée pouvait être une mauvaise idée et qu'il pourrait m'arriver quelques malheurs que je n'osais imaginer. Une vraie gamine qui ne pensait jamais à rien. Une fille immature qui n'avais jamais eu besoin de penser aux choses basiques que la plupart des gens avaient en tête. Tant pis pour moi, tant mieux pour ces incroyables salauds qui avaient en tête que la seule manière d'avoir une fille comme moi était de leur faire tourner la tête au point qu'elles ne se rappellent pas comment elles avaient fait pour arriver là. Mais pour l'instant je riais et dansais avec les hommes qui se succédaient à mes côtés. C'était la fin de l'été, tout semblait bien calme et cette soirée me donnait envie de me lâcher une dernière fois. Comme à la bonne époque. Comme sur ses plages de sable blanc d'Australie sur lesquels je passais mon temps à tout oublier et danser en faisant valser mes longs cheveux blonds autour de moi. Un homme restait pourtant pressant contre moi. Ses mains se baladaient sur mon corps et cela me semblait si vif que je n'avais pas la tête à l'évincer. Je commençais à être déjà un peu loin. Pourtant, je sentis la pression se défaire d'un coup et avec un sourire je me tourna mon appercevoir ce qui l'avait fait lâcher prise. Jonah. Il était là devant moi en train de discuter avec le type qui n'avait céssé de me coller et à en croire ses paroles que j'essayais d'analyser, il lui demandait de se défaire de moi prestement. J'étais surprise. Mais devrais-je vraiment l'être ? Cela me fit revenir à l'époque où il se démenait toujours pour moi dès qu'il voyait qu'un homme pouvait aller un peu trop loin avec moi. Pourtant j'avouais qu'on en faisait toutes des conneries à se donner aux bras d'hommes qu'on ne connaissait pas. Pourtant, il avait toujours refusé ça et s'était toujours évertuée à me préserver des conneries que je pouvais faire. Il le faisait encore aujourd'hui quand bien même nous nous étions séparés dans des termes que je ne pouvais juger très positifs. Nos regards se croisèrent et il commença alors à s'éloigner. Ma tête me disais de continuer à danser, de ne pas m'en préoccuper et de le remercier à l'occasion. Mon coeur me disait de foncer sur lui. Tout dans sa présence en face de moi avait éveillé mes sens. Cette plage, cette nuit, l'alcool, son parfum ... Tout me rappelait l'Australie mais sans lui à mes côtés, je ne pouvais le supporter c'est pourquoi je le rattrapa rapidement et lui prit la main pour qu'il face volte face. A peine s'était-il de nouveau vers moi que je l'entrainais sur la piste de danse avec un sourire. Même si nous avions tant de choses à discuter, tant de choses à nous dire, que les tensions n'étaient pas finies, j'étais pompètes. Et lorsqu'on avait un coup dans l'aile, on ne cherchait pas à déterrer des conflits. Juste à poser un drapeau blanc pour une période et se remémorer les plaisirs d'une vie. L'entraînant donc sur la piste de danse, je passa mes bras autour de ses épaules et me demanda bien ce que je fabriquais. Mon cerveau embrumer j'avouais que mon comportement était assez radical mais je ne pus m'empêcher de lui sourire. Tu vois c'est comme en Australie. Les problèmes de l'année, les histoires tu les mets de côté. Et parce que l'alcool y joue sûrement beaucoup aussi, danse avec moi Jonah. Danse avec moi comme si j'étais toujours la fille la plus importante à tes yeux. J'espérais qu'il accepte cette trève pendant quelques minutes. J'en demandais beaucoup en faîtes. Non je savais que quand l'alcool redescendrait, j'allais sûrement regretter de ne pas avoir régler nos tensions avant de lui sauter dessus mais j'étais comme ça et il le savait.
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MessageSujet: Re: Léo-Alisson&Jonah :. L'été qui s'achève tu partiras, à cent milles lieux de moi ... Léo-Alisson&Jonah :. L'été qui s'achève tu partiras, à cent milles lieux de moi ...  EmptyMar 29 Oct - 18:30

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