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Ken et Barbie ❀ The only way to get rid of temptation is to yield to it

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MessageSujet: Ken et Barbie ❀ The only way to get rid of temptation is to yield to it Ken et Barbie ❀ The only way to get rid of temptation is to yield to it EmptyLun 22 Juil - 17:05

. The only way to get rid of temptation is to yield to it .

Ajustant une dernière fois ma robe, je m’apprêtais à rejoindre mon fiancé au restaurant. Mon fiancé ? Et bien oui, effet. Il est vrai que durant ma longue période étudiante -ma plus grande passion étant bien entendu les hommes- j’avais eu un bon nombres de relations sans importance, voir même des fois, des histoires d’une nuit. La seule chose où je me devais d’être fidèle était bien l’amitié. Et durant cette période j’étais très proche de mon partenaire de crime alias Kenzo, à l’époque j’étais sa plus fidèle complice pour ses relations. M’affichant la plupart du temps comme sa compagne officiel, j’étais pour lui son meilleur alibi. A la fin de nos études nous n’avions pas perdu contact bien au contraire, lui continuer sa voie et moi la mienne. Voilà deux mois que je venais tous juste d’obtenir un poste dans le célèbre magasine du nom de vogue. Mon travail ? écrire des minis chroniques sur la mode de notre temps. Ce qui signifie aller tous le jours dans les plus grandes boutiques de vêtements, autrement dis, le boulot de rêve. Nos sentiments respectifs avaient pris le dessus sur notre amitié. Comme quoi Kenzo et Barbie étaient finalement destinés à être ensemble. Nous étions nos doubles respectifs autrement dis mean to be. Ma crinière blonde lâchée se dessiner le long de mon dos, ma robe en bustier rose dessiner parfaitement mon corps de déesse et je ne pouvais plus m’arrêter de m’admirer dans ce miroir. Narcissique a souhait mais complétement assumée, le mieux dans tous ça c’est que Kenzo est pareil voir pire que moi. Les seules fois où ont se bats c’est pour savoir lequel des deux est le plus génial, il faut savoir que c’est un combat qui n’aura jamais de fin, puisqu’aucun des deux n’est prêt à lâcher les armes. Deux heures et demi de préparation plus tard et me voilà fin prête à retrouver le ken. Descendant tranquillement de ma limousine, j’entrais dans le restaurant, tel une princesse entrant dans son château. Je me sentais dévisagé, et je dois bien l’avouer me sentir admiré était un de mes meilleures passe-temps. Pavanant dans l’allée, je m’installais à une table. Attendant l’arrivé de mon prince charmant. En retard ? Ce serait bien la première fois. Je n’allais pas attendre comme une malheureuse devant ma table définitivement vide, je claquai des doigts une fois pour ameuter le serveur tel une marionnette jusqu'à moi. « Servez moi une coupe de champagne. » Il partie aussitôt mais je repris parole et il se retourna une nouvelle fois à moi. « Et puis amener la bouteille, ça ne sera pas perdu. » Prête à passer une excellente soirée, mais pour quelle occasion ? Normalement rien du tout, peut-être avait-il une surprise ? Ou peut-être pas. Mon esprit foufou, ne me quittais pas et je n’avais qu’une envie, sortir m’amuser. Très vite j’aperçu une crinière aussi blonde que la mienne, j’étirai un sourire malicieux à sa vu. Et attendit qu’il s’installe tranquillement avant de lancer les hostilités à son encontre. « Tu t’es perdu ? Je te signal que je t’attend depuis cinq minute, j’ai presque cru que tu me poserais un lapin. » Pas contente Presley, je ne supportais pas attendre seule dans un restaurant. Je me sentais pathétique, attendant son rencard qui ne viendrait peut-être pas. Oui, mon plus gros défaut me soucier de ce que pense les gens de ma personne. Je buvais une gorgée de mon liquide jaune pâle à bulle qui passait relativement bien. « Si tu n’étais pas arrivé avant la fin de ma coupe, je serais partie chercher ce minable serveur et je serais partie m’amuser à ses côtés. » Je ne me refuse rien ni personne, serveur, politiciens, un riche, un pauvre, je ne regarde pas, du moment qu’il est exquis à la vu, le reste m’importe peu. Bien entendu le seul avec qui j’avais envie de prendre du bon temps ce soir est bien Kenzo, mais s’il me refait un coup pareil, je vais devoir le punir, et le pire c’est que je sais qu’il prendrait autant de plaisir que moi dans son supplice. La dure loi d’être un Kenzo, ce grand fou au sourire charmeur, il est aussi délicieux à la vue qu’a la conversation. Si je n’ai pas une sacrée chance de l’avoir à mes côtés celui là. Je ne pris même pas la peine de lui déposer un baiser, vexée pour le moment, je ne ferais pas le premier pas. Habituellement pas rancunière j’attendais simplement une douce parole du jeune homme, pour enfin faire le nécessaire pour lui faire passer une excellente soirée. Tout dépendra de son comportement de ce soir, mais si la soirée ce passe bien, je pourrais lui trouver une occupation de fin de soirée des plus agréable. Alors attention Kenzo, ce soir, soit tu rentres seule, soit tu rentres en compagnie de la plus belle à savoir moi, et peut-être même avec plus que ça.
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MessageSujet: Re: Ken et Barbie ❀ The only way to get rid of temptation is to yield to it Ken et Barbie ❀ The only way to get rid of temptation is to yield to it EmptyJeu 25 Juil - 15:57

Ken et Barbie ❀ The only way to get rid of temptation is to yield to it 4npj9

Je sors d'une conférence portant sur l'histoire religieuse au Moyen-Orient. Oui, je sais : si j'avais lancé ça il y a environ six ou sept ans, lorsque j'étudiais encore à Berkeley, j'aurais déclenché des fous rires en cascade. Cependant, cela n'a rien d'une blague, je suis un brillant historien et chercheur spécialisé sur l'histoire religieuse contemporaine, principalement sur le monde oriental. Et si j'arrive à en vivre suffisamment, je me repose également sur une fortune conséquente alimentée par les actions et bénéfices de l'entreprise immobilière de feu mes parents adoptifs. Je monte dans la voiture qui m'attend pour m'emmener au restaurant où je dois rejoindre ma fiancée qui va certainement râler que je suis en retard. Chérie, tu sais que la ponctualité et Kenzo, ça ne va pas ensemble. La fiancée en question, c'est Presley, alias la Barbie par excellence. Modeuse comme personne, divine à observer sous tous les angles et narcissique à souhait, c'est mon reflet au féminin. J'ai connu de nombreuses aventures, liaisons et autres histoires d'amour passionnées, mais la vie n'est-elle pas faite pour qu'on en revienne aux bases de chez bases ? Déjà à l'époque de Berkeley, nous paradions joyeusement parmi le petit peuple, évoluant comme reine et roi d'un royaume où nous pouvions régner en maîtres… du moins, d'apparence. Il ne s'est jamais rien passé entre elle et moi, même si nous nous amusions à faire croire le contraire. Rien jusqu'à ces quelques derniers mois où, après s'être donnés un énième rendez-vous entre simples amis, nous avons entamé une liaison. Notre couple ? Seigneur, nous en ferions rire plus d'un, si ce n'est provoquer plusieurs chocs. J'approche pratiquement la trentaine et je n'ai quasiment pas changé sur le plan amoureux. Volage et attaché à la fois, je peux être un amoureux niais et classieux sans pour autant m'empêcher de lorgner la voisine aux jambes affolantes de longueur. Et Presley ? Il suffit qu'un autre Apollon – moins beau que moi, mais à son goût – lui passe devant le nez pour qu'elle papillonne elle aussi. Libertins, l'adjectif nous correspond à merveille. Amoureux ? Tout autant. Voyez cela comme un couple moderne, pas un grand stéréotype ennuyeux. Je réajuste mon nœud papillon après avoir enfilé mon nouveau costume dans la limousine au prix de contorsions formidables puis je m'adresse un sourire ravageur dans la vitre qui me sépare du chauffeur. Quand Ken se fait beau pour Barbie, toute une histoire. Je sors de la voiture pour marcher d'un pas mesuré à l'entrée du restaurant, jugeant qu'elle n'est probablement pas à une ou deux minutes près. Le serveur m'amène à la table où la divine ex-Bêta aujourd'hui journaliste pour Vogue m'attend. Première réflexion : une critique. Classique. "Je suis beaucoup trop adorable pour te poser un lapin. Par contre, j'en ai posé un à ma maîtresse pour venir te voir, tu peux me remercier." Je l'embrasse sur les lèvres avec un adorable sourire, jugeant le moment opportun pour la taquiner car, à son tour, elle enchaîne sur d'éventuels fantasmes qu'elle aurait posé sur le serveur qui repart après m'avoir emmené à notre table. Je le regarde de dos puis j'arque un sourcil. "Lui ? Celui de la table là-bas est quand même moins repoussant." répondis-je en désignant un jeune homme brun avec une barbe de trois jours. Vous allez voir que dans quelques minutes, je vais la caser avec un autre. Pourtant, je ne rêve déjà que d'une chose : cette nuit de folie que nous allons nous offrir tous les deux. Juste tous les deux ? Qui sait. Je sors un écrin de la poche intérieure de ma veste puis je le fais glisser jusqu'à elle avec un sourire. "Je suis passé chez Cartier t'acheter une fleur." Et quelle fleur : il s'agit d'un bracelet en or blanc avec une fleur de 8 carats plutôt discrète, rien de trop gros pour son poignet délicat. Oui, il s'avère que princesse Eynsford-Lewis ne reçoit pas de fleurs de chez son fleuriste, elle préfère qu'elles proviennent de son bijoutier. Et ça m'amuse qu'elle soit aussi précieuse car, dans la salle de bains, c'est toujours à qui sera le plus beau ou la plus belle. Je trinque avec elle en la fixant droit dans les yeux, un air charmeur sur mes traits. "A notre soirée, Barbie." Je mime un baiser à distance puis je bois une gorgée de champagne avant de reposer ma coupe. "Alors, ta journée s'est bien passée ? D'autres cloportes se sont retrouvés écrasés sous ton talent et tes talons aiguilles ?" Et en bons tordus que nous sommes, j'avoue avoir déjà trouvé du plaisir à sentir le talon aiguille de la princesse blonde se planter dans mon dos… mais passons, les esprits de ce restaurant ont l'air trop chastes.
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MessageSujet: Re: Ken et Barbie ❀ The only way to get rid of temptation is to yield to it Ken et Barbie ❀ The only way to get rid of temptation is to yield to it EmptyJeu 25 Juil - 23:37

. The only way to get rid of temptation is to yield to it .

Libertins, oui, c’est bien nous. Ce n’est pas qu’ont aiment pas être infidèle, d’ailleurs on ne l’est pas tellement puisqu’on s’amusent toujours à deux. Jamais chacun de son coté. Je crois que c’est ce qui fait que notre couple est aussi soudé. Oui, solide comme un rock. Amoureuse, oui je devais bien l’avouer, il rendait ma vie merveilleuse un peu plus chaque jours. Mais je lui rendais bien, je le rends fou. Mais fou d’amour bien évidemment. Me regardant une fois de plus sur la vitrine du grand restaurant, j’attendais encore que monsieur pointe le bout de son joli minois. Je replaçais mes cheveux encore et toujours et me faisais presque la bouche en cul de poule pour voir si mon rouge à lèvres est encore bien accentué. Quand je vis arrivé le jeune homme je le trouvais comme à chaque fois d’un charme à couper le souffle. Et bien entendu toujours avec une bonne excuse suivi d’une touche d’humour. « Adorable, et bien crois le. Laquelle dis moi, ta secrétaire, notre femme de ménage ou bien m’aurais-tu trahi et avoir pris une nouvelle maitresse sans moi ? » Il n’avait pas intérêt, nous choisissions ensemble nos conquêtes et nous les partagions même. N’étant pas regardante sur les sexes. Je pouvais passer une nuit avec une femme et mon fiancé très facilement. J’avais déjà eu à faire à sa secrétaire et je dois dire, qu’elle avait certains atouts, grande et blonde, elle est un peu mon double mais en moins jolie. Je jetais un coup d’œil à ma bague, et je souriais bêtement. Si j’avais cru un jour me marier ? Non jamais, mais je dois dire qu’avec un homme tel que Kenzo a mes côtés je me sentais beaucoup plus apte a passer l’étape supérieur. Mon frère approuver cette union, alors je ne pouvais en être que plus heureuse. Il m’indiquait au loin une table où se trouvait un jeune homme loin d’être désagréable à regarder. « Pas mal, mais je dois dire que je ne suis pas intéressée par les mineurs imberbes, j’ai déjà ce qu’il me faut à la maison en dix fois mieux. » Ah quand même un petit compliment. Nous avions tous les deux la chance d’être encore très bien conservé malgré notre âge. Monsieur avait un cadeau pour moi ? Il sait comme ce faire pardonner ce petit. Je pris le petit coffret pour l’ouvrir délicatement. Et mes yeux comme à chaque fois qu’il m’offre des bijoux, s’illuminèrent. Mes yeux bleues devenaient un peu plus brillant et je pris la beauté dans mes mains pour lui tendre et qu’il puisse me le mettre. Je me levais délicatement pour lui déposer un baiser de remerciement. « Je ne vais pas te dire que tu me gâtes trop, puisqu’on ne gâte jamais assez Presley, mais merci tu sais à quel point j’aime les bijoux. » Je lui réservais moi aussi une surprise. Mais ce cadeau là ne se porte pas, il se retire bien au contraire. Je passais une de mes jambes sur le côté de la table pour remonter un peu ma robe. « J’ai moi aussi un cadeau pour toi, mais tu ne pourras en profiter qu’après notre diner. » Dis-je en chuchotant. Je savais qu’à partir de cet instant le dîner passera très vite par la faute du Ken en puissance. Il allait vouloir abréger le diner pour passer directement au dessert. Mais ne dit-on pas généralement que plus on attend plus le désir est important ? Et la récompense n’en sera que plus appréciée. En rangeant ma jambe de nouveau sous notre table, je pris ma coupe de champagne, et je lui adressai un clin d’œil en réponse à son baiser volé. « Quelle soit aussi étincelante que mon nouveau bijoux. » Je me sentais que plus belle habillée par ce merveilleux bracelet de huit carats. Je me sentais presque honteuse de ne pas lui avoir apporter moi aussi un présent. Oh suis-je sotte, le présent c’est moi et il allait pouvoir me porter autant de fois qu’il le veut. Si ça ce n’est pas le cadeau le plus merveilleux du monde. « Mon talent toujours, mes talons aiguilles pas aujourd’hui, pas quand je porte mes chaussures à semelle rouge. » Par semelle rouge j’entends bien sur mes quelques talons louboutin délicatement rangé dans notre penderie. Je n’allais pas abimer ces précieux escarpins. « Et toi dis moi, ta journée ? » J’avais une goutte de mon joli liquide et repris aussitôt. « Ah oui j’oubliais, j’avais pensée qu’on pourraient faire une séance photo, pour nos faire part, et n’oublions pas qu’on va être publié dans le numéro spécial mariage dans vogue, alors je veux nous rendre parfait, du moins essayer. Il sera difficile de faire mieux. » Monsieur Kenzo, sache que mon mariage sera digne de l’union du prince William et de la princesse Kate Middleton. Mais en me demandant en mariage il devait déjà en avoir une vague idée.
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MessageSujet: Re: Ken et Barbie ❀ The only way to get rid of temptation is to yield to it Ken et Barbie ❀ The only way to get rid of temptation is to yield to it EmptyDim 28 Juil - 15:20

Ken et Barbie ❀ The only way to get rid of temptation is to yield to it 4npj9

Des couples comme le nôtre, je mettrai ma main à couper qu'il n'en existe absolument aucun. Et c'est ce qu'il y a de plus amusant car Presley en est rendue à me demander de quelle maîtresse je suis en train de parler exactement. Il faut dire que ma secrétaire se souvient de ce soit-disant dîner avec ma fiancée auquel je l'avais invitée à la maison... En réalité, j'avais branché Presley sur l'affaire et lui avait amenée pour avoir son avis sur la question. Cinq minutes après le plat de résistance, nous prenions le dessert tous les trois dans la chambre à coucher. Forgés tous deux dans le même bois, Presley et moi ne posons aucune limite à nos plaisirs tant qu'ils ne nous empêchent pas de nous aimer passionnément. De cette manière, contrairement à ces mariages qui battent de l'aile à cause d'une vie sexuelle inexistante, nous sommes faits pour durer. En présentant Presley à ma famille, j'avais eu une tape dans le dos de la part de mon père, accompagné par un "Belle prise, fiston !" qui voulait tout dire. Naturellement, je lui ai dit de se tenir tranquille car je sais de qui je tiens mon côté charmeur et séducteur. Quant à mon oncle Noah, il a donné sa bénédiction car j'ai pris soin de ne pas parler de notre conception de la vie conjugale un peu spéciale... Il est tellement chaste, le pauvre, qu'une délicieuse diablesse comme ma fiancée l'aurait mis dans tous ses états, le pauvre. "Tu sais que je te suis bien trop dévoué pour choisir une maîtresse sans ton consentement, ma chérie." Le couple à côté de notre table tourne la tête, visiblement surpris de ce que je viens de dire. Pour ma part, je n'ai d'yeux que pour la princesse qui découvre son présent avec enchantement après avoir rabroué à distance le supposé mineur que je lui ai désigné. Tiens, j'y pense : un tour à Berkeley pour débaucher quelques étudiants, un jour où nous nous ennuyons, voilà qui pourrait être drôle. On ne gâte jamais assez Presley ? Elle est adorable quand elle se met à parler à la troisième personne, ce narcissisme la rend d'autant plus attirante. Je suis engagé à une fiancée aux goûts de luxe, mais en même temps, j'ai trop de classe pour m'encombrer d'une personne normale. Après avoir vécu quinze ans dans la misère la plus absolue, je fais une réaction allergique à la normalité dans ma vie privée, ce qui ne m'empêche pas de donner beaucoup aux plus démunis. Tout en lui ornant son poignet du bijou qui est désormais sien, j'arque un sourcil. "Ah oui ?" Mon regard glisse sur sa jambe qu'elle présente presque innocemment. Dois-je dire à quel point j'adore ses cadeaux ? Avec Presley, c'est Noël tous les jours. Comme d'ordinaire, je n'attends rien en retour, la belle s'est habituée à ce que je la gâte sans raison, même quand nous n'étions que des amis. "Une Barbie, ça a besoin d'accessoires... Et un Ken, ça a besoin de sa Barbie." Discours qui peut paraître très simplet en apparence, mais qui montre l'amour que j'éprouve à son égard. Affectueux par nature, les cadeaux matériels m'enchantent, mais je préfère de loin l'amour de mes proches. Je souris en prenant une gorgée de champagne quand elle me parle de son travail avant d'enchaîner sur le mariage, soit l'occupation majeure avec laquelle elle me harcèle depuis que je l'ai demandée en mariage quelques semaines plus tôt. "Une séance photo ? Je suis tout à fait pour, à partir du moment où on ne se lance pas dans un truc propret et trop traditionnel. Il faut qu'on leur envoie du rêve, qu'on provoque la jalousie de tous nos invités, c'est ça le secret d'un faire-part réussi !" J'imagine d'avance la tête de celles et ceux qui nous verront étinceler à la fois sur nos faire-parts et dans le magazine où travaille Presley. Deux merveilles ambulantes qui vont susciter de nombreux envieux. "J'ai réussi à privatiser l'église Saint Patrick pour la cérémonie religieuse et l'hôtel du Plaza pour la réception. Hors de question de valser et de recevoir dans une petite salle des fêtes quatre étoiles, nous valons mieux que ça." J'offre un clin d'œil à ma fiancée alors que le serveur nous apporte les menus. Comme tout restaurant de luxe, les prix sont uniquement sur ma carte, même si je n'y prête guère attention. "Je vais prendre la salade du chef, puis un faux filet sauce au poivre avec des pommes dauphines et une compotée de cranberries." Le type prend également la commande de Presley puis après avoir rendu les cartes, je prends sa main dans la mienne avec un sourire. "Pour les invités, tu as une idée de ceux que tu veux choisir ? Pas de moches, on est bien d'accord ?" Quoi ? C'est bien connu, le moche ternit la beauté d'un mariage réussi. "Et la lune de miel, on part juste tous les deux ou on emmène quelqu'un chacun ?" Irrécupérables.
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MessageSujet: Re: Ken et Barbie ❀ The only way to get rid of temptation is to yield to it Ken et Barbie ❀ The only way to get rid of temptation is to yield to it EmptyMer 9 Oct - 14:15

[quote="Camélia P. Da Volpedo"]
. The only way to get rid of temptation is to yield to it .

Inimitable à souhait et radieux sous toutes les coutures, le couple ne pouvais pas être mieux qu’aujourd’hui. Envié de beaucoup ils sont en tout points unique. Fort amoureux mais aussi fort libertin, plus ouvert pour plus de plaisir. Presley n’y voyait aucun inconvénient bien au contraire ils avaient décidé ça à deux et chacun y trouvaient son compte. Parfois elle se demandait encore, comment il pouvait la supporter. Il faut dire qu’il en avait vécu des choses à ses cotés. Pire encore durant l’époque de l’université. Elle avait eu deux années là bas et elle n’était pas passé inaperçu bien au contraire. Elle avait été la folle de Berkeley. Presley la folle, Presley la tueuse, Presley la sœur tarée d’Adriel. Beaucoup de surnom pour une jolie blonde qui enfaite n’avait eu besoin que d’un suivi médical spécialisé. Oui elle avait tué quelqu’un mais par accident. Pour le reste elle avait simplement eu trop peur de se dénoncé elle s’était donc enfermé dans un piège infernal dont elle n’a jamais réussi à sortir. C’est après avoir tabassée et enlevée plusieurs personnes qu’elle fut enfin arrêter par la police. Bien sur elle avait été coupable de tous ses crimes, mais elle avait été identifié comme bipolaire. Elle ne fut donc pas enfermée en prison mais bel et bien en hôpital psychiatrique. Elle y est restée deux ans avant de sortir avec avis médical et une dose de médicament à prendre à vie. Encore aujourd’hui Presley été sous traitement, valait mieux. Sinon elle pouvait changer d’humeur en un quart de seconde et faire des choses dont elle n’a pas conscience et qui peuvent engendrer des conséquences désastreuses. Aussi étonnent que ça puisse paraitre Presley ce sentait toujours autant coupable d’avoir pu envisager de faire du mal à Kenzo. Etrange la connaissant. Quoi que. Déjà à l’époque leurs complicité n’était un secret pour personnes et le seule fait d’apprendre que c’est Presley qui avait kidnappée et presque frappée le jeune homme en avait étonné plus d’un. « Dévouement partagé penses-tu. En plus tu serais capable d’en choisir une moche ou pire encore … une grosse. Toi avide de nouvelle expérience. Que je t’y prenne pas à choisir une obèse. » Parfaitement à l’aise sur son physique Presley fait partie des jeunes femmes qui ne prend pas un gramme en plus par jour, tous son régime alimentaire est calculé à la perfection. Elle devait bien reconnaitre que certaine jeune femme bien en chair l’attirée mais les obèse par contre. Elle ne ressentait absolument rien. Une vie de tarée ? Peut-être mais c’est leur vie et ils l’ont choisi à deux. Presley s’étonnait parfois d’être marié, oui elle en avait toujours rêvée mais en même temps elle ne se voyait pas finir sa vie avec la même personne. Bizarrement assez volage elle n’en restait néanmoins assez sérieuse puisqu’elle était en total accord avec son mari sur ce point. Presley naquit d’un sourire satisfait quand elle aperçu le regard de Kenzo glisser sur sa jambe et les yeux remplis d’envie. Mission réussi pour la jolie blonde au physique parfait. « Et ta Barbie n’est présente que quand Ken la gâte. Tu sais je trouve notre couple unique, et je pense même que si nous devions nous quitter –sait-on jamais– on resterait amies, je le sens je sais pas pourquoi. Après tout on était bien ami avant de ce marié. » Les deux amants continuèrent leurs repas sans accro et dans la bonne humeur. Cependant la soirée aller être encore pleine de surprise. Une fois rentrer à la maison, Presley offrit à Kenzo un show parfait et privé. Pour ce soir ils seraient rien cas deux. Ce qui pour une fois n’allait pas déranger la jeune femme bien au contraire.
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MessageSujet: Re: Ken et Barbie ❀ The only way to get rid of temptation is to yield to it Ken et Barbie ❀ The only way to get rid of temptation is to yield to it EmptyDim 13 Oct - 21:14

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MessageSujet: Re: Ken et Barbie ❀ The only way to get rid of temptation is to yield to it Ken et Barbie ❀ The only way to get rid of temptation is to yield to it Empty

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