Samedi soir, la question ne se pose même pas c'est un Drea totalement déchiré que l'on retrouve, il n'est pourtant pas tard, il est 22 heures et aucune boite de nuit est encore ouverte. Pas la peine de ça, Andrea adore une chose par-dessus tout, se trouver dans un bar huppé ou l'alcool ne se boit pas, mais se déguste. Vous voyez le style ? Le genre d'endroit ou les gens boivent de l'alcool en costard et qui la plupart du temps il recrache tout, c'est uniquement pour avoir le gout, faire connaissance avec la robe ou autre. Bon vous aurez compris que les bouteilles vendus là-bas sont souvent aussi cher que certaines petites voitures ou certains loyers. Autant dire que quand le gérant d'un de ses bars voit arriver Drea et quelqu'un de ses potes au début il est sur le qui-vive, mais quand quelques black-card se retrouvent sur le comptoir le sourire revient toujours très vite. Une heure, voilà le temps qu'ils leur avaient fallut pour qu'ils finissent à l'envers, l'alcool est cher, l'alcool est bon, mais il est surtout très fort dans ce genre de bar. Quand Drea est ivre il fait des conneries et c'est donc ce qui commença assez rapidement, une première bousculade, puis une seconde et c'est le bar entier qui s'enflamme. Les branleurs que sont Drea et ses amis contre les bons pères de famille qui sont ici pour déguster, il y a même une femme qui c'est attaqué à lui en essayant de le griffer au cou, réussit pour elle puisque c'est le cou en sang que Drea quitte le bar. Fin de ce début soirée, c’est dans son appartement que Drea se retrouve, changement de vêtements et surtout en train de soigner cette vilaine griffure, on ne sait jamais ce que peuvent avoir ses tigresses sous les ongles. Devant son miroir c’est un Andrea qui rigole tout seul que l’on retrouve, totalement ivre il se dit que c’est la première fois qu’une femme le griffe pour lui faire mal, d’habitude elle le griffe de bonheur. C’est en parlant de bonheur que son téléphone sonne, un coup d’œil certainement un de ses potes qui vient de se faire chopper par la police. Mais non la surprise est bien plus intéressante, c’est la belle Léo qui l’appel, elle est dans une soirée qui lui plait et elle aimerait voir le bel Andrea la rejoindre. En bon gentleman il ne peut refuser cette offre, puis bon comment refuser quelque chose à la belle blonde ?
Cette fille en plus d'être magnifique lui a sauvé la vie, quand il était dans cette voiture, laissé pour mort, c'est elle qui a appelé les secours, c'est ensuite elle qui est venu le voir à l'hôpital, c'est elle qui était là à son réveil au contraire de sa mère qui vivait très mal l'histoire qui venait de se passer. Il lui devait beaucoup et s'entendait énormément avec elle. Elle était restée en Italie pour être avec lui, puis ils avaient appris presque avec surprise qu'ils se retrouveraient tous les deux à Berkeley. Une très belle amitié pleine d'attirance qui laissa place à une nuit assez mémorable pour une fois que la mémoire du beau brun ne lui pose pas de problèmes. Puis ensuite plus rien la jeune femme le faisant chanter, pensant tenir les hommes par le sexe elle voulait savoir pourquoi il s'était fait tiré dessus. Pour lui de la curiosité mal placé, pour elle, certainement l'assurance de ne pas être avec un dangereux criminel. Bref, prenant sa moto dans un état plus que second il mit du temps à comprendre qu'il ne lui avait pas demandé où elle se trouvait. La rappelant une seconde fois il compris qu'elle était à la fête sur la plage qu'il avait vu au loin en s'enfuyant du bar de tout à l'heure. Manquant de se casser la gueule plusieurs fois, il arriva enfin à la plage et surtout au seul endroit ou la musique était plus forte que dans une boite de nuit. Alcool en main il chercha la belle blonde, ce ne fut pas dur de comprendre qu'elle se trouvait là où il y avait une clique de garçon autour, s'approchant et en bousculant un il lança.
Poussez vous je suis là !
Déposant une bise sur la joue de la jeune femme et la prenant par la taille !
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Sujet: Re: Sea, drug & alcool Sam 13 Juil - 23:59
J'appliquais une couche de mascarade sur les cils pour faire ressortir mes grands yeux verts et m'observa un instant dans la glace. J'étais la merde. Jusqu'au coup. Et oui, pour le coup, j'étais encore dans des histoires qui me mettais sans dessus dessous et surtout, cela signifiait que ce soir je passais pour une sans amie. L'année finie et les vacances déjà bien entamée j'aurais pu au moins rêvé de passer mes soirées à m’enivrer sans penser à la suite des choses. Sauf que je ne faisais penser qu'à tout ce qui c'était enchaîné récemment. Le bal avec Casey, la manière dont m'avais rejeté Mavis pour ensuite revenir penaud, le mort et ce fameux cadavre étalé au sol ... Et pour combler le tout, nous étions enfermés à San Francisco jusqu'à ce que l'affaire soit bouclée. Pour ma part, je devais aussi aller me défendre avec mes consoeurs devant le doyen qui n'avait pas vraiment l'air sympathique d'après ce que j'avais pu voir de lui. Moi me justifier ? En général quand je trempais dans des affaires du genre j'avais toujours papa derrière qui aligné généreusement quelques liasses de billets tout en regardant l'heureux futur propriétaire de cet argent avec un sourire plus qu'entendu. Sauf que là, ce n'était pas possible. Nous étions tous dans le même sac ce qui avait le don de me désespérer. Enfermée ici alors que j'aurais pu profiter de vacances bien mériter, je devais faire avec le fait que Casey ne m'adressais plus la parole et que mes amies les plus proches étaient constamment chez l'élu de leur coeur. Il n'y avait décidement que moi pour me prendre la tête en été ! C'est pourquoi j'avais décidé de remédier à ça en sortant à une soirée qu'un type m'avait conseillé après m'avoir accosté à la terrasse du Starbuck le plus proche. Enchanté par l'évènnement et par le regard aguicheur du bel-âtre, je n'avais pu résister à l'envie d'arrêter de penser constamment aux deux hommes qui hantaient mon esprit. Enfilant rapidement un short et un débardeur, je fus rapidement sur la plage. Une soirée où tout le monde semblait déjà bien imbibé. Ce n'était pas pour me déplaire moi qui, travaillant au Burlesque, n'avait pas le droit à prendre de verres, je pouvais enfin rattraper ces soirées ! Alors que je me dirigeais vers le bar, je sentis une main s'arrêter sur ma taille et je tourna mon regard vers le jeune homme qui m'avait invité. Sourire aux lèvres, l'air complètement fait, les joues légèrement rouge, je me demandais s'il ne voyait pas deux moi au quel cas il était bien chanceux et je comprenais parfaitement ce sourire béta. Je fis mine d'être surprise et l'embrassa avec un sourire tout en me dirigeant vers sa petite troupe d'amis qui semblant dans le même état que lui. Musique, garçons et alcool. j'avais eu raison de sortir néanmoins cela me faisait penser à Andrea. Nos petites soirées me manquaient et il était bien le seul à ce moment précis qui aurait pu me faire passer une superbe soirée. Je l'appela alors et lui ordonna expressément de me retrouver au quel cas il était sûr qu'il allait avoir le droit aux genre de petites crises royals que je me tapais quand je n'avais pas ce que je voulais. Il arrivait quelques temps plus tard alors que j'étais en grande discussion avec un homme dont je ne me souvenais même pas comment j'avais fait pour commencer à lui parler. Je l'oublia totalement lorsque j'aperçus le visage de Drea s'empresser de me rejoindre avec un sourire malicieux sur le visage. Le beau rital déposa un baiser un ma joue tout en posant ses mains sur moi. Je lui retourna son baiser mais alors que j'allais me défaire de son étreinte, j'aperçus une blessure qu'il avait au coup. Soudain soupçonneuse comme à chaque fois à ses côtés et surtout l'air protecteur, je posa ma main sur son menton pour lui faire tourner la tête pour appercevoir mieux les dégâts. C'est quoi ça ?! Tu t'es fait agresser par un chat ou quoi ? Je ne pus que sourire. En voyant notre petit duo, on pouvait se demander pourquoi je me devais d'être protectrice envers lui alors qu'il n'y avait pas photo. la personne qui en imposait était bien le beau brun et il fallait le dire que j'avais bien dû mal à lui résister malgré toutes les questions que je me posais à son sujet et qui n'avaient jamais été résolues.
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J'appliquais une couche de mascarade sur les cils pour faire ressortir mes grands yeux verts et m'observa un instant dans la glace. J'étais la merde. Jusqu'au coup. Et oui, pour le coup, j'étais encore dans des histoires qui me mettais sans dessus dessous et surtout, cela signifiait que ce soir je passais pour une sans amie. L'année finie et les vacances déjà bien entamée j'aurais pu au moins rêvé de passer mes soirées à m’enivrer sans penser à la suite des choses. Sauf que je ne faisais penser qu'à tout ce qui c'était enchaîné récemment. Le bal avec Casey, la manière dont m'avais rejeté Mavis pour ensuite revenir penaud, le mort et ce fameux cadavre étalé au sol ... Et pour combler le tout, nous étions enfermés à San Francisco jusqu'à ce que l'affaire soit bouclée. Pour ma part, je devais aussi aller me défendre avec mes consoeurs devant le doyen qui n'avait pas vraiment l'air sympathique d'après ce que j'avais pu voir de lui. Moi me justifier ? En général quand je trempais dans des affaires du genre j'avais toujours papa derrière qui aligné généreusement quelques liasses de billets tout en regardant l'heureux futur propriétaire de cet argent avec un sourire plus qu'entendu. Sauf que là, ce n'était pas possible. Nous étions tous dans le même sac ce qui avait le don de me désespérer. Enfermée ici alors que j'aurais pu profiter de vacances bien mériter, je devais faire avec le fait que Casey ne m'adressais plus la parole et que mes amies les plus proches étaient constamment chez l'élu de leur coeur. Il n'y avait décidement que moi pour me prendre la tête en été ! C'est pourquoi j'avais décidé de remédier à ça en sortant à une soirée qu'un type m'avait conseillé après m'avoir accosté à la terrasse du Starbuck le plus proche. Enchanté par l'évènnement et par le regard aguicheur du bel-âtre, je n'avais pu résister à l'envie d'arrêter de penser constamment aux deux hommes qui hantaient mon esprit. Enfilant rapidement un short et un débardeur, je fus rapidement sur la plage. Une soirée où tout le monde semblait déjà bien imbibé. Ce n'était pas pour me déplaire moi qui, travaillant au Burlesque, n'avait pas le droit à prendre de verres, je pouvais enfin rattraper ces soirées ! Alors que je me dirigeais vers le bar, je sentis une main s'arrêter sur ma taille et je tourna mon regard vers le jeune homme qui m'avait invité. Sourire aux lèvres, l'air complètement fait, les joues légèrement rouge, je me demandais s'il ne voyait pas deux moi au quel cas il était bien chanceux et je comprenais parfaitement ce sourire béta. Je fis mine d'être surprise et l'embrassa avec un sourire tout en me dirigeant vers sa petite troupe d'amis qui semblant dans le même état que lui. Musique, garçons et alcool. j'avais eu raison de sortir néanmoins cela me faisait penser à Andrea. Nos petites soirées me manquaient et il était bien le seul à ce moment précis qui aurait pu me faire passer une superbe soirée. Je l'appela alors et lui ordonna expressément de me retrouver au quel cas il était sûr qu'il allait avoir le droit aux genre de petites crises royals que je me tapais quand je n'avais pas ce que je voulais. Il arrivait quelques temps plus tard alors que j'étais en grande discussion avec un homme dont je ne me souvenais même pas comment j'avais fait pour commencer à lui parler. Je l'oublia totalement lorsque j'aperçus le visage de Drea s'empresser de me rejoindre avec un sourire malicieux sur le visage. Le beau rital déposa un baiser un ma joue tout en posant ses mains sur moi. Je lui retourna son baiser mais alors que j'allais me défaire de son étreinte, j'aperçus une blessure qu'il avait au coup. Soudain soupçonneuse comme à chaque fois à ses côtés et surtout l'air protecteur, je posa ma main sur son menton pour lui faire tourner la tête pour appercevoir mieux les dégâts. C'est quoi ça ?! Tu t'es fait agresser par un chat ou quoi ? Je ne pus que sourire. En voyant notre petit duo, on pouvait se demander pourquoi je me devais d'être protectrice envers lui alors qu'il n'y avait pas photo. la personne qui en imposait était bien le beau brun et il fallait le dire que j'avais bien dû mal à lui résister malgré toutes les questions que je me posais à son sujet et qui n'avaient jamais été résolues.