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Ebony&Mavis :. Le meurtre est proscrit ? Tant pis !

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MessageSujet: Ebony&Mavis :. Le meurtre est proscrit ? Tant pis ! Ebony&Mavis :. Le meurtre est proscrit ? Tant pis !  EmptyLun 20 Mai - 1:00


EBONY&MAVIS


    J'écrasai l'accélérateur au moment même où le feu passa au vert. Je doubla deux voitures en passant sur une ligne continue, faillit renverser trois piétons et écrasa alors le frein lorsqu'une poussette se mit en travers de mon chemin. Non mais c'est pas vrai ! Je me mis alors à maudire toutes les personnes qui pensaient qu'avoir un enfant ferait du bien à l'humanité. Vieillissement de la population, tiens la solution miracle, faisons des gosses ! Non mais quelle connerie ! Ce trop plein d'élan affectif dans les foyers allaient me faire virer rouge cramoisie c'est pourquoi je klaxonna de nouveau et ce pendant un certain temps qui me sembla interminable. Non mais qui avait en plus l'idée de prendre une nourrice aux cheveux blancs et qui de toute évidence, peinait pour faire avancer la poussette ?! Allez mémé j'ai pas tout mon temps là ! Je sentis le regard furibond de la personne que je visais se tourner vers moi et me dévisager d'un air sévère et outré par les paroles que ses oreilles avaient entendue entre deux coups de klaxonne que je lui lançais résigner à mourir dans ma voiture, devant ce foutu passage piéton. Je n'avais pas tilté que la fenêtre était restée ouverte. Oh diable la mamie, j'aurais dû l'écraser elle et sa poussette mais ce genre d'idées j'allais les garder pour moi pour le coup. Enfin, elle finit par me dégager le chemin et je fonça de nouveau en direction de l'université. Pendant que ma voiture se cabrais alors que j'essayais de la pousser au maximum, je pris mon portable d'une main et écrasa les touches montrant bien l'état d'énervement dans lequel je me trouvais. Le message était un peu plus clair. "j'arrive, t'as intérêt à avoir une bonne explication". Bon pour le coup, on ne pouvait pas faire mieux comme texto. Pas de, salut ça va depuis la dernière fois qu'on s'est eu au téléphone ? Non rien de tout ça. Là c'était plutôt le genre, il va y avoir un meurtre très prochainement et bizarrement je pense que tu ne feras pas partie des témoins ! Une victime de plus à ma liste très longue mais cette fois-ci, j'allais avoir du sang sur les mains c'était évident ! Non il fallait que je me calme avec mes idées morbides. De quoi faire pâlir même le diable et je savais qu'il m'observais en ce moment même après tout, on m'avait toujours dit que j'avais flingué ma bonne étoile en venant au monde. J'avais Satan en guide parrain. On choisissait pas sa famille c'était le dicton ! J'arrivai enfin sur le campus tant bien que mal et gara ma voiture de travers sur le parking. Je traversa rapidement les couloirs, je n'avais même pas le temps pour jeter quelques regards méprisants sur les fantômes qui ornaient les murs et qui m'observaient dans le silence. Oui, une Ebony énervée ça pouvait faire peur. Imaginez pendant la période des règles ! Mon dieu, une horreur. J'arriva enfin dans le couloir des omicrons. Non il était vrai que les confréries autres n'avaient pas le droit à l'accès des couloirs de celles dont elles n'appartenaient pas mais là il fallait bien l'admettre, je n'avais pas d'autres choix et cela ne gênait pas après tout, qui pensait encore que j'essayais de faire de mon mieux pour respecter les règles ? Une fois à la chambre de Mavis, j'ouvris la porte rapidement et la referma derrière moi vivement telle une conspiratrice dans un feuilleton télé. Il voulu ouvrir la bouche mais je l'en dissuada d'un doigt porté à mes lèvres qui intimait le silence. On jouait gros sur ce coup là. Mes fonds pour payer ma vie en Californie. Pas tout bien sûr mais oh moins un tiers ce qui représentait une belle somme d'argent que je devais approvisionner le lendemain même. Je m'approcha de la porte que j'avais fermé écoutant si des bruits de pas n'allaient pas se perdre vers cette chambre et que des oreilles indiscrètes ne viennent se coller au battant de la porte en m'ayant vu y entrer soudainement puis je me tourna enfin vers Mavis légèrement moins constipée. Hum ... Je vais essayer de ne pas m'emporter. Il y a une heure j'ai reçu l'appel d'un certain omicron pour m'annoncer que mes revenus avaient disparus de sous son nez. Je me rapprocha alors de lui en baissant le ton. Je n'aimais pas discuter de ce genre de choses au sein de l'université surtout dans une chambre universitaire aussi grande que celle-ci mais je n'avais pas vraiment le choix. Dis moi que tu ne sais absolument pas de quoi je parle et que je l'ai rêvé. Voila maintenant que je le suppliais ! Ainsi il me faisait passer par d'étranges sentiments bien contradictoires et je commençais à croire qu'il n'avait pas finit de me faire tourner la tête celui-là !
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MessageSujet: Re: Ebony&Mavis :. Le meurtre est proscrit ? Tant pis ! Ebony&Mavis :. Le meurtre est proscrit ? Tant pis !  EmptyMar 21 Mai - 16:47


Mavis & Ebony
je suis mort

Ce matin Mavis se réveilla de bonne humeur, il avait fait une belle grasse matinée après avoir fait la fermeture du Burlesque la veille, les examens étaient passés, il avait obtenu son année et donc pouvait se sentir tout à fait soulager, et commencer à profiter de l'endroit où il se trouvait. Il souhaita bonne journée au dernier colocataire qui restait dans sa chambre avant de se laisser tomber une nouvelle fois dans son lit, il était bien là et il avait le sourire aux lèvres. Les rayons du soleil venaient lui réchauffer la peau et alors qu'il passa sa main en dessous de son lit pour se sentir encore plus serein, c'est là que tout s'arrêta. Mavis sauta de son lit dans un bond pour se ramasser par terre avant de regarder dans tous les recoins en dessous de son lit. Oh puta*in, elle est où cette boite?!! Là il était carrément en train de griser, la boite de pandore avait disparu et lui n'avait plus que quelques heures à vivre. Non mais c'était pas possible, il devait faire un mauvais rêve! Il ne voyait que ça! Pour s'en assurer, il se donna une gifle..qu'il sentit malheureusement passer. Il se mit alors à fouiller toute la chambre, tous les dessous de lit de ses coloc's, en tout quatre pour une pauvre chambre merde mais bon Mav' était habitué donc ça ne le dérangeait pas le moins du monde, mais dans ces cas-là où il devait cacher un truc super top secret pour quelqu'un d'autre, il n'appréciait plus tellement. Après un quart d'heure de recherche effréné, il fit la constatation qu'il n'y avait plus rien, que la boite n'était plus là et qu'il avait mis un bordel monstre dans la chambre. Oh et puis merde, après tout c'était forcément l'un de ses colocataires qui l'avait pris donc! Mav' en boxer assis sur son lit, observait attentivement son portable qu'il tenait entre ses mains. L'appeler, ou ne pas l'appeler? Se faire tuer ou déguerpir en moins de deux des États-Unis? Oui la marchandise qu'il cachait venait d'une personne assez..comment dire..capable de tout, donc même si c'était une fille, il savait qu'il pouvait avoir peur d'elle surtout que c'était une deuxième chance qu'elle lui donnait.. Au revoir seconde chance, tu vient de t'envoler avec la boite de pandore. Au bout de dix minutes intenses à fixer ce pauvre téléphone qui avait dut être usé à force, il finit par appeler..Ebony. Oui je vous avais dis que cette personne était totalement hors de contrôle, vous me comprenez mieux maintenant? Il essaya d'amener le sujet subtilement mis finalement se prit les pieds dans la corde et fut des plus..pas habile. Un cri et elle raccrocha, enfin c'était ce que son subconscient avait cru entendre car lui était complétement déconnecté de peur de voir la foudre s'abattre sur lui. Elle allait très certainement débarquer dans les prochaines minutes.. Il n'allait pas rester en boxer, ça c'est sûr, il s'enfila un de ses jeans troué par endroit et un t-shirt blanc en haut, se lava bien les dents et se mit une touche de parfum, s'ébouriffa les cheveux et y mit un brin de gel. Bah ouai au cas où son charme lui fasse de l'effet et diminue son envie de le tuer.. Il l'attendait comme un c*n, ne sachant que faire, il rangeait un peu son bureau sans vraiment rangeait, il déplaçait une babiole pour la remettre à sa place alors qu'il y avait des vêtements partout par terre dans la chambre..hum no comment. C'est alors que la porte s'ouvrit d'un coup pour se refermer aussitôt sur une Ebony qui ne semblait pas dans son meilleur. Mais tient, que lui arrivait-il? Le jeune homme voulut engager la conversation pour partir sur de bonne base, ou essayer, mais il se fit chuter par le geste de silence qu'elle vint lui faire.. Bon d'accord, il allait la laisser parler, c'était finalement surement mieux ainsi. Il la regardait faire, ne sachant trop ce qu'elle fichait au final mais bon il ne s'en préoccupait pas plus que ça, bien trop concentré par la suite des événements.. A sa première phrase, ouai là il se sentit mal car il savait ce que c'était qu'être dans la galère d'argent et là en plus c'était par sa faute. Il esquissa une légère grimace, se disant qu'il en avait pas loupé une encore. Elle s'avança, il ne bougea pas, restait droit à attendre son châtiment.. Un léger rictus de malaise vint s'afficher sur le bord de ses lèvres à ses prochaines paroles. Hum.. Le boite contenant ta marchandise était encore sous mon lit hier soir..je comprends pas.. Fit-il en se passant une main dans les cheveux l'air complétement paumé sur ce qui aurait pu se passer avec sa marchandise. Il la foutait dans la merde et il n'aimait pas ça.. Il y en avait pour combien..? Se risqua t-il à lui demander, prêt à lui rembourser la somme. S'il y avait bien une chose qu'il détestait, c'était foutre les autres dans la merde donc s'il pouvait rattraper son erreur..


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MessageSujet: Re: Ebony&Mavis :. Le meurtre est proscrit ? Tant pis ! Ebony&Mavis :. Le meurtre est proscrit ? Tant pis !  EmptySam 25 Mai - 14:05


EBONY&MAVIS


    Je me disais bien qu'un jour se caractère bien trempé m'amènerait à ma perte. Après tout, il fallait voir à quel vitesse j'étais montée d'une tension à 10 à 15 d'un seul coup ! Mon coeur aurait pu être prêt à éclater si seulement j'en avais un. J'avais donc foncé sans tarder raccrochant avec Andrew sur le vif d'un sujet assez intéressant et maudis une nouvelle Mavis pour m'empêcher de prendre mon pied même quand c'était au téléphone ! Tant pis, encore une chose que je pouvais lui reprocher et lui mettre sur le dos. D'ailleurs j'avais envie de tout lui mettre sur le dos. Chaque petits minuscules problèmes qui s'inséraient dans ma vie et que je déliais d'un claquement de doigt. Oui, tout serait de sa faute. j'en avais décidé ainsi, ma colère ne me laissant ma voir à quel point la chose en devenait plus que stupide mais je m'en fichais éperdument. J'étais contrariée et donc très irritable et donc il était clair qu'il fallait que je me calme au risque d'attirer du monde derrière la porte à cause de mes éclats de voix et que le doyen se ramène illico. J'avais beau être présidente, on savait tous que Fredericksen m'avait dans le collimateur depuis bien longtemps et que mon retour à Berkeley après mon voyage en France avait été très difficile. Du coup déjà qu'il ne supportait pas l'idée que je sois retournée au commande de la confrérie alors que madame se permette de traîner dans une chambre d'omicron, en plus une chambre remplit d'hommes et en tapant scandale ?! Folle à lier la petite Grey c'est pourquoi tout en marchant d'un pas rapide vers la chambre de Mavis j'essayais même ces histoires de relaxation avec des exercices de respiration que j'avais vu à la télé mais malheureusement ça ne faisait que m'énerver encore plus. Mais quelle connerie ! Je réussis néanmoins à me calmer légèrement parce que lorsque j'adressai enfin la parole à l'Omicron, ma voix avait baissé de bien des volumes par rapport à ce que je mettais imaginée mais toujours nuancée d'un rictus qui ne supporterait pas la contradiction. je l'écouta attentivement et ne pus m'empêcher d'aller vérifier moi-même, me baissant pour n'apercevoir que le vide sous son lit et de la poussière. En tant normal je lui aurais dit de faire le ménage mais nous n'étions pas vraiment en temps normal ! Ok, tu me sors la liste des personnes qui sont dans cette chambre et des personnes avec qui ils auraient pu sortir entre la disparition et aujourd'hui. Ça y est que je me prenais pour Sherlock Holmes carrément. Mais qui n'avait pas rêvé un jour de jouer à l'espion pour découvrir les malfaiteurs d'un délit aussi odieux ?! Bon la moitié des gens et dont Holmes auraient sûrement bien rit de m'être fait dépouiller si facilement. Mais quelle idée j'avais eu de lui passer au moins un tiers de ce que je détenais ? Bon c'est vrai il fallait le dire, j'avais l'impression que depuis quelques temps j'avais ce flic qui me collait au cul et à chaque fois que je le voyais c'était moins une qu'il ne me voit dealer mes petites affaires néanmoins c'en était devenu un jeu. Un jeu malsain qui pouvait m'envoyer directement en prison. Dès qu'il pensait me surprendre je l'apercevais avec un sourire lui faisais un petit signe et m'en allait mine de rien. On pouvait tous savoir des choses sur les gens qui étaient officieux. Si on a pas de preuves, on a pas de preuves ! J'avais voulu prendre mes précautions et Mavis étaient tombé à pic en pouvant cacher une partie pour réduire au moins ma peine de prison de 5 ans si j'avais de la chance. LOL. J'aurais pu me bidonner si je n'avais pas eu envie en plus de l'étriper ! Assez pour une année d'étude complète ici. Pourtant, depuis que je mettais réconciliée avec le reste de la famille il fallait dire que Maël, mon frère, me priais de laisser le compte en banque des parents me payer une belle vie que j'avais renié pendant des années mais j'avais trop longtemps profité de mon indépendance et ne me voyais pas leur demander de me payer mes études sachant que j'avais déjà cédé pour qu'ils me remboursent mes loyers. Je ne voulais pas leur faire l'aumône ce n'était plus ma famille depuis longtemps. Mais quelle idée aussi de le mettre sous ton lit !
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MessageSujet: Re: Ebony&Mavis :. Le meurtre est proscrit ? Tant pis ! Ebony&Mavis :. Le meurtre est proscrit ? Tant pis !  EmptyDim 9 Juin - 18:40


Mavis & Ebony
je suis mort

Règle numéro un lorsque tu sais ce que s'est que d'être dans la galère: ne jamais balancer les copains. Alors en effet Ebony pouvait toujours courir pour que Mavis lui dise les noms de ses colocataires de chambre. En plus entre anglais on se sert les coudes même si un d'entre eux était entrain de le foutre bien dans la merde, c'est pas grave il ferait son enquête tout seul plus tard, mais il ne balancerait jamais. C'était un code d'honneur que c'était fixé le jeune homme, certes ça pouvait conduire à sa perte si il avait des plus gros ennuis, mais il s'en fichait. D'ailleurs il allait surement avoir des ennuis avec la patronne des gammas mais ce n'était pas ça qui lui importait le plus. Que tu sois fixée maintenant, je ne te donnerais pas ces noms. Okay niveau coopération le jeune Mavis se tenait là, peut être que ça pourrait être sa futur recrue chez les gammas après tout? Ahah non pas à ce point quand même, lui était plutôt destiné à atterrir chez les Alphas, les gens bosseurs et sérieux de l'université. Il avait l'air très sérieux dans ce qu'il venait de lui dire et si elle voulait ces noms il faudrait qu'elle se débrouille seule. Okay il la foutait dans la merde, c'était de sa faute, il en prenait la totale responsabilité mais ce n'était pas une balance. Il ne voulait pas qu'elle aille faire chier aussi ses potes. Il se demandait quand même pour combien elle en avait dans ce qu'elle lui avait confié, car ça le tracassé tout de même, il n'aimait pas mettre les gens dans la merde et si Ebony n'était pas le genre fortuné il s'en voudrait certainement encore plus. Mais Mav' était quelqu'un de parole donc elle pouvait être sûr qu'il allait tout faire de son côté pour retrouver ce qu'il avait perdu ou pour la rembourser. Mais lorsqu'elle vint lui annoncer le montant de ce qu'il avait perdu, sa mâchoire se décolla légèrement. Oh putain! Ça sortait du cœur car pour un mec qui n'avait jamais eu assez de fric et qui était en perpétuelle galère, savoir qu'il venait de lui perdre tout une année d'étude ici était juste impressionnant et ça le foutait grave mal pour le coup. Il ne pourrait jamais lui rendre tant d'argent, lui il ne réussissait même pas à payer sa faculté, il avait eu une bourse et une opportunité grâce à son très bon niveau mais avait dut tout de même prendre un bon crédit qu'il devrait rembourser certainement jusqu'à la fin de ses jours. Là il faisait les cents pas dans la chambre, mal d'avoir été si con. Et t'as assez d'argent de côté pour te payer l'année à venir? Ou je t'ai vraiment mis dans la merde? Lui demanda t-il franchement car s'il l'avait vraiment mise dans la merde, il s'en mordrait les doigts et ferait vraiment tout pour essayer de la rembourser au mieux.. Sa réflexion sur sa cachette l'irrita quelques peu. Mais ouai je sais c'était une idée à la con! Mais c'est toi aussi, quelle idée de me confier tant de fric! Tu m'as bien vus?! Puta*n je vais faire comment moi maintenant pour te rembourser?! Ouai il était un peu remonté pour le coup, car il était dans la merde et il avait assez de galère au naturel pour s'en rajouter une et pas des moindre! Il était vraiment pas doué dans son genre et il pensait qu'il était définitivement un aimant à conneries..


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MessageSujet: Re: Ebony&Mavis :. Le meurtre est proscrit ? Tant pis ! Ebony&Mavis :. Le meurtre est proscrit ? Tant pis !  EmptyVen 14 Juin - 16:55

EBONY&MAVIS



    Je leva les yeux au ciel décontenancée par ce qu'il venait de me répondre. Et en plus il n'était pas coopératif. Je mettais visiblement trompée du début à la fin avec ce mec ! Moi qui le pensait complètement tarée au début, me voila avec un jeune homme plutôt sérieux et complètement à côté de ses pompes qui n'avait visiblement pas l'air de penser que les choses qu'on pouvait lui confier était aussi précieuse que sa pauvre et misérable vie. J'haussa un sourcil espiègle espérant le faire changer d'avis que par la mine déroutante mais rien ne vint. Je compris donc qu'en plus d'être un abrutit, il n'était pas du tout d'accord pour régler les choses à ma manière c'est à dire menacer toutes personnes qui auraient pues intercepter mon colis et les envoyer dans une autre dimension une fois que j'aurais eu ce que je voulais. Oui, en général, je ne m'arrêtais pas une fois que j'avais touché au but. J'étais d'humeur vengeresse et avait un certain goût pour ce qui était de rendre la vie impossible aux gens qui avaient seulement pu croire un seul instant que c'était normal de toucher à quelque chose qui m'appartenait et s'ils n'étaient pas au courant que le paquet m'appartenait j'étais pratiquement sûre qu'à la moindre évocation de mon prénom il l'aurait rendu. Ou fumer jusqu'à la dernière miette se disant que c'était alors, vraiment de la bonne et qu'ils avaient touché le jackpot. Cette dernière solution me rendais encore plus aigrie et j'avoue que si c'était leur choix, ils étaient tout simplement encore plus idiot que je ne l'aurais cru aux premiers abords ! Il ne voulait pas m'aider ? Tant pis mais il était évident qu'il allait payer les pôts cassés et pas qu'une fois si on ne rétablissait pas la situation très vite. Pourquoi lui ? Sa gueule d'ange et le fait que je l'avais obligé quelque chose, lui donnait le rôle du parfait cobaye pour m'éviter vingt ans de tôle si on trouvait ce qu'il y avait eu hier encore sous son lit, chez moi. J'avais eu tord. La prison valait mieux qu'une vie à faire l'aumône dans la rue si vous voulez mon avis ! Et encore, cela valait mieux que de devoir vivre comme un de ses malheureux étudiants dans ce genre de chambre que tu devais partager. Des murs qui vous cloîtrais pour mieux vous enfermer et vous endoctriner. C'était bien ça que le doyen avait voulu en nous obligeant à dormir dans ces résidences. Je ne supportais pas de vivre sans liberté, sans indépendance, au milieu d'une bulle d'autorité à peine dissimulée. Il en était hors de question ! De toute façon avec ou sans ton aide, je les retrouve et je leur fais la peau. La fille qui ne faisait pas du tout peur à mon humble avis mais irritée comme je l'étais, j'aurais même pu étrangler mon propre chat c'était pour dire ! D'ailleurs je me demandais pourquoi Mavis était encore en vie devant moi. Il avait surtout bien de la chance d'avoir cette gueule d'ange qui me faisait penser à mon Jamie au quel cas je n'aurais pas donné cher de sa peau. Et bien j'ai le choix entre payer une année d'étude mais me retrouver à la rue, ou rester chez moi et vendre des frites pendant un an. Le jaune ne me va pas au teint et il est hors de question que j'abandonne mon chez moi pour venir dormir ici avec vous tous ! C'était dit au moins et en vue de mon expression, il ne fallait pas s'attendre à ce que je change d'avis. Bien sûr, il m'arrivait de temps en temps de dormir à l'université lorsque je n'avais d'autres choix et des cours tôt le matin ou tout simplement lorsque je savais que Fredericksen surveillait les entrées au quel cas il aurait compris que je créchais ailleurs. Et il fallait le dire que bien que j'adorais les nuits que je me faisais avec Lux, à rigoler, une bouteille et un joint dans une main, je ne me sentais pas à l'aise à long terme. J'avais besoin de liberté. J'avais besoin de mon intimité. Cloîtrée ici j'étais sûre de ne pas tenir une semaine et cela aux risques et périls des étudiants qui partageraient les mêmes locaux que moi et étant une bonne présidente il fallait s'en dire que je me serais attardée tout particulièrement sur les autres confréries bien évidemment. Je t'ai confié ce fric car t'as une gueule d'ange mon cher. Et surtout, il y a un flic depuis quelques temps qui commence drôlement à me surveiller et je sais que le doyen a des soupçons sur mes petites affaires. j'avais besoin d'une planque, tu étais le parfait cobaye mais en faîtes tu t'es révélée être un idiot finit. Je ne marchais pas mes mots c'est sûr et pour le véxer il n'y avait pas mieux comme parole méchantes. Surtout que lui s'en fichait au final. Ce n'était pas son problème. J'avais été idiote et irréfléchie. On ne m'y reprendrait plus ça c'était sûr. Laisse tomber. C'est mon problème maintenant ou sinon ... Je ne pouvais m'empêcher de balancer l'idée que j'avais dès l'instant dans la tête et je ne pus m'empêcher de sourire, les yeux dans le vague bien que je n'étais pas sûre que lui aussi ris à mes conneries les plus sombres. Tu peux faire le trottoir pendant quelques temps et tu me donnes l'argent !
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MessageSujet: Re: Ebony&Mavis :. Le meurtre est proscrit ? Tant pis ! Ebony&Mavis :. Le meurtre est proscrit ? Tant pis !  EmptyVen 5 Juil - 14:15


Mavis & Ebony
je suis mort

Mavis leva les yeux au ciel ou plutôt au plafond lorsque Ebony fit sa Gamma number one. Elle allait retrouver ses colocataires et leur faire la peau comme elle dirait. Bon certes, le jeune anglais avait un petite crainte sur ce que pourrait vraiment faire cette jeune femme mais tout de même de là à tuer quelqu'un? De toute façon si un de ses colocataires venait à disparaitre dans les prochaines heures, il irait de suite à la police, il ne fallait pas blaguer avec ce genre de chose. Il ne préféra tout de même pas lui rétorquer quelque chose car ce quelque chose pourrait très certainement l'enfoncer. C'était le seul fautif dans l'histoire et il allait en prendre ses responsabilités mais aussi quelle idée elle avait eu de confier son butin à un mec qu'elle ne connait même pas. Il ne fallait pas être très bien dans sa tête. Les choses devinrent un peu plus sérieuses ensuite enfin en tout cas du point de vue de Mavis, il voulait savoir jusqu'à quelle hauteur il s'était mis dans la merde et elle aussi par la même occasion. Il fit une sale tête en comprenant qu'il avait fait capoter son plan étude pour la prochaine année. Ouai les études étaient importantes, c'est cela qui ferait ton futur et Mav' ne rigolait pas avec ça, c'est pour dire, il n'esquissa pas une bribe d'amusement lorsqu'elle parla de vendre des frites, il avait bugué sur l'avant. Là le jeune homme était exaspéré, car il se rendait compte que sa connerie de lui confier ça, l'avait bien mis dans la merde car il avait une conscience et qu'il ne voulait pas la laisser dans la galère. Bien joué! A croire que t'es vraiment doué pour attirer les complications dans ta vie! Il se sentait bouillir et ne put s'empêcher de sortir ce qu'il avait sur le cœur avant toute réponse concrète face à la situation. Il releva son sourcil gauche lorsqu'elle lui fit qu'il avait une gueule d'ange, on lui avait souvent fait la réflexion et il n'aimait pas du tout, ce n'était pas avec une gueule d'ange que tu te faisais entendre en général. Il comprit beaucoup mieux pourquoi elle lui avait refilé son butin mais accepta beaucoup moins ses dernières paroles qui étaient des plus vexantes. Elle ne le connaissait même pas et elle le traitait d'idiot finit, sympathique, et en bonus de cobaye. Je devrais peut être le marquer sur mon front à l'avenir, comme ça les gens ne se tromperont plus sur mon cas. Dit-il avec beaucoup de sarcasme lui montrant ainsi bien qu'il n'avait pas apprécier mais qu'il n'allait pas s'y attarder trente milles ans. Face à sa prochaine petite blague, Mav' resta sans émotion apparente. Mais t’oublie l'idiot fini que j'y suis, j'oublierais certainement de demander l'argent que j'ai mérité. Okay il était vexé et n'avait pu s'empêcher de s'y attarder une seconde de plus. Il vint alors s'appuyer contre son bureau, réfléchissant un peu plus à la situation. Je ne te lâcherais pas, même si je ne pense pas que tu mérites vraiment qu'on t'aide, mais je suis pas du genre à me barrer dés qu'il y a des soucis dans l'air, donc même si s'est une somme importante, on va essayer de l'avoir. T'as des idées plus intelligente que de faire le trottoir? Comment est-ce qu'on peut gagner beaucoup d'argent en peu de temps? Lui demanda t-il en la regardant et en essayant de réfléchir en même temps, une chose était sûr c'est qu'il ne voulait pas faire des trucs illégaux car ça ne serait que plus d'emmerde. Le problème c'est que s'il avait découvert le job qui gagné beaucoup en peu de temps, il l'aurait déjà fait, vous pouvez en être sûr..


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MessageSujet: Re: Ebony&Mavis :. Le meurtre est proscrit ? Tant pis ! Ebony&Mavis :. Le meurtre est proscrit ? Tant pis !  EmptyLun 15 Juil - 22:34

EBONY&MAVIS


    Je vis de suite à sa mine renfrognée que mes paroles peu tendre ne lui avait pas plus. Mais alors pas plut du tout. Son visage se renferma encore plus qu'aux premiers instants où je proférais des insemnités et menaces de mort sur les gens qui partageaient aimablement sa chambre. Fallait le dire, j'étais énervée et je n'étais pas du genre à dorloter les gens autour de moi. J'étais le contraire. A les pousser à bout pour tout et pour rien. Là j'avais une réelle raison de sortir de mes gonds et c'était peut-être même pire car il comprenait que je n'allais pas le lâcher. J'aurais pu pousser encore plus loin la folle furieuse en lui disant que j'avais son adresse et que je ne le lâcherais pas jusqu'à ce que l'histoire s'arrange mais après tout, il fallait le dire, il n'y pouvait plus grand chose. En faîtes, j'avais l'impression de m'accrocher à lui comme un mollusque sur son rocher car dans cette merde finalement j'étais toute seule. Il n'y avait pas un gentil monsieur qui viendrait me prendre par la main et m'aiderais à régler mes problèmes. Je n'en parlais pas non-plus à Andrew ou Jayan ne voulant pas les mêler à mes magouilles et pour ce qui était était des autres c'était similaire. Du moins les personnes qui me tenaient à coeur. Bref, je reporta mon attention sur le jeune homme qui semblait décidé à me montrer que je m'y prenais vraiment mal si je voulais attendre quelque chose de lui mais qu'attendais-je vraiment ? Qu'il m'ouvre ses mains bien en évidence devant lui qu'il aurait au préalable cachées dans son dos pour me crier un grand surprise et découvrir qu'il avait tout ce temps, mijoter cette blague de mauvais goût ? Déjà que j'étais paumée à savoir si je devais l'appeler Mavis ou Marvin mais là ... Je m'en fichais royalement en faîtes de son foutu prénom. Encore quelque chose sur lequel il ne valait mieux pas me lancer pour la survie des espèces autour de moi dans ce moment. Je lança tout de même un regard vers les mains de Mavis pour voir si seulement, mon esprit pouvait ne pas être le seul fou dans la pièce. Hélas si. Merde. J'eus un sourire amusé sur le visage. C'est bon t'as finis ? C'était sûr, avec des paroles comme ça, je n'étais pas prête à essayer de l'avoir dans mes bonnes grâces. Sèche et désobligeante, j'en oubliais mes bonnes manières que j'avais laissé de côté autrefois pour me comporter vraiment comme une bête sauvage parfois. Je respira un grand coup et poursuivis plus calmement. Tu n'es pas un idiot. Tu est juste un piètre associé et je ne parle pas de menteur ... Histoire de lui rappeler que ce n'était pas la première fois qu'il y avait une histoire complètement dingue entre nous. Fausse identité puis il venait perdre ce que je lui avais prêté. Bravo le Mavis mais ma foi, il fallait l'avouer que je disais plus ça pour rien car nous savions tous deux ici que j'avais marché malgré mes doutes. Mes paroles étaient juste pour remonter un peu ma fierté et essayer de prouver que je n'étais pas si crédible que ça. Malheureusement apparemment, il était bien l'un des seuls qui m'avait complètement retourné le cerveau ! Il continua alors et je l'écouta attentivement pour une fois. Après tout, c'est vrai qu'il était attachant quand on y pensait mais il était sûr que pour l'instant, la colère prônait sur le reste. Je laissa un blanc après sa remarque. Il ne me lâcherait pas. Bizarrement je ne savais vraiment ce que je ressentais après ça. Il voulait m'aider malgré mes crises de colère, mes paroles déplacés et la merde dans laquelle je pouvais le mettre à tout moment ?! Finalement il était bien tarré mais ne le savait pas encore. Faîtes moi penser à appeler les fous anonymes après cet épisode. Je le regarda de la tête au pied et je vis presque la petite lumière s'allumer au dessus de mon crâne. J'eus un sourire malicieux. Tu pourrais poser. Avec ton visage de poupée je suis sûre que tu cartonnerais et ça doit vraiment rapporter. Voila qu'il passait d'enfant de joie à tout simplement mannequin improvisé par toujours la Bonny. Je vis sa mine mi-figue mi-raison et me disais que s'il refusait j'avais plus qu'à prendre mes cliques et mes claques et m'en aller car après tout, il ne me devait rien... Pourtant en vu de ses dernières paroles je me disais qu'il y avait bien plus de générosité en lui qu'il y en avait eu dans toute ma vie entière ce que je respectais étonnamment venant de sa part.
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MessageSujet: Re: Ebony&Mavis :. Le meurtre est proscrit ? Tant pis ! Ebony&Mavis :. Le meurtre est proscrit ? Tant pis !  EmptyVen 19 Juil - 16:16


Mavis & Ebony
je suis mort

Mavis n'aimait pas les conflits, il trouvait cela inutile et il trouvait que la vie était assez difficile pour la durcir encore un peu plus. Certes parfois les conflits étaient inévitable mais dés qu'il pouvait les éviter, il le faisait. Il n'avait pas cette vision fermée des choses, à chaque problème il pouvait y avoir une solution. Il avait toujours fait face à ses problèmes qu'ils soient minimes ou importants, qu'ils soient touchant ou juste agaçant, il y faisait face et il préférait y faire face plutôt que de laisser trainer. Il avait du courage même si en amour il en manquait un peu, ce courage s'évanouissait quelques temps pour revenir à la charge après que ses pensées se soient entrechoquées une centaine de fois. En amour il se posait bien trop de questions. Devrait-il se laisser aller? Devrait-il se montrer au naturel? Devrait-il faire confiance en l'autre? Cette personne resterait-elle avec lui jusqu'au bout? Le ferait-elle souffrir? Est-ce que ça en valait la peine? Ne vaut-il mieux pas garder ses barrières pour ainsi pouvoir avancer tranquillement dans sa vie? Il n'aimait pas cela, il n'aimait pas tout cet amas de questions qui lui venaient à l'esprit lorsqu'il sentait qu'il pouvait s'accrocher à quelqu'un plus qu'à l'ordinaire. Son passé en était clairement la cause, dés le départ on l'avait abandonné, comment voulez-vous maintenant qu'il soit sûr de lui et des autres? Il est indépendant et a essayé toute sa vie de compter que sur lui seul car il savait qu'il ne pouvait pas se quitter lui-même. Il savait que le seul être qui resterait à la fin serait lui. Il ne savait pas s'il serait entouré ou non, il en doutait car la vie jouait souvent de mauvais tours. Peut être était-il pessimiste, il préférait pensé qu'il était juste réaliste, réaliste face à sa vie jusqu'ici. Arriver en Amérique, il essayait de se faire son trou, de se faire de nouvelles connaissances car celles d'Angleterre étaient soit resté là-bas soit inexistante. Ce n'était pas que Mav' est insociable, non au contraire, c'est juste qu'il avait toujours eu du mal à s'investir dans une relation qu'elle soit amicale ou amoureuse, il avait toujours appris à la jouer solo. Il est indépendant et on ne pourra lui enlever cela. Il avait bien mal débuter avec cette jeune gamma et ça continuait sur la même lignée, mais voila même si elle lui semblait plus féroce que jamais, il sentait qu'il pouvait y avoir quelque chose. Dés le début, il avait senti cette fille comme étant quelqu'un d'authentique et qui ne passe pas par quatre chemins pour te dire les choses. Même s'il était très fort, il appréciait son caractère. Il n'avait pas envie de la laisser seule dans cette galère qui était en partie de sa faute même si elle l'avait touché en le traitant d'idiot. Il n'aimait juste pas qu'on le traite lorsque l'on ne le connaissait pas, il trouvait cela injuste au possible. Lorsqu'elle revint sur ce mot, il préféra puisque ses autres paroles étaient plus justifiées et donc il pouvait les accepter. Qu'est-ce que vous voulez, ça ne serez pas le prochain Brad Pitt ou Matt Damon, mais qui ça pouvait intéresser? Okay beaucoup de monde. Il voulait bien lui faire comprendre qu'il serait là avec elle pour réunir l'argent qu'il avait perdu. Car même si c'était elle qui avait fait la bêtise de lui confier son butin, c'était lui qui l'avait perdu au final, donc il trouvait cela normal qu'il l'aide à retrouver son argent. Bon bien sûr sans faire le trottoir. Il trouva cela étrange qu'elle le détail du regard durant une minute, il se sentit un peu mal à l'aise pour le coup et ne sût trop quoi faire durant cette minute. Mais voila qu'elle sortie le pourquoi elle l'avait regardé ainsi, il lui avait apparemment fait partir sur une idée.. Son sourcil gauche vint se lever dut à la surpris que son annonce lui procura. Poser? Moi? Tu m'as bien vu? J'étais déjà mal à l'aise lorsque tu m'as scruter alors poser devant un objectif professionnel? Pas question! Voila la première réaction qu'eut Mav' face à cette idée. Non il était juste impossible qu'il puisse faire cela, ça le rendait tellement mal à l'aise lorsque l'attention était tourné sur lui surtout dans ce contexte là, il s'était toujours trouvé banal, donc pourquoi il intéresserait des professionnels? Mais c'est en voyant l'expression d'Ebony qu'il comprit que c'était la seule idée qu'elle avait trouvé et qui pourrait leur rapporter beaucoup rapidement.. Mais personne ne voudra de moi.. Dit-il en se passant une main dans les cheveux tout en se posant tout un tas de questions. Il reporta son regard vers la belle brune et finit par lui dire. Okay mais tu restes avec moi aux castings! C'était sa condition, une condition non modifiable, il n'allait pas se rendre dans ces lieux fashionnista sans elle, pas moyen! Et voila qu'ils s'aventuraient tous deux dans une nouvelle aventure..


Suite au prochain épisode.


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MessageSujet: Re: Ebony&Mavis :. Le meurtre est proscrit ? Tant pis ! Ebony&Mavis :. Le meurtre est proscrit ? Tant pis !  EmptySam 20 Juil - 18:02

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